BF Prim FR Dida FR U2 Enseignement Expr Orale
BF Prim FR Dida FR U2 Enseignement Expr Orale
BF Prim FR Dida FR U2 Enseignement Expr Orale
OBJECTIF GÉNÉRAL
- Connaître les principes et les méthodologies de l enseignement de l e pression orale.
OBJECTIFS SPECIFIQUES
- D finir l e pression orale l cole primaire.
- Donner l importance, les objectifs, les principes p dagogiq es de l enseignement de l e pression orale.
- D crire les diff rentes sortes d e pression orale.
- Décrire les méthodologies du langage au CP.
- Décrire les méthodologies de l e pression orale a CE et de l loc tion a CM.
- Élaborer une fiche m thodologiq e de l e pression orale de l loc tion et de langage.
- Pr senter en sim lation ne le on d e pression orale dans n co rs.
APPROCHES PÉDAGOGIQUES
Travaux de groupes
Exposé
Brainstorming
Simulation
Modélisation
PRÉ-TEST
1. Cite 4 conditions pr alables l apprentissage d ne lang e.
2. Pourquoi faut-il adapter les leçons de langage aux réalités du milieu ?
3. Quels sont les objectifs de chacune des 3 séances de langage ?
4. Cite 3 principes de l enseignement d langage a CP.
5. Con ois ne fiche d ne s ance de pr sentation et r p tition a CP.
6. A co rs de la le on d loc tion, certains élèves restent muets. Donne les causes de ce mutisme. (6
lignes maximum).
7. Quelle différence y a-t-il entre ne le on de langage et ne le on d loc tion ?
8. Élabore ne fiche m thodologiq e d ne le on d e pression orale ( t de d ne str ct re) a CE1
9. E c te ne le on d e pression orale a CE.
CORPS DE L UNITÉ
INTRODUCTION
L homme a pl sie rs possibilit s de comm niq er et de s e primer a ec ses semblables ; on peut citer entre
a tres, les mimes, les gestes, l e pression crite et notamment l e pression orale, mo en de comm nication le
plus utilisé.
De ce fait, l e pression orale fig re en bonne place parmi « les disciplines clé » qui concourent à faire
acquérir aux élèves les notions fondamentales pour le maniement correct de la langue.
D s lors, l e ercice d langage doit tre i ant et nat rel. Il doit permettre l enfant d acq rir, d accro tre
de façon précise et solide ses connaissances en vocabulaire qui sous-tend l e pression orale. Il doit aussi lui
permettre d e ercer ses po oirs intellect els de j gement et de s nth se.
I. DÉFINITIONS
- L expression orale
En général, l e pression est l e t riorisation, la manifestation de la pens e, des sentiments par la parole, la
physionomie, le geste ou la graphie. On entend par oral, le son qui vient de la bouche et surtout de la voix.
L e pression orale pe t tre d finie comme étant la manifestation de la pensée et des sentiments par la parole.
C est n mo en de comm nication de la pens e et des sentiments entre les hommes au moyen de la voix.
L e pression orale est ne discipline enseign e l cole. Selon les co rs, on parle de langage a CP,
d e pression orale a CE et d loc tion a CM.
- La langue
La langue peut se définir comme étant un système de signes conventionnels propres à un groupe social, à une
communauté et qui permet la communication entre les membres de ce groupe social ou de cette communauté :
Exemple : le moore, le fulfulde, le dioula.
- Le langage
Le langage, selon le petit Laro sse est la fac lt q e les hommes ont de comm niq er entre e et d e primer
leur pensée au moyen de signes vocaux qui peuvent être transcrits.
En milie scolaire et pl s partic li rement a C.P, c est la discipline par laq elle, l aide d n mat riel
appropri et s i ant les sit ations, l l e apprend le maniement oral d ne lang e.
- L locution
Selon le petit Laro sse, l loc tion est la mani re de s e primer oralement, d artic ler et d encha ner des
phrases cohérentes.
Dans le cadre scolaire, elle s entend comme ne discipline enseign e l cole primaire au CM en vue de
l acq isition et de la ma trise d fran ais, d maniement de la lang e.
II. IMPORTANCE
L e pression orale a to jo rs occ p ne grande place dans les soci t s car les ci ilisations ont commencé par
être orales. Elle re t ne importance a ssi bien dans la ie co rante q l cole.
1- Dans la vie courante
Dans la soci t africaine traditionnelle, c est la parole q i li re la sagesse des anciens et c est elle q i, par la
voix des griots, maintient la permanence d ne ci ilisation et l originalit d ne c lt re. On conna t la form le
de Hampaté Bâ, établissant le parallèle entre le rôle du livre dans la société occidentale et celui de la parole
dans la société traditionnelle africaine : «En Afrique, quand un vieillard meurt, c est une bibliothèque qui
brûle (P dagogie po r l Afriq e no elle, IPAM, p. 123). En effet l oralit occ pe ne place importante dans
la société africaine.
Les techniques modernes de communication de masse (téléphone, radio, télévision...) ont rendu à la parole, son
importance d antan. Les besoins de l he re obligent l homme moderne parler correctement, a ec n certain
art lors des colloq es, des conf rences, des AG, des meetings Pour exercer les professions d enseignants,
d a ocats, d hommes politiq es, d hommes religie , il est tile et m me n cessaire de ma triser tant soit
pe l e pression orale.
2. Le conte
Le conte est un discours narratif, traditionnellement d origine pop laire. Il est n r cit g n ralement bref q i
relate des faits imaginaires. Les personnages pe ent tre des hommes, des anima et d a tres l ments de la
nature.
2. Buts
L enseignement d langage a co rs pr paratoire ise :
amener l l e s e primer naturellement dans les situations adaptées à son milieu et à son âge.
amener l l e acq rir les m canismes l mentaires de la lang e fran aise.
d q er l oreille et les organes phonatoires de l l e.
4. Horaires et programmes
Horaires
Le temps imparti l apprentissage d langage est de 6 heures 30 mn par semaine selon le nouvel emploi du
temps, soit 3 séances de 30 mn par jour ; le mercredi compte 2 séances de 30 mn réservées à la révision.
Programme
Il comporte 7 thèmes couvrant 24 semaines de travail effectif. Ainsi nous avons :
Au CPI Au CP2
- l cole - l cole
- Les relations sociales - le corps humain
- l habitation - Les relations sociales
- Le village ou la ville - l habillement
- les métiers - les métiers
- les animaux - le village ou la ville
- la nature - la nature
5. M thodes d apprentissage
Parmi les m thodes d apprentissage d langage qui ont été appliquées jusque-là, on peut retenir :
La méthode Davesne : la pl s ancienne, elle repose essentiellement s r l acq isition d ocab laire.
La méthode Pour parler français (PPF) ou la méthode globale. Elle met l accent sur la mémorisation,
l emploi spontan des str ct res et les exercices de phonétique. Elle fait grand usage des moyens
audio-visuels.
La méthode IPB, q i a co rs dans nos classes, est ne m thode directe parce q elle lie sans a c ne
m diation l objet d sign a mot qui le désigne. Elle se base sur quelques principes fondamentaux :
- Une même importance accordée au vocabulaire et aux structures ;
- L e ploitation d besoin de comm niq er propre to t tre h main ;
- La facilitation de la prise de parole par diverses motivations ;
- La cr ation de sit ations propres s sciter l int r t de l enfant ;
- Le réemploi des notions assimilées par les élèves.
6. Principes pédagogiques
La le on de langage se fait en g n ral partir d objets concrets, de situations réelles, ou à défaut, de leurs
représentations imagées. Po r r ssir l enseignement du langage, il faut respecter les principes suivants :
adapter les leçons de langage aux réalités du milieu ;
toutes les séances de présentation ne se déroulent pas forcément dans la salle de classe mais là où les
enfants pourront en tirer le plus grand profit (au marché, chez le forgeron, à la boutique, etc.) ;
les communications inter-élèves doivent être développées et encouragées. Par conséquent, le maître
devra accepter les productions des élèves avec toutes les imperfections pour maintenir la spontanéité
des changes et po r ne pas bloq er le r d sir de s e primer. Il admettra les fa tes et ne les corrigera
pas s st matiq ement a moment de l e pression ;
avoir une prononciation correcte, claire, afin que les élèves en gardent un bon exemple ;
veiller à corriger les erreurs de langage en reprenant systématiquement les prononciations défectueuses
en phonétique ;
Didactique de français Page 15
l e ercice de langage doit tre i ant et naturel. A ce propos Pauline Kergomard déclare : « Si nous
voulons que l exercice de langage ne soit pas un exercice de perroquet, il faut que les enfants pensent
ce qu ils disent, et pour qu ils le pensent, il faut qu ils le vivent » ;
créer des situations à même de susciter le réemploi des notions étudiées par les élèves.
Une leçon de langage au cours préparatoire est conduite en trois séances : la présentation et répétition, le
contrôle et consolidation et le réemploi et fixation.
Dans la pratiq e, l ordre chronologiq e de ces trois s ances doit tre respect .
3) Présentation et répétition :
OBJECTIFS DE
ÉTAPES DE
MISE EN UVRE OU TECHNIQUE CHAQUE
LA SEANCE
ÉTAPE
Activités du maître Activités des élèves
1- Contrôle et consolidation:
Cette séance a pour objet de vérifier et de consolider les acquisitions faites lors de la séance précédente.
Déroulement de la séance
ETAPES DE
MISE EN UVRE OU TECHNIQUE OBJECTIFS
LA SEANCE
Activités du maître Activités des élèves
1 le ma tre montre l objet et
1 les élèves nomment les objets
demande : « q est-ce q e c est ? »
I. Contrôle et présentés Vérifier et consolider
2 le maître invite les élèves à montrer les
Consolidation des les mots étudiés lors
objets
mots 2 Les élèves montrent les objets de la présentation
NB : procéder de la même façon pour les
en les nommant
autres mots
1 les élèves expriment les actions
1 le maître accomplit ou mime les actions
mimées par le maître
sans les exprimer et demande : « que fait le
maître ? »
2 les élèves accomplissent les Vérifier et consolider les
II. Contrôle et 2 le maître invite les élèves à accomplir les
actions en les exprimant structures étudiées lors de
Consolidation des actions en les exprimant
la présentation
structures NB : procéder de la même façon pour les
autres structures
3 les élèves exécutent les
3. Le maître se fait remplacer par des
consignes données par leurs
élèves pour donner les consignes.
camarades
Le maître répète les mots et les structures Vérifier et consolider les
III. Phonétique sur lesquels les élèves ont réellement eu Les élèves répètent les mots et nouvelles habitudes de
des difficultés. Technique : 3M 3E 1M les structures après le maître. prononciation et
.3E d intonation
La séance de révision
Elle a pour objet la correction et la consolidation de certaines acquisitions de la semaine. La révision a lieu le
mercredi.
Déroulement de la séance
1- Rappel :
a) Redécouverte des mots et des structures :
Faire redécouvrir les mots et les structures étudiés dans la semaine au cours des différentes leçons de langage.
b) Répétition des mots et structures :
Faire r p ter a f r et mes re par le ma im m d l es, les mots et les str ct res.
2-R emploi des mots et str ct res dans d a tres sit ations :
a) Transposition :
Faire r emplo er les mots et str ct res dans d a tres sit ations famili res a l es.
b) Saynètes :
Préparer préalablement les saynètes en prévoyant du matériel concret adéquat ; les faire jouer de façon naturelle
par les élèves.
3-Conjugaison :
Faire conjuguer s rto t les erbes dont la conj gaison n a pas t assimil e par les l es.
4-Phonétique :
Prononcer et faire prononcer correctement (surtout les mots ou structures qui sont restés difficiles à prononcer
par les élèves tout au long de la semaine).
DEROULEMENT
1. Motivation
Elle est d inspiration personnelle et a CP, doit se fonder a tant que faire se peut, sur des éléments concrets. Elle
doit être brève et adaptée à l ge et a milie des l es. Ici, par exemple, le maître peut présenter un sac et
demander a l es s ils e lent conna tre le nom des objets q il a dedans. P is, il le r demande d tre attentifs
s ils e lent le sa oir la fin de la s ance.
2. Présentation/répétition des mots
Présenter chaque objet à étudier, le nommer (3 fois) et inviter les élèves à répéter individuellement le
nom de l objet
Exemple
- Maître (M): un livre (en présentant le livre)
- Elève: (E) un livre
Remarques générales
Le plus important dans cette séance de présentation, est que, pour chaque mot ou structure, le maître fasse intervenir
le ma im m d l es, notamment les pl s faibles.
Il importe également, que les mots et structures ne soient pas toujours abordés dans le même ordre.
1. Questions/consignes
Poser des questions pour amener les élèves à redonner les mots et les structures étudiés.
Exemple
- M: Q est-ce q e c est? (en montrant n cra on)
- - E: C est n crayon
- M: Que fait le maître? (en rangeant le cahier dans le sac)
- - E: Le maître range le cahier dans le sac.
Passer ainsi en revue les autres mots et structures étudiés.
Donner des consignes pour amener les élèves à réemployer les mots et structures étudiés en agissant.
Exemple
- M: Qui vient montrer la craie?
- - E: Je montre la craie (en faisant l action)
- M: Q i ient crire s r l ardoise?
- E: J cris s r l ardoise (en faisant l action)
Passer ainsi en revue les autres mots et structures étudiés.
2. Transposition
Amener les élèves à réinvestir les acquisitions du jour dans des situations tirées de leur vécu, par des questions
appropriées.
Exemple de questions-réponses avec un mot
- Maître: Qui a un sac?
- Elèves (individuellement): - J ai n sac
- Le maître a un sac/ - Papa a un sac /- Maman a un sac / - Issa le boutiquier a un sac /- Etc.
Ma tre: Q est-ce q il a dans ton sac?
Elèves (individuellement) :
- Dans mon sac, il y a un cahier
- Dans mon sac, il y a un livre
- Dans mon sac, il y a un crayon
- Dans mon sac, il a
Ma tre: Q est-ce q il a dans le sac d ma tre?
El es:
Ma tre: Q est-ce q il a dans le sac de maman?
El es:
Ma tre: Q est-ce q il a dans le sac d bo tiq ier?
El es:
2. Transposition (suite)
Exemple de questions-réponses avec une structure
3. Expression libre
Permettre a l es de s e primer librement s r des s jets de le r choi . Cela se fera a d b t, tra ers des
questions-r ponses cond ites par le ma tre po r donner a l es, ne id e de ce q i est attend d e .
Exemple
M: Que fais-tu le dimanche?
E: - Le dimanche, je joue au ballon.
- Le dimanche, je joue à la marelle.
- Le dimanche, je balaie la maison.
- Le dimanche, je lave les habits.
M: Tu joues au ballon avec qui?
E: Je jo e a ballon a ec
M: Tu joues à la marelle avec qui?
E: Je jo e la marelle a ec
M: Que fait maman?
E: Maman lave les habits.
M: Et papa?
E: Papa
4. Conjugaison
Proc der n apprentissage s st matiq e et oral des formes erbales d n erbe d ne str ct re t di e, en mettant
les élèves en situation, afin de mieux faire percevoir les différentes personnes de la conjugaison.
Par exemple, on fera conjuguer « effacer le tablea a pr sent de l indicatif.
Maître: Que fais-tu? (en posant la question à un élève qui a été préalablement invit mimer l action d effacer le
tableau).
El e: J efface le tablea .
Maître: Demande à un camarade ce que tu fais.
El e: X, q est-ce q e je fais? (en mimant l action)
Elève X: Tu effaces le tableau.
Ma tre: Q e fait n tel, ne telle? (en d signant l l e q i mime l action)
Elève: Il ou elle efface le tableau.
Pour les personnes du pluriel, faire agir plusieurs élèves en même temps.
Exercices
1-Cite 4 conditions préalables l apprentissage d ne lang e.
2-Pourquoi faut-il adapter les leçons de langage aux réalités du milieu ?
3-Quels sont les objectifs de chacune des 3 séances de langage ?
4-Cite 3 principes de l enseignement d langage a CP.
5-Con ois ne fiche d une séance de présentation et répétition au CP
1-Buts au CE et au CM
L e pression orale a CE a pour but de :
d elopper che l enfant les mo ens d e pression orale de la lang e fran aise
développer che l enfant l aptit de ne e pression orale pl s pr cise et variée de sa pensée.
L loc tion a CM a pour but de d elopper che l enfant l aptit de l e pression orale spontan e en fran ais.
d) M thodologie d une leçon d expression orale au CE2 et CM à partir d une gravure de grand format
1-Rappel :
Contrôler les acquisitions antérieures.
2-Motivation
Amener les l es s int resser la le on d jo r.
3- Observation libre de la gravure
- Afficher la gravure
- In iter les l es l obser er.
4-Compte- rend de l obser ation libre
- Inciter les l es s e primer par rapport ce q ils ont , remarq o senti
5-Observation dirigée
- Par des questions-réponses, amener les élèves à découvrir progressivement et chronologiquement
l histoire de la gra re.
Conclusion
L homme q i ne s e prime pas s enferme dans sa ie r dimentaire et deme re pe tile sa soci t . La
mission de la soci t en g n ral et de l cole en partic lier est de faire des enfants, des tres aptes s int grer
harmonieusement le r milie et le transformer q alitati ement. C est po rq oi l apprentissage d langage
est ne pr occ pation maje re. Po r faire face ce d licat probl me, l tilisation des m dia et les enq tes
dans le milieu naturel et humain sont des techniq es pr n es a jo rd h i po r l acq isition et l enrichissement
du langage. Mais cela ne suffit pas. Le français étant une langue seconde, est très peu parlée dans nos familles.
L enseignement s st matiq e d langage se pr sente comme ne sol tion inconto rnable. L enseignement d
langage pose des problèmes qui doivent être recensés par les praticiens et résolus par les responsables de
l d cation to s les ni ea .
POST TEST
1-Cite 4 conditions préalables l apprentissage d ne lang e.
2-Pourquoi faut-il adapter les leçons de langage aux réalités du milieu ?
3-Quels sont les objectifs de chacune des 3 séances de langage ?
4-Cite 3 principes de l enseignement d langage a CP.
5-Con ois ne fiche d ne s ance de pr sentation et r p tition a CP.
6-Au cours de la le on d loc tion certains élèves restent muets. Donne les causes de ce mutisme. (6 lignes
maximum).
7-Quelle différence y a-t-il entre ne le on de langage et ne le on d loc tion ?
8-Élabore ne fiche m thodologiq e d ne le on d e pression orale ( t de d ne str ct re) a CE1
9-E c te ne le on d e pression orale a CE.
Corrigé de post-test
a. Cite 4 conditions pr alables l apprentissage d une langue.
III.1. Les Conditions pr alables l apprentissage d une langue
L enfant à sa naissance ne possède pas de « langue ». C est un petit animal capable de faire du bruit avec sa bouche. Il
exprime ce qu il ressent ou désire par des émissions vocales instinctives : les pleurs, les cris.
L apprentissage d une langue requiert un certain nombre de conditions préalables qui sont de plusieurs ordres :
Les conditions d ordre ph siologique
Les conditions d ordre ps chologique
Les conditions d ordre social
Conditions intellectuelles
2. Il faut adapter les leçons de langage aux réalités du milieu pour favoriser la participation des élèves au cours, la
compréhension des notions enseignées, pour adapter les notions au niveau des enfants et par respect des principes
p dagogiq es q i e lent q on aille d conn l inconn , d simple a comple e.
5- faire acquérir globalement les mots et les structures du jour ;
a. Cette séance a pour objet de vérifier et de consolider les acquisitions faites lors de la séance précédente.
b. fixer les acquisitions du jour et permettre leur transfert ou leur transposition dans des situations
différentes
6- principes de l enseignement du langage
c. Il faut adapter les leçons de langage aux réalités du milieu.
Toutes les séances de présentation ne se déroulent pas forcément dans la salle de classe mais là où les enfants
pourront en tirer le plus grand profit (au marché, chez le forgeron, à la boutique, etc.)
Clé de correction
Réponses attendues Barème de notation Condition de réussite
0 à 20
Question n°1 : 4 pts (0,5 pts par réponse juste).
En conformité avec le Question n°2 : 2 pts Après appropriation du
cours Question n°3 : 2 pts contenu
Question n°4: 4 pts
Question n°5 : 8 pts