Nursing EN CHIRURGIE-1
Nursing EN CHIRURGIE-1
Nursing EN CHIRURGIE-1
INTRODUCTION 3
A-PREPARATION PSYCHOLOGIQUE 3
b. Soins relationnels : 4
c. Communication/information :4
B. EVALUATION DES FONCTIONS VITALES : 5
Evaluation de l’état nutritionnel : 5
b. Evaluation de la fonction respiratoire : 6
c. Evaluation de la fonction cardio-vasculaire : 7
d. Evaluation des fonctions hépatiques et rénales : 7
C. PREPARATION BIOLOGIQUE : 8
D. PREPARATION PHYSIQUE : 8
E- PREPARATON DIGESTIVE 9
F. PREPARATON PHARMACEUTQUE 9
G. PREPARATION DU FUTUR OPERE LE MATIN DE L’INTERVENTION 10
PREPARATON DU CHAMP OPERATOIRE 10
DIFFERENTES POSITIONS DE L’OPERE 12
SOINS INFIRMIERS EN POSTOPERATOIRE 12
I. TRANSPORT ET INSTALLATION DE L’OPERE 12
II. SOINS POSTOPERATOIRES IMMEDIATS 13
La sonde gastrique 14
III. SURVEILLANCE DE L’OPERE LES JOURS SUIVANTS 14
1. Maintenir une fonction respiratoire normale : 14
2. Surveiller la fonction cardiovasculaire : 15
3. Réaliser le confort et la sécurité de l’opéré : 15
5. Favoriser la cicatrisation de la plaie : 17
7. Contribuer au bien-être psychologique du malade : 18
III. Evaluation de la douleur post-opératoire: 19
Méthode d’auto-évaluation : 19
IV. TRAITEMENT DE LA DPO : 21
VI. PREVENTION DE LA DPO : 22
SONDAGE VESICAL 22
Quelques termes 24
Cathétérisme urinaire chez la femme 25
Cathétérisme chez l’homme 26
Plaie 27
Types de Plaies 27
SOINS DES PLAIES REFECTION DES PANSEMENTS 28
But du soins des Plaies 29
Facteur Favorisant à la cicatrisation 29
Facteurs pouvant nuire à la cicatrisation 29
Pansement 30
Types de pansement 30
MANIERE DE PROCEDER : 32
Vomissement 33
Types de vomissement 33
Diarrhée 34
TRANSFUSION SANGUINE 34
Complication de la transfusion 36
Conduite à tenir face à une surcharge Vasculaire36
Autres réactions observes au cours de la transfusion 36
Brulure : 38
SOINS INFIRMIERS EN CHIRURGIE
INTRODUCTION
Toute intervention chirurgicale constitue une agression pour l’organisme et
peut déclencher des désordres métaboliques, physiques, ou autres. La période
préopératoire comporte un ensemble de gestes et de prestations destinés à
préparer le patient en vue de subir l’intervention chirurgicale. Une bonne
préparation du futur opéré conditionne la réussite de l’acte anesthésique et
chirurgical et de même des suites opératoires favorables. Elle comporte une
série de prestations et d’éléments suivants :
A-PREPARATION PSYCHOLOGIQUE
Les patients qui vont subir une intervention chirurgicale sont souvent dans un
état d’inquiétude, de crainte et d’angoisse. Ceci est dû au fait que le malade se
trouve dans un milieu étrange (hôpital) et craint un échec de l’intervention et de
l’anesthésie. De ce fait, la préparation psychologique du futur opéré est une
phase essentielle et doit être systématique. En effet, le chirurgien et l’infirmier
doivent dissiper cette inquiétude et créer une atmosphère de confiance et
d’assurance chez le patient. Une bonne préparation psychologique comprend
les éléments qui suivent :
a- Accueil :
3- Lui prouver par un accueil chaleureux que tout est prêt pour s’occuper de lui.
4 - Garder une attitude calme et écouter le patient et sa famille.
7 - Si cela est possible ; lui montrer la salle de soins, les bureaux de l’infirmier
chef et du médecin, les toilettes…
8- Lui indiquer les heures de repas et de la visite médicale. 9 - Lui présenter les
membres de l’équipe soignante.
b. Soins relationnels :
c. Communication/information :
L’équipe doit informer le malade sur l’intervention et ses avantages.
L’information réduit l’inconnu et calme l’anxiété :
5 - Garder secret certains renseignements qui sont inscrits sur le dossier ou qui
sont racontés par le chirurgien qui ne doivent pas être divulgués.
entre l'eau et différents ions) et l’hématocrite (est le volume occupé par les GR dans un volume donné du sang total. homme
40 a 52% femme 37 a 48% ** hemoglobine homme 130g/l(13,5g/dl) et femme 125g/l (12,5g/dl) ). Les carences
dépister des éventuelles coutumes qui excluent souvent la viande, les œufs, les
poissons et d’autres origines protéiques. La reconstitution protidique est un
processus lent mais il peut se faire grâce à un régime riche en protides. Les
vitamines sont essentiellement importantes telles que la vitamine B1 :
l’assimilation des glucides et le bon fonctionnement de la digestion ; l’acide
ascorbique : nécessaire à la cicatrisation des plaies et à la production du
collagène(protéine permettant l'élasticité et la fermeté de la peau ) ; la vitamine K : intervient dans la
synthèse de certains facteurs de coagulation ( taux prothrombine).est mesure pr evaluer la
coagulation du sang dans l'organisme,normal sup a 70%
L’objectif est de s’assurer que les médicaments, les produits anesthésiques, les
déchets métaboliques et les toxines seront éliminés de l’organisme durant et
après l’intervention.L’intervention est contre-indiquée lorsque le malade
présente : 1 - Une néphrite aiguë (inflammation du rein) ; 2 - Une insuffisance
rénale ; 3 - Une anurie ; 4 - Une insuffisance hépatique.
Les examens permettant d’évaluer ces deux fonctions sont : - Urée( Produit de la
dégradation des protéines qui est éliminé par les urines,normal : 3 a 5 mmol/l ou 0,18 a 0,45g/l chez l'homme.2,5 a 7 mmol/l ou 0.15 a
0,42g/l chez la femme. Qd l’urée est élevé cela signifie un mauvais fonctionnement des reins ), créatinine(déchet métabolique
normal produit par l'organisme.l'examen permet d'analyser la clairance de la créatinine c,a,d le rapport entre le débit par les reins et sa
concentration dans le sang.normal 6-11mg/l pr la femme et 7-13mg/l pr l'homme.une clairance basse signifie que les reins ne fonctionnent
pas bien.: ), acide urique(produit de la dégradation des protéines qui est éliminé par les urines. uricémie normal 3,5-7,2 mg/dl
chez l'homme et 2,6-6mg/dl chez la femme ) ; - Echographie hépatique et rénale ; - ; - Tests
présence dans les urine indique une insuffisance rénale ) et des pigments biliaires et la recherche d’une
hématurie macroscopique.
C. PREPARATION BIOLOGIQUE :
La préparation biologique doit commencer cinq à six jours avant la date prévue
pour l’intervention. Elle comporte des examens ayant pour but l’exploration des
fonctions de l’organisme et le dépistage des tares qui peuvent contre indiquer
l’opération. Certains examens sont indispensables (bilan standard) notamment :
1 - Numération formule sanguine ; 2- Groupage-Rhésus ; 3 - Bilan d’hémostase :
TP, TCK… 4- Glycémie ; 5 - Urémie, créatinémie ; 6 - Ionogramme sanguin.
D. PREPARATION PHYSIQUE :
1. Hygiène corporelle : En dehors des urgences, tout malade doit être propre
corporellement avant l’intervention chirurgicale. - Un bilan complet doit être
dispensé au malade soiit dans le service soit chez lui avant d’être admis à
l’hôpital ; - Le malade sera habillé d’une chemise d’opéré propre, chez les
femmes les cheveux doivent être enveloppés dans un morceau de gaze ou dans
un foulard propre ; - Les bijoux et les prothèses dentaires doivent être enlevés.
E- PREPARATON DIGESTIVE
F. PREPARATON PHARMACEUTQUE
But :
Indications :
Matériel :
- Pour la toilette locale : - Savon, - Gant propre, - Eau, - Serviette. Pour le rasage :
- Un rasoir à usage unique + porte lame, - Mousse de savon. Pour le dégraissage
et la désinfection : - Une boite d’instrument stérile, - Un plateau stérile, -
Compresses stériles, - Antiseptiques : alcool à 70°, éther, bétadine. Pour la
protection : - Matériel de contention (bandes de gaze, sparadrap), - Un champ
stérile.
Technique :
a. Nettoyage de la peau :
- Vérifier si le malade a pris un bain ou une douche, si non une douche est
nécessaire ; - Nettoyer, savonner et essuyer la région opératoire en insistant sur
les replis et les plis de flexion (l’ombilic, les ongles qui doivent être coupés).
b. Rasage de la peau :
c. Dégraissage :
d. Désinfection de la peau :
e. Protection du champ :
- Placer sur la région, ainsi préparé, un champ stérile ou mettre en dessus des
compresses stériles et maintenir par un bandage de corps ; - Si le champ
opératoire n’est pas protégé, conseiller au malade de porter des habits propres
et badigeonner encore une deuxième fois le matin avant le départ du malade au
bloc. Remarque : - Il est important de signaler au chirurgien toute infection
cutanée rencontrée ;
Les constantes:
Le pansement:
Les drainages :
La douleur :
La sonde gastrique
Elle n’est pas toujours présente. Elle est mise en aspiration ou en déclive selon
la prescription médicale. L’aspect du liquide est noté ainsi que la quantité.
Surveiller et libérer les voies respiratoires par : - Une aspiration des sécrétions
bronchiques ; - Si vomissements tourner la tête vers le côté, dégager la bouche
des vomissements, essuyer les lèvres et noter la quantité et l’aspect des
vomissements ; - Encourager le malade à tousser pour déloger les bouchons
muqueux ; - Effectuer au malade des exercices respiratoires (inspiration et
expiration profondes) ; - Administrer l’oxygène en cas de besoin.
- Assurer la surveillance de tous les drains et noter les différentes quantités sur
la feuille de surveillance ; - Administrer les différents solutés prescrits en
respectant les quantités, le débit et l’horaire ; - Etablir l’équilibre du bilan des
entrées et des sorties.
b. Le régime alimentaire :
c. Surveillance de la miction :
La quantité d’urine doit être collectée pour calculer la diurèse. Toute anomalie
de quantité ou d’aspect doit être signalée (oligurie, anurie, hématurie, pyurie).
d. Surveillance de la défécation :
Résultat escompté :
a. Position de l’opéré :
- Après l’intervention on peut placer le malade dans une variété de position afin
de lui procurer du confort et de rendre la douleur tolérable. - Le décubitus
dorsal est la position dont on peut placer le plus fréquemment la plus part des
opérés. La tête sera tournée sur le côté, sans oreiller ni traversin, pour faciliter
l’évacuation des vomissements.
Méthode d’auto-évaluation :
Cette approche est utilisée pour évaluer la douleur chez un patient capable de
communiquer notamment un adulte ou un enfant âgé de 5 ans. Elle repose sur
le témoignage oral du patient qui évalue lui-même sa douleur. En effet,
personne d’autre n’est mieux placé que le patient pour décrire ce qu’il ressent :
préciser où il a mal, avec intensité… Lui seul détient la référence personnelle de
sa douleur, ce qui lui permet de suivre son niveau d’intensité selon le moment
et le traitement en cours. Cette méthode s’appuie principalement sur trois
outils :
Pas de douleur 0
Faible 1
Modérée 2
Intense 3
Extrême intense 4
C’est une réglette (petite règle) qui présente d’un côté une ligne subjective et
de l’autre côté une réglette de 100 mm. Le patient tracera un trait ou avancera
le curseur en fonction de l’intensité de la douleur allant de « pas de douleur » à
« douleur maximale imaginable ». Le soignant devra en fonction du
déplacement du curseur de la réglette faire correspondre avec la notation se
trouvant au verso. Ceci permettra de donner un traitement adapté, elle doit
être renouvelée toutes les 24 à 48 heures.
Niveau ou palier 2 :
Les mesures préventives générales font partie des bonnes pratiques cliniques et
débutent par la préparation psychologique à l’intervention. Cela est de la
responsabilité de tous les intervenants, et en premier lieu des chirurgiens, des
anesthésistes et des infirmiers. Lors de la consultation pré anesthésique,
l’évaluation de la composante anxieuse et les antécédents du patient
contribuent à une bonne prise en charge du vécu de la douleur. Il faut
prédéterminer les techniques qui vont être prescrites au patient et l’informer.
La diminution de la douleur postopératoire passe aussi par la prévention des
douleurs inutiles.
SONDAGE VESICAL
I. Définition :
4- Afin d’empêcher l’urine entrer en contact avec l’incision après une chirurgie
du périnée.
1. Le sondage intermittent :
2. Le sondage à demeure :
Il est réalisé avec une sonde à ballonnet qui peut être laissée en place de
quelques heures à 1 mois.
Indications :
3. Indications thérapeutiques :
Contre-indications :
Préparation du patient :
Quelques termes
Hématurie : Présence du sang dans les urines.
Vessie : Organe excréteur qui sert de réservoir à l’urine, elle est formée de3
couches musculaires dont l’ensemble constituent le détrusor (couche de muscle
lisse située dans la paroi de la vessie).
L’urine normale est de couleur jaune paille, une urine rouge, brune, ou orange,
peut relever un processus pathologique. Le rouge ou le brun peut signifier la
présence de sang dans l’urines, il est donc important de souligner tout
changement anormale de couleur. L’urine normale est légèrement acide avec un
ph de 4,5 à 7,5.
9-Ecarter les lèvres avec la main non dominante, puis introduire la sonde
lubrifier par le méat urinaire dans l’urètre et la pousser jusqu’à 5 cm jusqu’à ce
que l’urine s’écoule
1 à 3 ci-dessus
4-Saisir le pénis derrière le gland pour désinfecter le méat urinaire qui se
trouve entre le pouce et l’index.
a)Chez les patients non circoncis, le prépuce doit- être rétracté, nettoyer
d’abord le méat urinaire puis avec un autre tampon le méat avec des
mouvements circulaires, puis jeter le tampon à chaque mouvement
circulaire, nettoyer le pénis jusqu’à la base du gland.
5-Enfiler les gants stériles et déposer les champs stériles sur les cuisses en
recouvrant le scrotum.
6-tendre la verge verticalement de la main non dominante afin d’effacer
la 1ère courbure de l’urètre puis de la main dominante introduire la sonde
lubrifier dans le méat et la faire progresser doucement.
7- Abaisser la verge a l’horizontale afin de passer la courbure naturelle de
l’urètre.
9-Continuer à introduire la sonde jusqu’au passage du sphincter en
exerçant une légère traction de la verge l’extérieure.
9-Reperer l’écoulement des urines ce qui signifie la bonne position de la
sonde, puis gonfler le ballonnet
10-Enregistrer au dossier
Plaie
Types de Plaies
1- Plaie par incision : Une plaie incisée, c’est une plaie produite par un
instrument tranchant.
2- 2Plaie par Abrasion : Est un type de blessure ouverte qui résulte d’une
friction.ex :Un genou écorché à la suite d’une chute.
3- Plaie par Contusion : Une plaie contuse est une plaie fermée après
avoir reçu un coup d’un instrument contondant (qui blesse en
meurtrissant et non en coupant) exemple (coup de pierre, coup de
bois)
4- Plaie par Lacération : Qui se produit lorsque les tissus sont déchires et
que les bords de l’ouverture sont irréguliers, et sont souvent observes
à la suite d’un accident d’automobile.
5- Plaie par Piqure, ou par ponction : Il s’agit d’une plaie ouverte produite
à l’aide d’un instrument pointu.
6- Plaie par Pénétration : Elle est causée par la pénétration profonde à
travers la peau ou la muqueuse d’un objet dans les tissus.
REGLES GENERALES :
Pour désinfecter une Plaie :Il faut utiliser le même antibiotique au début jusqu’à
la fin.
1 -Lavage des mains ; 2- Lavage de la plaie, Nacl 0,9% ; 3-Port de gants propre ou
stériles ; 4- Utilisation de l’eau traitée et du savon ; 5- SAT (sérum anti
tétanique)
NB : SAT est contre indique en cas de : Grossesse, Asthmatique. Réactions allergiques :Prurit,
Réaction de peau d’orange.
3-Aidera la cicatrisation.
6-Prevenir l’hémorragie.
2-Hematome :Un hématome c’est une collection de sang enkysté dans les tissus.
Une collection de sang peut mettre des semaines à se résorber, nuisant ainsi au
processus de cicatrisation.
Mode d’emploi :
- Utiliser sur les tissus vivants propres ; - Vérifier la date de péremption avant
l’utilisation ; - Éviter la contamination de l’antiseptique : - Manipuler le flacon
avec précautions ; - Préférer un conditionnement à usage unique ; - Conserver
dans des conditions adéquates ; - Respecter les précautions et mode d’emploi ; -
Ne jamais mélanger deux antiseptiques différents ; - Surveiller la tolérance
locale.
Pansement
Ensembles des éléments (gaze, coton, médicament etc.) qui sont appliques sur
une plaie pour la protéger des agents infectieux et la soigner.
Types de pansement
1 - Pansement simple sec ; 2 - Pansement humide ; 3 - Pansement gras ; 4 -
Pansement de drainage.
b. pansement humide :
Indications
- Anti-infection :
Objectifs :
C - Pansement gras :C’est le soin d’une plaie avec utilisation de gaze imprégnée
de substances grasses associées ou non à des antibiotiques, à des antiseptiques
ou à des substances cicatrisantes.
Indications :
Préparation du matériel :
MANIERE DE PROCEDER :
A - Préparation du patient :
DEROULEMENT DU SOIN :
1er temps :
2e temps :
Examen et évaluation de la plaie
- Une plaie opératoire récente doit être propre ; - Les signes inflammatoires
locaux.
3e temps :
Nettoyage de la plaie.
1- Enfiler les gants stériles ; 2 - Prendre une compresse stérile avec une pince
stérile et la plier en tampon, 3- verser dessus un antiseptique ; 4 - Nettoyer les
bords de la plaie de l’intérieur à l’extérieur ; 5 - Nettoyer la plaie elle-même avec
le sérum physiologique et sécher ; 6 - Nettoyer la plaie avec l’antiseptique ; 7-
Décoller les traces du sparadrap avec un tampon imbibé d’éther.
4e temps :
- Déposer les compresses sèches et stériles sur la plaie ; - Fixer le pansement par
du sparadrap ou un bandage.
Vomissement
C’est le rejet par la bouche du contenu de l’estomac. On les rencontre dans
certaines pathologies comme : Typhoïdes ; Ulcère Gastrique ; Choléra ;
Grossesse et également dans le post- op (après uneopération ou une
intervention chirurgicale).
Types de vomissement
a) Les vomissements peuvent être : a) alimentaires ; b)de liquide gastrique
clair ; c)de bile ou encore fécaloïdes.
Diarrhée
Emission fréquente de selles liquides pendant 3 ou 4 fois sur 24 heures.
Causes de la diarrhée
TRANSFUSION SANGUINE
Elle consiste a introduire directement ou indirectement du sang d’un sujet bien
portant ( le donneur) dans la veine d’une personne affaiblie (receveur).
Qualificationdu donneur
3-Non toxicomane
4- Pas d’hépatite ni contact de quelqu’un qui q été frappe d’hépatite dans les 6
derniers mois.
8-Pas de transfusion
9-Pas d’asthme
Complication de la transfusion
Surcharge vasculaire : qui se manifeste par détresse respiratoire –toux avec
sécrétion rosée –Tachycardie-Cyanose – Anxiété soudaine.
9-Prendre les signes vitaux toutes les 5 minutes pendant les 15 premières
minutes et rester au près du client et contrôler les signes vitaux toutes 15
minutes
2eme degré ; Il est plus profonde, touche une l’épiderme et une partie du
derme, larougeur, et le phlyctène en son caractéristique la guérison survient
dans10 a 40 jours avec de bonne cicatrisation si le malade n’infecte pas.
3Eme degré ; Toute l’épaisseur est atteinte, la peau ressemble à uncuir qui peut
êtremarron, noir blanc ou rouge. Elle est anesthésique car toutes terminaisons
nerveuses sont détruites.
- Modérée =entre 14 a 49 %
- Grande=entre 50 a 69
- Massive =plus de 70 %
2-Un cathéter veineux de gros calibre et un Foley place stat pour le contrôle de
la diurèse horaire.
4-Pratiquer l’antibiothérapie.