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Cours de Dessin Technique Parcourt - Cycl Ing S2 GI-GEMI

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Méthodes de représentation

d’un dessin technique

Parcours: Cycl. Ing. S2 GI-GEMI

Réalisé par le Prof. Abdelilah El Mesbahi

FST DE TANGAR 1
I. UTILITE
Le dessin technique est le langage universel de tous les
techniciens pour la représentation des objets techniques et
industriels. Le dessin technique est soumis à des règles strictes
qui assure la même lecture et interprétation. Ces règles sont
définies par la normalisation

II. TERMINOLOGIE
Schéma:
le schéma est une représentation graphique, sous forme
symbolique plus au moins poussée, dans la plus part des cas
normalisé, des éléments principaux d’un objet technique pour
présenté la conception et d’en expliquer le fonctionnement.

Croquis:
le croquis est une représentation graphique, généralement
effectué à main levée et respecte approbativement la forme et la
position de l’objet technique.
L’esquisse:
l’esquisse est le dessin de début d’élaboration (préliminaire)
d’un projet qui est effectué en traits fins au crayon pour permettre sa
rectification est sa revue éventuelle. 2
III. NORMALISATION
BUT:
Pour faciliter la lecture sans risque d’erreurs ni
d’interprétations multiples, le dessin technique est réglementé par
un ensemble de normes: normalisation

Définition:
Une norme industrielle est un référentiel publié par un
organisme de normalisation comme par exemple AFNOR, ISO.
C’est une feuille où sont consignées essentiellement les règles
techniques relatives à l’exécution et au décodage de dessin, à la
désignation et au contrôle des produits industriels.

IDENTIFICATION D’UNE NORMALISATION


On commence par:
La désignation de la référence de la norme (l’organisme ou
association d’organismes qui a/ont publié la norme) suivie du
numéro de la norme puis le nom du composant concerné par
cette norme et en fin la date de sa publication.

Exemple:
NF NE ISO 4032 Ecrou hexagonal 2001 3
III.1 PRESENTATION GENERALE D’UN DESSIN TECHNIQUE

4
III.2 NORMALISATION DE FORMATS DE DESSIN : NF EN ISO 5457

Les formats désignent la dimension du calque ou de papier


sur lequel on exécute le dessin. En mécanique ces formats sont
normalisés sous NF EN ISO 5457 afin de faciliter la manipulation et
le classement des dossiers:

FORMAT A0 A1 A2 A3 A4
LARGEUR 841 594 420 297 210
HAUTEUR 118_ 840 594 420 297

Tous les formats


dérivent du format de
base A0 de surface 1 m2
et de dimensions 1188 x
840. ces formats sont
obtenus par subdivision
successive par moitié
parallèlement au petit
coté (largeur) (voir figure
de droite). 5
III. 3 CADRE DE DESSIN : NF EN ISO 7200

la surface d’exécution de
dessin est délimité par un cadre
dessiné en trait fort (cadre bleu sur
la figure de droite) à l’intérieur du
format.
la marge entre le cadre et
le bord du format et de 10 mm pour
les formats A2, A3 et A4 et de 20
mm pour A0 et A1

III. 4 CARTOUCHE : NF EN ISO 7200

Le cartouche (partie
colorée en jaune sur la figure de
droite) est la partie du format
consacrée à la représentation des
renseignements nécessaires à la
caractérisation de l’objet à dessiner
à savoir le type de projection, le
nom du dessinateur,…etc.
6
III. 5 NOMENCLATURE : NF-04-504 – ISO7573

La Nomenclature est une


numérisation des éléments que
constituent un dessin d’ensemble
(appareil) faisant l’objet de dessin.
la nomenclature (partie en
dessinée en jaune) est dessinée juste
au dessus du cartouche. Elle
comprend surtout les éléments
suivants:
Le numéro de repérage des
pièce constituant le mécanisme

Le nombre de pièces identiques


existantes dans le dessin
d’ensemble
Le nom technique attribuée à
chaque pièce et sa désignation
normalisée (pour les éléments
normalisés).
La matière constituant la pièce
(désignation du matériau)

Les observations éventuelles sur quelques pièces: état de surface,


7
traitements thermiques ou autres spécifications utiles sur l’élément
III.6 NORMALISATION DESTRAITS : NF EN ISO 28
Le dessin technique est constitué par un ensemble de traits
normalisés dont chacun à une signification particulière de point de vue
utilisation. La normalisation concerne la nature du trait (continu, discontinus,
mixe,…) par sa largeur (fort, fin,…) ainsi que sa forme (zigzag, à main levé,
…). Le tableau ci-dessous donne les épaisseurs normalisés des traits et celui
de la page suivante récapitule les principaux types de ces traits ainsi que leurs
champs d’utilisation.

Largeur des traits


Trait fort Trait fin Trait fort Trait fin
0,25 0,13 0,7 0,35
0,35 0,18 1 0,5
0,5 0,25 1,4 0,7
Utiliser de préférence les groupes de valeurs colorés en jaune

NOTA
Conserver la même largeur pour toutes les vues
du même dessin à la même échelle.
Le nombre de segment d’un trait est fonction de
sa longueur et sa largeur. 8
III.6 NORMALISATION DESTRAITS (SUITE)

9
III.7 NORMALISATION DE L’ECRITURE : NF EN ISO 3098

Le but de normalisation de l’écriture et d’assurer la lisibilité et


la reproductibilité des caractères .
L’écriture peut être majuscule ou minuscule , droite ou inclinée à 15 °
par rapport à la verticale comme l’indique l’exemple suivant:

L’écriture est caractérisée par sa hauteur nominale h des lettres


majuscules. Les autres dimensions a, b, c, d et e sont définies en fonction
de cette hauteur.

10
Les valeurs de h sont choisies parmi les dimensions du tableau ci-
dessous.

CHOIX DES DIMENSIONS NOMINALES

Pour les formats A0 et A1, h=3,5

Pour les formats A2, A3, et A4, h=3,5


(pour h=2,5, il est conseillé de ne pas
utiliser des lettres minuscules

11
III.8 TYPE DE PROJECTION
Symbole de projection
européenne
Projection européenne

Plan de
projection
La méthode de projection
européenne est désignée par la lettre Position de
l’observateur
E et a pour symbole . .
Dans cette projection, la
pièce est située entre l’observateur et
le plan de projection. À titre
d’exemple, pour la vue de face P
l’o osit
l’observateur est située en face de la bs i on
er
va de
teu
pièce et projette sur le plan en arrière. r

Le nom de la vue est donné donc par


la position de l’observateur.

12
Symbole de projection
Projection américaine américaine

Plan de
La méthode de projection
projection américaine est P
l’o osit
bs i on
désignée par la lettre E et a pour er
va de
teu
symbole . r

Le plan de projection,
dans ce cas, est situé entre
l’observateur et la pièce.
Autrement dit, l’observateur et le
plan de projection se trouvent du
même coté par rapport à la pièce.
Le nom de la vue, dans
ce cas, est donné par la position
Position de
du plan de projection. l’observateur

Nota Le symbole de projection, doit figurer dans le cartouche pour 13


spécifier le type de projection réalisé .
IV. Cube de projection (Définition des vues)
A. PROJECTION ORTHOGONALE EN VUES EXTERIURES
ETAPE 1 : Imaginer que la pièce à l’intérieur d’un cube

14
ETAPE 2 : Faire la projection orthogonale de la pièce sur chaque
face de cube

15
ETAPE 3: Choisir une vue de face qui va représenter la pièce. Cette
vue devra visualiser le maximum de détailles sur la pièce. Ici on
choisit la vue colorée en jaune.

16
ETAPE 4: Faire le rabattement de toutes les faces du cube dans le
même plan de la vue de face afin que toutes les vues se trouvent
dans le même plan.

17
18
19
20
B. CORRESPENDENCE ENTRE LES DIFFERENTES VUES

En pratique, une pièce doit être définie


complètement et sans ambigüité par un nombre
minimal de vues. On choisit les vues les plus
représentatives et dont les faces forment un
trièdre directe. Dans notre cas, ce sont les vues
de face, vue droite et vue de dessus. Pour les
pièces de révolution, en générale, deux sont
suffisant es pour leur définition complète

21
Représentation 2D de la pièce

22
23
LES INTERSECTIONS

24
TP : Application intersection

26,00
70°

F
25
TP : Corrigé application intersection

XX
XX
X
XX
XX

26
LES PERSPECTIVES

Perspective cavalière
La perspective cavalière est une représentation parallèle
oblique de la pièce dans laquelle le plan de projection est parallèle à
un de ses faces principales

Caractéristiques c
Fu
Toutes les faces // à la face 45° ya
nt
principale sont dessinées en e
vraie grandeur (a et b)
90°
Fuyantes sont orientées à 45°
(135°) par rapport aux arrêtes de Face
a principale
la face principale

Les dimensions des fuyantes (la


cote c) sont multipliées par 0,5

b
F
Méthode d’exécution X X

X
O
F Y Z O
Z

Z b

O
Y
a

b
O
Y
a
Perspective isométrique
La perspective isométrique appartient à la famille des
perspectives axonométriques. C’est une projection orthogonale de
l’objet sur un plan oblique, c’est-à-dire la pièce est placée de telle
sorte que ses axes principaux (ses cotes) soient inclinés sur le plan
de projection, par conséquent les trois faces de cube sont visibles.
X
Caractéristiques
Les angles formés et formés b
respectivement entre X et Y, Y et Z
et Z et X sont égaux à 120 °

Les dimensions réelles sont toutes



multipliées par un coefficient de
réduction égale à 0.82 a
  a

29
Méthodes de traçage des ellipses E
A B
1. Méthode des 8 points
1.1 Principe de la méthode K M
La méthode de traçage se base sur le fait que
lorsqu’on considère le carré ABCD circonscrit au H F
cercle, de centre O est de rayon OE, l’intersection
des deux segments AG et EK est un point qui
appartient au cercle avec G est le milieu de DC, E est
le milieu de AB, H est le milieu de AD et K est le
milieu de AH.
D G C
1.2 Méthode d’exécution
Représenter
Représenter lele carré
carré ABCD
ABCD circonscrit
circonscrit dudu
cercle à dessiner en perspective en tenant
cercle à dessiner en perspective en tenant
A E B
compte
compte desdes coefficients
coefficients de
de réduction
réduction K
(parallélogramme).
(parallélogramme). H M
Les
Les points
points E,
E, F,
F, G
G et
et H
H sont
sont respectivement
respectivement lesles F
milieux
milieux des
des arrêtes
arrêtes AB,
AB, BC,
BC, CD
CD et
et DA
DA du
du carré
carré
circonscrit
circonscrit (parallélogramme)
(parallélogramme) et et sont
sont
évidement
évidement des points qui appartiennent au
des points qui appartiennent au à
à
D G C
l’ellipse.
l’ellipse.

Le
Le point
point M
M de
de ellipse
ellipse est
est trouvé
trouvé par
par
l’intersection du segment AG (G est le milieu
l’intersection du segment AG (G est le milieu
de
de l’arrête
l’arrête DC)
DC) et
et du
du segment
segment EKEK (E(E est
est le
le
milieu
milieu de
de AB
AB et
et K
K est
est le
le milieu
milieu de
de AH)
AH)
2. Méthode des 8 points
2.1 Principe de la méthode
B
Soit une ellipse de centre O, de petit rayon a et de grand
rayon b. soient les deux cercles concentriques C 1 et C2 de
centre O et de rayons respectifs a et b. Si on trace la
droite issue de O qui intercepte le petit cercle en A et le A D
grand en B, le point D obtenu par l’intersection de la droite
verticale issue de B et de la droite horizontale issue de A a
est un point qui appartient à l’ellipse.

2.2 Méthode d’exécution b


Tracer
Tracer lesles deux
deux cercles
cercles concentriques
concentriques C C11 et
et C
C22 en
en O
O de
de
rayons
rayons respectifs
respectifs a
a et
et b
b (a
(a et
et b
b sont
sont respectivement
respectivement le le
petit et le grand rayon de l’ellipse obtenus en multipliant
petit et le grand rayon de l’ellipse obtenus en multipliant
le
le rayon
rayon dudu cercle
cercle par
par les
les coefficients
coefficients de
de réduction).
réduction).

Tracer
Tracer la
la droite
droite issue
issue du
du centre
centre O
O qui
qui intercepte
intercepte le
le petit
petit
cercle
cercle en
en A
A et
et le
le grand
grand en
en B.
B.

Le
Le point
point D
D obtenu
obtenu par
par l’intersection
l’intersection de
de de
de la
la droite
droite
verticale
verticale issue
issue de
de B
B et
et horizontale
horizontale issue
issue de
de A
A est
est point
point
recherché de l’ellipse.
recherché de l’ellipse.
Prendre
Prendre un
un nuage
nuage suffisant
suffisant de
de points
points pour
pour le
le traçage
traçage
correcte de l’ellipse.
correcte de l’ellipse.

31
IV.COUPE ET SECTIONS

IV.1 GENERALITES
Les coupes et les sections permettent de rendre visible et
claire les détailles intérieures de la pièce ou de dessin d’ensemble.
La coupe est exécutée autant de foi que nécessaire pour arriver à
définir les complètements les formes internes de l’élément à
dessiner.
IV.2 METHODE D’EXECUTION D’UNE COUPE

Afin de présenter la méthode d’exécution d’une coupe,


prenons le palier suivant comme exemple

F
32
A

1. choisir un plan de coupe de


telle manière, que lorsqu’on
coupe la pièce à travers ce
plan, tous les détailles
intérieurs visés par cette
coupe deviennent visibles et
claires à représenter. Ce plan A
est désigné par P sur la
perspective et par la ligne A-A
sur la vue de face. Le plan de P
coupe doit être représenté par
un trait mixte fort

2. choisir un sens
d’observation. Ici,
l’observateur est placé à droite
de la pièce et sa situation est
précisée par les deux flèches
qui s’appuies
perpendiculairement sur les
deux traits mixes fortes qui se
trouvent à l’extrémités de l’axe
représentant le plan de coupe.

33
3. On imagine qu’on coupe la pièce avec une scie en deux tronçons suivant le plan de
coupe et on enlève la partie qui se trouve de coté de l’observateur. La vue de coupe est
assurée en considérant le tronçon restant comme étant une nouvelle pièce et en faisant
une projection normale de celui-ci sur le plan de projection.

Plan de
projection
-A
peA
u
co
en
c he
u
e ga
ed
P Vu

34
Les faces de matières qui
étaient en contact avec les
dents de la scie (effectivement
scier) sont hachurées. Les
hachures matérialisent donc les
faces scier et nous indiquent en
plus sur la nature du matériau
constituant la pièce.

Le nom de la coupe, comme


dans le cas de représentation
des vues extérieures, est donné
par la position de l’observateur.
La coupe ici est appelée vue de
droite en coupe A-A puisque la
coupe prend la position de la
vue de droite normale sans
coupe.

35
IV.4 Exemple des hachures de quelques matériaux

Métaux ferreux: Fontes, Aciers et


ses alliages

Métaux légers: Aluminium et ses


alliages

Cuivre et ses alliages où domine le


taux de cuivre

Matière plastique ou isolante et


garniture

Bois en coupe longitudinale

36
Exercice d’application :
Représenter la pièce ci-dessous en vues suivantes:
Vue de face suivant F
HHH
Vue de gauche en coupe B-B

HHH
Vue de dessus en coupe A-A HHH
HHH HHH

HHH

37
IV.3 SECTIONS

Les principales différences des sections par rapports aux


coupes sont les suivantes:

Par analogie avec les coupes,


le plan de coupe est appelé
plan de section et la section
est désignée par les mêmes
lettres que le plan de section.
(section B-B). B

À la différence des coupes,


l’emplacement de la section
peut être quelconque dan la
B
page alors que dans le cas des
coupes, elle prend la position
B-B
de la vue correspondante.
Dans la section on ne
représente que les parties qui
étaient effectivement scier
(réellement situées dans le plan
sécant). 38
TYPE DE SECTIONS

Section sortie telle que la


section A-A et D-D.
l’emplacement de cette
section peut être quelconque
dans le calque.

Dans le cas du méplat, situé


à l’extrémité gauche,
Section rabattue
l’identification du plan sécant
n’est pas nécessaire.

Dans le cas de la section


rabattue on fait pivoter le
plan sécant de 90°. La
section ainsi rabattue est
dessinée en trait fin pour ne
pas surcharger le dessin.
39
LES COUPES PARTICULIÈRES

I. Coupe à plans parallèles : (à plans // décalés)

Objectif :
Cette coupe permet de montrer,
sur la même vue, des formes
situées dans des plans de coupe
parallèles.

Son emploi évite :


• soit une vue supplémentaire en
coupe;
• soit la représentation de détails
cachés.

Représentation
plan

40
LES COUPES PARTICULIÈRES

II. Coupe brisée à plans sécants : (2 plans concourants)


Objectif :
La coupe par deux plans concourants permet de montrer, sur la
même vue, des formes situées dans des plans de coupe sécants.
Son emploi évite :
• soit une vue supplémentaire en coupe, suivant une direction oblique;
• soit la représentation déformée de certains détails.

Représentation
plan

41
LES COUPES PARTICULIÈRES

III. Demi-Coupe
La demi coupe est la juxtaposition sur une même
vue d'une demi vue extérieure et d'une demi vue
en coupe.
Objectif :
Cette représentation est très utilisée lorsque les
pièces présentent une symétrie par
rapport à un plan.
Son emploi donne :
La possibilité de représenter simultanément les
détailles intérieures et extérieurs du produit

Représentation
plan

42
LES COUPES PARTICULIÈRES

IV. Coupe locale


Objectif :
La coupe locale (ou coupe partielle) permet de définir sur une vue extérieure
un détail sans avoir a représenter une vue supplémentaire.

L'indication du plan de coupe est inutile et la zone coupée est limité par un
trait fin tracé a main levée ou aux instruments avec zigzag.

Représentation
plan

43
LES COUPES PARTICULIÈRES

V. Coupe des nervures


Cette représentation permet de différencier
immédiatement la coupe d’une pièce massive
de celle d’une pièce nervurée de même
section. On dit que l’on évite l’effet visuel de
masse.
Règle:
On ne coupe jamais une nervure par un plan
parallèle à sa plus grande face (plan A).

Représentation
plan

44
Représentation en projection
de dessin d’ensemble

45
I. Définition
On appelle système mécanique un ensemble organisé de pièces
reliées par des liaisons et destiné à remplir une fonction bien
déterminée.

Exemple: Vé réglable

II. Fonction globale:


La fonctions principale correspond
au service rendu par le système mécanique
en vue de répondre à un besoin

Ce système est utilisé pour la


mise en position des pièces cylindriques
pendant les opérations d’usinage où de
métrologie. L’axe du cylindre est positionné
horizontalement par rapport à la table de la
machine outil (marbre) et peut nécessiter
un positionnement en hauteur réglable.

46
4
1
5

2 6

7
3
8
47
PRESENTATION DES LIAISONS DANS LA BUTEE REGLABLE

1. Liaison glissière

a. Liaison glissière entre le vé et le bâti

BLOC 1
2 3
1 BLOC 2

BLOC 1={1,2,3,8}
8

48
Montage
des pièces Cinématique
de la liaison

49
b. Liaison glissière entre le Vé et le bâti

BASE

4
COULISSEAU
7
1

BASE={1,2,3,8}

50
Montage
des pièces Cinématique
de la liaison

51
Liaison glissière Schéma cinématique Schéma
plan cinématique plan
Z

Y
X

Torseur cinématique Torseur cinématique


de la liaison de la liaison

0 U1  0 L1 
V  
 0 0 
  1 2 O1 , x, y , z   Y1
Z
M1 

N1 O , x , y , z 
1
O1 , x , y , z 
2
0 0 O , x , y , z   1
 1
1

52
3. Liaison hélicoïdale

BLOC 1 BLOC 2

2 6
3
1

Cinématique
de la liaison
BLOC 1={1,2,3,8}

53
Liaison hélicoïdale Schéma cinématique Schéma
plan cinématique
Z
spatial

Y
X

Torseur cinématique Torseur cinématique


de la liaison de la liaison

0 U1  0 L1 
V  
 0 0 
  1 2 O1 , x, y , z   Y1
Z
M1 

N1 O , x , y , z 
1
O1 , x , y , z 
2
0 0 O , x , y , z   1
 1
1

54
GRAPHE DE LIAISONS

Le graphe de liaisons d’un


mécanisme est construit de la
façon suivante :

Toute les pièces qui sont liées L61


par une liaison complète 1 L51
représente la même classe
d’équivalence.
Par exemple : {1}={1, 5, 2, 3 }
6 L41 5

La pièce est représentée par L46 4 L45


un sommet (cercle numéroté)

La liaison est représentée par


un arc noté Lij

L15 : Liaison glissière d’axe y


L54 : Liaison appui-plan de normale y1
L41 : Liaison glissière d’axe x
L46 : Liaison pivot d’axe x
L61 : Liaison hélicoïdale d’axe x
55
SCHEMA CINEMATIQUE

L15 : Liaison glissière d’axe y

L54 : Liaison appui-plan de normale y1


L41 : Liaison glissière d’axe x

L46 : Liaison pivot d’axe x


L61 : Liaison hélicoïdale d’axe x

L
L51
51

L L
L46 L
L61
L45
45 46 61

L
L41
41

56

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