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IV) Les composants essentiels du transport

1) Les pouvoirs publics

L’impact des transports comme élément stimulateur des échanges et de structuration de


l’espace justifient logiquement une intervention des pouvoirs publics dans sa gestion et pour
assurer une évolution en accord avec les besoins de la société. Ils peuvent intervenir sous
plusieurs formes.
- La législation qui fixe les principes d’octroi de la concession concernant les
entreprises de transport, les personnels et les conditions d’exploitation, etc
- L’indemnisation de prestation à caractère social effectuée par les entreprises de
transport, par le biais de la couverture des déficits d’exploitation, d‘une participation
au financement de la construction des infrastructures de transport.
- Le contrôle de la gestion de l’entreprise qui compose des mesures ainsi que
l’évolution des prestations du transport et leur adéquation relative aux exigences
dictées par l’aménagement du territoire et la préoccupation du bien-être collectif.
 Les Modes des Transports
- La route
Mode adapté aux déplacements assez courts (<1000 km). Mode individuel
- Le Fer
Mode adapté aux déplacements assez courts, Marché généralement monopoliste
- L’air
adapté aux grandes distances, mais également aux courtes distances (>1000 km).
Prépondérance pour le transport des voyageurs et marchandises de haute valeur ajoutée.
- La voie navigable
adapté aux grandes distances intra-Afrique et internationales, principalement pour les
marchandises. Un mode très spécialisé selon la nature des marchandises.

2) les défaillances du marche

- Bien publics : le problème du passager Clandestin


- Externalités : La congestion, l’insécurité, L’effet négatif environnemental.
-

V) TARIFICATIONS
En matière de transport, la tarification relève du niveau de l’autorité publique qui fixe
les tarifs par rapports aux différents modes des transports et types d’activités des transports.
- Pour les marchandises il est taxé par tonne kilométrique
- Pour les passagers c’est le voyageur par kilomètre
- Pour les transports collectifs ou en commun il ya un prix forfaitaire, il existe des carte
d’abonnement des tickets etc...
VI) INFRASTRUCTURE DES TRANSPORTS

Les infrastructures de transport sont l'ensemble des installations fixes qui sont nécessaire
d'aménager pour permettre la circulation des véhicules et plus généralement le
fonctionnement des systèmes de transport.
Les infrastructures sont généralement spécifiques d'un mode de transport, et sont
conçues pour permettre la circulation de certains types de véhicules, plus ou moins
diversifiés. Selon les modes de transport, la liaison entre véhicules et infrastructure est plus
ou moins étroite, les extrêmes étant le véhicule tout-terrain, presque totalement indépendant,
d'un côté, et la cabine de téléphérique, totalement liée à son infrastructure (câble porteur et
câble tracteur), de l'autre.
À la limite, l'infrastructure constitue la totalité du système de transport ; c'est le cas par
exemple des canalisations destinées au transport de liquides de gaz ou de produits
pulvérulents, telles que les oléoducs.
Les infrastructures sont généralement organisées en réseaux comportant des
noeuds et des liens. Ainsi le réseau ferroviaire est constitué de gares reliées entre elles par
des lignes. Les noeuds importants, comme les gares, les ports et aéroports sont aussi le point
de contact et d'échange entre deux ou plusieurs modes de transport.
Les infrastructures de transport sont un élément primordial pour garantir la liberté de
déplacement des personnes et des biens, et pour assurer le fonctionnement et le
développement de l'économie. Leur création, qui est une partie importante de l'aménagement
du territoire, nécessite le plus souvent des investissements lourds. Cela explique qu'elles
soient le plus souvent prises en charge par la puissance publique.
Au sens large, l'infrastructure de transport désigne l'ensemble et englobe tous les
éléments nécessaires à l'exploitation normale : caténaires, signalisation, postes d'aiguillage,
tour de contrôle dans les aéroports, etc., ainsi que tous les bâtiments liés à l'usage de ladite
infrastructure. Les infrastructures sont volontiers envisagées comme des leviers de
développement par les milieux économiques.

CHAP 3 : TRANSPORT ET ENVIRONNEMENT

INTRODUCTION
Les transports génèrent des effets multiples sur l'environnement : impacts locaux par le bruit,
la pollution locale de l'air, les modifications du paysage ou les risques naturels et
technologiques ; impacts locaux ou globaux sur la biodiversité et contribution globale au
changement climatique.
Maîtriser les impacts négatifs des transports, sans pour autant pénaliser les activités
socioéconomiques, est donc un enjeu majeur de politique publique.
En revanche, la maîtrise des émissions de gaz à effet de serre passe par des voies multiples :
- progrès technologique pour améliorer l'efficacité énergétique des moteurs et réduire
leurs émissions.
- conception générale des réseaux et des politiques tarifaires et règlementaires
favorisant les transports ferroviaires ou fluviaux plutôt que les transports routiers ou
aériens.
- action sur la demande de mobilité par l'intermédiaire de l'urbanisme ou de
l'organisation logistique.

I) LES IMPACTS DES TRANSPORTS SUR L'ENVIRONNEMENT


Parler des impacts des transports sur l'environnement, c'est avoir implicitement adopté
des critères d'appréciation de ce qui est supportable ou intolérable pour l'homme, bon ou
mauvais, beau ou laid. La description des impacts environnementaux n'est donc pas purement
factuelle : elle dépend de choix qui peuvent varier, même si certains impacts tels que le bruit
sont directement mesurables.
Les impacts des transports sur l’environnement peuvent être classés en :
1) Les impacts sociaux
Parmi les différents impacts sur la société, notons les écarts de mobilité entre les différentes
couches de la population, la perte de la rue, l'isolement, le stress et l'anxiété créés par la rue et
par la circulation qui s'y trouve.
- Perte de la rue.
La rue appartient à la société et aux citoyens. Avec la hausse des débits de circulation,
l'impact sur les activités a été important. Les activités qu'on retrouvait avant dans les rues
comme les marchés, les jeux d'enfants, les parades et processions, l'esprit de communauté et
de voisinage ont peu à peu disparu au profit du trafic et de l'automobile.
- Isolement.
En plus de l'isolement crée par la perte de la rue au dépens de la circulation (limitation
des interactions sociales), il y a aussi l'isolement crée par une planification non adéquate.
Ainsi, la localisation d'infrastructure suite à une planification "aveugle" a des effets sur les
communautés avoisinantes. Une mauvaise planification peut séparer les communautés par un
corridor de transport, créant même jusqu'à l'isolement de certains lieux et brisant les tissus
sociaux antérieurs.
2) Consommation d'espace (aspect esthétique).
Les transports sont de grands consommateurs d'espace quand on pense aux nombreuses
infrastructures et équipements qu'ils nécessitent. De plus, les aménagements ne sont pas
toujours faits avec un souci d'esthétisme. Ces deux impacts visuels sont négatifs parce qu'ils
peuvent détériorer la qualité de vie des populations.
3) Le Climat
Les transports sont à l’origine d’un tiers des émissions de gaz à effet de serre, responsables du
réchauffement climatique.
4) La Congestion
L'accessibilité est un élément positif, chaque individu devrait, peu importe ses moyens,
avoir accès aux mêmes services. Par contre, elle est aussi un élément négatif dû à l'utilisation
de l'automobile. Il faut préciser que l'utilisation de l'automobile présente de nombreux
avantages au niveau de la performance, du confort, de la vitesse, de la souplesse d'utilisation.
C'est pourquoi, on l'utilise de plus en plus. L'intensité des déplacements varie en fonction de
la taille des villes et de la répartition des emplois.
5) Autres Nuisances
Malgré l'apport incontestable des transports dans l'économie en général, ils ont aussi un coût
social: la pollution de l'environnement. Ils nuisent donc à la santé de la terre mais aussi aux
êtres vivants.
- Pollution de l'air.
Les émissions atmosphériques de polluants provenant de la combustion moteur, ont un effet
sur l'air mais aussi sur les pluies acides et le réchauffement du globe. En milieu urbain, 50%
de la pollution de l'air est due à la circulation.
- Bruit du trafic
Irritant majeur, le bruit peut être une nuisance qui dans certains cas peut être préoccupant pour
la santé mais surtout pour le bien être. Il peut se manifester à trois niveaux selon l'intensité des
émissions; gêne psychologique (perturbation, mécontentement), gêne fonctionnelle (trouble
les activités comme le sommeil,
le travail, la parole) ou gêne physiologique (problèmes de santé comme la fatigue, impact sur
l'audition).
- Pollution des eaux.
Les déversements accidentels ou non, de polluants ou de déchets sont sources de
contamination autant de l'eau de surface que l'eau de la nappe phréatique. Le rôle du transport
Au niveau de la pollution de l'eau est de 4%.
- Les Accidents
Les accidents sont des évènements qui surviennent à un moment donnée dans le temps à un
endroit précis dans l'espace. Ils se produisent entre véhicules et personnes qui se déplacent à
différents endroits à différents moments dans le but de satisfaire certains besoins. Les
accidents sont des évènements explicables dans le temps et l'espace.

II) SOLUTIONS AUX EFFETS NEFASTES DU TRANSPORT SUR


L’ENVIRONNEMENT

Pour remédier les effets néfastes que le transport peut causer sur l’environnement, il serais
important pour chaque Etat de mètre aux points des mesures des précautions ainsi qu’une
bonne politique sur le développement durable.
Parmi les gaz à effet de serre produits par l’homme, le dioxyde de carbone (CO2)
produit par les transports tient une place importante. Pour limiter les conséquences
désastreuses d’un changement climatique, la réduction de cette pollution automobile apparaît
comme une urgence.
Pour remédier à ce phénomène il serait important de
- mettre sur le marché des véhicules à faible consommation de carburant pour
moins polluer.

- Encourager l’utilisation des biocarburants moins polluants que les dérivées


pétrolières.

- Mise sur le marché des voitures électriques ou hybrides qui ne dégage pas de bruit,
pas d’émissions de gaz à effet de serre… La voiture électrique pourrait constituer une
solution intéressante mais elle encore du mal à convaincre. La technologie reste encore
à améliorer : les faibles performances, l’autonomie limitée et le prix excessif des
prototypes constituent pour le moment un réel frein au développement de cette
solution.

- La pile à combustible est sans conteste un espoir très séduisant. En effet, la


production d’électricité d’une pile à combustible ne donne que de la vapeur d’eau. Sur
le plan environnemental, c’est donc une solution idéale qui, de plus, ne nécessite pas
des temps de recharge très longs (contrairement aux batteries classiques).

- Plus importants encore que des solutions technologiques, certains changements de


comportements permettent de réduire les émissions de CO2. En favorisant l’utilisation
des transports en commun (bus, tramway, métro…), le covoiturage, la circulation
alternée, en donnant la priorité à des modes de transport écologiques (vélo, piétons…),
des choix politiques locaux et individuelles permettent d’agir sur les émissions de gaz
à effet de serre.

- En ce qui concerne la destructions des paysages ou disparation des rues il serait


important pour les autorités en ce qui concernes la construction des nouvelles villes et
nouvelles cités puisse réserver des espaces pour les l’agrandissement des voies futures.

CHAPITRE IV / : LA CONGESTION

INTRODUCTION
La congestion en transport est un problème universel que connaissance particulièrement
toutes les grandes agglomérations.
La congestion signifie la dégradation de la qualité de service quand le nombre d’usager
augmente. C’est un évènement qui survient lorsque la capacité d’un réseau est dépassée par la
demande.la congestion résulte des lois d’écoulement du trafic. En se limitant aux aspects
macroscopiques, nous parlerons de :

 Congestion routière
 Congestion arienne
 Congestion ferroviaire

I) CONGESTION ROUTIERE
Pour l’usager l’encombrement commence quand les camions et les voitures
doivent réduire leur vitesse à cause de la présence d’autres utilisateurs de la route. Cela
se produit lorsque les niveaux atteints de la densité du trafic, empêchent l’écoulement libre. Il
est important de noté qu’il existe deux types de congestion :
La congestion récurrente et la congestion non récurrente :
 La congestion récurrente c’est celle qui est répétitive le long de la journée.
 La congestion non récurrente est due au phénomène aléatoire causé par un accident, panne,
chantier de construction etc.
1) Manifestation et causes de la congestion routière

a) Cause Structurelles
- Augmentation du nombre de véhicules
- Phénomène d’urbanisation
- Croissance démographique
Ce sont là des causes structurelles constatées lorsque, bien évidemment, les réalisations en
termes d’infrastructures ne suivent pas.
b) Causes instantanées
- Accident (causé par la voiture, chauffeur, route, autres causes)
- Feux anormaux
- Flux lents des véhicules (réparation de la chaussée)

2) Solution à la congestion routière

La congestion représente un déséquilibre entre l’offre et la demande de circulation dans le


temps et dans l’espace donné. Elle entraine une consommation accrue de carburant, une perte
de temps, un stress.

Solutioin1
Agir sur la fiscalité pour faire payer des véhicules qui restent au centre-ville, aux heures de
pointe.
Solution 2
Accroitre la production de la route en faisant rouler deux véhicules cote à cote(autoroute)
Solution 3
IST (Intelligence Transport System)
Les systèmes de transport intelligents (STI) (en anglais Intelligent Transportation Systems
(ITS)) désignent les applications des nouvelles technologies de l'information et de la
communication au domaine des transports.
3) les nouvelles mobilités
Ce sont des méthodes dont l’objectif est d’accroitre la productivité du véhicule par une
meilleure allocation des moyens (car polling dans l’espace) ou par son usage en un maximum
de temps (car sharing).
- Covoiturage
C’est l’utilisation conjointe et organiser (à la différence de l’auto stop) d’un véhicule par un
conducteur non professionnel et un ou plusieurs passagers ; dans le but d’effectuer un trajet
commun. Cette pratique permet aux passagers d’économiser des dépenses de carburant.la
collectivité y gagne par la diminution des embouteillages, de la pollution et des accidents de
la route.
- Auto-partage
C’est l’utilisation d’un même véhicule en un maximum de temps par plusieurs
personnes différentes. (Taxi)
II) CONGESTION AERIENNE
La congestion arienne se déclenche lorsque la demande dépasse l’offre, dans Infrastructures
(pour atterrissage ou décollage par exemple), Le contrôle arien, Les routes ariennes (l’espace)
1) Cause de la congestion arienne
- L’insuffisance de la capacité du contrôle arien. Le nombre qui peut être surveillés en
même temps est limité.
- L’insuffisante des capacités aéroportuaires
- La mauvaise organisation du contrôle aérien.
III) LA CONGESTION FERROVIAIRE
La congestion ferroviaire se traduit par :
- Les décalages horaires du aux conflits dans l’affectation horaire : c’est le résultat
Principale de ce phénomène.
- Les suppléments du temps de trajet.
Cause de la congestion ferroviaire
- la différence de vitesse des trains
- la différence des arrêts.

CHAPITRE V : LA POLITIQUE DES TRANSPORT ET LA PLACE DE


L’ETAT

I) DEFINITION ET ROLE

Les politiques en matière de transport sont le résultat d'un processus de réglementation et


de contrôle des réserves de transport pour faciliter le fonctionnement efficace des aspects
économique, social et politique d'un pays (mobilité des gens et des biens) au coût social le
plus bas et en toute sécurité.

Le contrôle de l'État dans les transports permettait de protéger les consommateurs et les
employés des transports par différents moyens de contrôle:
- Sur la qualité et la sécurité des services par modes.
- Sur leur quantité, volume, accessibilité.
- Sur le prix des services.
- Sur l'entrée et les sorties des opérateurs sur le marché.

II) EXEMPLE DES POLITIQUES EN MATIERES DES TRANSPORTS

1) Politiques de tarification
En matière de tarification, les politiques concernent les infrastructures (routes, stationnement)
et les usagers (coût de déplacement-voyage). Différentes méthodes de tarification sont
utilisées (par objectifs, au coût marginal, à l'équilibre budgétaire, au coût économique
complet) allant de la moins restrictive à la plus chère. Le péage est un moyen simple de
récupérer les coûts des infrastructures auprès des usagers. Ils ont l'avantage d'être une
importante source de financement.
2) Dérèglementation des transports
C’est l'assouplissement ou la suppression des dispositions encadrant le fonctionnement d'une
activité économique notamment sur le plan des tarifs. Une réglementation serrée et
contraignante ne donne pas de meilleurs résultats. Pour être efficace une dérégulation suppose
une stratégie de transition. Il faut éviter les effets néfastes (oligopole, oublier les objectifs
d'aménagement, insécurité routière, etc.) et vaut mieux parler de concurrence intermodale
efficace.
3) Politiques publiques et concurrence des modes
Concurrence entre le rail et la, entre le train et l'avion et entre l'automobile et les transports en
commun. Les rôles de l'État sont d'ordres financiers, fiscaux et règlementaires. Il a un rôle
garant de certaines conditions fondamentales soient la liberté d'entreprendre, l'égalité des
citoyens, la sécurité des personnes et des biens, les conditions de travail, le respect de
l'environnement.

III) OBJECTIFS DE LA POLITIQUE DES TRANSPORTS

1) La durabilité écologique
Les transports ont besoin d'énergie et de sol, ils occasionnent des émissions (bruit, gaz
d'échappement). Il faut réduire à long terme ces nuisances à un niveau non nocif. La mobilité
doit causer moins de pollution atmosphérique et moins de bruit, de même que réduire ses
atteintes à l'équilibre climatique. Il est important de diminuer la consommation de sol, ainsi
que la pression sur le paysage et sur les espaces vitaux.
2) La durabilité économique
L'économie doit pouvoir s'appuyer sur une infrastructure de transports performante. La
Confédération favorise la concurrence dans les transports et la rentabilité des modes de
transport. Elle veille ainsi au maintien d'une offre de qualité et à l'utilisation optimale de
l'infrastructure.
3) La durabilité
Toutes les régions du pays et tous les groupes de population doivent pouvoir profiter de la
mobilité et faire usage des moyens de transport. Il est nécessaire pour cela de disposer d'un
service de base. Parallèlement, il faut protéger la santé et le bien-être de la population, réduire
le nombre d'accidents, prendre en considération les personnes qui n'ont pas facilement accès à
la mobilité et veiller à ce que les entreprises de transport assument leur responsabilité envers
la société.

IV) IMPLICATION DE L’ETAT COMME MOTEUR D’INVESTISSEMENT

La mobilité demeure pour l’Etat une priorité. Créateurs de liens sociaux, les transports
participent pleinement au rayonnement départemental et sont un vecteur privilégié de
l'aménagement du territoire, en permettant la desserte des principales villes et des différents
bassins d'emploi.
L’Etat aura pour rôle de répondre aux enjeux du changement climatique, tout en facilitant les
échanges, ce qui implique de :
 Développer des offres de transport plus durables et plus compétitives, à travers
l'amélioration des transports collectifs
 Organiser l'inter-modalité entre les trafics routiers, ferroviaire et aérien pour faciliter
l'accès aux réseaux de transport rapide ;
 Encourager la mutualisation des coûts de transport et le développement du fret
ferroviaire pour accroitre la compétitivité des entreprises.
 veilleur à la sécurité des usagers, à la fois en leur proposant des infrastructures sûres,
en organisant l'éducation routière et en luttant contre l'insécurité routière.

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