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FACULTE DES LETTRES LANGUES ET ARTS

DEPARTEMENT DES SCIENCES DU LANGAGE

MASTER I
HARMATTAN

DEVOIR
DE PROJET D’ELABORATION DE
L’ORTHOGRAPHE

TRAITE PAR

ADJAMAGBO KOSSIVI ELOM RAYMOND

ENSEIGNEMENT : ELABORATION DE
L’ORTHOGRAPHE
CHARGE : Prof SOKPOH
PLAN DU TRAVAIL

I-INTRODUCTION

II-PRESENTATION DE LA COMMUNITE ET DE LA LANGUE

EWE

III-PROJET D’ELABORATION DE L’ORTHOGRAPHE

IV-CONCLUSION
I-INTRODUCTION
Dans un monde en perpétuel évolution où l’excellence est recherchée, l’homme se doit de
parfaire sa communication. La langue qui est un instrument de communication, de réflexion,
un canal de transmission de connaissance et un patrimoine culturel basiquement oral se doit
d’être dotée d’un système d’écriture précise et fiable. Une langue sans système d’écriture
fiable est incapable d’assumer toutes ses fonctions d’où la nécessité d’élaborer l’orthographe
de toutes langues. Notre devoir ici sera consacré à l’élaboration d’un projet d’élaboration de
l’orthographe de l’Ewé, une langue gbe de la famille nigéro-congolaise.

II-PRESENTATION DE LA COMMUNAUTE ET DE LA LANGUE EWE


La connaissance d’un peuple ne sauraait être exacte que si elle a une profondeur historique. Il
en ressort que la reconstitution du passé d’un peuple s’avère très importante pour son
identification.
L’origine du peuple Ewe reste encore superflue. Cependant des théories ont vu le jour
illustrant la provenance du peuple. Ici nous exposerons brièvement celle d’une provenance
du site biblique de Babel et celle des antiquisants et archéologues de l’Afrique de l’Ouest.

1- Les Ewe seraient-ils venus du site biblique de Babel ?

Certaines traditions font ainsi remonter l’origine des Ewé au site biblique de Babel, voire à
Babylone en Mésopotamie, d’où ils auraient migré vers l’Égypte. . Partant de cette théorie, il
est probable que le nom Ewe, fasse référence au bassin du Nil, même si l’époque exacte de
leur départ de l’Égypte reste inconnue. Ci-dessous quelques similitudes dans les pratiques
ewe et égyptiennes.

 La croyance de la vie après la mort qui se véhicule à travers les techniques de conservation de
mort. La préparation du défunt qui s’accompagne avec des biens, des aumônes…
 La conception des divinités comme un mini pyramide
 La notion de temps et des saisons qui selon les différentes cultures et les évènements
périodiques comptent treize mois

2- La théorie des antiquisants et archéologues de l’Afrique de


l’Ouest

Des recherches des antiquisants et des archéologues de l’Afrique de l’ouest, il ressort, à


propos de l’origine des populations du golfe du Bénin, que la naissance de l’agriculture dans
la région de la confluence du Niger et de la Bénoué (région de Nok sur le plateau Bauchi)
autour du second millénaire avant J-C, a été un facteur déterminant ayant provoqué une
explosion démographique qui a alors poussé les populations, à partir de cette région, à se
disperser dans toutes les directions. Ce mouvement, qui s’accompagna de grands
défrichements liés aux besoins agricoles (avec la culture de l’igname, nourriture de base dans
la région), sera, entre autres facteurs, à l’origine de la disparition de la forêt primaire
remplacée par la savane herbeuse ou arborée de la côte du Togo et du Bénin, connue sous le
nom de « Savane du Bénin ». Les traditions yoruba confortent cette thèse en présentant Ilè-
Ifè comme le point de départ de la création du monde, à partir duquel les différents groupes
yoruba s’égaillèrent dans toutes les directions, y compris la région côtière où vivent de nos
jours les populations ajatado.

Les populations pré-yoruba qui vivaient dans cette région assimilèrent ces nouveaux-venus
dont ils adoptèrent le système politique et religieux. C’est ainsi qu’un groupe de yoruba
conduit par l’ancêtre Togbui-Agni atteignit le village d’Azanmè, sur les bords du Mono. Les
habitants du village – les autochtones Alu et les immigrés Aza – accueillirent le groupe
yoruba dont le chef prit le pouvoir. Azanmè devint Tado, berceau des Aja, siège d’un royaume
qui se développa dans cette région entre le XIIè et le XIVè siècle. Des conflits politiques liés
aux règles de dévolution du pouvoir et à l’exercice de l’autorité royale par le roi-prêtre,
Anyigbafio, éclatèrent. Le pontifie était doté de pouvoirs magico-religieux à l’instar des rois-
prêtres yoruba. Le contre-coup de cette puissance, très lourd, consigne le souverain dans un
enfermement total dans un palais, l’éloignant ainsi de la population et des affaires du
royaume, gérées par les ministres-conseillers, les Tashinon, les vrais maîtres du royaume,
auxquels incombaient non seulement l’administration du royaume, mais également le choix
des nouveaux souverains, un choix qu’ils monnayaient en intriguant à qui mieux-mieux.
Cette situation délétère fut à l’origine de bien des migrations, notamment celle des
Aladahonu vers Davie-Alada, et celle des Ewe vers Notse. Mais avant ces deux groupes,
d’autres les avaient précédés vers la côte en empruntant la voie fluviale du Mono (Les Xwla et
les Xwéda), vers l’est (les Wéménu et Ayizo), vers l’Ouest (les Néglékpé de la région
d’Afanyan). D’Alada, deux groupes émigrèrent au XVIè siècle, l’un vers le plateau d’Agbomé
en pays ayizo où naquit le royaume fon autour d’Agbomé, et l’autre vers l’estuaire du Wémé
où le royaume gun de Hogbonu vit le jour.

Le groupe ewe prit naissance à Notse. En effet, sont Ewe tous les groupes de population qui
retracent leurs origines à partir de Notse, et dont les ancêtres ont quitté cette cité durant (ou
après) le règne d’Agokoli à la fin du XVIè siècle. L’histoire des Ewe commence par
conséquent à Notse. Parler d’Oyo ou de Kétu comme lieux d’origine des Ewe est incorrect. En
effet, il faut le répéter avec force, à Oyo et Kétu, n’ont vécu que des Yoruba -ou des groupes
présumés tels-, dont les ancêtres furent à l’origine de la fondation de Tado. L’histoire des
origines des Yoruba devint celle des populations issues de la vie en symbiose de tous les
groupes ayant vécu et migré de Tado, c’est-à- dire les Ajatado, dont font partie les Ewe.
(Prof. Nicoué GAYIBOR,).

De nos jours les Ewe occupent le sud du Togo, du Benin et le sud Est du Ghana. Les
musiques et les danses(AGBADZA) font partie de leur tradition. Le plus du grand festival du
peuple est nommé“AGBOGBO-ZAN’’. Il est commémoré le premier samedi du mois de
novembre de chaque année. Il est connu sous le nom du festival d’exode. L’Ewe est une
langue Gbe du groupe Kwa et de la grande famille negro-africaine ,niger-congo. Elle est
parlée par environ 3 millions de personnes. « Autant que le permettent les sources connues,
on peut dire que la langue èʋè a été sommairement écrit pour la 1ère fois au XVIIème siècle. En
effet, le premier ouvrage connu en cette langue daterait de 1658. Il s'agit de la traduction, de
l'espagnol en èʋè, d'un catéchisme, Doctrina Christiana, réalisée par le Père capucin espagnol
Jose de Najara en collaboration avec l'ambassadeur du roi d'Allada à Madrid et signalée par
H. Labouret et P. Rivet en 1929 dans leur ouvrage Royaume d'Arda et son évangélisation au
XVIIème siècle » (Ansre 1971; Pazzi 1979 : 18).
« Le second livre en èwè signalé était un syllabaire de seize pages écrit par le Pasteur
allemand Lorenz Wolf en 1848 et dont le titre était : Wingje abale deka-Eibe Kasem (Premier
syllabaire pour les petits enfants) » (J. K. Adzomada 1975).
III-PROJET D’ELABORATION DE L’ORTHOGRAPHE DE
L’EWE

A-PRESENTATION DE L’ALPHABET DE L’EWE


Système de signes graphiques (lettres) servant à la transcription des sons (consonnes, voyelles)
d'une langue, l’alphabet est la de l’écriture d’une langue.

Afin de proposer un alphabet, voici, ci-dessous le tableau phonologique de l’Ewe

* Les phonèmes consonantiques

(Cf. Afeli 1978 réaménagé).

* Les phonèmes vocaliques.

Ils sont les mêmes que les voyelles phonétiques :

(Cf. Afeli 1978 réaménagé).


L’alphabet ewe compte au total trente(30) que voici :
a b d ɖ e ɛ f ƒ g ɣ h x i k l m n ŋ o ɔ p r s t u v ʋ w y z
A B D ƉE Ɛ F Ƒ G Ɣ H X I K L M N Ŋ OƆ P R ST U V Ʋ W Y Z

NB : En Ewe il existe des graphèmes diagraphe que sont : ts ; dz ; kp ; gb ; ny.


TS ; DZ ; KP ; GB ; NY
B-LES CATEGORIES GRAMMATICALES DE L’EWE

1- LES NOMS

Ils jouent la fonction de sujet, de complément et d’attribut. En Ewe, on forme le pluriel du


nom en ajoutant “wo’’ au singulier.

a- Le nom sujet
En général, il se place devant le verbe
Ex : Ami ᶑu nu “Ami a mangé une chose’’
Dans cette phrase “Ami ‘’est le nom sujet.
b- Le nom complément direct
Kodjo fi ga “ Kodjo a volé l’argent’’
Dans cette phrase “ga’’ est le sujet complément direct.
c- Le nom complément indirect
Me fo nu na Afi “ j’ai parlé à Afi’’
Ici le complément indirect est “Afi’’
d-Le nom attribut
Ex : Agokoli nye fia le Nↄtsie “ Agokoli est roi à Notsie’’
Ici le nom “roi’’ est attribut de Agokoli.

2 – LES ADJECTIFS
L’ewe distingue les adjectifs qualificatifs et les non qualificatifs (démonstratifs, numéraux…)
L’adjectif se place après le nom auquel il se rapporte en Ewe. Ils ont une fonction attribut,
épithète ou apposé.

a- L’adjectif qualificatif

Avu yibↄ la ku “ le chien noir est mort’’


Ici “yibↄ’’ est un adjectif qualificatif

b- L’adjectif non qualificatif

b1 l’adjectif possessif

Les adjectifs possessifs déterminent le nom (on parle aussi de déterminants possessifs), du
point de vue de l'appartenance.
Nye “ mon, ma , mes’’
Wò ,ye, yefe “ton, ta ,tes’’
Efe,yefe “son,sa ses’’
Mía, maife “ notre, nos’’
Mìa, mìafe “ votre, vos’’
Wo, yewo, wofe “ leur, leurs’’
Ex : Wò agbalè la bu “ Ton livre est perdu’’

b2-Les adjectifs démonstratifs

Sia “ ce, cette’’


Ma/ kemє“ ce…là’’
Ex : awu ma poᶑ𝑖. “ Cette chemise est sale’’
b3- Les adjectifs numéraux

Ils divisent en deux groupes : les cardinaux et les ordinaux

b3-1 les cardinaux

1 ᶑe, ᶑeka
2 eve
3 etↄ
Ex : koklo eve le kpola me

b3-2 les ordinaux

gbatↄ
evelia
mlↄetↄ
Ex : Gali gbatↄ la vivi.

3- LES PRONOMS
Un pronom est un mot grammatical qui sert le plus souvent à remplacer un
mot ou un groupe de mots déjà employé à un autre endroit du contexte. Ils
plusieurs types de pronoms.

a- Les pronoms personnels


Me “je’’
è “tu’’
é “il/elle’’
míe , mí “nous’’
mí , mìe “vous’’
e ,wó, ye “ils/elles’’
é yi lomé “ il est allé à Lomé’’

b- Les pronoms réfléchis

On les forme l’aide de “ᶑokui’’( même) et d’autres pronoms personnels.


ᶑokuinye moi-même
ᶑokuiwò toi-même
eᶑokui lui-même
míaᶑokui nous-même
mìaᶑokui vous-même
woᶑokui eux même
Ex Wó bↄbↄ wóᶑokui nae ( Ils se sont abaissés à lui)
c- Les pronoms réciproques
Ils sont formés à l’aide des adjectifs possessifs et de nↄewo

míanↄewo nous nous


mianↄewo vous vous
wónↄewo eux-même
Ex : mi lon míanↄewo (nous nous aimons)
d- Les pronoms relatifs
En ewe le pronom relaif est « si » “ que, qui, dont, lequel’’
Ex : koklonↄ si me fle la ku “la poule que j’ai acheté est morte’’
e- Les pronoms interrogatifs
Eka “lequel’’
Neni “combien’’
Ex : Ekae va ? “Lequel est venu ?’’
Nenie wo fle ?“combien a-t-il acheté ?’’

f- Les pronoms indéfinis


ᶑe “en’’
naneke “rien’’
ᶑeke “aucun’’
nane “quelque chose’’
geᶑe “beaucoup’’
ᶑe sia ᶑe “quelconque’’

Ex : nutu aᶑeke méva o “Aucun homme n’est venu’’

g- Les pronoms possessifs


tↄnye“ le mien, la mienne’’

tↄwo “ le tien, la tienne’’


étↄ “le sien, la sienne’’

míatↄ“le/la nôtre’’

miatↄ“le/la vôtre’’

wótↄ “le leur, la leur’’

Ex : é nye tↄnye “ elle est mienne’’

4- LES VERBES

On distingue en ewe les verbes d’action et d’état

Ex (verbe d’action)

Me na asi Komla (j’ai serré la main à Komla)

Ici na est un verbe d’action

Ex2 (verbe d’etat)

Xↄ sia kↄ

Ici “ kↄ’’ est un verbe d’état.

Constat : En ewe, le radical ne change jamais en conjugaison. Les personnes et le nombre ne


se reconnaissent que par le sujet ou par le pronom, les temps et modes par les flexifs. Les
temps et les modes sont très difficiles à distinguer en Ewe contrairement aux langues
européennes.

On peut répartir les verbes en deux catégories : les intransitifs et les transitifs

a- Les intransitifs

Il y a un grand nombre de verbes intransitifs, en voici quelques-uns :

Ge “tomber’’

Sí “ fuir’’

Dzo “partir’’

Ku“mourir’’

Va “venir’’

gbↄ “arriver’’

tↄ “arreter’’

b- Les transitifs

Ce sont des verbes avec un complément


Ex ;

ᶑu nu

kò nu

fo nu

wò nu

*Les temps aspect et mode de l’Ewe

Les temps, aspects et les modes sont très difficiles à distinguer en Ewe contrairement aux
langues européennes. Ainsi notre travail ne les distinguera pas

1- Le passé

Il sert à exprimer une action entièrement écoulée.

Ex : Me xↄ dↄ “j’ai travaillé’’

2- L’habituel

Il indique qu’un fai se passe habituellement. Il est exprimé en ajoutant « na » ou « a » au


verbe.

Ex : υu me ku na“ la voiture, je conduis’’

Mewↄa dↄ “je travaille’’

3- Le futur

Il indique l’action qui se fera après le moment présent. Il est formé en préfixant « a »
au verbe
Ex : Kodjo ako nu. “Kodjo rira’’

4- Le progressif

Il exprime qu’une action est en cours. Cette action peut se réaliser au futur, au présent ou
au passé

Ex : (présent)

Mele Agbleme yim “ je suis en train d’aller au champ’’

Remarque : le présent de l’indicatif se confond au présent du progressif..

C- PROPOSITION D’ORHOGRAPHE

Nous proposons l’orthographe de quelques néologismes Ewe. Le tableau ci-dessous présente


les néologismes, leurs transcriptions phonologiques et la proposition d’orthographe.
phonologie
glose orhographe

1 Couche d'ozone /lilikposiᶑiᶑiaŋdᴐƒeŋse/ lílíkposiᶑíᶑíàŋdᴐƒéŋsé

2 Corona virus /Coronadolékui/ coronadolekuí

3 Ordinateur /aᶑaŋᶑemᴐ/ aᶑaŋᶑemᴐ

4 Environnement /nusiwotrᴐdomi/ nusiwotrᴐdomi

5 Conseil des ministres /dudᴐnunↄlawoadaŋᶑobᴐbᴐ/ dudᴐnunↄlawóadaŋᶑóbᴐbᴐ


Président de
6 l'assemblée nationale /séwᴐƒéméziménola/ séwᴐƒémézimenolá

7 Source d'énergie /nusédzotsoƒé/ núsédzotsóƒé

8 Carburant /mↄmi/ mↄmi

9 Hormone de croissance /Tsitsilaménunyamétsi/ tsitsilaménúnyametsi

10 Hormone /laménunyamétsi/ laménúnyametsi

11 Système inflammatoire /Lamévévésésédzésidonu/ lamévévésesedzésidonú

12 Informaticien /aᶑaŋᶑemᴐŋtinunyala/ aᶑaŋᶑemᴐŋtínúnyálá

13 Appétit /nuᶑudzro/ núᶑudzro

14 Ulcère /dᴐmebi/ dᴐmebi

15 Charbon végétal /Atika/ Atiká


Complément
16 alimentaire /Nuᶑuᶑudedenu/ Núᶑuᶑudedenu

17 Poudre de Canel /Kaneltutu/ kaneltutu

18 Aide-mémoire /susukpéᶑéŋunu/ susukpeᶑéŋunú

19 Globule blanc /Lamétahluilévi/ lamétahluílevi

20 inflammation /ŋutilamétété/ ŋutílametete


Nous proposons une écriture collée des néologismes complexes et composés. Les tons hauts
sont marqués par l’accent « ˊ », les tons bas ne sont pas marqués.

D- RENCONTRE AVEC LES LOCUTEURS

L’orthographe n’étant pas qu’un fait linguistique, il importe de la mettre à l’épreuve à travers
des contextes d’écriture de la langue afin de vérifier sa cohérence et son efficacité.Afin de
recueillir les inadéquations et les inquiétudes, une rencontre avec les spécialistes de la
langue et les utilisateurs finaux (locuteurs) est organisée. Ci-dessous le plan du déroulement
de la rencontre.

PLA N

1- Salutations de l’assistance et mots de bienvenu


2- Présentation des néologismes et leur orthographe
3- Soumission de l’assistance alphabète à la lecture des differentes formes
orthographiques possibles (écriture collée des néologismes complexes et composés ;
écriture avec les tons ou sans tons) des néologismes.
4- Recueillir les impressions et propositions de l’assistance.
5- Remerciement et mots de fin.

IV- CONCLUSION

En définitive, écrire une langue est essentiel pour communiquer efficacement, préserver les
connaissances et l’originalité la langue elle-même et la culture. L’élaboration de l’orthographe
d’une langue s’avère donc très importante non seulement pour une communication efficace
mais aussi pour assurer sa pérennité.

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