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Chapitre 3-Les Risques

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Chapitre 3 : Les risques financiers et leurs ges5ons

Les états doivent gérer leurs risques, ce sont les agences de nota4on qui supervisent le
risque à ce7e échelle. Les risques sont liés à l’insolvabilité financière des pays et des
entreprises.

Les agences de nota,on financière : organisme qui est chargé d'évaluer le risque de non-
remboursement d'une de7e ou d'un emprunt. Elles servent à informer les marchés financiers
sur le risque de solvabilité de ceux qui dé4ennent de la de7e.

Aux États-Unis, la de2e est es,mée à 33 milles milliards, il n'y a donc plus de plafonnement
de la de7e aux USA.

Le prix de l'argent pour les États dépend de leurs notes et elles dépendent ainsi auprès des 3
agences américaines

Il existe 3 agences de nota4on :


- Moody’s : 25%
- Fitch : 15%
- Standard and Poor’s : 50%

Les critères de nota4on : on vise soit une entreprise privée soit en état

Ø État : les critères observés seront la stabilité du pays, la de7e et la situa4on financières et
la poli4que monétaire et budgétaire.
Ø Entreprise : les critères observés sont les éléments comptables, le chiffre d'affaires, la
ges4on de l'entreprise, la géographie

ISR : Inves4ssement socialement responsable


ESG : critère environnement sociétal et gouvernance

On note les entreprises en fonc4on de ces critères (normes IFRS)

Comment mesurer le risque ?

Il existe plusieurs méthodes pour a7ribuer les notes et compac4fié les risques :
- Approche sta,s,que : VIX
- Méthode historique : on regarde ce qu'il s'est passé l'an dernier et on se base sur ces
données là
- Méthode fréquence gravité : risque de non-solvabilité. On effectue une matrice pour
un risque donné pour pouvoir se visualiser. Elle prend en compte ainsi les fréquences
de risque et grâce à cela on va iden4fier si le risque est grave ou non, s’il y a
beaucoup de fréquences et beaucoup de gravité le risque est élevé.
Risk manager (ges,onnaire du risque) : a pour rôle dans la banque d’iden,fier, d’évaluer,
de quan,fier, et d’analyser tous les risques afin de les an4ciper et établir des solu4ons pour
réduire leurs impacts.
Le Risk manager u4lise comme ou4l la méthode historique et la méthode de fréquence de
gravité

VIX (vola4lity index ou indice de la peur) : est un indice qui peut être acheté et qui est calculé
à par4r de la somme de tous les CALL et les PUT du S&P 500.
Ce7e méthode permet de couvrir un minimum les risques
Si la vola4lité est de :
- 10% à 15% = vola4lité faible
- 20% à 30% = vola4lité moyenne
- >30% = Vola4lité Forte (difficilement an4cipable)
Indice de VICE : qui comprends 5 types de vice (sexe, jeux, arme, tabac et alcool).
Si le marché baisse alors l'indice monte
C’est un indice panier (indice qui représente la performance globale d’un groupe d’ac4f)

Une op4on perd 2/3 4ers de sa valeur au dernier 4ers de sa vie

Comment on note ce risque ?

Ø La Value At Risk (VaR): est un ou4l perme7ant de mesurer la pire perte attendue sur
un horizon de temps donné pour un certain niveau de confiance.
Cet outil datant des années 80 est utilisé à la base par des assureurs.

VaR= (X% ; Y jours) = Z millions

VaR= (99% ; 1jour) = 1 millions


VaR (99% ; 1jour)

indice de confiance qui permet d’évaluer avec X% et Y jour(s) combien je perds de Z millions.
Il permet donc de quan4fier mon risque si les taux augmentent, il est sûr à 99% qu’il y aura
une perte de 1 millions d’euros.

Ø La vola,lité est un indicateur qui va être calculé à par4r de la variance et de l’écart-type,


qui sera associé à un inves4ssement, un placement etc.
Plus la vola4lité est élevée plus le risque sera élevée.

Ø Vola,lité : c'est l'ampleur des varia4ons des données d'un inves4ssement au fil du


temps

Pour calculer la vola4lité il existe 2 méthodes :

- La vola,lité implicite (futur) : c'est une vola4lité qui est an4cipée, elle représente la
majeure par4e du rendement des ac4fs du portefeuille, puisque c'est un rendement
an4cipé.
- La vola,lité historique (passé) : C’est un constat des prix passés, elle peut être
calculé sur une période plus ou moins longues.
Ø Corréla,on : 2 instruments financiers sont corrélés quand ils évoluent de la même façon
> Covariance : varia4on simultanée de 2 variables par rapport à leur moyenne
respec4ve
c'est l'intensité réciproque du lien entre 2 variables (ou instrument)

Corréla4on entre les taux et le marché de l'immobilier virgule si les taux montent le cours du
marché diminue. Il y a donc une forte corréla4on

Ø Alpha : Performance du portefeuille – Performance du marché


Ø Beta : COV/VAR : c’est un indicateur de risque qui évalue le surplus du portefeuille par
rapport au risque du marché.
Plus le Béta est important plus on sera fort pour le marché

Alpha et bêta sont des ou4ls de ges4on de portefeuille et des ou4ls de ges4on de risque
pour bêta.

Courbe de Gauss centrée normée

Ce7e méthode consiste à comparer des portefeuilles en u4lisant la distribu4on


Normée : car toutes les valeurs sont bien distribuées
Méthode Monte Carlo

Ce7e méthode consiste à générer des espérances de gains en fonc4on de paramètres qui
seront modifiés à chaque simula4on
Ex : lorsque on a 1000 scénarios, cela nécessite 1000 fois plus de capacité de calcul. Donc
pour éviter cela on passe directement par ce7e méthode.
Ce7e méthode est la plus u4le lorsqu'on a besoin de précisions, elle va perme7re de couvrir
les cas excep4onnels

Bon à savoir : Crédit Suisse qui est la 2e banque de Suisse a fait faillite à la suite de sa
mauvaise ges4on.
è AT1 : c’est un produit bancaire risqué que l'on peut acheter (environ 9,25 % pour les
meilleurs)
Pour regarder si c'est risqué virgule on peut regarder l'historique virgule la covariance
entre les taux d'intérêt et le produit bancaire Et voir à quel moment les AT1 ont chuté
par rapport au taux d'intérêt

À par4r du moment où les risques existent on ne peut plus les supprimer. Il est donc
important d'iden4fier les risques et de me7re en place des couvertures à la ges4on de ces
risques ainsi que de proposer des solu4ons.
Les risques donnent des rendements. On peut les couvrir on peut les revendre mais ils ne
sont jamais supprimés (déplacés).

Il existe 2 grandes catégories de risques :


- Diversifiable (non-systémique) : c'est un risque pris par un acteur, c'est un risque
ponctuel qui est lié des décisions d'une entreprise. (Ex : changement de manager
chez total)
- Non-diversifiable (systémique) : c'est un système qui est impacté, c'est le risque que
le marché évolue dans un sens (risque poli4que)
2. les différents risques

Toutes les entreprises ne sont pas assujetes aux mêmes risques mais il existe des risques
qu'on a dans toutes les entreprises :

- Risque de pays (risque poli4que) : mesurer le risque lié à un état, les paramètres qui
vont être pris en compte sont la situa4on géopoli4que virgule sa poli4que monétaire
(ex : comment je vais chercher de l'argent), sa poli4que budgétaire (ce que je vais
faire de cet argent) , sa stabilité conjoncturelle/poli4que.
è Risque poli4que : c'est un sous risque du risque-pays : c'est le risque administra4f
d'un pays. Le risque poli4que est lié à toutes les interconnexions prises au niveau
interna4onal. Le PRSG est la société spécialisée dans le risque poli4que.

- Risque de marché : ce risque représente les sen4ments des inves4sseurs, c'est le


risque de perte résultant des varia4ons du cours ou du prix des produits financiers
qui composent un portefeuille. L'ensemble des autres produits financiers peuvent
être impactés par ce risque.
è Risque de vola4lité : elle permet de mesurer la vitesse et l'amplitude des
mouvements de marché. Comme le VIX qui est un indice de vola4lité le plus
connu et u4lisé dans le monde.

- Risque de contrepar,e : pour une banque c'est un risque que l'argent prêté ne soit
pas remboursé, ce sont les risques liés au contrat. Ce sont donc le fait que notre par4
n'honore pas les modalités du contrat

- Risque de crédit : c'est une sous-catégorie du risque de de contrepar4e, c'est un


risque supporté si la contrepar4e avec laquelle on a un contrat n'honore pas ses
obliga4ons liées au contrat. La contrepar4e est en situa4on de défaut, lorsque le
remboursement de la somme prévue par le contrat n'est pas effectué.

- Risque de liquidité : c'est le risque de ne pas pouvoir vendre ou acheter un produit


du à la rapidité et la facilité avec laquelle un ac4f est conver4ble en
monnaie/liquidité. C'est donc une rencontre fréquente entre l'offre et la demande.

- Risque de Taux : c'est le risque que les taux évoluent, soit le risque de perte de mon
portefeuille lié à un changement de taux d'intérêt. Les taux directeurs vont orienter
les autres taux.

- Risque de change : risques liés aux varia4ons des devise entre elle. Les devises
interna4onales évoluent entre elles et échangent.
Ex : Les grands comme Tesla, total ont également des risques de change étant donné
qu'elles travaillent à l'interna4onal

- Risque Technologique : c'est le risque de posséder une technologie obsolète et de


perdre en rendement. Il peut créer des avantages compé44fs.
Ex : Comment gérer le risque technologique en interne
- Risque Opéra,onnel : c'est le risque de faire face à des pertes financières qui sont
provoquées directement ou indirectement par un employé car il a commis une faute
opéra4onnelle.

- Risque Clima,que : c'est le risque d'avoir des dérèglements clima4ques, ce risque est
davantage lié à la transi4on énergé4que de l'engagement vers la finance verte ou
contre le réchauffement clima4que. Il existe des risques physiques tel qu’une
tempête ou des risques transi4on comme une économie viser sur le bas carbone en
2050.
Le risque clima4que engendre le risque météo

- Risque météo : c'est un risque de perte de profits qu'on peut a7ribuer aux varia4ons
de la météo
Le risque météo est lié aux 4 événements de grandes familles (température,
précipita4on, ensoleillement et vent)

- Risque réputa,onnel : c'est le risque qu'une réputa4on se ternisse à la suite de


mauvaises décisions, mauvais choix.
Ex : on va regarder si on finance bon comme pour le financement écolo ou mauvais
comme pour le tabac ou l'alcool.
C'est donc gérer son quo4dien, son image de marque, son ESG (environnemental
social et de gouvernance), lié à plusieurs paramètres qui pourraient poten4ellement
nuire à notre image.
Le risque réputa4onnel englobe de nombreux risques.

3. Les produits dérivés

Un produit dérivé est un instrument financier, son prix dérivé dépend du prix d'un autre
produit (le sous-jacent)

Une ac,on est un produit dont le prix est le résultat de l'offre et de la demande c'est l'ordre
d'achat divisé par la vente dont le produit est in fine

Le marché des produits dérivés est un marché dirigé par les prix, ce sont les prix des sous-
jacents qui font les prix des dérivés.
On es4me à 600 milles milliards de dollars dans les années 90 et maintenant 1 millions de
milliards

Le marché du carbone c'est l'obliga4on des entreprises à produire moins de carbone pour un
quota donné à chaque entreprise. Le quota restant de carbone peut être vendu sur le
marché. Le carbone peut donc être un sous-jacent
Ex : si le total des ac4ons monte, les prix des CALL et des PUT augmentent.

Le sous-jacent peut avoir de mul4ples formes : des ac4ons, des ma4ères premières, des
taux, des produits physiques, des instruments etc.

- Contrat à terme (Futurs, Forwards, SWAP)


Ce sont des produits fermes car on est engagé, on n'a pas d'op4ons. C'est-à-dire que
c'était obligatoire.
Ils sont garants des bons et des bons de souscrip4on

Différents types de produits :

Futurs et Forwards sont 2 produits à terme dont la différence 4ent à l'endroit où est
faite la négocia4on. Ce sont des contrats à terme, les Futurs sont négociés sur un marché
réglementé tandis que les Forwards sont négociés OTC (on se met d'accord par
téléphone)
Les Forwards sont des produits standardisés

Le SWAP est un échange de flux, on peut échanger ce qu'on veut, il suffit de se me7re
d'accord.

Il existe différents types de SWAP :

Swap de devises : c'est l'échange de devises (échange de dollars avec des euros par
exemple). C'est donc un échange de besoins inverses (ex : j'ai besoin d'euros virgule
tu as besoin de dollars virgule on fait un échange donc une opéra4on sans frais de
transac4on)

Swap de change : c'est un swap de devises qui s'étale dans le temps, il est à terme

CDS (credit default swap) : c'est un produit de couverture perme7ant de couvrir le


portefeuille sur le défaut de crédit d'une entreprise. Elle oblige à celui qui s'est
ende7é de libérer des fonds pour rendre l'argent, elle couvre contre la faillite.
Les ETF
Ce sont des fonds négociables en bourse aussi appelé des trackers
C'est un produit qui permet aux banques de collecter de l'argent et cet argent peut
être inves4 comme bon leur semble (je peux y me7re ce que je veux)
On peut créer les fonds que l'on souhaite
C'est un produit dérivé car je peux vraiment me7re mes produits dedans ou juste dire
que je l'ai fait.

Les FNB (fonds négociés en bourse) donc les ETF op4ons futur et forwards swap
Solu4on de placement simple et peu coûteuse. On FNB peut donner accès à un
portefeuille diversifié d'ac4ons où d'obliga4ons au moyen d'un seul placement qui se
négocie comme une ac4on

Les Op5ons
C'est le droit mais non l'obliga4on d'acheter le sous-jacent à une date définie à
l'avance et un prix fixe à l'avance.
Le sous-jacent peut être n'importe quoi (ex : la météo)

è CALL : droit d'acheter un sous-jacent à une de7e définie à l'avance et un prix


défini à l'avance
è PUT : droit de vendre
On prend au maximum le prix de l'op4on à laquelle on l'a achetée (prime)
è Long call
è Short Call: on vend une op4on call

Il existe plusieurs types d’op4on :

Ø Op,on Européenne :

Photo effectuée que à la

Ø Op,on Américaine :
Photo effectuée très fréquemment

Ø Op,on MID-Atlan,que :
C’est un mélange des 2 op4ons dont les caractéris4ques sont définies de façon très précise et
avec beaucoup de flexibilité.

Parmi ces différents produits, Il existe 4 produits dérivés financiers :

CDS (credit default swap) : c’est un produit de couverture (parlé précédemment)

CFD (contrat for difference):


Produit le plus spécula4f, c'est un contrat sur la différence du moment où l'on vend et du
moment où l'on achète. C'est un pari sur la hausse ou la baisse, il n'y a pas de décaissement.
Appel de marge : (apport de cash) : appel de marge avec une somme ini4al et tous les
contrats souscrit vont prendre un pourcentage du contrat.
Avec tous les produits dérivés, lorsqu'il y a un effet de levier, on introduit des CFD.
Ex : achat et vente d’ac4on, j'achète à 10 et je parie sur la différence, si le contrat passe à 12
on récupère 2.
Cela est très spécula4f, avec 1€ on pouvait contracter comme si on en avait 400€a l'époque
Maintenant c'est très encadré maximum 20%

Produits structurés :
C'est un produit qui est structuré de plusieurs autres produits (min 2).
On les structure et on les crée, c'est la possibilité de pouvoir créer un produit financier sur
mesure soit un produit qui va répondre à un besoin x pour un/des client(s)
BRC (produit à barrière conver4ble) : est le produit structuré le plus connu
Les inves4ssements étaient de 15 000 $ et maintenant ils sont de 5000$ à 10000$ ; la
rentabilité est faite avec la différence des taux avec un surplus d'inves4ssement
Ex : inves4ssement de 20% ; mets à disposi4ons des 4tres (TESLA etc.) on met des BRC
niveau qui va définir comment on va être remboursée. Il délivre les pourcentages (8%) tant
que pas de problème. On se met sur une base 100% on regarde l’évolu4on tant que pas un
produit qui touche la barrière qui va être pricer par rapport aux coupons qu’on délivre alors
si sa touche la barrière il arête de délivrer les 8%. Il va donc délivrer que 70 % des 4tres.

Avoirs Digitaux :
Il fait l'objet d'une vraie classe d'ac4fs définie par des régulateurs et des banques.
Objec4f : on ne veut plus de cash seulement du numérique car c'est bon pour la traçabilité et
100 pour-cent de l'argent sera digital.
Un avoir digital est donc un instrument financier accroché à une blockchain. C'est un ac4f
non palpable et qui donne le droit à quelque chose (ex : dividendes, intérêts)
C'est un token qui donne un droit

Rappel :

Assurance : une assurance est le fait de se couvrir contre le risque si le taux monte alors on
est couvert

risque de défauts : c'est un risque de non remboursement de la contrepar4e

PIGS : Portugal, Italie, Grèce et Espagne


ce sont les pays impactés par la varia4on de taux, c'est Goldman Sachs qui les a aidés

Comment quan,fier la sensibilité ?

- Sensibilité des produits dérivés : Les GRECS, on va associer un type d’impact, une
sensibilité précise à un type donné
On a déjà vu alpha et beta pour évaluer la performance d’un portefeuille

Alpha = performance du portefeuille – performance du marché

LETTRE GRECS
(5 dernière colonne du book) surement au par4el

2 grecs qui nous perme7ent de calculer la performance du portefeuille alpha est absolue et
beta c’est la performance rela4ve de surcroit en performance.

5 sensibilités

Delta et gamma fonc4onnent ensemble, ils sont liés aux changements appliqués au prix du
sous-jacent. Ajuster la
DELTA dérivée première : c’est l’élas4cité ça peut être plus ou moins élas4que selon le sous-
jacent. C’est la sensibilité au niveau du prix. C’est la varia4on du cours lorsqu’il y a une
varia4on du prix et du sous-jacent. C’est la vitesse de l’évolu4on du prix de mon op4on, donc
la dérivée première
Delta 1 = pour chaque ac4on, je vais avoir une op4on
Delta one est le plus u4lisée au sein des DESK
Et pour savoir s’il y a vitesse on va dériver 2 fois donc gamma.

GAMMA dérivée seconde : c’est l’accéléra4on

Delta
Gamma

Hors la monnaie Dans la monnaie

A la monnaie

Vega : sensibilité d’une op4on à la vola4lité implicite (quand le marché bouge beaucoup mon
op4on bouge beaucoup aussi)
Rho : sensibilité du cout d’op4on par rapport aux taux d’intérêt (sans risque).
Thêta : sensibilité d’une op4on temps, plus j’ai du temps qu’il reste de mon op4on et plus
l’échéance est longue ; plus J’ai la valeur temps.
Il ne fait que baisser

Est-ce que notre op4on sur totale évolue t’elle vite ?

La dura,on : sensibilité au taux

LES OPTIONS

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