Nothing Special   »   [go: up one dir, main page]

Livrable2.bouchra TARAJDALTE

Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 49

Réorganisation et amélioration du

magasin cale de la société Anza transit

Anza transit

Génie industriel

Bouchra tarajdalte

M.KIBBOU EL Mehdi

M.OMAR Ouasfi
REMERCIEMENTS

Dans cette partie, l’étudiant est amené à nommer et remercier toutes les personnes qui ont
contribué au bon déroulement de son stage.

Les remerciements du rapport de stage sont généralement destinés aux encadrants et aux
personnes ayant joué un rôle important dans la réussite du stage.

Citer le nom, le poste de chaque personne et la justification de du remerciement.

Le faire dans l’ordre hiérarchique.


TABLE DES MATIERES
INTRODUCTION GENERALE .........................................................................................................6
CHAPITRE 1 : Contexte du stage ....................................................................................................9
I- INTRODUCTION................................................................................................................. 10
II- Présentation de l’entreprise ................................................................................................ 10
2-1- Activités ........................................................................................................................ 16
2-2- Organisation .................................................................... Error! Bookmark not defined.
2-3- Systèmes de production/service........................................ Error! Bookmark not defined.
III- THEMATIQUE ................................................................... Error! Bookmark not defined.
IV- CONCLUSION ................................................................... Error! Bookmark not defined.
CHAPITRE 2 : Etude bibliographique .......................................................................................... 20
I- INTRODUCTION................................................................... Error! Bookmark not defined.
II- OUTILS ET METHODES ................................................... Error! Bookmark not defined.
III- CONCLUSION ................................................................................................................. 32
CHAPITRE 3 : Développement & Analyse ................................................................................... 33
I- INTRODUCTION................................................................................................................. 34
II- DESCRIPTION ET ANALYSE DE L’EXISTANT ............. Error! Bookmark not defined.
2-1- Description de l’existant .................................................. Error! Bookmark not defined.
2-2- Analyse et résultats .......................................................... Error! Bookmark not defined.
III- DEVELOPPEMENT ........................................................... Error! Bookmark not defined.
CONCLUSION GENERALE ........................................................................................................... 48
BIBLIOGRAPHIE .............................................................................. Error! Bookmark not defined.
ANNEXES ....................................................................................................................................... 49

3
TABLE DES ILLUSTRATIONS

Liste des figures

Figure1 : Légende de la figure 1. ................................................................................................... page


Figure2 : Légende de la figure 2 .................................................................................................... page

Liste des tableaux

Tableau1 : Légende du tableau 1 ................................................................................................... page


Tableau2 : Légende du tableau 2 ................................................................................................... page

4
5
Introduction générale

INTRODUCTION GENERALE

L’introduction permet de présenter l’idée directrice au travers de deux/trois idées maîtresses


développées dans le document. Elle doit contenir :

Paragraphe 1 : Annonce du stage (durée, lieu et secteur économique)

Dans ce premier paragraphe, l’étudiant est amené à :

· Décrire le secteur économique de l’entreprise d’accueil ainsi que la durée et le lieu du


stage ;
· Décrire les enseignements sur le secteur, le métier, les compétences découvertes,
développées au cours du stage ;

Paragraphe 2 : Bref descriptif de l’entreprise et du déroulement du stage

Dans ce deuxième paragraphe, l’étudiant doit :c

6
Introduction générale

7
Introduction générale

· Décrire brièvement les départements où le stage a été effectué ;


· Définir le poste ou mission du maître de stage ;

Paragraphe 3 : Sujet de stage

Dans le troisième paragraphe, il faut :

· Décrire brièvement le sujet de stage ;


· Décrire brièvement la méthodologie et outils préconisés pour développer le sujet ;

Paragraphe 4 : La description des composantes du rapport

Ce dernier paragraphe a pour but de décrire les différentes parties/chapitres du rapport.

Remarque : Les paragraphes sont généralement écrits en Times New Roman, taille 12, avec
alignement dit justifié.

8
CHAPITRE 1 :

Contexte du stage

9
Chapitre 1: Contexte du stage

I. INTRODUCTION
Anza Transit, spécialisée dans l'import-export, excelle en pêche hauturière grâce à l'activité du port
d'Agadir et à l'essor des exportations de produits de la mer. Elle concentre ses ressources pour
répondre à la demande croissante de transport fiable des produits de la pêche.

Dans cette partie, nous allons voir une petite présentation de l’entreprise d’accueil, en citant
son historique, ses activités, organigrammes, les principaux types de transitaires.

II. PRESENTATION DE L’ENVIRONNEMENT DU PROJET


a. Définition de transitaire :

Selon l'article 67.2°b1 du code des douanes marocain, les transitaires en douane sont des
entités, qu'elles soient physiques ou morales, qui ont pour activité principale ou secondaire
d'accomplir les formalités de douane pour le compte d'autrui, quel que soit le mandat qui leur
est confié. Pour exercer cette profession, un agrément personnel est nécessaire, conformément
à l'article 68-1° du code. Si une société exerce cette activité, elle doit obtenir un agrément
pour la société elle-même ainsi que pour toutes les personnes autorisées à déclarer en son
nom, comme stipulé à l'article 68-4° du code.

Les commissionnaires en douane sont des personnes ou des entreprises officiellement agréées
par le ministre des Finances, ou une autorité désignée par celui-ci, pour effectuer
professionnellement les formalités douanières pour le compte d'autrui. Cette autorisation repose
sur un cahier des charges établi par l'administration en consultation avec le Groupement
professionnel.

b. Les principaux types de transitaires :

En matière de responsabilité juridique, les transitaires peuvent être distingués selon deux

Transitaire mandataire :

Le transitaire mandataire agit en tant qu'agent pour faciliter la transition entre deux modes
de transport. Il opère conformément aux instructions de son client, tout en restant responsable
du stockage, de la réexpédition et du dédouanement des marchandises. Contrairement au
transitaire commissionnaire, il ne choisit pas les sous-traitants et exécute uniquement les ordres
de son mandant. Sa responsabilité est limitée à ses propres actions, étant tenu à une obligation
de moyens. Les professions relevant de ce statut incluent l'agent de fret aérien, le transitaire
portuaire, l'agent maritime, l'agent de ligne et le consignataire de navire.

Transitaire commissionnaire :

Le transitaire commissionnaire est un professionnel du commerce qui organise le transport


de marchandises pour le compte de l'expéditeur. Il travaille de manière autonome et coordonne
l'ensemble du processus logistique, en engageant des sous-traitants de son choix pour effectuer

10
Chapitre 1: Contexte du stage

le transport. Sa responsabilité principale est de garantir que les marchandises sont livrées à
destination dans les délais convenus et en bon état. Cette profession est réglementée et implique
une obligation de résultats. Les catégories de transitaire commissionnaire comprennent les
affréteurs routiers, les groupes aériens ou maritimes, et les organisateurs de transports
multimodaux.

Selon les activités :

Commissionnaire de transport.

Organisateur de transports multimodaux Assure la gestion complète du transport en


intégrant une gamme variée de moyens de
déplacement.

Mandataire de transport.
Facilite le transfert de marchandises entre deux
Transitaire portuaire ou aéroportuaire modes de transport différents, impliquant un
changement de véhicule ou de moyen de
transport.
Mandataire de transport.
A le pouvoir d'obtenir l'autorisation des
compagnies aériennes pour créer et valider les
documents de transport aérien.
Groupeur Nécessite une accréditation des organisations
internationales qui supervisent les activités de
transport aérien, comme l'IATA (Association
internationale du transport aérien), pour mener à
bien les opérations.
Commissionnaire de transport.
Établit la connexion entre les entreprises de
Affréteur routier transport routier et les marchandises à déplacer,
étant donné que les transporteurs routiers,
souvent de petites entreprises, ont rarement le
temps de faire du marketing actif.

- Mandataire de transport.
Commissionnaire en douane Prend en charge les formalités douanières en
remplacement des exportateurs et importateurs.
Tableau 1 : les différentes activités de l'entreprise

La rémunération du transitaire :

Le transitaire avance les fonds pour le compte de son mandant et reçoit une compensation
pour ses services, incluant :
 La rémunération pour son mandat.
 Le remboursement des dépenses engagées pendant le transit pour le compte du mandant.

11
Chapitre 1: Contexte du stage

 Le remboursement des amendes douanières potentielles encourues par le mandant en


raison de déclarations incorrectes, et payées par le transitaire.
c. Les rôles du transitaire :

Effectivement, les rôles du transitaire peuvent varier selon les besoins et les exigences
spécifiques de chaque situation, il peut négocier avec les transporteurs afin d’obtenir les
meilleurs prix (il est alors mandataire), il peut également réunir les envois de marchandises en
provenance d’un ou plusieurs expéditeurs en partageant les frais de transports entre les clients
(le transitaire est alors groupeur). Donc ces rôles se manifestent dans trois catégories un rôle
spécifique, un rôle principal et enfin un rôle accessoire.

Fonction spécifique du transitaire : assurer la rupture de charge :

Consiste à assurer la rupture de charge, c'est-à-dire à garantir la continuité du transport des


marchandises entre deux modes de transport distincts. Son rôle est de veiller aux intérêts du
propriétaire de la marchandise pendant cette transition. Toutefois, il est important de noter que
la personne mandatée pour assurer le transit d'une marchandise peut également avoir d'autres
fonctions, telles que la consignation, le transport ou la manutention. Ces fonctions ont des
régimes juridiques distincts qui ne peuvent pas être appliqués de la même manière.

Il convient donc de distinguer la fonction de transitaire des autres, même si la même


entreprise peut les réaliser sous des casquettes différentes :

 Le transitaire n'est pas un voiturier, car il ne se charge pas directement du transport


physique de la marchandise.
 Il n'est pas non plus un commissionnaire de transport, car il n'assume pas l'engagement
d'organiser un déplacement spécifique de la marchandise. Les obligations du
transitaire prennent fin une fois qu'il a remis la marchandise au voiturier.
En résumé, le transitaire joue un rôle crucial dans la chaîne logistique en assurant la
transition fluide des marchandises entre différents modes de transport, mais ses
responsabilités et son domaine d'activité sont distincts de ceux d'un voiturier ou d'un
commissionnaire de transport.
Rôle principal du transitaire : effectuer les opérations juridiques intermédiaires

Le rôle du transitaire implique de gérer toutes les opérations juridiques nécessaires dès qu'il
prend en charge la marchandise du premier transporteur :

 Il reconnaît la marchandise pour vérifier son état et son contenu.


 En cas d'avarie ou de dommage, il prend des réserves pour protéger les intérêts de son
mandant.
 Il signe le bon de livraison pour attester de la réception de la marchandise.
 Au nom de son mandant, il conclut un contrat pour assurer le transport avec le second
transporteur.

12
Chapitre 1: Contexte du stage

 Pendant ce temps, il effectue les formalités douanières nécessaires et entrepose la


marchandise si nécessaire.
 Sur demande de son mandant, il peut également prendre des dispositions pour
souscrire une assurance adéquate pour couvrir les risques liés au transport de la
marchandise.
Rôle accessoire du transitaire : Agir physiquement sur la marchandise
Le transitaire peut également être chargé de missions complémentaires telles que
l'entreposage, le gardiennage, l'emballage des marchandises en attente du transport suivant,
ainsi que le groupage des marchandises en fonction de leur destination. Ces tâches s'ajoutent
à ses responsabilités principales et visent à fournir un service logistique complet à ses
clients, au-delà de la simple coordination du transport
Les conditions exigées à un agrément de transitaire agréé en douane :
Pour obtenir cet agrément, les conditions suivantes doivent être remplies :
 Jouir de ses droits civiques.
 Être titulaire d'une licence ou d'un diplôme équivalent reconnu.
 Justifier d'au moins trois années d'expérience professionnelle dans le domaine douanier.
 Réussir un test d'aptitude professionnelle organisé par l'administration, selon les
conditions et modalités définies par arrêté du ministre chargé des finances.
En somme, l'agrément de transitaire en douane est une exigence légale visant à garantir
que seules les personnes qualifiées et compétentes peuvent effectuer des opérations
douanières pour le compte d’autrui.
Les conditions d’accès à la profession

Le projet de loi propose de renforcer les conditions d'accès à la profession de


commissionnaire en douane pour garantir leur intégrité, compétence et
professionnalisme. En plus des exigences actuelles telles que le diplôme de licence,
l'expérience professionnelle de trois ans, la jouissance des droits civils et le test
d'aptitude professionnelle, le projet de loi propose d'ajouter les conditions suivantes :
 Nationalité marocaine, sous réserve de réciprocité avec d'autres pays.
 Justification de l'expérience professionnelle auprès d'un commissionnaire en
douane.
 Absence d'antécédents contentieux, disciplinaires et judiciaires.
 Incompatibilité avec certaines activités commerciales et salariales.
Ces mesures visent à garantir que seuls des individus qualifiés, dignes de confiance et
compétents exercent cette profession cruciale pour la gestion des flux commerciaux
internationaux.

13
Chapitre 1: Contexte du stage

d. Les formalités accomplies par le commissionnaire en douane:

Conduite des marchandises :

Lorsque des marchandises entrent sur le territoire douanier de la Communauté, même en


transit, elles sont placées sous surveillance douanière jusqu'à ce que leur statut douanier soit
déterminé. Les marchandises non communautaires restent sous surveillance jusqu'à ce qu'elles
soient affectées à une destination douanière spécifique. Les transitaires sont responsables de
conduire les marchandises sans délai vers les lieux désignés par les autorités douanières. Pour
les importations par voie maritime ou aérienne, les marchandises doivent être répertoriées dans
un document appelé "manifeste", que le capitaine doit tenir à disposition des Douanes pour
inspection.

Présentation en douane des marchandises

À leur arrivée aux bureaux de douane ou à d'autres sites désignés, les marchandises doivent
être officiellement présentées en douane par la personne responsable de leur introduction sur le
territoire douanier de la Communauté. Cette présentation consiste à informer les autorités
douanières de l'arrivée des marchandises. Cependant, cette obligation ne s'applique pas aux
marchandises transportées par des voyageurs ni à celles en transit à travers le territoire d'un État
membre. Une fois présentées en douane, les marchandises peuvent être soumises à des examens
ou à des prélèvements d'échantillons, sous réserve d'une autorisation préalable des services
douaniers. Ces mesures visent à faciliter leur affectation ultérieure à leur destination douanière
définitive

Mise en douane des marchandises

La mise en douane vise à permettre aux services douaniers d'identifier, de prendre en


charge et de surveiller les marchandises jusqu'à ce que les formalités nécessaires à leur
enlèvement soient accomplies. Elle implique le dépôt d'une déclaration appelée "déclaration
sommaire (DS)" par la personne qui a présenté les marchandises en douane.
Cette déclaration doit être déposée dès que les formalités de présentation sont accomplies, bien
que les services douaniers puissent accorder un délai supplémentaire expirant au plus tard le premier
jour ouvrable suivant la présentation des marchandises. Dans certains cas, les autorités douanières
peuvent ne pas exiger le dépôt d'une déclaration sommaire si les marchandises ont déjà été
affectées à une destination douanière définitive avant l'expiration du délai fixé pour le dépôt de
cette déclaration.

La déclaration sommaire doit être établie sur un formulaire spécifique, bien que les
autorités douanières puissent accepter l'utilisation d'un autre document commercial ou
administratif contenant les informations nécessaires à l'identification des marchandises.

14
Chapitre 1: Contexte du stage

II. PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE :


Certaines entreprises préfèrent externaliser leurs formalités douanières et leurs
opérations de transport à des spécialistes. C'est là qu'interviennent les transitaires. Un transitaire
est une personne physique ou morale spécialisée dans l'accomplissement des formalités
douanières, notamment la déclaration en détail des marchandises, pour le compte d'autrui.
Monsieur Omar Ouasfi, en tant que Directeur Général et propriétaire de la société Anza
Transit, est largement reconnu au Maroc pour son expertise dans le domaine du transit. Sa
réputation est fondée sur son expérience professionnelle et sa compétence dans ce métier.
ANZA Transit opère dans divers secteurs, notamment l'import-export, mais s'est
spécialisé dans la pêche hauturière en raison de l'activité soutenue du port d'Agadir et de l'essor
des exportations de produits de la pêche. Cette spécialisation a conduit la société à acquérir une
vaste expérience dans le transport maritime, qui est privilégié pour sa fiabilité par rapport au
transport aérien.
La société a établi des partenariats professionnels avec des transitaires à Casablanca et
à Tanger, favorisant ainsi un échange de services mutuels. De plus, Anza Transit a récemment
changé sa forme juridique pour devenir une SARL, après avoir été une SA pendant les six
premières années de son existence.
Dans le marché des transitaires d'Agadir composé de 15 sociétés, Anza Transit occupe
une position de leader, faisant partie des 8 transitaires agréés de la ville. La société détient une
part de marché importante, représentant plus de 10% du marché total, ce qui témoigne de son
succès rapide et efficace.
Ce succès est largement attribué à l'expérience et au leadership de Monsieur Omar
Ouasfi, qui a su tirer parti de son expertise pour atteindre ses objectifs de rentabilité et rivaliser
voire surpasser les plus grands transitaires de la région, tels que Recoing & Jackety, Somatime
et Souss-Transit.
Ce tableau représente la fiche signalétique d’Anza TRANSIT :

Logo

Raison sociale Anza Transit

Date de création 1992

Statut juridique Société à Responsabilité Limitée

Siège social Approvisionnements Modernes,1er étage,


Ancien Port De peche-Agadir

Capital social 400 000 DHS

15
Chapitre 1: Contexte du stage

Président du Directoire M.OUASFI Omar

Secteur d’activité Transitaire

Chiffre d’affaires

Effectif 30 Collaborateurs

Tableau 2 : Fiche signalétique

 Organigramme d’Anza TRANSIT :

Figure 1 : Organigramme

 Activités et service

Directeur générale :
Au sommet de la hiérarchie se trouve M. Omar OUASFI, assumant le double rôle de
Président et Directeur Général. Sous sa direction éclairée, la Direction Générale supervise de
près le processus complet de gestion des dossiers clients de l'entreprise. Cette équipe dédiée
prend en charge l'intégralité des besoins des clients, qu'ils soient importateurs ou exportateurs,
en veillant à ce que chaque dossier soit traité avec le plus grand soin et professionnalisme. Grâce
à son leadership visionnaire, la Direction Générale joue un rôle central dans le maintien des
normes de qualité élevées et dans la satisfaction continue des clients, contribuant ainsi à la
réputation solide et à la croissance durable de l'entreprise.

16
Chapitre 1: Contexte du stage

 Service import :

Dans notre entreprise de transit, le service d'importation est dirigé par un chef d'équipe
expérimenté et comprend une équipe comprenant une secrétaire et cinq commis en douane.
Ensemble, ils assurent la gestion efficace de toutes les opérations d'importation, notamment la
préparation des déclarations en douane, la coordination des formalités avec les autorités
portuaires et la communication avec les clients importateurs. Cette équipe hautement qualifiée
garantit un processus d'importation fluide et conforme, assurant la satisfaction des clients à
chaque étape.

 Service export :

Le service d'export dans notre entreprise de transit se charge de tous les aspects
nécessaires pour que les marchandises atteignent leurs destinations internationales en toute
sécurité et conformément aux réglementations en vigueur. Cela inclut la gestion des formalités
douanières, la planification logistique, le maintien de la communication avec nos clients, la
sécurisation des assurances et la gestion des risques potentiels. En résumé, notre équipe
d'exportation s'engage à garantir un transit sans heurts et conforme pour toutes les expéditions
sortantes

 Service comptabilité :

Au sein du service comptabilité, un comptable et un informaticien travaillent en étroite


collaboration pour assurer la gestion précise des comptes et la transmission efficace des factures
aux autorités compétentes. Ensemble, ils veillent à la tenue régulière des registres comptables,
garantissant ainsi la conformité aux normes fiscales et la transparence dans la gestion financière
de l'entreprise.

 Service Transit :

Le service de transit d'une entreprise transitaire s'occupe de tout ce qui concerne le


déplacement des marchandises d'un point A à un point B de manière efficace et sans accroc.
Cela inclut la gestion des documents douaniers, la planification des itinéraires de transport, le
suivi des envois, la résolution des problèmes éventuels, et le maintien de bonnes relations avec
les clients. En somme, c'est le moteur qui fait avancer le processus de livraison, en s'assurant
que tout se déroule sans heurts et dans les délais prévus.

 Service Transport :

Forte de 30 années d’expérience, ANZA TRANSIT s’engage auprès de ses clients à


proposer des solutions globales et fiables intégrées de transport international et national, dans
les meilleurs délais, au meilleur coût, et avec des conditions garanties de sécurité et de
confidentialité.

 Transport maritime

En bref, le transport maritime est un élément essentiel du commerce mondial, permettant


le déplacement efficace des marchandises à travers les océans, les mers et les voies navigables.
17
Chapitre 1: Contexte du stage

Il implique une variété de navires adaptés à différents types de cargaisons et utilise des routes
commerciales bien établies entre les principaux ports du monde. Les infrastructures portuaires
jouent un rôle crucial dans le chargement et le déchargement des marchandises. Malgré les défis
tels que les risques météorologiques et la sécurité, le transport maritime offre des avantages en
termes de capacité, de coût et d'empreinte environnementale. Il reste un pilier fondamental du
commerce international, soutenant la croissance économique mondiale.

Figure 2 : Transport maritime

 Transport routier national et international :

Dans le domaine du transit, le transport national implique le déplacement des marchandises


à l'intérieur des frontières nationales, généralement par des camions ou des trains. Le transport
international concerne le mouvement des marchandises entre différents pays, utilisant divers
modes de transport comme le maritime, l'aérien et le routier. Ensemble, ils facilitent le passage
fluide des marchandises à travers les frontières, en respectant les réglementations douanières
nationales et internationales, et en garantissant la fluidité des échanges commerciaux mondiaux

Figure 3 : Transport routier

 Service entreposage

Nous rationalisons nos produits de transport avec l’entreposage pour vous aider à
satisfaire vos exigences en matière de stockage au cours du transit de façon fiable, efficace et
18
Chapitre 1: Contexte du stage

rentable. ANZA transit propose de stocker et gérer les marchandises pour le compte de leurs
clients, soit dans un entrepôt libre ou sous douane. ANZA TRANSIT veille à ce que ses
entrepôts répondent aux normes de qualité et de sécurité internationales les plus exigeantes.

Figure 4 : Service entreposage

 Service dédouanement

Dans une entreprise de transitaire, le service de dédouanement est chargé de préparer et


soumettre les documents nécessaires aux autorités douanières pour le dédouanement des
marchandises. Il assure la conformité réglementaire, coordonne les procédures d'inspection,
gère les taxes et droits de douane, et communique avec les clients pour les tenir informés de
l'état de leurs expéditions.

Figure 5 : Service dédouanement

III. Conclusion :
Dans la conclusion de ce chapitre, l’étudiant doit mettre en évidence l’intérêt de l’étude de
la thématique étudiée.

Cette partie doit être considérée comme l'ouverture vers le prochain chapitre.

19
CHAPITRE 2 :
Analyse & diagnostique

20
Chapitre 2 : Analyse & diagnostique

I. Introduction :
Pour introduire le deuxième chapitre de notre rapport, on revient vers le sujet et la
problématique de notre travail. Ce travail est ciblé à optimiser les flux et les procédures au sein du
département logistique pour bien gérer la supply Chain d’une façon optimale et efficace. Pour ce
faire nous avons recours à plusieurs méthodes d'analyse et de qualité, en commençant par la méthode
QQOQCP pour élaborer un plan d'actions structuré. Nous mettons en évidence l'importance de cette
démarche en soulignant l'analyse de l'existant et la définition précise de la problématique.

Notre choix de nous pencher sur la gestion de la chaîne logistique n'est pas fortuit, mais
résulte d'études préliminaires approfondies. Nous avons utilisé la méthode 5M pour
identifier les défaillances et les causes racines liées à notre problématique spécifique. Cette
approche nous permet de cibler nos efforts et de proposer des améliorations ciblées afin
d'optimiser les performances de notre Supply Chain.
 ANALYSE DE L’EXISTANT

Les procédures et les documents nécessaires à une déclaration :


Pour importer des biens dans un territoire donné, il faut passer par un grand nombre
d’étapes et l’une d’elles est : la préparation minutieuse des documents. Pour les
entrepreneurs cette étape est l’une des plus difficiles (si ce n’est la plus difficile) car la liste
des documents requis pour l’importation comme pour l’exportation est assez longue et
demande une parfaite organisation.
Afin de mener à bien une opération d’importation il est très important de bien s’informer sur
les documents nécessaires pour l’importation et les compléter avec une très grande attention.
La première section de ce chapitre sera consacrée à déterminer les procédures de
dédouanement des marchandises ; et la seconde pour les documents de dédouanements.
Les Procédures de dédouanement des marchandises :

Circuit de dédouanement de Marchandises


La conduite en douane :
La conduite en douane consiste à acheminer directement les marchandises importées au
premier bureau ou poste de douane d’entrée pour y être déclarées.
Dès réception de l’avis d’arrivée : il y a retrait, par le destinataire des marchandises, des
documents y afférents reçus (voie bancaire/voie postale / cartable du bord ou pli cartable)
dont notamment :
 Le titre de transport (connaissement original pour les marchandises transportées
par la voie maritime).
 Les Factures.
 Tous documents prévus par le contrat commercial (certificat d’origine, liste de
colisage,)

21
Chapitre 2 : Analyse & diagnostique

 À l’arrivée du navire transporteur des marchandises : Le Transporteur achemine


directement les marchandises vers un bureau de douane géographiquement et
techniquement compétent pour y être déclarées.
 A quai, les marchandises sont pointées par les agents douaniers, au vu d’un
manifeste des marchandises.
 Après débarquement, les marchandises sont prises en charge par le dépositaire
(MARSA
 MAROC) jusqu'à leur remise au porteur du connaissement. - Depuis le
déchargement jusqu'à
 La prise en charge, le transporteur est considéré comme responsable des
marchandises.
La mise en douane : Déclaration Sommaire (DS)
La conduite en douane est assortie d'une autre formalité impérative : la mise en
douane qui se matérialise par la présentation de la marchandise transportée et le dépôt d'un
document de transport entre les mains de l'administration des douanes
Ce délai de 24 heures ne court pas les dimanches et les jours fériés. Lorsqu'il expire pendant
la fermeture du bureau, on admet que la déclaration sommaire soit déposée dès la
réouverture. La formalité de mise en douane vise essentiellement à prévenir le débarquement
frauduleux des colis non repris sur la déclaration sommaire.
La mise des marchandises entre les mains de la douane sert de base à divers contrôles
dévolus à cette dernière et permet aux agents de douanes de procéder à une première
vérification de la cargaison.
Le consignataire ou le transporteur remet un « bon à délivrer » au porteur du
connaissement signé après paiement du fret et frais connexes. Dans le cas des groupages il
reçoit un « Contre-Bon » couvrant les seules marchandises dont il est destinataire et qui est
également revêtu du visa « Bon à délivrer ».
La déclaration sommaire est constituée par une partie du manifeste commercial
concernant les seules marchandises à débarquer dans le port d’escale. Si le manifeste est
rédigé en une langue étrangère, le service peut demander une traduction authentique. La
déclaration sommaire doit comporter les énonciations suivantes :
- le nom du déclarant
-Les marques et numéros, le nombre et l’espèce des colis pour les marchandises qui ne sont
pas transportées en vrac.
-La nature et le poids brut des marchandises et les lieux et dates de leur chargement.
-Toutes les indications nécessaires à l’identification du navire transporteur tel que nationalité
et nom du navire.
-La date d’établissement de la déclaration sommaire et la signature u capitaine en dessous
de la dernière inscription des connaissements.

22
Chapitre 2 : Analyse & diagnostique

-La certification par le capitaine de l’exactitude des indications contenues.


Le dédouanement Proprement-dit : Déclaration en détail (DUM)

La déclaration en détail est l’acte par lequel une personne physique ou morale manifeste,
dans les formes et modalités prescrites, la volonté d’assigner à une marchandise, un régime
douanier déterminé. Cette déclaration, sert de support à l’accomplissement de toutes les
formalités douanières (et non douanières) auxquelles les marchandises déclarées sont
soumises.

Caractères de la Déclaration en détail

Caractère obligatoire de la déclaration en détail

Caractère portable de la déclaration en détail

Caractère écrit de la déclaration en détail

Caractère immuable de la déclaration en détail

Caractère obligatoire de la déclaration en détail

Toutes les marchandises importées ou présentées à l'exportation doivent faire l'objet


d'une déclaration en détail leur assignant un régime douanier. L'exonération des droits et
taxes ne les dispense pas de cette obligation. La déclaration en détail est donc obligatoire,
que la marchandise soit soumise ou non au paiement des droits et taxes.

Caractère portable de la déclaration en détail

La déclaration en détail doit être déposée exclusivement dans un bureau de douane


ouvert à l'opération envisagée.

Elle doit être portée par le déclarant ou son représentant au bureau compétent et ce, même
en cas de dépôt par procédé informatique, ce qui exclut l'envoi par la poste.

Caractère écrit de la déclaration en détail

La déclaration en détail doit être faite par écrit, signée par le déclarant ou, le cas échéant, le
soumissionnaire et la caution en cas d'engagements souscrits (Cas de régimes économiques
en douane).

23
Chapitre 2 : Analyse & diagnostique

Toutefois, les voyageurs et frontaliers peuvent être autorisés à faire une déclaration verbale.

Caractère immuable de la déclaration en détail

Après leur enregistrement, les déclarations ne peuvent plus être modifiées. L'exactitude ou
la fausseté des énonciations est appréciée d'après ce qui a été déclaré. L’enregistrement
confère à la déclaration en détail un caractère définitif.

Toutefois, le jour même du dépôt des déclarations et avant le commencement de la


vérification des marchandises, les déclarants peuvent rectifier en plus des éléments
quantitatifs (valeur, quantité), les éléments qualitatifs de la déclaration (origine, provenance,
espèce) et ce, avant délivrance de la main levée et à condition que l'Administration n'ait pas
informé le déclarant de son intention de procéder à la vérification des marchandises ou
qu'elle n'ait pas constaté l'inexactitude des termes de la déclaration.

Types de déclarations en détail

La déclaration provisoire

Déclaration établie pour identifier soit l'espèce soit le nombre de la marchandise importée
avant d'établir la déclaration en détail définitif.

La déclaration provisionnelle

Elle est établie dans le cas où l’importateur n'a pas reçu la facture définitive à temps, elle
permet à la douane de consigner les droits et taxes et autoriser l'enlèvement de la
marchandise en attendant la réception de la facture pour régularisation.

La déclaration provisionnelle est une déclaration en détail dont :

▪ Le dépôt est soumis à l'autorisation de l'administration ;

▪ L’espèce des marchandises est la seule énonciation obligatoirement connue, un ou


plusieurs éléments quantitatifs, peuvent ne pas être déclarés ou sont indiqués à titre
approximatif ;

La déclaration verbale

Seuls les voyageurs, et les frontaliers sont autorisés à faire une déclaration verbale. Cette
déclaration est constituée par l'ensemble des réponses de ces derniers à l'interpellation
rituelle des agents de douane " avez-vous quelques choses à déclarer". La douane peut exiger
les factures, les quittances, certificat de propriété.

La déclaration occasionnelle (DO)

24
Chapitre 2 : Analyse & diagnostique

En vue de faciliter et d'accélérer l'accomplissement des formalités douanières aux personnes


désireuses de procéder elles-mêmes au dédouanement des marchandises visées ci-après tant
à l'importation qu'à l'exportation, l'administration les autorise à établir une déclaration
succincte dite occasionnelle sur des formulaires spéciaux qu'elle met à leur disposition. Il
s’agit du dédouanement :

- des bagages non accompagnés ;

- des articles de mobilier, en suite d'opérations telles que changement de résidence, héritage
;

- des envois ne présentant aucun caractère commercial.

Les étapes du processus de dédouanement des marchandises :

Enregistrement de la DUM Le transitaire


enregistre la Déclaration Unique de
Étape 1 Marchandises (DUM) dans le système
BADR, attribuant un régime douanier à la
marchandise.

Dépôt physique de la DUM La déclaration


est enregistrée dans le système
informatique de l'administration douanière,
Étape 2
et une copie écrite est déposée au bureau
de douane compétent dans des délais
spécifiques.

Étude documentaire de la DUM Un


contrôle documentaire est effectué pour
Étape 3 s'assurer de la cohérence et de l'exactitude
de la déclaration. En cas de doute, une
vérification physique peut être effectuée.

: Étude documentaire de la DUM Un


Étape 4 contrôle documentaire est effectué pour
s'assurer de la cohérence et de l'exactitude

25
Chapitre 2 : Analyse & diagnostique

pour confirmer sa nature, son origine, sa


quantité et sa valeur de la déclaration.

Étape 5 : Liquidation, ordonnancement et acquittement des droits et taxes Les droits et


taxes sont calculés sur la base des résultats de l'étude documentaire et de la vérification
physique, et le redevable est tenu de les acquitter avant l'enlèvement des marchandises.

Étape 6 : Enlèvement de la marchandise L'enlèvement des marchandises est autorisé une


fois que les droits et taxes ont été payés ou garantis, et que la mainlevée des
marchandises a été accordée. Dans certains cas, l'enlèvement peut être autorisé avant le
paiement des droits et taxes, sous réserve de garantie.

 PROCÉDURES D’EXPORTATION

Système BADR : (Base Automatisée des Douanes en Réseau) est le système de


dédouanement en ligne des marchandises au Maroc, tant à l’importation qu’à l’exportation.
Il prend en charge la totalité des procédures douanières (déclaration sommaire, déclaration
en détail « DUM », analyse des risques, contrôle, liquidation « tarif commun ou
préférentiel », paiement, autorisation d’enlèvement, gestion des sortie et enceintes
douanières, échange des données, signature électronique, chargement des documents, etc.)

26
Chapitre 2 : Analyse & diagnostique

La déclaration sur le logiciel BADR

Création d’une déclaration sur logiciel BADR

Le présent document se veut un guide d’utilisateurs pour les déclarants auprès de


l’Administration des Douanes. Il présente les différentes fonctionnalités offertes par le
système BADR aux opérateurs et aux transitaires afin d’élaborer leurs déclarations en détail
tous régimes confondus.

Il est décomposé selon le menu DEDOUANEMENT prévu sur le système BADR.

Ci-après le menu DEDOUANEMENT tel qu’il est offert par le système :

27
Chapitre 2 : Analyse & diagnostique

Pour Créer une déclaration

Accéder au menu DEDOUANEMENT au niveau de l’explorateur BADR puis cliquer sur le


lien « Créer une déclaration ».

Le système affiche l’écran suivant :

Le système restitue le nom de l’opérateur. Il s’agit de l’opérateur au nom duquel la DUM


sera enregistrée (SOMATIME).

A ce niveau, l’utilisateur est invité à saisir les éléments suivants :

• Bureau de souscription de la déclaration. C’est un champ obligatoire.

• Régime de souscription de la déclaration. C’est un champ obligatoire.

Après la saisie des éléments ci-dessus, le système affiche une zone de liste

Invitant l’utilisateur à sélectionner le type de la déclaration à saisir.

Après le clic sur le bouton confirmer, le système affiche l’écran suivant

 Les principaux onglets de la création d’une déclaration sur logiciel BADR

La DUM est répartie en plusieurs onglets ce qui permet au déclarant d’introduire les
informations nécessaires selon l’ordre qui lui convient. Ci-après le détail de chaque onglet :

Onglet entête de la DUM

▪ Bureau, Régime et Année : Informations restituées

28
Chapitre 2 : Analyse & diagnostique

▪ Libellé du régime de souscription.

▪ Statut de la DUM.

▪ Code initiateur = Identifiant du déclarant.

▪ Nom = Nom du déclarant.

▪ Déclaration par anticipation : Case à cocher dans le cas où la déclaration est anticipée.

Autrement dit, la marchandise n’est pas encore arrivée.

▪ Bureau d’Entrée/Sortie : Bureau de transit dans le cas d’une DUM combinée ou de transit.
Saisir pour cela les premiers chiffres du code bureau et cliquer sur la loupe. Sélectionner
ensuite le code du bureau recherché.

▪ Lieu de stockage : Lieu de stockage de la marchandise dans le cas d’une DUM combinée
ou de transit. Saisir pour cela les premiers caractères du lieu et cliquer sur la loupe.

Sélectionner ensuite le lieu de stockage recherché.

▪ Déclarant (SOMATIME) :

Code : Identifiant interne de l’opérateur connecté restitué par le système.

N° Répertoire : Champ à saisir dans le cas où l’opérateur connecté est un transitaire.

▪ Facture :

Conditions de livraison : Il s’agit de l’Incoterm à choisir sur une liste déroulante comprenant
les incoterms en vigueur.

Montant total : Montant total de la marchandise, en devises.

Devise de la déclaration à choisir en renseignant les premières lettres et en cliquant sur la


loupe.

Taux de change en vigueur pour la devise sélectionnée. Il est restitué par le système.

▪ Totaux :

Montant du fret en dirhams obligatoire si l’incoterm l’exige.

Poids net total : Information calculée par le système (somme des poids nets des articles
saisis dans l’onglet « Articles » Etc…

Onglet caution : Cet onglet est obligatoire pour les déclarations souscrites sous l’un des
régimes économiques et/ou combinées.

29
Chapitre 2 : Analyse & diagnostique

PROCÉDURE D’EXPORTATION :

Les étapes clés du processus d'exportation, notamment :

Enregistrement de la Déclaration Unique de Marchandises (DUM).

Dépôt physique de la DUM avec les documents requis.

Contrôle documentaire et validation informatique.

Évaluation des marchandises pour décider de l'admission ou d'une inspection physique.

Paiement des taxes si nécessaire.

Présentation des marchandises à la douane.

Délivrance de la mainlevée.

Finalisation des formalités d'embarquement.

Ces étapes garantissent une exportation conforme aux réglementations douanières et fiscales.

I- CADRAGE DU PROJET
30
Chapitre 2 : Analyse & diagnostique

Données d’entrée :

Qui ? Qui est concerné par les résultats ?

(Acteurs) La société ANZA transit

Qui est chargé de la mission ?

Stagiaire en génie industriel option logistique

Quoi ? De quoi s’agit-il ?

(Sujet)

Où ? Où le problème apparaît-il ?

(Localisation) Service transit

Quand ? A quel moment ?

(Le temps) Du 5 avril au 5 juin

Comment Comment mettre en œuvre les moyens nécessaires ?

(La méthode) En utilisant

Pourquoi ? Pourquoi réaliser ces actions ?

(Les causes et
les objectifs)

Donee de sortie : Réorganisation du magasin cale de la société Anza transit

II- PROBLÉMATIQUE

La réorganisation et amélioration du magasin cale de la société ANZA transit


31
Chapitre 2 : Analyse & diagnostique

Dans un paysage commercial de plus en plus mondialiser et dynamique, la société ANZA


Transit est confrontée à des défis logistiques complexes dans la gestion de son magasin
cale. La nécessité d'une gestion efficace de l'espace disponible dans le magasin cale
devient cruciale pour répondre à la demande croissante de services de transit
internationaux, tout en assurant la qualité, la sécurité et la rapidité des opérations.

La problématique se pose donc dans le cadre d'une réflexion plus large sur la manière dont
ANZA Transit peut adapter ses pratiques de gestion du magasin cale pour être plus
compétitive sur le marché mondial. Comment l'entreprise peut-elle restructurer ses
processus pour optimiser l'utilisation de l'espace disponible dans le magasin cale, tout en
garantissant un contrôle efficace des stocks, une sécurisation adéquate des marchandises et
une productivité accrue du personnel ?

Cette problématique soulève également des questions sur les technologies et les méthodes
innovantes pouvant être mises en œuvre pour améliorer la gestion de l'espace, telles que les
systèmes de stockage automatisés, les logiciels de gestion des stocks avancés et les
techniques d'optimisation de la chaîne d'approvisionnement. En outre, elle invite à réfléchir
sur les stratégies de formation et de développement du personnel pour garantir une
utilisation optimale des nouvelles technologies et des meilleures pratiques de gestion.

III- CONCLUSION

La réorganisation du magasin cale d'ANZA Transit est essentielle pour surmonter les
défis logistiques et rester compétitif sur le marché mondial. Une gestion optimale de
l'espace, soutenue par des technologies avancées comme les systèmes de stockage
automatisés et les logiciels de gestion des stocks, est cruciale. En parallèle, la formation du
personnel pour une utilisation efficace de ces technologies est indispensable. Cette
réorganisation vise à améliorer l'efficacité, la sécurité et la rapidité des opérations
logistiques, assurant ainsi la compétitivité et la croissance durable d'ANZA Transit.

32
CHAPITRE 3 :

RECHERCHE
BIBLIOGRAPHIQUE

33
Chapitre 3 : Développement & Analyse

INTRODUCTION

Notre projet cible la réorganisation et l'optimisation du magasin Cale Anza Transit, un élément central
de la logistique. En utilisant la méthodologie DMAIC, nous cherchons à identifier et résoudre les
lacunes opérationnelles actuelles pour améliorer l'efficacité globale. Notre approche allie une étude
qualitative pour comprendre les processus existants et une étude quantitative pour évaluer les
performances. Nous utiliserons des outils tels que le diagramme d'Ishikawa, le diagramme QQOQCP
et le diagramme de Pareto, ainsi que le modèle des 5M, pour une analyse approfondie et des solutions
pertinentes.

LE LEAN SIX SIGMA : AMELIORATION CONTINUE DES PROCESSUS

Définition du Lean six sigma

Le Lean Six Sigma combine deux concepts essentiels : le Lean et le Six Sigma.

Le Lean : vise à éliminer les tâches superflues, à simplifier les processus pour accroître leur
fluidité, leur flexibilité et leur agilité, et ainsi augmenter la valeur perçue par le client,
contribuant ainsi à l'amélioration globale des performances de l’entreprise.

Le six sigma : cherche à réduire la variabilité des processus pour les rendre plus fiables, stables
et prévisibles, visant une reproductibilité parfaite afin de tendre vers zéro défaut et de garantir
la satisfaction du client.

Le Lean six sigma unit ces deux approches, associant la notion de productivité du Lean à celle
de qualité du Six Sigma.

Historique du Lean Six Sigma

Initialement enraciné dans l'industrie, le Lean Six Sigma trouve ses origines dans le monde de
la fabrication. Le concept Lean est né chez Toyota au Japon pour répondre aux défis de
l'industrie automobile. Dans les années 1980, Motorola a été un précurseur en lançant un
déploiement Six Sigma, ce qui lui a permis d'économiser plus de deux milliards de dollars sur
une période de quatre ans. Cette réussite a incité d'autres entreprises telles qu'Allied-Signal,
Texas Instruments et General Electric à lancer leurs propres programmes Six Sigma et à
communiquer massivement sur leurs résultats. Initialement appliqué aux processus de
production, le Lean Six Sigma a progressivement été étendu aux processus transactionnels
tels que les achats et la facturation. Par la suite, cette approche a été adoptée dans le domaine
des services, notamment dans les secteurs bancaires et de l'assurance, pour répondre à des
problématiques de plus en plus complexes, y compris au sein de certaines collectivités et
administrations. Initialement développées de manière indépendante, les deux méthodologies
Lean et Six Sigma ont été combinées en raison de leur complémentarité, visant à atteindre des
objectifs communs d'excellence opérationnelle et d'amélioration continue.

Les avantages du Lean Six Sigma

Le Lean Six Sigma est une méthodologie rigoureuse qui s’applique aux processus (et

Non pas seulement aux problèmes) dans le but :


Chapitre 4 : Ingénierie & développement

 Six Sigma contribue à améliorer la satisfaction des clients en réduisant les défauts et en
améliorant la qualité des produits ou services.

 L'application de Six Sigma se traduit souvent par une meilleure performance


financière de l'entreprise grâce à des processus plus efficaces et des coûts réduits.

 Six Sigma aide à atteindre les objectifs stratégiques définis par la Direction Générale en
alignant les initiatives d'amélioration sur la vision et les priorités de l'organisation

Les fondements du Lean

En 1996, James WOMACK et Daniel JONES ont décrit les cinq fondamentaux du
Lean Manufacturing :

-Définir la valeur ajoutée : prendre le point de vue du client et regarder ce pour quoi il
est prêt à payer.

-Identifier la chaîne de valeur : reconnaître et caractériser les différentes étapes de


fabrication, puis déterminer si elles apportent ou non de la valeur.

- Favoriser l’écoulement des flux : organiser la production pour que les opérations à
valeur ajoutée s’enchaînent et ne soient pas stoppées.

- Produire en flux tiré : préférer le pilotage du flux par les besoins réels du client plutôt
que par des estimations.

-Viser la perfection : fixer des objectifs ambitieux et entretenir la culture de


L’amélioration continue pour les atteindre.

Définition de la valeur :

La valeur d'un service ou d'un produit est défini par le client en fonction de son utilité
et de sa pertinence. Elle peut être divisée en deux catégories : la valeur ajoutée et la
non-valeur ajoutée.
 La valeur ajoutée représente toutes les activités qui augmentent la valeur du
produit ou du service aux yeux du client. Cela inclut tout ce pour quoi le client
est prêt à payer.
 La non-valeur ajoutée représente les activités qui n'apportent aucune valeur au
produit aux yeux du client et qui sont considérées comme des sources de
gaspillage. Bien que certaines de ces activités puissent être inévitables sans
investissements importants, elles restent des cibles pour des améliorations
futures afin d'optimiser les processus

35
Chapitre 4 : Ingénierie & développement

Définition des gaspillages :

Dans le cadre de la méthodologie Lean, on découvre rapidement les sept types


de "muda" ou gaspillages. Bien que ceux-ci offrent des opportunités
significatives de gains, ils ne constituent qu'une des trois catégories de
gaspillages.

-Les Muda : Ce sont les gaspillages les plus facilement identifiables et les plus
connus.

-Les Muri : Ils représentent les excès et les contraintes déraisonnables.

-Les Mura : Ils englobent toutes les formes de variabilité et d'incohérence dans les
processus.

MUDA (Gâchis)

Probablement les plus populaires parce que les plus connus et les plus facilement
appréhendables, les muda sont au nombre de sept.

1. Gaspillages provenant de la surproduction

2. Gaspillages provenant des temps d'attente

3. Gaspillages occasionnés par les transports

4. Gaspillages dus aux stocks inutiles

5. Gaspillages dans les processus de fabrications

6. Mouvements inutiles

7. Gaspillages dus aux pièces défectueuses

La value Stream mapping :

La Value Stream Mapping (VSM), ou cartographie du flux de valeur, consiste à


visualiser le processus de création de valeur afin de distinguer les tâches à valeur
ajoutée des tâches à non-valeur ajoutée. La cartographie VSM illustre le flux
physique ainsi que le flux d'informations associé. Elle utilise des conventions de
représentation standardisées qui en facilitent la lecture et la compréhension pour les
initiés.

L'outil VSM s'est établi comme une méthode incontournable pour identifier les
sources de gaspillage dans les chaînes de valeur spécifiques, que ce soit pour un
produit ou une famille de produits.

Cartographier :

36
Chapitre 4 : Ingénierie & développement

La valeur étant une notion définie par le client, il est logique de commencer par lui.
La méthodologie suivie est donc la suivante :

1. Suivre le chemin de fabrication d’un produit à partir du client


jusqu’au fournisseur en récupérant des informations fiables, telles
que :

 Tâches exécutées : Les actions réalisées à chaque étape du processus de fabrication.

 Nature et quantités d'informations échangées : Les types de données transmises et


leur volume.

 Temps de cycles, changements de série, lead times, temps d'attente : Durées des
différentes phases du processus.

 Tailles de lot, stocks, en-cours : Quantités de produits traités simultanément et niveaux


de stock.

 Performance vs sous-performance : Comparaison entre les résultats attendus et réels


du processus.

 Taux de qualité vs non-qualité : Pourcentage de produits conformes par rapport aux


non-conformes.

2. Décrivez chaque étape du processus de manière visuelle et détaillée,


en illustrant à la fois le flux des matériaux physiques et celui des
informations nécessaires pour chaque opération.
3. Poser les questions clés et dessiner la nouvelle chaîne de valeur.

Une cartographie efficace se concentre sur la représentation fidèle du processus tel qu'il se
déroule réellement, plutôt que sur la manière dont les procédures indiquent qu'il devrait se
dérouler. Ainsi, il est conseillé de mener cette cartographie sur le terrain, en travaillant
étroitement avec les personnes impliquées dans l'exécution du processus.

Le SMED :

Parmi toutes les pratiques du Lean, le SMED se distingue comme l'une des stratégies les plus
cruciales pour les entreprises. Elle vise à réduire les temps de changement, notamment en

37
Chapitre 4 : Ingénierie & développement

permettant des changements de série rapides. SMED signifie Single Minute Exchange of Die,
ce qui implique une transition d'une série à une autre en un temps très court.

Le SMED adopte une approche progressive en quatre étapes :

1. Éliminer les opérations superflues en transformant les arrêts de machine en activités


continues.

2. Simplifier les processus de bridage et de fixation.

3. Favoriser le travail en équipe.

4. Réduire ou éliminer les ajustements et les essais nécessaires.

Dans la pratique, il est vivement recommandé de procéder à une étape préliminaire qui
comprend :

 Éliminer les tâches non essentielles au changement de série, qui représentent des pertes
de temps. Par exemple, remplir des formulaires qui ne sont pas utilisés ultérieurement.
 Déplacer en amont ou en aval, en dehors de la phase d'arrêt de la machine, l'exécution
des opérations qui ne font pas partie intégrante du changement et qui peuvent être
effectuées avant et/ou après l'arrêt de la machine.
 Organiser l'environnement de manière à faciliter le changement dans des conditions
optimales.

Les 5S :

Originaire du Japon et classiquement reconnue, la méthode des 5S (Seiri, Seiton, Seiso,


Seiketsu, Shitsuke) est un système d'organisation de l'environnement de travail. Elle vise à
améliorer l'efficacité, la qualité et la sécurité. Aujourd'hui, les 5S sont un pilier fondamental
de la démarche Lean, et les mettre en œuvre constitue une étape préalable essentielle à tout
projet d'amélioration. Les 5S représentent les cinq actions par lesquelles on peut obtenir un
environnement de travail optimal. L'ordre dans lequel elles sont appliquées revêt également
une grande importance.

1S : Seiri / Trier

L'objectif de cette étape est de distinguer le nécessaire du superflu afin d'éviter


l'encombrement. Il s'agit de conserver uniquement ce qui est essentiel et d'éliminer le
comportement consistant à garder des objets "au cas où". En effet, l'accumulation ne contribue
ni à la propreté, ni à l'efficacité, ni à la qualité. Cette démarche permet de libérer de l'espace
inutilement occupé, de se débarrasser de ce qui encombre et de ne pas être entravé par ce qui
est superflu.

2S : Seiton /Situer, ranger

38
Chapitre 4 : Ingénierie & développement

Le Seiton vise à organiser les objets utiles de manière méthodique, leur assignant des
emplacements spécifiques pour une accessibilité optimale. Il s'agit de créer un agencement
qui facilite la visualisation et la localisation rapide des objets.

Seiso – Nettoyer, faire scintiller

Après avoir trié ce qui est utile et ce qui ne l'est pas, puis organisé ce que l'on conserve,
la troisième étape du 5S concerne la propreté du poste de travail. Un nettoyage régulier permet
de maintenir les outils, équipements et machines en bon état de fonctionnement. Dans un
environnement propre, les anomalies sont plus faciles et rapides à repérer.

Seiketsu – Standardiser

Cette quatrième étape a pour objectif de standardiser et d'assurer le respect des trois
premiers S. Alors que les trois premiers S se concentrent sur des actions concrètes à mener sur
le terrain, ce quatrième S vise à établir un cadre formel pour garantir leur mise en œuvre et
leur respect. Pour que la propreté et l'élimination des causes de désordre deviennent des
habitudes quotidiennes, il est essentiel de les intégrer comme des règles fondamentales, des
standards à respecter par tous dans la zone de travail.

Shitsuke – Suivre et faire évoluer

Enfin, pour pérenniser les quatre premiers S, il est nécessaire de les stabiliser et de les
maintenir. Cela implique de surveiller régulièrement l'application des règles, de les rappeler,
de corriger les écarts et de les faire évoluer en fonction des progrès réalisés.

VSM :

La cartographie VSM (Value Stream Mapping) décrit le flux physique et le flux d’information
associé. Pour le cas de la société anza transit nous avons Intégré les suivis de la livraison.

39
Chapitre 4 : Ingénierie & développement

CHAMP D’APPLICATION D’ETUDE

La méthodologie DMAIC, dérivée des principes du Lean Six Sigma, guide notre approche
en cinq phases pour transformer le magasin Cale Anza Transit vers une efficacité accrue.
Chaque étape est conçue pour identifier les lacunes, proposer des solutions et garantir des
améliorations durables.

 DEFINE ( Définir) :

Dans cette première phase, nous nous attelons à définir précisément la problématique du projet,
en examinant également son contexte et ses objectifs. Pour ce faire, nous avons recouru à des
techniques telles que le Brainstorming pour générer des idées et la méthode QQOQCCP pour
structurer notre approche et notre collecte d'informations.

 MEASURE (Mesurer) :

Dans cette étape, notre objectif est de mesurer et de quantifier de manière précise le problème
défini. Pour ce faire, nous sélectionnons les outils de mesure les plus pertinents et adaptés afin
de mieux comprendre l'ampleur du problème selon un processus défini. Nous avons opté pour
l'utilisation du VSM (Value Stream Mapping) ainsi que du chronométrage, qui fourniront une
base solide pour l'étape suivante du processus d'amélioration.

 ANALYZE (Analyser) :

Dans cette phase, notre objectif est d'analyser les mesures collectées et d'identifier les causes
profondes du problème. Nous cherchons à préciser les causes racines en élaborant un tableau
d'analyse des activités sans valeur ajoutée (NVA) ainsi qu'en utilisant le diagramme d'Ishikawa.
Ces outils nous permettront de décomposer le processus et d'identifier les sources sous-jacentes
des inefficacités.

 IMPROVE (Améliorer)

Dans cette avant-dernière phase, notre objectif est de proposer et de mettre en œuvre des
solutions visant à éliminer les causes racines identifiées précédemment. Nous adoptons une
approche Kaizen pour réaliser nos objectifs. Cela implique un processus continu
d'amélioration, axé sur des changements progressifs et des initiatives d'amélioration continue
pour maximiser l'efficacité et atteindre nos objectifs fixés.

 CONTROL (Contrôler) :

Finalement, cette phase vise à appliquer l'amélioration continue du processus d'exportation en


utilisant un guide d'entretien pour évaluer l'efficacité des améliorations au fil du temps. Nous
comparons les données initiales avec les nouvelles statistiques pour déterminer si notre étude a
atteint les objectifs fixés. Cela nous permet de suivre la progression et de garantir que les

40
Chapitre 4 : Ingénierie & développement

améliorations mises en place sont durables et contribuent à la performance globale du processus


d'exportation.

OUTILS ET METHODES :

Dans cette section, nous allons décrire de manière générale les outils et méthodes que nous
avons utilisés tout au long de notre stage. Ces outils et méthodes nous ont permis d'analyser, de
diagnostiquer et d'apporter des solutions efficaces en appliquant des méthodes d'organisation et
d'amélioration au fonctionnement du magasin cale de la société Anza Transit.

Brainstorming

Le brainstorming est une méthode formalisée de résolution de problèmes visant à déterminer et


à détecter toutes les idées potentiellement causales, notamment les plus pertinentes.

Avantages :

La stimulation d'une pensée plus créative


L’amélioration du travail d'équipe et de la cohésion de groupe, ainsi que la possibilité donnée
à chacun d'être entendu et valorisé d'une manière différente.

41
Chapitre 4 : Ingénierie & développement

Ishikawa

Le diagramme d'Ishikawa, également connu sous le nom de diagramme en arêtes de poisson


ou diagramme de causes et effets, est un outil de gestion de la qualité largement utilisé pour
analyser et visualiser les causes potentielles d'un problème ou d'une situation donnée. Il a été
développé par le statisticien japonais Kaoru Ishikawa dans les années 1960 et est
fréquemment intégré à la méthodologie DMAIC ainsi qu'à l'amélioration continue des
processus.
Pour identifier les causes potentielles agissant directement ou indirectement sur le problème
étudié, la règle des 5 M examine les aspects suivants :
 Matière : cela englobe toutes les causes liées aux éléments utilisés dans le
processus de fabrication, comme l'utilisation de matières premières périmées, des
fournitures de mauvaise qualité ou des pièces défectueuses.
 Milieu : il s'agit des causes liées à l'environnement et au contexte de réalisation,
telles qu'un marché volatile, une concurrence intense ou une législation
contraignante
 Méthodes : cette catégorie explore les éventuels dysfonctionnements ou
ralentissements dans les processus de travail et les modes opératoires, ainsi que les
erreurs dans les instructions ou les méthodes d'emploi.
 Matériel : elle concerne les équipements, machines, outils et logiciels, en examinant
s'ils sont défectueux, obsolètes ou non adaptés.
 Main d'œuvre : cela évalue si les ressources humaines manquent de compétences et
de formation, ou si elles sont mal informées sur la bonne exécution des tâches

42
Chapitre 4 : Ingénierie & développement

43
Chapitre 4 : Ingénierie & développement

II. Introd

44
Chapitre 4 : Ingénierie & développement

45
Chapitre 4 : Ingénierie & développement

46
Bibliographie
Chapitre 4 : Ingénierie & développement

CONCLUSION GENERALE

Lister le détail (auteur, titre, date et lieu d’édition, etc.) de tous les documents utilisés lors de la
recherche bibliographique précédant la phase de conception du projet ou ayant servi de
référence.

Numéroter ces références ou indiquer entre crochets les premières lettres de son auteur et
l’année de parution de l’article ou du livre.

Deux manières de les classer peuvent être envisagées : par ordre alphabétique ou par ordre
d’apparition dans le document. (Berouti M, 1979), (gyuio, 2016)

Si dans votre document, vous faites références à un article ou un ouvrage, indiquer dans le
paragraphe concerné la référence entre crochets.

Exemple:
Berouti M., Schwartz R. and Makhoul J., “Enhancement of Speech Corrupted by Acoustic
Noise,” Proceedings of the IEEE International Conference on Acoustics, Speech and Signal
Processing, pp. 208-211, April 1979.
Boll S.F., “Suppression of Noise in Speech Using the SABER Method,” ICASSP 78, Tulsa,
Oklahoma, U.S.A.., pp. 606-609, 1978.

48
ANNEXES
Faire la liste des annexes jointes au rapport, telles que :

· la fiche Entreprise ;
· le rapport Annuel de l’Entreprise ;
· les brochures Commerciales de l’Entreprise ;
· les documents élaborés au cours du stage :
· spécifications techniques ;
· nomenclatures ;
· manuel d’installation ;
· manuel utilisateur ;
· manuel de maintenance ;
· code source (pour les projets d’informatique), lorsque l’entreprise d’accueil
vous en donne l’autorisation ; dans ce cas, le programme "brut" n’est pas
suffisant. Il doit etre accompagné d'une description préalable (1 page maximum)
permettant à n'importe quel utilisateur de l'utiliser et de le comprendre
facilement.
· Tout document jugé utile mais encombre le rapport.s

49

Vous aimerez peut-être aussi