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Exemple Rapport
Exemple Rapport
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SOMMAIRE
Page de garde
Dédicace
Remerciements
Liste des abréviations
Liste des tableaux et Figures
Table des matières
Introduction
Présentation de la structure d’accueil
Synthèse Bibliographique
Matériel et méthodes
Résultats et discussion
Conclusion et perspectives
Annexes (facultatif)
Références bibliographique
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DEDICACE
REMERCIEMENTS
Tout d’abord un merci spéciale au Seigneur pour le don de la vie, merci pour cette
cette formation, je chanterai votre nom tout au long de ma vie
A MON ENCADREUR DR MARCELIN HENRI DIENE
Je ne sais même pas comment vous dire merci pour votre votre humilité ; votre générosité ;
a première vu vous avez accepté de m’encadrer sans me connaitre ; que le Seigneur vous
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rende au centuple votre geste a l’égard de ma modeste personne; qu’il vous bénisse ; votre
famille et l’œuvre de vos mains
A mes chers professeurs de l’institut sante service sans exception ; mention spéciale à Mr Sow
notre professeur, une personne exceptionnelle ; Mr Baba Konate ; Mr Ndiaye ; à la directrice
Mme Badiane qui nous a ouvert les portes de son école ; merci !!
A mon chef de service, mon surveillant de service et tous mes collègues du laboratoire un
grand merci vous pour votre soutient, vos connaissances, votre humilité vous avez été d’une
grande aide pour moi soyez bénis mes chers. A L’administration qui m’a permis de
poursuivre mes études et l’ensemble du personnel de l’hôpital Heinrich Lübke se Diourbel
merci vous tous.
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LISTE DES ABREVIATIONS
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TABLEAU DES MATIERES
Présentation générale
Organigramme de l’hôpital
Synthèse bibliographique
Définition de l’hémostase
Matériels et méthodes
Matériels
Méthodes
Résultats et discutions
Résultats
Discussions
Conclusion et perspectives
Références bibliographiques
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INTRODUCTION
Ainsi, l’évaluation préopératoire du risque hémorragique est une étape indispensable lors de la
consultation d’anesthésie afin d’élaborer des stratégies de correction pour réduire ce risque.
La physiopathologie de l’hémorragie péri interventionnelle est complexe et repose sur deux
composantes : le risque hémorragique lié à la procédure chirurgicale et le risque hémorragique
lié au patient, autrement dit la présence de facteurs de risque propres au patient l’exposant à
un surrisque hémorragique. Ces facteurs de risque hémorragique individuels peuvent être
constitutionnels ou acquis et peuvent affecter l’hémostase primaire ou la coagulation. Le
caractère potentiellement hémorragique de la procédure chirurgicale est plus difficile à
anticiper, c’est pourquoi les médecins anesthésistes concentrent plus particulièrement leur
attention sur l’identification des troubles de l’hémostase acquis ou constitutionnels ; d’où
l’intérêt de demander le bilan d’hémostase plus particulièrement le taux de prothrombine et le
temps de céphaline activé comme bilan préopératoire.
PRESENTATION DE LHOPITAL
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Chef-lieu de région, la ville dispose du Centre Hospitalier Régional Heinrich Lübke issu de la
coopération sénégalo-allemande, il est inauguré le 26 mai 1966 et représente la structure la
plus ancienne de la région. Avec une capacité de lits, le centre hospitalière régional de
Diourbel est une structure de niveau II et représente l’offre de soins la plus importante du
Département de Diourbel. IL couvre un large panel de spécialités et fait partit des hôpitaux
les plus importants de la région ;
ORGANIGRAMME
STRUCTURE INTERNE
SERVICES TECHNIQUES :
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La cardiologie est chargée d’assurer la consultation et le suivi des cardiopathes des
hypertendus
Urgences médicales assure l’accueil des urgences médicales
Urgences chirurgicales prend en charge les urgences liées à la chirurgie
L’urologie se consacre au diagnostic et au traitement des atteintes congénitales,
infectieuses, lithiasiques, traumatiques et tumorales des appareils urinaires masculins
et féminins et celles de l’appareil génital masculin
Le bloc opératoire qui est le lieu où s’effectuent les interventions chirurgicales
L’orthopédie prend en charge les pathologies des os et de l’appareil locomoteur
La pédiatrie s’occupe de la consultation et le suivi des enfants malades
La chirurgie pédiatrique s’occupe de la prise en charge chirurgicales des affections
enfants (0-18 ans)
Le laboratoire médical qui s’occupe de l’analyse médicale
L’ophtalmologie se charge de traiter les maladies de l’œil et de ses annexes
L’odontologie est chargée d’assurer la consultation et le suivi des malades souffrants
de maux dentaires
La radiologie permet aux patients de passer leur examen radiographique
La Médecine interne s’occupe du suivit et traitement des hospitalises
La Médecine Générale se charge de la consultation des malades externes
La Chirurgie hospitalisation est aussi chargée d’assurer le traitement et le sui des
malades hospitalisent
La réanimation est le service dans lequel sont pris en charge les patients dont l’état de
santé est grave
Le centre de Dialyse prend en charge les patients souffrants d’insuffisance rénale pour
leurs séances de dialyse
La Kinésithérapie s’occupe de la rééducation des malades par le massage et la
gymnastique médicale
La Pharmacie approvisionne les autres services en médicaments, réactifs et matériel de
soin
La Cuisine assure l’alimentation du personnel de l’hôpital
La maintenance hospitalière
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Les services administratifs (DG, SAF, RH, LE CONTOLEUR DE GESTION, ACP,
BUREAU DES ENTREE) assurent la gestion administrative et financière de l’hôpital
Structure du laboratoire
Le laboratoire de l’hôpital est un service composé de quatre locaux :
-le secrétariat où se font les enregistrements des patients et le rendu des résultats
-les salles de prélèvements dont : la salle des prélèvements sanguins et la salle des
prélèvements vaginaux et urétrales.
-les salles de manipulation : la grande salle qui abrite les paillasses de biochimie, de
parasitologie, d’hémostase, d’hématologie, de sérologie ; et la salle bactériologie.
- la banque de sang constitue un local appart du service où s’effectuent les dons et la
distribution des poches de sang.
Le personnel du laboratoire
la banque de sang est une partie détachée du laboratoire et possède aussi quatre
agents :
-et trois assistants infirmiers : Ibrahima Sanghare, Moussa Gueye, Astou Sane
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SYNTHESES BIBLIOGRAPHIQUES
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C’est le temps de coagulation d’un plasma dépaqueté, citraté à 37°C en présence d’un
équivalent des phospholipides plaquettaires (la céphaline) de calcium et d’un activateur de
(silice pour TCA, kaolin pour le TCK…).
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Comment poursuivre l'exploration devant un temps de Quick allongé ou un temps de
céphaline + activateur allongé dans un bilan préopératoire
Plusieurs démarches peuvent être entreprises : l'épreuve du mélange a pour but d'orienter
vers un déficit en facteur ou vers la présence d'un anticoagulant circulant. Cette épreuve de
mélange est classiquement réalisée sur le temps de céphaline + activateur. En effet, les
réactifs thromboplastines utilisés pour la réalisation du temps de Quick, sont en règle générale
moins sensibles à la présence d'un anticoagulant circulant. L'épreuve du mélange réalisée sur
le temps de Quick risque donc d'être peu informative. La correction, ou la non correction,
du TCA est objectivée par le calcul de l'indice de Rosner de la manière suivante :
On estime que le TCA est corrigé si l'indice de Rosner est inférieur à 12 %. Il n'est pas corrigé
si l'indice de Rosner est supérieur à 15 %. Il existe une zone grise entre 12 et 15 %.
La correction du TCA lors de l'épreuve du mélange est en faveur d'un déficit en facteur de la
coagulation et oriente vers la mesure des facteurs. La non correction du TCA est en faveur
de la présence d'un anticoagulant circulant. La présence d'un anticoagulant circulant de type
lupique n'expose en général pas à un risque hémorragique accru. Cependant, un
anticoagulant de type lupique peut être concomitant de celle d'un déficit en facteur et masquer
ce dernier.
La non correction du TCA lors de l'épreuve du mélange doit donc pour cette raison inciter à
rechercher un déficit en facteur pour s'assurer de l'absence de risque hémorragique.
Un allongement isolé du temps de Quick sera suivi de la mesure du facteur VII. La mesure du
facteur VII pourra être réalisée sur une seule dilution du plasma à tester du fait que les
interférences potentielles liées à la présence d'un éventuel anticoagulant circulant de type
lupique sont limitées en raison de la sensibilité relativement faible des thromboplastines à ces
anticoagulants circulants. Cependant, on peut réaliser cette mesure sur plusieurs dilutions du
plasma à tester pour éliminer de manière certaine toute interférence. Les déficits en facteur
VII peuvent être mis en évidence ou au contraire ne pas être détectés en fonction de la
thromboplastine utilisée pour réaliser le temps de Quick, certaines thromboplastines étant
insensibles au déficit en facteur VII. Un allongement isolé du TCA sera suivi de la mesure
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des facteurs VIII, IX, XI et XII. La réalisation de ces mesures sur plusieurs dilutions (en
tampon) du plasma à tester permettra de s'affranchir de la présence d'un anticoagulant
circulant de type lupique, susceptible d'interférer dans la mesure et de conduire à une
interprétation erronée basée sur une mesure réalisée sur une seule dilution du plasma à tester.
MATERIELS ET METHODES
METHODES
Tout d’abord mettre à température ambiante les réactifs, centrifuger le prélèvement sur
tube citrate a 4000 tours pendant 10mn, allumer la machine et attendre qu’elle
atteigne 37°C
Préparer le matériel nécessaire à la manipulation : micro pipette de 50ul ; cupules de
manipulation ; billes ; embouts
Les réactifs selon la machine et en fonction des laboratoires : cacl2 ; le CK PRESS
(pour la TCA) la thromboplastine (pour le TP)
PROCEDURE DE MANIPULATION
NB : toujours faire une double manipulation pour limiter les risques d’erreurs
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Valeurs normales : supérieur ou égal à 70% pour les patients normaux ; et toute
valeur inferieur est considérée comme pathologique ou dû à un mauvais
prélèvement ou mauvaise manipulation
Pour Le temps de céphaline active(TCA) : pour un malade, préparer aussi deux
cupules et les placer chacun dans un puit d’incubation puis ajouter une bille
dans chaque cupule ; distribuer 50ul de sérum plus 50ul de ck press et
mélanger doucement, préparer l’activateur (cacl2) dans la micro pipette de
transfert puis activer l’incubation qui dure 170s. A 170s le bip sonore est
déclencher ; transférer la préparation dans la zone de lecture et attendre la
180eme seconde pour activer le bouton de lecture tout en distribuant 50ul de
cacl2 dans chaque cupule et attendre. Apres coagulation les resautas s’affichent
et on imprime
Valeurs normales : 29s selon les réactifs ; toute valeur
anormale est signe de pathologie ou de mauvaise manipulation ou un mauvais
prélèvement
Conclusion
REFERENCES BIBLIOGRAPHIE
4- Handin RI. "Chapter 53: bleeding and thrombosis". In Kasper DL, Braunwald E, Fauci AS,
et al... Harrison's Principles of Internal Medicine (16th ed.). New York, NY: McGraw-Hill.
ISBN 0-07-139140- 1. 2005.
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5- Gouault-Heilmann M, Ajzenberg N, Alhenc-Gelas et al. Recommandations pour une juste
prescription des examens d’hémostase en pratique médicale courante. Sang Thrombose
Vaisseau. 2006;18(1):29-42.
12- Gris JC, Mercier E. Les constantes pré-analytiques en hémostase. Revue Francophone des
Laboratoires. 1999;317:63-70
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