Longrine de Redressement
Longrine de Redressement
Longrine de Redressement
LONGRINES DE REGRESSEMENT
INTRODUCTION
Lorsqu’on réalise des ouvrages dans des sites déjà habités, ils se posent souvent des problèmes
liés à la mitoyenneté. Pour limiter les influences des fondations, la solution des semelles
excentrées est souvent préconisées. C’est donc dans ce cadre qu’interviennent les longrines de
redressement. Ce sont des poutres reposant sur le sol reliant une semelle centrée et une semelle
excentrée, dans le but d’éviter ou de limiter les déplacements horizontaux de celles-ci. C’est
dans cet optique que nait l’interrogation sur la méthode de calcul des longrines. Pour lever au
mieux l’équivoque de cette interrogation nous allons orienter notre travail en quatre parties :
l’énoncé du principe de calcul, le calcul des sollicitations et la justification.
INTRODUCTION ...................................................................................................................... 1
TABLE DES MATIERES ......................................................................................................... 2
TABLE DES FIGURES ............................................................................................................. 3
I. PRINCIPES DE CALCUL ................................................................................................. 4
II. CALCUL DES SOLLITATIONS ................................................................................... 5
III. JUSTIFICATIONS.......................................................................................................... 6
1. EQUILIBRE STATIQUE ET PORTANCE DU SOL........................................................ 6
2. FERAILLAGE DES SEMELLES ...................................................................................... 6
3. FERAILLAGE DES SEMELLES ...................................................................................... 7
I. PRINCIPES DE CALCUL
Supposant les points d’appui réunis par la longrine soumis à des forces horizontales opposées
(traction ou compression) égale à :
𝑎𝑁
𝐹=∓ . 𝑆. 𝛼. 𝑊 ≥ 20 𝐾𝑁
𝑔
𝑎𝑁
: Coefficient d’accélération dépendant du zonage sismique
𝑔
𝑆:Coefficient du site
𝛼:Ccoefficient dépendant de la nature du sol
𝑊:Moyenne de charges verticales arrivant sur les points d’appuis.
𝑎𝑁
Figure 1:𝐶𝑜𝑒𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑒𝑛𝑡
𝑔
Figure 2: Coefficient 𝛼
Figure 3: Coefficient S
III. JUSTIFICATIONS
𝑅𝑠𝑒𝑟𝑣𝑖𝑐𝑒
𝜎𝑎𝑝 = ≤ 𝜎̅𝑠𝑜𝑙 : lorsque la semelle est excentrée
𝑠
𝑁𝑠𝑒𝑟𝑣𝑖𝑐𝑒
𝜎𝑎𝑝 = ≤ 𝜎̅𝑠𝑜𝑙 : lorsque la semelle est centrée
𝑠
Semelle excentrée :
𝐵−𝑏 𝐴−𝑎
o La hauteur utile 𝒅 : 𝑑 ≥ max( 4 ; 4 )
o La hauteur utile 𝒉 : ℎ ≥ 𝑑 + 5 𝑐𝑚
o Armatures parallèles à B :
(𝐵 − 𝑏) 𝛾𝑠
𝐴//𝐵 = 𝑅
8𝑑 𝑓𝑒
Le calcul sera à l’ELU et à l’ELS
o Armatures parallèles à A :
(𝐴 − 𝑎) 𝛾𝑠
𝐴//𝐴 = 𝑅
8𝑑 𝑓𝑒
Semelle centrée :
𝐵−𝑏 𝐴−𝑎
La hauteur utile 𝒅 : 𝑑 ≥ max( ; )
4 4
La hauteur utile 𝒉 : ℎ ≥ 𝑑 + 5 𝑐𝑚
Armatures parallèles à B :
(𝐵 − 𝑏) 𝛾𝑠
𝐴//𝐵 = 𝑁
8𝑑 𝑓𝑒
Le calcul sera à l’ELU et à l’ELS
Armatures parallèles à A :
(𝐴 − 𝑎) 𝛾𝑠
𝐴//𝐴 = 𝑁
8𝑑 𝑓𝑒
Le calcul sera à l’ELU et à l’ELS
CONCLUSION
Tout au long de notre travail, il nous revenait de développer de façon claire la méthode de calcul
des longrines de redressement. Il ressort de nous investigation que la méthodologie de calcul
des longrines commence par une descente des charges, puis passe par la justification à
l’équilibre statique et à la portance pour s’achever avec la détermination du ferraillage des
semelles centrée et excentrée ainsi que celui de la longrine de redressement. C’est donc dans la
même lancé que nous nous interrogeons sur les dispositions pratiques de ces différents
éléments.