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Cours Math 5ème 2
Cours Math 5ème 2
Cours Math 5ème 2
RESUME i
1 RAPPELS 1
1.1 Configuration du plan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
1.2 FIGURES SYMÉTRIQUES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
2 DISTANCE 8
2.1 CERCLES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
2.1.1 Cordes d’un cercle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
2.1.2 Intérieur et extérieur d’un cercle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
2.1.3 Le disque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
2.2 Propriétés d’un triangle et d’un segment . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
2.2.1 Propriétés d’un triangle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
2.2.2 Propriétés d’un segment . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
2.3 Résolution des problèmes de distance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
4 ANGLES 18
4.1 Angles complémentaire - Angles supplémentaires . . . . . . . . . . . . . . . 18
4.1.1 Angles supplémentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
7 TRIANGLES PARTICULIERS 34
7.1 Triangle isocèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
7.2 Triangle équilatéral . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
7.3 Triangle rectangle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
8 PARALLÉLOGRAMME 36
8.1 Parallélogramme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36
9 POLYGONES PARTICULIERS 39
9.1 Trapèze . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
9.1.1 Observation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
9.1.2 Trapèze rectangle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
9.1.3 Trapèze isocèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
9.2 Aire d’un trapèze . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
9.3 Hexagone et octogone réguliers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
9.4 Octogone régulier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
10 PRISME DROIT 43
10.1 Description . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
10.2 Dimensions d’un prisme droit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44
10.2.1 Volume d’un prisme droit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44
10.2.2 Aire du prisme droit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44
10.3 La pyramide . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44
10.3.1 Présentation (Histoire des pyramides de Khéops en Egypte) . . . . 44
15 FRACTIONS 63
15.1 Nombre premiers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63
15.1.1 Recherche des nombres premiers entre 1 et 100 . . . . . . . . . . . . 63
15.2 Decomposition d’un nombre en produit de facteurs premiers . . . . . . . . 65
15.3 Fraction irréductible . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65
15.3.1 Notion de PGCD de deux nombres . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65
15.3.2 Recherche de PGCD de deux nombres . . . . . . . . . . . . . . . . 65
15.3.3 Simplification des fractions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66
15.4 Somme et différence de deux fractions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
15.4.1 Cas des fractions ayant même dénominateur (Voir chapitre 1 sur les
rappels) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
15.4.2 Cas des fractions qui ont des dénominateurs différents . . . . . . . . 67
15.5 Addition et soustraction de deux fraction à dénominateurs différents . . . . 68
15.6 Comparaison de deux fractions-Encadrement . . . . . . . . . . . . . . . . . 69
15.6.1 Comparaison de deux fractions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69
15.6.2 Cas de deux fractions n’ayant rien en commun . . . . . . . . . . . . 69
15.6.3 Écriture d’un fraction ab sous la forme q + rb avec r < b . . . . . . . 70
15.6.4 Encadrement d’une fraction par deux nombres décimaux . . . . . . 70
15.7 Produit de deux fractions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71
15.7.1 Produit d’une fraction et d’un nombre entier naturel (Voir chapitre
1) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71
15.7.2 Produit de deux fractions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71
15.7.3 Puissance d’une fraction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71
15.8 Resolution des problèmes avec le PPCM et le PGCD . . . . . . . . . . . . 72
16 PROPORTIONNALITE 73
16.1 Exemple de coefficient de proportionnalité . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73
16.1.1 Vitesse moyenne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73
16.1.2 Débit moyen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74
16.1.3 Masse volumique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74
16.1.4 Échelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75
16.1.5 Pourcentage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75
16.2 Représentation graphique des tableaux de proportionnalité . . . . . . . . . 76
16.2.1 Repérage dans le plan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76
16.2.2 Représentation d’un point dans un repère . . . . . . . . . . . . . . 76
RAPPELS
3. La bissectrice d’un angle est la droite qui passe par le sommet de cet angle divisant
l’angle en deux angles de même mesure :
4. Une hauteur d’un triangle est la droite qui passe par un sommet de ce triangle et
perpendiculaire au côté opposé à ce sommet :
5. Un triangle isocèle est un triangle possédant deux côtés égaux ou deux angles égaux :
6. Un triangle équilatéral est un triangle dont les trois côtés sont tous égaux ou encore
les trois angle aux sommets sont tous égaux :
8. Un losange est un parallélogramme dont les quatre côtés sont tous égaux ou dont
deux côtés consécutifs sont égaux :
10. Un carré est un rectangle dont deux côtés consécutifs sont égaux, ou un losange
dont l’un des sommet possède un angle droit :
4. – Le symétrique d’une droite (D) par rapport à une droite (L) donnée est une droite
(D0 ).
– Le symétrique d’un segment [AB] par rapport à I donne un segment [A0 B 0 ] qui
lui est égal.
5. Le symétrique d’un angle par rapport à un point I donne un angle de même mesure
que le premier :
6. Le symétrique d’un angle par rapport à une droite (D) est un angle de même mesure
que le premier :
DISTANCE
¨ Objectif :
A la fin de ce chapitre, l’élève doit pouvoir :
– Caractériser un cercle, un disque, un triangle à partir de la notion distance.
– Utiliser la notion de distance pour résoudre les problèmes.
¨ Pré-requis : La longueur d’un segment
Exercice d’application 2.0.1. 1. Construire les segments de longueur 2cm, 3, 6cm, 5, 8cm.
2. Le prof peut construire ici des segments et les faire mesurer par les élèves pour
déterminer leurs longueurs.
2.1 CERCLES
Définition 2.1.1. Un cercle de centre A et de rayon r noté C(A, r) est l’ensemble des
points M du plan situés à une distance r de A (c’est à dire l’ensemble des points M du
plan vérifiant AM = r).
NB : Le diamètre d’un cercle est toute corde du cercle passant par son centre : c’est
la corde la plus grande dans un cercle.
2.1.3 Le disque
Définition 2.1.3. Un disque de centre O et de rayon r noté D(O, r) est l’ensemble
des points M situés à l’intérieur de C(O, r) (OM < r), et des points situés sur le cercle
C(O, r) (OM = r).
Exemple :
2. Dans chacun des cas ,mesure les distances AB, BC, et AC.
3. Comparer AB + BC et AC, AC + CB et AB , BC + CA et AB.
Propriété 2.2.1. Dans un triangle, la mesure d’un côté est plus petite que la somme
des mesures des deux autres :
Propriété 2.2.2. Pour que trois segments formés par trois points non alignés forment
un triangle, il faut que la somme des deux plus petits segments soit supérieure au plus
grand des trois segments :
Solution :
1.
Nous faisons un disque D(Y on, 4) et un disque D(Y an, 3, 5) ; ces deux disque se
rencontrent à la partie coloriée en rouge matérialisant la zone où un point arrangerait
les deux villages .
2.
Non il n’est pas possible de construire un pont à moins de 3km des populations de Yon
il avantagerait plutôt cette population car les deux disque ne se rencontrent plus en
délimitant une partie de terrain.
Remarque 2.3.1. Pour trouver un arrangement de distance qui met en accord deux
camps ou deux points dans une situation problème, il suffit de fair des disque de centre
ces deux points et voir si la rencontre de ces deux disques délimite une région : elle sera
ici solution du problème posé.
Propriété 3.1.1. Le symétrique d’un cercle par rapport à un point donne un cercle de
même rayon.
Propriété 3.1.2. Le symétrique du milieu d’un segment par rapport à un point donne
le milieu du segment image :
Remarque 3.1.1. Pour trouver le symétrique de deux droites sécantes (D1 ) et (D2 ) par
rapport à une droite O, il suffit de trouver le symétrique d’un point de (D1 ) d’un autre
de (D2 ) et le symétrique de leurs points d’intersection par rapport à O puis on trace les
droites liants les points images et l’image de l’intersection des droites initiales.
ANGLES
¨ Objectif :
A la fin de ce chapitre, l’élève doit pouvoir :
1. Étudier la notion d’angle.
2. Maîtriser certains propriétés sur les angles.
3. Utiliser les angles pour faire des constructions.
4. Résoudre certains problèmes liés aux angles.
¨ Place dans la vie courante : Ce chapitre intervient fortement dans :
– La Navigation et l’aéronotique pour donner les coordonnées d’une cible.
– L’ armée pour donner les coordonnées géographiques et coder des message liés à une
cible.
– Le codage des informations.
¨ Pré-requis : Définitions générales sur les notions des angles de la classe de 6ème.
DM 4. 1a, 1b, 1c, 1d, 1e, 1f, 1g, 1i, 1, 2, 3, 4, 16 du livre de la collection CIAM.
Exemple :
\0 et BOA
AOB \0 , donc d’après les propriétés des symétriques de la classe de 6ème, on a :
mesAOB
[ = mesA \0 OB 0 et mesB
\ 0 OA = mesA\ 0 OB. En général, on dira :
Propriété 4.2.1. Deux angles opposés par le sommet ont la même mesure
– A
c1 et Bc1 sont deux angles dits correspondants ; Il en est de même pour A
c2 et B
c2 ,A
c4
et B
c4 ,A
c3 et B
c3 .
– A
c1 et Bc4 sont deux angles dits alternes-internes ; Il en est de même pour A
c3 et B
c2 ,A
c4
et B
c1 ,A
c2 et B
c3 .
Activité 4.3.1.
Propriété 4.3.1. 1. Deux angles alternes-internes formés par deux droites parallèles
et une droite sécante aux deux sont égaux.
Exemple : Dans l’activité précédente, on a :
2. Deux angles correspondants formés par deux droites parallèles et une droite sécante
aux deux ont la même mesure.
Exemple : Dans l’activité précédente, on a :
Demander au élèves de faire pareil pour les autres angles de la figure.
Exercice d’application 4.3.1. Soit la figure suivante ; L’objectif est de montrer que
(D1 ) // (D2 ). Pour cela nous allons montrer que les angles alternes-internes A
c1 et E
c1
formés par (D1 ), (D2 ) et (AE) ont la même mesure.
On a :
Solution :
1. On sait que A
b+B b+C b = 180˚ or C
b = 90˚ et B
b = 30˚ donc : Ab = 180˚− Bb−C b=
180˚− 90˚− 30˚= 60˚; On conclut que A b = 60˚.
2. On sait que A
b+ Bb+C b = 180˚or le triangle ABC est équilatéral d’où A
b=B b=C b;
donc on obtient 3A
b = 180˚ ce qui conduit à A b = 180˚ : 3 = 60˚. On conclut donc
que A
b=B b=C b = 60˚.
3. On sait que A+
b Bb +C b = 180˚or Bb=C b d’où on obtient A+
b Bb +B
b = 180˚c’est à dire
que A
b + 2Bb = 180˚. On a alors A
b = 180˚− 2Bb = 180˚− 2 × 50 = 180˚− 100˚= 80˚.
On conclut donc que A b = 80˚.
4. A
b = 180˚− B b−C b = 180˚− 46˚− 84 = 60˚
DM 6. 4e, 11, 12, 14, 16, 18, 19, 20, 22, 23, 27, 29 du livre de la collection CIAM.
¨ Objectif :
Nous voulons ici compléter les notions vues en classe de 6ème.
¨ Place dans la vie courante :
Ce chapitre intervient fortement en :
– Optique géométrique.
– Infographie informatique.
– Artisanat dans la réalisation de nombreux chefs d’oeuvres.
¨ Test de pré-requis : Exercices 1a, 1b, 1c, 1d, 1e, 1, 2, 3, 4, 5 du livre de la
collection CIAM
Propriété 5.1.1. Le symétrique d’un cercle (C) de centre O par rapport à une droite
(D)donne un cercle de même rayon que le premier.
Propriété 5.1.2. 1. Le symétrique d’un segment par rapport à une droite donne un
segment de même longueur.
2. le symétrique du milieu d’un segment par rapport à une droite donne le milieu du
segment image.
Propriété 5.1.3. 1. Le symétrique de deux droites parallèles par rapport à une droite
(D) donne deux droites parallèles :
2. Le symétrique de deux droites perpendiculaires par rapport à une droite (D) donne
deux droite perpendiculaires :
¨ Objectif :
A la fin de ce chapitre, l’élève doit pouvoir :
1. Reconnaître la médiatrice d’un segment.
2. Caractériser la médiatrice d’un segment.
3. Caractériser le cercle circonscrit à un triangle.
Propriété 6.1.1. Si un point est sur la médiatrice d’un segment alors, il est équidistant
de ses extrémités.
NB :
– équidistant= situé à égal distance
– Le triangle M AB est isocèle en M.
Propriété 6.1.2. Si un point est équidistant des extrémités d’un segment , alors il
appartient à la médiatrice de ce segment.
DM 8. 1a, 1b, 1c, 1d, 1e, 1, 2, 3, 4, 2a, 2c, 5, 6, 7, 15, 17, 2à du livre de la collection
CIAM.
3. Note I leur point d’intersection et construis le cercle (C) de centre I passant par A.
B ∈ (C) ?, C ∈ (C) ?
Propriété 6.3.1. Les médiatrices d’un triangle sont toujours concourantes ; Leur point
d’intersection est le centre d’un cercle passant par ses trois sommets.
Définition 6.3.1. Le cercle qui passe par les trois sommets d’un triangle est appelé
cercle circonscrit au triangle.
Propriété 6.4.1. La médiatrice (D) d’un segment [AB] determine deux région :
– Une région contenant A qui est l’ensemble des points M vérifiant M A < M B.
– Une région contenant B qui est l’ensemble des points M vérifiant M A > M B.
DM 9. 2a, 2b, 2c,4b, 4c, 5, 6, 7,11, 12, 25,27, 15, 17, 20 du livre de la collection CIAM.
TRIANGLES PARTICULIERS
Propriété 7.2.2. Un triangle équilatéral possède trois angles tous égaux à 60˚.
Remarque 7.2.1. Un triangle équilatéral est un triangle isocèle car il possède toutes
ses propriétés.
DM 11. 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 15, 17, 21, 24, 26, 28 du livre de la collection CIAM.
PARALLÉLOGRAMME
8.1 Parallélogramme
8.1.1 Propriétés d’un parallélogramme
Activité 8.1.1. 1. Construis un parallélogramme ABCD puis note O le point d’in-
tersection de ses diagonales.
2. Quel est le symétrique de B
b par rapport à O ? Quel est le symétrique de A
b par
rapport à O ?
3. Comparer alors les angles B
b et D
b puis A
b et C.
b
Propriété 8.1.1. Dans un parallélogramme, les angles des sommets opposés sont
deux à deux égaux.
4. calculer A
b + B,
b puis C
b + D.
b Que constate tu ?
8.2.2 Le carré
Propriété 8.2.3. Un carré est un parallélogramme qui est à la fois un losange et un
rectangle.
POLYGONES PARTICULIERS
9.1 Trapèze
9.1.1 Observation
1. Sur une feuille de papier, découpe un triangle quelconque.
2. Trace un droite parallèle à sa base puis découpe la feuille suivant la trace :
La figure obtenue par cette procedure est un trapèze
Définition 9.1.1. Un trapèze est un quadrilatère qui a deux côtés de supports parallèles.
Les deux autres côtés sont de supports sécants.
Exemple :
(AB) // (BC)
les côtés AD et BC sont appelés les bases
[AD] est appelé petite base et [BC] est appelé grande base.
Exemple :
Propriété :
Un trapèze isocèle possède un axe de symétrie
qui est la médiatrice de ses bases.
(L) est médiatrice de [AB].
(L) est la médiatrice de [DC]
mesA b = mesBb et mesC b=D b
Exemple :
Définition 9.4.1. Un octogone régulier est un polygone inscriptible dans un cercle ayant
huit côtés de même longueur.
Exemple :
PRISME DROIT
10.1 Description
C’est une figure que nous pouvons obtenir à côté de nous en divisant un morceau de
savon en deux suivant la diagonale d’une face en regard :
10.3 La pyramide
10.3.1 Présentation (Histoire des pyramides de Khéops en Egypte)
Exemple
¨ Objectif :
Rappeler toutes les notions vues en classe de 6ème concernant les entiers naturels, les
nombres décimaux relatifs, · · ·
– 458, 003 s’écrit en lettre : quatre cent cinquante huit unités trois millième.
– 4 535 048, 4506 s’écrit en lettre : quatre million cinq cent trente mille quarante
huit unités quatre mille cinq cent six millième.
11.3 Fraction :
11.3.1 Fraction égales
Ce sont des fractions obtenues en multipliant les composantes de l’une par un même
entier naturel. Exemple :
– 37 = 21
9
= 35
15
48
= 12 Car 21
9
= 7×3 ; 35 = 7×5
3×3 15
, 28 = 7×4
3×5 12 3×4
.
11.4 Division
Le quotient d’une division d’un entier par un autre peut être entier ou pas , on peut
avoir ou pas un nombre fixe de chiffres après la virgule. Exemple :
48 4
−
4 12
08
−
8
0
45 8
−
40 5.6 2 5
50
−
48
2 0
−
1 6
40
−
40
0
16 3
−
15 5.3 3 3 3 3 3 3 3 3
10
−
9
10
−
9
10
−
9
10
−
9
10
−
9
10
−
9
10
−
9
10
−
9
10
−
9
1
11.5 Proportionnalité
Un tableau est dit tableau de proportionnalité si en multipliant ou en divisant les
éléments d’une ligne on trouve ceux de l’autre ;
Exemple :
– Les nombres décimaux positifs sont situés à droites de 0.Exemple : −1, 35; −625, 453; −42563.4253; −
– Les nombres décimaux négatifs sont situés à droites de 0.Exemple : +3, 446; + 64, 826; +0, 006286; · ·
NB : On peut omettre le signe "+" devant les nombres décimaux positifs.
A a pour abscisse −3, B a pour abscisse +3, C a pour abscisse +5, D a pour abscisse
−2, E a pour abscisse −4, 5. On note alors :
E(−4, 5), A(−3), D(−2), B(+3) et C(+5).
grand que 425, 235 on écrit alors 425, 23548>425, 235. De même on aura : 63, 5 > 63, 423
et 4, 24541 > 4, 2455.
Remarque 12.4.1. On peut écrire en même temps que a>b ou que b<a le sens de
l’écriture ne change pas.
Exemple : −3 > −7, −3, 1 > −3, 32 et −4, 1654 > −4, 2.
DM 16. 3a, 3b, 3c, 10, 12, 13, 14, 15 du livre de la collection CIAM.
SOMME ET DIFFERENCE DE
NOMBRES DÉCIMAUX RELATIFS
3.8
+ 4.5
8.3
1 1
8.6 3 5
+ 1 6.4 6
2 5.0 9 5
1 1 1
2 3 5.6 5
+ 4.3 5
240
On a alors : A = −8, 3, B = −25, 095 et C = −240.
Exemple :
– A = (+5) − (−3) = (+5) + (+3) = +8
– B = (+13) − (+7) = +(13 − 7) = +6
x = (+4, 6) − (−2, 3)
= (+4, 6) + (+2, 3)
= +(4, 6 + 2, 3)
x = +6, 9
2.
(−3, 1) + t = +2, 5
t = (+2, 5) − (−3, 1)
= (+2, 5) + (+3, 1)
= +(2, 5 + 3, 1)
t = +5, 6
3.
v + (+1, 5) = (+3, 7)
v = (+3, 7) − (+1, 5)
= (+3, 7) + (−1, 5)
= +(3, 7 − 1, 5)
v = +2, 2
4.
−4, 6 + u = −3, 5
u = (−3, 5) − (−4, 6)
= (−3, 5) + (+4, 6)
= +(4, 6 − 3, 5)
u = +1, 1
DM 18. 12, 13, 14, 15, 16, 19, 20 21 du livre de la collection CIAM.
14.1 Présentation
14.1.1 Le carré
14.1.2 Le cube
Côté du cube 4 5 7
Activité 14.1.1. Completer le tableau suivant :
Volume du cube 64 27 8
NB :
– Si n = 2, a2 se lit a au carré.
– Si n = 3, a3 se lit a au cube.
Remarque 14.1.1. – 0n = |0 × 0 ×
{z· · · × 0} = 0 pour tout entier naturel n ≥ 1
nf acteurs
– 1n = |1 × 1 ×
{z· · · × 1} = 1 pour tout entier naturel n ≥ 1
nf ois
14.2.3 Calcul de am × an
Formule : am × an = am+n
Exemple :
– 105 × 103 = 105+3 = 108
– 72 × 76 = 72+6 = 78
– b3 × b2 = b3+2 = b5
DM 19. 2c, 3, 5, 8,9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 17, 18, 19 du livre de la collection CIAM.
FRACTIONS
Définition 15.1.1. Un premier est un nombre entiers naturel qui possède exactement
deux diviseurs : 1 et lui même.
4. Les nombres restant dans la liste et ceux entourés après la procédure sont tous
premiers.
Observation :
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14
15
16
17 18
19 20
21
22
23 24
25
26
27
28
29 30
31 32
33
34
35
36
37 38
39
40
41 42
43 44
45
46
47 48
49 50
51
52
53 54
55
56
57 58
59 60
61 62
63
64
65
66
67 68
69
70
71 72
73 74
75
76
77 78
79 80
81
82
83 84
85
86
87
88
89 90
91
92
93
94
95
96
97 98
99
100
NB : Pour les nombres supérieurs à 100, on vérifie si le quotient de leurs division par
2, 3, 5, 7, 11, 13, 17 est entier ou pas. S’il est entier, le nombre en question n’est pas
premier ou s’il s’il n’ est pas entier ou s’il y a reste de division, on vérifie si le quotient de
la division est plus grand que le diviseur ; si c’est le cas, ce nombre est premier.
Exemple :
177 = 2 × 88 + 1
177 = 3 × 59 + 0
163 = 2 × 81 + 1
= 3 × 54 + 1
= 7 × 23 + 1
= 11 × 14 + 9
= 13 × 12 + 7
On constate ici que 13 > 12 et le reste de la division n’est pas nul donc 163 est premier.
Propriété 15.2.1. Tout nombre plus grand que 1 qui n’est pas premier admet une de-
composition en produit de facteurs premiers.
Définition 15.4.1. Le Plus Petit Commun Multpile de deux nombres entiers naturels
a et b noté P P CM (a, b) est comme son nom l’indique est le plus petit élément commun
à l’ensemble des multiple de a et b.
Solution :
1. P P CM (2, 4) =?, 2 = 2 × 1, 4 = 22 donc P P CM (2, 4) = 22 = 4.
4 : 2 = 2 d’où 25 = 5×2
2×2
= 104
.
5 5×1 5
4 : 4 = 1 d’où 4 = 4×1 = 4 .
A = 52 + 54 = 10
4
+ 54 = 15
4
.
2. B = 3 − 43 = 13 − 34
P P CM (1, 3) = 3, 3 : 1 = 3 donc 31 = 3×3
1×3
= 93 .
3 : 3 = 1 donc 43 = 4×1
3×1
= 34 . D’où B = 31 − 43 = 9
3
− 4
3
= 9−4
3
= 53 .
1 5
3. C = 12 + 14 , P P CM (12, 14) = 22 × 7 × 3 × 3 = 84.
1 1×7 7
84 : 12 = 7, donc 12 = 12×7 = 84 .
5 5×6 30
84 : 14 = 6 donc 14 = 14×6 = 84 .
1 5 7
On a finalement C = 12 + 14 = 84 + 30
84
= 7+30
84
= 37
84
5
4. D = 8
+ 34 + 7
16
;
11 11×2 22
– P P CM (8, 16) = 16, ; 16 : 8 = 2 donc 8
= 8×2
= 16
.
7 7×1 7
16 : 16 = 1 donc 16 = 16×1 = 16 .
11 7 22 7 29
– D = 8 + 16 = 16 + 16 = 16 .
Règle : Entre deux fractions qui ont le même dénominateur, la plus grande est celle
qui a le plus grand numérateur.
Exemple : 17 4
> 49 > 34 > 14 ; 18
5
> 13
5
; 57 < 67 .
Règle : Entre deux fractions qui ont le même numérateur, la plus grande est celle qui
a le plus petit dénominateur.
9
Exemple : 95 > 15 8
; 300 < 84 ; 16
2
> 51 > 10
15
10
> 1000 .
29 47 47 58 47 58 29 47
– Comparer 49
et 98
c’est comparer 98
et 98
et on a : 98
< 98
donc 49
> 98
.
a r
15.6.3 Écriture d’un fraction b sous la forme q + b avec r < b
Règle : Il suffit de faire la division de a par b pour trouver q qui est le quotient entier
de cette division et r qui est le reste de la division.
Exemple : On veut écrire 143 15
et 132
13
sous la forme q + rb avec r < b.
1 4 3 15
8
-1 3 5 9 donc 143 = 9 + 15
0 0 8
1 3 2 13
2
De même : -1 3 0 10 donc 132 = 10 + 13
0 0 2
On a alors :
53
1. 13 < 4
< 14
53
2. 13, 2 < 4
< 13, 3
53
3. 13, 24 < 4
< 13, 26
DM 21. 3h, 3i, 4b, 4c, 14, 15, 17, 20 du livre de la collection CIAM.
Exemple :
– 54 × 45 × f rac45 = ( 45 )3
– 25 × 52 × 52 × 52 × 25 = ( 52 )5
4 4 4×4 42
Remarque 15.7.1. – 5
× 5
= 5×5
= 52
75
– 37 × 73 × 73 × 73 × 37 = 7×7×7×7×7
3×3×3×3×3
= 35
a n an
– On a généralement : ( b ) = bn .
PROPORTIONNALITE
Formule : V = dt , d = V × t, t = Vd .
NB : La vitesse moyenne est le coefficient de proportionnalité d’un tableau de pro-
portionnalité ayant les distances à la première ligne et les temps mis à la deuxième ligne.
Exemple : Completer le tableau suivant :
Distance (km) 120 90
temps mis (h) 150 4 2
Quelle est la vitesse obtenu par ce tableau ?
conversion de la vitesse :
– 3km/h = 3km
1h
= 1000km
60s
× 3 = 3×1000m
1×60s
= 300km
6
= 50km/h
3km
– 3km/h = 3 × 60min = 0, 5km/min
Exemple :
Volume (en dm3 ) 2 3
– Completer le tableau suivant :
Masse d’huile (en kg) 1,8 3,6
– En déduire la masse volumique de l’huile en question.
Remarque 16.1.1.
La masse volumique peut avoir plusieurs unités : on peut faire des conversions pour quitter
d’une unité à l’autre.
ρ
Formule : ρ = Vmasse
olume
, masse = ρ × V olume, V olume = masse
Attention ! Il faut au préalable convertir les données vers la même unité.
Exemple : ρ = 0, 85g/dm3 , V = 0, 25dm3 on cherche la masse.
– masse = ρ × V olume
– Conversion : 4, dm3 = 4250cm3 .
– masse = 0, 85 × 4250 = 3612, 5g.
DM 22. 1a, 1b, 1c, 1g, 1i, 3, 4, 5, 7, 13, 14, 15, 16 du livre de la collection CIAM.
16.1.4 Échelle
Définition 16.1.4. L’ échelle d’une carte est le quotient d’une distance sur cette carte
par la distance réelle correspondante.
16.1.5 Pourcentage
p a×p
Définition 16.1.5. le pourcentage 100
d’un nombre a est la quantité 100
.
Formule :
prixd0 achat
– bénéfice= prixdevente × 100
– prix de vente=prix d’achat + bénéfice
0 unproduit
– Réduction= nouveauprixd
ancienprixduproduit
× 100
– Nouveau prix d’un produit=ancien prix du produit-reduction
– ancien prix d’un produit= nouveau prix du produit + reduction
ancienprixd0 unproduit
– augmentation = nouveauprixdeceproduit × 100
– ancien prix d’un produit= nouveau prix de ce produit-augmentation
– nouveau prix d’un produit = ancien prix du produit = augmentation
DM 23. 1m, 1n, 10, 22, 25, 22, 31, 33, 34 du livre de la collection CIAM.
Le plan est représenté par deux droites graduées perpendiculaires dont l’une (D1 ) est
horizontale appelée axe des abscisses et l’autre est verticale appelé axe des ordonnées.
Un point sera caractérisé par un couple de coordonnées où la première composante
désignera son abscisse et la deuxième composante son ordonnée.
Exemple : A(2, 3), B(−7, −1) C(0, 1)
– A a pour abscisse 2 et pour ordonnée 3
– B a pour abscisse −7 et pour ordonnée −1
– C a pour abscisse 1 et pour ordonnée 3
– le point de rencontre des deux axes est l’origine O(0, 0) du repère.
Remarque 16.2.1. 1. Un point qui a pour abscisse 0 se trouve sur l’axe des ordon-
nées.
2. Un point qui a pour ordonnée 0 se trouve sur l’axe des abscisses.
2. Si les points placés dans le repère ne forment pas un droite alors le tableau ne
représente pas un tableau de proportionnalité.
17.1 Préliminaires
17.1.1 Produit des signes dans une multiplication
Dans une multiplication de deux entiers relatifs, on a :
– (+) × (+) = (+)
– (+) × (−) = (−)
– (−) × (+) = (−)
– (−) × (−) = (+)
Solution :
–
A = (+5, 4) × (−2, 5)
= −(5, 4 × 2, 5)
A = −12
B = (−4, 5) × (−2)
= +(4, 5 × 2)
= +9
C = (−6) × (+5)
= −(6 × 5)
C = −30
3. La partie entière du résultat est le produit des parties numériques des composantes
du produit.
4. On peut déplacer et regrouper certains termes du produit pour rendre les calculs
plus faciles et rapides.
Exemple : Calculer les produits suivants :
– A = (−0, 04) × (+1, 3) × (+10) × (−50)
– B = (−4, 2) × (−3, 75) × (−5) × (+200)
– C = (−2, 5) × (+8) × (+5) × (−2)
Solution :
–