TDR02 Planetes-Piles
TDR02 Planetes-Piles
TDR02 Planetes-Piles
Ex-TDR.1 Pile [ESIM
+
2003]
À p𝐻 = − log[𝐻3 𝑂 ] = 0, à la température de 298 𝐾 et à la pression atmosphérique, les valeurs
des potentiels de référence (potentiels standard) sont :
TDR2
- la polarité des électrodes ;
- la nature des réactions qui se produisent au niveau des électrodes (préciser la position de
l’anode et de la cathode) ;
- l’équation bilan de la réaction.
2) On remplace la solution (B) par la solution
• M7/SA4
(C) et le voltmètre par une résistance 𝑅.
2.a) Quelle est la valeur de la tension 𝑈12 =
𝑉1 − 𝑉2 aux bornes de la pile lorsque l’inter-
rupteur 𝐾 est ouvert ?
2.b) On ferme l’interrupteur 𝐾.
Écrire les réactions d’oxydo-réduction qui se
passent aux électrodes.
Donner l’équation-bilan des transformations
chimiques.
2.c) Calculer la constante 𝐾 ∘ de cette réaction d’oxydo-réduction.
2.d) Déterminer la concentration des différentes espèces dans la solution lorsque la pile est
« usée ». On fera certaines hypothèses que l’on pourra préciser ; en particulier, on néglige toutes
surtensions aux électrodes.
Planètes / Piles 2010-2011
Ex-TDR.2 Attraction gravitationnelle [CCP TSI 2010]
On considère dans ce problème que la Terre possède une répartition de masse à symétrie sphérique,
de centre 𝑂, de masse 𝑀𝑇 et de rayon 𝑅𝑇 . On pourra donc considérer que le champ gravitationnel
créé par la Terre en un point 𝑀 , est identique à celui créé par une masse ponctuelle 𝑀𝑇 placée
en 𝑂.
Préliminaire :
1) On se place en un point 𝑀 de l’espace, extérieur à la Terre et situé à une distance 𝑟 du centre
de celle-ci.
On notera 𝒢 la constante de gravitation universelle.
−→
Rappeler l’expression du champ gravitationnel 𝐺𝑇 (𝑀 ) créé par la Terre en un point 𝑀 de
l’espace.
−→
On exprimera 𝐺𝑇 (𝑀 ) en fonction de 𝒢, 𝑀𝑇 , 𝑟 et d’un vecteur unitaire que l’on précisera.
−→
Représenter le vecteur 𝐺𝑇 (𝑀 ) sur un schéma.
Première partie :. Satellite en mouvement autour de la Terre
On étudie le mouvement autour de la Terre d’un satellite 𝑆 de masse 𝑚 placé dans le champ
gravitationnel terrestre. On néglige les frottements.
Caractéristique du mouvement du satellite autour de la Terre
2) On se place dans le référentiel, considéré comme galiléen, qui a pour origine le centre de la
Terre et ses trois axes vers trois « étoiles fixes ». Quel est le nom de ce référentiel ?
→
− −
→
Déterminer l’expression de la force 𝑓 à laquelle le satellite 𝑆 est soumis. On exprimera 𝑓 en
fonction de 𝑚, 𝒢, 𝑀𝑇 , 𝑟 et d’un vecteur unitaire que l’on précisera.
−
→
Déterminer de même l’expression de la force 𝑓 ′ à laquelle la Terre est soumise de la part du
satellite. Justifier.
3) En appliquant le théorème du moment cinétique, montrer que le mouvement du satellite 𝑆
est nécessairement plan.
Sachant qu’à l’instant 𝑡 = 0 le satellite se trouve au point 𝑀0 et a une vitesse 𝑣0 , préciser le plan
dans lequel se fait le mouvement.
˙
On notera 𝐶 la constante des aires donnée par 𝐶 = 𝑟2 𝜃.
8) Déterminer l’expression de 𝛼 en fonction des données du problème.
9) Déterminer l’expression de l’énergie mécanique ℰ𝑚 du satellite 𝑆 en fonction de 𝑚, 𝑟, 𝑟, ˙ 𝜃˙ et
𝛼.
En déduire l’expression de l’énergie potentielle effective du satellite en fonction de 𝑚, 𝐶, 𝑟 et 𝛼.
Donner l’allure de la représentation graphique de l’énergie potentielle effective en fonction de 𝑟.
En exploitant cette courbe, indiquer en fonction de la valeur de l’énergie mécanique le type de
trajectoire suivie par le satellite et préciser dans chaque cas s’il s’agit d’un état de diffusion ou
d’un état lié.
10) Déterminer l’énergie mécanique ℰ𝑚𝑐 associée à une trajectoire circulaire de rayon 𝑟𝑐 en
fonction de 𝑟𝑐 , 𝑚, ℛ et 𝑀𝑇 .
Déterminer la première vitesse cosmique 𝑣1 , vitesse du satellite sur une orbite basse de rayon 𝑅𝑇
autour de la Terre en fonction de 𝑅𝑇 , 𝒢 et 𝑀𝑇 .
Ex-TDR.3 Planètes [ENSTIM 2007]
Nous voulons étudier le mouvement d’une planète 𝑃 , assimilée à un point matériel dans le champ
de gravitation d’une étoile de masse 𝑀𝑒 de centre 𝑂, considérée comme ponctuelle et fixe. La
planète de masse 𝑀𝑝 est située à une distance 𝑟 = 𝑂𝑃 de 𝑂. Nous considérerons un référentiel
lié à l’étoile comme un référentiel galiléen.
TDR2• M7/SA4
1) Exprimer la force exercée par l’étoile sur la planète en fonction des masses 𝑀𝑝 et 𝑀𝑒 , 𝑟 = 𝑂𝑃 ,
−−→
−
→ 𝑂𝑃
𝒢, la constante universelle de gravitation et le vecteur unitaire 𝑒𝑟 = .
𝑟
2) Justifier précisément que le mouvement est plan. Préciser ce plan. On notera (− →
𝑒𝑟 , −
→
𝑒𝜃 ) la base
−
→
de projection dans ce plan et 𝑒𝑧 , un vecteur unitaire suivant la direction du moment cinétique en
→
−
𝑂, 𝐿 = 𝐿− →
𝑒𝑧 . Rappeler l’expression de la vitesse en coordonnées polaires. Préciser l’expression
d𝜃
de 𝐿 en fonction de 𝑀𝑝 , 𝑟 et .
d𝑡
3) On suppose dans cette question que la planète décrit un mouvement circulaire de rayon 𝑅
et de période 𝑇 . On notera 𝑣𝑐 , le module de la vitesse pour un mouvement circulaire.
3.a) Établir l’expression de la vitesse de la planète, 𝑣𝑐 en fonction de 𝑅, 𝒢 et 𝑀𝑒 .
3.b) En déduire une relation entre 𝑅, 𝑇 , 𝒢 et 𝑀𝑒 (3ème loi de Képler).
3.c) Exprimer alors la vitesse 𝑣𝑐 en fonction de 𝒢, 𝑇 et 𝑀𝑒 .
3.d) En déduire l’énergie cinétique et l’énergie mécanique en fonction de 𝒢, 𝑇 , 𝑀𝑝 et 𝑀𝑒 .
𝑝
4) On rappelle que l’équation polaire d’une ellipse est 𝑟(𝜃) = où 𝑝 est une distance
1 + 𝑒.𝑐𝑜𝑠(𝜃)
appelée paramètre et 𝑒, un coefficient positif sans dimension appelé l’excentricité compris entre
0 et 1. On se propose d’étudier le mouvement de la planète à l’aide du vecteur excentricité,
→
− 𝐿
𝑒 =− .−
→
𝑣 +− →
𝑒𝜃 où −→
𝑣 est la vitesse de la planète, −
→
𝑒 est un vecteur orthogonal au 1/2
𝒢.𝑀𝑒 .𝑀𝑝
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Planètes / Piles 2010-2011
grand axe de l’ellipse voir figure ci-après). Aucune connaissance sur ce vecteur n’est nécessaire
pour répondre aux questions suivantes.
4.a) Montrer que ce vecteur est constant. Il
suffira de montrer que la dérivée de ce vecteur
est nulle.
4.b) En faisant le produit scalaire −
→
𝑒 .−
→
𝑒 et en
𝜃
s’aidant du dessin, montrer que
𝑝
𝑟(𝜃) =
1 + 𝑒 cos(𝜃)
Ex-TDR.4 Lune et satellite artificiel terrestres [ENSTIM 2003]
Pour cette partie, vous aurez à compléter, et à rendre avec la copie, la feuille annexe se trouvant
en fin de sujet.
La Terre possède un seul satellite naturel : la Lune. De nombreux satellites artificiels sont par
ailleurs placés en orbite autour de la Terre, dans des buts variés tels que les télécommunications,
la météorologie, la défense. . .
Cette partie se propose d’étudier quelques caractéristiques du mouvement des satellites terrestres.
On désignera par 𝑀𝑇 et 𝑅𝑇 respectivement la masse et le rayon de la Terre.
On donne 𝑅𝑇 = 6370 𝑘𝑚 et 𝑀𝑇 = 5, 98.1024 𝑘𝑔.
On rappelle que la constante de gravitation universelle a pour valeur 𝒢 = 6, 67.10−11 𝑁.𝑚2 .𝑘𝑔 −2 .
TDR2• M7/SA4
Sachant que la Terre est en orbite circulaire de période 𝑇𝑇 = 365 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 autour du Soleil, retrouver
la valeur de 𝑇𝑁 = 29, 5 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 pour la lunaison.
TDR2• M7/SA4
ℰ𝑚 = 𝑚 + 𝑈eff (𝑟)
2 d𝑡
Solution Ex-TDR.1
1.a) Les couples mis en jeu dans les deux compartiments de la pile sont identiques (𝐹 𝑒3+ /𝐹 𝑒2+ ) :
il s’agit d’une « pile de concentration ». Les demi-équations électroniques et la formule de Nernst,
pour chaque demi-pile sont donc :
( )
[𝐹 𝑒3+ ]
𝐹 𝑒3+ + 𝑒− ⇌ 𝐹 𝑒2+ ∘
𝐸 = 𝐸(𝐹 𝑒3+ /𝐹 𝑒2+ ) + 0, 06. log
[𝐹 𝑒2+ ]
• La bilan de la réaction, en indiçant les espèces pas le numéro de la demi-pile dans laquelle elles
se trouvent :
3+ 2+ 2+ 3+
TDR2• M7/SA4
𝐹 𝑒,
1
+ 𝐹 𝑒,
2
→ 𝐹 𝑒, 1
+ 𝐹 𝑒,
2
2.a) Lorsque l’interrupteur est ouvert, la différence de potentiel entre les électrode est donnée
par la formule de Nernst.
• Pour la solution (A), la demi-équation électronique s’écrit :
( )
3+ − 2+ ∘ [𝐹 𝑒3+ ] ∘
𝐹𝑒 + 𝑒 ⇌ 𝐹𝑒 ⇒ 𝐸,
1 = 𝐸(𝐹 𝑒3+ /𝐹 𝑒2+ ) + 0, 06. log = 𝐸(𝐹 𝑒3+ /𝐹 𝑒2+ ) = 0, 77 𝑉
[𝐹 𝑒2+ ]
• Pour la solution (C), la demi-équation électronique s’écrit : 𝐶𝑟2 𝑂72− + 14𝐻 + +6𝑒− ⇌ 2𝐶𝑟3+ +
7𝐻2 𝑂 ou encore : 𝐶𝑟2 𝑂72− + 14𝐻3 𝑂+ + 6𝑒− ⇌ 2𝐶𝑟3+ + 21𝐻2 𝑂
La formule de Nernst fournit :
( )
∘ 0, 06 [𝐶𝑟2 𝑂72− ].ℎ1 4
𝐸,2 = 𝐸(𝐶𝑟 𝑂 2− /𝐶𝑟 3+ ) + . log
2 7 6 [𝐶𝑟3+ ]
• Toutefois, le potentiel standard du couple 𝐶𝑟2 𝑂72− /𝐶𝑟3+ n’est pas donné. On écrit alors :
𝑈12 = 𝐸,
1 − 𝐸,
2 = 0, 77 − 1, 35 = −0, 58 𝑉 < 0
2.c) La constante de la réaction s’obtient en égalant les potentiels de Nernst. D’après le cours,
on a ∘ ∘
6.(𝐸 2− /𝐶𝑟 3+ ) −𝐸(𝐹 𝑒3+ /𝐹 𝑒2+ ) )
(𝐶𝑟2 𝑂7 1,33−0,77
∘
𝐾 = 10 0.06 = 10 0,01 ⇒ 𝐾 ∘ = 1056 ≫ 1
Cl : La réaction peut-être considérée comme totale.
TDR2• M7/SA4
2.d) Ne possédant que des informations sur les concentrations dans les demi-piles, pour faire
un tableau d’avancement, on doit supposer que leurs volumes sont identiques et faire un tableau
d’avancement en termes de concentration.
𝐹 𝑒2+ est le réactif limitant.
[𝐶𝑟2 𝑂72− ] = 0, 83.10−2 𝑚𝑜𝑙.𝐿−1 [𝐶𝑟3+ ] = 1, 3.10−2 𝑚𝑜𝑙.𝐿−1 [𝐹 𝑒3+ ] = 2.10−2 𝑚𝑜𝑙.𝐿−1
• Pour trouver [𝐹 𝑒2+ ], on utilise la constante d’équilibre en tenant compte qu’on travaille à
p𝐻 = 0.
( ) 16
2+ 3+ [𝑐𝑟3+ ]2
[𝐹 𝑒 ] = [𝐹 𝑒 ]. ⇒ [𝐹 𝑒2+ ] = 4, 9.10−2 𝑚𝑜𝑙.𝐿−1
𝐾 ∘ .[𝐶𝑟2 𝑂72− ].ℎ14
Solution Ex-TDR.2
−→ 𝒢𝑀𝑇 →
1) 𝐺𝑇 (𝑀 ) = − 2 .−
𝑒𝑟 F
GMT.m
=- er
𝑟 O M r2
(RG)
2) le référentiel ℛ qui a pour ori- G (M)=-
GMT
er
T r2
gine le centre de la Terre et trois axes e
dirigés vers trois étoiles fixes est le ré- r M (m) r = eO M
férentiel géocentrique ℛ𝐺 . O
Le satellite est soumis à la force : MT
−
→ −→ 𝒢𝑀𝑇 .𝑚 −
→
𝑓 = 𝑚.𝐺𝑇 (𝑀 ) = − 2
𝑒𝑟
𝑟
−
→ −
→ 𝒢𝑀𝑇 .𝑚 −
→
D’après le principe de l’action et de la réaction : 𝑓 ′ = − 𝑓 = 𝑒𝑟
𝑟2
3) D’après le théorème du moment cinétique en 𝑂 dans ℛ galiléen :
( −→ )
d 𝐿 𝑂/ℛ (𝑀 ) −→ −−→ − → − →
= ℳ𝑂 ( 𝑓 ) = 𝑂𝑀 × 𝑓 = 0
d𝑡
ℛ
{ −→
→
− −−→ = Cte
Donc 𝐿 𝑂/ℛ (𝑀 ) = 𝑂𝑀 × −
𝑣−−→
−−→ −−→
⊥ (𝑂𝑀 , −
𝑀/ℛ
𝑣𝑀/ℛ ) ∀𝑡
−−→
Donc 𝑂𝑀 et − 𝑣− −→
𝑀/ℛ (qui définissent le mouvement) sont perpendiculaires à une direction constante
−
→
de l’espace : le mouvement est donc contenu dans le plan perpendiculaire à 𝐿 𝑂/ℛ
−−→ −−→ −−−→ →
Le plan du mouvement est donc le plan (𝑂𝑀 , − 𝑣 ) = (𝑂𝑀 , −𝑣 )
𝑀/ℛ 0 0
−→ − → 𝒢𝑀𝑇 𝑚 𝑣2 𝒢𝑀𝑇 𝑚
𝑚.−
𝑎−
𝑀/ℛ = 𝑓 ⇔ 𝑚 𝑟¨ − 𝑟𝜃˙2 = − ⇔ 𝑚 − = −
𝑟2 𝑟 𝑟2
d𝑣
𝑟𝜃¨ + 2𝑟˙ 𝜃˙ 0 0
d𝑡
TDR2• M7/SA4
(−
→
𝑒𝑟 , −
→
𝑒𝜃 ,−
→
𝑒𝑧 ) 𝑧¨ 0 0 0
d𝑣
• D’où en projection selon −
→
𝑒𝜃 : 𝑚 = 0, soit : 𝑣 = Cte (le module de la vitesse est constant)
d𝑡 √
𝑣2 𝒢𝑀𝑇 𝑚 𝒢𝑀𝑇
• D’où en projection selon −
→
𝑒𝑟 : −𝑚 = − , soit : 𝑣=
𝑟 𝑟2 𝑟
√
2𝜋.𝑟 𝑟3 𝑇2 4𝜋 2
5) 𝑇 = = 2𝜋 d’où la 3ème loi de Képler : =
𝑣 𝒢𝑀𝑇 𝑟3 𝒢𝑀𝑇
6) On peut à partir de la trajectoire d’un satellite naturel (la Lune) ou artificiel connaitre 𝑟 et
𝑇 et en déduire la masse de la Terre : 𝑀𝑇 = 6.1024 𝑘𝑔 .
7) Les deux satellites 𝑆 et 𝑆 ′ étant sur la même orbite, tournent à la même vitesse constante
(indépendante de leurs masses 𝑚 et 𝑚′ !) : ils ne peuvent donc pas se heurter.
−
→ 𝒢𝑀𝑇 .𝑚 −
→ dℰ𝑝 −
→
8) 𝑓 = − 2
𝑒𝑟 = − 𝑒𝑟 soit :
𝑟 d𝑟
𝒢𝑀𝑇 .𝑚 (pour avoir ℰ𝑝 (∞) = 0)
ℰ𝑝 = − +
Cte
𝑟
𝛼
Donc : ℰ𝑝 = − avec 𝛼 = 𝒢𝑀𝑇 .𝑚 > 0
𝑟
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Planètes / Piles 2010-2011
9) 1 𝛼 1 𝛼
ℰ𝑚 = ℰ𝑘 + ℰ𝑝 = 𝑚𝑣 2 − = 𝑚.(𝑟˙ 2 + 𝑟2 𝜃˙2 ) −
2 𝑟 2 𝑟
1 1 𝐶 2 𝛼
= 𝑚.𝑟˙ 2 + 𝑚. 2 −
2
| {z } 2 𝑟
| {z } 𝑟
ℰ𝑘,radiale ℰ𝑘,orthoradiale
1 1 𝑚𝐶 2 𝛼
⇒ ℰ𝑚 = 𝑚𝑟˙ + ℰ𝑝,eff avec : ℰ𝑝,eff = −
2 2 𝑟2 𝑟