Pneumoconioses (PR DJAKRIR)
Pneumoconioses (PR DJAKRIR)
Pneumoconioses (PR DJAKRIR)
DEFINITION
Selon l’évolution
PREVENTION TECHNIQUE
Collective
Estimation du risque : détermination régulière de
la concentration atmosphérique de la silice
cristalline
Suppression du risque : par remplacement de la
silice par d’autres produits moins toxiques
Aspiration des poussières et ventilation
Travail en vas clos
Travail à l’humide dans les mines et percement de
tunnels
PREVENTION MEDICALE
visite périodique :
a lieu obligatoirement tous les 06 mois et chaque fois
que le médecin du travail le juge nécessaire
un examen clinique complet
radio du thorax à la recherche des premiers signes
radiologiques
la réalisation des EFR régulière est fortement
recommandée
visite spontanée :
prendre au sérieux les plaintes subjectives des
travailleurs tels que l’asthénie, l’amaigrissement,
l’anorexie
PREVENTION MEDICALE
visite d’embauche
écarter les sujets présentant :
• lésions pulmonaires chroniques : MP, bronchite chronique ;
asthme ; emphysème ;…
• séquelles d’affection pulmonaire : tuberculose ;…
• affection organique ou fonctionnelle susceptible d’augmenter
la ventilation pulmonaire
examen clinique complet
radio du thorax de référence
EFR éventuellement
PREVENTION
Individuelle :
Port d’équipement de protection respiratoire :
masques,
appareils de respiration autonome
Hygiène générale :
• lavages des mains avant repas ;
• douches en fin de journée de travail ;
• ne pas manger, fumer sur les lieux du travail ;
• tenues de travail et civiles séparées
REPARATION
DEFINITION
Résistance au feu
Résistance aux substances chimiques(acides , bases)
Résistance électrique
TRAVAUX et SOURCES d’ EXPOSANTS
EXTRACTION
• Les Mines et les Moulins : les travaux les plus dangereux sont : le
broyage, le concassage, le tamisage, le triage des fibres et leur
emballage.
UTILISATION
• Fabrication de matériaux à base d’amiante : fibrociment, freins et
embrayages
• Travaux d’isolation (thermique et sonore) et de Calorifugeage
• la confection de fours industriels, fabrication de matériel thermique et
frigorifique
• Travaux de flocage par projection au pistolet d’amiante mélangée à une
colle contre les murs ou les poutres.
• Industrie textile : l’amiante est transformé en fils qui sont tissés et
intervient dans la fabrication de gants, tabliers, cordons, couvertures
ignifugés.
PATHOLOGIE CLINIQUE DE L’AMIANTE
PATHOLOGIE BENIGNE
FIBROSE PULMONAIRE INTERSTICIELLE ou ASBESTOSE
Signes Cliniques:
Les signes cliniques sont plus importants que les signes
radiologiques Début lent, insidieux, progressif.
Signes fonctionnels
Le signe majeur est la dyspnée d’abord d’effort s’aggravant
progressivement
Toux le plus souvent d’irritation (sèche), parfois
accompagnée d’une expectoration muqueuse.
Douleurs thoraciques diffuses
PATHOLOGIE CLINIQUE DE L’AMIANTE :
PATHOLOGIE BENIGNE :
FIBROSE PULMONAIRE INTERSTICIELLE ou
ASBESTOSE
Examen physique :
Longtemps normale ou simple diminution de murmure vésiculaire
Diminution l’expansion thoracique
Plus tard quelques crépitant fins aux bases ou plus rarement
frottement pleuraux.
cyanose et hippocratisme digital à un stade avancé
• l’évolution se fait vers l’insuffisance cardiorespiratoire
chronique
TELETHORAX STANDARD
PLEURESIE AUTONOME :
L’épanchement est modéré, régressant spontanément, récidivant du même
ou du côté opposé.
Le liquide est exsudatif, sérofibrineux, sérohémorragique ou purulent de
cytologie normale
Sa survenue impose une surveillance ultérieure vue que la pleurésie peut être
un stade intermédiaire du mésotélium de la plèvre
PATHOLOGIE MALIGNE :
Cancers primitifs des séreuses : de la plèvre (mésothélium malin primitif), du
péricarde, du péritoine …
Cancer bronchique primitif
PREVENTION
PREVENTION TECHNIQUE
Collective
Visite d’embauche
Périodicité de 06 mois
Examens clinique et para clinique si le médecin du travail le juge nécessaire
Visite spontanée