Rapport de Stage
Rapport de Stage
Rapport de Stage
PAIX-TRAVAIL-PATRIE PEACE-WORK-FATHERLAND
RAPPORT DE STAGE
ERT-BTP
Encadré par :
DEDICACE
A La Famille BOUTCHOUANG.
REMERCIEMENTS
Nous rendons grâce au Seigneur Dieu tout puissant pour cette année académique
passée sous sa constance protection.
Enfin, nous remercions toutes les personnes qui nous ont encouragées et qui ont
participé au bon déroulement de notre stage.
RESUME
L’étude que nous avons réalisée pendant notre stage porte sur la mise en œuvre d’une
fondation de type : RADIER GENERAL, en vue de la construction d’un immeuble : Sous-sol,
Réez de chaussée plus six étages à la TOTAL BP CITE dans l’arrondissement de Douala V.
Dans un premier temps, l’étude a consisté à présenter l’entreprise d’accueil ainsi que les
différents intervenants du projet.
Dans un second temps nous avons présenté les généralités sur les fondations ainsi que
leurs conditions d’utilisation et enfin Nous avons Procédés à la mise en œuvre du radier
général pour notre immeuble en passant par la descente des charges sur le radier, les
Operations de terrassements et d’implantations.
ABSTRACT
The study we carried out during our internship concerns the implementation of
a foundation type: RADIER GENERAL, for the construction of a building: Basement,
Ground floor plus six floors at the TOTAL BP CITY in Douala V. At first, the study
consisted of presenting the host company as well as the various parts involved in the project.
In second, we have presented general information on the foundations and their
conditions of use and finally, we realized our building using RADIER GENERAL Method
through implementations and earthworks operations.
SOMMAIRE
DEDICACE............................................................................................................................... I
REMERCIEMENTS ............................................................................................................... II
ABSTRACT ............................................................................................................................IV
SOMMAIRE ............................................................................................................................ V
I. Introduction ......................................................................................................................... 5
I. Introduction ......................................................................................................................... 8
I. Introduction ....................................................................................................................... 22
I. Introduction ....................................................................................................................... 33
III.4.3 Ferraillage des deux nappes de radier et insertion des amorces de poteaux et
voiles périphériques...................................................................................................... 48
BIBLIOGRPHIE ....................................................................................................................... i
ANNEXES ................................................................................................................................. ii
INTRODUCTION GENERALE
La ville de Douala au Cameroun est considérée comme le principal centre des affaires
du pays à travers son potentiel économique qui se traduit par un nombre important
d’entreprise industrielles aussi bien locales qu’étrangères nécessitant une main d’œuvre
abondante et bon marché, mais aussi par l’estuaire du Wouri qui est la principale porte
d’entrée des marchandises de tout bord. C’est pour cette raison que les populations vivant
dans l’arrière-pays à la recherche du bien-être se retrouve à migrer vers Douala.
Cependant cette ville de Douala présente de nombreux problèmes à savoir : Le
désordre urbain, le non-respect des plans d’urbanisme et d’occupation des sols, les délestages,
le défaut d’alimentation en eau potable, la présence des marécages ainsi que la mauvaise
portance des sols. Le plus remarquable c’est le manque de logement, de parking, d’espace de
commerce et de bureau. C’est pour palier à ce problème de logement que de nombreux
opérateurs économiques ont décidé d’investir dans la construction des logements à usage
d’habitation et de commerce.
L’objectif de cet investissement étant de mettre à la disposition des populations de la
ville de Douala des infrastructures paisibles, sécurisés, et confortable qu’ils pourront
aménager selon leurs désirs afin de mener à bien leurs activités.
Toutefois il ne suffit pas seulement de construire, mais plus encore, de bien
construire ; et pour bien construire il est important de s’assurer du respect des lois
d’urbanisme, de s’assurer de la qualité du sol afin de réaliser les fondations (Socle sur lequel
repose le bâtiment au sol) qui passe par les sondages géotechnique, les terrassements et
l’implantation.
Comment à partir des rapports géotechniques et de la nature de l’ouvrage on procède
au choix d’un type de fondation pour notre structure ? Comment la mettre en œuvre afin de
garantir la stabilité et le confort de l’ouvrage ? D’où le choix de notre thème : MISE EN
ŒUVRE D’UNE FONDATION SUR RADIER GENERAL EN VU DE LA
CONSTRUCTION D’UN IMMEUBLE SS-R+6 A LA TOTAL BP CITE DOUALA.
Dans ce travail, nous commencerons par présenter l’entreprise d’accueil et le projet
d’étude, ensuite nous présenterons les types de fondations en fonction de leurs conditions
d’utilisation, et nous terminerons par les procédés de réalisation du model de fondation
choisi : Le Radier nervuré.
I. Origine et siège
ERT-BTP (Étude et réalisation des bâtiments et travaux publics) est une entreprise
camerounaise du secteur secondaire au statut juridique de société à responsabilité limité , crée
en 2006 par une équipe de jeune entrepreneur camerounais dont sont directeur générale M.
TCHEWA URBAIN diplômé de L’ENST (École normale supérieur de l’enseignement
technique) soucieux de travailler à leur propre compte afin d’appliquer sur le terrain toutes les
compétences acquises en formation et ainsi participer à leur manières au développement
socioculturelle, économique et infrastructurelle du continent africain et du Cameroun en
particulier. Cette entreprise est située dans l’arrondissement de Douala III, plus précisément à
la TEXACO aéroport.
Tableau 1: Fiche signalétique: ERT-BTP.
Nom de la société
ERT-BTP
Date de création
2001
Siege Douala TEXACO aéroport
Directeur Général
M.THEWA Urbain
Directeur technique
M. YAMDJO ALFRED
Contact
Tel : 663-601-970
699-59-92-58
Email : ertbtp@yahoo.fr
Domaine d’activité
Bâtiments, Travaux publics, charpentes
métallique, forages, étanchéité.
Nombre d’employés 12 permanents (Sous contrat)
50 Temporaires (A la tâche)
Forme juridique Société à responsabilité limité(SARL)
ERT-BTP, est une entreprise spécialisée dans le domaine du génie civil qui a déjà fait
ses preuves à travers plusieurs réalisations parmi lesquelles :
Hôtel de l’aéroport,
Immeuble galaxy (mbopi douala),
Immeuble ORANGE (bonapriso),
Magasin SOCOPRAMAC (Douala BALI),
Immeuble FODEC (Douala BALI),
ECOLE MOPING (Douala YASSA MAETUR),
Immeuble kemmoe François (Douala ngodi),
Immeuble FAIRWAY Douala (bonapriso voisin de BGFI),
TONGOU HOTEL (Yaoundé),
Immeuble Christophe (MALANGUE Douala),
Immeuble NUMERO UNO (SABLE Douala),
Plusieurs duplex (YASSA, BONAMOUSSADI, SABLE, LOGPOM, VILLAGE,
BORNE10, bonamoussadi gendarmerie),
Immeuble WAMBE face bijoux boamoussadi.
Ainsi que plusieurs ouvrages encours de réalisation dans les quartiers les plus prestigieux
de la ville de douala en vue de la canne masculine 2019.
Travaux de terrassement
Expertises techniques
Contrôle de travaux
Conseils et formation
Gros œuvre de bâtiment
Fabrication et livraison parpaings
Travaux de second œuvre (électricité, plomberie, carrelage,)
Travaux d’étanchéité
Travaux de rénovation
Construction, équipement et entretient des forages
Charpentes métalliques
Locations de matériels (Gru et bétonnières).
ERT-BTP, dispose d’un ensemble de dispositif par lequel elle répartit, organise,
coordonne et contrôle ses activités : une structure.
Les différents organes qui constituent la structure organisationnelle d’ERT-BTP sont
subdivisés en deux groupes :
Organe décisionnel : Constitué d’un directeur général qui coordonne les activités des
différentes autres directions, fixe les objectifs et met à leur disposition toutes les
ressources nécessaires pour le bon déroulement de leurs activités.
Organe Technique : Chargé de l’étude et la réalisation des travaux.
I. Introduction
Le projet sur lequel nous avons travaillé est celui de la réalisation d’un bâtiment de type
SS-R+6(Sous-sol, Réez -de- chaussé+6étages).
Comme énoncé précédemment le bâtiment sera construit sur un terrain rectangulaire de 28m
de longueur sur 14m de largeur soit une superficie de 392m².
Le terrain est situé en plein cœur de la cité ange Raphaël dans l’arrondissent de Douala V,
tout juste après l’Église catholique christ roi. Cependant il est collé à sa façade droite par le
mur mitoyen d’une vielle bâtisse utilisé comme débit de boisson ce qui pourrait entrainer des
éboulements lors des travaux de terrassements.
Le terrain est retirer de 4m de la voie principale qui donne sur ange Raphaël, on note
l’absence de cours d’eau, de voie ferrée, mais la présence de deux pistes secondaire donnant
accès aux maisons voisines.
Nous n’avons pas eu accès au rapport géotechnique issu des essais effectués sur le site
par le LABOGENIE, mais les informations recueillis durant notre stage font état de ce que la
portance du sol est de 1,59 bar à partir de 3,2m de profondeur, et la nappe phréatique se
trouvant à 13m de profondeur.
Les différents Acteurs qui contribuent à la réalisation de ce projet sont présentés dans le
tableau suivant :
Tableau 3: Les acteurs du projet
Ce bâtiment sera construit sur un terrain rectangulaire d’une superficie de 392m² (28m de
long par 14 m de large) au moment où nous débutions notre stage les travaux étaient à la
phase de terrassement raison pour laquelle nous choisit de travailler sur la mise en œuvre des
fondations.
Voir annexes : Plans de distribution du bâtiment.
Contrainte admissible retenue : 1,59 bar à une profondeur de 3,2 m.
I. Introduction
Un ouvrage quelle que soit sa forme et sa destination, prend toujours appui sur un sol
d’assise. Les éléments qui jouent le rôle d’interface entre l’ouvrage et le sol s’appellent
fondations. Ainsi, quel que soit le matériau utilisé, sous chaque porteur vertical : mur, voile
ou poteau, il existe une fondation.
II. Définition
Une fondation : est un ancrage dans le sol qui permet de transmettre à celui-ci toutes les
charges de la structure qu’elle supporte, tout en maintenant l’ouvrage stable et sans désordre.
Que ce soit un mur ou un poteau, chacun supporte une partie des charges de l’ouvrage,
c’est pour cela que sous un mur et un poteau on place une fondation qui permet de répartir la
même charge mais sur une surface horizontale plus importante afin de réduire la pression
exercé sur le sol.
Il faudra toujours s’assurer que la pression exercée par la fondation sur le sol est inférieure
à la pression que peut supporter le sol. La pression que peut supporter le sol est déterminée
grâce aux essais de reconnaissance de sol (Dans notre cas elle est de 1,59bar à 3,2 m de
profondeur).
Les fondations superficielles sont mises en œuvre lorsque la construction peut prendre
appui sur une couche de résistance acceptable à faible profondeur.
Les fondations sont dites superficielles si une des deux conditions suivantes est respectée :
H/L < 6 ou H < 3 m
Avec H : profondeur de la fondation et L : largeur de la fondation.
On en distingue deux types :
Elles sont généralement placées sous un mur ou sous plusieurs poteaux rapprochés,
Elles peuvent être armées ou non en fonction de la portance du sol, elles supportent les
charges assez faibles, elles sont de forme carrée, rectangulaire ou trapézoïdal, elles sont
faciles à mettre en œuvre et dans certains cas ne nécessite pas de coffrage car le béton épouse
la forme des parois du sol.
Ont les retrouvent toujours sous les poteaux des constructions pour Transmettre les
charges et surcharges du bâtiment au sol supports.
Ce sont des fondations qui sont utilisées lorsque le sol superficiel n’est pas assez résistant
pour supporter les charges, On en distingue deux types :
Ce sont des fondations qui prennent appuis à de très grande profondeur dans le sol.
Elles sont utilisées quand le sol est de très mauvaise portance, pour les bâtiments spéciaux, ou
quand le sol résistant se trouve à de très grandes profondeurs.
Ce type de fondation repose sur la reprise des charges par le sol en dessous de la base
de la fondation. On distingue principalement les pieux.
Un pieu : est une fondation profonde, élancée, et composée par une tête, une pointe et un fût.
Il peut être foré ou battu et trouvant résistance à de très grandes profondeur dans le sol, ou à
travers les frottements latéraux avec les parois du sol.
Un tube est enfoncé dans le sol par battage sur le bouchon, En phase finale, le béton est
introduit dans le tube par petites quantités, successivement pilonné à l'aide du mouton de
battage au fur et mesure de l'extraction du tube. Suivant les cas, les pieux peuvent être armés.
Un tube, muni à sa base d'une pointe métallique, est enfoncé par battage sur un casque
placé en tête du tube ou par battage sur le bouchon de béton. Le tube est ensuite rempli
totalement de béton d'ouvrabilité moyenne, avant son extraction.
Ici on procède d’abord au forage du pieux et c’est après qu’on introduit le béton. On
distingue :
Mis en œuvre à partir d'un forage exécuté dans le sol par des moyens mécaniques tels
que tarière sous protection d'une boue de forage benthonique ou avec polymères. Le forage
est rempli de béton de grande ouvrabilité sous la boue, en utilisant une colonne de bétonnage.
Mis en œuvre à partir d'un forage exécuté dans le sol par des moyens mécaniques tels que
tarière, sous protection d'un tubage dont la base est toujours située au-dessous du fond de
forage. Le tubage peut être enfoncé jusqu'à la profondeur finale par vibration. Le forage est
rempli partiellement ou totalement d'un béton de grande ouvrabilité, puis le tubage est extrait.
Micropieux
Les micropieux injectés sous forte pression permettent d’obtenir des portances plus
élevées. Pendant longtemps, cette technique n’a été employée que dans la reprise en sous-
œuvre de bâtiments et d’ouvrages. Par la suite le domaine d’application de cette technique
s’est élargie aux fondations d’ouvrages neufs dans certaines cas de terrains difficiles ou
contenant des obstacles durs divers tels que : anciennes fondations, blocs, couche dure, qu’il
serait très onéreux de traverser en forage de grande section.
Rapide
Près à l’emploi
Bonne stabilité
Couteux
Non maîtrise de la technologie
Nécessite des matériels spéciaux pour la mise en œuvre.
Ce sont des fondations qui sont misent en œuvre en fonction de la qualité du site. On en
distingue :
Fondations après épuisement : ce type de fondation est employé pour les travaux sur
les sites à proximités des rivières et des fleuves,
Fondation sur radier général : est utilisée lors de la construction sur un terrain dont
la résistance insuffisante contraint d’établir des semelles de très grande largeur.
Un radier : est une dalle renversée utilisé comme fondations sur les sols de mauvaises
portances et qui s’étend sur toute la surface du bâtiment à construire. Ce type de fondations
est utilisé sur les terrains de mauvaises portances et pour les constructions Présentant une
charge importante.
lorsque la capacité portante du sol est faible : le radier est alors conçu pour jouer un
rôle de répartition uniforme des charges,
lorsque le sous-sol d'un bâtiment est inondable : le radier joue alors le rôle d'un
cuvelage étanche pouvant résister aux sous-pressions de l’eau,
Le radier est justifié si la surface des semelles isolées ou continues est très importante
(supérieure ou égale à 50 % de l'emprise du bâtiment) Ce qui est le cas lorsque :
Le sol résistant se trouve en profondeur,
Les charges du bâtiment sont élevées (immeuble de grande hauteur),
L’ossature à une trame serrée (poteaux rapprochés),
La profondeur à atteindre pour fonder sur un sol résistant est importante,
Il est difficile de réaliser des pieux (coût - vibrations nuisibles),
Il existe des charges excentrées en rive de bâtiment.
Le radier comme toute fondation est soumis à des forces qui agissent sur lui à savoir :
La répartition des pressions sur le sol étant uniforme, cela nécessite un radier de grande
rigidité (forte épaisseur de béton, forte densité d'armatures) et si possible des poteaux
également distants.
Mais généralement les poteaux sont inégalement chargés Il est donc nécessaire de
renforcer le radier au droit des appuis des murs et des poteaux, car Le béton résistant mal à
la traction, on placera des armatures dans les zones tendues : en partie haute en travée et en
partie inférieure au droit des murs et des poteaux.
Les charges apportées par le bâtiment doivent être régulièrement réparties : pas de
bâtiment avec une partie haute et une partie moins haute pour ne pas engendrer des
tassements incompatible,
La répartition des contraintes sous le radier est uniforme,
Le sol d'assise a une résistance régulière (pas de tassements différentiels), La poussée
de l'eau n'est pas trop forte (soulèvement de l’ensemble du bâtiment).
Radier nervuré
Lorsque les charges sont importantes, pour que l'épaisseur du radier ne devienne pas
excessive, on dispose des travures de poutres (nervures) pour rigidifier la dalle ; elles peuvent
être disposées dans un seul sens ou dans deux ; cela dépend de la portée, de la disposition des
murs ou des poteaux. L’ensemble donne des alvéoles qu'il est nécessaire de rembler si on veut
utiliser le sous-sol ou faire une deuxième dalle en partie haute. Ici les poteaux et les murs
reposent sur les poutres.
La dalle du radier nervuré peut être située en partie inférieure : C’est la solution
rationnelle.
Avantages :
La dalle participe à la résistance de la poutre,
La dalle, placée en zone comprimée, renforce la poutre qui, de ce fait, est en forme de
T renversé ce qui lui confère une grande rigidité.
Inconvénients :
fouille importante mais simple,
coffrage compliqué et important, nécessité de remplir les creux entre les poutres et les
nervures pour utiliser la surface,
risque de sous-pressions plus important.
Avantage :
surface supérieure de la dalle directement utilisable
Inconvénients :
Armatures plus complexes,
épaisseur plus grande de la dalle, donc augmentation du poids.
La dalle se trouve dans la zone tendue de la poutre, et ne participe pas à sa résistance.
Radier champignon
Dans le cas d'une construction ossature on peut traiter le radier selon le principe des
planchers champignons, il ne comporte pas de nervure, ce qui permet d'avoir une surface plate
et dégagée pour de grandes portées. Les charges sont transmises des poteaux à la dalle épaisse
(50 cm) par l'intermédiaire de chapiteaux ce qui permet de répartir progressivement la charge.
Avantage :
facilité d'exécution
Inconvénient :
nécessité de répartir régulièrement les poteaux (la portée dans un sens ne peut
dépasser 2 fois la portée dans l'autre sens)
les chapiteaux "encombrement" au sol.
Le chapiteau peut être incorporé dans la dalle (béton fortement armé pour le chapiteau) ce
qui permet d'avoir une surface totalement plane.
Radier voûté
C’est une technique qui est utilisé afin d’augmenter les portées (distances entre les
éléments porteur) sur le radier sans augmenter l’épaisseur de la plaque du radier, pour cela on
utilise des voutes dont l’axes est perpendiculaire à la grande dimension du radier.
La mise en œuvre est assez complexe mais les radiers voûtés sont minces (12 à 20 cm) car ils
travaillent essentiellement en compression ; ils sont donc économiques en acier.
il est nécessaire de faire une répartition symétrique des charges ; les poussées des
voûtes sont reprises par des culées (aux extrémités) ou par des tirants (tous les 4 m
environ),
les tirants peuvent être constitués : par des barres en acier ou par des poutres en béton
armé placées perpendiculairement à l'axe des voûtes.
Avantage :
Économie de béton
Inconvénients :
difficulté de mise en forme du béton de la voûte,
coffrages des tirants,
remplissage des creux pour rendre la surface utilisable.
I. Introduction
Afin de garantir la sécurité, la stabilité et le confort d’un ouvrage, il est important de bien
choisir le type de fondation.
Cela dépend de plusieurs facteurs :
L’étude de sol : qui renseigne sur les propriétés et la portance des différentes couches
en place sur le site,
L’environnement : qui doit être pris en compte afin de détecter tous les éléments
pouvant avoir un impact sur notre fondation (Cours d’eau, voie ferroviaire, zone
industrielle),
La descente des charges : afin de déterminer la charge de l’ouvrage qui sera
transmise au sol par l’intermédiaire de la fondation.
Dans ce chapitre il est question pour nous d’évaluer les différentes charges permanentes et
variables du projet, d’exprimer la charge qui arrive au niveau des fondations et de vérifier les
contraintes sous le radier.
Charges permanentes
Béton 2500daN/m³
Agglomérés de 15*20*40 200daN/m²
Enduit au mortier liant hydraulique 18daN/m²
Dalle à corps creux 16 +4 285daN/m²
Revêtement en grès cérames avec mortier de
pose 60daN/m²
Faux plafond de plâtre 10daN/m²
Moquette 5daN/m²
Charges d'exploitations
Balcon 350daN/m²
Hall et escalier 250daN/m²
Parking et garage 400daN/m²
Terrasse accessible 400daN/m²
Salle de fête 400daN/m²
Faux Magasin 400daN/m²
Après descente des charges (effectuée par le cabinet de calculs de structures CABENO),
ils ont optés pour une fondation sur radier général de type NERVURÉ. Le tableau suivant
nous donne les charges transmises au radier par chaque poteau. Ces poteaux sont regroupés en
trois familles P1 (40* 60 cm ²), P2 (35* 50 cm ²), P3 (30* 50 cm ²).
La loi de dégression des charges est appliquée aux charges d’exploitation du fait que le
bâtiment possède six étages.
Tableau 6: Descente des charges sur les poteaux de fondations
Pu (1,35G + 1,5Q)
Désignation G(KN) Pser (G + Q)
Q(KN) KN
P1 2175,1 479,15 2654,24 3655,1
P2 1438,22 232,73 1670,952 2290,69
P3 1273,86 191,66 1465,52 2007,2
Le tableau précédent résume les charges qui arrivent sur chaque poteau (P1, P2, P3)
individuellement. On va donc multiplier ces charges par le nombre de poteau respectivement
(P1, P2, P3) afin d’avoir la charge total qui arrive sur le radier.
Total
Pu (1,35G + Total Pu (KN) :
Désignation Pser (G + Q) Nombre Pser(KN):
1,5Q) KN Pu*Nombre
Pser*Nombre
P1 2654,24 3655,1 4 10616,96 14620,4
P2 1670,952 2290,69 4 6683,808 9162,76
P3 1465,52 2007,2 16 23448,32 32115,2
Une fois la descente des charges au niveau du radier effectuée et la portance du sol connue
(1,59bar), on procède aux vérifications à L’ELS (État limite de service).
Données :
Total Pser = 40749,08 KN
Total Pu = 55 898,36 KN
Surface du radier = 303,46 m².
On se rend compte que le rapport entre la charge total qui arrive à la fondation, et la
section du radier choisi reste inférieur à la portance du sol, ce qui nous garantit que le
bâtiment pourra tenir sans désordre et avec le minimum de tassement possible.
Afin de s’initier aux calculs de structure il nous a été demandé par l’entreprise
d’effectuer notre propre descente des charges sur les poteaux et avec les mêmes hypothèses de
calculs afin de comparer nos résultats à ceux trouvés par l’entreprise.
Ici il est question de déterminé, les poteaux les plus chargés selon les types (P1, P2, P3)
qui nous serviront pour effectuer notre descente des charges.
Après évaluation des surfaces d’influence, on se rend compte que les poteaux les plus chargés
sont : P1 7E, P2 11A, P3 1E. Nous allons donc effectuer la descente des charges permanentes
et d’exploitations sur chaque type de poteaux que nous multiplieront ensuite par leurs
nombres pour avoir la charge total sur le radier.
223,1691
ETAGE 3 223,1691
ETAGE 2 223,1691
ETAGE 1 223,1691
RDC 223,1691
TOTAL 892,6764
SOUS-SOL Dalle 142,725
Poutres 21,4375
Carrelage 22,836
Faud plafond 3,8
Murs en agglomérés 76,12
Enduit au mortier hydraulique 6,8508
moquette 1,903
Poteaux P1 sous-sol 19,2
Poteaux P1 considéré 19,2
Chappe 43,769
TOTAL (Sous-sol) 357,8413
Il sera question ici, de déterminer comme précédemment sur les autres poteaux, et en
fonction des surfaces d’influences sur les différents planchers la charge qui arrive sur le
poteau P3 1E situé sur la fondation. Le tableau qui va suivre résume cette descente des
charges.
Total
Pser (G + Pu (1,35G + Total Pu (KN)
Désignation Nombre Pser(KN):
Q) 1,5Q) KN : Pu*Nombre
Pser*Nombre
P1 2507,6588 3462,41088 4 10030,6352 13849,64352
P2 1121,2201 1553,505135 4 4484,8804 6214,02054
P3 1401,41105 1935,102668 16 22422,5768 30961,64268
TOTAL sur le radier 36938,0924 51025,30674
Après descentes des charges sur les trois types de poteaux et en ayant considéré les
poteaux les plus chargés on constate que si on opte pour des semelles isolées sur chaque
poteaux, la charge étant importante au niveau des poteaux, on serrait obliger d’avoir des
semelles de grandes sections et très rapprochés ce qui est très dangereux pour la stabilité de la
structure. Nous avons donc opté pour un radier d’une superficie de 303,46m².
On obtient la charge suivante sur le radier à L’ELS :
Pser : 36938,0924KN, soit un décalage en surplus avec les résultats de l’entreprise de :
3810,9956 KN, ce qui s’explique par le fait que nous n’avons pas tenu compte de certaines
charges comme celle du vent. Et après vérification on obtient :
I. Introduction
Une fois tous les calculs effectués, on va passer à la phase de réalisation sur le site de
notre radier NERVURÉ.
Type de radier : Radier nervuré avec la dalle du radier général situé en partie
inférieure, constitué de longrines principales sur lesquelles s’appuient les poteaux
et les longrines secondaires réduisant la portée entre les panneaux de dalle, Béton :
dosé 350kg/m³ avec ciment CPA 42.5,
Armatures importés : Hautes adhérence (S500),
Notre radier est constitué deux types de longrines :
o Longrines principales (30*80 cm²))
o Longrines secondaires (25*60 cm²))
Deux nappes de radier en HA 12 (Acier haute adhérence) constitué comme suit :
Espacement entre les deux nappes : 35cm
Maillage au niveau de la première nappe 20 cm
Maillage au niveau de la deuxième nappe 15 cm
Voir annexes plan de fondations et détails de ferraillage.
Une fois que le rapport géotechnique indiquant la nature et les propriétés du sol étudié
ont été exploités, nous pouvons passer à la phase de terrassement.
A notre arrivé sur le site, il y reposait une vielle maison d’habitation abandonnée qu’il
a fallu détruire à l’aide d’une pelle hydraulique, ensuite les débris issus de cette destruction
ont été transporté vers la décharge.
Une fois la maison en place détruite, on passe à la pose des bandes de sécurité sur
toute la surface du terrain à terrasser selon les dimensions recommandées par les plans
architecturaux (Plan de masse et fondations), mais aussi pour éviter de détruire les murs des
voisins.
Une fois les bandes de sécurité posées, on passe à la réalisation de la fouille sur toute
la surface considérée (28 m de long et 14 m de large) et 5m de profondeur. Ici la pelle
hydraulique à l’aide de son godet et de sa perche va enlever les terres jusqu’à la profondeur
souhaitée et les chargées au fur et à mesure dans des camions qui vont les transportés vers la
décharge.
Une fois les terres enlevées selon la profondeur voulue, on procède à l’isolation du
bâtiment : c’est la mise à la terre qui permettra de protéger les installations électriques futures
de la foudre et des surtensions.
Matériel :
90m de cuivre
03 barres de Morpion
Procédé :
L’électricien effectue des petites fouilles sur toute la surface terrassé sur une
profondeur de 60cm. Il choisit deux point où il enfonce ses morpions (barres circulaire sur
lesquels se fixe les câbles de cuivre), ensuite il les relie par les câbles de cuivre et procède au
remblai des trous creuser tout en laissant visible sur une hauteur de 1m les câbles de cuivre
débordant et qui seront branchées ultérieurement aux installations électriques du bâtiment.
Une fois la fouille réaliser et sachant que le type de fondations à réaliser est un radier
général, on va procéder à un remblai sur toute la surface du fond de fouille et sur une
épaisseur de 30cm ,et après compactage à l’aide d’une dame sauteuse ont obtient une
épaisseur finis de 20cm. le remblai se fait à l’aide des camions qui transporte le matériaux de
remblais depuis la carrière et le déverse dans la fouille afin que les ouvriers à l’aide des
brouettes et des pelles manuelles vont se charger de rependre sur le fond de fouille.
Les matériaux de remblai utilisé sont issus de la carrière de RAZEL, à savoir :
La pouzzolane : qui est un matériau drainant, compact et utilisés pour les remblais
afin de limiter les tassements différentiels.
Le sable (Gros grain) : utilisé pour uniformiser la surface devant accueillir le béton
de propreté.
Une fois les travaux de remblais terminer et après le départ de l’engin, nous avons fait
face à de nombreux problèmes :
L’absence des reprises en sous œuvre des fondations voisines en place, ce qui pourrait
entraîner l’effondrement de la maison voisine,
Le terrassement partiel (28m de longueur sur 9m de large) aux lieux de (28 m de long
sur 14 m de large) Qui nous a amenés à augmenter la largeur de la fouille de 1,5 m de
part et d’autre de la fouille,
L’arrivée des pluies,
L’instabilité des terres en place, et les éboulements sans cesse permanant au niveau
des parois de la fouille,
Afin d’ajuster les dimensions de la fouille, nous avons ajusté les parois de 1,5m de
part et d’autre dans le sens de la largeur de manière délicate afin d’éviter les
éboulements de terre. Ceci a l’aide des outils manuels : pioche, pelle bèche, et de
quelques brouettes,
Les murs en voiles armés et étanche devront être réalisé sur toute la surface
périphérique du bâtiment afin de retenir les terres.
Une fois les travaux de terrassements effectués malgré les problèmes rencontrés et après
validation du bureau de contrôle, nous passons aux travaux d’implantation du bâtiment.
III.2.1 Définitions
L’implantation : c’est l’action qui consiste à reporter sur le terrain les dimensions
prévues sur la carte. C’est une étape capitale dans la construction d’un bâtiment car si elle est
ratée le bâtiment ne pourra plus respecter les dimensions ou l’usage souhaité.
Nous avons effectués l’implantation de notre bâtiment selon les dimensions prévues
par les plans de masse et de fondation fournies par les architectes.
Toutes ces étapes se font sur le fond de fouille oui il a été coulé un béton de propreté
sur une épaisseur de 7cm et dosé à 200kg de ciment (Dangote 42,5) par mètre cube.
Cette étape consiste à reporter sur le fond de fouille les repères prévus sur le plan de
fondation, et qui nous servirons par la suite à retrouver les axes. Tout d’abord le chef chantier
mesure avec le ruban la distance considéré à partir d’un point de référence choisi, et ensuite à
l’aide de sa station total, le géomètre stationne au point de référence choisi en occurrence le
poteau (P3-16-N), il vise le point suivant ou se trouve une mire et à l’aide de l’IMEL
(Instrument électronique de mesure des longueurs) incorporé dans la station total, il donne la
mesure que l’on ajuste en fonction du plan. Et lorsque cette mesure est vérifiée on enfonce le
jalon dans le sol en vérifiant l’alignement et les angles droits avec les jalons précédents. On
répète cette expérience jusqu’à ce que tous les jalons représentant les différents axes ont été
implantes dans le sol.
Ici il s’agit de fabriquer les chaises d’implantation sur les quelles seront reporter les
axes en conformités avec les repères de jalons installées au sol par le géomètre.
On commence par fabriqués les piquets de 1,5 m que l’on va enfoncer dans le sol à
l’aide d’une massette de 2kg de part et d’autre de la surface du bâtiment à construire.
Ensuite à l’aide d’une fiole que l’on remplit d’eau et que l’on plie en deux afin
d’avoir le même niveau d’eau dans les deux parties de la fiole.
On procède donc à l’installation des lattes de jointures qui donnent le niveau fini de la
fondation.
On commence par placer la première latte à 1m et puis à partir de la fiole et du niveau
d’eau on installe les autres lattes sur tous les piquets afin d’avoir un même niveau partout.
A l’aide des chaises d’implantation, de la ficelle, d’un niveau de chantier, d’une règle
verticale bien droite et du plan de fondation le technicien réalise les opérations qui suivent :
Il commence par le jalon de référence, ou il pose sa règle qu’il stabilise avec son
niveau, et lorsque la bulle se trouve dans les repères il pointe l’axe sur les chaises.
À l’aide d’un pinceau et d’une boîte de peinture il nomme l’axe conformément au plan
de fondation et c’est ainsi qu’il procède pour nommer tous les axes de notre projet en
occurrence les axes (A, E, I, N, P, 3a; 16, 10, 11, 7, 3A, 1).
Une fois que les axes ont été repérés on va procéder au traçage des talonnettes (Support
sur lesquelles reposent les longrines). Ici on distingue deux types de talonnettes en fonction de
la largeur de nos longrines :
Talonnettes de largeur 30cm
Talonnettes de largeur 25cm
Le matériel utilisé:
Un plomb d’axe
Une ficelle
Un cordex
Des lattes de 2m de long
Des pointes toc
Un marteau
Procédé :
Le procédé consiste à tendre la ficelle le long des axes des longrines indiqué sur les
chaises d’implantation. Ensuite à l’aide d’un plomb d’axe, le technicien localise l’axe au sol
en s’assurant de la verticalité avec la ficelle et puis selon le type de longrines il mesures la
largeur.
Après à l’aide d’un cordex attaché à une ficelle et rempli de bleu à linge, il étend ces
repères sur toute la longueur de la longrine et procède au coffrage des talonnettes avec des
lattes qui sera coulé avec un béton dosé à 200kg/m³.
Une fois les talonnettes coulées on commence le ferraillage des longrines. Cela
commence par le façonnage des cadres, des étriers, et des épingles qui sont en HA 10 (Aciers
haute adhérence de 10mm de diamètre), ici on en distingue deux types de cadre selon les
longrines :
Cadres (30*80 cm²) avec enrobage de 5cm on se retrouve à (30*70cm²)
Une fois que les longrines ont été ferraillées on passe au tissage de la première nappe
de radier qui repose sur des calles à béton (éléments en béton carré de 4cm d’épaisseur
permettant de respecté l’enrobage), qui est constitué des aciers HA de 12 mm de diamètre en
respectant l’espacement de 20 cm entre les mailles. On profite pour insérer les attentes (en
HA 12) des voiles périphériques au niveau des longrines d’extrémités, ainsi que les amorces
des poteaux (P1 : HA 14, P2 : HA 14 et 12, P3 : HA12) tout en respectant les longueurs de
recouvrement. Puis on insère les cavaliers (Barres en aciers pliées de 10mm de diamètre
utilisées pour maintenir l’écart entre les deux nappes), ensuite on passe à la seconde nappe
dont les mailles sont espacées de 15cm.
Une fois le ferraillage terminé, et après validation de la maîtrise d’œuvre nous passons
au bétonnage de la plaque de radier avec un vibreur à béton qui permet au béton d’enrober
complètement les armatures.
Les longrines ayant été réalisées, il faut fermer les vides entres les longrines afin de
réaliser la Chappe qui fera office de dallage du sous-sol.
On commence par effectuer un remblai au niveau des vides entre les longrines et le
fond de fouille à l’aide de la pouzzolane qui est un matériau compact et drainant, permettant
d’évacuer à partir d’un regard muni d’une pompe immergée , les eaux qui pourront migrer en
saison pluvieuse. On évite de compacter la pouzzolane afin de ne pas fragiliser la fondation,
les longrines secondaires ayant été enterrées.
Afin de sécuriser les parois il était important de se concentrer sur les voiles. Pour cela
une fois les longrines coulées au chantier de Bonapriso, nous sommes passées au ferraillage
des voiles à l’aide des HA 8 qu’ont attachent sur les attentes au niveau des longrines
périphériques en respectant les longueurs de recouvrement, comme la cage d’ascenseur les
voiles périphériques sont aussi constituées de deux nappes d’armatures espacées de 20cm et
cet épaisseur est maintenu à l’aides des épingles en HA 8 préfabriqués sur le chantier, chaque
voile est collé à un poteau pour assurer sa stabilité.
Ensuite on procède au coffrage des voiles à l’aide des panneaux métalliques de 3,8m de
longueur et 1.5 m de large. On positionne les panneaux du côté de la fondation et de l’autre
coté (cotés terre) on place des planches qui feront office de coffrage perdu, puis a laides des
étais métalliques réglables on calles le coffrage.
Une fois le coffrage terminé, on passe au bétonnage au fur et à mesure jusqu’à couler
tous les voiles sur toutes les extrémités du bâtiment.
Les voiles ainsi coulés marquent la fin de notre fondation, pour la suite on respectera
juste la structure à ossature (Poteaux-poutres-dalles) pour la réalisation des différents
planchers
CONCLUSION GENERAL
BIBLIOGRPHIE
SITES INTERNET
1. www.mémoireonline.com
2. www.Caterpillar.com
3. www.wikipedia.org
4. www.lesradiers.com
OUVRAGES TECHNIQUES
1. ING David NGANE. PROCÉDÉS GÉNÉRAUX DE CONSTRUCTION, septembre
2016
2. H.RENAUD. CONSTRUCTEUR BÂTIMENT TECHNOLOGIE, Les éditions
FOURCHER Paris CEDEX 01.
3. ERNST NEUFERT. LES ELEMENTS DES PROJETS DE CONSTRUCTION.
4. H.RENAUD. OUVRAGES EN BETON ARMÉ.
5. H.RENAUD. DESSIN TECHNIQUE LECTURE DES PLANS.
6. Dr.AMBA Chills. Cours de béton armé 1, février 2017.
7. Pr Eddy Baptiste. L’ENTREPRISE DE CONSTRUCTION édition MODULO 1985.
8. Philippe Garnier, Bernard LEHEMBRE. GUIDE DES METIERS DU BÂTIMENTS :
le maçon. Paris : NATHAN, 1997.
9. M.VOUFFO Marcel : Cours de matériaux de construction, novembre 2016.
10. M.TAOWE : Initiation au dessin technique novembre 2016.
11. M. KAMDEM Alain. Cours de résistances des matériaux, Décembre 2016.
12. M.MOSKOLAI JUSTAIN : Cours de gestion de projet, Janvier 2017.
13. AUGUSTAIN.K : Note de calculs et plans d’exécution.
ANNEXES
Ce tableau résume toutes les tâches effectuées durant notre stage, ainsi que les dattes.
Bétonnage de la plaque du
3 jours Lun 17-05-29 Mer 17-05-31
radier
REGION DU LITTORAL
REPUBLIQUE DU
DEPARTEMENT DU
CAMEROUN PAIX-
WOURI Arrondissement
TRAVAIL-PATRIE
de Douala 5
PLANS DE DISTRIBUTION
SOUS-SOL
RDC
ETAGE COURANT (1, 2, 3, 4,5)
ÉTAGE 6.
PLANS DE COFFRAGE
FONDATIONS
SOUS SOL
RDC, ETAGE 1, 2, 3, 4
ETAGE 5.
PLANS DE FERRAILLAGE
LONGRINES
MUR DE SOUTENEMENT
POTEAUX DE FONDATIONS (P1, P2, P3).