Onde de La Pesanteur Deuxieme Partie Ax26
Onde de La Pesanteur Deuxieme Partie Ax26
Onde de La Pesanteur Deuxieme Partie Ax26
- ONDES DE LA PESANTEUR-
- LES PARTICULES SONT BIPOLAIRES-
-LA PESANTEUR-
- TOUS LES PARTICULES SONT BIPOLAIRES-
Introduction
Comme la première partie ; dans laquelle j’ai énoncé le principe
fondamentale : tous les particules de la matière sont des aimants.
Merci
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Alors il y a des LOBES qui sont principales parce qu’ils occupent un domaine
plus large, ils sont plus directives que les autres; ils atteignent une distance plus
grande; c’est la direction pour laquelle le gain de l’antenne est plus grand. Il y
a des lobes secondaires qui sont plus petits et les domaines ou ils touchent
sont petits.
A gauche : 1 le lobe secondaire, 2 le lobe principale. Adroite : C’est dessus
un electron . E( champs electrique) B( champs magnetique). Ici le champs B
est le retour alors que le champs E est le champs en generale d’un electron. E
et B sont de méme nature.
La notion des lobes est importante car il joue un rôle dans l’ordre et par
conséquence dans l’orientation de champs. On trouve des galaxies en spirales
d’autres en forme de serpent l’ordre dans ces 2 sortes de galaxies est différent,
ceci commence au moment de la naissance de la galaxie dont l’origine est
explosive, il y a aussi influence des lignes de champs d’autres galaxies.
Voila une chose que les physiciens manipule toujours mais sans avoir une
image d’elle; alors que nous ancêtres avaient une image bien claire de la
matière et ses constituants. Des choses qu’on ne rencontre pas en classe ? !!
****(1) l’Ether entre dans le soleil et la terre et laisse un vide ente eux.
Dans le même temps j’ai lu dans un revue scientifique, que lorsque la terre
est en face de la lune les eaux de la mer montent, dans le domaine qui est en
face de la lune, mais aussi dans le domaine qui est dans la face opposée ;
c’était une très grande chose et ceci montre bien que la terre pressente des
pôles (ou se polarise), et ceci doit être pour tous les autres planètes et étoiles
et même les galaxies et les petites particules. C’est la POLARISATION par effet
de pesanteur, c’est une chose importante, qui est une preuve que les grands
corps sont aussi polarisables, donc ils prennent la forme d’un aimant, ce qui
convenable avec notre principe fondamental ; toutes les particules sont des
aimants. Pour simplifier les choses je manipule des aimants entre eux pour
sentir l’effet : Il fait les pôles de même signe en commun, et il sent les forces de
répulsions, puis les pôles de signes contraires, il sent les forces d’attraction
entre ces aimants, je tombe dans une conséquence à résoudre :
Les forces d’attraction entre les 2 pôles de sens contraires, c’est simple car le
magnétisme, ou champs magnétique, sort d’un aimant et pénètre dans l’autre;
pour former en fin un seul aimant; comme les lignes de champs se divergent
en s’éloignant des aimants. Ils poussent les aimants vers le lieu de champs le
plus mince, le retour de champs magnétique entre les deux aimants donne
aussi une force.
Voila une petite chose nouvelle : la force de champs magnétique se fait par
frottement entre les photons, ce n’est pas male ! Donc on peut imaginer un
autre modèle de la pesanteur ; on doit accepter pour le moment que les
planètes (ou planètes étoiles) en se polarisants il y a une qui fait le pole négatif
en face de l’autre qui fait le pole positif. Pour ce qui est de couple soleil-terre,
c’est le soleil qui présente le pole positif vers la terre et la terre présente le
pôle négatif vers le soleil ; parce que le soleil est très grand et rayonne plus
que la terre vers l’extérieure (peut être y a d’autres choses a manipulé comme
l’interférence… pour le moment on raisonne par absurde on trouvera après la
bonne solution).
Seulement une chose : considérons que nous avons 2 étoiles dont les masses
sont identiques. La réponse : ceci n’est jamais vraies il y a toujours une petite
différence de masse ce qui bascule les pôles de faite qu’il y a toujours une face
+ (positive) et l’autre face négative, et la polarité peut être entre eux
alternative, tantôt une positive l’autre négative et vis vers ça. Cette explication
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= = Tous les particules de la matière sont des AIMANTS, et tous les corps
de l’univers sont des AIMANTS; cela veux dire que toute la matière baigne
dans des champs. Mais le grand problème accepter ceci ; il faut résoudre les
conséquences, car dans ce temps les scientifique étaient, par exemple divisés
en 2 sur la notion des ondes électromagnétique. Une partie croix que les
photons sont des particules, et la lumière c’est des particules qui voyages a la
vitesse C (3*10E8 m / s). L’autre partie croix que la lumière, et les ondes
électromagnétiques sont des ondes d’un fluide appelé Ether : C’est un fluide
INCOMPRESSIBLE, très visqueux… En télécommunication on utilise beaucoup
les ondes électromagnétiques (téléphone, télévision, radio, faisceaux
hertziens…), Einstein à donner sa preuve comme quoi la lumière c’est des
particules, mais sa propagation se fait en groupes de photons donc sous forme
ondulatoire avec une fréquence donnée. On comprendra bien pourquoi la
lumière peut être étudiée comme particule ou comme onde. On découvre dans
ce travail que le photon est une particule qui ressemble à un aimant avec
deux pôles aussi.
Mais nous on part de faite que l’atome est composé de neutrons (et protons
jusqu'à nouvelle ordre) ; les neutrons sont composés d’électrons ; et les
électrons sont composés de photons. Et les photons sont composés de l’éther
(ou Devès comme on va découvrir) ; cet éther est composé de particules qui
tendent vers zéro (0) par leur volumes. La série est atome ; neutron ; électron ;
photon ; éther ; zéro. L’univers commence bien par des particules dont le
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volume égale à zéro ; jusqu'à lui qui est un infinie (on revient à ceci dans
l’infiniment grand).
1) En 1990 les scientifiques étaient tous d’acores que cette force est de même
nature que les forces électromagnétiques (d’ailleurs c’est un principe de la
théorie unificatrice des forces de la nature).
2) On savait des forces comme ceux qui lient les atomes entre eux,
Mais quoi tous cela il n y a pas une image claire de la matière, au moment de
la manifestation de ces forces. Et comme on ne peut pas construire des
appareils sensibles aux ondes de la pesanteur. Les choses sont devenues
difficiles. Devant le nombre très grands de formules scientifiques qui touchent
ce problème, on voit que la science entre dans une voie difficile parce qu’il
n’est pas facile pour un être humain de manipuler tous ces théories, et les
formulés dans son esprits à la fois pour en conclure. Et la preuve est que le
modèle STANDARD n’a pas bouger il y a plus de 30 ANS (sauf ce qui est
expérimentale : le collisionneur), possible il est sain, mais il n’est pas complet.
Donc il faut prendre une autre voie automatiquement. Et comme Amar vivait
dans la compagne il porte des PIERRES dans sa main, pour sentir la pesanteur ;
mais il ne trouve rien sauf qu’il y a des pierres lourdes et d’autres légères.
Une fois il avait l’idée de soulever une grosse pierre, mais a grande VITESSE ;
alors il sent que la force qui attire la pierre vers le bas c’est du MAGNETISME, il
répète la chose plusieurs fois c’est toujours la même sensation : le magnétisme.
Il conclue que la force de la PESANTEUR ressemble au MAGNETISME.
Donc la pierre est un aimant, la terre aussi un aimant (il savait que tous les
corps surtouts les métaux sont plus au moins des aimant , et ils rayonnent des
ondes électromagnétiques… c’est un point positif), le soleil est un aimant,
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l’atome est un aimant, donc les photons sont aussi des aimants, et on ne peut
accepter cela que si la matière commence par une particule dont le poids et le
volume sont pratiquement égale à 0 ( zéro ); autrement qui va être le courant
qui pénétrera les photons (car une propriété d’un aimant est qu’il est pénétré
par de magnétisme, de pôle négatif vers le pôle positif)
LA BARRIERE
Messieurs Rayleigh-Jeans ont fait un calcul pour la densité des radiations
pour un ensemble d’oscillateurs harmoniques (un dipôle de deux charges q+ et
q-) dans leur temps ils ont trouvés la formule suivante (Maxwell avait déjà
montré que la lumière est une onde électromagnétique):
ρ (ν,T) =( 8π kTν²/c³)
ρ (ν,T) = la densité de l’énergie de l’onde électromagnétique, ν : la fréquence,
T : la température, c : la vitesse de la lumière, K : constante de Boltzmann. Si
on intègre ceci de zéro (0) jusqu’a l’infinie sur la variable ν (la fréquence) on
trouve ; infinie (∞).
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(8π KT/C³) dν = ∞
Les physiciens de temps voulaient améliorer ceci à cause de la tendance à
l’infinie (dans ce temps on ne connaissait pas les électrons ou les neutrons qui
sont venues avec Rutherford et Frédéric Joliot-Curie…). Parce qu’ils cherchent
quelque chose qui ne tends pas à l’infinie, et voir le phénomène d’un autre
coté. Mais on peut trouver une solution de Cette formule qui peut nous
conduire à la densité des radiations, en fonction de la température dans une
bande de fréquence donnée !!! Il suffit d’intégrer seulement dans cette
bande de fréquence, au lieu d’intégrer de zéro (0) à l’infinie.
Comme K = 1.380662/10²³ →
================================
Une densité satisfaisante étant donner la grande vitesse de la lumière et
avec les outilles de Planck, Rutherford, Einstein, Bohr … elle peut être utile.
De cette façon on aboutie directement sur la densité lumineuse, car cette
formule indique la densité dans une bande donnée d’un système dont les
éléments sont des émetteurs et récepteurs de lumière. Et la relation de la
puissance émise par un oscillateur (dipôle) était égale à :
Wém= 16π⁴ν⁴q²ε⁴/3C³. On sait d’autre part que l’énergie (puissance) d’un petit
volume électromagnétique = dW/dt, contient une partie d’énergie qui se
transforme en énergie thermique ou mécanique, et une partie rayonnée vers
l’espace, à travers la surface élémentaire qui entoure le petit volume
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--∭jE
/μ
Pour nous la formule de Rayleigh-Jeans est juste (possible elle lui manquait
seulement une constante) parce que intégrer pour la fréquence entre moins
l’infinie et l’infinie ne donnera que l’infinie (jusqu'à maintenant une fréquence
infinie est difficile à définir). Mais dans le temps la notion de bande de
fréquence n’existait pas et la télécommunication aussi ; pour enrichir la
science. C’est la contribution de Planck :
2)) Si la fréquence était très petite, c.-à-d. des ondes très longues presque
une fréquence continue, nous aurions fait des alternateurs sur terre sans
excitatrices.
3)) Des expériences sur des rayons X ou Gamma n’on pas eux lieu jusqu'à
notre temps, je souhaite que des gens qui ont des moyens, de faire des
expédiences dans ce domaine, et de voir si des rayons X et gamma ; influencent
le poids des matériaux et ont une attraction sur ces matériaux, comme la
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pesanteur, c.-à-d. une radiation gamma qui rencontre une feuille très mince lui
inflige une force de pesanteur en plus de la force électromagnétique.
Pourquoi j’étais obliger de voir les choses autrement, au lieu de passer à des
trucs de math…
QUELQUES HYPOTHESES
La chose bizarre des ondes électromagnétiques est leur aspect :
corpusculaire (transport de l’énergie et de la matière) ou ondulatoire
(transport seulement de l’énergie ?) Mais la chose est la
// Est-ce que par Bohr par exemple le passage de l’électron à un niveau plus
haut, donne naissance à des photons qui voyagent avec la vitesse C vers
l’infinie (et ces photons sont formés sur le tas par les électrons et protons, ou
ils étaient dans le cortège électronique ?)
Dans tous les cas les photons particules existent que leur vie soit petite ou
grande, ce qui permit des réactions avec d’autres particules (ils donnent
naissance à d’autres particules). D’autre part si on considère une particule
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LES TOURBILLONS
On considère qu’un tourbillon se forme :
// Ou par la différence de température entre les deux faces d’un plan; d’où une
face s’allonge plus que l’autre.
Parmi les tourbillons les grands cyclones dont l’énergie est énorme
(Amérique Californie l’océan indien la tache rouge de Jupiter…). Plusieurs
tourbillons s’organisent entre eux pour former un tourbillon (une particule)
stable dont l’aspect un peu sphérique. Une chose fondamentale de tourbillon
est lorsqu’il se trouve dans un champ il se polarise, mais pas dans tous les
champs (l’œil de cyclone par ex. descend l’air froid vers le bas et l’air chaud
monte sur les bords).
plus petite que le premier, donc sa force est très faible par rapport à celui qui
est aigue et très longue pour toucher d’autres particules.
Pour l’élément qui a quitter l’atome, lui aussi présente un trou qui est égale à
l’empreinte qu’il a laissé sur le proton, mais son trou est négatif, c’est
obligatoire parce qu’il était lier au proton au moment de son arrachement. Le
tourbillon devient un primitif de toutes les particules.
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****(4) une particule avec son champs E (ici un électron) et son champ
B (magnétique)
****(6) un atome avec des pôles positifs et des pôles négatifs. A droite
plusieurs atomes en association.
Alors une façon pour que deux atomes forment une liaison entre eux, est de
se rapprocher, comme ils ne sont pas fixes dans l’espace (rotation), tantôt il y
a leur 2 pôles de même signes en face ils se repoussent, tantôt il y a leur 2
pôles de signes contraires en face ils s’attirent, et c’est ça la vie des nucléons
dans l’atome. Donc aussi la vie des atomes dans les molécules une affaire de
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résonnance (il est possible pour détruire une molécule, il faut détruire la
résonnance entre ces atome, possible pour tous les éléments de la matière).
Ceci est possible entre ions, ce qui change c’est la distance entre particules qui
est grande. Mais aussi des forces continues en fonctions évidement de
fréquence de champs E.M. Dans le cas de courte distance des champs entre
pôles, on dit que les particules sont Cocons (sont neutres).
Vous voyez bien que les choses sont bien compacte la nature apparait uniforme
(ceci n’est pas contre le modèle de Rutherford et Bohr, et Pauli ou Van Der
Wales …) mais il ne faut pas presser.
Deux atomes liés : les noyaux sont verts, le gouge c’est le cortege des photons et
electrons. A droite j’ai ajouté les poles positif et negatif qui interviennent dans une liaison.
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**** le schema de gauche est celle d’un proton chargé positivement le gain
dans cette direction (+) est grand. Celle de droite c’est un electron le gain est
grand dans la direction (-).
** le schema de guche est celle d’un proton chargé positivement le gain dans cette
direction (+) est grand. Celle de droite c’est un electron le gain est grand dans la direction
(-).
Quel est le champ qu’on cherche ? (on connait un entre charge, l’autre de la
pesanteur pas encore !)
Pour remplir la surface avec les éléments constitutifs d’une particule comme
l’atome, il faut beaucoup des éléments ; on sait que l’’atome change de nature
rien qu’avec 2 éléments (la loi de deux de Mendeleïev); mais cela ne veux pas
dire que nous avons remplie toute la couche ! La différence qu’on attribut aux
éléments dit naturelle est purement chimique (c’est vraie la cause est une
différence de masse donc de nombre de nucléon plus la loi de deux), après les
éléments sont différents par leur cortèges électroniques, alors pour nous tous
les atomes sont composés de même sorte de particules.
Nous voyons qu’il arrive un certain moment dans les conditions de notre terre
l’atome ne peut pas grandir à cause par exemple de la force centrifuge F =
mω²r … cela va de soit si la vitesse angulaire augmente la force centrifuge
augmente, et d’autant plus que son rayon est grand, et comme nous somme
devant des particules assez grandes (plusieurs nucléons, uranium …) il est
évident qu’il est difficile de les tenir en place.
De la même façon les photons sont identiques se sont des marques pour les
ondes électromagnétique, ils peuvent se grouper donc ils arrivent a une
certain dimension donnent une masse. Si la masse dépasse la vitesse C : elle
s’explose en photons. C’est pourquoi aussi la vitesse des objets ne peut
atteindre la vitesse de la lumière. On peut faire un petit calcul pour déterminer
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ceci (voir dessous force centrifuge et masse des photons, car la vitesse dont
on parle est aussi circulaire vitesse de formation des particules)
De même quand la force F qui agit sur le point M de masse m, dérive d’un
potentiel U(r) qui ne dépond que de la distance r =OM, le vecteur J=OM^mV
est constant donc si la distance OM diminue la vitesse doit augmentée.
tous les éléments. Ici on va rappeler et introduire une autre formule avant
Einstein pour résoudre un problème de la fréquence-énergie-masse-volume : Il
est bien connue : un corps en mouvement circulaire prend de l’énergie
cinétique la vitesse moyenne de ce corps est v0 (vitesse circulaire de ses
composons), et un volume k0, si par un moyen ou un autre on diminue son
volume alors sa vitesse moyenne devient supérieur v1 > v0 (on appelle ceci
contraction des corps en mouvement de rotation)
Nous voyons notre tourbillon comment il a passé, vitesse très petite vers
une autre très grande rien qu’on changeant de volume, voila l’image de notre
particule et sa formation devient de plus en plus claire ; sa densité devient
grande avec la vitesse de ces éléments, la densité est donc fonction aussi de la
vitesse de ses éléments comme par leur nombres. En fin c’est une idée qui
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peut arriver dans la nature, alors que la formation des électrons a partir des
photons, peut se faire par pression ou en juxtaposition des pôles comme il a
était signalé plus haut.
Considérons une masse m, de volume v1, sa densité est ρ1, elle a une vitesse
angulaire de ω1, sans translation son énergie cinétique est Ec1=j1ω1²/2, il
passe à ω2>>ω1 donc sa densité devient ρ2, on considère que la masse ne
change pas, cas de particules qui conservent leur individualité
m1 = ρ1 V1 m2 = ρ2 V2 = m1 = m ρ2 = ρ1 V1/V2
ρ2 = ρ1 (ω2/ ω1)³
(ω2/ ω1) est toujours supérieur à 1 donc la densité croit très vite avec la
croissance de la vitesse angulaire. Le volume, peut ne pas être une sphère, les
choses ne changent pas beaucoup. Vous aller me dire donc si la vitesse des
constituons de l’éther est plus grande que la vitesse de la lumière donc l’éther
est plus dense que toute sorte constituons dans l’univers ; pas à pas.
Notre corpuscule devient de plus en plus petite mais son énergie est grand
donc avec ces particules on peut former des fréquences très grandes sans
perdre le coté énergie. C.-à-d. si on lance 100 billes à la seconde sur un cible,
ce dernier recueillera plus de d’énergie que si on lance sur lui 50 billes à la
seconde. L’augmentation de l’énergie de l’oscillateur avec la fréquence revient
à ça ; et la théorie de Planck est juste comme-ça, mais il faut reconnaitre que
ceci n’est qu’un cas particulier des photons des ondes électromagnétiques,
donc s’il y a des photons qui sont de masse plus petites les choses seront
différentes ce qu’on va démontrer après et c’est la clef de la pesanteur.
// La formule de Louis est juste aussi si E= mc² = hν ; Car λ=h/mv avec
v=c et m=hν/c² donne cT= cT
// Elle est aussi juste (sans passer par le graphe) si on considère la variation de
la masse en tant que produit ; il est évident que lorsqu’on passe de l’élément
Fe (fer) vers l’élément Pb (plomb) la masse augmente et le volume augmente
peu, il peut diminuer pour d’autres produits, donc le volume ne varie pas et la
masse varie, la longueur d’onde diminue et l’énergie augmente.
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// Une constatation sur les geysers artificielles des jardins ; est que même si la
pression de la pompe est constant il y a une alternative dans le débit, il change
de temps à autre, donc le débit présente un mouvement ondulatoire, ceci peu
être expliquer par la pression sur les parois qui augmente (donc les
frottements) ce qui oblige le débit de diminuer, puis les choses recommencent.
C’est bien un truc de Louis.
INTERFERENCE ET Devès
Les interférences des ondes électromagnétiques, ont étaient bien
expliquer la première fois par Fresnel à travers sa méthode de construction
vectorielles, d’où il déduit que la lumière est une onde, c.-à-d. que ces ondes
transportent de l’énergie et pas de la matière ; ces ondes sont comme les
ébranlements, les ondes acoustiques, les vagues … Mais pour nous nous
somme obligés d’introduire quelques supplémentaires. Etant donnée pour
nous l’onde de la lumière est aussi une succession de particules, donc la
lumière n’est pas une onde comme les vagues de la mer par exemple. Et la
propagation de la lumière se fait par transport de l’énergie et de la matière.
Ces particules se manifestent un peu différemment suivant leurs longueurs
d’ondes.
//Pour les petites longueurs d’ondes les particules sont pénétrantes, pas
d’ambiguïtés.
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L’INTERFERENCE
Pour l’interférence on peut imaginer des choses comme ça :
Les deux ondes en phases ; les deux photons se rencontrent et leur énergies
s’ajoute vectoriellement, il y a la frange blanche. S’il y a conservation de
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L’onde résultante à une longueur d’onde plus grande (f/2), on peut ne pas
recevoir la lumière à cause de cette fréquence. Les calcules comme vous savez
montres que si les deux ondes ont la même fréquence; il y a augmentation
d’amplitudes et des bandes latérales apparaissent.
Dans une antenne isotrope les photons se propagent suivant des sphères.
Avec des densités variables en fonction de la période. Pour un faisceau
lumineux il est isotrope il tombe sur le lieu de réflexion il est polarisé dans les
lieux qui sont inclinées par rapport au faisceau (on revient à Malus) on
peut conclure : ** lorsque les deux faisceaux sont en phase entre eux, sur les
lieux de réflexion on reçoit une intensité lumineuse. ** lorsque les 2 faisceaux
ne sont pas en phase, par rapport au lieu de réflexion ;a) ils se rencontrent loin
de lieu de réflexion ils ne sont pas réfléchies ils se dispersent latéralement. b)
ils sont les photons ou ondes un peu décaler l’un par rapport à l’autre, l’un
abime l’autre et il n’y a pas de réflexion aussi. c) Ou ils s’alignent les uns
derrière les autres pour donner une fréquence différente qui n’est pas vue.
LES Duvets
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// Les photons des ondes électromagnétique; depuis les ondes longues, radio,
les courtes, les rayons X puis les gammas ces photons s’organisent pour former
des groupes de photons (propagation des groupes, bande passante…) // Des
photons plus petits qui sont des photons manipuler par les nucléons, et sont
responsable sur la pesanteur, comme on va monter après, ces photons on va
les appelés les Duvets se sont les constituons des photons des ondes
électromagnétiques (c.-à-d. un photon est constituer par plusieurs Duvets)
D’après les travaux de Bohr on peut conclure que les photons sont
composons des électrons, mais comment se fait cette création ? ?????
a) à la façon des tourbillons comme les palettes d’un ventilateur, donc les
électrons poussés par quelque chose, fabriquent les photons, suivant leur
énergie, on obtient les différentes bandes des ondes électromagnétiques.
Comme on ne sait pas ce quelque chose on supposera que se sont les
Devès (ou des particules petites que les électrons), donc tous les ondes
électromagnétiques connus sont fabriquées par les Devès (possible ceci
à l’intérieur des grandes masses)
b) les photons peuvent être la désintégration des électrons et protons,
suivant le modèle de Planck, c.-à-d. que l’électron une fois il ramasse de
l’énergie de l’espace (à la façon de tourbillon), une autre fois après une
excitation donnée il émet cette énergie sous forme des photons à une
fréquence donnée ; on peut conclure que les électrons sont composés des
photons.
c) Pour nous on va continuer maintenant avec les Devès et on va dire au
revoir aux photons (qui sont aussi un assemblage des Duvets !)
Lorenz Einstein
Il faut dire un mot de travail d’Einstein parce que, on manipule la formule
E=mc², et le travail d’Einstein utilise une chose comme m=mo/(1-v²/c²)½ ;
lorsque v tend vers l’infinie ceci temps vers l’infinie, une chose qui na pas de
sens, car on considère que le photon à une masse (nous avons donné quelques
explication avant comme quoi la vitesse d’un objet ne peut atteindre la vitesse
de la lumière, autrement il s’explose en lumière ou autre onde
électromagnétique comme gamma…). Cette formule est venue comme vous
savez de Lorenz et Einstein; qui dans le temps cherchent à résoudre un
problème de Michelson (l’expérience de Morley et Michelson célèbre),
Michelson voulait savoir si la lumière est une onde de l’éther, et que l’éther
existe mais les résultats étaient inattendus. En effet les radars utilisent la
fréquence, qui est réfléchie sur un objet dans le ciel pour savoir sa position et
sa vitesse; cette dernière est déduite de la différence entre la fréquence émise,
et la fréquence reçue, les deux fréquences sont différentes si l’objet est en
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Dans 2 repères l’un a une vitesse par rapport à l’autre, la vitesse de la lumière
est la même dans les deux repères ! On cherche à résoudre l’équation qui vient
des 2 repères avec le facteur Ψ(v), une fonction de la vitesse de premier
repère par rapport à l’autre.
L’introduction de Ψ(v) vient de faite, que 2 fonctions tendent vers zéro (0)
en même temps mais ils peuvent être toujours différentes entre eux, ils
trouvent Ψ(v) =1 pour v=0 donc Ψ(0)=1, et en fin quelque soit v nous avons
Ψ(v) = 1, ceci donne que l’équation en haut devient
ξ²+η²+ ζ ² - c²τ² = (x²+y²+z²-c²t²) quelque soit v, une chose qui n’est pas vraie
si v est différente de 0, Lorenz à résolu le problème comme suit :
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(3) y = η , (4) z = ζ
Vous savais qu’après résolution des équations (1) et (2) par (3) (4) (5) et (6) on
trouve
β = 1/(1-v²/c²)½ τ = β( 1- vx/c²)
Einstein à sortie par la grande porte pour sa formule E = mc² ; car il n’y a pas
ici de variable d’espace ni de temps et nous somme très loin de transformé de
Lorenz et toute autre considération. Donc nous avons le droit d’utiliser cette
formule dans le cas ou une masse se transforme en photons.
Chaque file crée dans l’espace un champ magnétique, d’après la loi de Biot et
Savart
dB = μ(I^dl)/4πr²
a) lorsque les 2 courants sont de même sens, les deux files se repoussent (les
forces entre 2 aimants). Il y a entre les deux éléments conducteurs
accumulation des ondes électromagnétiques ce qui pousse les deux files.
Remarquez si le même cas que deux aimants qui ont leur polarité de même
sens en face (il y a choc entre les photons ; sens opposés).
****(16) la rencontre des champs dont les sens sont contraire il y a une
force de répulsion; les F.
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****(17) dessus le rencontre des champs dont les sens sont inverses, il y
a attraction ; les F. à droite remarquez une solution le sens des courants de
champ magnétique dans II et dans І peuvent s’interchangés.
b) Si les deux courants sont de sens contraire il ya attraction entre les 2 files, ce
n’est pas le cas de deux aimants dont les 2 pôles en contactes sont de signe
contraires, mais un autre phénomène. On va supposer comme d’habitude des
solutions et on prendra celui qui est juste ; pour que le lecteur ne cherchera
pas ce que nous avons prouvez faux. On sait qu’il y a attraction entre deux
aimants lorsque deux pôles de sens contraires se rencontrent (il est très
possible que dans ce cas il y a la même chose le courant de champ de file 1
coule avec celui de file 2, et vis vers ça les photons de file 2 coulent avec les
photons de file 1. Mais on va faire des hypothèses ! Il s’agît de créer un
courant d’air entre deux ballons, qui sont accrochés par 2 fils et proche l’un de
l’autre. Le courant d’air qui passe entre les deux ballons crée une attraction
entre eux.
l’étude approfondie de cette phénomène montrera les causes qui font qu’il y a
attraction entre les deux ballons; est ce que c’est aussi une affaire d’une
dilatation d’aire après et avant son passage entre les 2 ballons ? ( le champs
magnétique ne se délatte pas , vitesse constante c ) , ou un effet, que l’air est
composé de particules ? ou tous simplement la cause des lois bien connues de
l’aérodynamique, et dont la résistance de l’air sur les faces est fonction des
formes des objets, je dit ceci pour bien faire l’analogie, dans tous les cas la
force qui existe entre les deux ballons dans le cas de l’air, est purement
aérodynamique, c’est une expérience bien connue dont la force moteur est le
poids des ballons ( hydraulique des fluide compressible) et la vitesse de l’air
qui est plus grande sur les faces internes que les faces externes ?! Donc le
champ magnétique se comporte comme de l’air (coté force), le champ
magnétique n’est pas compressible, mais sa densité peut varier en fonction de
la cause de sa création (l‘intensité des électrons…). c.-à-d qu’on n’est pas dans
le même cas. Notre phénomène possible comme la résistance de l’air sur les
ailes d’une avions ou il y a trainée et portance…?
Notre explication est la suivante : C’est une chose qui a un rapport avec
l’écoulement de l’air, qui est entre les deux objets dans un seul sens, alors
sur les faces extérieurs, il y a accumulation de champs magnétique (ou l’air )
de sens contraires , donc il y a plus de force dans les régions extérieurs, que
entre les deux objets , c’est pourquoi les deux ballons s’attirent entre eux ; Il y
a deux choses : 1) accumulation des champs magnétique au point C, 2) cette
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accumulation arrive aux points B, ce qui crée la force vers l’intérieur entre les
deux files. Cette solution n’est pas contre la première en haut.
****(19) dans le lieu C se rencontre les deux champs, ce qui pousse les
champs vers les lieux B, donc une force extérieur plus grande que celle qui
existe entre les deux files. Le champ autour de chaque file est isotrope, on les
approche l’un par rapport à l’autre il y a création d’une dissymétrie (la vitesse
de champs électromagnétique est grande et entre les conducteurs il y a
presque un vide les photons ne se touchent pas comme à l’extérieur des
filaments).
F = Q [E + {(v + u) ^B)}]
Le travail sur une charge Q d’un conducteur linéaire, ne tient pas compte de
champs magnétique, c.-à-d. il y a la force de Laplace, c’est parce que le champ
est perpendiculaire sur la direction des électrons. Donc on voit d’après ce
travail que la manifestation de champ, est magnétique conservatif ; un
champ qui ne pénètre pas les objets, mais il réagie par contre sur le nuage
44
photonique de ces objets, c.-à-d. que le champ magnétique n’exerce pas une
force sur l’intérieur d’une charge (alors que le champ électrique pénètre la
charge pour exercer une force sur elle). Mais exerce aussi une force par
frottement et choc avec les champs magnétiques de la charge sur laquelle il
s’applique. Dans le cas de champs d’un aimant permanant, ce champ
magnétique pénètre l’aimant mais pas les charges, dans le cas de l’attraction
entre deux aimants (c’est la somme de champs magnétique de plusieurs
électrons). La force entre les aimants ce fait entre leur champs, pas entre les
aimants. En effet le champ électrique ou magnétique c’est la même chose (se
sont des photons) ce qui change c’est la façon avec laquelle se crée les
forces : électrique ou magnétique.
La forme des lignes de ce champs induit, est un peu bizarre on sait quelles font
un tour autour de filament métallique conducteur, suivant la loi d’Ampère (ou
le bonne homme d’Ampère ; penser a l’antenne isotrope).
QUELQUES interprétations
1)) la bobine de Lenz n’est pas tous a fait perpendiculaire sur les
champs magnétique !
3 )) une des interprétations est que le flux réagit sur le métal conducteur
par pression de champs sur la surface de ce métal , c.-à-d. que lorsqu’on
approche le solénoïde ce dernier baigne , dans ce champs la partie
extérieur est plus grand ( surface extérieur de solénoïde ) donc c’est
elle qui reçoit le plus de champs , donc c’est sur elle qu’il y a plus
de tension ; et le sens de rotation de flux autour de filament se fait
de l’extérieur vers l’intérieur (on voit que cette explication
rencontre la notion de surface qu’on trouve dans les formules de
Newtons et Coulomb…) donc dans le sens de création d’un champs
suivant la loi de Lenz (on voit ici 2 phénomènes se manifestent en même
temps : le frottement de champs avec le métal et la poussée de champs
sur les électrons).
****() La partie de solénoïde qui est vers nous est celui le plus près de
l’aimant A = aiment permanent il a le sens de parcours de la flèche B , le flux
frotte sur le métal en extérieur suivant la petite flèche (entre les lignes de
champs) , c’est le sens de champs magnétique induit , le bonne –homme
d’ampère nous donne le sens de courant . **** dessin de droite ; A = aiment
permanent son mouvement suis la flèche B, les lignes de champs frottent le
métal en extérieur suivant le sens de la petite flèche, (entre les lignes de
champs magnétique de l’aiment) ce qui nous donne le sens de champs induit,
ajoutez le bonne-homme d’Ampère on tire le sens de courant.
surface extérieur de solénoïde qui commande , on peut dire que c’est elle qui
enveloppe le plus de flux, (Les anciens ne donne pas la valeur de champs
magnétique , est-il plus intense à l’extérieur ou à l’intérieur de solénoïde ).
C’est normale on veut cette méthode, parce que dans notre travail il
faut qu’on introduit une image de relation de champs magnétique et
l’électron, c.-à-d. comment le champ pousse, frotte avec l’électron.
Bon après sa liberté, il est guidé par le champ électrique alors que le
champ magnétique le poussait dehors de son orbite (même dans l’état
d’ionisation par ce que, s’il était libre il aura échappé de l’édifice
cristallin). Le champ magnétique présente une rotation autour de métal,
c’est à dire qu’il est hélicoïdal dans sa marche ou dans la direction de
son vecteur directeur.
Bon pour ne pas perdre de temps. Dans le temps de Galileo qui pourra savoir
qu’un morceau de bois, et un morceau de fer ont la même accélération dans
une chute libre ? Une chose journalière mais toujours cachée, après Galileo et
newton on sait par exemple que la pesanteur ne s’exerce pas sur les masses
molécules (les corps) ou les atomes mais sur les nucléons et photons … !
Et voila on va respirer et nous avons une autre vue sur notre champs
magnétique et électrique (merci soleil merci Andromède…). C’est vraie il faut
qu’on respire qu’on se repose ….
Apres quelques jours voila une batterie le courant sort sur un filament, ou
plutôt les électrons circule dans ce filament ils créent un champ magnétique
rotatoire ou circulaire (ce n’est pas la magnétite ! ce n’est pas la dynamo …). Ce
n’est pas la même chose, car nous avons dans ce cas un Rot E = 0). Mais on va
voir apres que l’atome à aussi son rôle.
Il y a un jouer des enfants ci-dessus qui montre bien que la rotation des files
de part et d’autre de l’anneau, sont de sens contraire, si on tourne l’objet
suivant la flèche v la rotation de I sur I’ à un sens contraire de la rotation de #
sur #’, les lieux A et B sont fixes, le corps C tourne suivant V.
50
Ce qu’on doit tenir c’est le coté topo du champ magnétique réagit par
frottement avec le champ magnétique de l’électron, et ceci arrive sur la face
extérieur de solénoïde. Le problème se trouve résolu : dans le cas ou on fonce
l’aimant il y a frottement sur la face extérieur et création d’un courant
électrique suivant ce champ qu’on exercice. Lorsqu’on tire il y a création de
courant suivant le nouveau champ. Pour ce qui de la symétrie ceci la part
possible des maths.
La dispersion
51
L’onde se réfracte avec un angle beta (β), mais si on dispose d’une deuxième
réfraction, on voie par exemple la lumière blanche qui est devenue plusieurs
lumières monochromatiques ; et si on pousse l’analyse on constate que ceci est
aussi une polarisation; donc la lumière se polarise après réflexion et après
réfraction, presque une chose normale. Cette dispersion ou cette polarisation,
nous montre qu’on obtient un rouge d’une fréquence donnée, un vert d’une
autre fréquence, jusqu'à le violet. On sait que les ondes grandes fréquences ont
une densité linéaire plus grande que les petites fréquences.
Pourquoi le rouge à une densité linéaire plus petite que le violet ? Comme
les photons sont de même dimensions, la différence de densité peut venir de :
1)) de la distance parcourus par ces photons ; les rouges ils ont parcourus une
distance plus grande que les violets comme ils ont la même vitesse, la distance
entre les photons des rouges est plus grande que la distance entre les photons
de violet ; cela vaut dire aussi que la lumière blanc n’est pas composé des sept
monochromatique ; mais ils sont construit sur le tas. 2)) les photons par choc
élastique avec les atomes de cristal une partie est réfléchies vers l’axe verticale
( OZ , noir et jaune ) ; il y a plus de photons de coté de cette axe(OZ), c’est bien
que la densité des photons est plus grandes vers l’axe OZ, donc nous avons de
ce coté le violet, et loin de cette axe les photons sont moins dense c’est le
rouge (dans le reperd OZ’ il y a étalage de spectre). On caractérise ceci par le
vecteur d’onde K = n.ω/C. C = vitesse de la lumière dans le vide, n = l’indice de
milieu ou se propage l’onde qui est fonction de la distance entre les atomes, de
nombre des ions libres, de la pulsation de l’onde ω… à tel point qu’on peut
dire que la lumière blanc est une couleur.
La cellule photo-électrique
La cellule photoélectrique à était découverte par le physicien allemand
Hertz, il à était interprété par Einstein, d’où il à tirer son conclusion sur la
lumière : il est composé des photons. L’amélioration de cette cellule à donner
naissance à la diode et triode … donc à l’électronique notamment la
télécommunication (Marconi…), et grâce à ceci l’homme à fait un pas sur la
lune. L’utilisation de la cellule photo électrique à permet à Einstein et autre de
faire la mesure de l’énergie cinétique d’un électron qui échappe à la cathode :
mv²/2 = W – Wo ; *Wo est l’énergie nécessaire pour extraire l’électron de son
orbite ; *W est l’énergie de la radiation ; *mv²/2 l’énergie cinétique de
l’électron après son extraction. Einstein donne la valeur h(ν-ν₀)=W–Wo. Avec
hν = W et hν₀ = Wo, ν est la fréquence de la radiation, ν₀ une fréquence qui
correspond à l’énergie d’extraction.
53
Une autre chose l’énergie des radiations est égale à h (ν + ν₀), après ce
travail, est ce que le photon disparait totalement, donc il se transforme en
Duvets, ou il suit son chemin avec l’onde électrique ?, mais il n’a pas d’énergie
pour cela. Bon il a seulement son énergie de rotation ! Donc il peut être
immobile sans énergie cinétique (alors que la tension utilisée sur la cellule
54
pourra fonctionner comme pompe de photon ce qui va lui donné une autre
vie).
Donc un photon existe aussi dans la nature, comme tous les particules, il a
son énergie avec quoi il vit, il tourne autour de lui comme un tourbillon, mais sa
vitesse linéaire est très faible (!! ou il est relier avec un monde des ovnis ?) ; se
sont pas des ondes électromagnétiques, est ce que dans ces cas se sont les
Devès ? Et ce que se sont eux qui manipule la force de la pesanteur ? Non parce
qu’une fois ils ont une vitesse s’est des photons.
ce corps n’est pas valide. Mais on va essayer ce modèle pour faire fin avec lui,
car il peut détourner les physiciens un certain jour, surtout que les ondes
électromagnétiques utilisent la notion de polarisation. Bon Il est très possible
qu’entre le soleil et la terre, les ondes de pesanteur viennent de soleil :
2)) sur le coté qui est en face de soleil, glissent les ondes vers la face opposée
par ce que ce n’est pas possible de bouger la terre, en quelque sorte elle est
lourde (et son énergie cinétique est très grande). Les vagues de champs
continues leur chemin vers la face opposée ici ils s’accumulent, à ce moment
la terre se trouve dans une différence de potentielle, dont le potentielle de la
face opposée est plus grande que la face qui est en face de soleil, donc une
force sur la terre vers le soleil (on peut dire que très vite il y a accumulation
de champs sur la face opposée donc une force qui apparait). Cela veut dire
que les ondes de pesanteur ne réagissent pas par pénétration,
57
Ce modèle est compacte avec les forces magnétiques ; Mais il faut poser la
question : ou partent les ondes de la terre ? Elles se déforment sous l’action
des ondes de la pesanteur qui viennent de soleil, mais elles ont une vitesse et
un sens ; ils font demi-tours ? Et exerce une force sur elle! (Par les photons sur
l’ionosphère et l’onde magnétique de la terre, on constate la déformation de
champ magnétique et des ions… sous l’effet des radiations de soleil).
La chose revient en quelque sorte que la terre devient un aimant pour les
Devès , dont le pôle positif est en face de soleil , alors que pour la pesanteur en
générale et pour un corps , le champs de la pesanteur est isotrope sphérique ,
58
Une différence
3)) on dit que le flux B est conservatif, et div B =0, cela veut dire que le flux
de B (champs magnétiques) à travers une surface fermée est nul = à zéro. Un
cas est l’aimant permanent, il ne perd pas son énergie, on peut considérer ces
cas comme des systèmes fermés, une galaxie n’est pas un système fermé, il
perd de l’énergie sous forme de radiation, c’est vraie qu’il gagne aussi de
l’énergie des autres galaxies, mais surtout la consommation de Devès comme
on va voir. L’univers ne peut être qu’un système fermé, mais sans fin, il n’a
pas de début, car pour qu’il commence son début, il doit faire empreinte de
60
l’énergie d’un autre univers ; donc il y aura deux univers !, une mauvaise
définition. Nous avons conclu que la matière ou autre vient d’un désordre.
Maintenant étant donner que ces radiation de pesanteur ne sont pas une
onde électromagnétique, de grande longueur d’onde, ils sont d’une
fréquence très grande mais dans le domaine des duvets. Ces duvets leur
réaction se fait avec les nucléons les électrons et même les photons par
pénétration !?, et c’est parce qu’ils sont très petits, ils ne causent pas
d’élévation de température ou chocs avec les particules (ils n’arrachent pas
les photons qui causent la chaleur…). On veut que leur fréquence soit au dessus
de la fréquence des ondes gamma donc très grande.
On doit admettre que comme ils sont différent de gamma donc ils ne sont
pas gamma (et dans ce cas pourquoi les photons énergiques n’on pas de force
de pesanteur). Et dans ce cas on peut imaginer que les duvets traversent la
matière, donc l’onde de la pesanteur doit avoir toutes les fréquences
possibles, il peut par exemple traverser un conducteur de plusieurs
kilomètres, sans qu’il soit couper dans son chemin, en quelque sorte la
matière baigne dans ce monde qui s’approche par ses propriétés de l’éther.
Il doit y avoir d’autres façons ou formes de forces pour les duvets, comme
ceux de poussée entre les duvets ou les frottements … la même chose que se
que nous savons avec les ondes électromagnétiques. La différence avec ces
derniers c’est qu’ils ne cèdent pas une quantité de mouvements aux
particules comme les photons, c.-à-d. leurs énergies et même leurs volumes ne
permettent pas cela, et même si leurs fréquences sont très grandes, leurs
62
Les particules de la matière dans le cas ou ils sont cocon, c.-à-d. neutres
réagissent seulement avec les duvets par pénétration (sorte de ventilateur ?
ou même par la poussée), Les duvets pénètrent les composants les plus fin des
particules, mais ils passent entre ces particules aussi (sûr ? on va voir). Mais si
les Devès se groupent ensembles ils peuvent faire une poussée sur un
neutron par ex. sans arracher les photons. Donc c’est ça la pesanteur.
Nous voyons qu’il a fallu chercher quelque chose, que de restait avec la
notion que le champ de la pesanteur, est seulement une onde
électromagnétique, car il y avait le problème de la fréquence et de l’énergie,
que les ondes électromagnétiques échangent avec la matière, alors que l’onde
de la pesanteur ne le fait pas. De faite que les duvets se manifestent
partout ou il y a des particules. Donc les Devès remplissent l’univers.
Modèle 3 : la partie entre la terre et la lune est plus chaude ; l’éther se
combine pour donner les Devès (surtout pour les corps froids); ce qui laisse
entre les deux corps un vide par rapport à l’éther, donc les 2 planètes baignent
par leurs faces extérieures sur l’éther, en plus les duvets servent pour
l’attraction.
63
****(38) l’interférence des devais entre deux masses, ce qui donne un vide
donc une force d’attraction entre ces deux masses. On voit le vide entre les
deux masses ; ces modèles leur manque le coté énergie.
Ces trois modelés leur manque le coté énergie. Il n’est y a pas le créateur des
Devès comme le cas des photons, car nous avons calqués la force des Devès sur
le champ électriques.
Comme ces modèles ne sont pas complets, ils ont deux points faibles. Nous
allons retourner vers le modèle de l’absorption des Devès vers l’intérieur des
masses, parce que c’est lui qui répond à tous les caractéristiques des
particules de la pesanteur (voir photo dessous).
Si on se trouve par exemple soleil terre puis Jupiter qui est très grand, le
schéma est le suivant : nous avons une petite région entre Jupiter et la terre,
qui est d’une polarisation inverse que ce qu’on connait, ceci à était aussi
expliquer c’est la même chose que ce qu’on voit entre la lune et la terre. Mais
la polarisation n’est pas satisfaite.
le fait que l’aimant ne réagie pas sur d’autres corps non aimantés, le champ
magnétique n’est pas de genre pesanteur.
La vitesse des Devès est supérieur à la vitesse des photons, et leur énergie
n’est petit que parce que leur masse est très très petite, par rapport aux
photons; et dans ce monde où les Devès sont seules avec les photons, on ne
peut pas parler de température, que lorsque les électrons commencent à se
formés, pour se frotter avec les photons.
Comme la vitesse des Devès est plus grande que celle des photons, on voit
bien qu’on peut ajouter un détecteur de lumière (petits télescopes pour
détecter la lumière après réception de choc des Devès de ces supernovas ;
dans LIGO). Connaissant la distance on peut déduire la vitesse des Devès, on va
voir après qu’on reçoit des rayons gamma, puis la lumière. Avec LIGO on
détectera les Devès directement (ce qui est assez vraie est que les masses de
l’interféromètre qui détectent le changement de la pesanteur dans l’espace,
donc une explosion de supernova, va détecter un changement de distribution
des masses dans l’espace).
Comme les Devès pénètrent tous, et ils sont partout, donc la consommation
de ces Devès par la matière oblige la circulation de ces Devès de l’extérieur de
la masse vers son intérieur. C’est ce qu’on va voir avec notre dernier modèle
qui est juste cette fois (après). C’est finie la souffrance.
On va essayer d’avoir une idée sur la masse des photons. Considérons une
onde électromagnétique ex : la lumière ou les rayons X… Considérons la
puissance dégagée par une source de ces radiations pendant une seconde.
L’énergie dégagée pendant ce temps égale à :
hν = ∑mi .c²
hν = n.m .c²
M=72,5(10⁻⁵²)KG.
==============
La masse de photon est juste car si on utilise le faite que l’énergie = mc², pour n
photons nous avons nhc²/c² = hν = nh.
67
On peut considérer que le photon cède une énergie égale à mc²/2 ; son
énergie cinétique (la cellule photo électrique). Et sa vie continue mais
immobile. M = 2hν/nc² donc m la masse de photon devient égale
m = 2h/c² ; m = (1.45/10⁵⁰) Kg
C’est le double de premier. Donc après il se trouve immobile, en rotation
autour de lui-même.
On peut utiliser une autre méthode : De faite qu’on considère que la vitesse
d’un corps ne peut atteindre la vitesse de la lumière, et dans le cas ou V=C il
s’explose en lumières ou onde électromagnétique
Donc tous ce que peut faire une vitesse, est de doubler une masse lorsqu’on
l’accélère. Dans ce cas l’autre méthode conduit à :
Pour les Devès la vitesse dépasse la vitesse de la lumière, mais aussi tous ce
qu’on peut atteindre est la masse d’un photon, ou l’explosion d’un photon en
Devès. Disons partons de rien nous aurons un photon, c’est une autre façon de
fabriquer un photon, il est mieux de le fabriquer a partir des manifestations de
la pesanteur, c.-à-d. de diviser les lignes de Devès en morceaux (dans la
direction de la ligne), ces derniers se réunissent et donne des photons ! La
vitesse diminue un peu ?? On parle de la masse manquante on parlera après :
Il est possible qu’on doit quitter le monde des masses ou de la matière avec les
Devès (ils ne sont pas la masse ou la matière ce qui est Devès ou inferieurs au
Devès se sont les minausses). C.-à-d. avec eux commence un univers qui
ressemble plus à l’éther, qu’aux particules (les Devès sont la frontière entre
l’éther et la matière).
14.10¹⁴ Tours /s
Quelque chose de très grand ?!! On voit bien d’où viennent les grandes
fréquences quand il y a modulation des photons par des électrons.
Considérons les ondes gammas (γ) dont les longueurs d’ondes de l’ordre de
1/10⁴ Angschtreum (Å) c.-à-d. que la fréquence est de
C’est une chose qui représente la vérité de la matière, on constante ceci avec
la radioactivité bêta (β±), car la vitesse des électrons (β±) approche la vitesse
de la lumière, c’est la vitesse de rotation de l’électron interne au nucléon ? (ou
seulement quantité de mouvement, la masse de l’électron est grand par
rapport à la masse de photon, aussi de cette façon on peut calculer la masse
de photon si on fait un choix de la vitesse de rotation de l’électron, c’est bon
c’est la bon marche à vous de jouer !!!), elle approche la vitesse de la lumière ,
mais elle reste très grande ; un nombre qui approche à 10¹⁸ tours / seconde
une chose énorme . Imaginer un électron qui fait 10¹⁸ tours par seconde !!!!!!!!
!!! Même autour de lui. La vitesse des électrons dans les nucléons est beaucoup
plus grande que les électrons périphériques.
ω = nh/2πmr² ( n=1,2,3…)
C’est presque la même grandeur que ce que nous avons trouvé avec la
première méthode, c’est les électrons des nucléons.
F2 =2.5610⁻¹⁰ newtons
M1=9.1110E-31Kg , M2=9.11(1836)10E-31Kg=1.710E-27Kg
On doit descendre la vitesse angulaire car l’écart des forces est grand
considérons seulement la force de Coulomb comme Bohr : (1.6)²/10¹⁰ =
(0.91/10⁴⁴) ω² → ω² = 13.4736810³⁴ → ω=3.67110¹⁷rd/s ,
ω=3.67110¹⁷tours / seconde → La vitesse linéaire de l’électron est :
Mais on doit savoir que tous est relatif, tous déponds des références ou on
travaille, car dans le cas d’une explosion à l’intérieur de l’atome, et sur une
courte distance, une grande vitesse est possible, donc bonne santé. On peut
imaginer l’atome de Bohr comme suit :
75
Plus que l’électron est loin de noyau, plus les radiations émises sont
nombreuses !! Plus que le rayon de l’électron est loin, plus que les champs ou
l’énergie échappe vers l’extérieur. Lorsqu’on passe à une orbite plus grande il y
a libération des photons en fonction de cette distance ; le potentiel d’ionisation
(on sait par Bohr et l’expérience confirme que plus que l’énergie libéré est
facteur de 1/r ; voir en bas l’atome).
Vous aller dire vous dite éther pourquoi vous ajouter ces Devès, le
phénomène est ondulatoire entre les nucléons et l’éther? Je réponds on doit
faire attention. Les ondes acoustiques sont ondes mais les gaz sont des
particules, les vagues de la mer sont des ondes mais l’eau est formés des
atomes; donc ce n’est pas dire éther seulement que la chose est résolu, car il
y a derrière vous la question en quoi est formé cet éther. Vous aller dire un
76
liquide parfait, mais tous les liquides sont formés par des particules, et parfait
ne veut rien dire !!!!!!
1)) les ondes de la pesanteur donne de l’énergie. 2)) les ondes de la pesanteur
attirent deux masses (même s’elles sont identiques ! Ici il y a un problème
comment il y a polarisation dans le cas ou les corps sont identiques ; parce
que les Devès sont absorbés aussi entre les masses et si les masses sont
identiques il n’y a pas polarisation). 3)) les particules de la pesanteur sont
plus petits que les photons.
77
Aussi ce modèle des hommes d’Afrique n’est pas juste. Il reste le modèle au
quelle j’avais pensé la première fois mais je n’avais pas les outilles pour le
prouver (il faut épuiser les cas qui apparaissent juste mais ne le sont pas).
Le théorème
Les Devès sont un composant de l’éther (donc ne sont pas des
ondes électromagnétiques), ils sont absorbés par la matière,
notamment par la terre le soleil … les Devès existent dans tous
l’univers, ces Devès se transforment en photons surtout à
l’intérieur (ils sont piégés) ou l’extérieur des masses. Pour deux
masses en face l’absorption est double par rapport aux autres régions,
donc la densité des Devès est inferieur entre les deux masses, que
sur les autres régions. Ce qui donne une pression des Devès sur
les régions extérieurs, plus grande que sur les faces interne des
deux masses, d’où l’attraction entre les deux masses. Il y a aussi un
champ de courant des Devès vers les centres des masses.
****(37) Les Devès en vert pénètrent les deux masses. Ils laissent une
région en violet de faible pression entre les deux masses. Les flèches sont des
courants de Devès vers ces masses (d’où la pesanteur).
78
****(38) à gauche Rouge le soleil, bleu la terre, vert les Devès, rouge violet
la dépression qui donne la force de pesanteur. À droite marron le soleil, bleu
la terre, noir les Devès, orange la dépression qui donne la force de pesanteur.
****(40) N : trou noir, S : soleil, bleu le domaine d’influence des Devès
des soleils.
****() la zone de faible pression en vers de Devès entre les deux corps
en forme de losange, à revoir après elle peut être en forme de papillon. La
80
photo de droite représente aussi les autres pôles en C et C’ qui sont crée par
le mouvement des Devès vers le pôle de début (voir les photos d’en bas)
****() les deux schémas expliquent comment, une autre onde des Devès
perpendiculaire nait de la première, d’où le deuxième pôle.
2)) cette zone de faible densité oblige la courbure des lignes en dehors de
lui (car il y a moins de pression, il va attirer les Devès des régions ou il y a plus
de pression), ce qui donne au fur et à mesure une deuxième zone de faible
pression sur chaque masse en opposé au première zone. Et ceci crée un
champ perpendiculaire au premier champ de Devès vers les régions entre les
deux masses (ce champs perpendiculaire les flèches A et A’). D’où la
polarisation des deux faces d’une masse comme la terre sous l’influence de la
lune. C’est ce qui donne les deux marrées des mers et océans qu’on constate
sur la terre par l’influence de la lune.
****(41) Les marées dessus sont l’affaire des Devès; ils ne sont pas la cause de la rotation
de la terre sur elle-même, vous voyez que les gens se sont cassé les dents pour cette
pesanteur !.
81
3)) l’existence de ces deux zones de faible pression (grand pesanteur) donne
une polarisation de la masse suivant cette direction.
Aussi il faut s’attendre à un frottement entre les Devès et les autres qui
entourent les éléments qui sont la cible de la force de pesanteur. Ce qui est
important il faut le dire maintenant autrement je risque de l’oublier : on peut
utiliser les propriétés des ondes magnétiques. C.-à-d. utiliser la propriété de
frottement qui existe entre les ondes magnétiques pour échapper de la
pesanteur. (Les boulons qui se vissent tous seuls existent on croit que ceci est
sous le coup des ondes de pesanteurs d’autres planètes ou le soleil !!! c’est
un rêve)
Des sportifs disent qu’on peut créer un milieu favorable pour absorber plus
de Devès, pour démineur l’effet de la pesanteur, cela arrive si vous êtes devant
un mur, la pesanteur de la terre est affaiblie par la réaction de mur (ou orienter
vers la lune).
La densité des duvets est plus grande vers une masse (exemple la terre)
que plus loin pour cela l’intensité de vecteur pesanteur g devient petite
lorsqu’on s’éloigne d’une masse donnée.
Pourquoi nous avons eux la peine de chercher, comment se passe les forces
entre les charges. C’est pour utiliser ceci après notamment sur les ondes de
la pesanteur : si on arrive à frotter deux champs de pesanteur on aura créé
une force, entre ces deux champs (des rêves !). La forme d’un boulon courbe
le champs de pesanteur suivant un hélicoïdale ; alors que l’écrou à aussi la
même forme ; la même chose pour le champ de la pesanteur qui va épouser
la forme de l’écrou et de boulon, si on tourne le boulon les deux ondes (de
boulon et écrou) vont s’appuie les un sur les autres (mais il faut des vitesses
qui dépassent celle de la lumière donc nous seront dans le domaine des
minosses à ce moment, et la matière devient éther, il n’ y a pas de matière
83
donc pas de boulon…). Entre les ondes électromagnétiques ceci existe (la
polarisation circulaire ou elliptique…).
Donc l’apesanteur est un beau rêve, même une petite force qui pourra, nous
aider dans le voyage inter-système solaires. C’est vraie que ce qui est
important c’est l’énergie ; car on peut donner un coup de force au début; puis
une énergie cinétique puis une vitesse … (pourquoi chamme-Ha-roche ? c’est
une autre chose !). Mais possible faire des moteurs, sera aussi une affaire des
ondes de la pesanteur, et aussi pour quitter des masses.
On peut écrire que dans un milieu ou la densité des Devès est 𝛒 un corps m’
dont la densité des nucléons est 𝛒’, et le volume V, est soumise à une force
§§ Une chose aussi importante est que on peut considérer que les Devès,
sont une partie de la matière noir, dont beaucoup de physicien en parle,
possible sans savoir de quoi il s’agit .voila un début.
Une force qui n’est pas faible, on sait qu’à des grandes profondeurs le cristal
cède et se fondre, et les photons qui jouaient le rôle dans la liaison, autour de
l’atome, donne la chaleur qu’on sait. On peut détruire les liaisons à l’intérieur
d’un cristal par les radiations. Mais à de grandes profondeurs il n’y a pas
application de toute la force de la masse, qui est au dessus sur le cristal, car la
pesanteur est aussi latérale entre les masses (elle fait la clé de voute, c’est une
propriété qui est utilisée par les sportifs alpinistes, mais attention il faut
l’apprendre de ton enfance), je n’ai pas le temps de faire un calcule de la force
de la pesanteur à l’intérieur d’une masse, comme celui de Gauss.
84
Exercice
F = G M1.M2/d² =
(G .𝛒1. )/
F=
Il est envident que la finisse des duvets fait qu’une partie tape sur les
nucléons et une autre pénètre entre eux et à l’intérieure d’eux. Pour le champ
des Devès la distance entre les atomes est tares grande.
QUELQUES RÉSULTATS
Nous avons presque terminé avec l’onde magnétique dont sa force se
manifeste comme le produit vectorielle de la charge Q par la vitesse de la
charge, il nous fait peur pourquoi c’est comme-ça, nous avons six cas de forces
entre les champs magnétiques.
1))) les deux forces entres les pôles des aimants de même signes
2))) les forces entres deux aimants dans le cas ou leur pôles en faces sont de
signes différents.
3))) les forces entres deux conducteurs lorsque leur courants sont de sens
contraires (important)
4))) les forces entres deux conducteurs lorsque leur courants sont de même
sens.
// Le champ magnétique ne réagie pas avec des neutrons ; parce que les
neutrons n’on pas de champ magnétique pratiquement, ils sont très cocon, et
la force magnétique c’est entre les champs magnétiques (on peut dire que
quelque soit le cocon il y a de champs magnétique sur sa surface, mais la force
dont on parle se pratique par le champ électrique E ou le champ magnétique
B).
****(42) La façon cocon. Mais l’homme de feu sait un combat entre les
ondes électromagnétique et les atomes cocons. Car les radiations brulent notre
peau. C’est une des réactions avec les cocons.
1))) par ventilation (on souffle sur le ventilateur on lui donne de l’énergie, le
ventilateur tourne il nous donne un champ) c’est le fameux tourbillon.
2))) le champ électrique entre dans la particule il contourne la sortie plus que
l’entrée (réfraction à travers un trou) donc la particule glisse sur les lignes de
champs électrique vers l’arrière.
87
Le sens de la flèche est le sens de la force F sur la particule, c’est pourquoi nous
avons aussi une différence entre les pôles voir le lobe principale.
L’univers est infinie ; sans perdre de vue que le big-bang, une chose
possible sur une région de l’univers. L’âge de l’univers est aussi infini.
Aussi le cycle de la forme des galaxies et leur évolution : une galaxie est
elliptique son trou noir augmente, il s’explose donc c’est une galaxie
irrégulière puis devient une galaxie spirale ou en forme de serpent puis
elliptique puis le cycle recommence ; explosion… Vous voyez qu’une
galaxie elliptique peut vieillir, elle devient un simple trou noir, comme
une supernova ; au moment de son grande explosion, une grande partie
se perd dans l’espace.
L’espoir
Nous avons des espoirs
2)) les duvets sont le commencement de l’énergie qu’on connaît, parce que
une fois ils sont piégés dans une masse une partie se transforme en photons,
s’ajoutent aux photons de la masse et donne de la chaleur (ex. l’intérieur de la
terre) ceci est très important ; on peut voyager sur une montagne et à
l’intérieur de lui on espère avoir un peu d’énergie ! (toujours Chamme-Ha-
roche).
89
**** ici des aspects de la forme de l’atome ou une particule décrite par une
plante et un escargot.
Les deux schémas en bas sont utiles parce qu’ils vont nous guidés
sur les interactions entre les composons de l’atome.
**** les deux conducteurs ont le courant de même sens. Les forces en eux
sont une répulsion. Les courants de champs électromagnétique donc des
91
Dans les cas des atomes schémas en bas on considère les atomes
comme des pneus d’une voiture. La partie métallique c’est les
nucléons et le cortège électronique interne. Et la partie caoutchouc
et air comme le nuage photonique et le nuage électronique (sur le
cortège électronique chaque électron est entouré de photons).
**** la liaison entre deux atomes, le rouge c’est le nuage des photons (ondes
électromagnétique). Le vert c’est le lieu de champs électromagnétique
responsables de l’attraction. La rotation des particules qui forment les atomes
est perpendiculaire à l’axe qui lie les deux atomes.
La formation de la matière
Nous avons déjà parlé de la formation d’une particule à partir des autres
particules plus petites. Cela débute au moins par deux champs des petites
particules. Qui se rencontrent en un lieu et il y a concentration (augmentation
de densité) ; d’où une particule qui contient plusieurs petites mais dans un lieu
petit. C’est la particule tourbillon qui introduit la notion de moment d’inertie
J… de rotation et la vitesse de rotation de la particule ; plus les éléments qui
constituent une particule ont leur vitesse grande plus la particule est dense
pour un même volume… Ex : presque deux milles électrons se condense sous
forme de tourbillon pour donner un neutron. D’après le poids de photon que
j’ai donné en haut vous pouvez calculer combien il y a de photons dans un
électron... Un tourbillon comme l’électron présente un pole positif et un autre
négatif. Entre eux il y a un retour de champ électromagnétique ce qui fait de
l’électron un aimant.
Lorsque les électrons par exemples se rassembles pour former un nucléon ils
doivent respecter les polarités entre eux positif avec négatif ; le sens de la
rotation de la particule par rapport a cette arrangement ; la circulation de
champ de la pesanteur… ce qui limite le nombre d’arrangement ; c’est bon
pour nous ça nous diminué le nombre d’inconnus. La forme coquillage nous
oblige d’accepter un certain nombre de couches qui composent une particule.
On remarque que cette fois les choses sont différents les électrons tournent
avec une vitesse v supérieur a la vitesse de rotation de neutron. En plus le
sens de rotation de nucléon est fonction de l’arrangement ; et de sens de
champ électromagnétique la direction de pôle positif. Possible nous avons
résolues le truc de Lenz ?
Les particules sous l’effet d’un champ prennent la forme d’un chapeau chinois
mais si le champ et assez fort elle deviennent un peu hélicoïdaux. Une chose
comment la charge positif (qui a deux pôles mais le positif est plus allongé) se
présente dans l’espace par rapport au champ électromagnétique ? On
reviendra à ceci.
sont pas vue ; et c’est bizarre que dans ce cas se sont le moteur et la vie de
cyclone ; par effet de pesanteur et de la température et pression.
**** a gauche ensemble des électrons qui vont formés une particule plus
lourde. A droite la particule formé était déformé par un champ donc est
devenue comme un ventilateur un champ magnétique centrale et
perpendiculaire au plan de ses éléments de formation.
pas 2cm. C’est pour cette raison qu’il est difficile de relier un neutron avec
l’autre chimiquement. Les plantes aussi sont savantes.
Dans ce travail tous ce qui est connue par la science sur les particules restent.
On ajoute la notion de deux pôles pour chaque particule ; et leur
conséquences.
**** deux schémas d’une particule excitée (un peu exagérer) les couches
1 et 2 sont très loin de centre de la particule. Le champ B parce que nous
100
somme devant des particules qui laisse passer les photons. Ce qui est bleu
courbé est le retour. La loi par ou passe les grands passent les petits. (On
raconte qu’Einstein a dit que les photons sont attirés par les grandes masses).
C.-à-d. les duvets pénètrent les photons.
**** ce fruit se fait sur le sol donc il étudier les planètes, la pesanteur… mais
il hérite un travaille ancien sur les particules. On voit qu’il est composé de
plusieurs compartiments (entre 9 et 11 c’est le nombre des planètes qui
tournent autour de notre soleil) mais cette forme aussi peut expliquer
l’assemblage à l’intérieur de l’atome.
et comme ils sont formés de Devès ; ils ont une énergie de formation égale
j.ω²/2. Comme j=∑mi.ri² ; on peut prendre ω=C/r → j.ω²/2=(∑mi.ri².C²/ri²)/2=
∑miC²/2=∆mC²/2 (2) → la somme de (1) et (2) donnent → ∆E=∆mC². Mais si
la moyenne des vitesses des Devès dans les photons est supérieure à la vitesse
des photons ; l’énergie de formation des photons est supérieure à ∆mC² /2.
La forme de l’atome
L’association des nucléons dans l’atome
Nous avons dit beaucoup sur l’atome pour faciliter des difficultés qu’on
rencontrait.
§§) Les petits forment les grands ; donc l’atome est formé des nucléons. Ces
nucléons (les neutrons) sont bipolaires ; on pense que la nature pour faciliter
son existence doit arranger les nucléons pole positif en face de pole négatif.
Ceci veut dire que des champs électromagnétiques jouent le rôle de guide dans
cette liaison entre nucléons. Et la force de pesanteur c’est pour coaliser les
nucléons entre eux vers l’axe central de l’atome. On doit signaler que dans
notre cas il y a deux sortes de forces de pesanteur : une dont la composante se
dirige vers le centre de même nature que la pesanteur entre les grandes
masses ; et l’autre vient de la rotation de l’atome avec et dans l’espace des
duvets ; de faite que les nucléons de l’atomes dans leur intérêts de rester dans
un monde perturbé que de passer vers l’extérieur un monde calme qui
présente une résistance. Donc l’atome sera représenté par des schémas ci-
dessous.
Il faut comprendre ces deux aspects de la pesanteur ; dans les grandes masses
avant que les duvets atteignent les particules ils passent entre eux vers le
centre de la masse. Mais une fraction d’eux exercent une pousser sur les
particules (électrons ; neutrons et même les photons). Disant que dans une
grande masse au centre ou il ne peu pas arrivés des duvets il n’y aura pas des
atomes et même les autres particules ! Mais vous comprenez que ce vide ne
peut être que grand ; donc les duvets vont circulés de centre vers la masse de
ce monstre.
Maintenant on veut ajouter un autre nucleon ; le dessin ; il faut dire que les
lois sont trés strictes dans des choses tellement petits ; le nucleon au centre
est l’effet d’une pesanteur moins que les deux en peripherie (question de
surface); comme les trois tournent avec la même vitesse angulaire ; le neutron
103
L’affaire de l’atome dans l’espace est très difficile ; les vivants travaillent sur
elle depuis le commencement de la vie. Avec les insectes les choses sont
devenus sérieuses ; et intéressantes ; car d’une part ils recueillent un savoir qui
les protèges dans l’avenir ; d’autre part ils prennent la forme de ces particules :
c’est pourquoi 4 pattes ; 6 pattes ; 8 pattes ; deux grosses pattes et 4 petites…
alors messieurs si les choses sont comme-ça ; la vitesse de rotation de
deutérium est celle des deux nucléons qui la forme ? (le ballon de rugby). On
doit savoir que nous avons une chose qui s’appelle l‘atome de l’hydrogène ;
cette particule est en même temps le neutron. Sa vitesse de rotation est aussi
celle de nucléons. Mais qu’est ce qu’il fait d’elle un atome ? Vous devez savoir
ceci car vous avez fait connaissance avec ce modèle. C’est le retour sur le
104
nucléon. C’est lui qui fait de neutron un gros atome. On sait beaucoup sur cet
atome son rayon ionique assez grand et même plus grand que des atomes a
plusieurs nucléons ; ces différents raies Liman Balmer… pour contourner les
difficultés les insectes ont divisés le travaille entre eux. Chaque insecte voit
l’atome d’un coté. Ceci permet aussi les encadrés pour un accroissement futur.
Il faut signaler que les photons de retour principal et les photons de guide
des nucléons se rencontrent au sommet de l’atome et forment un retour
ensemble puis ils se devisent. Pour ça ; ce qu’on appelle le retour principal
n’est pas tous verticale ; mais hélicoïdale photo en haut à gauche. En effet la
part des ondes électromagnétiques est petit ; il est important sauf dans le cas
excité de l’atome ; mais cet état est presque toute sa vie : chaque fois que
l’atome à une relation avec une particule depuis les photons il s’excite très
105
Les Trucks
Dans ce modèle comment dessiner un atome ? On commence par faire
un spirale avec un nucléon au milieu dessin en bas ; puis on ajoute 3 nucléons
nous avons He₄. C’est la première couche. Puis sur le premier nucléon on fait
deux cornes dessin 3 ; puis les cornes aux autres nucléons dessin 4. Sur chaque
corne on associé un nucléon. On obtient la deuxième couche ; c’est le carbone
12 ; C₁₂. Si on part des quatre nucléons de He on trouve que nous avons 4
unités de 3 nucléons chacune ce qui donne 12 neutrons au totale dans
l’atome. J’appelle ces unités les Trucks
L’étalage
C’est un phénomène très important (d’ailleurs c’est une manipulation dans
l’espace de champ électromagnétique comme l’onde plane, l’onde circulaire
polarisation verticale ; horizontale…) ; c’est que les ondes de retours entre les
pôles de l’atome ou nucléon ; normalement ils sont symétriques avec une
107
Les dessins en haut l’étalage d’un utille suivant plusieurs angles. Au milieu
vue de l’atome de dessus ; les lignes de champs de retour occupent juste une
partie de plan ; la partie rouge c’est les lignes de retour. Le dessin de droite un
étalage suivant plusieurs compartiments en rouge (1). Puis un électron en
étalage ; c’est cet étalage qui lui permet de se fixer sur une ligne de retour et
de faire liaison (2) (la ligne de retour pénètre l’électron ; mais le champ de ce
dernier part loin ; d’où la charge positive ou négative). Puis vue de dessous de
cet électron les petits points se sont les lignes de champs ; le gros point c’est la
tête de l’électron (3) (remarquez la dissymétrie par rapport à la tête de
l’électron). C’est une diffraction de champ vers un coin.
Le rabattage
§) Par constatation lorsqu’on augmente le nombre des nucléons sur une
couche ; le rayon atomique diminue ; la force sur cette couche vers le centre de
l’atome augmente. Cela veut dire que les nucléons sont reliés entre eux dans le
sens de la longueur ; suivant la ligne des pôles (le guide). Si un enfant monte
une branche d’arbre la branche va fléchir vers le bas ; si on fait deux enfants la
branche va fléchir plus jusqu'à se collé avec le tronc. J’appelle ce phénomène le
rabattage. L’effet de la pesanteur sur les nucléons d’une couche se somme. On
constate aussi que la variation de rayon de l’atome suivant une colonne n’est
pas une forme linéaire de diamètre des nucléons ; il suit une forme
logarithmique. Donc plus que l’atome augmente de masse les couches se serre
entre eux aux moins aux centre. Mais on trouve que le rayon ionique augmente
pour O ;F ;Cl ;S ;Cr ;Br ;I ;Se ;I. En effet le calcule de rayon atomique est basé sur
les diamètres des molécules covalentes ; donc pour le Na et le potassium… les
rayons sont un peu inferieur sur ce qui est indiquer dans les tableaux usuelles.
(Voir le graphe des rayons atomique). En effet dans les liaisons chimiques
nous somme loin de noyau qui est composé des neutrons.
ionisation confirme le rabattage ; alors que son existance vient surtout des
ondes de duvets.
Le dessin de gauche nous avons dit qu’il ne peut former de liaison ni entre
nucléons ni entre atomes. Le dessin de milieu représente des atomes liés par
des liaisons covalentes c.-à-d. la mise en commun de deux électrons qui
viennent d’un même atome. On constate que plus la couche ou sous-couche
est complète il est déficèle d’arracher des électrons à cette atome (rabattage
aussi). Les atomes deviennent réceptrices des électrons (O ;F ;Cl ;S ;I…) ; les
Trucks deviennent grands ; donc le rabattage devient grand. Pour ce dessin on
111
peut dire que le potentiel entre 1 et 2 sur le H est supérieur au potentiel entre
3 et 4 sur le Li (le rayon de H≥Li pendant l’état d’excitation ; ou simplement les
retours). Donc ∫₁²Edl≥∫₃⁴Edl. Si on admet que le potentiel en 1 égale le potentiel
en 3 la même chose entre 2 et 4 (même charge) ; donc les courants des retours
qui viennent des deux atomes sont différents. Le potentiel de retour pour des
atomes de rayons différents est un facteur qui intervient dans la dissociation
d’une molécule ou un groupe d’atome (je n’ai pas à faire le dessin des couples il
va prendre beaucoup de place mais c’est le même scenario). Un atome
donneur se couple avec d’autres atomes deviennent récepteurs ; comme dans
le cas de couple redox. Le dessin de droite une molécule composée de 4
atomes (liaison covalente comme le dessin de milieu). Alors comment cela
passe ?
on va voir ceci avec les trucks dans les liaisons entre atomes. Le dessin de
droite c’est pour corriger la tire. (Remarquez la charge plus d’où elle sorte ;
pour un nucléon).
Dessin dessus ; deux atomes se rencontrent, leurs Trucks qui sont sur les
couches exterieurs polarisés ; entrent en etalage entre eux. Le dessin de
gauche les fléches rouges qui sont les retours n’éxistent pas entre les deux
113
Dans les cristeaux où on considere que les liaisons sont ioniques (dans un
liqueure electrolyse par ex. les atomes ou groupes d’atomes sont libres !) si
l’etalage persiste ; la force de liaison est entre les électrons qui sont sur le
retour des nucleons. Est-il la cause de l’augmentation des rayons ioniques ?
une chose sûr est l’ordre dans ce liaison pourra être la cause de tel liaison ;
parce que la distance entre atome est un peu plus grande ; et la liaison est
dirigeable ; vous savez que c’est un champ électrique par pénétration (mais on
doit passer par l’expérience car il est alternative à cause de rotation de
l’atome). Ces liaisons offrent une conductibilité électrique très bonne une
résistance des matériaux importante…les liaisons covalentes quand à eux sont
souples est présentent une variation hasardeuse dans leur association ;
pourquoi ne sont pas bon conducteur d’électricité. On sait des polymères qui
sont conducteurs d’électricité parce qu’on ordonne leurs chaines. Donc nous
somme à 99˚/₀ que les liaisons ioniques existent et que se ne sont pas des
liaisons covalentes (car dans les liqueurs on peut dire qu’il y a dissociation des
liaisons covalente comme pour le HCl ; l’ionisation des gaz par l’électricité…).
Mais étant donné que l’atome tourne et sa charge tourne avec elle ; dans le cas
d’une liqueur (électrolyse…) les charges vont tourner tantôt vers l’anode tantôt
vers la cathode ; donc l’ion positif pour les liaisons ioniques existe aussi sur le
retour principale de l’atome, et pas sur le retour de neutron sauf pour
l’atome d’hydrogène (cela conduira à une liaison alternative).
mais elles ne se rencontrent pas comme en covalence ; la liaison est fait par le
flash étalé des électrons. Les photos 4 et 5 sont des positions des liaisons
ioniques ; l’électron doit être tangent à la ligne de retour de l’atome autrement
il s’affaiblira.
Le benzène un exemple qui fait penser aux liaisons ioniques sur les retours
des nucléons (alternative) ; à cause des électrons qui tournent dans son milieu ;
car ils suggèrent une alternativité. La photo 2 une hypothèse d’une liaison par
onde de pesanteur ; ce n’est pas entre les lignes de retours mais entre les
lignes des duvets ; remarquez dans le lieu rouge la densité des duvets est faible
à cause des sens contraires des lignes qui se rencontrent là-bas. La photo 3 une
liaison ionique beaucoup de perte ; liaison faible ; l’électron est presque
perpendiculaire à la ligne de retour de l’atome. La photo 4 un électron ionisé
sur une ligne de retour (remarquez l’étalage de son spectre en dehors de
retour principale). Dans le cas des liaisons ionique l’atome récepteur reste
presque calme sauf un électron qui se pose dessus.
Dans les liaisons comme les cristaux ; en plus des liaisons ioniques avec la
mise par un atome de deux électrons ; il y a des liaisons ioniques de Van der
Wales dans lesquelles chaque atome intervient par un électron (ou rien). Une
sorte de polarisation à tel point que des liaisons cristallines et autres comme
capillarité… utilisent les pôles principaux des atomes. Si l’atome au centre a
huit liaisons avec le centre donc utilisation des pôles principales.
115
Dessus photo 1 les points rouges sont des électrons chargés positifs ; qui se
sont piégés dans la partie basse de l’atome ; pourquoi l’électron négatif saute
alors que le positif reste sur l’atome. Au milieu comment les charges se
repartissent sur l’atome ; les positives passent à la base de l’atome ; les
négatives vers le sommet sans piège sauf les forces elec.mag.. A droite la
diffraction à la sortie d’une particule vers l’autre. Dans le cas de la pression sur
un cristal ou des molécules on peut se demander comment le corps résiste par
les liaisons que j’ai cité, la chose est facile de faite que nous avons déjà vue les
forces de répulsions entre les aimants.
Les couches
Les couches sont obligatoires ; parce que l’atome est formé par plusieurs
éléments donc l’atome n’est pas linéaire. Le remplissage des couches suit le
tableau périodique ; on considère que les couches complètes sont ceux des gaz
rares Dans notre modèle les orbitales électroniques n’existent que pendant
l’excitation par des ondes elec.mag. notamment pendant les liaisons entre
atomes (Autrement l’atome est neutre comme tous les particules ; sauf des
fuites ; tel les cornes des Trucks présentent des pôles électriques) ou la
radioactivité… et dans ces cas on peut leurs appliqués les mêmes lois connus
dans la mécanique quantique ou l’électrostatique… sauf que pour nous dans le
cas des liaisons entre atomes la couche électronique est inferieure a 8
électrons (nombre maximum des sous-Trucks); alors que la couche
électronique classique suit le numéro atomique Z dans le tableau périodique.
En quelque sorte nous avons fait de l’économie sur le nombre d’équation et
de variables dans la fonction d’onde ; car il était obligatoire de tenir compte
des autres électrons qui n’entrent pas par exemple dans une liaison chimique.
On peut s’intéresser seulement a 2 électrons dans le cas des liaisons
covalentes ; car la nature à déjà fait une partie de travaille sous d’autres lois.
116
Etant donné la vitesse de rotation assez grande des forces centripètes qui ne
sont pas négligeables.
à travers les réactions chimiques les scientifiques ont constatés que les
propriétés chimiques des éléments se répètent par période même avec
l’augmentation de la masse de l’atome ; donc il y a des couches dans l’atome.
Et pour satisfaire tous les propriétés chimiques ils ont trouvé qu’il est
nécessaire qu’il y aura des sous couches. On a ajouté même des exclusions
comme celui de Pauli pendant le remplissage… je vous propose un modèle pour
les couches nucléiques ; que je vais clarifier dans le paragraphe : liaisons
chimiques des particules atomes.
Je vous signale que pour nous étant donné que le nombre des neutrons est
considéré égale au nombre des électrons périphériques (multiplier par deux);
avec lesquels on fait les couches (K ;L ;M ;N…) et les sous couches (s ;p ;d ;f ;…) ;
on multiplie par deux les sous-couches périphériques électroniques puis on suit
les mêmes règles ; et au lieu d’utiliser un électron on utilise deux (d’ailleurs les
électrons qui interviennent sont paires ; déjà un point dans notre faveur). Ceci
c’était possible avec Mendeleïev où le nombre des protons égale celui des
neutrons (on passe d’un atome à l’autre par l’ajout de deux unités). La vérité la
masse de l’atome n’est pas le double de la masse de ses protons (Pour nous
l’atome ne contient pas des protons et il n’y a pas de proton sur la terre. Pour
faire des protons il faut des champs très forts. Les charges positives sont d’une
conception différente !). Donc on doit faire des dessins pour pencher une autre
fois par un topo sur les choses.
On constate que pour une période le rayon atomique diminue alors que la
masse de l’atome augmente ; donc c’est une couche ; Plus l’effet de rabattage.
On constate à droite que les rayons ioniques pour le F ; Cl ; Br ; I ; At ; sont plus
grands que les rayons atomiques. Le cas n’est pas générale voir en bas ; il est
difficile de mesurer le rayon de l’atome tout seul. On tire ceci de cristal car on
sait son volume ; le nombre des atomes qu’il contient ; et son système de
cristallisation.
119
Nous avons deux voies : 1) remplir toute la couche par des nucléons cote à
cote ; de faite qu’ils sont reliés par un guide électromagnétiques 2) mais le
faite que la cohésion des nucléons se fait par la pesanteur ; les nucléons
peuvent avoir de l’espace entre eux (en haut l’atome galactique) ; et les sous-
couches sont permises. Donc on va procéder pour le remplissage des couches
et sous-couches comme ceci :
1) 4 ; 2’) 4+4s ; 2) 4+8 ; 3’) 4+8+8s ; 3’’) 4+8+16s ; 3) 4+8+24 ; 4’) 4+8+24+24s
§§) Nous avons un atome qui est composé d’un seul nucléon ; c’est l’atome
d’hydrogène. On sait quel peut se lier par covalence par ionisation ; et par
conséquence le H est un neutron qui donne un électron et devient un proton
(n→p+e ; les nouveaux protons P* c’est un ion). Donc tous les neutrons de la
couche périphérique d’un atome quelconque peuvent donner des électrons et
des protons. Donc ils peuvent jouer des rôles dans les liaisons chimiques. On
veut savoir aussi comment les choses passent dans l’espace ; l’intérêt de se
travail. D’après ce que nous avons vu en haut le proton (p*) est un neutron
dont un électron positif se trouve sur son retour principal. Pour les autres
atomes ou des ions ; la charge positive ou négative de l’ion est un électron (+
ou −) qui se trouve sur le retour d’un atome de l’ion. On voit que l’atome de
l’hydrogène nous guide pour bien comprendre la formation de l’atome en
général.
Les β
J’ai déjà dis que la vitesse des betas positif et négatif ; vient de la vitesse
de rotation de neutron. C.-à-d. qu’un électron qui tourne dans un périmètre
p=2πr avec une vitesse angulaire ω tel que p=VT ; et V=ωr ; V la vitesse suivant
le périmètre ; T la période. Lorsque l’électron quitte son neutron sous forme de
β positif ou négatif ; sa vitesse c’est la vitesse V qu’il avait dans son neutron.
Mais une chose le résultat un autre atome neutre (neutre) et l’éjection de β
avec une vitesse qui avoisine celle de la lumière (on n’a pas à entré dans les
réactions nucléaires qu’on sait sur β positif et négatif ; et la notion
d’énergie gamma ou autre). Ceci pour nous est une chose permise parce que,
122
on considère que les électrons qui formes les nucléons sont des électrons
neutres ; donc si un électron ou 2 quittent leur neutrons avec une vitesse
initiale V ; il n y a pas de problème il y avait une coupure d’un électron sur le
reste qui constituent le neutron. Mais cette coupure était rapide. Sa
polarisation positive ou négative vient de champ ou il passe ; avant de sortir de
l’atome. Donc les β⁻ ; β⁺ sortent de deux pôles de l’atome mais opposés (ou
même des pôles d’un nucléon qui sont opposés ; dans ce cas le nucléon doit
être célibataire sur son Trucks, ou pas. Les betas sont un indice que chaque
fois qu’il y a intervention d’un électron dans une réaction radioactive β ; ou
capture ; il y a un certain réarrangement dans les Trucks. Qui vient de passage
d’un électron d’un nucléon à l’autre ; d’où changement de caractères
chimiques de l’élément ; ou transformation isotopique.
Et si maintenant on tire sur l’électron avec une vitesse qui est inferieur a celle
des β (par choc ou l’atome se trouve dans un champ électromagnétique…) ;
l’électron sur lequel on tire va se polariser négativement et celui auquel il est
relier aura une polarisation aussi négative ; mais une cause qui lui tourne la
face; un potentiel d’un champ elec.mag. ; ou il sorte de l’autre bous de Trucks
une chose plus probable ; et aura une polarisation positif; donc un électron
partira dans la cause qui l’avait crée ; chargé négativement. Et l’électron qui a
resté sur le neutron (ou l’atome) aura une charge positif ; d’où la charge positif
de proton ; et voila un gain qu’on n’attendait pas combien c’était déficèle de
savoir pourquoi la charge de l’électron est la même que celle de proton et
pourtant leurs masses est très différentes. Hee coucou tu à tombé sur tes
pieds ! On sait maintenant d’où vient un ion positif ; et pourquoi il est grand et
sa charge est celle de petit électron. Hee coucou pas encore il faut se mettre
debout. En effet l’atome est petite est plein de choses (mais plein de pièges et
franchement les choses auxquelles sont arrivés les physiciens ce n’était pas
facile).
Mais d’autres contraintes qu’il faut résoudre si on veut que le proton soit
positif par un électron positif qui existe sur lui (une chose que nous avons
résolut en haut mais il faut la revoir). Car le proton n’est pas fixe ; il tourne ; et
sa charge et la directivité de cette charge sont tantôt à l’intérieur de l’atome
tantôt vers l’extérieur et sur un angle qui dépasse π degrés. Et nous on veut
que la liaison soit par la mise en commun de pole positif d’un électron avec le
123
§§) Le cas de liaison ionique nous avons dit qu’on doit faire attention ; les
électrons qui donnent les charges positif et négatifs aux ions se trouvent sur les
retours. Chaque électron se trouve sur un retour d’un atome. Comme les
retours sont élastiques on voit qu’on peut avoir plusieurs orbitales atomique
pour chaque électron (car l’onde plane de retour se sont plusieurs lignes de
champ elec.mag. les unes sur les autres ; forment un plan perpendiculaires à la
surface sphérique de noyau de l’atome ; ces lignes de champs partent de pôle
plus vers le pôle négatif de l’atome) ; Bohr ; et la probabilité de présence de
Schrödinger. Surtout lorsque l’électron se trouve dans un potentiel ; excitation
notamment le laser…
Pour les liaisons covalentes l’électron est neutre avec les 2 atomes. Pour les
liaisons ioniques comme il se trouve sur retour d’un atome il doit se déplacer
vers un des pôles de l’atome (voir dessin en bas). Mais il suivra le sens de la
plus grande force (Coulomb) ; donc le pôle positif le plus directive (ou l’électron
positif) vers le pôle négatif de l’atome. Et le pôle négatif le plus directive (ou
l’électron négatif) vers le pole positif de l’atome. Mais comment ? C’est que
l’électron se trouve dans un état d’étalage ; son axe Z est tangent à la ligne de
retour sur laquelle il se trouve. Il y a un peu de liberté pour l’électron ; mais
comme il se trouve près de pôle ; en ces lieux les lignes des champs des retours
sont très denses. Il se déplace sur un petit intervalle suivant sa ligne (il y a
beaucoup de positions suivant les contraintes entres atomes ; et les forces E.M.
qui les relies. Une application est l’horloge piézoélectrique ; chercher à
déformer le cristal c’est changer l’environnement électromagnétique de ce
cristal d’où un signale qu’on utilise dans les horloges (la liaison ionique
n’accepte pas beaucoup de déformation).
§§) Maintenant notre modèle convient a tous les théories sur l’atome ou la
physique atomique. Commençons par Rutherford jusqu'à la théorie de
l’hybridation des orbitales. Oh pardons nous avons oubliés les liaisons de Van
der Wales : nous avons parlé en haut de ceci. Mais les atomes peuvent faire
des groupes dont les pôles de même signe sont vers un même sens ; étant
donné les fuites sur le groupe on peut avoir un champ qui peut aller loin ; une
sorte de polarisation de groupe qui pourra conduire a des liaisons entre ces
groupes. On peut faire même des matériaux artificielles ; la ferrite ; la
magnétite… L’assemblage pourra être aussi par des liaisons covalentes ; les
différents polymérisations linéaires dans le plans et dans les 3 dimensions.
Alors que les cristaux sont d’origine ; liaison ionique Ex : (SiO4)⁴⁻ autour duquel
est formé une partie des roches peroxyde… On peut conclure que les liaisons se
font par la contribution en grande partie par le champ magnétique B (on a
appelé toujours le champ magnétique le B alors normalement il est désigné par
H) c’est la covalence. Si la contribution en grande partie est le champ
électrique c’est la liaison ionique ; dans Van der Wales vient en plus les
différents polarisations des molécules. C’est vrai qu’on tire beaucoup sur le
plan exploitation. Mais les pauvres savants ne sont pas dans le meilleur de
monde.
Nous avons parlé des liaisons ioniques entre deux atomes mais dans le cas
des complexes comme OH⁻ ; (SiO4)⁴⁻ ; ClO⁴⁻ ; ClO²⁻ ; (MnO₄)⁻ ; CO₃⁻⁻…
comment ? Nous avons dit que dans la liaison ionique un atome donne deux
électrons pour ceci ; c’est clair. Mais mettre deux électrons en commun entre
deux atomes c’est plus difficile que de mettre qu’un seul. Il faut des
circonférences très grandes (lignes de retour) ; donc se sont des liaisons avec
126
des limites de forces à cause de l’orifice de l’électron. Dans le cas des composés
comme OH⁻ →H-O⁻ d’un coté il y a une liaison covalente H-O et de l’autre coté
il y a une liaison ionique O⁻ ; et c’est l’atome d’hydrogène dans ce cas qui a
donné les deux électrons (c’est la raison pour lequel l’eau s’ionise en OH⁻ et
H⁺). On doit signaler que les Trucks ont des têtes qui ont deux pôles ; pourquoi
ils donnent facilement les électrons positifs et négatifs. On voit déjà que
lorsque les atomes s’approchent les un des autres il y aura une manifestation
des Trucks. Des choses ; les gaz rares ne réagissent pas facilement à cause de la
distribution égale autour de l’atome. Il reste la question pourquoi les F ; O ; Cl…
captent les électrons ? Ils créent un potentiel important dans les environs.
Donc leurs Trucks sont fortement polarisés. La cause on va la voir sur les
dessins des atomes. Alors que des donneurs s’associent avec d’autres atomes
deviennent récepteurs ; vrai? Mais grâce à un piston récepteur ou donneur.
En bas deux jolies atomes sont prés à recueillir deux autres atomes chacun.
Le dessin de droite on peut le considérer un atome de l’hélium; on voit qu’il y a
deux retours un bleu vide et l’autre noir ; sa distance par rapport au noyau est
plus grande que le bleu ; on rejoint Bohr dans ses niveaux d’énergie. Et comme
le noir court plus de chemin donc son intensité est inferieure. Le schéma de
gauche un électron sur le pôle positif d’un atome il forme avec lui un état
neutre ; il peut passer inaperçu ; mais d’où va venir cet électron car son sort est
dans un nucléon.
c’est l’électron positif qui ne quitte pas son retour ; et l’atome est libre ; il
revient à son état normale ; les deux électrons sont en face de leur Trucks.
Donc dans le cas contraire on passe aux isotopes (il apparaît que les échanges
des nucléons en électrons ne dépassent pas 2. Les américains sont arrivés à
Ar⁺¹⁹ ; au lieu Ar⁺¹⁶ ; s’enfoncer dans l’atome c’est l’objet d’un autre travaille)
§§)) Donc une chose importante l’atome ne contient pas de protons elle est
formé seulement des neutrons.
ils sont des pièges pour les petits électrons qui viendrons compléter la sous-
couche (vous voyez le mot compléter reste toujours ; on fait des Trucks
électroniques !) donc l’oxygène va accepter deux électrons pour faire deux
liaisons avec deux autres atomes. Il peut utiliser une seul cachette donc – 1
une liaison (il y a assez de travail pourquoi la première ionisation est
exothermique alors la deuxième endothermique...). On continue le fluor (F=19 ;
- 1) on constate qu’il ne reste qu’une petite place un seul neutron pour faire la
liaison – 1. Son électronégativité est la plus grande (4) ; l’électronégativité croit
de lithium vers le fluor ; donc elle est fonction de l’intervalle couche sous-
couche ; de poids et quoi d’autres ? L’espace de cachette…. On continue le
néon (Ne=20 ; 0) la sous couche est terminé. Le Ne est considéré inactif
chimiquement. Au moins pour cette période on dégage une loi : On commence
dans la sous-couche on demande les électrons. On fait la couche on est fort
le truck donne les électrons.
donneur de 3 électrons ; on voit bien ceci sur le dessin ; 3 bons s-Tr forts. On
continue le titane (Ti=48 ; +4…) ; au moins 4 liaisons +4 donc le Ti donneur de 4
électrons ; il est de la famille de Si. On continue on passe au Chrome (Cr=52 ;
+5 ;+4 ;+3…). On doit entrée dans le domaine des récepteurs d’électrons ; mais
rien ne se passe. Il apparait que comme les nucléons sont sur une couche avec
3 têtes ; les Trucks les considèrent comme une partie de cette couche (comme
j’ai dit l’atome utilise beaucoup la notion de balance et pourcentage ; on a
ajoutait au début des nucléons on balance le comportement de Trucks de
donneur vers récepteur ; c.-à-d. lorsqu’on ajoute quelle est le pourcentage par
rapport à ce qui existe ? ne regardez pas le tableau périodique c’est nous qui
devons être conforme à lui ; parce qu’il est obtenue par expérience). Pour ce
qui est de +5 et +6 ... c’est normale n’oublier pas qu’on utilise une fois les
Trucks, une autre fois les s-Tr. On continue on passe au cobalt dessin en bas
(Co=60 ; -1 ; +4…) ; regardez le dessin en bas ; il ne lui reste que deux nucléons
pour compéter la sous-couche ; donc le poids intervient et le cobalt utilise ce
lieu comme piège pour un électron (l’atome est sensible mais sous des
conditions). On continue une autre sous-couche (le deuxième dessin en bas) ;
on ajoute nucléon sur l’autre ; si comme la sous-couche d’avant n’existe pas
(elle est recopiée sur la première ; question de place et de rabattage ; la
couche avec 3 têtes ; le rabattage était très fort ; latéralement et dans la
profondeur. Souvenez vous de la de rabattage qui somme les forces en
fonction de la masse de tous les neutrons de la couche).
Si on considère le nombre des neutrons des têtes des couches ou s.c.; on peut
dizenier ce remplissage comme suit : 1 ; 2 (deuxième couche avec 2 têtes) ; 3
(troisième couche avec 3 têtes)… c-à-d 1 ;2 ;3 ;2 ;1 ;2. Remarquez la cinquième
couche avec la tête=1 donc elle est faible par rapport au autres. On peut faire
un petit logicielle qui combine les chiffres de 1 jusqu’a 4 et à chaque
combinaison on associé un dessin. On cherche les dessins satisfaisants à tous
les éléments. Mais on peut faire aussi un logicielle très fort qui tient compte de
tous les variables qui touchent l’atome : variables de masses de forces de
positions de distances vitesses…et lui correspondre une image. Une sorte de
fonction d’onde mais cette dernière utilise l’énergie de formation mc².
Nous avons rencontré une anomalie avec Ar ; puis les choses sont revenues à la
normale. Ces exceptions confirment une théorie ; ils nous poussent à trouver
d’autres lois ou variables qui gèrent la formation de l’atome. Je veux rester sur
le faite que les gaz rares sont la cause des retours isotropes autour de noyau.
Donc quand il y a une anomalie comme celle de Ar ; c’est que en ce lieu de
remplissage il y a étalage c-à-d pas de retour des lignes de champ ; donc une
ouverture à travers laquelle l’atome pourra faire une réaction chimique avec
les autres atomes (le Cl).
137
Le dessin 1 ; un atome ; une partie rouge c’est le remplissage d’un sous-
Truck ; les demi-arcs sont des lignes de duvets mais aussi le nombre 8 des s-Tr
d’un atome. Le dessin 2 ; si le remplissage était suivant des cercles
concentriques ; la place de thallium (Tl) aura était avec le Radon (Rn en rouge) ;
mais comme elle suit un spirale (les neutrons noirs) ; donc le Tl loin de lieu de
Rn ; il y a une plage orange à remplir (en face d’elle il n y aura pas de lignes de
retour). Mais comme le rabattage se fait sur toute la circonférence de l’atome ;
cette plage pourra ne pas avoir lieu. Le dessin 3 ; au fur et à mesure qu’on
remplit une couche ; les derniers neutrons forment une digue avec la couche
précédente (les doubles flèches rouges). C’est ce digue qui déforme le cortège
photonique ; donc un facteur d’étalage (un autre facteur la concentration des
lignes de retours par des électrons ; ou les lignes de duvets…). Le dessin 4 ; les
points rouges sont des lieux des lignes de champs de retours ; normalement
elles suivent une circonférence (ou spirale) ; mais la digue fait quelles sautent
ce lieu les flèches vertes (pas de retour en ce lieu, etalage).
En fin (mais ce n’est pas la fin en effet c’est un petit début) l’atome baigne
dans un champ de pesanteur (duvets) ; il est recouverte des lignes d’un champ
électromagnétique les retours ; vous saviez à l’interieur des neutrons. De faite
que la plus grande force est celle de la pesanteur ; on ne doit pas négliger celle
des ondes ele.mag. (pensé à la diffraction et la force entre les aimants…).
Les isotopes
Une loi : Une particule ne peut pas être d’une charge seule
parce que son émission est continue donc elle va se fatiguer,
s’épuiser, et mourir en fin très vite. Le retour retourne tous l’énergie
émis vers la particule à elle-même ; lui donne une relation par des
chocs élastiques ; donc une vie très longue. Pendant l’émission
Rayleigh ou Thomson ou amplification laser… il y a une source
d’énergie extérieure.
Pas de mouvement pas de vie aussi pour les particules. Ce qui favorise des
chocs d’excitations, d’où des réactions chimiques dans divers sens. Mais
depuis la naissance de l’univers il y a aussi beaucoup de champs qui favorisent
l’existence d’une charge avec deux pôles, l’un a une portance plus grande que
l’autre (ou principale) lorsqu’elle se trouve dans un autre champ. Autrement il
va mourir.
Une critique que je peu attendre de beaucoup ; c’est les retours. Surtout
que dans l’atome il y a deux sortes de retours. De point de vue science les
champs électromagnétiques sont formés par deux champs de base : le champ
électrique ; et le champ magnétique qui est un champ conservatif ; le flux de ce
champ à travers une surface fermée est nul = à 0 (∫∫B.ds=0). Donc si on admet
que les particules sont bipolaires il y a toujours un champ de retour qui est le
142
On peut me critiquer sur la façon avec laquelle les atomes font leurs
liaisons. Je ne suis pas en contradiction avec ce qui coule dans la science mais
j’ai essayé d’unifier un peu les choses. Pour comment ; ex. les dessins dessus
aucun ni juste sauf le dernier dessin, mais possible il y a d’autres
combinaisons.
Est-il possible que les deux atomes d’hydrogène peuvent se reliées entre
eux par leurs pôles dessin en haut à gauche. A droite une molécule d’oxygène
les deux pôles d’un atome ne sont pas en équilibre ; il y a plus de retour sur l’un
143
que sur l’autre. Il faut donc rejoindre les deux pôles de la molécule par d’autres
retours comme sur la molécule d’eau. Les schémas d’en haut montre que les
lignes de retour entre les deux atomes d’oxygènes donnent une force plus
grande aux liaisons chimiques ; mais la liaison ne fait pas de barrière élastique
entre les deux noyaux ; ce qui condamne cette liaison. Il faut faire ce que vous
croyez possible dans ce modèle. Quand on passe à Van Der Wales on trouve
qu’il y a beaucoup de possibilités de formes de liaisons. L’angle entre les
atomes d’hydrogènes dans la molécule d’eau est de 105°. Si on croit l’existence
de HзO⁺ l’indice de pH : Comme le H⁺ présente sa polarité positif vers
l’extérieur, donc il est relier a la molécule d’eau par son pole négatif (dessin
avant dernier ; lui aussi n’est pas juste).
Expérience de Rutherford
L’expérience de Rutherford à était faite sur une feuille d’or ; donc un cristal ;
donc des molécules (des atomes liées). C’est une image claire sur la petitesse
de noyau ; mais le cortège électronique est venue avec les liaisons entre atome
d’Au. Alors que la passerelle des He²⁺ vient d’étalage des retours. Dans le cas
ou l’atome est stable ; le rayon minimum de retour est 3 fois le rayon de
noyau. Pourquoi tellement de vide pour laisser passer les atomes de He⁺⁺ ;
donc c’est bien l’affaire des retours entre les atomes de Au. De point de vue
pratique cette expérience doit être vue en topo sur toues ses cotés ; car le He²⁺
est un atome comment il passe tranquille dans les molécules d’or ? Et par ou il
passe ; et combien d’espace est vide par rapport au constituons de liaisons…
l’atome une des atomes est une sorte de longue bague ; donc il passe dans le
stade de ce coquillage. Au milieu une force suivant la ligne hélicoïdale de
l’atome qui est la résultante de 2 forces (B1 et B2). Est ce que ces forces,
peuvent être la cause d’un allongement. Est-ce qu’on peut les amplifiés, pour
extraire les duvets ; et l’employer dans la radioactivité ? À droite une plante
donne une image de l’atome.
Bon pour ne pas aller loin, nous avons des données de la science : les
électrons, les β⁻,β⁺, les nucléons , des réactions nucléaires, les neutrons n ,
rayonnement alpha (ou expulsion d’un atome d’hélium par un autre atome),
rayonnement gamma, la radioactivité de l’uranium 235 et le plutonium 239
(désintégration spontané le résultat beaucoup des atomes radioactifs avec des
demi-vie variables ex : Sr 3,8°/∘.Y 2,3°/∘.Zr 9,9°/∘.Nb 4,7°/∘. Cu 4°/∘. Te 1,2°/∘.
I 0,6°/. Ba 4°/∘. La 4°/∘. Ce 10,1°/∘…) où l’atome se divise presque en deux, la
notion de thermique ou rapide, des réactions de fission, par émission, par
capture, par absorption, par diffusion…
He(4)+Be(9)→C(12)+n. n + B(10)→Li(7)+He(4)
Reactions de Bethe
145
U(238,x)+n→U(239,92)→Np(239,92)→2β⁻+Pu(239,94). U(235,x)
+n→U(236,x)→Cs(139,55)+Rb(95,37)+2n.
U(235,x)+n→U(236,x)→Kr(91,36)+Ba(142,56)+3n.
He(3,2)+He(4,2)→Be(7,4).
Critère de Lawson : D+T sous 10e7 Kelvin et y=10e14 particule/cm³.s. D+D sous
5.10e8 Kelvin, y=10e15 particule/cm³.s.
On voit l’électron petit mais avec des ailles très grandes. Le champ
E entre par son pole négatif ce qui lui permet une rotation puis un
avancement suivant le sens de la vitesse v. ceci sous une force f1.
L’électron positif est rare parce que petit dans un champ il est
obliger de faire parachute. Alors le proton est très lourd il est
toujours cocon donc neutron, possible à la surface de soleil ou les
champs sont très forts il existe. Aussi une fois un électron se fixe sur un
atome ; des lignes de retour vont les rejoignent ; une petite partie de retour,
et l’électron positif est en étalage.
Nous avons pris une décision que la forme spiralo-hélicoïdale est la forme
de l’atome ou toute autre particule. Mais avant cette conclusion j’avais oublié
le rôle de la pesanteur. Jai essaye de vérifier des formes comme les 3 nucléons
sur un plan sous forme de triangle ou de papillon. Mais le résultat était
négatif ; des réactions d’adition de deutérium et de tritium ou He₃ ; ne sont
pas possible surtout sur un plan. Ex. H₂⁴ hélium pourra être comme un
losange avec deux pôles négatifs et deux pôles positifs à gauche. Ou
seulement avec un pole positif et l’autre négatif (il faut respecter la
circulation de champ entre les pôles), ou même circulaire…
Quand les masses sont devenus assez grandes la formation des grandes
particules c’est accéléré a l’intérieur des grandes masses (je crois que des
atomes dont la masse est très grande se forment en continue dans le soleil,
mais se désintègrent au moment des explosions de manteau et ne reste que
ceux qu’on connait sur terre).
Et lorsqu’on parle d’une particule cocon par son noyau et ces retours on peut
conclure que la particule est presque sphérique aplatie. Sauf dans les cas
d’excitation. La forme des œufs est la dernière des formes bien visible
qui décrit la particule. Merci pour les oiseaux et poules.
REMARQUE : l’existence des Trucks et sous trucks est une preuve que les
quarks existent aussi, étant donner la même façon de construire les neutrons
et l’atome. En haut il y avait beaucoup des mots scientifiques qu’il fallait
rejeter, ils ne sont accepter que parce que ils ont une importance considérable.
Ex. la mise en commun, la sous couche… je connais qu’un des quarks est
beauté ; je crois que ce non n’a pas était choisie par hasard, mais il y a derrière
une image , comme par exemple beauté→botar c.-à-d. elle saute après un choc
comme un ballon. On peut voir aussi la lettre B car tous les lettres arabes latins
et les mots chinois sont des chef-d’œuvres.
mais il est en extension (HUBBLE), et comme Hubble avait une part importante
dans l’astronomie, il était difficile de dire autre chose. Mois dans la compagne ;
je regarde la nuit le ciel en pensant au milliards et milliard des étoiles , qui
expulsent a leur extérieur des milliards et milliards de tonnes de photons ,
ajouter a cela que dans ce temps (même si l’univers vue par les télescopes était
limité) , on connaissait déjà l’existence des milliards et milliards de galaxies ; je
conclue :
@ Que toute cette énergie veut dire qu’il n’y a pas de vide et les photons
voyagent très loin !
@ J’ai posé la question suivante ; pour quoi ces gens veulent qu’il y ait ici de la
matière et pas ailleurs ? Et c’est idiot de dire qu’il y a seulement les galaxies
qu’on voit.
Mais avec le temps la distance vue par les télescopes augmentait, et chaque
année on ajoute quelque milliers d’ANNÉE-LUMIÈRE. Alors la majorité des
scientifiques se sont mis tous d’acore que l’UNIVERS est INFINIE, cela a conduit
automatiquement que son DEBUT est aussi infinie Pour nous le vide au qu’il
nous nous somme habitué, était le vide de la chimie et thermodynamique (un
lieu vide des atomes), alors que les ondes électromagnétiques existent par
tous, donc il n y a pas de vide et la preuve les ondes de la pesanteur.
1 la galaxie de sombrero ; image 2 une galaxie spirale M51 ; voir d’autres galaxies en bas.
Mais dans ce travail on dit que la matière commence par zéro (0) (les
minosses compris) ; donc l’univers n’existait pas un certain moment. Il était
quoi donc ? Rien de rien un zéro par exemple. Mais dehors de ce rien de rien il
y avait quoi (deux choses !)? Ce n’est pas bette parce que, s’il c’est explosé
après ; il doit y avoir une place ou il va s’étendre. La question comme avant
c’est quoi cette place ? C’est l’univers lui-même donc il était déjà infini. Bon si
on considère que les éléments de la matière (toutes les particules petites ou
grandes ; trous noirs…) ; le zéro est un élément ; donc le moment ou il n’y avait
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pas l’univers ; il y a un infinie de temps existe aussi, parce que zéro est aussi
un élément de groupe des particules de la matière. Donc l’univers à toujours
existait ; et le temps T pendant qu’il était égale à zéro égale à zéro (0) ; est T=0.
Ceci preuve bien que l’âge de l’univers est infinie.
Les deux images en haut sont des videos on peut les cherchés sur internet.
Ceci pour vous dire le petit point ce qui est devenue ; puis en fin la
troisième photo.
Mais pour nous on peut conclure que la vitesse des duvets est plus
grande que la vitesse des photons pour 2 choses : 1)) à cause des lois que nous
avons vue et autres de la nature. 2)) à cause des frottements qui sont
proportionnelles à la surface de la particule.
IL Y A L’APESANTEUR ?
L’araignée ne veut pas qu’on s’approche des lieux des supernovas, aussi vers
des galaxies qui peuvent nous touchées par leur explosion (par ce qu’il y a des
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