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Romarin

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Salvia rosmarinus

Salvia rosmarinus
Description de cette image, également commentée ci-après
Romarin.
Classification Tropicos
Règne Plantae
Classe Equisetopsida
Sous-classe Magnoliidae
Super-ordre Asteranae
Ordre Lamiales
Famille Lamiaceae
Genre Salvia

Espèce

Salvia rosmarinus
Spenn., 1835[1]

Synonymes

  • Rosmarinus officinalis L., 1753 (synonyme remplacé)[2]
  • Rosmarinus angustifolius Mill.[3]
  • Rosmarinus communis Noronha[3]
  • Rosmarinus flexuosus Jord. & Fourr.[3]
  • Rosmarinus latifolius Mill.[3]
  • Rosmarinus officinalis var. angustifolius (Mill.) DC.[3]
  • Rosmarinus palaui (O.Bolòs & Molin. ) Rivas Mart. & M.J.Costa[3]
  • Rosmarinus rigidus Jord. & Fourr.[3]
  • Rosmarinus serotinus Loscos[3]
  • Rosmarinus tenuifolius Jord. & Fourr.[3]
  • Salvia fasciculata Fernald[3]
  • Salvia rosmarinus Schleid.[3]

Le Romarin Écouter, Salvia rosmarinus, est une espèce d’arbrisseaux de la famille des Lamiacées (ou Labiées), poussant à l’état sauvage sur le pourtour méditerranéen, en particulier dans les garrigues arides et rocailleuses, sur terrains calcaires[4].

Aussi connu sous le nom de Rosmarinus officinalis, ce nom est devenu synonyme quand l'espèce a été reclassée, en 2017, dans le genre Salvia[5].

Fraîche ou séchée, cette herbe condimentaire fait partie de la cuisine méditerranéenne, et une variété se cultive dans les jardins[4]. C'est une plante mellifère ; le miel de romarin, ou « miel de Narbonne » est réputé[4]. C'est également un produit fréquemment utilisé en parfumerie. Enfin, diverses vertus phytothérapeutiques ont été étudiées.

Le nom « romarin » viendrait du latin « ros marinus » (rosée de mer)[6], ou bien du grec « rhops myrinos » (buisson aromatique)[7], ou encore du latin « rhus marinus » (sumac de mer)[4]. On l'appelle également « herbe-aux-couronnes », et en provençal, « encensier »[8].

Le romarin est une des plantes recommandées dans les domaines royaux par Charlemagne dans le capitulaire De Villis (fin du VIIIe ou début du IXe siècle).

Caractéristiques

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Vue d'ensemble de la plante.
Romarin en fleur.
Salvia Rosmarinus - Muséum de Toulouse.

Description

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Le romarin peut atteindre jusqu'à 1,50 m de hauteur, voire jusqu'à 2 m en culture. Il est reconnaissable en toute saison à ses feuilles persistantes sans pétiole, coriaces, beaucoup plus longues que larges, aux bords légèrement enroulés, vert sombre luisant sur le dessus, blanchâtres en dessous. Leur odeur, très camphrée, évoque aussi l'encens d'où il doit son nom « encensier » en provençal.

La floraison commence dès le mois de février, parfois en janvier, et se poursuit jusqu'en avril-mai. Certaines variétés peuvent fleurir une deuxième fois en début d’automne[9]. La couleur des fleurs, qui se présentent en grappes assez semblables à des épis, varie du bleu pâle au violet. On trouve également, mais plus rarement, la variété à fleurs blanches R. officinalis albiflorus. Leur calice est velu, à dents bordées de blanc. Elles portent deux étamines ayant une petite dent vers leur base. La lèvre inférieure de la corolle est profondément divisée, faisant penser au labelle de certaines orchidées. Comme pour la plupart des Lamiacées, le fruit est un tétrakène. Ce dernier est de couleur brune.

Répartition géographique

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Le romarin est originaire du bassin méditerranéen.

On le trouve principalement dans les terrains arides et ensoleillés, comme les garrigues, les maquis et les rocailles. Il n'apprécie pas une sécheresse trop importante mais se contente de l'humidité du littoral, d'où il pourrait tenir son nom (« rosée de mer » en latin).

Il est répandu entre le niveau de la mer et 650 mètres[4], parfois jusqu'à 1 500 mètres d'altitude[10].

Statuts de protection

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L'espèce n'est pas considérée comme étant menacée en France. Elle est classée Espèce de préoccupation mineure (LC) par l'UICN.

Le romarin se cultive dans un endroit ensoleillé, dans un sol calcaire et bien drainé[11]. Bien que ce soit une plante aimant les climats chauds, il supporte les gelées si le sol ne conserve pas l'humidité. Idéalement, ce dernier doit avoir un pH compris entre 7 et 7,5[12].

Une légère taille au printemps après sa floraison peut contribuer à lui conserver une forme harmonieuse. Son feuillage persistant et sa tenue rend propice l'utilisation de certaines variétés touffues à une utilisation en topiaire.

Il se multiplie facilement au printemps ou à l'automne par bouturage ou marcottage ; plus difficilement en été par semis car sa germination est lente[11].

Le romarin est assez résistant aux nuisibles : il craint toutefois le rhizoctone brun en cas d'humidité trop importante[10].

Sa zone de rusticité se situe entre 8 et 10[13].

Production mondiale

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Rosmarinus officinalis prostratus (Romarin "Prostratus").

Le romarin est cultivé à large échelle en Espagne, en Tunisie, au Maroc, en Italie, en France, en Algérie et au Portugal, principalement pour en extraire de l'huile essentielle[10]. La production mondiale d'huile essentielle de romarin atteint 200 à 300 tonnes en 2005[12].

En Inde, la CIMAP (Central Institute of Medicinal and Aromatic Plants) a introduit la production de romarin à la fin des années 80, qui s'est développée au cours des années 90[10]. Cette production est concentrée dans le sud, dans les Nîlgîri et autour de Bangalore[12].

Utilisations

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Romarin frais
Valeur nutritionnelle moyenne
pour 100 g
Apport énergétique
Joules 548 kJ
(Calories) (131 kcal)
Principaux composants
Glucides 20,70 g
Amidon ? g
Sucres ? g
Fibres alimentaires 14,1 g
Protéines 3,31 g
Lipides 5,86 g
Saturés 2,838 g
Trans 0 g
Eau 67,77 g
Cendres totales 2,35 g
Minéraux et oligo-éléments
Calcium 317 mg
Cuivre 0,301 mg
Fer 6,65 mg
Magnésium 91 mg
Manganèse 0,960 mg
Phosphore 66 mg
Potassium 668 mg
Sodium 26 mg
Zinc 0,93 mg
Vitamines
Vitamine A 0,146 mg
Vitamine B1 0,036 mg
Vitamine B2 0,152 mg
Vitamine B3 (ou PP) 0,912 mg
Vitamine B5 0,804 mg
Vitamine B6 0,336 mg
Vitamine B8 (ou H) 0,109 mg
Vitamine B9 0 mg
Vitamine B12 0 mg
Vitamine C 21,8 mg
Vitamine D 0 mg
Acides aminés
Acide aspartique 391 mg
Acide glutamique 361 mg
Alanine 172 mg
Arginine 153 mg
Cystine 37 mg
Glycine 159 mg
Histidine 66 mg
Isoleucine 136 mg
Leucine 249 mg
Lysine 143 mg
Méthionine 47 mg
Phénylalanine 169 mg
Proline 136 mg
Sérine 129 mg
Thréonine 136 mg
Tryptophane 51 mg
Tyrosine 100 mg
Valine 165 mg
Acides gras

Source : United States Department of Agriculture

Gastronomie

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Les branches feuillues de romarin s'utilisent de préférence fraîches, mais peuvent également se conserver séchées. Les fleurs ont une saveur plus douce et se consomment crues, saupoudrées pour parfumer un plat ou un dessert.

Les branches s'emploient généralement comme aromate par infusion dans les ragoûts, les civets, les soupes et les sauces.

Le romarin est également utilisé pour parfumer les grillades. Quelques branches sont alors utilisées dans la confection d'une marinade ou une branche comme pinceau pour enduire la pièce à griller de marinade. Il est également possible de fumer la viande ou le poisson en déposant quelques branches sur les charbons, ou en petite quantité dans un fumoir[14]. On peut enfin se servir de branches pour embrocher des légumes avant leur cuisson.

Plus audacieux, le romarin est parfois utilisé en infusion pour parfumer des desserts comme les flans, les crèmes ou certaines confitures.

L'utilisation du romarin en parfumerie est très ancienne. Le premier parfum alcoolique dont on connaisse l'existence est l'eau de Hongrie, alcoolat fréquemment utilisé au XVIIe siècle et qui pourrait dater du XIVe siècle, dont le romarin était l'un des principaux composants[15].

L’essence est obtenue par la distillation des branches, de préférence en n’utilisant que les sommités fleuries. Elle contient notamment du bornéol[16], du 1,8 cinéol[17] (ou eucalyptol), du camphène[18] et du pinène[16]. Le romarin entre dans la composition de parfums surtout masculins, hespéridés aromatiques (eaux de Cologne), boisés et fougères aromatiques.

Médecine et phytothérapie

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Agents actifs

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La plante contient plusieurs agents actifs parmi lesquels :

Le romarin fut longtemps utilisé empiriquement en phytothérapie. Le miel de romarin, aussi appelé « Miel de Narbonne » était un des multiples constituants de la thériaque de la pharmacopée maritime occidentale au XVIIIe siècle[23].

Des études modernes montrent les effets du romarin :

  • cholérétique et hépatoprotecteur - le romarin a longtemps été utilisé empiriquement comme agent hépatoprotecteur et cholérétique. Ces effets ont été montrés expérimentalement[24]. Le romarin permet donc d'activer les fonctions digestives, en particulier le travail de la vésicule biliaire ;
  • antimycosique[25],[26] et antibactérien[20] - les substances du romarin limitent le développement de certains agents pathogènes ;
  • effets sur le système nerveux[27] - l'administration d'huile de romarin, à la fois par inhalation et par voie orale, stimule l'activité du système nerveux central, respiratoire et locomotrice chez la souris[28]. L'extrait alcoolique de R. officinalis a montré une activité antidépressive sur la nage forcée et les tests d'immobilité de la souris[29]. Le romarin serait donc recommandé pour traiter les divers cas d’asthénie ;
  • effets sur la circulation sanguine - l'utilisation d'huile de romarin dans un bain stimule la circulation dermique et améliore l'hémodynamique pour les problèmes d'occlusion artérielle[30] ;
  • effets sur les muscles lisses[31] - l'huile ou l'extrait aqueux de feuilles permettent d’inhiber certaines contractions induites chez les lapins et les cochons d’inde[32],[33]. Le romarin aurait donc des effets antispasmodiques ;
  • antitumorigénique[31] et antioxydant - de nombreuses études indiquent que le romarin permettrait de prévenir et de limiter la progression de certains types de cancers[34] ;
  • antibactérienne[31] - l'huile essentielle de romarin à cinéole permet de lutter contre le rhume, bronchites et sinusites[35] ;
  • anticoagulante[31]- les extraits de la plante ont des activités anticoagulantes qui peuvent diminuer le risque de la formation de caillots dans les vaisseaux sanguins[36].

L'huile essentielle de romarin peut avoir des effets neurotoxiques, déclencher convulsions et crises d’épilepsie. Par voie orale, et à part l'utilisation en cuisine, il est déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes [37].

On dénombre plus de 150 variétés de romarin[38]. Elles se différencient par leur taille maximale (d'une dizaine de centimètres à deux mètres), leur tenue (vertical ou rampant), la couleur de leurs fleurs (violettes, bleues, blanches, roses) et de leurs feuilles, leur rusticité...

Variété Nom Caractéristiques
Rosmarinus officinalis Alba ou Albus Romarin à fleurs blanches Fleurs et bourgeons blancs.
Rosmarinus officinalis Arp Romarin "Arp" Supporte particulièrement bien le froid (zones 6 à 10). Ses feuilles ont une odeur citronnée[39].
Rosmarinus officinalis Athens Blue Spire Romarin "Athens Blue Spire" Feuillage dense, arôme puissant[40].
Rosmarinus officinalis Barbeque Romarin "Barbeque" Tiges bien droites, adaptées à l'usage des tiges comme brochettes[40].
Rosmarinus officinalis Bennenden Blue Romarin "Bennenden Blue" Grandes fleurs bleu-ciel, feuilles étroites et foncées[39].
Rosmarinus officinalis Blaulippe Romarin "Blaulippe" Buisson compact, fleurs bleu tirant sur le violet. Sensible au froid.
Rosmarinus officinalis Blue Lagoon Romarin "Blue Lagoon" Buisson compact. Sa floraison le couvre de petites fleurs bleues.
Rosmarinus officinalis Corsican Blue Romarin "Corsican Blue" Rampant. Fleurs bleu soutenu.
Rosmarinus officinalis Fota Blue Romarin "Fota Blue" Fleurs bleu foncé soutenu, feuillage vert foncé.
Rosmarinus officinalis Gorizia Romarin "Gorizia" Grandes feuilles et grandes fleurs bleues. Saveur légèrement épicée rappelant le gingembre[40].
Rosmarinus officinalis Haifa Romarin "Haifa" Rampant. Petit et fragile, adapté à la culture en pot en intérieur.
Rosmarinus officinalis Jackmann's Blue Romarin "Jackmann's Blue" Fleurs bleu ciel, retombant.
Rosmarinus officinalis Miss Jessop's Upright Romarin "Miss Jessop's Upright" Croissance verticale. Variété utilisée comme haie.
Rosmarinus officinalis Pinkie Romarin "Pinkie" Fleurs roses, feuilles courtes et ternes[39].
Rosmarinus officinalis Primley Blue Romarin "Primley Blue" -
Rosmarinus officinalis Prostratus Romarin "Prostratus" Feuilles brillantes. Croit en s'étalant, adapté aux topiaires[40].
Rosmarinus officinalis Roseus Romarin "Roseus" Fleurs roses[39].
Rosmarinus officinalis Salem Romarin "Salem" -
Rosmarinus officinalis Severn Sea Romarin "Severn Sea" Les branches sont retombantes. Fleurs bleues tendant vers le violet[39].
Rosmarinus officinalis Sudbury Blue Romarin "Sudbury Blue" Feuilles bleu-vert, fleurs bleues[39].
Rosmarinus officinalis Tarentinus Romarin "Tarentinus" Buissonnant. Fleurs bleu pâle à violettes.
Rosmarinus officinalis Tuscan Blue Romarin "Tuscan Blue" Croissance rapide, peut atteindre 2 mètres dans de bonnes conditions. Fleurs bleu foncé, feuilles bleu-vert foncé et brillantes. Arôme apprécié pour la cuisine[39].
Rosmarinus officinalis Vicomte de Noailles Romarin "Vicomte de Noailles" -
Rosmarinus officinalis f. repandens Romarin retombant -
Rosmarinus officinalis Lavandulaceus Romarin "Lavandulaceus" Petite plante rampante, fleurs violettes.

Selon une légende, le romarin était à l'origine une plante à fleurs blanches. Avant de donner naissance à l'enfant Jésus, Marie, aurait déposé sa cape de couleur bleue sur un romarin planté devant l’étable. La cape aurait déteint sur l'arbrisseau et c'est ainsi que, depuis, le romarin fleurit bleu. Certains voient dans cette légende une autre origine possible au nom Romarin à savoir « Rose de Marie » (l'appellation anglaise étant d'ailleurs Rosemary), sans que cette origine soit étayée.

L’eau de Hongrie, alcoolat à base de romarin pour se parfumer ou à boire, viendrait d'Élisabeth de Pologne, reine de Hongrie. Elle l’aurait utilisée en 1378 à l’âge de 72 ans.

Le 6e jour du mois de messidor du calendrier républicain / révolutionnaire français est officiellement dénommé jour du romarin[41], généralement chaque 24 juin du calendrier grégorien.

Notes et références

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  1. IPNI. International Plant Names Index. Published on the Internet http://www.ipni.org, The Royal Botanic Gardens, Kew, Harvard University Herbaria & Libraries and Australian National Botanic Gardens., consulté le 19 juillet 2020
  2. WCSP. World Checklist of Selected Plant Families. Facilitated by the Royal Botanic Gardens, Kew. Published on the Internet ; http://wcsp.science.kew.org/, consulté le 19 juillet 2020
  3. a b c d e f g h i j et k The Plant List (2013). Version 1.1. Published on the Internet; http://www.theplantlist.org/, consulté le 19 juillet 2020
  4. a b c d et e Jean-Claude Rameau et al., Flore forestière française: Région méditerranéenne, 2008
  5. (en) « Salvia rosmarinus Schleiden », sur www.gbif.org (consulté le )
  6. Auguste Scheler, Dictionnaire d'étymologie française d'après les résultats de la science moderne (3e édition revue et augmentée), Bruxelles & Paris, , 552 p. (lire en ligne), p. 447
  7. Helmut Genaust, Etymologisches Wörterbuch der botanischen Pflanzennamen, 1996
  8. Huguette Max, La route des épices, 2008
  9. Jekka McVicar, Le grand livre des Herbes, 2006
  10. a b c et d H. Panda, Aromatic Plants Cultivation, Processing And Uses, 2009
  11. a et b Jean-Marie Polese, La culture des plantes aromatiques, 2006
  12. a b et c Azhar Ali Farooqi et al., Cultivation of Spice Crops, 2005
  13. « Salvia rosmarinus - Plant Finder », sur www.missouribotanicalgarden.org (consulté le )
  14. Camille Knockaërt, Le fumage du poisson (7e édition), 2002
  15. La Belgique horticole: Annales de botanique et d’horticulture. Vol. 12. 1862
  16. a et b Revue suisse de viticulture, arboriculture, horticulture. 2001
  17. a b c d e f g h i j et k Souâd Akroum, Étude des propriétés biochimiques des polyphénols et tannins issus de Rosmarinus officinalis et Vicia faba L., 2006
  18. a et b Rao et al., Rosemary (Rosmarinus officinalis L.): Impact of drying on its flavor quality, 1998
  19. E. Ibanez et al., Supercritical fluid extraction and fractionation of different preprocessed rosemary plants, 1999
  20. a b c et d Souâd Akroum, Inhibition de quelques bactéries pathogènes par les extraits éthanoliques de rosmarinus officinalis, Sept. 2008
  21. H. Serra et al., Prediction of intestinal absorption and metabolism of pharmacologically active flavones and flavanones, 2008
  22. a b et c Y. H. Hui et al., Handbook of Fruit and Vegetable Flavors, 2010
  23. D’après Maistral, in Yannick Romieux, De la hune au mortier, Éditions ACL, Nantes, 1986
  24. Joyeux M, Rolland A, Fleurentin J, Mortier F & Dorfman P, Planta Med, 56 (1990) 171
  25. Steinmetz M D, Moulin-Traffort J & Regli P, Mycoses, 31 (1988) 40.
  26. Durakovic Z & Durakovic S, J Indian Med Assoc, 72 (1979) 175.
  27. Risa Araki, Kazunori Sasaki, Hiroyuki Onda et Syunsuke Nakamura, « Effects of Continuous Intake of Rosemary Extracts on Mental Health in Working Generation Healthy Japanese Men: Post-Hoc Testing of a Randomized Controlled Trial », Nutrients, vol. 12, no 11,‎ , p. 3551 (ISSN 2072-6643, PMID 33233510, PMCID 7699484, DOI 10.3390/nu12113551, lire en ligne, consulté le )
  28. Kovar K A, Gropper B, Friess D & Ammon H P T, Planta Med, 53 (1987) 315.
  29. Matsunaga K, Lu X-C, Yasuda H et al, Nat Med, 5 (1997) 63.
  30. Rulffs W, Munch Med Wochensch, 126 (1984) 207.
  31. a b c et d (en) Catherine Ulbricht, Tracee Rae Abrams, Ashley Brigham et James Ceurvels, « An Evidence-Based Systematic Review of Rosemary ( Rosmarinus officinalis ) by the Natural Standard Research Collaboration », Journal of Dietary Supplements, vol. 7, no 4,‎ , p. 351–413 (ISSN 1939-0211 et 1939-022X, DOI 10.3109/19390211.2010.525049, lire en ligne, consulté le )
  32. Aqel M B, J Ethnopharmacol, 33 (1991) 57.
  33. Al-Sereiti M R & Said S A, First Medical Conference of Libya, 1992, 2.
  34. M R Al-Sereitia et al., « Pharmacology of rosemary (Rosmarinus officinalis Linn.) and its therapeutic potentials », Indian Journal of Experimental Biology, Vol. 37, February 1999, p. 124-131.
  35. « Huile essentielle de Romarin à cinéole : propriétés et utilisations - Aroma-Zone », sur www.aroma-zone.com (consulté le )
  36. Nassima Boucheloukh et Takia Kadja, « Étude botanique et phytochimique de la plante médicinale Rosmarinus officinalis L. », sur dspace.centre-univ-mila.dz/jspui, (consulté le )
  37. « Romarin (Rosmarinus officinalis) », sur doctissimo.fr (consulté le )
  38. http://zipcodezoo.com/Plants/r/Rosmarinus_officinalis_lavandulaceus/
  39. a b c d e f et g Patricia Lanza. Lasagna Gardening with Herbs. 2004.
  40. a b c et d Rush Creek Growers Catalog 2010
  41. Ph. Fr. Na. Fabre d'Églantine, Rapport fait à la Convention nationale dans la séance du 3 du second mois de la seconde année de la République française, p. 28.

Références taxinomiques

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Salvia rosmarinus Spenn., 1835

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Salvia rosmarinus Schleid., 1852

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Rosmarinus officinalis

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Article connexe

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