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Ford modèles 1956

Pour 1956, la face avant des Ford est retouchée tandis que les moteurs gagnent en puissance avec les V8 de 4,8 ou 5,1 litres, ce dernier développant 228 ch. La gamme comprend désormais une berline quatre portes Victoria à toit rigide et un break deux portes Parklane à la finition semblable à celle de la Fairlane.
 





Triumph TR3

En octobre 1955, Triumph présente la TR 3, évolution de la TR2. Elle se distingue par sa grille de calandre affleurant et des joints de carrosserie en acier inoxydable. Son moteur est le 4 cylindres de 1991 cm³ à soupapes en tête. Il développe 96 ch grâce à de nouveaux carburateurs SU H6 plus gros  que sur la TR2. 

En 1956, la TR 3 reçoit un second silencieux d'échappement, ce qui permet de diminuer sensiblement le niveau sonore. En juin 1956, des disques de freins Girling sont montés à l'avant. La TR3 est produite jusqu'à l'été 1957 à 13 377 unités.




Citroën DS 19

Au Salon de Paris 1955, Citroën dévoile sa nouvelle berline traction avant aux lignes aérodynamiques et à la suspension hydropneumatique : la DS 19. Conçue par le designer Flaminio Bertoni en collaboration avec les ingénieurs André Lefebvre et Paul Magès, la DS 19 se veut révolutionnaire avec une ligne aérodynamique et futuriste, une suspension hydropneumatique, la direction assistée, une boîte de vitesses à commande hydraulique, des freins avant à disque, un volant monobranche, etc. Le moteur est le 1911 cm³ développant 75 ch issu de la 11 CV. Au Salon de Paris 1958, Citroën présente la DS 19 Prestige, version luxueuse avec séparation vitrée entre le chauffeur et le compartiment arrière. Les modèles 1960 reçoivent des grilles d'aération au-dessus des ailes avant.

Carrosserie : berline 4 portes, 5 places
Moteur : 4 cylindres en ligne, 1911 cm³ (78 x 100 mm), 75 ch à 4500 t/min
Empattement : 3125 mm, voies : 1500/1200 mm, Lxlxh : 4800 x 1790 x 1470 mm
Poids : 1110 kg
Vitesse maxi : 140 km/h




Facel Vega FV2 / FV3 / FV4

En septembre 1955, le modèle FV2 succède au FV1. Il reçoit un pare-brise panoramique et le moteur 4,7 litres gagne 50 chevaux. La FV2 reçoit un tableau de bord en tôle peinte en imitation de ronce de noyer qui deviendra caractéristique des Facel Vega. 
Sur la FV2B, lancée en mars 1956, est monté un moteur Chrysler de 5413 cm³. 
Sur la FV3 lancée en octobre 1956, la face avant est retouchée tandis que le moteur est ramené à 4527 cm³. 
Sur la FV3B, présentée en août 1957, la carrosserie est plus large et plus longue et le moteur est un 5 litres (4940 cm³). Parallèlement, Facel Vega propose le coupé FV4 qui conserve le moteur 5,4 litres et est destiné à l'exportation.

 

Peugeot 403

Dévoilée le 20 avril 1955 au Palais de Chaillot, la 403 est une berline 8 CV qui complète la gamme Peugeot au-dessus de la 203. Sa ligne classique a été réalisée en collaboration avec Pinin Farina. Le moteur est un 1468 cm³ de 58 ch dérivé du 1300 de la 203. 

En septembre 1956, Peugeot complète la gamme 403 avec les versions longues (empattement allongé de 24 cm) en finition de base commerciale ou en familiale avec trois banquettes. Quelques retouches sont apportées au modèle 1957 (finition Grand Luxe) : des clignotants ronds apparaissent sous les phares ; ils remplacent les flèches des premiers modèles. En 1959, la 403 est la première française voiture de série à être produite avec un moteur Diesel, un 1816 cm³ délivrant 48 ch. Il a été conçu par la société Indenor.

 

Fiat 600

En vue de remplacer la "Topolino", Vittorio Valletta demande à Dante Giacosa de concevoir une nouvelle petite voiture destinée à motoriser l'Italie. C'est la Fiat 600 qui est dévoilée le 9 mars 1955 au Salon de Genève. Il s'agit d'une petite berline deux portes offrant quatre places. Le moteur, situé en position arrière, est un 4 cylindres de 633 cm³ refroidi par eau. Ses 21,5 ch permettent d'atteindre une vitesse de 95 km/h. 
Le succès commercial est immédiat et les délais de livraison dépasse un an au début de sa carrière. Les ingrédients de ce succès sont un prix compétitif, un bon équipement, un bon rapport qualité-prix, une bonne habitabilité et un bon comportement routier.

La première série, fabriquée de mars 1955 à février 1957 se caractérise par des portes "suicides", des vitres coulissantes, des clignotants montés dans une flèche au-dessus des ailes avant, une décoration de la face avant composée de six moustaches en aluminium entourant le sigle central.
Quelques améliorations sont apportées à la série 2 en mars 1957. La puissance est portée à 22 ch grâce à un nouveau carburateur. Les vitres sont descendantes avec un mécanisme à manivelle. Les feux arrière comprennent le clignotant et un réflecteur.  
En mars 1959, la série 3 voit sa puissance passer à 24,5 ch. Cela permet d'atteindre une vitesse maximale de 100 km/h. Les feux arrière sont plus gros et des clignotants ronds, montés sous les phares, remplacent les flèches des ailes.  




Chrysler 300

En février 1955, Chrysler lance un coupé surpuissant, la 300. Il est équipé du moteur V8 de 5426 cm³ de l'Imperial mais dans une exécution alimentée par deux carburateurs et à la puissance portée à 304 ch. La Chrysler 300 atteint la vitesse de 225 km/h.

Nash Rambler

Après la fusion de Nash et Hudson pour former l'American Motors Corporation, la Rambler devient le modèle d'entrée de gamme du groupe et est commercialisée sous les deux marques Nash et Hudson.
Sur les Rambler 1955, les garde-boue avant sont ajourés, ce qui réduit le rayon de braquage de 2 m. Le moteur de la Rambler est le 6 cylindres de 3205 cm³ développant 91 ch.






Salon de Bruxelles 1955

Le 38ème salon de l'Automobile de Bruxelles est le premier de l'année 1955. Par rapport aux éditions précédentes, le manque d'espace a été résolu en octroyant à Ford son propre petit salon dans un palais annexe. Vingt stands ont ainsi pu être libérés dans le hall principal.
Malgré leur présentation précoce en début d'année, la salon bruxellois est l'occasion de présenter au public l'ensemble des nouveaux modèles américains. Le millésime 1955 ne diffère pas seulement du précédent par de simples changements extérieurs mais la plupart des marques proposes des véhicules entièrement nouveaux ou considérablement modifiés. Les carrosseries sont plus basses et dotées d'un pare-brise panoramique incurvé et les moteurs gagnent en puissance. Les principales nouveautés du Salon de Bruxelles 1955 sont les Nash et Hudson, deux marques désormais regroupées au sein de l'American Motors Corporation. La gamme se décline comme suit : les Rambler, Statesman etAmbassador chez Nash et les Rambler, Wasp et et Hornet chez Hudson. Bien qu'il existe une étroite collaboration entre les deux constructeurs à la suite de la fusion, à l'exception des deux Rambler qui ne se distinguent que par le logo sur leur calandre, les voitures ne sont pas identiques. Sur demande, la Nash Ambassador peut désormais être équipée d'un moteur V8 provenant de chez Packard et développant 211 ch avec carburateur double corps ou 228 ch avec un quadruple corps. Le moteur v8 Packard peut également être monté dans la Hudson Hornet. les modèles V8 sont fournis avec la transmission Twin Ultramatic, également de Packard.
Chez General Motors, les Chevrolet et Pontiac redessinées se caractérisent par une ligne abaissée de 7 cm. En Belgique, les Chevrolet sont disponibles avec le moteur 6 cylindres ou le nouveau V8 de 152 ch. Dérivées de la Chevrolet, les Pontiac modèles 27 et 28 se distinguent par leur empattement de respectivement 310 et 315 cm. Leur moteur 4,7 litres délivre 175 ch à 4400 t/min. Chez Oldsmobile, Buick et Cadillac, il n’y a que quelques changements à signaler. Les puissances annoncées pour les modèles commercialisés en  en Belgique avec les taux de compression prévus à l’exportation sont de 190 ch pour les Oldsmobile Super 88 et 98, 188 ch pour la Buick 40 Special, 227 ch pour les autres modèles Buick et 233 ch pour la Cadillac.
Chez Ford, les évolutions sont moins marquantes. Les châssis et carrosseries sont pratiquement restés les mêmes sur le modèles 1955. Un constat peut cependant être relevé : le pare-brise panoramique se retrouve sur les sur Ford et les Mercury, mais pas sur les Lincoln. A l'exception du 6 cylindres, la puissance des moteurs a été considérablement augmentée. Sur les Lincoln, la transmission "Turbo Drive" remplace l'Hydramatic. Ce système se compose d’un convertisseur de couple hydraulique et d’une boîte de vitesses à trois vitesses.
Chez Chrysler, les moteur 2,8 litres et l'ancien 3,8 litres de la Coronet sont montés sur les Plymouth ainsi que sur les modèles d'entrée de gamme chez Dodge et DeSoto. Tous les autres modèles reçoivent un moteur V8 de 4,4 litres chez Dodge et de 4,7 litres chez DeSoto. La Chrysler Windsor est équipée d'un V8 de 4,9 litres et la New Yorker et l'Imperial du 5,4 litres Firepower développant 250 ch.
Les nouvelles américaines sans doute les plus intéressantes du salon sont les Packard qui adoptent un nouveau V8 de 5,2 ou 5,8 litres dont la puissance varie entre 228 et 276 ch. Sur les grands Packard, l'attraction principale est la nouvelle suspension Allison avec liaison des roues avant et arrière de chaque côté. 
Parmi les autos de taille moyenne, une des principales attraction du salon est la Ford Taunus 15M qui se positionne comme une concurrente de l'Opel Olympia sur la marché belge. Elle est disponible en berline ou en break. 
Une nouvelle microcar allemande, la Goggomobil, est dévoilée à Bruxelles. Elle dispose de deux sièges pour adultes et deux petits sièges pour des enfants. Le moteur 2 cylindres 2 temps refroidi par air, d'une cylindrée de 250 cm³ et une puissance de 14 ch, est monté à l'arrière.
De Tchécoslovaquie arrive une nouvelle petite voiture, version modernisée de la Skoda 1100 qui conserve les mêmes caractéristiques techniques à l’exception du carburateur à aspiration descendante, mais reçoit une nouvelle carrosserie. La berline deux portes, quatre places, baptisée "Orlik", adopte une caisse de type ponton et se se caractérise par un coffre spacieux et un équipement très complet.
L'usine Minerva d’Anvers, qui était connue pour ses voitures de luxe de renommée mondiale avec des moteurs sans soupapes, réserve encore quelques surprises pour le salon. On se souvient que cette marque a exposé de manière inattendue un châssis de l’ancienne Cemsa-Caproni italienne au Salon 1953, dans lequel son propre moteur boxer quatre cylindres refroidi par air était installé. Ce moteur est encore à l'étude mais Minerva en a également développé un autre, sans soupapes avec des curseurs actionnés par des arbres aux extrémités. Il s’agit d’un moteur 4 cylindres de 2 litres de cylindrée qui délivre 70 ch à 4200 tr/min. Il est installé dans un châssis de véhicule tout-terrain, similaire au Land Rover, mais a été entièrement construit en Belgique et il est également équipé d’un frein à disque à commande manuelle agissant sur l’arbre à cardan. Il semble que Minerva, qui assemble les marques Rover et Armstrong Siddeley, veuille se rendre indépendante des pays étrangers en termes de fourniture des moteurs du Land Rover. Le même moteur est également présenté dans une version refroidie par air, mais celle-ci est encore au stade expérimental. 
Du côté des usines d'assemblage belge, quelques modèles intéressants sont présentés au salon. Imperia, qui assemble les produit de la Standard Motor Company, a développé une version fermée de la Triumph TR2 équipée de vitre rétractables. On découvre aussi une version coupé de l'Austin-Healey à toit fixe, également développée en Belgique. 
Chez Volvo, les visiteurs découvrent pour la première fois en Europe la Volvo Sport à la carrosserie en plastique. 
En ce qui concerne les carrosseries spéciales, il y lieu de mentionner les réalisations d'Oblin sur base Moretti 750 et Ferrari 3 litres.

Oldsmobile modèles 1955

Hormis quelques modifications mineures aux modèles 88, Super 88 et 98, pour l'année-modèle 1955, les performances des Oldsmobile sont augmentées conformément à la tendance générale de l'industrie automobile américaine. La puissance du moteur V8 est portée à 187 ch sur la 88 et 205 ch sur la Super 88 et la 98. Les performances supplémentaires des nouveaux moteurs sont dues à des mesures telles que l'amélioration des chambres de combustion et un diamètre plus grand des soupapes d'échappement. De petites améliorations de détail concernent les amortisseurs avant, qui sont désormais situés dans l'axe du ressort hélicoïdal.








Packard Caribbean

Le cabriolet Caribbean est au sommet de la gamme Packard 1955. Il dispose d'un moteur V8 5,8 litres plus puissant que celui de la Patrician. Il développe 279 ch.

Pour 1956, il est également proposé en coupé hardtop.



Packard Patrician

Dans la gamme Packard, la Patrician est la berline de haut de gamme. Elle est établie sur un empattement de 323 cm au lieu de 310 cm pour la Clipper. Son moteur est le nouveau V8 de 5773 cm³ développant 264 ch à 4600 t/min.



Packard Clipper

En janvier 1955, les Packard reçoivent une nouvelle carrosserie et adoptent la suspension Torsion-Level à barres de torsion interconnectées entre les roues avant et arrière. L'autre grande nouveauté est le nouveau moteur V8 qui remplace l'ancien 8 en ligne. Deux cylindrées sont proposées : 5237 cm³ (228 ch) sur les Clipper De Luxe et Clipper Super et 5773 cm³ (248 ch) sur la Clipper Custom.
La fabrication des carrosseries n'est plus assurée par Briggs, racheté par Chrysler, mais par Packard même dans son atelier de Conner Avenue à Detroit. Ceci va malheureusement entraîner certains problèmes de qualité et faire fuir la clientèle. Ce qui n'arrange pas les affaires de Packard qui vient de racheter, le 1er octobre 1954, Studebaker qui connaît des problèmes de productivité. La gamme Clipper comprend cinq modèles en 1955-1956 : Super Sedan, Deluxe Sedan, Custom Sedan, Panama Super coupé hardtop et Constellation coupé hardtop. 





 
 
 

Ford Taunus 15M

Pour proposer un modèle face aux constructeurs concurrents qui occupent la catégorie des voitures moyenne de 1.5 litres de cylindrée, Ford Cologne présente la Taunus 15M (G4B) le 4 janvier 1955. La Ford Taunus 15M est dotée d'un nouveau moteur à soupapes en tête de 1498 cm³, développant 55 ch à 4250 t/min. Elle se distingue de la 12M par une calandre ovale en une seule pièce, ornée d'une barre horizontale. A l'arrière, les feux sont d'un dessin différent. La 15M est disponible en berline et en break (Kombi). Quelques cabriolets sont fabriqués de 1955 à 1957.

En septembre 1955, au Salon de Francfort, Ford lance la 15M de Luxe. Elle se pare d'une calandre à sept dents chromées, d'une carrosserie deux tons et d'un aménagement intérieur à la finition soignée.
En septembre 1957, la Taunus 15M reçoit une nouvelle calandre grillagée. Les charnières du capot de coffre arrière ne sont plus apparentes. La version de Luxe n'est plus proposée.












Hudson modèles 1955

A la suite de la fusion de  la Hudson Motor Car Company et de Nash-Kelvinator en 1954, l'usine de fabrication de Hudson à Détroit a été fermée et la production des modèles Hudson a été transférée à l'usine Nash du Wisconsin. Les Hudson sont dès lors désormais basées sur les Nash mais conservent cependant leur propre style. Les carrosseries disponibles sont la sedan 4 portes ou le coupé hardtop Hollywood, le cabriolet n'étant plus au programme. La Hornet les partage avec la Wasp mais se distingue par un empattement plus long (308 cm). Le moteur 6 cylindres en ligne de 5047 cm³ est proposé en versions de 162 ch ou 172 ch. Pour la première fois, la Hornet peut être commandée avec un moteur V8 de 5237 cm³ fabriqué par Packard. Il développe 211 ch et est accouplé à la transmission automatique Ultramatic de Packard. La suspension arrière intègre désormais un système de tube de torsion pour l'arbre de transmission et la suspension arrière à ressorts hélicoïdaux ainsi que des ressorts avant deux fois plus longs que la plupart des autres voitures. Deux niveaux de finition sont disponibles : Super et Custom. La série Custom dispose d'un porte-pneus "continental", d'un accoudoir central pour le siège arrière, d'un tableau de bord rembourré, de pare-soleil transparents et d'un filet de rangement intérieur au-dessus du pare-brise. 



 




Nash Ambassador

En janvier 1955, les Nash reçoivent une toute nouvelle carrosserie qui est caractérisée par un pare-brise enveloppants « Scenaramic » et  un nouveau traitement de la partie avant avec une nouvelle calandre ovale intégrant les phares. Les ailes avant présentent des passages de roue avant surélevés qui montrent davantage la roue que ce que Nash avait révélé depuis le lancement des modèles "Airflyte" en 1949. Aux côtés du 6 cylindres de 4139 cm³, les Ambassador reçoivent pour la première fois un moteur V8 qui est fourni par Packard. Le V8 de 320 pouces cubes (5237 cm³, 211 ch) est couplé à la transmission automatique Ultramatic, également de Packard .





 
 

Lincoln Capri

Pour 1955, la Lincoln Capri reçoit un moteur à la cylindrée augmentée à 5588 cm³ alimenté par un carburateur quadruple corps. Il développe 228 ch. Il est associé à une boîte automatique Turbo-Drive. L'air conditionné est proposé en option. La gamme Capri comprend toujours la berline, le coupé hardtop et le cabriolet.


 
 
 

Lincoln Custom

Les Lincoln 1955 reçoivent une moulure d'aile arrière plus basse. Le modèle Cosmopolitan est rebaptisé Custom. La cylindrée du moteur est portée à 5588 cm³ (228 ch).

 

Ford modèles 1955

La Ford 1955 conserve la coque des modèles 52-54 mais remaniée avec des chromes plus abondants, un pare-brise enveloppant et des ailes arrières redessinées dans le style de celles de la Thunderbird. La gamme comprend les finitions Mainline, Customline et Fairlane. Cette dernière, qui reprend le nom de la propriété de Henry Ford, succède à la Crestline. Elle est aussi proposée en coupé Victoria, Crown Victoria ou Skyliner et en cabriolet Sunliner. Les moteurs sont soit le 6 cylindres de 3654 cm³, soit le V8 de 4457 cm³.