birikine
poèmes et poésies accompagnés d'illustrations et de dessins personnels
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de : eve13@free.f r
a : moi
merci http://birikin e.centerblog.n et
Par birikine, le 13.02.2025
gabrielle , je suis chez toi ..... par l'esprit ....
ou j'habite ? cela reste un mystère ??? il y a des vigne
Par pat, le 12.02.2025
tout métier s'apprend y compris celui de la pêche!
qu'il es beau ce garçonnet, magnifique dessin.
jacqu elin
Par Anonyme, le 11.02.2025
de : marie-pierre
a : moi
le pauvre.... quelle patience....
Par birikine, le 11.02.2025
bonsoir gabrielle
tel est pris qui croyait prendre ! mireille http://birikin e.centerblog.n et
Par birikine, le 10.02.2025
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Date de création : 18.10.2014
Dernière mise à jour :
12.02.2025
2918 articles
Voilà un garçon qui est plutôt seul dans la vie
Mais les animaux qui lui tiennent compagnie
Sont si fidèles qu’ils sont devenus ses amis
Alors il les enchante par ses douces mélodies
Par conséquent le garçon devant les oiseaux
Ou quelques brebis qui aiment le son du pipeau
Joue inlassablement lorsque le temps est beau
Et il est plus que comblé de son drôle de lot
Ne changerait donc pas son existence le garçon
Maintenant qu’il a ses dévoués compagnons
Que ce soit le rouge-gorge ou le blanc mouton
Chacun lui apportant une grande satisfaction
Et si le garçon est isolé du bruyant monde urbain
Pour l’avoir connu il préfère davantage le sien
Dans cette campagne où les pinsons et les ovins
L’affectionnent et rendent son cœur serein
Cependant le jeune garçon a maintes qualités
En autres de faire de la musique et de chanter
Il offre gîte et couvert quand les prés sont enneigés
À toutes ces créatures qui l’écoutent avec amitié
Voilà un garçon qui est plutôt seul par ici
Mais les animaux qui lui tiennent compagnie
Sont si fidèles qu’ils sont devenus ses amis
Alors il les enchante par ses douces mélodies
Ainsi va la plus épanouissante des vies…
Gabrielle
C’est un gars qui aime la pêche sans avoir appris
Pensant qu’avec une canne tout lui serait permis
Juste que son hameçon dans les branches atterrit
Et le poisson moqueur se dit plus malin que lui
Ainsi le garçonnet n’est pas au bout de ses peines
Parce que la pêche demande à ce qu’il s’entraîne
Et lorsque l’appât s’introduit dans le grand frêne
La friture pense qu’il est bien loin d’être en veine
Cependant le petit garçon ne perd pas courage
Il a la volonté et la très belle naïveté de son âge
Ainsi sans se décourager il libère le fil du feuillage
Et repart pour une pêche qui n’est pas à son avantage
Car la ligne après quelques drôles d’envolées
S’embrouille puis se casse autour d’une ramée
Et seul butin du bambin c’est une fleur desséchée
Qu’il jette par dépit sur le dos du narquois brochet
Oui tout devient très compliqué pour l’enfant
Qui ne peut attraper le moindre gardon blanc
Lequel lui fait un pied de nez sans ménagement
Sachant que la pêche nécessite un enseignement
Néanmoins le jeunot ne s’avouant pas vaincu
Reviendra à la pêche quand le jour sera venu
Où d’une bonne formation il en sera pourvu
Et gare à la truite frétillante ou au fretin-menu
Qui en attendant vivent tranquilles sans le jeune ingénu
Gabrielle
Ce sont deux canetons plutôt téméraires
Qui ont échappé à la vigilance de leur mère
Et les voilà perdus loin de la petite rivière
Où ils vivaient avant leur vie aventurière
Oui les canetons ont déambulé longtemps
Puis sont arrivés épuisés dans un champ
Qui ne leur offre pas protection ni logement
Maintenant apeurés ils en sont tremblotants
Ainsi tapis et effarouchés dans l’herbette
Les canetons de leur aventure la regrettent
En pensant que leurs parents s’inquiètent
De leur escapade faite sur un coup de tête
Néanmoins les canetons ont de la chance
Car ils sentent arriver une douce présence
Une fille qui comprend leur irréfléchie errance
Et les sauvera peut-être de cette imprudence
Tandis que câline les canetons la demoiselle
Pour lesquels est émue son âme maternelle
Elle leur explique que d’obéir c’est essentiel
À sa famille qui les protège d’un monde cruel
Voici cette petite histoire qui finit plutôt bien
Parce que les canetons sont chez eux enfin
Et chacun comprend à présent que son chemin
Est de suivre tant qu’il n’est pas adulte les siens
Gabrielle
Te voilà à fêter un drôle d’anniversaire
Celui qui n’a pas la même dizaine qu’hier
Juste qu’un chiffre aux trois bulles d’air
Ne peut que t’amener une douce lumière
C’est sûr que personne n’arrête le temps
Mais le voir s'écouler c’est être vivant
Alors profites de ses meilleurs moments
Avec ces trois balles d’enchantement
Pourquoi pas le huit pour une décennie
Rien ne l’empêche d’apporter à ta vie
Ce que tu désires et mieux encore pardi
Puisque trois anneaux ça n’a pas de prix
Alors comme trois ballons charmants
Ils te donneront joie et contentement
Dès lors ils t’accompagneront tout l’an
Ces numéros aériens et compatissants
Donc ton âge aujourd’hui a trois ronds
Qui tournent à l’infini sans terminaison
Comme s’ils te donnaient la permission
D’un vécu éternel agréablement bon
Te voilà à fêter un drôle d’anniversaire
Celui qui n’a pas la même dizaine qu’hier
Juste qu’un chiffre aux trois bulles d’air
Ne peut que t’amener une douce lumière
Car oui quatre-vingts ans n’est pas ordinaire
Gabrielle
Tout le monde sait que le canard aime l’eau
Cependant le voilà à penser que c’en est trop
Parce qu’elle tombe le jour et la nuit à gogo
Et sa petite mare ressemble à un ruisseau
Il est vrai que le canard a des pattes palmées
Or n’a besoin que d’une flaque pour barboter
Et déteste que son petit chez lui soit inondé
Si le ciel abuse de vider ses grosses nuées
Et le canard voyant les ondées continuelles
Qui choient impunément sur ses jolies ailes
Si mouillées qu’elles en perdent leur naturel
Désespérément il prend alors son ombrelle
Ainsi le canard bien déçu sous le parapluie
À cette flotte qui s’amuse à lui pourrir la vie
En grognonnant d’aller loin ailleurs il la prie
Après tout son humble confort n’a pas de prix
Toutefois le firmament en a décidé autrement
Et évacue ses précipitations constamment
Sur le canard qui n’est pas vraiment content
D’être obligé de se plier au céleste élément
Néanmoins le vaste univers est si mystérieux
Que sont impuissants les nuages ou les cieux
Lesquels devront se plier à la loi de leurs dieux
Qu’il soit Tlaloc ou celui des êtres ici bas grincheux
Tel le canard qui me permet de rédiger un texte sur le temps pluvieux
Gabrielle
Qui n’affectionne pas la charmante Daisy
Personne car toujours prête à faire plaisir
Et comme souvent elle décide aujourd’hui
Une rose plutôt mystérieuse à nous offrir
Parce que la rose a d’admirables qualités
Et Daisy suppose qu’elle sera appréciée
Pour ses pouvoirs qui apportent la santé
Mais aussi le ravissement à tout jamais
Alors Daisy avec la plus belle des tenues
À la main cette rose aux grandes vertus
Est persuadée que l’on sera ravis et émus
De recevoir ce précieux cadeau inattendu
Toutefois la rose a ses propres conditions
Il faut que chacun de nous mérite ses dons
Malgré l’adorable Daisy au cœur si bon
Qui ne pourra la remettre à certains fripons
Ainsi miss Daisy se doit d’être obéissante
À la rose qui lui est bien reconnaissante
Car le contraire elle ne serait plus influente
À pouvoir divulguer une joie permanente
Qui n’affectionne pas la charmante Daisy
Personne car toujours prête à faire plaisir
Et comme souvent elle décide aujourd’hui
Une rose plutôt mystérieuse à nous offrir
Or j’en suis sûre tous mes lecteurs obtiendront cette rose pardi
Gabrielle
Que se passe-t-il de si important sous le balcon
Pour que soit si curieuse la demoiselle au jupon
Ainsi que son terrier qui regarde avec attention
Ce que ne peuvent pas repérer mes crayons
Pourtant la fillette au nœud assorti à son tutu
Est intéressée par ce qui se produit dans la rue
Même son toutou la gueule dehors paraît fort ému
Sauf que ne voit rien mon pinceau bien entendu
C’est ainsi qu’est frustrée ma petite illustration
Car elle ne peut visualiser la pseudo manifestation
Qui se produit deux étages plus bas de la maison
Où se trouvent la miss et son fidèle compagnon
Voilà donc la blondinette sur la pointe des pieds
Juste pour mieux apprécier ce qui est dissimulé
À toutes mes couleurs qui en ragent de curiosité
Alors que l’animal lui se régale de tout observer
Toutefois se réalise tant bien que mal mon dessin
Qui n’a pas l’ample perspective d’un peu plus loin
Que cette balustrade où la fille et son fidèle chien
Se délectent du spectacle qui va sûrement bon train
Mais voilà il faut peut-être une autre représentation
Pour voir ce qui se passe au-delà de ce balcon
Où miss et son chien portent toute leur attention
Afin que soient ravis ma peinture et mes crayons
Qui ont malgré tout réussi leur mission
Gabrielle
Oui c’est l’hiver et ce dernier fait son boulot
En s’appliquant à le faire bien comme il faut
Il écope le ciel à coup de grands seaux d’eau
Or le marcheur déteste qu’elle coule sur son dos
C’est que l’hiver se doit d’être une référence
Dont la pluie fait partie de ses compétences
Et en impliquant des nuages à la grosse panse
Il offense le promeneur par son arrogance
Ainsi l’hiver mène sa besogne tambour battant
Il utilise à s’en délecter de coquins éléments
Et même le plus souvent tous en même temps
En occasionnant au flâneur des désagréments
Pourtant l’hiver est tendre et a un grand cœur
Il pense quelquefois au pauvre randonneur
Alors il s’acoquine avec le soleil un peu farceur
Qui joue à cachette avec des nuées sans vigueur
C’est dans une ambiance bien mouvementée
Que déambule le passant qui ne sait jamais
Si l’hiver sera en journée positivement disposé
Sur les routes le voici donc muni d’un bon ciré
Oui c’est l’hiver et ce dernier fait son boulot
En s’appliquant à le faire bien comme il faut
Il écope le ciel à coup de grands seaux d’eau
Or le marcheur déteste qu’elle coule sur son dos
Mais pour son professionnalisme on doit lui lever notre chapeau
Gabrielle
Voilà une clef qui est plus que malicieuse
Dont la fille devra se servir pour être heureuse
Afin d’ouvrir cette grande porte mystérieuse
Qui dissimule le secret d’une vie radieuse
Pourtant la clef a elle aussi ses discrétions
Comme ce passage aux drôles de conditions
Qui demande cet épanouissement si bon
Pour y accéder et trouver douce satisfaction
Mais oui la fille a gardé la clef longtemps
Et cette dernière qui a vu ses tourments
Lui dit qu’il ne faut plus perdre de temps
Et passer dans un monde de ravissement
Néanmoins la fille qui a chassé ses névroses
Actionne fébrilement la clef qui lui propose
De franchir cette entrée qui n’est plus close
Où apparaît enfin l’enchantement grandiose
C’est ainsi que la fille libérée de ses folies
Qui lui pourrissaient anciennement la vie
Et sa coquine de clef aujourd’hui son amie
Passent ensemble ravies le seuil du paradis
Voilà une clef qui est plus que malicieuse
Dont la fille s’est servie pour être heureuse
Afin d’ouvrir cette grande porte mystérieuse
Qui dissimulait le secret d’une vie radieuse
Juste que rien n’est acquis sans la réparation de notre estime de soi parfois défectueuse
Gabrielle
Et voilà une demoiselle plus que décidée
À chausser ses patins avec belle témérité
Afin de glisser sur les longs flancs enneigés
Sans la moindre peur de se casser le nez
Ainsi la montagne toute de blanc vêtue
Accueille la jeune-fille d’audace pourvue
Laquelle de sport de glisse en est férue
Et ne pense pas aux chutes bien entendu
Car la miss est un tantinet orgueilleuse
Tomber sur une neige quoique moelleuse
Serait une expérience plutôt désastreuse
Et en oublie donc les pentes dangereuses
Ah l’intrépide jeunette sans aucun souci
De dévaler les monts comme par magie
Elle qui les aime et les qualifie de gentils
Sauf qu’ils sont plutôt sournois pardi
Pourtant la petite n’aspire qu’à la glissade
Droite sur ses bottes de ski elle parade
Pas question de la moindre dégringolade
Qui la rendrait complètement malade
Et voilà une demoiselle plus que décidée
À chausser ses patins avec belle témérité
Afin de glisser sur les longs flancs enneigés
Sans la moindre peur de se casser le nez
Alors croisons les doigts pour que la chance soit à ses côtés
Gabrielle