Papers by Carlo Alberto Girotto
"Dante e l'arte", 2023
Tra Otto e Novecento, oltre che nel mondo degli studi eruditi e in quello dell'editoria, la fortu... more Tra Otto e Novecento, oltre che nel mondo degli studi eruditi e in quello dell'editoria, la fortuna dell'opera di Dante si misura anche nell'ambito, compatto e talora ristretto, del collezionismo librario. A questo interesse per la Commedia e alle altre opere dantesche partecipano pure dei collezionisti legati al mondo culturale francese. Soffermandosi sull'attività di alcune personalità di rilievo-da Guglielmo Libri al prince d'Essling fino a Horace de Landau-, si ribadirà l'importanza delle loro collezioni dantesche.
Bookmarks Related papers MentionsView impact
«Studi di filologia italiana», LXXIX (2021), pp. 231-281
A partire da un’indagine condotta su alcuni esemplari conservati in biblioteche francesi, l’artic... more A partire da un’indagine condotta su alcuni esemplari conservati in biblioteche francesi, l’articolo propone lo studio di un cancel reperibile nel terzo volume dell’edizione giuntina delle Vite di Giorgio Vasari (1568). Localizzabile nel mezzo foglio esterno del fascicolo Lll, il cancellans elimina tra l’altro un importante dettaglio biografico della vita dello scultore Baccio Bandinelli di cui è latore l’unico esemplare oggi noto del cancellandum. La qualità testuale della modifica fa credere che si tratti di un intervento riconducibile alla volontà dello stesso Vasari, e invita a ulteriori esplorazioni sulla storia bibliografica della Giuntina.
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Published in «Studi secenteschi», LXI (2020), pp. 289-295
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Biographie d’Orazio Toscanella (1520 environ - 1579), homme de lettres et auteur entre autres des... more Biographie d’Orazio Toscanella (1520 environ - 1579), homme de lettres et auteur entre autres des 'Bellezze del Furioso', commentaire sui generis du 'Roland furieux' de l’Arioste.
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Transalpina, 2020
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Published in Canoni d’Arcadia. Il custodiato di Crescimbeni, a cura di Maurizio Campanelli, Pietro Petteruti Pellegrino, Paolo Procaccioli, Emilio Russo e Corrado Viola, Roma, Edizioni di Storia e Letteratura, 2019, pp. 163-175
La contribution propose une relecture de l’œuvre de l’écrivain Benedetto Menzini (1646-1704), dan... more La contribution propose une relecture de l’œuvre de l’écrivain Benedetto Menzini (1646-1704), dans le cadre de ses activités au sein de l’Académie de l’Arcadia, fondée à Rome en 1690. Par le biais de ses textes Menzini, qui fut un des membres parmi les plus éminents de ce haut lieu de la culture romaine, proposa aux membres de l’Arcadia un modèle culturel pluriel, en large partie héritage de sa formation culturelle florentine.
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Pauline Prevost-Marcilhacy, Laura De Fuccia et Juliette Trey (dir.), De la sphère privée à la sphère publique. Les collections Rothschild dans les institutions publiques françaises, Paris, Publications de l’Institut national d’histoire de l’art, 2019
La contribution propose une première analyse du fonds de livres italiens de la Renaissance conser... more La contribution propose une première analyse du fonds de livres italiens de la Renaissance conservés au Département des Manuscrits de la Bibliothèque Nationale de France de Paris. Issus des collections de James-Édouard (1844-1881) et de son fils James (1872-1946), les volumes venant de la péninsule Italienne sont nombreux, en raison d’une qualité et, parfois même, d’une primauté que les bibliophiles des XIXe et du XXe siècles ont souvent accordées aux manuscrits et aux éditions italiens. Parmi eux, un noyau important concerne les exemplaires uniques et les éditions « populaires ».
Bookmarks Related papers MentionsView impact
published in L’editoria popolare in Italia fra XVI e XVII secolo. Testi, collezioni, mestieri, a cura di Gabriele Bucchi, Paola Cosentino e Giuseppe Crimi, Manziana, Vecchiarelli, 2019, pp. 227-251
Bookmarks Related papers MentionsView impact
A l’occasion de l’anniversaire de la publication de la première édition du 'Roland furieux' de Lu... more A l’occasion de l’anniversaire de la publication de la première édition du 'Roland furieux' de Ludovico Ariosto, la contribution se penche sur le rôle des lecteurs au sein (et en dehors) de ce poème, en analysant quelques exemplaires de la princeps de 1516 et les traces matérielles liées à leurs provenances. [dernières épreuves corrigées - last corrected proofs]
Bookmarks Related papers MentionsView impact
«La Bibliofilía», 2018
The contribution consists of a survey of 82 popular editions now preserved in a miscellaneous vol... more The contribution consists of a survey of 82 popular editions now preserved in a miscellaneous volume in Paris, Bibliothèque de l’Arsenal. Mostly published by the Veronese printer Bartolomeo Merlo during the first three decades of the 17th century, these booklets appear to be exceedingly rare, and they add significantly to the known catalogue of Merlo’s editions.
Bookmarks Related papers MentionsView impact
La contribution propose une étude de quelques documents épistolaires conservés dans le fonds Malv... more La contribution propose une étude de quelques documents épistolaires conservés dans le fonds Malvezzi-Campeggi de l’Archivio di Stato di Bologna, concernant le rôle et l’emploi de la nour-riture au sein de la famille Campeggi au XVIIe siècle. Cette approche nous permet de saisir l’importance des occasions conviviales et des échanges des prémices pour la création des réseaux des familles nobles pendant l’ancien régime (dernières épreuves corrigées dans le document en pièce-jointe).
Bookmarks Related papers MentionsView impact
L’article publie une lettre inédite de Daniele Barbaro à Charles de Guise, cardinal de Lorraine, ... more L’article publie une lettre inédite de Daniele Barbaro à Charles de Guise, cardinal de Lorraine, envoyée en 1569 à l’occasion de la battaille de Montcontour; nous proposons aussi des hypothèses sur les rapports entre le prélat italien et le milieu culturel français. Publié dans le premier volume monographique dédié à ce prélat de la Renaissance italienne, l’article s’inscrit dans le cadre du projet international «Daniele Barbaro 1514-70: in and beyond the text» (Leverhulme Trust International Network Grant, hosted by the University of St Andrews). Cf. la présentation du volume au lien http://www.brepols.net/Pages/ShowProduct.aspx?prod_id=IS-9782503575513-1
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Cette étude analyse les rapports entre l’homme de lettres Daniele Barbaro (1514-1570) et ses édit... more Cette étude analyse les rapports entre l’homme de lettres Daniele Barbaro (1514-1570) et ses éditeurs vénitiens (Paolo Manuzio, Comin da Trino, Francesco Marcolini, Francesco de’ Franceschi, Camillo de Borgominieri) pour la publication de ses ouvrages. Publié dans le premier volume monographique dédié à ce prélat de la Renaissance italienne, l’article s’inscrit dans le cadre du projet international «Daniele Barbaro 1514-70: in and beyond the text» (Leverhulme Trust International Network Grant, hosted by the University of St Andrews). Cf. le lien http://www.brepols.net/Pages/ShowProduct.aspx?prod_id=IS-9782503575513-1
Bookmarks Related papers MentionsView impact
L’article publie cinq lettres inédites de Francesco Robortello à Giovan Battista Campeggi, conser... more L’article publie cinq lettres inédites de Francesco Robortello à Giovan Battista Campeggi, conservée à l’Archivio di Stato di Bologna. Ces documents donnent des renseignements importants sur le séjour d’enseignement de Robortello à Bologne entre 1557 et 1562, et son départ pour l'Université de Padoue. ~ Il contributo pubblica cinque lettere inedite di Francesco Robortello a Giovan Battista Campeggi, conservate all'Archivio di Stato di Bologna. Questi documenti danno importanti indicazioni sul soggiorno di Robortello a Bologna dal 1557 al 1562 in qualità di docente all'ateneo felsineo, assieme ad alcuni dettagli sulla sua partenza per l'Università di Padova nell'autunno del 1562.
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Description du manuscrit 3368 de la Bibliothèque Sainte-Geneviève de Paris, contenant un traité v... more Description du manuscrit 3368 de la Bibliothèque Sainte-Geneviève de Paris, contenant un traité vénitien de la moitié du XVe siècle sur l’art de la mémoire [dernières épreuves corrigées]
Bookmarks Related papers MentionsView impact
L’article publie les annotations du théoricien de l’art français Roger de Piles (Clamecy 1635 - P... more L’article publie les annotations du théoricien de l’art français Roger de Piles (Clamecy 1635 - Paris 1709) sur son exemplaire de la 'Felsina pittrice' de Carlo Cesare Malvasia, conservé aujourd’hui à la Bibliothèque de l’Institut National d’Histoire de l’Art de Paris. Ce travail s’inscrit dans le cadre de l’édition critique et commentée de la 'Felsina pittrice' de Malvasia dirigée par Elizabeth Cropper au CASVA - Center for the Advanced Studies in the Visual Arts de la National Gallery of Art de Washington, D.C. [dernières épreuves corrigées en pièce jointe]
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Bookmarks Related papers MentionsView impact
En revenant sur la question de la « fausse » académie des Pellegrini dont Anton Francesco Doni pa... more En revenant sur la question de la « fausse » académie des Pellegrini dont Anton Francesco Doni parle à maintes reprises dans ses textes, la contribution propose une réflexion sur le rôle joué par cette académie fictive dans le panorama culturel du XVIe siècle, en mettant en communication l’idée d’‘académie’ avec celle de ‘canon littéraire’.
Bookmarks Related papers MentionsView impact
published in «ArNovIt. Archivio novellistico italiano», I (2016) [ma 2017], pp. 68-113
L'articolo si sofferma su alcuni passi di andamento novellistico della 'Seconda libraria' (1551, ... more L'articolo si sofferma su alcuni passi di andamento novellistico della 'Seconda libraria' (1551, poi 1555 e 1557-1558) di Anton Francesco Doni, e segnala alcune tangenze con forme affini quali la facezia e l'apoftegma. Si segnala anche la presenza di un cancellans nell'edizione del 1551, che mostra una qualche incidenza anche sul testo della 'novella del Magnificat' che vi è contenuta. L'articolo è accessibile liberamente al sito http://www.arnovit.it/images/arnovit2016/arnovit16_girotto.pdf.
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Le genre épistolaire est un phénomène éditorial étroitement lié à la culture de la Renaissance it... more Le genre épistolaire est un phénomène éditorial étroitement lié à la culture de la Renaissance italienne. Comme Montaigne l’avait déjà remarqué (« Ce sont grands imprimeurs de lettres que les Italiens ! » : Essais, I XL), dès la fin du XVe siècle de nombreux « livres de lettres » sortirent des ateliers les plus importants de Venise, Rome et Florence. De nombreux recueils en latin furent publiés, de Cicéron à saint Jérôme, sans oublier les Familiares de Pétrarque, véritable monument de l’écriture épistolaire de l’humanisme européen.
Toutefois, à côté de ces classiques et de plusieurs manuels d’écriture épistolaire proposés par les imprimeries, de nouveaux enjeux se dessinent autour du genre épistolaire au milieu du XVIe siècle. À partir des Lettres de l’Arétin (1538), le « livre de lettre » devient un objet complexe : rédigé en italien (« in lingua volgare »), il devient le lieu où l’homme de lettres – en corrigeant souvent les textes réellement envoyés – offre au public son image et son réseau de connaissances. L’évolution de ce genre éditorial, qui touche toute l’Europe, permet aussi des usages variés de la forme lettre, qui peut paraître en recueil ou seule, en guise de « canard » qui relate les événements du présent ; ou comme un document sorti des chancelleries d’État, publié avec ou sans l’autorisation des intéressés, dévoilant les coulisses de l’histoire.
L’important fonds épistolaire de la Bibliothèque Mazarine, dont une partie a été réunie et exposée ici, a été enrichi récemment par des livres de la collection de Jeannine Basso (1927-2015), chercheuse de littérature italienne et auteure d’une thèse dédiée aux « livres de lettres » à la Renaissance (1982). Le résultat le plus connu de ses recherches, Le genre épistolaire en langue italienne 1538-1662 (Rome-Nancy, 1990), est un ouvrage de référence pour les études italiennes.
Bookmarks Related papers MentionsView impact
Uploads
Papers by Carlo Alberto Girotto
Toutefois, à côté de ces classiques et de plusieurs manuels d’écriture épistolaire proposés par les imprimeries, de nouveaux enjeux se dessinent autour du genre épistolaire au milieu du XVIe siècle. À partir des Lettres de l’Arétin (1538), le « livre de lettre » devient un objet complexe : rédigé en italien (« in lingua volgare »), il devient le lieu où l’homme de lettres – en corrigeant souvent les textes réellement envoyés – offre au public son image et son réseau de connaissances. L’évolution de ce genre éditorial, qui touche toute l’Europe, permet aussi des usages variés de la forme lettre, qui peut paraître en recueil ou seule, en guise de « canard » qui relate les événements du présent ; ou comme un document sorti des chancelleries d’État, publié avec ou sans l’autorisation des intéressés, dévoilant les coulisses de l’histoire.
L’important fonds épistolaire de la Bibliothèque Mazarine, dont une partie a été réunie et exposée ici, a été enrichi récemment par des livres de la collection de Jeannine Basso (1927-2015), chercheuse de littérature italienne et auteure d’une thèse dédiée aux « livres de lettres » à la Renaissance (1982). Le résultat le plus connu de ses recherches, Le genre épistolaire en langue italienne 1538-1662 (Rome-Nancy, 1990), est un ouvrage de référence pour les études italiennes.
Toutefois, à côté de ces classiques et de plusieurs manuels d’écriture épistolaire proposés par les imprimeries, de nouveaux enjeux se dessinent autour du genre épistolaire au milieu du XVIe siècle. À partir des Lettres de l’Arétin (1538), le « livre de lettre » devient un objet complexe : rédigé en italien (« in lingua volgare »), il devient le lieu où l’homme de lettres – en corrigeant souvent les textes réellement envoyés – offre au public son image et son réseau de connaissances. L’évolution de ce genre éditorial, qui touche toute l’Europe, permet aussi des usages variés de la forme lettre, qui peut paraître en recueil ou seule, en guise de « canard » qui relate les événements du présent ; ou comme un document sorti des chancelleries d’État, publié avec ou sans l’autorisation des intéressés, dévoilant les coulisses de l’histoire.
L’important fonds épistolaire de la Bibliothèque Mazarine, dont une partie a été réunie et exposée ici, a été enrichi récemment par des livres de la collection de Jeannine Basso (1927-2015), chercheuse de littérature italienne et auteure d’une thèse dédiée aux « livres de lettres » à la Renaissance (1982). Le résultat le plus connu de ses recherches, Le genre épistolaire en langue italienne 1538-1662 (Rome-Nancy, 1990), est un ouvrage de référence pour les études italiennes.
Dans ce cadre complexe, qu’il faut étudier sur une longue durée, plusieurs aspects méritent encore réflexion. En faisant appel à divers spécialistes des cultures italiennes, françaises et espagnoles, cette manifestation se penchera sur les différentes dynamiques de recherches sur le sujet, en recourant à diverses méthodes de travail: outre quelques axes de recherche majeurs, étroitement liés – le rôle de la correspondance « publique » et de la correspondance « privée », le rapport entre écriture épistolaire et la création de la République des lettres, le réseau de l’art et la circulation des lettres –, un espace important sera conféré aussi aux projets éditoriaux et numériques actuellement en cours, dans le but de recenser en tout premier lieu les orientations actuelles et de dessiner quelques nouvelles perspectives de recherche dans les études sur l’Ancien régime européen.
La collaboration de la Bibliothèque Mazarine de Paris permettra à cette occasion de mettre en valeur et de commenter un important fonds de «livres de lettres» de la Renaissance italienne, récemment enrichi par la donation de Jeannine Basso, chercheuse de littérature italienne disparue en 2015 : 'Des livres et des lettres: ouvrages épistolaires entre Italie et France de la Renaissance à l’âge baroque' (exposition, Bibliothèque Mazarine, du 14 octobre au 2 décembre 2016; entrée libre).
The Italian sonnet had already been strictly defined by a long poetic tradition, and had been codified in the first half of the 16th century. In the second half of the century, the Italians were concerned with finding how such a defined form could allow some room for innovation so that new poets could compete with the masters of the past. The sonnet was strictly set apart from the epigram; it was more and more often published in collections that included only, or at least mostly, sonnets. In France, by contrast, the sonnet was very quickly and strictly codified, as if theorisation was used to compensate for the absence of a local tradition. The sonnet was precisely meant to mark a break from the French poetry of the past by imitating the Italian sonnet, especially Petrarch’s. The period of experimentation was relatively short (less than two decades), and though the poetic treatises were not entirely prescriptive (they left the rhyme structure of the sestet undetermined, for example), the features of the French sonnet were strict enough that the freedom left to poets mostly relied on variation. While French theorists tended to insist on the epigrammatic (rather than lyric) dimension of the sonnet, the question of poetic collections was left unattended.
In England, the sonnet took a much longer time to be codified, and retained during and after the considered period its original meaning of ‘little song’, or short lyric poem. George Gascoigne’s account of the poetic form in his Certayne Notes of Instruction (1575) remains an isolated example of the way the features of the sonnet could be defined. Not only was the period of experimentation much longer (roughly, from the late 1520s to the 1580s): the standardisation of the form that occurred at the end of the century was short-lived and did not concern the totality of the poetic production. The fact that poetic treatises were late to appear in England probably played a role. What is more, addressing general questions of poetics related to the prosody and vocabulary of the English language seems to have held more stakes than determining the specificities of the English sonnet. While it is tempting to see the late explosion of the English sonnet as the result of a cultural distance caused by geographical distance, there are therefore more significant factors to take into account. It is only at the end of the century that the sonnet became more strictly defined, and that we find explicit indications of the constraints imposed by the form in theoretical works. Late 16th- and early 17th-century treatises insist on those constraints. In Scott’s words, the sonnet is connected to satire and to the epigram, as in French accounts—confirming the notion that French culture mediated the English appropriation of the Italian form. It is also at the end of the 16th century that the sonnet became explicitly associated with love and included in the genre of ‘songs and sonnets’, i.e. poetic collections modelled on Tottel’s Miscellany. The very last decade of the century was the moment when our textbook perception of the sonnet (a love poem of fourteen lines in iambic pentameter with an ababcdcdefefgg rhyme scheme) became relevant to a significant proportion of the poetic production.
The comparative approach allows the authors to bring some qualifications to the narrative of the sonnet moving in chronological succession from Italy to England through France. More significantly, it puts the English ‘sonnet craze’ into perspective by showing that the features now recognised as essential components of the English sonnet mostly correspond to one part of sonnet production, the love sonnet sequences of the 1590s and early 1600s.