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Preuve de Lexistence de Dieu

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Preuve de l’existence de Dieu.

INTRODUCTION
Bonsoir Ciel je te remercie d’avoir accepté cet échange qui nous oppose sur le sujet de l’existence de Dieu
Je vais être le plus objectif possible et j’espère que tu en fera de même, tout d’abord j’aimerai remercier
notre Seigneur Jésus Christ de pouvoir aujourd’hui prouver son existence divine de montrer que c’est par lui et
pour lui qu’il a créer toute ces choses que nous voyons aujourd’hui je voudrais le remercier de nous donner
chaque jour le souffle de vie et qui sans lui nous serions déjà ruiné par le péché mais par son sacrifice très saint
par le saint baptême nous seront sauvé par Jésus le Christ notre Seigneur.

Dans ce débat il faut définir plusieurs mots et les exemplifié, je vais donc aujourd’hui démontrer que Dieu
existe par des preuves qui ne sont pas scientifiques bien que les données scientifiques puissent être
utiles dans certains arguments philosophiques (lire à partir de nous nions jusqu’à lois physique)
(preuve def jusqu’à contraire)

Le raisonnement philosophique est donc primordial et c’est ce que j’avancerait dans cet échange.

Définitions :
Monde possible : Un monde possible est une description complète et maximale de la réalité telle qu’elle
aurait pu être. Une chose appartient à au moins un monde possible s’il n’est pas pas logiquement ou
métaphysiquement impossible qu’elle existe.

Exemple : Il y a un monde possible ou on existe pas, un monde possible ou je mangerai McDo demain, un
monde possible ou une licorne existe etc..

Tant qu’une chose n’est pas logiquement ou métaphysiquement contradictoire elle appartient au moins
un monde possible.

Impossible : un monde est dit “impossible” s’il décrit un état des choses qui ne peut pas exister.

Exemple : le concept de : “célibataire marié”, d’un “cercle carré” ou d’un “triangle à quatre coté” ce sont
des états des choses qui sont impossible qui ne peuvent exister dans aucun monde possible.

Contingence : un être qui est prédiqué contingent s’il aurait pu ne pas exister. X est contingent si et
seulement si il existe un monde possible où X existe, mais que X n’existe pas dans tout les mondes
possible.

Exemple : la crème solaire, les animaux, les voitures, les montagnes sont tous des êtres contingent. Il
n’existe pas de contradiction logique ou métaphysique à concevoir leur inexistence.

Nécessaire : un être est nécessaire s’il doit exister dans tout les mondes possibles, autrement dit : il
n’aurait pas pu ne pas exister. son inexistence serait logiquement ou métaphysiquement impossible.

Exemple : “1+1=2" ”la hauteur d’une montagne est strictement positive” ce sont des vérités nécessaires
elles existent dans tout les mondes possibles.

Le but de l’argument de Leibnitz


Le but de l’argument est d’expliquer pourquoi il existe des êtres contingents (même en nombre
infinis). Leibniz affirme que même s’il était concevable qu’une série causale d’êtres contingents à l’infini
puisse exister, il prétend que cette série aurait besoin d’une explication en dehors d’elle-même pour
rendre compte de son existence.

Leibniz se pose la question de Pourquoi y-a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Il aurait tout de même été
plus simple que rien ne n’existe. Leibniz fait usage du principe de raison suffisante (PRS)

Le principe se formule ainsi : “Tout ce qui n’a pas en soi la raison de son existence a une cause ou
une explication externe” Autrement dit, les faits contingents eux ont toujours une explication en
dehors d’eux-mêmes tout ce qui est métaphysiquement contingent doit avoir une cause.

Défense du PRS Argument 1 confirmation empirique :

l’expérience empirique de notre vie quotidienne confirme le PRS notre téléphone notre maison nos cours
n’ont pas en eux même la raison de leur existence. Ils sont dépendants et admettent une explication
externe, donc par induction, nous pouvons raisonnablement penser qu’il est crai tout le temps.
L’univers est-il contingent ?
L’univers est-il contingent ou nécessaire ? :

Tout se qui commence à exister est contingent, l’univers est contingent car il a commencé d’exister.

Même si l’univers est éternel il resterait contingent, il n’y a aucune contradiction à concevoir d’autre
monde possible dans lesquels notre Univers n’existerait pas ou qu’il serait différent.

L’univers est formé par une conjonction (fini ou infini) d’êtres contingents, comment une telle collection
pourrait-elle donner quelque chose de nécessaire. De la même façon une somme de brique bleu ne
pourra jamais donner un mur rouge, une somme d’être contingent ne pourra jamais donner un être
nécessaire.

PRS + contingence de l’univers => l’univers a une cause.

Cette cause ne peut être contingente car l’univers inclue tout les êtres contingent, en ce sens la cause de
l’univers réside dans l’existence d’un être nécessaire, un être qui n’aurait pas pu ne pas exister.

L’Argument modal de l’existence


de Dieu
Prémisse de la possibilité de l'existence de Dieu : Il est possible que Dieu existe. Cela signifie que
l'existence de Dieu n'est pas logiquement impossible.

Prémisse de la nécessité de l'existence de Dieu : Si Dieu existe, alors son existence est nécessaire. En
d'autres termes, une fois que nous admettons que Dieu existe, il est impossible pour lui de ne pas
exister.

Conclusion : Par conséquent, puisque l'existence de Dieu est possible et que si Dieu existe, son existence
est nécessaire, alors Dieu existe nécessairement.

Argument de la cause incausée


Il existe au moins une cause incausée source de la totalité de l'existence. On peut se contenter de parler
de « cause » au sens d'une relation de dépendance, c'est-à-dire que A peut exister sans B, tandis que
B ne peut exister sans A. Pour montrer l'existence d'une telle cause, deux méthodes au moins s'offrent
à nous.

La première est de regarder directement les chaînes causales et établir un raisonnement du type :

1. Il existe une relation de cause à effet dans le monde.

2. Il n'y a pas de causalité circulaire.

3. Il n'y a pas de régression causale à l'infini.

4. Donc il existe une cause incausée.

La proposition nº 1 : est indiscutable, à moins de ne pas croire en la réalité du monde extérieur.

La proposition n° 2 : semble assez évidente et peut s'établir facilement. La causalité circulaire aboutit en
fait à l'existence d'êtres auto-causés, ce qui est impossible. En effet, s'il existait une chaîne causale
circulaire du type « A cause B ; B cause C ; C cause A », on aboutirait alors au fait que A est la cause
indirecte de A. Mais la notion de cause de soi est absurde puisque, pour être cause de soi à proprement
parler, il faudrait se précéder soi-même dans l'existence, c'est-à-dire exister avant d'exister. Nous
pouvons donc éliminer cette hypothèse de causalité circulaire.

la proposition n°3 est valide puisque s'il n'y avait pas de cause première, il n'y aurait pas non plus de
cause seconde, car la cause seconde n'existe que parce qu'elle est causée par la première. De
même pour la cause troisième. Et ainsi de suite.. Finalement, il n'y aurait rien. Il y a donc forcément une
cause première. Elle ne peut être cause d'elle-même, car la notion de cause de soi implique d'exister
avant d'exister, ce qui est absurde. Elle ne peut pas non plus être issue du néant, car le néant n'a pas de
pouvoir causal. C'est pour cela qu'on dit qu'elle en est la cause incausée.
La nature de la cause première :
La cause de l'Univers est de nature très particulière, puisqu'elle ne peut pas être dans le temps ni dans
l'espace. Il s'agit d'une cause atemporelle et non spatiale. Elle n'a pas de commencement (si c'était le cas,
elle serait dans la série temporelle). En faisant une analyse conceptuelle de ce que signifie être la cause
de la totalité de la réalité matérielle et de l'espace-temps, on en déduit la chose suivante.

La cause est : immatérielle (car si elle était matérielle, elle ferait partie de l'Univers); - éternelle (car si elle
était temporelle, elle ferait partie de l'espace-temps); - non spatiale (car sinon, elle serait dans l'Univers);
dotée d'une puissance extraordinaire (car elle crée tout sans matière préexistante).

Premièrement, on a montré que la cause incausée est immatérielle. Or, ce qui est immatériel est soit
un esprit (au sens d'une intelligence dotée de volonté), soit une pure abstraction (comme les
nombres, les propositions logiques, les formes géométriques, etc.). Mais les abstractions, telles que le
chiffre 4 ou un triangle, n'ont pas de pouvoir causal (le chiffre 4 ou un triangle ne peuvent rien causer,
puisqu'ils n'entrent pas en contact avec la réalité physique).

La cause incausée ne peut donc pas être une abstraction. Par élimination, la cause incausée ne peut donc
être qu'un esprit. En effet, on sait que l'esprit peut avoir une influence causale par le simple constat de
nos propres actions. Par exemple, votre esprit peut agir sur la matière si vous décidez de lever la
main.

Les abstractions, elles, n'ont pas ce pouvoir. Or, la cause première immatérielle ayant eu un pouvoir
causal sur la matière, on en déduit qu'elle est nécessairement de nature spirituelle.

ARGUMENT MODAL
ONTOLOGIQUE DE L’EXISTENCE
DE DIEU
A1: Dieu est ce dont on attribue les propriétés maximales, nécessité/omniscience/omnipotence/

P1: Il est possible que Dieu existe.

P2: Dieu existe dans certains mondes possibles selon P2

P3: Dieu existe donc dans tous les possibles selon A1 et P2.

P4: Dieu existe donc actuellement selon P3.

C1: Dieu existe.


RÉPONSE AU PROBLÈME DE L'ARGUMENT ONTOLOGIQUE INVERSÉ

problématique :

A1: Dieu est ce dont on attribue les propriétés maximales, nécessité/omniscience/omnipotence

P1: il est possible qu'un Dieu n'existe pas selon A1.

P2: Dieu n'existe pas dans certains mondes possibles selon P1

P3: Dieu n'existe dans aucun monde selon P2

P4: Dieu n'existe pas actuellement selon P3.

C1: Dieu n'existe pas selon P4.

réponse:

L'existence d'une propriété qui serait "la grandeur maximale" (que nous attribuons à Dieu) n'implique
pas l'existence de la "non-grandeur maximal" tel que l'omniscience n'implique pas une connaissance
moins grande.

P1 est donc faux ainsi que les prémisses suivants.

L'argument ontologique de
Anselme de Cantorbéry
Définition de Dieu : Dieu est défini comme l'Être suprême, celui que rien de plus grand ne peut
être conçu.

P1 : Il est plus grand d'exister dans la réalité que dans l'imagination seule.

P2 : Si Dieu n'existait que dans l'imagination, alors il serait possible de concevoir un être plus
grand, celui qui existe également dans la réalité.

P3 : Mais puisque Dieu est par définition l'Être suprême, il ne peut pas être dépassé par un autre
être.

C1 : Par conséquent, Dieu doit nécessairement exister dans la réalité, sinon il ne serait pas l'Être
suprême.

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