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PETROLE

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INTRODUCTION

Le pétrole est exploité a de 1958 a Titusville en Pennsylvanie. Le pétrole et le gaz


naturel sont actuellement les matières premières minérales et énergétiques les
plus utilisé au monde. La Cote d’Ivoire est une nation en croissance économique
grâce au pétrole et au gaz naturel. Le pétrole et le gaz naturel ont un grand
impact dans le monde d’aujourd’hui positif comme négatif.

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I. ORIGINE ET COMPOSITION DU PETROLE ET DU GAZ NATUREL

1- Origine du pétrole et du gaz naturel


1-1Origine du pétrole
a- Naissance de l’industrie pétrolière

Tout commence en 1852 avec l’invention du pétrole lampant( un combustible


peu onéreux et de bonne qualité pour l’éclairage)par Abraham Gessner. Ayant
appris que le pétrole trouvé en Pennsylvanie dans le nord-est des Etats-Unis
fournissait du pétrole lampant par distillation, Gorge Bissell et Jonathan Eveleth
créent la société Pennsylvanie Rock oïl company en 1855. Les deux hommes
demandent l’aide de Benjamin Silliman Jr, professeur de chimie de l’université
Vale qui confirme cette distillation a l’échelle industrielle et publie une liste de
la gamme de produits qui pouvait être obtenu après distillation du pétrole
(goudrons, lubrifiants, naphta, solvants pour les peintures ainsi que l’essence).
Le pétrole qui était alors utilisé sous forme brute pour l’éclairage connait une
forte croissance de sa demande avec l’apparition du moteur à explosion qui
forme de pétrole de meilleure qualité. Cette même époque verra naitre à Ploiesti
en Roumanie la première raffinerie qui cimentait les 100 lampes de l’éclairage
public de Bucarest.
Les premiers forages souterrains ont lieu en Allemagne en 1857 et le début de la
ruée vers l’or noir commence deux ans plus tard dans différentes régions du
monde (Alberta, Californie, Transylvanie, Pologne et Azerbaïdjan).
La naissance de l’industrie pétrolière moderne conduite par des financiers est
associée au colonel Edwin Drake qui avait foré le produit le première puit
producteur de pétrole à Titusville en Pennsylvanie, une région connue pour les
affleurements de pétrole le 30 Aout 1859.

b- Formation du pétrole
Le pétrole est formé par la décomposition des matières organiques animales ou
végétales.
Ces débris se décomposent au fond des océans, mers et lacs. Ils constituent les
sédimentations organiques et s’enfouissent progressivement lors des
plissements de l’écorce terrestre. A l’abri de l’oxygène de l’air et sous l’action
des bactéries, ces sédiments se décomposent très lentement et se transforment
en hydrocarbures à l’état liquide (pétrole).

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1-2 Origine du gaz naturel
a-Histoire du gaz naturel

Au XVI siècle, Paracelse et d’autres chimistes font des recherches qui amènent
à la connaissance du gaz carboné : Ils s’occupent d’un air inflammable, qu’ils ne
peuvent recueillir, quoique le moyen en fût très simple. Jean Baptiste Van
Helmont, en 1610, découvre d’une façon scientifique l’existence des « gaz »,
comme il les nomme, et en reconnait plusieurs. Il identifie l’un d’eux le « gaz
sylvestre » qui résulte de la combustion du charbon, ou de l’action du vinaigre
sur certaines pierres, ou de la fermentation du jus de raisin. Pour Van Helmont,
le gaz constitue l’ensemble des « eschaliaison » dont l’air est le réceptacle.
Dans les transactions philosophiques, 1667, Thomas Suirlery relate sa
découverte que l’eau de Burning Wells (source enflammée) près de Wigan dans
le Lancashire, ne produisait pas de la flamme que part la combustion d’un air qui
se forme dans les lits de charbon sur lequel elle repose et non comme on le
croyait par l’inflammabilité du liquide 2A2, A3. Au début XVIII Siècle, le docteur
Hales constate que le tiers à peu près du charbon de terre soumis à la distillation
se transforme en gaz inflammable (gaz naturel).

b-Formation du gaz naturel


Comme le pétrole, le gaz naturel est une énergie fossile qui se forme à partir de
la décomposition de matières organiques au fond des océans. L’une des
principales spécificités de la chaine gazière concerne le transport, maillon
essentiel et qui, en raison de son cout élevé a une influence majeure sur le
développement du gaz naturel. A l’abri de l’oxygène de l’air et sous l’action des
bactéries, ces sédiments se décomposent très lentement et se transforme en
hydrocarbures à l’Etat gazeux (gaz naturel).

2- Composition du pétrole et du gaz naturel


2-1 Composition du pétrole
a- les composants du pétrole

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Le pétrole est un mélange d’hydrocarbures et des molécules contenant
également d’autres des atomes, principalement du soufre(S), de l’azote(N), et
de l’oxygène(O). Certains de ses constituants sont à température et pression
ambiantes, gazeux (méthane (CH4), propane(C3H8) etc.), liquides (hexane(C6H14),
heptane(C7H14), octane(C8H16), benzène(CH6), etc.) et parfois solides (paraffines,
asphaltes, etc.). Le pétrole contient donc des milliers de molécules différentes
qu’il va falloir fractionner et transformer chimiquement pour obtenir des
produits utilisables.

b- Structure du pétrole

On distingue les pétroles en fonction de leur origine et donc de leur composition


chimique. Il est aussi possible de distinguer les différents types de pétrole selon
leur densité de leur fluidité, leur teneur en soufre et d’autres impuretés
(vanadium, mercure et sels) et leurs proportions en différentes classes
d’hydrocarbures. Le pétrole est alors paraffinique, naphténique ou aromatique.
On classe aussi les pétroles selon leur provenance (golfe persique, mer du nord,
Venezuela, Nigéria). Le pétrole issu de gisements voisins a souvent des
propriétés proches. Il existe des centaines de bruts de par le monde : certains
servent d’étalon pour établir le prix du pétrole dans une région donnée : les plus
utilisés sont l’Arabian light(brut de référence du Moyen-Orient) , le Brent (brut
de référence Européen) et le West Texas intermédiaire(WTI, brut de référence
américain). Selon sa provenance, le brut peut contenir du gaz dissout, de l’eau
salée, du souffre. Il a une composition trop riche pour être décrite en détails. Il
faut distinguer simplement trois catégories de brut :
A prédominance paraffinique : Les hydrocarbures linéaires sont les plus
abondants ; ces bruts sont plus recherchés car ils donnent directement une
grande proportion de produits légers comme et gazole.
A prédominance naphténique : avec beaucoup d’hydrocarbure à cycle saturé.
A prédominance aromatique : Les hydrocarbures présentant un cycle carboné
insaturé sont plus abondants.

2-2 Composition du gaz naturel


a- Les composants du gaz naturel

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Une fois débarrassé de composés annexe (CO2, SH2) parfois importants le gaz
naturel est une source d’énergie composé d’hydrocarbures : du méthane(CH4) à
95% , de l’éthane(C2H6), propane (C3H8), du butane (C4H10) et su
pentane(C5H12).
b- Structure du gaz naturel

Il existe plus forme de gaz naturel se distinguant par leur origine, leur
composition et leur type de réservoirs dans lesquels ils se trouvent néanmoins,
le gaz est toujours composé principalement de résidu issu de la désagrégation
d’anciens organismes vivants. Aux différents types de gaz naturels cités ci-après
pourrait adjoindre le biogaz, un substitut renouvelable.
c- Gaz conventionnel non associé

C’est la forme la plus exploitée de gaz naturel. Son processus de formation est
similaire à celui du pétrole distingue du gaz thermogénique primaire issu
directement de la pyrolyse du kérogène, et le gaz thermogénique secondaire,
formé par la pyrolyse du pétrole. Le gaz thermogénique comprend, outre le
méthane, un ensemble variable d’hydrocarbures des plus lourde pouvant aller
jusqu’à l’heptane (C7H16). On peut y trouver aussi du dioxyde de carbone (CO2),
du dioxyde de soufre (S02), du sulfure d’hydrogène(H2S) et parfois de l’azote(N)
et de petites quantités d’hélium (He). On a aussi les formes de gaz naturels
suivants : gaz associé ; gaz biogénique, gaz de charbon, gaz de schiste, hydrates.

II. OPERATION DE BASE DANS L’INDUSTRIE DU PETROLE ET DU GAZ


NATUREL

1- Dans l’industrie du pétrole

Dans l’industrie du pétrole les activités sont reparties en trois grands secteurs.
Elle se subdivise schématiquement en amont (exploration, production) les
moyens ou midstream (transport, stockage) et en aval ou downstream
(raffinage, distribution et vente).

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a- En amont (upstream)

L’exploration, c’est-à-dire la recherche de gisements et la production sont


souvent associées. L’exploration commence par la connaissance géologique de
la région, puis passe par l’étude détaillée structures géologiques (principalement
par imagerie sismique, même si la magnétométrie et la gravité peuvent être
utilisées) et la réalisation de puits. On parle de d’exploration « frontière »
lorsque la région encore de réserve mondiale prouvée, le risque est alors très
élevé mais le prix d’entrée est faible pour être important. La production, ou
plutôt l’extraction du pétrole peut être une opération complexe : pour
maximiser la production finale, il faut gérer un réservoir composé de différents
liquides aux propriétés physico-chimie très différente (densité, fluidité,
température de combustion et toxicité, entre autres). Au cours de gisement, on
ouvre de nouveaux puits pour accéder aux poches restées inexploitées. En règle
générale on injecte de l’eau et/ou du gaz dans le gisement, puits distincts de ceux
qui extraient le pétrole. Une mauvaise stratégie d’exploitation (mauvaise
emplacement des puits, injection inadaptée, production rapide) peut diminuer
de façon irréversible la quantité de pétrole extractible. Par exemple, l’interface
nappe de pétrole et celle d’un liquide chargé en soufre peut être brisée par
simple brassage, polluant le pétrole. Au cours des dernières décennies,
l’exploration et la production se en proportion croissante en O l’onshore, plus
facile d’accès, a été exploité le premier. La loi de Ricardo s’applique très bien au
pétrole en règle générale, le retour sur investissement tend à diminuer : les
gisements sont de plus en plus petit dispersés, et difficiles à exploiter. Il y a bien
sur des exceptions, comme dans les pays où l’exploration a longtemps été
paralysée pour des raisons politiques.
b- Les moyens

L’étape des moyens est composé de 3 éléments : le transport il est la première


étape le pétrole brute est transporté dans des camions citernes , des trains et
même des navires pour aller dans des zones de traitements ou de raffinage avant
d’être raffiné ou distribué le pétrole est stocke durant quelques temps dans des
réservoirs

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c- En aval

La distillation c’est la première étape du raffinage. Le pétrole brut est chauffé


dans des colonnes de distillation pour être séparé en différents composant ou
fraction en fonction de leur point d’ébullition le craquage catalytique et
thermique ces procédés permettent de casser les grosses molécules en molécule
plus petites et plus légères, telles que l’essence et le diesel. Le craquage
catalytique utilise des catalyseurs, tandis que le craquage thermique repose sur
la chaleur puis le reformage catalytique transforme des hydrocarbures plus
lourds et en produire de meilleure qualité et génère aussi des produits de base
pour la pétrochimie. Ensuite nous avons l’alkylation et polymérisation : Ces
procédés permettent d’assembler des molécules plus petites en hydrocarbures
plus lourds utilisés dans les essences de haute qualité.
Traitement des produits : Les carburants sont purifiés pour éliminer les
impuretés, comme le soufre, qui peuvent être nocives pour les moteurs et
l’environnement. Des comme le dessalage ou l’hydrotraitement sont utilisés
pour cela. Après les étapes précédentes il y a le stockage avant d‘être distribué,
le pétrole et ses produits dérivés sont souvent stockés dans des réservoirs situés
dans des terminaux ou des dépôts. Cela permet de gérer les fluctuations de la
demande et assurer une disponibilité continue des produits des infrastructures
spécifiques comme les pipelines dédiés, les terminaux maritimes et les réseaux
de dépôt facilitent l’acheminement efficace des produits vers les centres de
consommation pour finir la commercialisation et la vente. Les carburants sont
vendus aux grands publics via un réseau de stations-services. Les grands groupes
pétroliers ont souvent leur propre réseau de station
2- L’industrie du gaz naturel

L’industrie du gaz naturel suit un cycle opérationnel structuré similaire à celui du


pétrole avec quelques spécifités propres au gaz.

a- Extraction et traitement

Comme pour le pétrole, l’exploitation du gaz naturel commence par des études
géologiques et sismiques pour identifier les réservoirs de gaz dans le sous-sol
lorsque les études sont prometteuses des puits sont forés, un puit est foré
directement dans la poche de gaz ou sous angle spécifique pour atteindre des

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couches géologiques particulières et extraire le gaz. Le brut contient souvent des
impuretés comme les dioxydes de carbone, hydrogène sulfuré qui doivent être
retirées dans des installations de traitement avant que le gaz puisse être
acheminé. Le traitement inclut aussi la séparation des liquides de gaz naturel qui
peuvent être vendu séparément dans certains cas on utilise la fracturation
hydraulique pour le gisement non conventionnels la fracturation hydraulique est
utilisé. Ce procédé consiste a injecté de l’eau, du sel, des produits sous haute
pression pour fissurer la roche et libérer le gaz des pipelines souterraines
amènent le gaz depuis les puits vers des sites de traitement.

b- Traitement purification

L’eau est retirée souvent par des procédés comme l’absorption avec du glycol.
Le C02 et le H2S sont séparés par des processus d’absorption chimique à la fin de
cette étape le gaz naturel est à majorité constitué de CH4.

3- Transport gazeux ou liquide

Le transport de gaz traité se fait de deux manières :


Le gaz est transporté sous haute pression par des pipelines qui traversent des
milliers de kilomètres reliant les zones d’extraction aux centres de
consommation.
Pour le GNL(Gaz Naturel Liquéfié) des navires transporteurs acheminent le gaz
liquéfié sur de longues distances dans les ports de destination des terminaux GNL
gazéifiant les gaz pour l’injecter dans les réseaux de distributions. Le gaz naturel
est ensuite distribué aux consommateurs finaux, notamment les industries, les
centrales électriques la distribution urbaine implique des réseaux de gazoducs
de plus faible pression.

III. PRODUCTION MONDIALE ET NATIONALE DU PETROLE ET DU GAZ


NATUREL

1- Production mondiale du pétrole du gaz La production mondiale


du pétrole
a- La production mondiale du pétrole

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La production mondiale de pétrole a continué de progresser en 2022(4,2%),
entrainée par les pays du Golfe et les Etats-Unis. Ces derniers confirment leur
position de leader, assurée depuis plusieurs années par l’exploitation des
pétroles de schiste. En Afrique la production du Nigéria, handicapée par les
pillages et détournements récurrents, a été dépassée par celle de l’Algérie. La
production du pétrole est comptabilisée en millions de barils par jour. Les pays
qui produisent plus le pétrole en sont : les Etats-Unis (19,43 millions bpj) la
Russie (10,96 millions bpj) et l’Arabie Saoudite (10,73 millions bpj).

b- La production mondiale du gaz naturel

Sa production mondiale s’est accrue de 252% en 50ans de 1973 à 2023 dopée


par l’exploitation des gaz non conventionnels. Le gaz naturel est en 2021 la
troisième source d’énergie primaire utilisée dans le monde, représentant 23,6%
de la consommation, après le pétrole (29,5%) et charbon(27,2). Les principaux
producteurs mondiaux de gaz naturel sont les Etats-Unis (1027 milliards de m3),
la Russie (699 milliards de m3), et l’Iran (244 milliards de m3). La demande
mondiale en gaz naturel a continué de croitre ces dernières années, en raison
de la transition énergétique et du rôle du gaz comme alternative à l’énergie
fossile plus polluante telle que le charbon.

2- La production nationale du pétrole et du gaz naturel


a- La production nationale du pétrole

La Cote d’Ivoire entend se positionner comme le principal hub pétrolier sous


régional. La Cote d’Ivoire est autosuffisante en matière de production de
produits pétroliers raffinés et constitue également un important fournisseur de
la région ouest-africaine. La production de pétrole brut ivoirien est
principalement offshore (en mer) et se concentre sur plusieurs champs,
notamment ceux opérés par des compagnies comme Foxtrot international et
Pétrocie.
En 2022, la production de pétrole brut était estimée à environ 35000 barils par
jour bien que ce chiffre puisse varier selon les nouveaux investissements dans
l’exploration et l’exploitation.

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b- Production national de gaz naturel

Les réserves prouvées de gaz naturel de la Cote d’Ivoire étaient estimées par le
BGR à 28Gm3 (milliards de m3) fin 2020, loin derrière le Nigeria 5848Gm3 ou
l’Algérie 2279Gm3, mais au même niveau que le Ghana. Elles représentent 10ans
de productions au rythme de 2020 (2,7Gm3). Les réserves potentielles
supplémentaires étaient estimées à 380 Gm3. La production de gaz du pays est
acheminée vers Abidjan, son principal centre industriel. Elle sert en 2020 à 79%
pour la production d’électricité, 8% pour les besoins et 9,8% pour l’industrie.

IV. L’UTILITE DE QUELQUES PRODUITS DERIVES DU PETROLE

1- Quelques produits dérivés du pétrole

Le carburant, le solvant, les bitumes, les huiles de graissage, le GPL (butane,


propane), sont des produits dérivés issue du raffinage du pétrole.
Le kérosène, le gazole, le fuel domestique, le fioul ou mazout, le naphta,
essences et bien d’autres sont issue de la distillation du pétrole.

2- Utilités de quelques produits dérivés du pétrole

Les produits dérivés du pétrole jouent un rôle essentiel dans de nombreux de


secteur de la vie quotidienne et de l’économie. Voici les principales utilités de
ces produits :

a- Energie et carburant

Production d’électricité et de chauffage


Le fioul qui est un produit dérivé est utilisé pour produire de l’électricité dans
certaines centrales thermiques et pour le chauffage domestique dans des
centaines de régions.
Les centrales thermiques à fioul produisent environ 5% de l’électricité mondiale.
Il est aussi utilisé dans la pâtisserie comme source de chaleur pour le four.

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Carburant
Le carburant est utilisé pour les transports.
Le pétrole est raffiné pour produit l’essence, le diesel et le kérosène qui sont
essentiels pour les voitures, camions, avions et navires.
Ces carburants permettent le transport de biens et de personnes sur de longues
distances.

b- Produits chimiques et plastiques

Produits chimiques industriels


Les dérivés pétrochimiques sont essentiels dans la fabrication de produits
comme les solvants, adhésifs, peintures, encres, détergent...

Produits de soins cosmétiques


La pétrochimie est également utilisée dans les produits cosmétiques,
notamment les cires, huiles minérales, paraffines, vaselines.
c- Pharmacie et santé

Médicaments et équipements médicaux


Certains produits pharmaceutique comme les novacines, paracetamols, sédatifs,
tranquillisants, décongestionnants, antihistaminiques et des savons
antibactériens. De plus de nombreux équipements médicaux tels que des
seringues aux poches de perfusions sont fabriqués à partir de plastique dérivés
du pétrole.

d- Textiles et vêtements

Fibres synthétique
Les fibres telles que le polyester, le nylon et l’acrylique, issues de la pétrochimie
sont utilisés dans la fabrication de vêtements, textiles d’ameublement, de tapis,
et d’équipement de sport.

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e- Agriculture
Engrais et pesticides
Les dérivés pétrochimiques sont utilisés dans la fabrication d’engrais azotés et
de pesticides qui jouent un rôle important dans l’agriculture moderne pour
améliorer les rendements.

f- Transports et infrastructures

Bitume pour les routes


Le bitume, un résidu de raffinage du pétrole est essentiel pour la construction et
l’entretien des routes et des autoroutes.
Le secteur de la construction routière utilise 90% de la production mondiale de
bitume, produit à partir de pétrole. par ailleurs, les engins de travaux publics
utilisent aussi du gazole pour fonctionner créer les réseaux routiers.

Lubrifiants
Les huiles de lubrification sont utilisés pour protéger les moteurs et réduire
l’usure des pièces mécaniques dans de de nombreux types de véhicules et
d’équipements industriels.
g- Technologies
Electronique
Les produits dérivés du pétrole servent dans la fabrication de composants
électroniques notamment les circuits imprimés, câbles et écran.

V. IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX

IMPACT DU PETROLE

Le pétrole est la cause de pollutions, ainsi que de destruction de la faune et la


flore. Il a donc un impact néfaste sur l’environnement, causé par plusieurs
phénomènes. On caractérise son impact par deux types de pollution :

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-La pollution par exploitation et transport du pétrole (marée noire, boue
polluante et pollution acoustique)
-La pollution liée aux dérivés du pétrole (combustion de carburant qui entraine
une pollution atmosphérique, dégradation de la faune et la flore à cause des
plastiques).

1- La pollution par exploitation et transport du pétrole


a- Les marées noires

Une marée noire est une catastrophe industrielle et écologique dû à


l’échouement d’une nappe d’hydrocarbure en zone côtière. Cette nappe est due
à un déversement volontaire ou accidentel d’une certaine quantité de pétrole,
ou de produits pétroliers dans la mer qui est ramené vers la cote par l’effet des
mariées, des vents et des courants.
Les marées noires sont la cause de pollutions et ces dernières ont un impact non
négligeable sur l’écologie. Ces marées noires perturbent durement et
durablement la faune et la flore. Elles génèrent de graves dégradations au niveau
de l’écosystème ce qui peut causer l’asphyxie totale du milieu.
L’habitat de nombreux animaux ainsi que les fonds marins seront détruits et la
faune et la flore des zones côtières seront-elles aussi gravement touchées.

b- Les boues de forage


La boue de forage est un mélange de terre, morceaux de roches et de lubrifiants
synthétiques toxiques qui sont utilisés pour permettre aux foreuses des
progresser à grande profondeur. Elle doit théoriquement être stockée dans des
sites d’enfouissement spéciaux, et surtout pas rejetée en mer. Les boues sont
elle-même polluantes, puisqu’elles sont écotoxiques (nuisibles pour
l’environnement). Donc quand elles sont accidentellement ou non (certaines
entreprises sont autorisées à rejeter ces boues en mer si elles ne dépassent pas
un certain seuil de toxicité) rejetées en mer (étant donnée leur composition
toxique, contenant par exemple des hydrocarbures) elles polluent une zone
variant de 400 m et 1 km. Ce qui se traduit par une asphyxie par anoxie
(réducteur de l’oxygène dans un milieu) des individus marins sous la boue
sédimentée. Elles peuvent aussi causer une accumulation des nutriments dans
un milieu aquatique et par là, favoriser le développement d’espèces

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envahissantes au détriment de la biodiversité, ce phénomène se nomme
l’eutrophisation.

C) La pollution acoustique

Il y a plusieurs types de pollutions acoustiques causées par le pétrole :

• Le bruit des navires : En sillonnant constamment les océans, les navires comme
les superpétroliers émettent des sons tels que des bruits de moteurs, d'hélices,
de roulements ... La fréquence de ces bruits se situent entre 20 et 300 Hz, ce qui
correspond à la gamme de fréquence qu'utilise plusieurs espèces de baleines,
ceci rend donc leur communication difficile. De plus, le facteur le plus nuisible
est le fait que les baleines ont du mal à distinguer les bruits naturels de la mer
des bruits des bateaux. Il en résulte des collisions accidentelles, une des
principales causes de mortalité chez les baleines franches (espèce de baleine)
partout dans le monde. Ces bruits peuvent aussi amener les baleines à
abandonner leurs habitats.

L’exploitation maritime du pétrole : Elle génère des sons puissants et continus :


sondages sismiques, construction de plateformes, forages, etc. Ce problème est
particulièrement marqué dans le golfe du Mexique, le long de la côte
Californienne.

-Lors de l’exploration : Les « canons à air » qu’on utilise pour détecter la présence
de pétrole ou de gaz naturel sous le lit de l’océan émettent des ondes sonores
extrêmement puissantes. En réalité, les bruits d’origine humaine sont les plus
puissants des océans. Ces canons émettent des sons toutes les 10 à 60 secondes
pendant des jours et même des mois. Ces derniers trop fréquents peuvent
pousser les baleines ou même les dauphins à quitter un territoire.

-Pendant l’exploitation : Les bruits causés par le forage et l’extraction ne sont


pas aussi puissants que ceux des canons à air, mais ils ont une durée plus
importante. À la longue, ces bruits constants peuvent pousser les baleines et
d’autres espèces marines à abandonner leurs habitats.

2 - La pollution liée aux dérivés du pétrole

En plus des pollutions liées à l'exploitation et au transport du pétrole, des


pollutions indirectes lui sont elles aussi attribuées. Cette pollution est
notamment due aux dérivés du pétrole.

a) La pollution atmosphérique ou pollution de l'air

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Plusieurs types d'exploitations pétrolières libèrent des substances toxiques dans
l'air et/ou des gaz à effets de serres. L'exploration pétrolière et gazière, de même
que la production et le traitement de base du pétrole brut et du gaz naturel,
appartiennent au secteur en amont de l'industrie. Le raffinage du pétrole est un
procédé industriel visant à extraire par distillation les principaux composants du
pétrole brut et à les convertir en matière première et en produits finis qui seront
utilisés comme combustibles ( essence, kérosène ect ) ou pour d'autres usages (
huiles lubrifiantes, asphaltes ). Les activités du secteur en amont ont de
nombreuses répercussions sur l'environnement. Par exemple, les émissions
atmosphériques résultant du brûlage à la torche ( est l'action de brûler, par des
torchères, des rejets de gaz naturel à différentes étapes de l'exploitation du
pétrole et du gaz naturel ) sont préoccupantes parce qu'elles ont un effet sur la
qualité de l'air ainsi que sur la quantité des gaz à effet de serre à l'échelle
régionale. Cette pratique a en réalité un triple effet négatif :

• C'est un gaspillage d'une ressource naturelle précieuse sous forme de dioxyde


de carbone, premier gaz à effet de serre.

• Les exploitations rejettent également du gaz naturel non brûlé à l'air libre et
aggravent les émissions de méthane, principal constituant du gaz naturel.

-La flamme et la lumière qu'elle émet peuvent être source de pollution


lumineuse et perturber l'environnement nocturne, notamment en causant des
situations de piège écologique, pour certaines espèces, ce qui peut avoir des
conséquences indirectes graves.

Parmi les émissions atmosphériques polluantes de l'industrie figurent les


substances toxiques telles que le benzène et les particules, les émissions acides
et les gaz à effet de serre tels que le méthane et le dioxyde de carbone. Le
raffinage du pétrole entraîne le rejet de nombreux polluants atmosphériques,
notamment les oxydes de soufre, les oxydes d'azote, les particules, le monoxyde
de carbone et le benzène, ainsi que de nombreux gaz à effet de serre.

Enfin la circulation automobile est la cause d'un tiers des émissions de gaz à effet
de serre. C'est un parfait exemple de la pollution indirecte que peut causer le
pétrole puisque dans ce cas-là, c'est son principal dérivé l'essence, qui en est la
source. Pendant la combustion de cette dernière, du dioxyde de carbone,
notamment est relâchée dans l'air et pollue.

Néanmoins la pollution de l'air est causée par de nombreux secteurs d'activités


dans la vie de tous les jours (par ses dérivés et non son exploitation) , le chauffage

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du secteur résidentiel, le trafic routier, les chantiers et carrière ou encore
l'agriculture sont les principaux, dans l'exemple de l'île de France :

Les impacts environnementaux du pétrole

b) La contamination des milieux par les plastiques

Les plastiques sont un dérivé du pétrole, et ils sont une source de pollution
considérable. Notamment pour le milieu marin mais ils ont aussi un effet grave
sur la dégradation du paysage.

80% des sacs plastiques ne sont ni recyclés ni triés, ils sont donc rejetés dans la
nature. Et étant donné leur caractère léger ils ont tendance à s'envoler et on les
retrouve partout dans les milieux naturels : champs, rivières, montagnes et mers,
où ils contribuent à la dégradation des paysages.

Entre les pots de yaourts, les emballages alimentaires et les sachets de courses,
le plastique à tout simplement envahit notre vie. Malheureusement, il envahit
aussi les océans. Une pollution qui a un impact majeur sur l’environnement.

On peut malheureusement apercevoir de plus en plus souvent des morceaux de


plastiques sur les plages ou même en mer, vestiges du passage de vacanciers peu
concernés par l'état de ces lieux. Une pollution qui semble dérisoire mais qui en
réalité devient alarmante.

Le plastique est une des grandes découvertes du siècle dernier et nous facilite la
vie dans bien des domaines mais la pollution qu'il engendre le rend néfaste pour
l'environnement. On estime que chaque année ce sont 30 millions de tonnes de
plastiques qui se retrouvent dans les mers du globe. 90% des déchets retrouvés
à la surface des océans sont des plastiques : bouteille, corde en nylon, sacs
plastiques etc. Ces détritus causent une pollution à très long terme avec une
durée de vie de presque 1000 ans ! Ce qui est alarmant quand on sait que les
plastiques ont tendance à concentrer des polluants très nocifs ( phtalates ou PCB
). Par exemple en France 122 millions de sacs plastiques jonchent les 5000
kilomètres de côtes du littoral et tuent des milliers d'animaux marins chaque
année. Ils étouffent de nombreuses espèces marines, à cause des rayons de soleil
qui dégradent les plastiques et les réduisent à la taille de 5 millimètres de
largeur, soit la taille du zooplancton, les poissons les confondent, finissent par
les manger et meurent. Quant aux tortues elles confondent les sachets
plastiques avec des méduses et meurent littéralement étouffées. Les oiseaux
sont également touchés par cette pollution, ce qui conduit à des tragédies
comme celles de l’atoll Midway : chaque année, ce sont des dizaines de milliers

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de poussins albatros qui y meurent de faim, le gosier remplit de bouts de stylos,
ou de débris de plastiques ramassés par leurs parents.

Au final ce ne sont pas moins de 260 espèces qui sont menacées par le plastique
produit par l'homme.

IMPACTS DU GAZ NATUREL

Impacts négatifs du gaz naturel

Le gaz naturel a des risques pour notre environnement comme toutes les autres
énergies fossiles, sa combustion crée notamment des gaz à effet de serre et
contribue et réchauffement climatique 63 % de gaz naturel est responsable de
63 % des émissions de gaz à effet de serre produite par les bâtiments au Québec.
Il est aussi toxique pour le climat de par sa fracturation à sa combustion. Il est
faux de dire que c’est une énergie de transition. C’est un mythe

1- L’exploitation du gaz

L’exploitation du gaz naturel comporte des risques environnementaux

Chaque étape de l’exploitation du gaz naturel entraine d’émissions de gaz dans


l’atmosphère. Or l’un des principaux composants du gaz naturel est le méthane
(CH4) dont l’effet de serre est plus de 20 fois supérieurs à celui du CO2 (avec
toutefois un temps de séjour moins log dans l’atmosphère)

2- L’extraction du gaz naturel

A ces risques environnementaux s’ajoutent ceux lies a l’extraction des gaz non
conventionnel et notamment par la technique de fracturation hydraulique. Cette
technique a une influence sur les ressources en eau. En effet, des millions de
litres d’eau sont utilisés pour chaque puits, avec l’ajout de nombreux produits
chimiques seule une partie de cette eau contaminée est ensuite récupérer, le
reste pouvant se déverser dans les nappes phréatiques, utilisées pour
l’alimentation en eau potable. Toutefois une gestion rigoureuse et contrôlée de
ces techniques permet de limiter ces effets et le gaz de schistes se développe
mondialement.

3- Les principaux risques liés au gaz naturel (inflammabilités du gaz naturel)

Ces émissions contribuent au réchauffement climatique.

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Le gaz naturel est combustible ; il peut s’enflammer dans certaines conditions en
présence d’air et d’une source de chaleur. Sa limite inferieur d’inflammabilité est
de 5% de gaz dans l’air et sa limite supérieure d’inflammabilité est de 15%

4 - LES ACCIDENTS DU GAZ NATUREL

Les accidents liés à l’utilisation du gaz sont essentiellement dus à des


installations domestiques défectueuses ou à une mauvaise manipulation d’un
appareil a gaz, les autres causes d’accidents étant principalement des incendies,
des intempéries ou a mauvais stockage de GPL (Gaz de Pétrole Liquéfie)

a- L’intoxication

L’intoxication est dû à une mauvaise combustion du gaz et à la production de


monoxyde carbone CO incolore et inodore ; 100 à 150 personnes décèdent et
encore chaque année par asphyxie

La fuite de gaz

La fuite de gaz pouvant entrainer en présence d’une source de chaleur, une


explosion ou un incendie

IMPACTS POSITIFS DU GAZ NATUREL

Ils sont principalement lie à son bon rendement énergétique et à ses avantages
environnementaux : sa combustion n’émet pas de poussière, peu de dioxyde de
soufre SO2, peu d’oxyde d’azote et moins de dioxyde de carbone CO2 que
d’autres énergies fossiles

1- Le gaz naturel est abordable

Le gaz naturel est plus rentable que les autres combustibles fossiles en fait, la
centrale électrique la plus efficace est alimentée du gaz naturel à un cout
d’investissement de 1100 dollars pars kilowatt selon l’IEA par rapport au cout de
3700 dollars associé à la centrale la plus efficace alimenté avec du charbon.

2- LE GAZ NATUREL EST MEILLEUR POUR L’ENVIRONNEMENT

Le gaz naturel brule de manière plus propre tout simplement. En fait à 117 livres
BTU le gaz naturel génère 50% moins de dioxyde de carbone que l’antractite, qui
émet presque 230 livres BTU pour le pétrole. Il n’émet aussi presque pas
d’oxydes de soufre (SO2), qui menacent moins la santé des êtres humains et des
plantes.

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3- LA FIABILITE DU GAZ NATUREL

Nous avons tous cette situation, lors d’un orage ou d’autres événements
météorologiques dangereux, l’électricité est coupée parfois pendant des heures,
des jours ou même des semaines. Ceci n’est pas si l’on utilise le gaz naturel. Le
gaz naturel est une source de d’énergie extrêmement fiable qui maintient en
fonction de vos appareils

4- Le gaz naturel est une ressource abondante

Il est estime que les réserves de gaz de la planète comptent presque 7


quadrillons de pieds cubes. Selon l’agence internationale de l’énergie (IEA), avec
la consommation courante, les quantités récupérables de gaz naturel pourraient
être suffisantes pour au moins ll siècle sans compter les innovations anticipées
en termes de sources renouvelables.

5- La facilité à transporter le gaz naturel

Tous les carburants doivent être transporte de leurs sources jusqu’aux maisons
ou espaces commerciaux ou ils seront utilisés pour générer de l’énergie et le
transport du gaz naturel est plus sûr et le plus facile. Il est léger que le pétrole et
charbon. Il est facile à transporter par pipeline ou, sous forme liquéfiée, par
navires citernes. Il est facile à stocker à destination. Pour l’énergie nomade, le
gaz naturel est le gagnant indiscutable

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Conclusion

De la formation à la production le pétrole et le gaz naturel sont des éléments


important dans notre vie aujourd’hui.

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