Mip Ifss
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INFECTIEUSES ET PARASITAIRES
M.I.P
WINSAVI B. Maturin
Médecin Généraliste
Février 2022
INTRODUCTION
1- Qu’est-ce qu’une Maladie ?
UN MALADE ≠ UN PATIENT
INTRODUCTION
INTRODUCTION
3-Qu’est-ce qu’une Infection ?
C’est le développement de germes pathogènes
dans l’organisme, entraînant des troubles (maladie).
LA FIEVRE TYPHOIDE
1- LA FIEVRE TYPHOIDE
OBJECTIFS DU COURS
- Définir la fièvre typhoïde
- Expliquer les modes de contamination
- Décrire la symptomatologie
- Citer les différentes formes cliniques
- Citer les complications
- Décrire l’évolution
- Identifier les examens complémentaires et poser le
diagnostic
- Etablir le traitement
- Expliquer les mesures prophylactiques
1- LA FIEVRE TYPHOIDE
A-DEFINITION :
• C’est une toxi-infection contagieuse due aux
salmonelles retrouvées dans les aliments
crus ou insuffisamment cuits: viande,
volailles, fruits, légumes.
(Salmonella typhi ou bacille d’Eberth et
Salmonella paratyphi A,B,C)
1- LA FIEVRE TYPHOIDE
B-MODES DE CONTAMINATION :
La transmission peut se faire de deux
manières :
Les troubles digestifs sont dominés par une diarrhée abondante, fétide,
de couleur ocre ( jus de melon)
-râles bronchiques,
-hépatomégalie discrète
pulmonaires ou articulaires.
- Au cours de la période d’état ou phase d’état aucun symptôme n’est constant : les
tâches rosées, l’angine de Duguet, la splénomégalie peuvent manquer.
- Chez le nourrisson elle peut se révéler par une gastro - entérite ou une
hyperthermie isolée.
1- LA FIEVRE TYPHOIDE
E-COMPLICATIONS
Les rechutes sont possibles une (1) à deux (2) semaines après arrêt du
traitement.
1- LA FIEVRE TYPHOIDE
G- EXAMENS COMPLEMENTAIRES ET DIAGNOSTIC
En pratique :
CEPHALOSPORINES DE 3è GENERATION (Ceftriaxone)
en I.V : 50-100 mg/Kg une fois par jour chez l’enfant
et 1 – 2 g une fois par jour chez l’adulte
FLUOROQUINOLONES (Ciprofloxacine)
en perfusion I.V : 10mg/Kg/Jr chez l’enfant
et 400mg deux fois par jour chez l’adulte
per-os : 15mg/Kg/Jr chez l’enfant et 500mg matin et soir chez l’adulte.
La nécessité de trois (3) injections en sous- cutanée (s/c) ( 4 injections chez l’enfant à
partir de deux (2) ans d’âge à quinze (15) jours d’intervalle, rappel un (1) an puis tous les
cinq (5) ans constitue un obstacle à l’utilisation à grande échelle de cette vaccination dans
les pays en voie de développement.
Prophylaxie collective : isoler et traiter les malades, désinfecter leurs effets et leurs
déjections, dépister et traiter les porteurs asymptomatiques des germes.
FIN
2- LE TETANOS
OBJECTIFS DU COURS
- Définir le tétanos
- Décrire la symptomatologie
- Décrire l’évolution
- Etablir le traitement
La contamination se fait
toujours par une plaie qui
représente la porte d’entrée
du bacille dans l’organisme.
2- LE TETANOS
B-MODES DE CONTAMINATION :
Phase d’invasion
• Phase d’état
Trismus
• Phase d’état
• Phase d’état
• Phase d’état
2- LE TETANOS
La position en opisthotonos
2- LE TETANOS
D-FORMES CLINIQUES
La période d’état : le visage est crispé, la bouche et les lèvres sont tendues
en lettre U et les contractures se généralisent.
Chez l’adulte :
• Il faut faire une sérothérapie et une vaccination devant toutes les plaies,
surtout chez un sujet non vacciné.
FIN
3- LES SHIGELLOSES : DYSENTERIE BACILLAIRE
OBJECTIFS DU COURS
- Définir les shigelloses
- Décrire la symptomatologie
- Décrire l’évolution
- Etablir le traitement
-adynamie, déshydratation,
-arthralgies, myalgies,
-tachycardie, polypnée.
3- LES SHIGELLOSES : DYSENTERIE BACILLAIRE
D-FORMES CLINIQUES
-Formes graves : typiquement dysentériques,
hautement fébriles, elles mettent en jeu le
pronostic vital.
- Décrire la symptomatologie
- Décrire l’évolution
- Etablir le traitement
A-DEFINITION :
C’est une toxi-infection dont la localisation est
amygdalienne, très contagieuse,
- la diphtérie du nourrisson
4- LA DIPHTERIE
E- EVOLUTION
• Evolution favorable sous traitement.
L’antibiothérapie utilise :
soit la pénicilline (100 000 U/kg chez l’enfant, 1 à 4 millions
chez l’adulte pendant 4 à 6 jours),
soit l’érythromycine (0,05g / kg/ jour chez l’enfant, 2 g par
jour chez l’adulte).
4- LA DIPHTERIE
G- MESURES PROPHYLACTIQUES :
Elles reposent sur :
La vaccination : dès 6 semaines d’âge faire à l’enfant trois
injections d’anatoxine diphtérique à 4 semaines
d’intervalle, suivies d’un rappel au bout d’un an, puis tous
les 5 ans. Le vaccin peut être associé aux vaccins
antitétanique, anticoquelucheux et au vaccin contre la
poliomyélite.
L’isolement des malades, dépistage et traitement des
porteurs de germes dans l’entourage des malades ; une
cure d’érythromycine de 5 jours stérilise la gorge des
porteurs sains.
4- LA DIPHTERIE
5- LES ANGINES
OBJECTIFS DU COURS
- Définir les angines
- Décrire la symptomatologie
- Décrire l’évolution
- Poser le diagnostic
- Etablir le traitement
5- LES ANGINES
A-DEFINITION :
OBJECTIFS DU COURS
- Définir le R.A.A
- Décrire la symptomatologie
- Décrire l’évolution
- Etablir le traitement
A-DEFINITION :
• Le R.A.A est une maladie inflammatoire
atteignant avec prédilection les articulations, le
cœur et les séreuses.
Streptocoque du groupe A
6- RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU (R.A.A) OU MALADIE DE BOUILLAUD
B- MODES DE CONTAMINATION :
C- SYMPTOMATOLOGIE :
La maladie survient 2 à 4 semaines après une
angine streptococcique sous plusieurs
manifestations :
C- SYMPTOMATOLOGIE :
• Les manifestations cardiaques : très
fréquentes et graves, annoncées par la dyspnée,
des crises de palpitations et à l’auscultation :
assourdissement des bruits du cœur, apparition
de souffles et d’un bruit de galop.
D-EVOLUTION :
G- MESURES PROPHYLACTIQUES
OBJECTIFS DU COURS
- Définir le choléra
- Décrire la symptomatologie
- Décrire l’évolution
- Etablir le traitement
A-DEFINITION :
• C’est une toxi-infection intestinale
strictement humaine,
hautement contagieuse,
B- MODES DE CONTAMINATION :
La contamination se fait :
- par contact direct avec les malades (mains,
linges, cadavres) ou les porteurs sains;
- et de façon indirecte par ingestion d’eau ou
d’aliments contaminés par les selles ou les
vomissements des malades.
7- CHOLERA
B- MODES DE CONTAMINATION :
7- CHOLERA
C- SYMPTOMATOLOGIE :
-Période d’incubation très courte de 6 à 24
heures, toujours inférieure à 5 jours,
-Début brutal par des selles aqueuses,
incolores, classiquement riziformes. (contenant
des grumeaux) d’odeur fade, afécales ; d’abord
impérieuses en jet, puis coulent à travers le
sphincter relâché du malade épuisé.
7- CHOLERA
C- SYMPTOMATOLOGIE :
7- CHOLERA
C- SYMPTOMATOLOGIE :
-Les vomissements ont le même caractère que les
selles : d’abord en fusée, incoercibles, puis sans effort
s’écoulant de la bouche du malade. Ils sont également
aqueux avec des grumeaux riziformes.
-L’abondance de ces pertes d’eau atteint plusieurs litres
en quelques heures et entraîne une asthénie massive,
une soif évidente que le malade ne peut satisfaire et
des crampes musculaires extrêmement douloureuses.
7- CHOLERA
C- SYMPTOMATOLOGIE :
L’aspect du malade est caractéristique : parfaitement
lucide mais la voie cassée ou inaudible, le visage
émacié, les yeux profondément enfoncés dans les
orbites, cyanosé et couvert de sueurs.
Le pouls est rapide, mal frappé, souvent imprenable
avec effondrement tensionnel, hypothermie, anurie.
Dans cette forme clinique, le malade non traité meurt
en 48 heures à 72 heures.
7- CHOLERA
L’aspect du malade
7- CHOLERA
D- FORMES CLINIQUES :
- Les formes cliniques fréquentes se résument à un tableau
de gastro-intérite aiguë non fébrile ou une diarrhée
banale, de diagnostic difficile.
- Les formes trompeuses : la diarrhée peut être
sanguinolente à la longue, mais non d’emblée, les
vomissements moins abondants.
- Le choléra ‘’sec’’ entraîne la mort subite par
déshydratation aigue alors que la diarrhée ne s’est pas
encore manifestée.
7- CHOLERA
E- EVOLUTION :
-Sans traitement la mort survient en 24 à 48
heures dans un tableau de collapsus cardio -
vasculaire.
OBJECTIFS DU COURS
- Définir les méningites
- Décrire l’épidémiologie
- Décrire la symptomatologie
- Décrire l’évolution
- Etablir le traitement
A-DEFINITION :
F- EVOLUTION :
• Vue très tôt, la méningite guérit sans séquelles.
- Décrire l’épidémiologie
- Décrire l’évolution
- Etablir le traitement
Bordetella pertusis
9- LA COQUELUCHE
B- MODES DE CONTAMINATION :
ce qui a fait dire que la coqueluche est une des grandes avenues
qui mènent au Kwashiorkor et marasme.
9- LA COQUELUCHE
D- FORMES CLINIQUES :
- Définir la lèpre
- Expliquer les modes de contamination
- Décrire l’évolution
- Identifier les examens complémentaires et poser
le diagnostic
- Etablir le traitement
- Expliquer les mesures prophylactiques
10- LA LEPRE
A- DEFINITION :
• La lèpre est une maladie infectieuse,
endémique, faiblement contagieuse,
strictement humaine due au Bacille de
Hansen (BH) ou mycobactérium leprœ
dont la symptomatologie est
essentiellement cutanée et nerveuse.
10- LA LEPRE
B- MODES DE CONTAMINATION :
C- SYMPTOMATOLOGIE :
10- LA LEPRE
10- LA LEPRE
10- LA LEPRE
C- SYMPTOMATOLOGIE :
• l’anatomopathologie ( Anapath)
L’examen se fait après biopsie d’une lésion cutanée et a un but de
diagnostic et de classification.
• la léprominoréaction de mitsuda :
Elle n’est pas un moyen de diagnostic, mais elle aide à la classification ;
elle est négative dans la lèpre lépromateuse, positive dans la lèpre
tuberculoïde et négative ou douteuse dans la lèpre borderline.
10- LA LEPRE
F- TRAITEMENT :
• C’est la polychimiothérapie ( PCT) qui est
recommandée dans la conduite du traitement de la
lèpre.
Les produits utilisés sont : la Rifampycine ( Rifadine,
Rimactan ), la Dapsone (DDS), la Clofazimine (clo ou
lamprene) , l’Ofloxacine ( Oflocet) et la Minocycline.
OBJECTIFS DU COURS
-Définir la tuberculose
-Expliquer les modes de contamination
-Décrire la symptomatologie
-Décrire l’évolution
-Identifier les examens complémentaires et
poser le diagnostic
-Etablir le traitement
-Expliquer les mesures prophylactiques
11- LA TUBERCULOSE
A-DEFINITION :
• C’est une maladie contagieuse due à une
mycobactérie communément appelée bacille
tuberculeux dont la variété la plus répandue est le
bacille de type humain : mycobactérium tuberculosis
ou bacille de Koch (B.K)
B-MODES DE CONTAMINATION :
• Trois variétés peuvent contaminer l’homme :
-Le bacille humain contamine par voie directe et aérienne : à partir
d’un malade atteint de tuberculose pulmonaire par expectoration
contenant des BK,
par les gouttelettes émises par les malades en toussant, éternuant ou
simplement en parlant à haute voix.
-Le bacille bovin contamine rarement, elle est directe par voie
digestive : à partir de lait en provenance d’une vache tuberculeuse.
C- SYMPTOMATOLOGIE:
- La tuberculose pulmonaire :
Elle est marquée par :
– une toux productive prolongée (plus de 15 jours)
– douleurs thoraciques
– anorexie, amaigrissement, asthénie
– fièvre vespérale, transpiration nocturne
– le symptôme le plus caractéristique est l’hémoptysie
ou la présence de filet de sang dans le crachat
.
11- LA TUBERCULOSE
.
11- LA TUBERCULOSE
C- SYMPTOMATOLOGIE:
-Les tuberculoses extra-pulmonaires :
A travers la voie sanguine ou lymphatique, le BK peut se propager dans
tous les viscères.
Ces localisations représentent un faible pourcentage des cas de
tuberculoses et ne jouent pas un rôle important dans la transmission de
la maladie. C’est ainsi qu’on a :
– la tuberculose osseuse : les os atteints sont en priorité le rachis
( mal de pott) , la hanche (coxalgie), le genou et le pied (gêne, puis
douleur à la marche, gonflement régional comme premiers signes)
– la tuberculose rénale : les signes d’appel sont souvent intenses
et banals ( cystite, pyurie) mais c’est l’UIV surtout qui révèle le
diagnostic.
– la tuberculose génitale pouvant aboutir à la stérilité chez
l’homme comme chez la femme
11- LA TUBERCULOSE
D- EVOLUTION:
En l’absence de traitement la mort survenait
dans plus de 75 %.
V pour virus
Il existe deux grands types de virus : V.I.H1 et V.I.H2 et les deux sont
retrouvés au Niger.
12- LE SIDA
12- LE SIDA
B-MODES DE CONTAMINATION :
Il existe trois (3) modes de transmission :
:
La transmission sexuelle, c’est le mode de transmission majeur : lors de
tout rapport sexuel avec une personne contaminée, il y a risque de
contamination. Nous entendons par rapport sexuel, les rapports hétérosexuel
entre femme et homme, mais aussi les rapports homosexuels entre hommes.
L’évolution en l’absence de
complications se fait vers la
guérison en quelques jours.
13- LA ROUGEOLE
F- DIAGNOSTIC :
En règle générale le diagnostic est clinique et évident :
OBJECTIFS DU COURS
-Définir la varicelle
-Expliquer les modes de contamination
-Décrire la symptomatologie
-Citer les complications
-Poser le diagnostic
-Etablir le traitement
-Expliquer les mesures prophylactiques
14- LA VARICELLE
A- DEFINITION :
FIN
15- LES OREILLONS
OBJECTIFS DU COURS
-Définir les oreillons
-Expliquer les modes de contamination
-Décrire la symptomatologie
-Identifier les examens complémentaires et poser le diagnostic
-Etablir le traitement
-Expliquer les mesures prophylactiques
15- LES OREILLONS
A- DEFINITION
• Les oreillons représentent une infection virale
contagieuse et immunisante due à
paramyxovirus parotidis, lequel a un tropisme
pour les glandes salivaires, le testicule et le
système nerveux .
Il n’ y a pas de séquelles.
15- LES OREILLONS
E- EXAMENS COMPLEMENTAIRES ET DIAGNOSTIC
-Repos au lit
FIN
17- PARALYSIE FLASQUE AIGUE ( P.F.A.)
OBJECTIFS DU COURS
-Définir la P.F.A
-Expliquer les modes de contamination
-Décrire la symptomatologie
-Identifier les examens complémentaires et poser le diagnostic
-Etablir le traitement
-Expliquer les mesures prophylactiques
17- PARALYSIE FLASQUE AIGUE ( P.F.A.)
A- DEFINITION
B- MODE DE CONTAMINATION
C- SYMPTOMATOLOGIE
C- SYMPTOMATOLOGIE
3-Phase paralytique : Les paralysies apparaissent
soudainement et brutalement avec ou sans les signes
d’invasion;
Tous les muscles qui seront paralysés vont l’être en un
temps très court de 2 à 3 jours, simultanément ou par
vagues successives,
Elles sont de types flasques, avec hypotonie, aréflexie
ostéo-tendineuse, troubles vasomoteurs a type de
refroidissement et de troubles trophiques.
Fait important : les sensibilités superficielles et
profondes sont intactes.
17- PARALYSIE FLASQUE AIGUE ( P.F.A.)
C- SYMPTOMATOLOGIE
4-La phase de régression des paralysies :
elle succède rapidement à celle de leur installation.
Elle débute dès la 2ème semaine, au plus tard après
3 à 5 semaines.
E- TRAITEMENT
- On ne dispose d’aucune chimiothérapie pendant la
phase fébrile d’installation des paralysies,
- Le repos doit être strict en évitant les attitudes
vicieuses, les mobilisations intempestives et les
injections I.M.
- Prescription d’antalgiques.
- La ventilation assistée, selon les possibilités locales,
est le seul recours dans les formes respiratoires.
- Ultérieurement, le problème est celui d’une
rééducation active.
17- PARALYSIE FLASQUE AIGUE ( P.F.A.)
F- MESURES PROPHYLACTIQUES :
-Isoler les malades et désinfecter les latrines
-Eviction scolaire pendant 15 jours
-La vaccination constitue la mesure rationnelle.
On dispose de 2 types de vaccins : vaccins à germes
tués injectables par voie S.C. et les vaccins à germes
vivants atténués administrés par voie orale. Tous deux
s’administrent dès 6 semaines d’âge en 3 fois à 1 mois
d’intervalle et nécessitent un rappel l’année suivante
puis tous les 5 ans. Ils peuvent s’associer aux vaccins
contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche. Il est à
noter que le vaccin Polio zéro (o) s’administre dès la
naissance par voie orale.
17- PARALYSIE FLASQUE AIGUE ( P.F.A.)
18- HEPATITES
OBJECTIFS DU COURS
-Définir les hépatites
-Expliquer les modes de contamination
-Décrire la symptomatologie
-Décrire l’évolution
-Identifier les examens complémentaires et poser le diagnostic
-Etablir le traitement
-Expliquer les mesures prophylactiques
18- HEPATITES
A- DEFINITION
FIN
19- FIEVRE JAUNE
OBJECTIFS DU COURS
-Définir la fièvre jaune
-Expliquer les modes de contamination
-Décrire la symptomatologie
-Décrire l’évolution
-Identifier les examens complémentaires et poser le diagnostic
-Etablir le traitement
-Expliquer les mesures prophylactiques
19- FIEVRE JAUNE
A- DEFINITION
Il consiste en :
L’anophèle femelle
20- PALUDISME
C- SYMPTOMATOLOGIE
La prophylaxie collective :
La prophylaxie individuelle :
• Collectivement :
traiter systématiquement les populations infestées ou
suspectées de l’être ;
aménager les latrines pour éviter la dissémination des
œufs autour des villages et des cases, là où sont
entretenues de petites cultures vivrières ;
assainir les eaux de boisson.
23- ASCARIDIOSE
C
FIN
24- OXYUROSE
OBJECTIFS DU COURSC
-Définir l’oxyurose
-Expliquer les modes de contamination
-Décrire la symptomatologie
-Identifier les examens complémentaires et poser le diagnostic
-Etablir le traitement
-Expliquer les mesures prophylactiques
24- OXYUROSE
C
A- DEFINITION
FIN
25- ANKYLOSTOMIASE
OBJECTIFS DU COURSC
-Définir l’ankylostomiase
-Expliquer les modes de contamination
-Décrire la symptomatologie
-Identifier les examens complémentaires et poser le diagnostic
-Etablir le traitement
-Expliquer les mesures prophylactiques
25- ANKYLOSTOMIASE
A- DEFINITION C
• L’ankylostomiase est une helminthiase due à deux
vers ronds : Ankylostoma duodénale et Necator
Americanus.
FIN
26- DRACUNCULOSE
C
OBJECTIFS DU COURS
-Définir la dracunculose
-Expliquer les modes de contamination
-Décrire la symptomatologie
-Identifier les examens complémentaires et poser le diagnostic
-Etablir le traitement
-Expliquer les mesures prophylactiques
26- DRACUNCULOSE
A- DEFINITION C
La dracunculose ou dracontiase est une
Helminthiase afro-asiatique, due à un nématode
dracunculus médinensis,
FIN
27- BILHARZIOSES
OBJECTIFS DU COURS C
-Définir les bilharzioses
-Expliquer les modes de contamination
-Décrire la symptomatologie
-Identifier les examens complémentaires et poser le diagnostic
-Etablir le traitement
-Expliquer les mesures prophylactiques
27- BILHARZIOSES
A- DEFINITION C
• Les Bilharzioses sont des affections parasitaires dues à des
vers plats, les Bilharzies ou Schistosomes, Hématophages,
vivant dans le système circulatoire.
FIN
28- ONCHOCERCOSE
OBJECTIFS DU COURS
-Définir l’onchocercose
-Expliquer les modes de contamination
-Décrire la symptomatologie
-Identifier les examens complémentaires et poser le diagnostic
-Etablir le traitement
-Expliquer les mesures prophylactiques
28- ONCHOCERCOSES
A- DEFINITION C
.
28- ONCHOCERCOSES
C
La simulie
28- ONCHOCERCOSES
C- SYMPTOMATOLOGIE C
L’onchocercose souvent cliniquement muette s’exprime
surtout par trois syndromes : le syndrome cutané, le syndrome
kystique et le syndrome oculaire.