Rapport D'évaluation Version Finale
Rapport D'évaluation Version Finale
Rapport D'évaluation Version Finale
RAPPORT D’EVALUATION
SOMMAIRE
Page
Résumé------------------------------------------------------------------------------------------ 1
I- CONTEXTE DU PROJET----------------------------------------------------------------------- 2
A- Alimentation en eau 2
potable---------------------------------------------------------
B- Irrigation localisée---------------------------------------------------------------------- 2
V- EVALUATION D’IMPACTS------------------------------------------------------------------- 9
A- Alimentation en eau potable-------------------------------------------------------- 9
B- Irrigation localisée---------------------------------------------------------------------- 10
X- RECOMMANDATIONS----------------------------------------------------------------------- 16
A- Alimentation en eau potable--------------------------------------------------------- 16
B- Irrigation localisée---------------------------------------------------------------------- 16
C- Recommandations 16
organisationnelles---------------------------------------------
Annexes (guides d’entretien) ------------------------------------------------------- 18
Rapport d’évaluation
Résumé :
Pour sa composante Irrigation Localisée, 21 agriculteurs du site LAHMAMAT, ont été réunis
en association. Leur site a été électrifié grâce au projet. L’association a pu profiter de
formations et de visites techniques. Aussi les formations leur ont permis de développer leur
capacité de mobilisation associative. Cependant, l’équipement du site au système du goutte
à goutte n’a pas pu s’achever à la fin du projet.
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Rapport d’évaluation
I. CONTEXTE DU PROJET
Le projet prévoyait qu’à sa fin, les habitants des villages sélectionnés dans la province
d’ELHAOUZ auront un accès à une eau fiable et pérenne et seront sensibilisés à l’hygiène. En
termes de chiffres, il était prévu que :
1100 habitants des villages sélectionnés auront accès à une source d’eau améliorée,
sûre et durable
3 associations des usagers d’eau locales seront renforcées et appliqueront de
meilleures pratiques de gestion de l’eau
3000 habitants seront sensibilisés à l’hygiène et appliqueront de meilleures pratiques
2
Rapport d’évaluation
Plus de 30 rapports d’activité depuis Septembre 2009 jusqu’au mois de Mai 2011, ont
été lus pour suivre l’évolution du programme, et particulièrement sa méthodologie
d’intervention. D’autres documents ont aussi été consultés, comme les procès verbaux des
comités de pilotage, des documents contractuels ainsi que des rapports des formations.
Un focus group a été organisé dans les locaux du projet à ELHAOUZ avec les
responsables du projet et leur équipe (animateurs). Il s’agit de
Mme Fiona JAMES : Assistante programme CARE MAROC
Mme Rajae OUAHBI : Animatrice du volet AEP
3
Rapport d’évaluation
Les visites de terrain réalisées le 25 et 26 Mai 2011, ont permis de constater l’état des
systèmes d’AEP installés et de leur fonctionnement. Il s’agit de deux sites fonctionnels
(OUEDTAINE et BOUGHLASS).
La visite du 31 mai 2011, au site de la composante irrigation localisée a permis de constater
l’état d’avancement des travaux d’électrification et d’équipement du site (LAHMAMATE).
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Rapport d’évaluation
Pour ce qui est des constructions et équipements réalisés, elles se présentent dans les
deux villages en parfait état d’après l’observation des sites lors de la visite des lieux
prévue dans la mission d’évaluation. Les mêmes avis étaient portés aussi de la part des
populations concernées et celle des représentants des services techniques, partenaires
du projet, consultés (Cf. tous les entretiens AEP et Partenaires institutionnels).
3. Aussi bien dans le village de OUED TAINE qu’à BOUGHLASS, un habitant volontaire parmi
les membres du bureau représentant les associations, a été formé de façon à lui donner la
compétence pour l’entretien périodique du réseau et lui permettre de résoudre les petits
problèmes courants. Ils ont été aussi formés au cycle relevé-facturation, encaissement et
à la gestion des impayés
4. Pour la sensibilisation aux bonnes pratiques de l’hygiène, elle a concerné 6 villages : OUED
TAINE, BOUGHLASS, TALAMOUMENT, OUTGHAL, ESSOUR, OULED BRAHIM. En plus des
hommes, les femmes et les enfants scolarisés étaient les principaux bénéficiaires.
Les thèmes touchés étaient relatifs à :
La désinfection de l’eau
La santé et l’hygiène
Les maladies liées à l’eau
Plus de 200 individus ont bénéficié de cette sensibilisation : L’idée était aussi, de faire
profiter parmi eux, des personnes qui joueraient plus tard le rôle de démultiplicateurs
dans les villages.
5
Rapport d’évaluation
5. Pour les villages de OUED TAINE et BOUGHLASS retenus pour cette composante, le
projet a installé au niveau de leurs écoles des blocs sanitaires, composés de 5 latrines, qui y
faisaient défaut. L’absence de ces blocs sanitaires au niveau des écoles était selon la
population à l’origine de deux problèmes majeurs :
Un système d’assainissement a été aussi installé pour chacun des blocs sanitaires au niveau
des écoles
6
Rapport d’évaluation
Ces échanges ont permis, d’après le président de l’association (Cf. entretien IL N°1),
aux membres de l’association LAHMAMAT de se projeter en futur pour améliorer leurs
pratiques agricoles et donc leurs revenus.
4. Le site choisi de 34,2 Ha a été électrifié grâce au projet. Action sollicitée et très applaudie
par l’ensemble des personnes consultées lors des entretiens. Cette électrification leur
permettrait -selon Mr. GUEMIMI de L’ORMVAD- de réaliser des économies lors de la mise
en service des installations par rapport à des équipements qui fonctionneraient au
carburant (Cf. entretien « Partenaires institutionnels » N°2). Cette action n’était pas
prévue dans les objectifs de départ.
7. Un guide de bonnes pratiques d’irrigation localisée a été produit, il vise la compilation des
facteurs organisationnels, techniques, agronomiques et économiques pour la réussite
d’un montage d’une installation d’un système d’irrigation localisée « goutte à goutte ».
Cependant, sa diffusion n’a pu être assurée avant la fin du projet. Il a été décidé d’un
commun accord avec l’ORMVAD que ce dernier en assurera la diffusion auprès des
concernés au mois de juin 2011.
8. Tous les autres indicateurs techniques relatifs à cette composante n’ont pu être vérifiés
tels que l’augmentation de la productivité et les quantités d’eau réservées, puisque les
installations à la fin du projet ne sont pas achevées, la mise en service des équipements
non plus.
C. Coordination et communication
1. Partenaires locaux : Différents intervenants locaux ont été identifiés dés le départ
comme partenaires incontournables du projet.
7
Rapport d’évaluation
Province d’ELHAOUZ
Service des équipements relevant du secrétariat d’état à l’eau
Communes rurales
Office de Mise en Valeur Agricole du DOUKKALA
COSUMAR
En effet, le long de la durée de vie du projet, ces partenaires ont joués des rôles importants
comme :
Facilitateurs d’accès à la population
Facilitateurs des procédures administratives (autorisations, études techniques,
appels d’offre….etc)
Membres du comité de pilotage
Cependant, leur degré d’implication variait d’un partenaire à un autre et d’une période à une
autre en fonction des éventualités qui s’imposaient tout au long du projet ; pour cette
raison, il aurait été préférable que leurs rôles au départ soient clairement définis dans des
conventions les attachant au projet.
A la fin du projet, tous les partenaires consultés ont exprimés leurs satisfactions vis-à-vis des
actions du projet. L’ORMVAD a exprimé en plus son souhait de voir l’action du projet se
prolonger jusqu’à l’achèvement de l’équipement du site LAHMAMATE de SIDI BENNOUR. (Cf.
entretiens N° 1 et 2 avec les partenaires institutionnels)
2. Pour ses partenaires financiers (Fondation Coca Cola Afrique et USAID), chacun de sa
part a assuré le support du projet en termes de communication. En contre partie, ses
partenaires étaient :
Informés périodiquement des états d’avancement du projet,
invités à chaque événementiel organisé,
faisaient partie des comités de pilotage du projet
V. EVALUATION D’IMPACTS
L’énumération suivante rassemble tous les changements induits par le projet, il s’agit
principalement des conséquences de la mise en service des systèmes d’eau potable :
L’expérience acquise par les Associations d’Usagers de l’Eau peut être une première base
pour leur permettre de gérer d’autres infrastructures ou services communautaires.
Pour les deux populations touchées, la gestion de cette première infrastructure collective
peut être considérée comme contribuant à améliorer les capacités locales, favorisant
l’auto prise en charge.
2. le gain de temps permis par la disponibilité de l’eau à l’intérieur des maisons. Toutes les
personnes consultées lors des entretiens ont témoignés que la collecte de l’eau prenait
un temps important de la vie des femmes et des enfants, qu’ils pourraient réserver
actuellement à d’autres activités.
3. la meilleure qualité de l’eau utilisée par les bénéficiaires, permettant par la suite moins de
maladies liées à l’eau : l’eau au départ, ayant subit des analyses, a été attestée d’une
bonne qualité. Par la suite, ayant subit un traitement au chlore avant d’atteindre les
foyers, permet la diminution des germes de l’eau pouvant induire des altérations
dermiques ou gastriques
4. les plus grandes quantités d’eau utilisées par les usagers : l’adduction d’eau à l’intérieur des
foyers a permis aux usagers de gagner du temps sur la corvée d’eau –surtout aux femmes
et aux enfants-. D’autant plus que cette disponibilité en temps et en quantité, selon
toutes les personnes consultées (Cf. tous les entretiens AEP), leur permet maintenant
de se laver les mains, les pieds, le visage et eux-mêmes plus fréquemment.
9
Rapport d’évaluation
Pour ce qui est des conséquences relatives à cette composante, elles sont relativement
limitées, du fait du non achèvement des travaux d’équipement du site à la fin du projet et
donc se résument au:
Cependant, l’ensemble des membres de l’association consultés ont exprimé leur grande
crainte du départ du projet avec l’arrivée de la fin de son mandat. Tant que les travaux
d’équipement ne sont pas achevés, ils souhaitent voir l’action du projet se prolonger pour
éviter les risques d’un sevrage précoce qui selon eux pourrait conduire à :
Des problèmes entre l’association et la société ERISER si cette dernière venait à
manquer à ses obligations de travaux d’équipement
Un manque de confiance entre les membres de l’association
Une perte des réalisations acquises jusqu’à ce jour grâce au projet, notamment :
non réinvestissement des acquis de la formation et la non utilité d’électrification
du site.
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Rapport d’évaluation
Même lorsque les femmes sont représentées dans l'AUE, certaines y sont désignées comme
simples membres, sans jouer des rôles stratégiques et n'ont pas de réelles influences dans
les décisions : elles n’ont pas accès à la gestion des services ni aux postes décisionnels.
Cependant, elles restent les principales bénéficiaires de l’adduction de l’eau potable : toutes
les conséquences positives de l’accès à l’eau potable profitent en premier lieu aux femmes :
Accessibilité de l’eau aux foyers et moins de peine pour sa collecte à l’extérieur
Gain de temps
Travaux ménagers moins pénibles
Pour ce qui est des formations, les femmes n’ont eu accès qu’aux formations relatives à
l’hygiène sans bénéficier des formations relatives au fonctionnement du service ;
De même pour la composante irrigation localisée, les femmes profitaient des formations
proposées sans pour autant accéder à la gestion des services. Aussi, elles n’ont pas pu
participer aux visites d’échanges : ni au salon d’agriculture de Meknès, ni à celles organisées
dans la région de SOUSS MASSA.
Il est attendu du projet qu’il favorise l’exécution ultérieure de projets similaires. Qu’il soit
source d’enseignements sur la pertinence des méthodes appliquées et sur les difficultés et
opportunités rencontrées lors de sa mise en œuvre. La capitalisation permettra de valoriser
le savoir-faire acquis au sein de la population bénéficiaire, ainsi qu’auprès des partenaires
locaux pour que les uns et les autres disposent d’outil nécessaire pour la reproductibilité du
projet.
Lorsque les usagers ont accepté de faire les démarches, puis de fournir un apport
conséquent, qu’il soit financier (achat des compteurs individuels) ou en nature (36 mètres
11
Rapport d’évaluation
Les rencontres sur le terrain ont montré que les usagers considèrent tous que les
systèmes construits par le projet appartiennent aux communautés, et reconnaissent aux
représentants de leurs associations la légitimité de la gestion (Cf. Entretiens N°1, 3, 5, 6 et
8).
3. Une formation a été assurée au profit de quelques représentants des associations, sur
l’équilibre financier du compte d’exploitation du service. Cet équilibre constitue un des
indicateurs de pérennité du système. Les charges d’exploitation (y compris entretien,
maintenance et renouvellement des équipements) entièrement recouvertes par le
recouvrement des factures est la première garantie de continuité du service. Toute
gestion du service de l’eau implique la constitution de provisions financières pour faire
face aux futurs renouvellements des équipements.
4. Le service de l’eau est pérenne aux yeux des usagers des deux villages, puisqu’il a
contribué à améliorer les conditions de bien-être de la population. Les bénéficiaires ayant
pris goût des conditions de vie améliorée, chercheront à maintenir leur acquis en matière
d’adduction d’eau potable, au niveau leur assurant ce bien être.
On ne peut, à ce niveau, parler de pérennité des actions pour cette composante, du fait
du non achèvement des travaux à la fin du projet.
Aussi, la non réalisation du troisième objectif relatif à cette composante, portant sur la
formation de 50 à 60 agriculteurs d’autres villages pour s’inspirer et assurer la diffusion de
l’expérience, n’améliore pas la capacité de cette composante à durer dans le temps.
12
Rapport d’évaluation
Il fallait procéder au changement du site du bassin, par la suite reprendre une autre étude
technique de dimensionnement. Cet état de fait avait pour conséquence d’accumuler un
retard sur l’avancement des travaux.
Sauf que les changements des modalités accompagnant cette modification, tardaient à
devenir opérationnels. Cet état de fait était à l’origine des retards accusés dans la
réalisation des travaux : puisque la société ERISEER refusait de lancer les travaux sans que
l’ORMVAD ne délivre une approbation préalable du dossier de subvention, et que
l’ORMVAD, vu ses contraintes procédurales, devait reprendre l’étude du dossier de
subvention.
Le projet s’est tout de même engagé à capitaliser l’expérience acquise à travers une
étude de cas reprenant l’ensemble des défis rencontrés au cours du projet et des
solutions mises en œuvre. Cette étude exposera les facteurs organisationnels de réussite
ou de difficultés d’un tel projet, les critères agro-économiques nécessaires à la conception
d’un système de gouttes à gouttes ainsi que les modalités techniques et administratives
de soumission d’un dossier de demande de subvention.
4. Conditions météorologiques
Les conditions climatiques très particulières de cette année (pluies jusqu’au mois de MAI),
étaient à l’origine des retards répétés pour le lancement des travaux d’installation du
système d’irrigation au site LAHMAMAT.
5. Compagne agricole
Une fois que l’approbation préalable pour le lancement des travaux a pu être délivrée,
elle ne permettait pas le lancement des travaux, du fait qu’elle a coïncidé avec une
compagne agricole qui était déjà avancée : les cultures étaient installées et donc
l’occupation des sols ne permettait pas le lancement des travaux de creusement et de
terrassement.
14
Rapport d’évaluation
L’expérience acquise aux deux villages de OUED TAINE et BOUGHLASS a permis au projet de
capitaliser les connaissances et de développer une méthodologie aboutie et de prévoir des
risques potentiels et les perspectives dans des projets futurs.
2. Pollution : l’adduction d’eau potable au niveau des foyers va conduire à une utilisation
accrue de l’eau qui serait à l’origine de quantités de plus en plus importantes en eaux
usées.
Comme les villages concernés ne disposaient pas de systèmes d’assainissement, la
situation était visiblement remarquable lors des visites prévues en évaluation :
écoulement des eaux usées longeant les habitations et odeurs nauséabondes.
Tous les bénéficiaires ainsi que les partenaires institutionnels du projet ont sollicité la
nécessité de prévoir un système d’assainissement dans les villages concernés, sinon la
population souffrirait d’autres risques liés à :
L’infiltration des eaux usées aux sources d’eau
Contamination des cultures si les eaux usées parvenaient aux champs
La santé de la population par la contamination des germes proliférant dans les
eaux usées
Il serait judicieux que les prochaines actions de WADA tiennent en compte cette
composante relative à l’assainissement des villages concernés par l’AEP.
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Rapport d’évaluation
X. RECOMMANDATIONS
3. Les risques liés à la pollution par les eaux usées, remettent en cause l’approche
environnement à laquelle tient le projet : toutes les actions futures d’adduction d’eau
potable devraient inclure la composante assainissement;
4. Pour une meilleure efficacité dans le temps prévu, il faudra inclure la prévision des
risques potentiels (en partenariat avec la population et les intervenants institutionnels
locaux) dans l’étude du projet.
C. Recommandations organisationnelles
16
Rapport d’évaluation
Il fallait prévoir deux projets bien différents, chacun dans une région, avec un objectif et
un chef du projet individualisés. Les gains pourraient être de nature à mieux se
concentrer sur un seul objectif et œuvrer pour sa réussite au lieu d’être partagé par des
déplacements interrégionaux très fréquents, et la nécessité d’encadrement sur différents
thèmes et avec différents animateurs.
Sur un autre plan, il serait judicieux que l’équipe de direction prenne le temps de mieux
chercher et cibler le personnel de départ pour palier à tout changement en cours de
route. En effet, le changement de l’équipe d’encadrement du projet était aussi à la
source des retards accusés ;
En termes de communication –qu’elle soit interne ou externe-, les moyens prévus par le
projet étaient d’une grande efficacité et ont permis la réussite des actions prévues. Il
serait tout de même judicieux de tirer leçons de certaines difficultés, citées ci-dessus dans
le rapport pour insister principalement sur deux volets :
o Institutionnaliser les partenariats : pour éviter des litiges éventuels, il faudra
mieux définir au préalable le rôle, les responsabilités et les délais à respecter
pour chacun des partenaires ;
o Communiquer précocement avec les bailleurs de fond surtout pour les
sensibiliser sur les problèmes rencontrés ;
Pour une meilleure efficience, le projet devrait tenir en compte la nature des terrains de
la zone d’action et prévoir –si nécessaire- des véhicules tout terrain pour un meilleur
accès en tout temps.
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Rapport d’évaluation
ANNEXES
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Rapport d’évaluation
GUIDE D’ENTRETIEN 1
19
Rapport d’évaluation
Préambule
Les entrevues constituent une des étapes de l’évaluation du projet d’alimentation en eau potable et
de micro-irrigation au Maroc. Elles visent à recueillir auprès des personnes concernées, les données
sur les actions réalisées du dit projet.
Les informations recueillies seront compilées et validées dans une deuxième étape dans un rapport
préliminaire qui sera complété par une analyse documentaire des rapports périodiques du projet.
20
1. Renseignements sur la personne consultée
Nom
Village
Commune rurale
Région
Téléphone
Courriel
Activité
Qualification
SAU totale
Irriguée
Bour
21
1. Quel changement a apporté le projet à votre vie sociale ?
£ Renforcement AUEA
£ Autres à préciser
£ Autres à préciser
£ Système de pompage
£ Système de chloration
£ Canalisations intérieures
£ Réservoir
£ Branchements domiciliaire
£ Compteurs
£ Autres à préciser
22
4)1
5. Avez-vous bénéficié d’une formation sur les thèmes suivant :
Thèmes oui non Niveau de
satisfactio
n
Fonctionnement des infrastructures
£ Autres à préciser
1
1 : pas du tout satisfait
2 : moyennement satisfait
3 : satisfait
4 : très satisfait
23
£ Renforcement des pratiques d’hygiène des enfants à l’école et à la maison
£ Autres à préciser
10. Vous sentez-vous capables de gérer les infrastructures montées par le projet après sa fin
A. Degré d’autonomie ?
C. Comment ? mécanisme
24
11. Quels effets positifs sur l’environnement ?
25
14. Y a-t-il d’autres réalisations qui n’étaient pas prévues au départ par projet ?
GUIDE D’ENTRETIEN 2
26
Objectif spécifique 2 : Améliorer les pratiques d’usage de l’eau des petits
agriculteurs dans des zones de production intensive afin d’augmenter leurs
revenus et d’assurer la durabilité environnementale.
Préambule
Les entrevues constituent une des étapes de l’évaluation du projet d’alimentation en eau potable et
de micro-irrigation au Maroc. Elles visent à recueillir auprès des personnes concernées, les données
sur les actions réalisées du dit projet.
Les informations recueillies seront compilées et validées dans une deuxième étape dans un rapport
préliminaire qui sera complété par une analyse documentaire des rapports périodiques du projet.
27
1. Renseignements sur la personne consultée
Nom
Village
Commune rurale
Région
Téléphone
Courriel
Activité
Qualification
SAU totale
Irriguée
Bour
28
Elevage Type effectifs
£ Autres à préciser
£ Autres à préciser
£ Station de pompage
£ Unité de tête
£ Canalisations principales
£ Canalisations secondaires
£ Porte rampes
£ Rampes
£ Diffuseurs
£ Autres
29
3. Êtes-vous satisfaits infrastructures montées par le projet (Notez la satisfaction de 1 à 4) 2
6. Avez-vous été supporté par le projet lors de votre démarche pour l’étude technique :
£ conception
£ estimation des coûts
£ Autres à préciser
2
1 : pas du tout satisfait
2 : moyennement satisfait
3 : satisfait
4 : très satisfait
30
£ Demande de subvention
£ Demande de prêt
£ Autres à préciser
Oui £ Non £
9. Vous sentez-vous capables de gérer les infrastructures montées par le projet après sa fin
Oui £ Non £
D. Degré d’autonomie ?
F. Comment ? mécanisme
12. Avez-vous été sensibilisé aux avantages et aux risques des installations d’irrigation localisée
sur l’environnement
31
Stagnation de l’eau lors des mauvaises installations
£ Salinité
£ Autres à préciser
B. Les femmes ont-elles bénéficiées des formations sur les techniques d’irrigation et
sur la gestion des infrastructures d’irrigation
14. Y a-t-il d’autres réalisations qui n’étaient pas prévues par le projet
32
TCCC/USAID Water and Development Alliance (WADA)
GUIDE D’ENTRETIEN 3
PARTENAIRES INSTITUTIONNELS
33
Préambule
Les entrevues constituent une des étapes de l’évaluation du projet d’alimentation en eau potable et
de micro-irrigation au Maroc. Elles visent à recueillir auprès des personnes concernées, les données
sur les actions réalisées du dit projet.
Les informations recueillies seront compilées et validées dans une deuxième étape dans un rapport
préliminaire qui sera complété par une analyse documentaire des rapports périodiques du projet.
34
2. Renseignements sur la personne consultée
Nom
Téléphone
Courriel
Qualité/Activité
Région
Organisme
Qualification
1. Objectifs du projet
Etaient-ils réalistes ?
Etaient-ils participatifs ?
35
Y Avez-vous facilement adhéré?
2. DEGRE DE SATISFACTION PAR RAPPORT AUX OBJECTIFS DE DEPART (Notez la satisfaction
de 1 à 4)3
4. COORDINATION
3
1 : pas du tout satisfait
2 : moyennement satisfait
3 : satisfait
4 : très satisfait
36
Fréquence des rencontres avec l’équipe du projet et avec la population cible :
37
5. QUELLES INFRASTRUCTURES A PU MONTER LE PROJET AU PROFIT DES POPULATIONS
RURALES
Objectif 1 Objectif 2 Niveau de satisfaction
(Notez la satisfaction de
1 à 4)4
Puits £ Bassin
d’accumulation
£ Unité de tête
£ Conduite d’adduction sous
pression
£ Canalisations
£ Réservoir principales
£ Canalisations
£ Réseau gravitaire de distribution secondaires
£ Portes rampes
£ Branchements domiciliaires
£ Rampes
£ Compteurs
£ Distributeurs
Raccordement des écoles à l’eau
£ Autres à préciser
Installations sanitaires dans les
écoles
4
1 : pas du tout satisfait
2 : moyennement satisfait
3 : satisfait
4 : très satisfait
38
o Construction
o Réhabilitation
o Installation des systèmes
d’assainissement
£ Autres à préciser
Oui Non
£ Sensibilisation à l’hygiène
£ Autres à préciser
39
8. LA POPULATION A-T-ELLE PU REINVESTIR ET PROFITER DE SES ACQUIS ?
F. Y a-t-il des femmes membres des bénéficiaires des infrastructures montées par le projet
12. PROCESSUS
41
13. A LA FIN DU PROJET, QUELS MECANISMES SONT MIS EN PLACE POUR LA
PERENNISATION DES ACQUIS
14. CONTRAINTES
Quelles sont les contraintes rencontrées durant l’exécution du projet (organisationnelles,
logistiques, et autres )
42
TCCC/USAID Water and Development Alliance (WADA)
43
EQUIPE PROJET
Préambule
Le groupe de discussion constitue une des étapes de l’évaluation du projet d’alimentation en eau
potable et de micro-irrigation au Maroc. Il vise à recueillir auprès des personnes concernées (équipe
projet : direction et animateurs), les données sur les actions réalisées du dit projet.
Les informations recueillies seront compilées et validées dans une deuxième étape dans un rapport
préliminaire qui sera complété par une analyse documentaire des rapports périodiques du projet.
44
3. Renseignements sur les personnes consultées
Avancement quantitatif
AEP
IL
Nombre des bénéficiaires formés aux techniques d’IL (part des femmes)
45
5. COLLABORATION AVEC LES PARTENAIRES
12. COMMUNICATION
5
1 : pas du tout satisfait
2 : moyennement satisfait
3 : satisfait
4 : très satisfait
46
Quels moyens ont été utilisés pour promouvoir les activités du projet
£ Formation /séminaires
£ Reporting
£ Journaux
£ Stand
£ Bannières
£ Logo sur véhicules et locaux du projet
£ Autres à préciser
Production documentaire
Etait-il réaliste ?
Etait-il participatif ?
47
Avez-vous facilement trouvé des alliés ?
15. PROCESSUS
48
Quel enseignement tirer de la planification et de la gestion du projet ?
Avez-vous pu le réaliser ?
Etait-il réaliste ?
17. CONTRAINTES
Quelles sont les contraintes rencontrées durant l’exécution du projet, y compris les contraintes
logistiques, sécuritaires ou internes à l’organisation
49
50