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BRUTALMASTER

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Introduction

Je suis rédactrice dans une revue spécialisée en SM & déviations sexuelles . Mon travail est de
trouver de nouveaux sujets… et sujets.

Le dominateur le plus extrême que j'ai jamais vue est certainement Maître KRYSS.

Maître KRYSS est un maître sadique, incroyablement cruel avec son cheptel de femelles.

Les images, les vidéos que j’ai vue, les séances auxquelles il m’a invitée montrent comment il
embroche les seins des filles puis se succèdent les corrections sanglantes, les infibulations, les
tortures électriques, le clouement des tétons, les tortures aux d'aiguilles, les injections mammaires et
beaucoup d'autres sévices.

Certaines de ses esclaves sanglotent de façon hystérique et crient « pitié » (autant vous dire qu’elles
n'en obtiennent pas).

Maître KRYSS appelle son donjon "L’enfer," pour ses esclaves il l’est certainement.

Tandis que la visite de « L’enfer » me laisse découvrir beaucoup d'accessoires fascinants, Le Maître
m’invite a commencer l’interview, son book de photo a la main.

J’espere que vous trouverez cet entretient aussi intéressant qu’il l’a été a vivre pour moi.

Bisous L ôuisa.
Entretient en ENFER.

Q. Quand vous êtes vous rendu compte que vous étiez un sadique ? Vos phantasmes ont-ils étés alimentés par le
cinéma la pornographie ?

A. En toute franchise, j'ai su tres tot que j'appréciai les filles soumises. Enfant J'avais l'habitude de proposer
beaucoup de jeux pour obtenir que les filles soient attachées aux arbres, baillonnées, souillées ou punie par des
gages . Naturellement, c'était avant de savoir ce qu'était un sadique. Surement qu’en grandissant, n'importe quelle
histoire ou film qui mettai en scene tel ou tel type de S&M ou n'importe quoi de semblable m’excitait. Je me souviens
de deux choses précisement qui on marqué mon enfance, la premiere etait un jeu de plein air du genre les cowboys
et les indiens en colo ; nous avions oublié une fille sur le terrain de foot, attachée pieds et poings liés dans le dos,
posée sur le ventre, la tête sur un ballon de plage, c’est moi qui l’avais retrouvée une demi heure plus tard … Je
m’etai masturbé devant elle, ejaculé et craché et uriné sur son visage… puis j’ai été marqué par les BD d’Elvifrance,
Sam Bot, Maghella… ces BD metaient en scene des viols, sevices et meutres sexuels.

Plus tard j'ai commencé la lecture des textes illustrés de Farrel, Stanton, Eneg, Bishop, les BD de Pichard.

Q.Quelle a été votre premiere experience BDSM ?

A. Comme je te l’ai dit, beaucoup de jeux impliquant des cordes, filles jouant les esclaves des garçons, jeux de rôles
etc…. Mais tout ceci n’étaient que des jeux sans reelle violence.

Ma première vraie expérience était étais au lycée. J'avais 15 ans, la fille en avais 12. Une jolie brune aux yeux noirs,
d’origine armenienne et deja formée, mince avec des gros seins, je l’avais surprise au gymnase, punie par sa prof de
danse, elle la faisait marcher nue a 4 pattes, prendre des poses obscenes, se doigter le trou du cul et avaient
terminées par un 69, j’ai vu le lendemain qu’elle suçait aussi son mari, prof de gym, et qu’elle etait consentante ; a
partir de ce moment j’entrait dans la danse, je l’obligeait a m’obeir, d’abord a porter des jupes et des chemisiers ou
des robes sans culotte ni soutient gorge… avant elle avait l’air d’un garçon manqué, complexée par ses mamelles
cachées sous des gros pulls ; elle devait me sucer et recevoir des coups de ceintures sur le cul, sucer mes copains,
lecher mes copines et servir de pissotiere.

Q. Avant que vous soyez devenu connu comme Maître, comment avez-vous recruté des
esclaves ?
A. Je ne sais pas si je suis connu, mais depuis cette experience au lycée, j'ai toujours eu
beaucoup de soumises ou d’ esclaves. Ca n’a jamais ete un problème pour moi. Je pense
pour deux raisons; d'abord, j’etait clairement très dominant que je suppose que cela attirais les
filles qui se savaient soumises, en second lieu, jeune, j’etait beau gosse et ca a surement
travaillé pour moi quand je dictait mes conditions aux novices.

Avant l'Internet, qui semble être la manière la plus pratique aujourd’hui pour recruter des filles
maso, je faisait des rencontres par des méthodes conventionnelles ; contacts sociaux, bars,
clubs, magasines et journaux d’annonces.

Quand j'étais au lycée et plus tard, étonnamment, les filles qui sortaient avec moi demandaient
s'il était vrai je les attacherait. Quand je leur disait « oui », la plupart avouaient simplement en
avoir toujours eu envie… c’est tres repandu en fait.

L’ important c’est d'être honnête. Les rapports SM sont des relations immobilisés, baillonées
ou les yeux bandés, l'honnêteté et la confiance est bien plus importante quand il y a des
fouets et des chaînes qui entrent en jeux. Etre extrêmement honnête, en premier lieu, avec
soi-même attirera ses semblables.

Q. Qu’est ce qui vous pousse a infliger de la douleur ?

A. Honnêtement, je n'ai jamais analysé ca.

Je crois vraiment que nous sommes programmés comme ça, dominant, docile, sadique,
masochiste. C’est vrai dans tous les milieux, tous les secteurs, mais certains ne le disent pas
clairement.

Ce que j'aime vraiment est le regard, les yeux d'une esclave quand elle le prend vraiment
conscience de ce que je lui fait. Umberto Eco a écrit que la seule chose qui stimule un animal
d’avantage que plaisir est douleur.

Depuis des milliers d'années, il y a très peu de personnes responsables et un bon nombre de
gens qui essaient juste de survivre. Genetiquement, être docile et pouvoir supporter la douleur
est d'un grand secours dans la survie. Quelques puissants ont abusés de ce fait.

Q. Vous frequentez la "communauté BDSM" ? Êtes-vous généralement accepté par cette


communauté, ou etes vous rejeté car trop hard ?

A. Je vais à quelques événements, mais peu, Quelques seances privées occasionnellement.


Les gens qui prennent le temps de me connaître sont étonnées de découvrir un type très
normal..

Je saisi cette occasion pour dire que j’ai été toujours ete étonné par la quantité de bigoterie et
d’esprits etroits dans le SM. Le grand public est très mal renseigné au sujet du SM. Que les
gens qui n'ont aucune expérience avec ce style de vie en aient une vue negative est bien
naturel mais si vous pensez que ceux qui pratiquent sont plus ouverts, c’est souvent une
erreur.

L’alcoolique a la biere ne critique t’il pas l’alcoolique au rhum ?

Q. Vous ne respectez pas de limites et vous n'employez pas de "code de securité" pour permettre a une soumise de
stopper une seance, c’est peu commun parmi les maîtres ?

A. Ce n'est pas exactement vrai, au sujet de ne pas respecter de limite. Je fais attention a la securité de toute
soumise potentielle même si je ne les laisse pas exprimer de limite. Et j'ai moi même quelques limites, tout doit être
esthetique. Il y a des limites inhérentes a chaque soumises, si elle a des carences physique indépendante de sa
volonté, j’en tiens compte. Vous ne pouvez pas suspendre quelqu'un qui est obèse par le cou, par exemple.

Le point important est que je ne permets pas à une femelle de discuter du fond, ceci la rendrai responsable d’ une
manière significative et serai un vrai probleme.

Je ne permets pas non plus les « safewords » ou les codes gestuels. Les soumises doivent rester des inferieures,
des sous femelles.Mais, il y a un autre motif plus important pour interdire les « safewords » : la confiance. Comme je
l'ai dit souvent, si vous êtes une chienne et vous devez avoir un code de securité vous mettez en doute la confiance
que vous devez avoir envers le Maître. De plus, dans des seances j'ai vu des sevices extèmes ou l’esclave avait un
« safeword » et ne l’a simplement jamais employé, d’autres ou les Maîtres ne l’ont pas entendu ont continué à
torturer. Les Dominateurs experimentés sont attentifs, lisent dans leurs esclaves et leur permettent de dépasser leurs
limites, des limites inconnues des soumises elles-memes. C’est galement très important de comprendre que les
chiennes qui viennent à moi sont habituellement très maso, ou au moins en ont la mentalité. Je mets également en
place des scènes d’initiation, jusqu'à ce que je connaisse le niveau de masochiste de la fille. Cela signifie vraiment
que je dois la connaître puis c’es a moi de décider de ce qu’elle peut supporter.

Je suppose que si ca me rend peu commun parmi les Maîtres, les salopes qui viennent à moi sont peu communes du
même coup.

Q. Qu’est ce qu’un accord "méta-consensuel" ?

A. C'est quand une esclave donne un consentement universel. Dans la plupart des cas, quand les Maîtres et les
soumises discuttent, ils assortissent les seances de négociacions point de point… donner une fessée mais pas le
fouet….Pas avec moi, c’est moi decide des limites de ces salopes, et qui les dépasse.

Q. Ainsi quand vous dites qu’une chienne ne peut pas "exprimer de limite" elle ne peut même pas en discuter avant
une scène ?

A. Non, pour la plupart. Mais si une salope a de l'asthme, qu'elle me le dise. Je demande si elle a des problèmes
médicaux que je devrais connaître . Mais, rappelez-vous, les chiennes qui viennent à moi savent ce qui les attends et
savent ce dont elles ont besoin, tellement même que le sujet des limites ne s'exprime même pas et n'est pas toute
une affaire comme vous le pensez. Et, comme vous le savez, je suis très honnete avec les soumises. Quand je dicte
mes règles a une esclave, si elle a un problème je suggère que nous en restions la.

Q : Y a-t-il une distinction entre exprimer une limite et implorer la pitié ?

A. Beaucoup de masochistes supplient, elles en ont besoin. Cela entre également dans la « lecture »d’ une chienne,
savoir ce qu'elle peut vraiment subir. Une des chiennes les plus masochistes que je n'ai jamais travaillées hurlait,
suppliait et pleurait pendant toutes les seances. L'instant d’apres elle me priait de recommencer encore hard.

Q. Je note que vos esclaves ont une grande variété d'âges et de types de corps, avez-vous une
préférence ?

A. Ma préférence est plus intellectuelle que l'examen médical. Je n'aime pas les salopes trop
dociles et trop belles sauf pour decorer et servir, mais celles-ci sont assexuées, excisées,
infibulées,steriles et doivent rester muettes. C’est beaucoup plus interessant de faire craquer
quelqu'un de fort. Pour les soumises trop dociles, j'ai toujours essayé de les aider à trouver leur
voix. J'insiste sur leur éducation et leur perfectionnement jusqu'à l’abnegation .

Q. Votre soumise attitrée s’appelle « porcine ». D’autres esclaves vivent-ils avec vous ?

Je n'ai pas d’autre esclave chez moi bien que je possède d'autres esclaves que j'essaye de voir
aussi souvent que possible. J'ai eu deux esclaves en même temps. Laissez-moi vous dire que ce
n’est pas facile de se couper en deux !

Q. Vous faites faire tout ce que vous voulez a vos esclaves, considerez vous vous certaines
d’entres elles comme votre fiancée ou petite amie ?

A. J’utilise mes esclaves a toute l'heure et comme bon me semble. Jamais en tant que petite
amie, ce sont vraiment juste mes choses. A quoi bon faire d’une salope une fiancée puisque
vous pouvez deja faire ce que vous voulez avec elle.

Q. J'ai noté que vous exigez fréquemment, quand une chienne vient vous rencontrer, qu'elle
s'habille comme un putain et porte beaucoup de maquillage. Quand vous sortez dehors avec une
de ces salopes, est- elle habituellement habillé de cette façon ?

A. Oui, a toute l'heure. Bien que, dans ce monde de sécurité intensifiée j'aie modifié les
conditions pour les voyages en avion, en train et aux frontieres. Par exemple, j'avais l'habitude
de faire venir les esclaves chez moi portant seulement un manteau en hiver, la chatte
lourdement cadenassée, évidemment ce n'est plus une bonne idée. Je leur dis maintenant d’en
faire un peu moins pour ne pas trop attirer l’attention..

Q. À quoi ressemble votre maison ? Là où est votre Donjon ?

A. Ma maison est regarder assez normale. J'ai un cachot dans un bâtiment contigu. Le donjon
est dans la partie plus inférieure du bâtiment, il y a également une autre pièce a l’etage où je fais
beaucoup de mes seances.

Q. Combien d'heure par semaine sont consacrées au BDSM ?

A. Ca dépend. C'est une partie de ma vie, et clairement une partie profonde de moi. Il y a des
périodes ou je n’ai pas d’esclave en pension, hormis porcine, en ce moment j’ai 4 salopes et
beaucoup d'activité. Il y a également des périodes où je suis occupé a d'autres choses.
Naturellement, mes esclaves sont toujours mes esclaves. Je dirais que j'ai probablement des
activités BDSM ½ journée chaque jour.

Q. Avez-vous des rapports sexuels avec toutes les femelles que vous travaillez ?

A. Non. Ce n'est pas du sexe.

Q. Cette réponse étonnerait un bon nombre de gens. Le but d'une scène n'est pas de réveiller
sexuellement le sadique et/ou le masochiste ? Que diriez-vous de votre première expérience SM
où la fille a jouie ? Est-ce que ce n'était pas du sexe ?

A.J'avais 15 ans…tout était du sexe a cette epoque !

Q. Le SM est-il du sexe approximatif ?

Y a-t-il une autre sorte de sexe qu’approximatif ? La réponse à celui est oui. Quand j'utilise une
esclave, ou n'importe quelle salope sexuellement, elle doit etre tres belle et cela implique
toujours des activités qui seraient considérées comme SM.

Q. Faites-vous jouir vous-meme vos esclave ? Ou l’esclave doit-elle toujours prendre son plaisir
elle mêle, quand vous lui permettez par la masturbation, les gods ou gouiner d’autres esclaves ?

A. Je crois que les esclaves sont ici pour le plaisir du Maître, et si elles sont de vraies esclaves
ceci leur donne naturellement du plaisir. Si vous voulez savoir si je permets à mes salopes des
orgasmes, la réponse est de temps en temps. Je ne permets pas à mes esclaves d'avoir des
orgasmes toutes les fois qu'elles veulent. Je vous l’ai dit certaines, trop dociles, sont rendues
frigides ou assexuées ou simplement privées de plaisir. Souvent sont seulement permises les
ejaculations faciales et de se frotter la chatte sur un coin de porte ou un pied de lit.

Q. Certaines des choses que j’ai vu semblent dangereuses. Comme forcer une salope a
boire de l’urine, manger des excrements, du vomis ou causer les blessures profondes par
piqûre ou embrochement. Est-ce qu’ une attention médicale est nécessaire en raison de la
punition ou torture a infliger ? Est-ce que c'est un souci pour vous ?

A.. C'est un grand souci pour moi ; une esclave morte ou handicapée…par beaucoup
d'utilisation ! Je ne suis pas de mèche avec la police et les esclaves, les sous-femelles et
les salopes qui viennent chez moi ne recherchent pas ca. Je m'assure que des mesures de
sécurité raisonnables sont prises. Exemple : quand j'embroche les mamelles d'une salope,
j'utilise des brochettes en acier inoxydable. Elles sont méticuleusement désinfectées avec
une solution non-toxique. Je m'assure que les plaies n'aient aucune infection et que la
chienne se soigne convenablement. Le risque majeur avec des perforations profondes de
tissu est l'infection il est important qu’il atténuée autant que possible. De plus je n’injecte
dans les nichons et le gras de la chatte que des liquides steriles comme du collagene et des
solutions salines UHT.

Boire de la pisse n’est pas dangereux, l’urine est sterile, sauf en cas de syphilis bien
sur. ..Le degueulis non plus n’est pas dangereux, pour le scato il vaux mieux que la truie soit
vaccinée contre l’hepatite.

Pour assurer la securité de mes esclave ; J’ai un extincteur et un coupe-boulon dans mon
donjon. Si vous faites une scène dans une salle d'hôtel, obtenez une clef supplémentaire et
cachez-l'en dehors de la chambre au cas ou vous serriez enfermé du mauvais coté de la
porte…

Q. En voyant les images de coups tres violent, fouet, paddle, nerf de bœuf, j’ai eue du mal a
croire que les chiennes saignent autant. Quelle est la conséquence de cela ? Comment la
salope arrête-t-elle les saignements, pour se rhabiller et rentrer chez elle ? Combien de
temps avant qu'elle puisse s'asseoir ?

A. Le fouet que tu m’as vue utiliser est le plus dangereux que j'ai jamais utilisé, il était assez
remarquable. Ce fouet pèse environ 5 ou 6 kg, Il a neuf queues, mais elles sont en cuir
épais et elles sont maintenues écartess par d'autres bandes de cuir. À l'extrémité de chaque
queue est un embout en métal qui a deux pointes, elles ressemblent a des ongles.. Quand je
fouette une chienne, c’est beaucoup plus joli de le faire a pleine force. Avec ce fouet, je dois
vraiment être plus mesuré.

Il faut mentionner que la salope que j'ai battu avec ce fouet est une masochiste extrême,
qu'elle peut prendre une quantité incroyable de coups. Quand je l'ai torturée avec le fléau,
elle était assez immobile, et je l'ai maintenue par les cheveux.

Le premier coup l’a zebrée de sang, et chaque coup suivant, probablement cinquante en
tout. Je pouvais voir que le sang commençait déjà à coaguler longtemps avant j’ai fini de la
torturer. Je crois que vous pourrez voir ca dans la vidéo. Quand j'ai finalement fini de la
battre elle s’est agenouillée cul en l’air. Le saignement de cette salope s’etait arrété, et je
pouvais voir qu'il commençait déjà à figer.

Un moment plus tard je lui ai demandé de me décrire les sensations de ce fouet, et à elle l'a
dit tendrement qu’elle sentait plumée comme un poulet. C’est a ca que son cul ressemblait.
C'est un fouet étonnant.

Q. Ce fleau, aussi terrible que a regarder, n'est pas réellement le plus douloureux
instrument dans votre arsenal ?

A. Le fléau a certainement le potentiel d'être l'outil le plus douloureux. Mais, vraiment, il


dépend de la masochiste et de ses facultés. Pour certaines, le son mat d'un battoir en bois
est plus douloureux bien plus que les stries découpées d'une trique en bambou ou d'une
canne ; pour d'autres chiennes, c’est l’inverse. Je connais des salopes qui implorent une
pleine flagellation de tout le corps avec n'importe quel type de fouet, mais qui paniquent
devant une petite aiguille dans le mamelon, il faut trouver la bonne réponse pour chacune de
ces truies.

Q. Je suis fasciné par "doggy," cette chienne qui déclare sur son propre site Web qu'elle
n'est pas une maso mais qui vous laisse clouer ses nichons sur un treteau. Y a-t-il une
distinction entre les chiennes maso qui sont réellement excitées par la douleur et les salopes
soumises qui ne le sont pas ? Et si une femme n'aime pas la douleur pourquoi s’y soumet-
elle ?

Le A. doggy est une chienne très spéciale, elle m’appartient, elle n'est pas maso, mais elle
est d’une docilité extraordinaire, elle est vraiment brillante et extrêmement créatrice. Je
pense que sa capacité a se soumettre dépasse son vrai désir d'éviter la douleur.
Il y a une distinction entre les truies maso et les salopes soumises.. Mais beaucoup de
soumises supporteront la douleur pour démontrer leur soumission. En effet, je crois que la
plupart des masochistes apprécient en particulier la douleur réelle, bien que certaines
semblent plutot aimer la fierte de supporter la douleur, les endorphines qui viennent de la
douleur. J'ai lu qu'elle est apparentée à un narcotique, et elle peut agir sur une salope
masochiste beaucoup plus longtemps cette n'importe quelle drogue. C'est un besoin de
beaucoup de chiennes.

Q. Encouragez-vous des activités lesbiennes entre vos esclaves ?

A. Encouragez, c’est une manière intéressante de le dire. J’encourage n'importe quoi avec
mes esclaves, je leur dis ce qu'elles doivent et devrons faire. Personnellement, si une
esclave n’est pas bisexuelle je la met d’office au service d’une autre femme pour l’humilier.
J’encourage cette autre femme a avilir la chienne par l’uroscato et le fist.

porcin n'est pas Bi , ainsi en l'ayant fait lécher la chatte et le cul une autre chienne j’ai
renforcé sa soumission. J'aime ca, et je trouve cette methode très efficace en lui rappelant
et en renforçant son esclavage..

Q. Détestez-vous des femmes ? Quelle explication supposez-vous qu’un psychologue


pourrai donner concernant vos inclinations ?

A. Je ne déteste certainement pas des femmes. Rappelez-vous, tout ce que je fais est
consensuel. Si je détestais des femmes, ce ne serait pas le cas. Je regardais un site Web
avec des filles maltraitées l'autre jour, et il y avait une liste des choses à observer chez les
dominateurs abusifs, et curieusement, aucun d'eux ne s’appliquent à moi. Si une chienne
masochiste vient à vous et demande, “me fouetterez-vous, me batterez-vous, me torturerez-
vous,” êtes-vous un sadique si vous vous y mettez ?

Je sais que l'association américaine de Psychiatrie ne considère pas le SM comme étant


une aberration. Leur vue est que certains entendent le sexe différemment. Je suis d'accord
avec ca.

Q.Quand avez vous commencé les films et photo ?

C’est une longue histoire, mais essentiellement, c’est pour vulgariser mon art, montrer ce qui
est possible et faire des émules maso . Mes esclaves, et les salopes qui viennent à moi sont
une toile et ont besoin d'une galerie.

Q. Le BDSM est votre art et votre donjon est une galerie. Vous réalisez, bien que, que des
hommes et femmes peut-etre se masturbent probablement tout en regardant votre art ?

A. C’est bon pour eux. L'art devrait évoquer quelque chose. Pour moi, vraiment c’ est la
définition de l'art, une expression qui provoque une certaine réaction du téléspectateur ou de
l'auditeur.

Q. Comment les choses ont-elles changé pour vous depuis que vous etes devenu bien
connu ? Les femmes vous approchent-elles pour obtenir principalement des relations SM ?
Les hommes vous approchent-ils voulant participer ou observer une seance ?

A. Oui, les deux, mais pas de la manière que vous croyez. Beaucoup de chiennes me
contactent, mais pour bon nombre d'entre elles, c'est un fantasme qu'elles ne pourront
jamais accomplir. Quelques hommes m'approchent pour m'observer torturer une chienne, ou
pour me livrer des salopes ; j'ai permis à quelques uns de faire cela, d'ailleurs.

Je suis réellement très disponible. Un bon nombre de gens me contactent pour un conseil
que je suis très disposé à donner.

Q. Dans votre article "aucunes limites" vous dites que vous indiquez a vos esclaves des
gages a accomplir : " va sucer un chien" par exemple. Avez-vous incorporé réellement des
chiens à une seance ?.

A. Vous avez lu l’articles ? Oui bien sur, en fait j’avais completé le gage puisqu’elle devait
aussi pratiquer l’uroscato avec un chien mais ce n’est pas dit dans cette article.

Q. Certains de vos esclaves sont très stoïques et peuvent prendre beaucoup de punition
sans pleurer , alors que d'autres crient et pleurent et prient. Que préférez-vous ?

A. Je n'ai aucune préférence. Je sais que la plupart des personnes qui regardent mes videos
préférent une salope qui crie, mais la réalité est, beaucoup compliqué, j’aime
particulièrement les maso polies, bien élevées et silencieuses… jusqu'à ce que j’ai atteint et
franchis leur limites, leur hurlement est alors comme une cris de jouissance, une delivrance.

Q. Avez-vous jamais acheté, ou vendu, avez-vous commercé ou avez-vous donné une


esclave ?

A. Oui.

Q.Avec des consignes de traitement ?

A. Non.

Q. Je vois que vous torturez des esclaves pour votre propre amusement et pas
nécessairement en tant que "punition." Mais vous punissez également des esclaves pour
avoir violé des règles. Pourquoi une esclave craidrait-elle une "punition" si elle sait qu’elle va
l’obtenir d'une manière ou d’une autre ? Faites-vous quelque chose de différent ou plus
grave pour la punition puis quand vous les battez juste par soumission, pour votre propre
plaisir ?

A. Je torture des esclaves pour mon plaisir. En toute honnêteté, je dois rarement punir une
salope. Je ne donne rarement non plus de raisons “ pour punir une chienne, comme le font
certains. Vous voyez ce que je veux dire, posez à une truie une question du genre : ‘ de
quelle couleur est le ciel,’ elle répond ‘ bleu,’ et le maître dit, ‘non, il est vert ’ et puis la bat
pour mauvaise réponse… c’est pas mon truc, je la torture parce que c’est une salope !
point !

Si une chienne me contrarie, la punition n'est pas corporelle. Je l'ignore et je la laisse seule
pour reflechir a ce qu’elle veut que j’en en fasse ou, dans certains cas, elle devient un objet,
sterilisée et/ou excisée avant d’etre vendue comme bonniche. C’est énergique, mais c'est la
punition finale pour une chienne.

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