Mise en Contexte

Université GOC
UGOC, Nazon, Impasse alouette, ave Martin Lutherking
 Encadreur d’étude projet:
PLAN DE GESTION June 22

ENVIRONNEMENTAL DU
CAMPUS UNVERSITAIRE
GOC
2021
 Préparé PAR :
Ing. Paul Nikenson CHARLES GESTION DE
Ing. Ricardy JEAN-PHILIPPE L’ENVIRONNEME
Ing. Jean Edmon JEAN BAPTISTE
Ing. Wildjy DESRUISSEAUX NT
James METAYER, Ing.-Agr.
Avant propos
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Plan de gestion environnementale basé sur le reboisement du Campus Universitaire GOC
« L’Ingénieur ne peut pas se permettre de faire n’importe quoi quand la vie des gens est parfois
menacée »
C’est dans cet optique, nous sommes engagés en tant qu’ingénieur civil à l’étude d’un projet de
gestion environnemental, en effet notre devoir est d’étudier la faisabilité du projet et les
diverses aspects qui rentrent.
Le sujet qui sera mise au point concerne le reboisement du Campus Universitaire GOC.
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Remerciement
Ce projet est réalisé par une équipe solide et dynamique d’ingénieur, malgré de difficultés et
problèmes rencontrés, nous arrivons au bout, Alors un remerciement spécial revient a vous
messieurs : CHARLES, JEAN BAPTISTE, JEAN PHILIPPE, DESRUISSEAUX, qui ont sacrifié
durement leur temps et moyen pour la réalisation de ce dit document, messieurs l’ambiance de
travail a été formidable.
On n’aurait pas passé sous silence sans remercier le Grand architecte de l’univers, qui de sa
part, nous a fait grâce, il nous a prêté la vie, la sante, il nous a protégé tout au long du chemin
parcouru.
Nous remercions de façon chaleureux le professeur James METAYER, notre tuteur des notions
gestion de l’environnement, Il échange avec nous sa compétence, ses expériences cela nous
donne du courage.
Merci a tous!!!
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SOMMAIRE
1 Mise en contexte............................................................................................................................6
1.1 Problématique.............................................................................................................................6
1.2 Objectif de développement.........................................................................................................7
2 Description de la zone d’étude.......................................................................................................8
2.1 Description du projet...................................................................................................................8
2.2 Géographie / Localisation et relief...............................................................................................8
2.2.1 Géographie..........................................................................................................................8
2.2.2 Localisation et relief.............................................................................................................9
2.3 Structure sociale........................................................................................................................11
2.4 Composition biophysique..........................................................................................................14
Végétation.................................................................................................................................................14
La végétation est très présente ; on se retrouve dans une zone rurale avec une alternance de plaines
et de montagnes. Beaucoup de grands arbres fruitiers : manguiers, palmiers, avocatiers, amandiers,
arbres véritables, chênes, cocotiers etc. sont observés des deux côtés de la route. Des parcelles
cultivées (bananiers, maïs, pois, sorgho, patate, etc.) et des bayahondes, sont également observés le
long de la route.....................................................................................................................................14
Relief........................................................................................................................................................14
Source Matelas est un lieu habitée en Département de l’Ouest, Haïti, ayant le code région
(Americas/Western Europe. Source Matelas est située à 94 mètres d’altitude....................................14
Hydrographie.........................................................................................................................................15
Climat...................................................................................................................................................16
3 Description des activités du projet................................................................................................16
3.1 Les actions.................................................................................................................................17
3.2 Mécanisme................................................................................................................................17
4 Déterminations des effets négatifs probables...............................................................................18
5 Description des mesures à prendre durant l’exécution du projet.................................................18
5.1 Identification de la zone de reboisement..................................................................................18
5.2 Etude préalable sur la productivité économique des terres dégradées.....................................18
5.3 Construction de la base des données........................................................................................20
5.4 La mise en place des pépinières................................................................................................21
4|Page
5.5 L’exécution des aménagement et des plantations....................................................................21

5.6 Le suivi des plantations le contre qualité et le contrôle des engagements................................21
6 Description des mesures à prendre durant l’exploitation.............................................................21
7 Description des dispositions nécessaire a la mise œuvre de ses mesures....................................23
7.1 L’identification des zones perturbes dans la foret naturelle et artificielle.................................25
7.2 L’étude des essences.................................................................................................................25
7.3 Le soin des plantes a la pépinière.............................................................................................25
7.4 La présentation des terrains de plantation................................................................................26
7.5 Dégagement terrain de plantation :..........................................................................................26
7.6 Création des trous pour la plantation :......................................................................................26
7.7 La mise en terre des plantes dans les parcelles de restauration :..............................................26
7.8 Le regarnissage des trous vides.................................................................................................26
5|Page
1 Mise en contexte
1.1 Problématique
La situation de l’environnement en Haïti est plus que préoccupants. Haïti est un pays en
perte de sa biodiversité, cause de plusieurs catastrophes naturelles ; érosions, pollution
atmosphérique, perte de l’oxygène, etc.
En 2004, on estimait que : « le taux de reboisement est quatre fois inférieur à celui du
déboisement. C’est-à-dire pour quatre arbres abattus, les Haïtiens en plantent seulement un »
(Haïti Press Network, 2004).
La situation environnementale d’Haïti est alarmante, on observe une décroissance en terme

de forestation, de 95 % estimait en 1492, la couverture végétale chutait de 50 % en 1791 à 20 %
en 1956, de 20 % en 1956 à 9 % en 1972 jusqu'à 2.3 % en 2000. Selon Churches (2014), le taux
de la couverture végétale des Haïtiens est estimé à 32.3 % en 2011.
HAITI REPUBLIQUE
DOMINICAIN
Après 1804, le déboisement allait prendre une allure dévastatrice. Repris sur le site bureau
des mines. Tout au long de l’histoire haïtienne il y eut deux sortes de déboisement : un
déboisement parasitaire d’origine urbaine, et un déboisement fondamental d’origine paysanne.
Le premier s’est surtout manifesté par des coupes massives de bois d’œuvre et de bois
tinctoriaux destinés à l’exportation (acajou, campêche, etc.) qui se sont poursuivis pendant
environ un siècle jusqu’à épuisement quasi total des réserves. En 1887, les exportations de
campêche (140 000 tonnes) se tenaient au premier rang avant même les exportations caféières.
À partir de l’époque de la première guerre mondiale l’exportation de bois a pratiquement

cessé mais le déboisement d’origine urbaine a persisté au profit de la fabrication de la chaux, du
charbon de bois, pour l’alimentation en combustible et en madriers des chemins de fer des
6|Page
plaines de l’Artibonite et du Nord, pour les besoins de la construction (bois d’étayage et bois
d’œuvre) pour les usines de poteries et briqueteries et pour l’alimentation des guildives. Le
déboisement d’origine paysanne a comme origine l’extension de la petite exploitation agricole à
cause de la démographie. (Jean André Victor, 1997).
En Haïti, malheureusement certaines des fonctions mentionnées plus haut prennent le pas
sur d’autres. C’est le cas en particulier de la fonction économique. En effet, la production de bois
pour la combustion est considérée comme le principal rôle économique des arbres en Haïti. Le
bois sous forme directe ou transformé en charbon satisfait 72 % des besoins énergétiques du pays
estimé à 2 millions de tonnes équivalent en pétrole (TEP). Cette pratique énergétique constitue
l’une des principales causes de déboisement des montagnes avec toutes les conséquences que
l’on connaît.
La situation précaire et fragile de notre environnement nous amène à réfléchir et de doter

notre environnement d’un plan de gestion environnemental durable basé sur le reboisement.
1.2 Objectif de développement

Protéger l’environnement c’est notre devoir, la déforestation c’est la source de nombreux
problèmes.
La déforestation a
entraîné l'érosion du sol,
ce qui a diminué les
rendements agricoles et
entraîné des glissements
de terrain meurtriers en
raison des pluies
diluviennes qui ravinent et
déferlent faute d'avoir été
absorbées ou au moins
freinées par la nature
environnante.
L'environnement naturel dans les villes est écrasé par la présence de l'homme et souffre du
manque d'assainissement. De vastes bidonvilles, en particulier autour de la capitale, Port-au-
Prince, sont peuplés de personnes vivant dans la misère et l'insalubrité. La nature recule
profondément face à la surpopulation urbaine et péri-urbaine.
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La déforestation entraine aussi l'émergence et l'apparition de zones arides, alors que dans une
période récente, ces zones, situées en zones climatiques tropicales, étaient fortement arrosées par
des précipitations régulières. Sur la côte, les terres reculent encore plus vite face à la mer,
victimes de cette forte érosion des sols.
Environ 65 % de la population Haïtienne dépendent de l’agriculture. Mais le secteur agricole,

en raison des difficultés auxquelles il fait face, n’arrive pas à satisfaire les besoins ni des
agriculteurs ni du reste de la population. Selon le FAO, sur les cinq millions d’Haïtiens qui
vivent en milieu rural, trois millions sont en situations de grandes difficultés. La Banque
Mondiale, pour sa part, estime que 80 % de la population rurale vit dans la pauvreté.
Dans le document de stratégie rationnelle pour la croissance et la réduction de la pauvreté, on

lit qu’en 2001, 56 % de la population haïtienne, soit 4.4 millions d’habitants sur un total de 8.1
millions, vivait en dessous de la ligne de pauvreté extrême, c’est-a-dire avec moins d’un dollar
par jour par habitant.
2 Description de la zone d’étude
2.1 Description du projet

Le présent projet consiste à présenter une étude sur la biodiversité. C’est-à-dire une étude
basée sur le reboisement d’un campus universitaire.
En se basant sur la
perte de la biodiversité de
notre pays, Haïti, notre
objectif consiste à renforcer
la couverture végétale du
pays, tout en faisant du
campus un espace vert qui
améliora notre perte de
biodiversité en Haïti.
8|Page
2.2 Géographie / Localisation et relief
2.2.1 Géographie
Departement Ouest
Commune Commune de Cabaret
Section Communale 3ème Sect. Source Matelas
2.2.2 Localisation et relief
La localité de Titanyen fait partie de la commune de Cabaret, plus précisément

la section communale de 3e Source Matelas. Le présent projet se situe dans la zone
de Source Matelas, route Nationale 1. Le projet d’étude constitue à représenter une
étude sur le reboisement du Campus Universitaire GOC.
La zone est répertoriée selon les coordonnées suivantes :
 Latitude : 18,7224°
 Longitude : - 72,3751°
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 Altimétrie (Altitude) : 69 m
Source : Google Map
Le Campus Universitaire GOC fait environ 180,54 m2 soit environ
10 | P a g e
2.3 Structure sociale

Caractéristiques générales de la sectionhaut
Pourcentage des ménages vivant de l'agriculture 75 %
Poids de l'immigration Moyen
Poids de l'Emmigration Faible
Principale destination interne Port au Prince
Principale destination externe Rep Dominicaine
Topographie dominante de la section Plaine cotiere
Caracteristiques agricoles de la sectionhaut

Utilisation des terres Pourcentage Evolution depuis 5 ans
Terres agricoles utilisées/ à la superficie de Augmentation de plus de
40 %
la section 10%
Terres agricoles irriguées/ à la superficie Augmentation de plus de
20 %
agricole utilisée 10%
Terres agricoles abandonnées/ à la superficie 5% Augmentation de plus de
11 | P a g e
de la section 10%
Dégradation des
Pincipale raison d'abandon des terres
sols
Elevagehaut
Elevage Effectif Evolution depuis 5 ans
Bovins De 100 a 500 Diminution entre 0 et 10%
Caprins De 1000 a 2000 Diminution entre 0 et 10%
Ovins De 100 a 500 Diminution entre 0 et 10%
Porcins De 1000 a 2000 Diminution de plus de 10%
Equins De 100 a 500 Diminution entre 0 et 10%
Ruches 1 Diminution entre 0 et 10%
Principales productions agricoles de la section
Cantaloups, melon France Maïs Sorgho / petit mil
Bananes & plantains Tomates Pois inconnu
Etat de l'environementhaut
Principales destination des ordures Eparpillées dans la

menagères nature
Importance de la coupe de bois Forte
Risques naturels et intempéries

Risque Frequence Gravite
Eboulement Courant Pouvant occasionner des dégats
Enravinement Courant Pouvant occasionner des dégats
Glissement de terrain Courant Pouvant occasionner des dégats
Pollution de l'eau Courant Pouvant occasionner des dégats
Ayant occasionné des dégats
Inondation et rivières en cru Courant
importants
Fréquent à un niveau Ayant occasionné des dégats
Grande sécheresse
localisé importants
12 | P a g e
Fréquent à un niveau Ayant occasionné des dégats

Salinité du sol
localisé importants
Carrières en exploitation (roches, Ayant occasionné des dégats
Courant
sables,etc) importants
Eau et éléctricitéhaut
Nombre de puits artésiens 1
Nombre de fontaines publiques 6
Pourcentage des ménages de la section
0%
ayant accès à un réseau d'eau potable
Principale source d'eau potable utilisée Source
Pourcentage des ménages de la section
De 50 a 75 %
ayant accès au réseau du courant éléctrique
Accès aux infrastructures et aux services de basehaut

Distance de la localité
Opérationnalité du principale
Infrastructures Existence au sein de
service de la section au lieu le
et services de base la section
au sein de la section plus
proche possédant ce
Unité sanitaire Oui Oui
Pharmacie Non 10
Ecole Primaire Oui Oui
centre ou programme
Non 10
d'alphabetisation
Institution secondaire Oui Oui
Ecole professionnelle et
Non 10
technique
Bureau de poste Non 10
Bureau d'etat civil Non 10
Tribunal de paix Non 10
Station d'essence Non 10
Telephone fixe Non 10
Internet (Cybercafe...) Non 10
Espace sportif amenage Non 10
Couverture de téléphone Inexistante
13 | P a g e
cellulaire
Unités de transformation et artisanathaut

Unités de transformation et
Nombre Unités de transformation et artisanat Nombre
artisanat
Moulin de maïs(et/ou de sorgho) 0 Cassaverie(moulin de manioc) 2
Moulin de riz 2 Moulin d'arachide ou pistache 1
Moulin de canne-à-sucre (Guildive) 2 Unité de distillation 2
Unité de stckage, de conservation et de
Unité de transformation de Café 2 2
cinditionnement
Autres unités de
2
transformation (fruits,lait,...)
Principaux marchés de la sectiionhaut

titanyen
14 | P a g e
Hydrographie
Le réseau hydrographique
15 | P a g e
Le tronçon Titanyen–Saut-d’Eau compte deux rivières importantes Bretelle et

Latem, d’autres cours d’eau sont également observé au niveau de la localité de
Beauget, de K-Michel et K-Tipè.
16 | P a g e
Climat
Source Matelas connait le climat de savane. Il fait chaud tous les mois
avec une saison sèche et une saison humide. La température moyenne
anuuelle pour la Source Matelas est de 29° degrés et 788mm de pluies tombe
en une année. Il fait sec pendant 120 jours par an moyenne avec un taux
d’humidité estimé à 75 % et un indive UV 6.
Moi Jour Soir Précip. Jrs de Jrs secs Hrs de Force Indice
(° C) (° C) (mm) pluie soleil du vent UV
en Bft
Janvier 30 ° 19 45 14 17 9 2 6
Février 31 ° 20 53 13 15 8 2 6
Mars 30 ° 22 90 20 11 9 2 5
Avril 31 ° 24 141 25 5 8 2 6
Mai 31 ° 24 254 27 4 9 2 6
Juin 33 ° 24 195 24 6 9 2 6
Juillet 34 ° 24 208 27 4 9 2 6
Aout 33 ° 24 221 26 5 9 2 6
Septembre 33 ° 24 214 25 5 9 2 6
Octobre 32 ° 23 195 25 6 9 2 6
Novembre 30 ° 21 159 21 9 8 2 5
Décembre 30 ° 19 48 12 19 9 2 6
3 Description des activités du projet.
Le projet constitue a doté le Campus Universitaire GOC d’un plan de gestion

environnementale basé sur le reboisement. L’une des plus grands problèmes des Haïtiens est la
gestion de son environnement. L’environnement c’est notre vie, nous devons le protégé.
17 | P a g e
Reboiser les montagnes permettra de protéger les sources d’eau et de prévenir les glissements
de terrain.
En Haïti, les adverses provoquent souvent de graves inondations, avec leur lot de victimes et
d’importants dégâts matériels. La principale cause tient à la dégradation de l’environnement.
3.1 Les actions

Pour arriver a doté le Campus Universitaire GOC de ce plan environnementale l’équipe
d’étude a fait choix de la plantation des arbres, selon une étude qui va être élaborée en fonction
du sol et d’autre paramètre jugé utile.
3.2 Mécanisme
Pour parvenir à planter les arbres, bon nombre de technique mécanique et de matériels sont
indispensables. Car la faisabilité du projet requiert d’une part l’approvisionnement en plantes et
d’autre part les outils mécaniques/ manuels et les ressources humaines.
Deux stratégies vont être mises en œuvres par l’équipe d’étude pour rendre faisable ce
projet. On sait que chaque arbre planté c’est gagné et sauvé des vies, car les arbres se sont les
poumons de notre planète.
Sur ce, pour les ressources humaines, un plan de campagne s’est lancé auprès des étudiants
pour nous aidés à plantés les arbres et nous avons jugés utiles d’avoir des personnes pour
l’arrosage et le nettoyage des arbres.
L’étape de plantation des arbres requiert un outillage précis. Pour aménager le terrain, une
bêche ainsi qu’une fourche bêche pour les sols argileux et caillouteux. Du terreau et sa pelle pour
manipuler facilement un grand seau pour tremper la motte de la plante avant plantation.
Les outils manuels peuvent être résumés ainsi :
 Tarière manuelle
 Pi croix
 Machettes
 Arrosoirs
 Perles, etc.
18 | P a g e
4 Déterminations des effets négatifs probables
Pour parvenir à rendre faisable le projet c’est tout d’abord diminué les effets négatifs de
manière à rendre rentable économiquement et financièrement.
Tous projets sont engendrés par des effets qui peuvent amenés à des échecs en termes de
dépenses et de besoins. L’une de nos plus grands effets peut être la disponibilité à temps de l’eau
pour l’arrosage, l’approvisionner a temps voulu les plantules.
Pour diminuer les risques, l’équipe de pilotage va prendre des mesures et menés a bien le projet.
5 Description des mesures à prendre durant l’exécution du projet.
Pour son exécution, on prendra les leçons apprise des activités de reboisement réalisées dans
l’espace « du campus universitaire GOC » avec l’appui du membre de l’administration GOC en
vue de céder la possibilité de réaliser ce projet. L’approche intégré et participative utilisée
pendant les processus de planification et d’exécution du projet, ne s’est pas uniquement faite
entre les institutions impliquées, mais aussi entre les bénéficiaires dans les zones avoisinantes.
La participation des acteurs ainsi que pendant l’exécution pour garantir l’appropriation du projet
et pour pouvoir les capacités de tous les intéressés. A cet effet, le projet prévu la réalisation de
rencontre. Ateliers et les parcours clés situes dans l’aire de la rivière grise.
5.1 Identification de la zone de reboisement

Le diagnostic du milieu est fait de manière conjointe avec la population autour d’une
maquette. La zone agro écologie apparaît clairement sur cette maquette. Des rencontres avec des
instants concernées de l’université GOC et les autorités locales afin de former une comite de
« pilotage » permettent d’atteindre un consensus quant aux zones propices au reboisement. Ce
projet va réaliser sur toute l’espace de l’université. L’espace est délimitée et mesurée à l’aide
d’un GPS, et les espèces à planter peuvent préciser en fonction des observations de terrain.
5.2 Etude préalable sur la productivité économique des terres dégradées

Afin de pouvoir calculer l’aide financière à fournir aux paysans, une étude préalable est
effectuée pour connaitre les revenus moyens dégagés sur les terres dégradés des zones agro
écologie.
Le choix espèces et les strates pédoclimatiques
Le choix des espèces se fait en 5 étapes :

19 | P a g e
1. Focus groupe dans la communauté pour connaitre les préférences aux membres
administratives du « campus universitaire ».
2. Précisions des espèces pour des variétés économiques intéressantes ou d’intérêt.
3. Définition de strate plus ou moins homogène pour la répartition de ces espèces en

fonction des préférences pédoclimatiques.
4. Lors de la première visite du site a reboisé, le choix des espèces prévues dans la
définition des strates.
5. Lors des réunions organisées avec l’ensemble des membres de l’université GOC, un
choix des espèces est une dernière fois rediscuté.
Strate Espèces Espèces Préférence Intérêt de la

dominantes secondaires pédoclimatiques strate
Strate altitude Tous types de

sols c’est surtout
la pluviométrie
qui importe
Forestiers avec Adaptes sur sols

eucalyptus rocheux et
dominant calcaires.
Eucalyptus
s’implante bien
sur les sols
dégradés.
eucalyptus a
planter vers les
sommets des
montagnes, zones
des plus
dégradés. Peut
être présent a lus
base altitude,
mais toujours au
20 | P a g e
sommet.
Forestier Cèdre, acajou Casuarina

eucalyptus non supporte les sols
dominant secs et dégradés.
Eucalyptus sur
les sols dégradés.
Les autres
espèces plutôt sur
sol moyennement
dégradés. Cèdre
sensible au vent a
évité les
sommets.
fruitiers Manguier, Eviter les sols

citronier, trop pauvres et
avocatier dégradés. Les
fruitiers sont plus
exigeants pour
les types de sols,
donc plutôt dans
les bas de pente
5.3 Construction de la base des données

Une fois la zone délimitée, un travail d’identification des parcelles et de leur propriétaire est
indispensable. Ce travail est fait à l’aide d’un « GPS » par des représentants locaux des
organisations de base qui ont suivi une formation spécifique pour la manipulation des GPS.
La construction de la base de données se fait en trois temps :
 Délimitation des parcelles a reboisé, avec l’identification de leur propriétaire et du type

d’aménagement antiérosif a pratiquer. Enregistrement des données dans l’ordinateur.
 Création de la table de donnée correspondante. Chaque entre de la table correspond à une

parcelle et donne l’ensemble des renseignements utiles.
 Dessin et intégration de parcelle à un logiciel SIG (système d’information géographique)

en lieu avec la table de donnée.
21 | P a g e
5.4 La mise en place des pépinières

Les plantules qui serviront au reboisement sont directement produites dans la communauté.
Le temps en pépinière peut varier en fonction des espèces, mais il est généralement considéré
que 5 mois sont nécessaires pour un bon développement des plantules.
5.5 L’exécution des aménagement et des plantations

Lorsque tout ce travail préparatoire a bien été réalisé, lorsque l’accord entre toutes les parties
est formalise par la signature des contrats. La réalisation des plantations sur des surfaces de
grande surfaces de plusieurs hectares nécessite une main d’œuvre importante pour sarcler,
planter émettre mettre en place l’aménagement antiérosifs.
5.6 Le suivi des plantations le contre qualité et le contrôle des engagements

Un premier suivi général est fait par report sur la maquette en trois dimensions des zones qui
ont été reboises par les participants aux comite de pilotage
6 Description des mesures à prendre durant l’exploitation
Selon le plan de gestion d’environnement(PGE) est un instrument qui décrit en détail les
mures à prendre durant l’exploitation du projet pour éliminer ou compenser ses efforts négatifs
sur l’environnement ramener à des niveaux acceptables ainsi que les dispositions nécessaire a la
mise en œuvre de ces mesures. La réalisation de l’étude une fois la directive en main, le maitre
de l’ouvrage ou le cas échéant. Le bureau d’étude au sein de l’université GOC pour faire,
procéder a la réalisation du projet.
Par ailleurs, il faut axer sur des principes
Protection des périmètres de reboisement
Maladie ou dégât causes par des insectes : le phénomène de fleurissement de reboisement

existant du site de la 1ere et de la 2eme du projet. Les résultats de l’essai de séparation et
d’inoculation des échantillons qu’a fait la délégation promotionnelle de l’exécution, mais du fait
que les voies d’invasion et le mécanisme de propagation de cette bactérie pathogène restent
inconnus, il est impossible de prendre des mesures préventives directes. Par conséquent
l’eucalyptus a été déposé a la périphérie du terrain de reboisement.
Termites : le plan de base a prévu l’utilisation d’incertitude anti termite lors de la plantation et du
regarni de l’eucalyptus que le jeune arbre soit une cible facile pour les termites. En outre des
22 | P a g e
dégâts ont été constatés, lors de l’étude de faisabilité sur le terrain existant, il a été décidé pour la
2eme phase du projet d’utiliser l’incertitude anti- termite pour toutes les essences d’arbres.
Dégâts causes par la pénétration des bétails
Les clôtures contre la pénétration du bétail sont installées sur la dune autour de laquelle le
pâturage des dromadaires est pratique. Ces clôtures ont des supports rehausses et sont disposées
autour du terrain de reboisement afin d’assurer aussi une fonction de brise vent. Il est à noter que
les clôtures de brise vent assureront une fonction de prévention contre la pénétration du bétail
dans la zone ou le pâturage des dromadaires n’est pas pratique.
1. Mise en place des clôtures
a) Emplacement installé le long de la délimitation du terrain de reboisement à la périphérie

de ce dernier.
b) Hauteur et espacement de clôtures : identique aux clôtures brise vent
c) Support : la longueur du support est de 2,3 m dont 0,8 enfonce dans la terre
Changement et qualité de vie
L’environnement biophysique Conditions

objectives
Logement, paysage et La qualité de vie
territoire
L’environnement économique
L’environnement social Perceptions

(enquête)
Transport et circulation
Procédure en fonction de leurs compétences
 Contrat de service de consultation avec un bureau d’étude de la faculté d’agronomie

conformément à l’échange des notes.
 Affectation du personnel nécessaire à la supervision des travaux
 Présence aux inspections de chaque étape des travaux
23 | P a g e
Programme de gestion de maintien du projet
Contenu de gestion et de maintien
Les interventions à faire après l’achèvement du projet au titre de la gestion et de l’entretien des
travaux réalisés sont les actions suivantes :
 Patrouille forestière ayant pour but de prévenir l’incendie forestier et la coupe illicite
sur les terrains de reboisement livres, inspection et de réfection des ouvrages contre
l’ensablement pendant 2 ans qui suivent la plantation
Phase de planification Phase de construction Phase d’entretien et

d’exploitation
Études techniques Aménagement des accès et Présence de l’équipement ou

campements Mise en place des matériels
Signalisation et une étude Garder la planimétrie du

topographie terrain
Planifier les impact sur le site Nuisance des insectes
Prévoir les bienfaisants à l’ la satisfaction de l’étudiant et

avenir les zones avoisinantes
Acquisition des emprises Forage Gestion des déchets la

satisfaction de l’étudiant et les
Passage des cours d’eau zones avoisinantes
7 Description des dispositions nécessaire a la mise œuvre de ses mesures
La mesure prise en compte des dispositions de ce projet consiste de faire un choix de la

zone d’installation de la pépinière. Pour déterminer la zone d’installation de la pépinière, quelque
condition pour la réussite de son installation ont été considère :
 Le transport des plantes est facile pendant la plantation
 La zone est plus près possible des eaux
 L’endroit est bien aère.
24 | P a g e
 L’accès à la pépinière est plus facile pour les responsables
Méthode de production des plantes
Pour cette aménagement, les récoltes des sauvageons seront connectes pour l’obtention des
jeunes plantes. Cette collecte reste le mode de plantation le plus efficace, en effet elle a un moins
taux de perte 12% le plus rapide et plus facile à faire pour la restauration forestière. Les
sauvageons offrent l’avantage beaucoup plus développée car ce sont des forets le rôle de
pépinières naturels de la vie des plantes. Apres la collecte des sauvageons, ils existent deux
méthodes a savoir :
La transplantions de la pépinière de sauvageons : d’abord on fait la collecte des jeunes plantes

dans la foret. Puis ils sont requises en pépinière durant 3 mois au minimum avant d’être
définitivement plante.
La transplantation directe de sauvageons : après la collecte dans la foret, ces derniers sont
directement sur la parcelle de reforestation.
Analyse de la zone d’installation de la zone pépinière
La zone est convenable si toutes les conditions d’installation sont toute remplies.
Tableau de cadre opératoire
Problématique Hypothèse Indicateur Méthode
Quels sont La plantation par des Zone perturbe

l’aménagement essences autochtones identifiée par types de
forestier à faire pour des zones dégrades est foret
faciliter la restauration la plus appropriée
des zones dégrades du pour la restauration du Essence obtenue
site »université site université GOC Adaptation des
GOC » essences aux
conditions du site
Les forets naturels et Existence de Cartographie

naturaliser de régénération naturelle
l’université GOC Enquête
dispose d’un stock de Sauvageons et plante
suffisant Observation directe
plante et de
sauvageons Possibilité de collecte Méthode pour le plan
exploitable pour les
25 | P a g e
stratégie de des sauvageons de reboisement et de

reforestation et de reforestation
restauration à mettre
en place Bibliographie
Installation de la Transport des plantes

pépinière dans la foret facile
même faciliter les
activités Zone proche des eaux
d’aménagement Accès a les pépinières
7.1 L’identification des zones perturbes dans la foret naturelle et artificielle

A cause de la contrainte du temps, les résultats sur le nombre des zones dégradés dans le
site ils ne sont pas encore complets. On n’a pas pu identifier toutes les zones dégradées surtout
dans l’arboretum. L’observation se limite le long des circuits existants dans le foret De plus, ces
zones dégradées sont quelque fois remplies d’espèces invasives qui rendent difficiles
l’identification. L’étude des parcelles est aussi devenue difficile par la présence de ces espèces.
7.2 L’étude des essences

Le site de l’université GOC est riche en diversité floristique. Le choix des essences se porte
surtout sur celles qui sont proposées par les responsables et la disponibilité de leur régénération
naturelle dans le site. Ils sont les mieux les places pour connaitre les essences de reforestation
dans le site. Cependant, quelque fois, les responsables ne proposent que les essences qui leur sont
plus connues mais pas vraiment les plus convenables en matière de restauration. Il en est de
même pour les régénérations naturelles. Donc des études approfondies sont donc nécessaire pour
savoir vraiment les essences de restauration adéquate dans le site ….
7.3 Le soin des plantes a la pépinière

Il s’agit ici surtout de l’arrosage et désherbage des plantes après récolte des sauvageons.
L’arrosage se fait tous les 2 jours et ne doit pas etre fait que le matin avant 9 h. par contre le des
herbage ne requiert aucune heure de la journée mais il se fait seulement une fois par semaine. les
membres d’association ont chacun le tour pour le soin des plantes. Le soin dure minimum 3 mois
avant être plantes sur les parcelles de restauration. Mais celui-ci ne serait termine que si le
regarnissage de trous vides est faite..
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7.4 La présentation des terrains de plantation

Apres une évaluation de l’état de la parcelle actuelle, on a constaté que celui-ci est pleine
d’espaces invasives comme <<Radika> et est devenue impénétrable. En générale, ces espèces
invasives atteignent déjà les 2 m de hauteurs environ.
7.5 Dégagement terrain de plantation :

Le dégagement du terrain consiste a éliminer ou supprimer les espèces adventices ou
invasives du terrain de plantation des arbres, L’enlèvement des pieds morts entre aussi dans les
activités de dégagement. Le dégagement ne concerne en aucun cas l’enlèvement des grands
arbres restants dans les parcelles. Mais ces derniers peuvent être exploites pour divers besoins du
site. Les régénérations naturelles existes feront l’objet de pépinière pour d’autres types de
plantation forestière.
7.6 Création des trous pour la plantation :

Il s’agit de creuser les trous de plantation. Les trous mis en place seront en forme de cube de
dimension 20 /20/20 cm. Pour cet aménagement, on va choisir de trous espaces de 3/3 cm.
La plantation des arbres proprement dit
Elle peut être subdivise en 2 sous activités : la mise en terre des plantes et regarnissage des trous
vide.
7.7 La mise en terre des plantes dans les parcelles de restauration :

C’est l’activité la plus importante dans l’aménagement du site de restauration. Puisque la
réussite de restauration dépend considérablement de celui- ci. En conséquence, elle doit être la
plus organisée et la plus régulière possible. les sachets plastiques doivent être délicatement
enlevés des plants avant les mise en terre et qu’en aucun cas les racines et leurs substrats sont
séparés pendant la plantation.
7.8 Le regarnissage des trous vides

Même si la plantation est terminée convenablement, il a toujours des plants qui ne vont
supporter le changement brusque de leur milieu a un terrain nu. Quelques plants vont alors
mourir et les trous correspondants seront vides. Le regarnissage consiste a remplir de nouveau
ces vides afin respecter les espacements entre les arbres et d’avoir un taux de réussite élevé.
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