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Demain 54ème Année No. 15, 1er Trimestre 1980
Demain 54ème Année No. 15, 1er Trimestre 1980
Demain 54ème Année No. 15, 1er Trimestre 1980
(Cé.B.E.S.LA.)
Comité de Rédaction :
Gustave-Lambert BRAHY. directeur-fondateur
Jean J.M. Cuypers. rédacteur en chef
Luc de MARRÉ
Georges ANTARÉS
Constant ESCAUX
Correspondance :
Toute correspondance est à adresser à J.J.M. Cuypers, av. Mar. Joffre. 69 -
1190 Bruxelles - Belgique
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On s’abonne en virant au C.C.P. 000-0181365-72 du Cé.B.E.S.LA., 241. av. de
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international la somme de 600 FB pour l’abonnement allant du 1 avril 80 au
31 mars 1981 et comportant 4 numéros de 40 pages minimum.
Responsabilité :
La Revue Demain est publiée dans un esprit de tolérance et d'impartialité
total ; mais les articles insérés le sont sous la seule responsabilité de leur
auteur.
LA BELGIQUE EN 1980 ?
Nous avons déjà fait part de nos appréhensions au sujet de notre pays,
qui nous donne l’impression de courir à la division ; ce qui provoquerait
évidemment un bouleversement complet de nos structures et institutions
politiques ; bouleversement qui n'épargnerait probablement pas les plus
hautes instances, c’est-à-dire la Couronne. Car ne parle-t-on pas
ouvertement, dans certains milieux, de «République de Flandre» ?
Ce n’est pas degaietédecoeurque nous faisons cette prévision ; mais elle
correspond à ce que nous croyons discerner dans le jeu des astres, et elle ne
heurte pas non plus la logique des événements en cours. Cela ferait sans
doute le jeu de certains partis flamands, et ne porterait vraisemblablement
aucun préjudice à la Flandre. Mais nul ne peut prévoir ce qui en résulterait
pour la partie francophone du pays, laquelle serait certainement confrontée
avec des problèmes épineux, aussi bien politiques qu’économiques et
financiers.
Nous n’attendrons pas longtemps pour savoir si notre façon de voir se
trouvera, ou non, confirmée par le déroulementdes faits, puisque l’échéance
cruciale semble se situer aux abords du printemps, et probablement dès
février. Tout au moins, c’est là que se situe le «noeud gordien» pour notre
pays.
On assiste actuellement à une sorte de «match» politique entre deux
leaders du mouvement flamand, MM. Martens et Tindemans ; l’enjeu du
match étant la forme définitive que prendra la régionalisation en Belgique ;
c’est-à-dire à quoi aboutira le conflit qui divise de plus en plus les deux
communautés linguistiques et, surtout, le problème épineux de la région
bruxelloise. Aussi, semble-t-il intéressant d’étudier de quelle façon pourrait
évoluer ce duel Martens-Tindemans.
Nous avons affaire à deux Béliers, également décidés, mais bien
différents l’un de l’autre. Tindemans, sous les dehors charmeurs que lui
confère son appartenance vénusienne, cache une nature exclusive, posses
sive, entêtée, voire à l’oçcasion passionnée, mais qui peut le porter à croire
trop facilement à la réalisation de ses aspirations ou de ses ambitions.
L’opposition actuelle de son Soleil à son Mars natal lui crée beaucoup
d’oppositions et même d’inimitiés, et le met plutôt sur la défensive. Martens,
lui, est partagé entre une fougue au moinségaleàcelledeson adversaire, un
désir ardent de s’imposer, et une nature intérieure qui peut le porter
quelquefois au doute et au manque de confiance en ses moyens ; il semble
qu’il navigue de ce fait dans une sorte de brouillard, ce qui l’expose à devoir
souvent louvoyer à travers un champ de mines.C'est un peu ce qui lui arrive
maintenant.
La période février-mars constituera sans doute un épisode important, et
probablement même décisif, dans le duel politique que se livrent les deux
intéressés. Et, s’il nous fallait donner notre opinion sur l’issue de cette passe
d’armes, nous dirons que ce n’est pas le point de vue de Tindemans qui
triomphera.
Notons que, fin 1980, la conjonction Jupiter-Saturne se place chez
Tindemans en conjonction de son Ascendant, proche de son Jupiter natal,
en carré de Pluton et en sextile de Neptune ; ce qui semble impliquer une
orientation nouvelle. Chez Martens, elle se place, d’une façon moins
marquée, en opposition de Vénus, mais lui laisse toutes ses chances.
1980 DANS LE MONDE, QUELQUES FLASHES
D’une étude rapide et préliminaire, notons que :
3 décembre 1979
5
Une prévision à long terme
qui semble déjà
en voie de vérification
Dans la troisième édition de son ouvrage «Fluctuations boursières et
influences cosmiques», parue en 1968 sous le titre «La clef de la prévision des
événements et des fluctuations économiques et boursières», Mr G.-L. Brahy
a expose l’ensemble de la théorie qu’il a échafaudée au cours de cinquante
années d'expérimentation journalière.
Une expérimentation probablement unique, puisqu’elle était bâtie sur
des faits, et non sur des opinions ou appréciations presque toujours
subjectives.
Un des chapitres le plus remarquable de cet ouvrage est celui où il traite
des parallèles de déclinaison et des conclusions, parfois réellement
extraordinaires, qu’on peut en retirer. C’est là une conception assurément
originale, les parallèles de déclinaison ayant jusqu’ici été considérés comme
dignes de peu d’intérêt ; sans doute parce qu’on considérait que ces aspects
de parallèle faisaient double emploi avec les conjonctions et oppositions
planétaires en longitude.
Notre astrologie, a-t-on dit, est solaire. Son Zodiaque, divisé en douze
signes égaux depuis l ’équinoxe du printemps, exprime en fait les saisons...
nos saisons. Celles de nos régions à l ’ère actuelle. Le soleil parcourant par
exemple le signe du Bélier ( 1er signe) évoquera, par analogie, les caractères
9
propres au début du printemps : renouveau, spontanéité, sensualité,
création, force primitive... Pensons à la musique de Stravinsky, le Sacre du
printemps, qui exprime à merveille ce puissant débordement de vie, parfois
brutal et douloureux, mais toujours grandiose.
De la même façon, le signe du Capricorne fait penser au silencieux
isolement de l ’hiver, morne, obscur et froid, propice aux légendes fan
tastiques, aux histoires merveilleuses qu’on se raconte à la veillée.
En quoi ce lent mouvement de précession des équinoxes pourrait-il
gêner notre astrologie, basée sur les saisons, puisque les saisons reviennent
invariablement aux mêmes époques ?
Ce qui change - et si lentement - c ’est la voûte céleste, grand écran sur
lequel les saisons se projettent : un enfant né en août au début de notre ère
sera, tout comme un enfant de notre époque, né lui aussi pendant le mois
d ’août, venu au monde avec l ’été. La différence, c ’est que le soleil d ’été d ’il y a
2.000 ans se trouvait, dans le ciel étoilé, à toute autre place que le soleil des
étés actuels. Nos astrologues diront que tous deux sont nés sous le signe
(attention, il s’agit du signe occidental donc mobile) du Lion. C’est-à-dire au
moment où, dans nos régions, le soleil était le plus puissant. Mais le signe du
Lion, c ’est-à-dire la portion de ciel occupée par les soleils d ’été au long des
âges, est une région céleste vide de tout contenu, mobile, rappelons-le, par
rapport aux étoiles.
Et maintenant, ce qui est valable pour le soleil, l ’est-il encore pour les
autres astres proches ? Lorsque la lune, par exemple, traverse ce grand
rectangle vide qu’on appelle chez nous le Lion et qui, appliqué au soleil
quand il s ’y trouve, correspond à l ’été, que se passe-t-il ? Simplement ceci:
cette lune dans le Lion monte haut dans le ciel. Et de même pour n ’importe
quelle autre planète traversant cette région. Du moins, si les astres
considérés se trouvent au-dessus de l ’horizon. S’ils sont sous l ’horizon, c ’est
le contraire : ils descendent très bas pour occuper un point très proche de
leur position la plus basse. Sans doute ces différences de hauteur, des astres
(au-dessus ou en dessous de l ’horizon) suivant le «signe saisonnier* dans
lequel ils se trouvent, confèrent-elles à ces astres une qualité particulière :
la «qualité Lion» dans le cas envisagé ou la qualité Balance ou Sagittaire, etc.
Il en va tout autrement des régions du globe proches de l'équateur, car
ces pays ne connaissent pas les saisons. L’Ecliptique est très haut dans le ciel
tout au long de l ’année et, à l ’é quateur même, Use trouve continuellement au
zénith.
En Inde, le soleil n ’a pas cette importance que l ’Occident lui prête : il est
toujours puissant, toujours présent, du 1er janvier au 31 décembre,donc il est
une évidence dont, à la longue, on ne tient plus tellement compte. Sans lui,
rien n ’existe, on le sait. Mais on sait également qu’il se borne à donner la vie,
comme la tortue de mer pond ses oeufs dans le sable et se désintéresse
10 ensuite complètement de sa progéniture. Le soleil, donc, pour les Indiens, est
un roi trop distant, trop égal à lui-même, auquel ils ont fini par ne plus
attacher qu’une importance secondaire. De plus, en Inde, répétons-le, pas de
saison, au sens que l ’on donne à ce mot en Europe. Quel est alors l ’é lément
clé fondamental par sa mobilité et la puissance qu’il semble exercer sur les
êtres. C’est, bien sûr la Lune, si présente et si proche dans ces ciels toujours
clairs. Elle est l'àme du monde, la mère attentive qui préside à la naissance, à
la croissance et aux transformations de l ’homme. Car ce qui fait que l ’homme
est l ’homme, les Indiens vous le diront, c ’est son mental, son esprit. «MOON»
(la lune) est «MlND» ( l’esprit).
En sanscrit, «MANAS» (qui signifie l ’esprit et l ’homme, le premier homme
s’appelant «MANU». La lune donc, symbolise l ’esprit de l ’homme, sa psyché,
sa pensée, le lien qui unit au monde chaque personne humaine.
L ’astrologie hindoue est très ancienne, peut-être 4.000 ans, peut-être
davantage. La lune, astre principal et rapide, parcourt tout le zodiaque en un
peu moins d ’un mois. Les astrologues hindous ont longtemps observé sa
course dans le ciel et en sont arrivés à attribuer les modifications de ses effets
non seulement à ses phases, mais surtout au fond d ’étoiles fixes devant
lequel elle se meut, à raison d ’une douzaine de degrés par jour. Il était donc j
pour eux de première importance d'adopter un repère immuable et de diviser
le zodiaque à partir de ce repère. C’est pourquoi ils ont adopté le système du
ZODIAQUE FIXE (fixe, rappelons-le, par rapport aux seuls éléments qui dans
le ciel ne bougent pas,du moins à l ’échelle de la vie d ’une planète). Ils ont
donc toujours dû tenir compte du mouvement de précession des équinoxes.
Prenons conscience en passant de l ’exceptionnelle solidité du système
hindou : la lune, en 40 siècles, a parcouru le zodiaque plus de 50.000 fois.
C’est à dire que le «phénomène lune» est connu, en Inde, à la perfection.
Quand on compare ce chiffre aux deux ou trois révolutions d'Uranus et
Neptune (une seule pour ce dernier), qu’on a pu observer depuis leur
découverte, on comprend mal que des gens prennent le risque d ’écrire sur
ces planètes des volumes entiers, quand 1.000 ans d ’observations ne nous
donneraient encore le droit que d ’avancer des hypothèses. Et nous ne
parlerons même pas de Pluton. C’est à mon sens une attitude aussi peu
scientifique que d ’essayer de reconstituer un horaire de chemin de fer après
avoir observé le passage des trains dans une ville pendant une heure ou deux.
Le zodiaque hindou, nous venons de le voir, est un zodiaque fixe. Son
«point zéro» est le début de la «constellation lunaire» d ’Aswini. Mais, ici, peut-
être le lecteur se sent-il perdu dans cette forêt de notions contradictoires :
signes, constellations, constellations lunaires, etc.
Il convient de préciser :
à suivre
13
•g s La tentation «millénariste»
en astrologie mondiale
par J.J.M. Cuypers
Chacun de nous se rend compte à quel point il est difficile d’interprêter
son propre thème astrologique, combien nous avons tendance à exagérer la
portée de tel transit ou, au contraire, à minimiser tel autre. En somme, nous
voyons notre carte du ciel, comme à travers un brouillard qui ne se dissipe
jamais, malgré l'expérience que nous acquérons au fil des années. Je pense
qu’il en est de même en astrologie mondiale : celle-ci a pour but de tenter
d’esquisser l’Histoire à venir. Mais cette Histoire est aussi notre Histoire,
notre futur. De la sorte, il est bien difficile d’en écarter toute subjectivité.
D’un côté, nous aimerions connaître l’avenir de manière objective, afin
de pouvoir prendre toutes les précautions qui s’imposent et ne pas être pris
de court par les événements, qu'ils soient bons ou mauvais. D’autre part, il
faut bien dire que nous nous faisons le plus souvent une idée romantique de
l’avenir. La plupart d’entre nous le voudraient plus exaltant, plus riche en
Histoire ou en événements marquants que ne l’est notre propre présent.
Inconsciemment, nous en venons à souhaiter des temps spectaculaires et
violents, apportant des bouleversements fondamentaux, mais qui seraient
également susceptibles d’accélérer l’évolution vers un monde nouveau, très
différent du présent et, bien entendu, nettement meilleur que ce dernier.
Sur ce point précis, je me demande si nous ne sommes pas
inconsciemment influencés par tous les prophètes et annonciateurs de
l’avenir qui nous ont précédés. Le message de ceux-ci a toujours été le même
: «Les gens vivent mal. Le monde va mal. Le monde court à la catastrophe.
Convertissez-vous donc à mes idées, car, au moment des grandes calamités,
les mauvais (sous-entendu, ceux qui ne partagent pas mes idées) seront
abominablement châtiés, tandis que, seuls, les bons pourront assister à
l’ouverture d’une ère de paix et de bonheur».
Pareils prophètes-idéologues sévissent depuis plus de 4.000 ans,
répétant inlassablement le même message, tant dans les religions, que dans
les idéologies laïques, comme le marxisme, où le «Grand Soir», prélude à une
société sans classes, n’est qu’une notion messianique parmi d’autres.
D’abord, naïve.
A vrai dire, je pense que l’âge d’or n’intéresse en rien les romantiques du
millénarisme. Inconsciemment, ce qu’ils recherchent, c’est plutôt l’époque
des «grandes tribulations», des destructions à grande échelle, qui confortent
leurs tendances inconscientes, foncièrement suicidaires et auto-destructri
ces. En somme, il s’agit de gens qui, incapables de trouver leur bonheur dans
le présent, désirent être broyés par une fatalité dans l’avenir, mais une fatalité
qui serait collective et non pas individuelle.
Cette explication n’a rien d’utopique, car le scénario s’est partiellement
réalisé, et il y a moins de 40 ans de cela !
Finalement, souhaiter le pire pour un proche avenir, sous le prétexte
fallacieux d’avoir le meilleur quelques années plus tard, m’est une idée
absurde que je ne pourrais défendre que si j ’étais le Diable ou l’un de ses
supporters !
Malheureusement, il s’agit d’une idée agissante et, à l’heure où les pré
dictions en astrologie mondiale se répandentde plusen plus dans le public, il
est impératif que chaque astrologue ait conscience des responsabilités qui
sont les siennes, quant à l'idéologie (parfois inconsciente) qu’il aide à
diffuser.
L’astrologie mondiale arrivera-t-elle à se protéger de toute coloration
millénariste dans l’avenir ? Ce n’est pas certain, il est possible que le milléna
risme soit présentement inscrit dans l’inconscient collectif de la race
humaine !
En tout cas, j ’ose espérer que les astrologues mondialistes sauront éviter
de créer, d’entretenir ou de renforcer une psychose collective de résignation
et de fascination à l’égard d’effroyables catastrophes à venir..., car ils feraient
là, le travail du Diable.
17
Occultisme, Magie, Parapsychologie
Madame Jugnot, qui est membre depuis longtemps du CéBESIA, et qui est fidèle
lectrice de la Revue Demain, a suivi, il y a quelques année l’enseignement dispensé
par notre Centre. De la sorte, la belle réussite de notre lauréate constitue une recon
naissance indirecte de la qualité de nos cours et de nos professeurs.
Ajoutons encore qu’à titre préventif, Mme Jugnot a fait don de son prix de
1.000 FB au CéBESIA, prouvant ainsi sa générosité en même temps que sa perspica
cité !
Voici donc la solution telle qu’elle a été proposée par Mme Jugnot :
1. Pour calculer la position du Soleil, l'on a pris le temps sidéral au lieu de la longitude
2. Pour Mercure, l’on a confondu le signe de la Vierge et du Scorpion
3. Pour la Lune, l’on a fait l’erreur inverse
4. Pour Mars, l’on a utilisé la longitude de Jupiter
5. Pour Jupiter,l’on a pris la longitude de Mars
6. Pour Pluton, l’on a utilisé la latitùde au lieu de la longitude
7. Pour le calcul du T.S., il fallait retrancher la correction de longitude (4 H 42 M 46 S)
et non l'ajouter
8. Les cúspides des maisons, trouvées avec le T.S. de naissance n’ont pas été inver
sées, comme cela doit toujours être fait pour une latitude sud.
Le thème correct est celui du 11 décembre 1979 à 13 H, temps G.M.T., dressé pour
Santiago du Chili et il donne les positions suivantes :
23
Guide Personnalisé
pour 1980
(su ite )
par G. Antarès
FEVRIER (suite)
Dans nos prévisions générales nous avons laissé entrevoir que la deuxième
quinzaine du mois de mars pourrait figurer parmi les plus critiques de l’année,
cette période étant dominée par un très mauvais aspect mondial, notamment
Saturne carré à Neptune, influence des plus déprimantes qui sera transmise
par le Soleil les 13 et 14 mars, et par une Nouvelle-Lune très dissonante le 16
mars.
Tous ces mauvais aspects toucheront les degrés 22 à 26 des Poissons, de la
Vierge et du Sagittaire, et, par répercussion, les mêmes degrés des Gémeaux
seront également touchés.
Cette période de fin mars pourrait nous amener le développement d’une
épidémie du genre grippal et affectant principalement les intestins. Ce sont
les personnes dont le Soleil ou l’ascendant natal se situent aux degrés préci
tés qui risqueront d’être atteintes, mais les natifs de la Vierge seront les plus
vulnérables.
En plus de la santé, ce carré Saturne-Neptune pourra affecter le moral des
populations. Aggravation du mécontentement dans la classe ouvrière, le
chômage ayant atteint son point le plus bas. Les perspectives de reprise du
travail seront extrêmement limitées.
Avec une Nouvelle-Lune maléficiée de la sorte on peut s’attendre aussi à des
conditions atmosphériques très désagréables pour le début du printemps
(forte nébulosité, pluies glaciales). La période du 22 au 30 mars sera la plus
mauvaise.
A propos de déontologie... I ly
Nous avons reçu l’opinion de «deux sages de l’astrologie».
D’abord, Mme Santagostini de Paris qui nous envoie la lettre suivante :
Monsieur,
A propos de déontologie
Dans le dernier numéro de DEMAIN, a paru un éditorial qui relance l ’idée
d ’une déontologie de la profession d ’astrologue -profession qui, soit dit en
passant- semble intéresser de plus en plus de monde.
Dans cet éditorial, J.J.M. Cuypers qui en est l ’auteur, se demande
pourquoi cette déontologie n ’a pas encore vu le jour. Il en voit une raison
dans le fait que, si un groupement quelconque, comme le CéBESIA, prenait
l'in itia tiv e de prô ne r une règlem entation semblable, il verrait
automatiquement sa compétence contestée parla plupart des intéressés, et
certainement par ceux qui n ’auraient pas été estimés assez qualifiés pour
figurer parmi les «purs».
Comme J.J.M. Cuypers, il m ’est arrivé de rêver à la création d ’un Ordre
des Astrologues. C’é tait vers 1936, à l ’époque du Premier Congrès
international d ’Astrologie organisé par la Belgique. L'idée était dans l ’air,
puisque le Dr Hubert Korsch -qui devait par la suite mourir dans un camp de
concentration nazi- avait lancé l ’idée d ’une Fédération internationale des
Astrologues. Mais l ’idée ne plaisait guère aux astrologues français qui
voyaient d ’un oeil soupçonneux le Dr Korsch organiser chaque année un
Congrès en Allemagne, congrès qui attirait de plus en plus de monde. Un
chroniqueur français un peu nerveux avait même cru pouvoir écrire que
l'astrologie était devenue «une science fasciste»»...
G.-L. Brahy.
8888888888888888888
Pour éviter toute erreur dans une carte du ciel, il convient de faire les calculs
avec des tables donnant les positions à 12 h" G.M.T., puis les vérifier avec
des tables donnant les positions pour 0 h. G.M.T. (ou inversément).
Si les 2 résultats coïncident, la probabilité d’erreur devient quasi nulle.
30
Tintin et ses amis face à
l’astrologie
(suite)
(voir le début de cet article dans notre numéro précédent)
Le Capitaine Haddock.
Il n’y a aucun doute à
avoir : le capitaine est symbo
lisé par Jupiter.
Ce dernier est situé en
Cancer : il suggère donc un
être généreux, bienveillant,
cherchant à protéger et à
soutenir Tintin avec une
fe rve u r quasi e nfa ntin e .
Haddock est un être très
émotif et sensible et il a la
larme facile. Son grand désir
est de vivre une petite vie
tranquille dans un chez soi
confortable qui en l’occuren
ce, est le château de ses
ancêtres, tout en rêvant aux
exploits de ceux-ci. Voilà qui
Carte du Ciel de Hergé est très conforme à la position
de l’astre en maison 12.
Le capitaine a un vice secret : il est alcoolique et, au fil de ses
aventures, son penchant pour la boisson ne baisse pas. Jupiter est conjointà
Neptune en maison 12. De plus, quand le capitaine a bien bu, il est parfois la
proie de véritables delirium tremens qui révèlent toujours son agressivité
rentrée et velléitaire.
35
LE CANCER ESOTERIQUE
G. Antarès
Nous avons vu que, dans l’expérience des Gémeaux l’Ego a pris pour but
d’acquérir le maximum de connaissances les plus diverses en puisant aux
sources les plus variées, en m ultipliant les contacts humains susceptibles de
satisfaire cette soif du savoir, quitte pour cela à mener une existence de
changements constants de milieu et d’atmosphère.
36
Le symbole du Crabe représentant ce signe est significatif de sa nature ;
il montre bien l’animal qui s’incruste profondément dans le sable pour s’y
fixer, et aussi celui qui tient fermement dans ses pinces ce qu’il considère
comme devant constituer sa possession. De là aussi l’analogie avec cet
attachement du Cancérien au milieu dans lequel il vit, à sa demeure et à ce
qu’il y a édifié pour son confort et son bien-être à lui et à sa famille. Le Crabe
exprime bien l’identification à la forme, puisque le crabe estemprisonné dans
sa «maison», l’âme et la forme sont étroitement liées en une seule entité.
De ce qui précède, il semble bien que l’objectif de l’expérience de l’âme
dans le Cancer, le «Dharma» principal, le dessein pour lequel l’incarnation a
été prise soient exprimés par cette note-clé : «Je construis une maison, et je
l ’habite pour y partager la Lumière avec d ’autres.»
Ce signe d’eau, lunaire et familial est, par excellence, le symbole de la
fertilité et de la fécondité. C’est pourquoi, par son analogie avec la quatrième
Maison, il est essentiellement maternel. C’est par ce signe négatif que la
fécondité féminine prédispose à la création d’une nombreuse progéniture.
Pour les natifs évolués du Cancer, cette fécondation ne se limite pas au
domaine strictement humain, mais encore et surtout à une fécondation
divine. Car c’est le destin supérieur du 'type Cancer de fonder non seulement
un foyer particulier, mais encore faut-il qu’il soit le pourvoyeur d’un foyer
destiné à une nouvelle manifestation divine.
Saviez-vous que ?
- Une éclipse totale ne peut exéderï minutes et31 secondes. L’éclipse la plus
longue, depuis le 13 Juin 717, a eu lieu le 20 Juin 1955. Elle fut visible aux
Philippines pendant 7’ et 8” .
- Que laconjonction la plus remarquable a eu lieu le 5 Février 1962. Cejourlà,
le Soleil, la Lune, Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne se trouvaient
répartis dans un cône de 16° d’ouverture, lors d’une éclipse dans la zone
pacifique.
- Que les mots-croisés ont été inventés par un anglais, Arthur Wynne et
publiés, le 21.12.1913, dans le New York World.
- Jean Cocteau a défini ainsi la superstition : l’art de se mettre en règle avec
les coïncidences.
- Que certains psychiatres ont remarqué, qu’à la pleine Lune, il y avait
souvent une recrudescence de folie dans les asiles. Les patients étaient sous-
pression.
(Recueilli par Marie-Pierre Pierry)
ooooooooooooooooooooooooooo
39
Le thème de Salvador Dali,
peintre surréaliste
par G. Antarès
C o m m ent et p o u rq u o i
S alvador Dali d é v ia -t-il de
cette ligne d ’art tra d itio n
nelle, l'exam en plus a p p ro
fo n d i de son psychism e nous
l’exp liq ue ra. Ce qui sem ble
certain, c ’est q u ’en d e ho rs de
sa pe rson nalité d ’artiste, telle
que la d é crive n t les fa cte u rs
dans le Taureau, il en est une
a u t r e , b e a u c o u p p lu s
com p le xe, qui est d é term in ée
par cet A sce n d a n t C a nce r et
par le g o u ve rn e u r du thèm e,
40
la Lune, angulaire, conjointe au M-C dans le Bélier, et recevant des aspects
de carrés de l’opposition Neptune-Uranus.
Ces positions et aspects dénotent que cet homme est un rêveur, un être
dont l’imagination débridée fausse le sens des réalités, et fait naître en son
cerveau (Bélier — tête) des idées fantasmagoriques. Ainsi il semble certain
que c’est l’influence du Cancer et de Neptune dans ce même signe en XII qui
soit responsable du fait que Dali affectionne particulièrement les fruits de
mer, les crustacés et, parmi ceux-ci, les crabes et les homards, au point
d’incorporer ces sujets dans ses toiles d’une façon burlesque et absurde. De
même cette influence lunaire du Cancer est-elle responsable encore de ces
formes de foetus encombrant ses toiles, comme si l’auteur était doté d’une
mémoire prénatale. A ce sujet il est curieux de savoir que,parmi les étrangetés
de cet artiste, il y a notamment lefaitde dormir dans une position d’embryon,
(une photo le montre recroquevillé dans une sorte d’oeuf transparent).
Cette admiration pour les crustacés est encore d’ordre psychologique, le
signe du Cancer, signe de la mer dénommé souvent par le vocable «Le
Crabe» était significatif à ce sujet. Un psychanaliste pourrait y voir la recher
che instinctive de protection du sujet du Cancer, la carapace extérieure des
crustacés étant une armure contre les influences extérieures.
L’autobiographie de Salvador Dali révèle encore combien cet Ascendant
lunaire du Cancer a affecté son psychisme. Ainsi, il prétend avoirété timide et
sensible pendant l’enfance, mais il ajoute que les circonstances extérieures
l’ont forcé à adopter une conduite bizarre et absurde qui l’a étonné lui-même
plus que le monde.
Il dit aussi avoir un besoin périodique de calme et de solitude. Et comme le
crabe qui se retire dans son trou, il retourne parfois dans son pays natal où il
retrouve cette côte d’Espagne, son patelin, sa maison natale, sa chambre
d’enfants et sa baignoire. Autre détail typique, c’est dans la buanderie de sa
maison qu’il a appris à peindre pour la première fois.
Mais un des facteurs importants, sinon le plus important de ce thème, est
constitué par la Lune en Bélier, signe cardinal etangulaire,conjointe au M-C.
Etant de surcroît la planète maîtresse du thème, cette Lune domine toute la
géniture. Or, on connaît, d’une part, la tendance impulsive du Bélier à
s’imposer, à se mettre en avant, et, d’autre part, on sait que la Lune est un
facteur de recherche de la popularité. La combinaison des deux produit ce
désir intense d’agir de façon à attirer sur soi l'attention publique.
C’est la recherche à tout prix de la publicité, de la réclame, le désir de faire
sensation. C’est pourquoi Salvador Dali peut être considéré comme la per
sonnification du génie de la réclame personnelle ; il est né pour être
remarqué. Pour s’en convaincre, il suffit de voir son physique, son extériorité,
ses gestes et mimiques spectaculaires, ses excentricités, sa moustache en
crocs relevés si typique, cette fantaisie de porter un narcisse derrière l’oreille.
Mais ce signe du Cancer et ce gouverneur lunaire trônant dans ce signe
martien et ardent du Bélier ont pu jouer un rôle important dans la prime
enfance (Lune), rôle qui a pu être déterminant pour le développement ulté-
41
rieur de son caractère. Fils de notaire, dont l’enfant, un autre Salvador, est
mort avant la naissance de Salvador, ses parents l’adoraient et l’ont gâté, lui
permettant toutes ses fantaisies ; ils ne l’ont pas corrigé quand il brimait les
serviteurs de la maison ou quand il usait de violence vis-à-vis des enfants de
son âge. Ils l’ont élevé comme un prince. Dali admet lui-même dans son auto
biographie, qu’il a été, étant enfant, un garnement insupportable, parce que
gâté. Il reconnaît avoir été agressif, turbulent allant jusqu’à se jeter en bas de
volées d’escaliers pour attirer l’attention.
Salvador Dali est-il fou ? D’aucuns le pensent, et dans ses Mémoires il se
le demande lui-même tout en émettant l’opinion qu’il n'y a pas de différence
entre lui et un quelconque lunatique. Or, cet auto-examen constitue une
preuve que le sujet n’est pas aussi fou qu’on le pense, car un fou ne s’analyse
jamais et ne se rend jamais compte de son état. D’ailleurs, si on considère que
Mercure se trouve en forte position dans le Taureau et qu’il est maître de la
Maison 3, on ne voit là aucun indice d'aberration mentale. Evidemment
Mercure est aussi conjoint à Mars, ce qui rend le mental assez vif et parfois
excitable, mais, d’autre part, Mercure reçoit aussi un carré de Saturne,
influence qui neutralise et tempère celle de Mars et qui confère à la pensée un
certain poids.
Les excentricités et créations étranges de Salvador Dali doivent donc
être recherchées dans d’autres indices. Les plus évidents sont constitués,
sans conteste, par ces aspects dissonants entre Uranus, Neptune et la Lune
au M-C, aspects qui rendent le sujet particulièrement réceptif aux influences
mystérieuses et occultes, lesquelles lui donnent des visions intérieures
étranges. Ce sont donc aussi ces aspects qui l’ont poussé vers le surréalisme,
celui-ci convenant parfaitement à son psychisme spécial. En effet, qu’est-ce
que le surréalisme, sinon l’art de reproduire les rêves et visions du
subconscient. Dali se joignit au mouvement après avoir d’abord tâté du
cubisme, et s’y distingua si rapidement, dans ce nouvel art, qu’il suscita des
jalousies et inimitiés parmi les artistes moins habiles que lui, et il fut exclu du
groupe. Mais, il était trop tard, Dali était devenu capable de voler de ses
propres ailes. L’opinion publique (voir Lune au M-C) veutencore de nos jours
que c’est Dali qui inventa le surréalisme.
La grande conjonction
Jupiter-Satune
du 31 décembre 1980
Pour quel moment faut-il dresser la carte ?
par Gustave-Lambert Brahy
oooooooooooo
Mais c ’est là une indication purement théorique ; car rien ne prouve que
l ’effet de cette conjonction doive se produire à cet instant même ; car ily a à
ce moment une différence de déclinaison d ’environ un degré entre ces deux
planètes. La conjonction, si elle est exacte en longitude, n ’entraîne donc pas
une superposition exacte des deux astres. Et c'est justement ce qui me fait
réfléchir.
Car, à quoi bon dresser une carte pour cet instant théorique, et tenter
d ’en tirer des conclusions que la disposition incertaine des Maisons rendrait
peut-être caduques ?
.HO
V<5
Une autre carte qui conviendrait peut-être mieux, au prem ier abord,
serait celle du 31 décembre, au moment où le Soleil et Mercure sont en
conjonction, et font tous deux un aspect de carré sur la conjonction Jupiter-
Saturne. C ’est probablement la carte qui traduit le plus exactement le
phénomène, quoi q u ’on puisse prétendre que Mercure n ’a joute pas grand
chose à la force du Soleil seul. Le moment de la conjonction Soleil-Mercure
se situe à 10 heures 05 du m atin G.M.T.
Il y aurait encore une carte tout aussi valable : c ’est celle cjui serait é tablie
pour le moment du dernier quartier de la lunaison, et plus exactement lors de
la moyenne des deux instants où le S oleil et la Lune sont en carré exact avec
Jupiter et Saturne. Ce mom ent peut être fixé à 9 h. 54 min. ; cette heure n ’est
pas tellement différente de celle que nous avons donnée plus haut po u r le
moment de la conjonction Soleil-Mercure.
Il est bien évident que, si l ’on veut faire abstraction des Maisons pour
établir la carte en question, on peut la calculer po u r le 31 décembre vers 21
H., et ceci p o u r avoir la position aussi exacte que possible de la Lune au
m om ent où le phénomène est théoriquem ent exact. Mais alors, il n ’est guère
possible de préciser la forme des événements dérivant des aspects dans cette
carte, et encore m oins de les situer géographiquement.
Et ceci montre bien que bien des principes que nous a transmis la
tradition sont à passer au crible de la logique et de la raison avant d ’en faire
l ’application aveugle.
46
J j. Compte Rendu du
Congrès Astrologique
du 7 au 9 décembre 1979 à Paris
par Marie-Pierre Pierry *
Le XVe congrès d’astrologie organisé, à Paris, par Jacques Hallbronn,
les 7,8 et 9 décembre 1979, a débuté le vendredi par une réunion amicale. Le
responsable du M.A.U. (mouvement astrologique unifié) fêtait ses 32 prin
temps. Il est d’ailleurs très représentatif de la combinaison Soleil-Sagittaire,
ascendant Verseau. Physique et esprit sont peut-être désordonnés mais vifs
et toujours présents.
Il offrit un buffet froid très relax qui mit bientôt les quelques premiers partici
pants en contact.
Nous reprenons les faits capitaux de ce colloque auquel le CéBESIA
avait tenu à se faire représenter.
A 21 H, Richard Waldstein, jeune astrologue sympathique et plein de pro
messes, nous exposa le thème de Richard Wagner avec ambiance musicale
d’une des oeuvres de ce grand compositeur. Ce musicien est né à Leipzig, le
22 mai 1813, au lever du Soleil.
Un personnage aussi ambigu et controversé pose des problèmes techniques
d’interprétation et il serait intéressant de revenir sur son ciel, dans une pro
chaine édition de notre revue. Waldstein a étudié et fouillé le thème parallèle
ment à sa musique. C’était à la fois curieux et plein d’intérêt.
Le samedi matin fut consacré à : tarots, astrologie et intuition. On vit que
l’astrologie et le tarot peuvent développer l’intuition. Certaines personnes en
arrivent à ne plus se servir que de celle-ci. La personnalité de l’astrologue
joue évidemment un grand rôle. Il peut :
1) être objectif et se fier uniquement au thème astral
2) avoir besoin du support des cartes
3) se baser sur son intuition et alors, il faut que celle-ci soit réelle, fidèle et
qu’il ait la faculté physique de la faire travailler.
L’après-midi, Véronique Lepage présenta le livre de Charles Carter
qu’elle a traduit. Etait présent, Monsieur Zach Mathews, ingénieur civil
anglais, à l’allure très british, portant allègrement les années et plein
d’humour. Il traça la biographie de Carter qu’il a connu et dont il suit la mé
thode. Il projeta photos, thèmes avec explications très fournies.
Monsieur Mathews regrette que le livre de Alan Léo, écrit il y a 50 ans, n’ait
pas été traduit plus tôt. L’interprétation des aspects y est vue d’une manière
très approfondie et toute différente des autres ouvrages. (Ed. Dervy.)
Catherine Aubier, enseignante au S.N.E.A., fit elle aussi un très bon exposé
sur les aspects des planètes lentes en se référant aux thèmes de pshychana-
lystes tels Freud, Jung, Reich, Janet...
47
Ils avaient chacun des aspects très lourds qui les ont amenés à leurs
recherches.
Olivier Moreau détailla les effets et ce que peut nous apporter le quin
conce.
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Livres et Revues
- Le «Vlaams astrologish Tijdschrift», revue trimestrielle éditée par nos
Confrères néerlandophones de la V.A.G. publie dans son numéro d’été 1979
les données de naissance de tous les membres du Gouvernement actuel.
Inutile de préciser que ces données sont dues aux investigations personnel
les de Luc de Marré, toujours préoccupé de rassembler tous les renseigne
ments susceptibles de constituer des archives astrologiques aussi complètes
que possible.
- Le numéro de Juillet-Août 1979 de la Revue «Ciel et Terre», publie un article
de l’astronome A. Koeckelenbergh sur le maximum actuel de l’activité
solaire, dont l’échéance la plus probable est novembre 1979. De nombreuses
évaluations de ce maximum avaient déjà été faites, mais avec des
approximations que rend inévitables le côté plus ou moins spéculatif des
méthodes de prévision utilisées.
Dans le même numéro, on trouve la liste des ouvrages anciens conservés à la
bibliothèque de l’Observatoire d’Uccle. Citons à ce propos plusieurs
ouvrages datant du 15éme siècle, dont un «Liber quadripartiti» de Ptolémée
et plusieurs ouvrages d’Albitius et d’Albumasas.
Précisons que la consultation de ces ouvrages ne peut se faire que sur place
et après avoir obtenu une autorisation spéciale ; autorisation réservée
d’ailleurs exclusivement aux membres de la Société belge d’Astronomie, de
Méthéorologie et de Physique du globe.
- C.E.O. Carter - Interprétation des aspects en Astrologie (Dervi, Paris).
Traduction de l’anglais par V. Lepage.
On connaissait déjà l’existence de cet ouvrage en langue anglaise. le voici à
la portée des lecteurs français. Signalons que l’interprétation des aspects est
tout à fait classique et est suivie dans chaque cas d’exemples d’application
chez des personnages connus.
- Carlos Carneado et une équipe de chercheurs. Investigacions astrológica -
Tome V.
La caractéristique essentielle de cet ouvrage consiste dans la publication de
quelques deux cents thèmes de nativité, dont l’intérêt se situe sur des plans
divers et peut constituer une excellente documentation. Précisons toutefois
que certains de ces thèmes devront être étudiés avec le secours d'une loupe,
la réduction de ces thèmes rendent certaines indications presque
microscopiques.
- Frederico Capone - Effemeridi 1800 - 1850
Ces éphémérides de notre confrère italien donnent les positions simplifiées
pour les planètes et journalières pour la Lune.
• Les envois devront être adressés uniquement à Mr Jean Cuypers, av. Mar.
Joffre, 69 - B-1190 Bruxelles.
50
DEUXIEME SAMEDI ASTROLOGIQUE DU Cé.B.E.S.I.A.
SAMEDI 22 MARS 1980
avec la participation exceptionnelle de
Mr. André BARBAULT
tête de proue de l’astrologie française et spécialiste
incontesté de l’astrologie mondiale
participeront également
Mr. G.-L. Brahy, président d’Honneur du Cé.B.E.S.I.A.
et fondateur de la Revue Demain, auteur de «La Clef de la
prévision des événements mondiaux et des fluctuations
économiques et boursières»
et
Mr. Louis Horricks, auteur avec Mme Michaux, du
«Traité pratique d’astrologie mondiale»
La rencontre au sommet des «Trois grands» de
/’Astrologie Mondiale qui confronteront leurs vues sur
l'avenir de l ’humanité...
Une réunion exceptionnelle qui fera date dans les
annales de l ’astrologie mondiale...
51
Les mots- croisés Solution aux mots-croisés
de la revue n° 13
astrologiques A B C D E F G H IJK L
de 1
2
H
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0
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Marie-Pierre 3
4
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5 E T
6 0 S S P H E S
7 A R E R T R E T
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9 A H 0 S P A
10 R E P I T E
]1 D E C L _I _N N
12 V E N U S O T S
Cé.B.E.S.LA.
Statuts
parus aux annexes du Moniteur en date du 3 juillet 1926 : dénomination et
durée modifiées par acte N' 1375, paru au Moniteur belge du 24 avril 1954.
Siège social
Avenue de Roodebeek, 241 - 1040 Bruxelles
Membres fondateurs
Gustave-Lambert Brahy Jean Delville
Commandant Paul Choisnard Arthur Michel
Général J. Buisset Octave de Landtsheer
Vicomte Charles de Herbais de Thun Théodore Chapellier
Guy Onkelinx Jef Strymans
Membres d’honneur
Baron et Baronne Emmanuel d'Hooghvorst Maître Jean Mallinger
Henry J. Gouchon Robert Linssen
Robert Amadou
Conseil d’administration :
G.-L. Brahy, président d’Honneur
G. Antarès, vice-président d’Honneur
J.J.M. Cuypers. président et adm.-délégué
L. de Marré, vice-président
S. Van de Vorst. professeur
S. Lousberg, trésorière
Y. Rémy, secrétaire
M. -P. Pierry, A. Albert. V. Bouvies, administrateurs
F. de Ruyck. commissaire aux comptes
Affiliations au Cé.B.E.S.LA.
On s’affilie au Cé.B.E.S.LA. en virant au C.C.P. 000-0181365-72 du
Cé.B.E.S.LA., av. de Roodebeek. 241 - Bte6 -1040 Bruxelles - Belgique - ou
en envoyant par mandat international, pour l’année académique 1979-1980,
la somme de :
350 FB (membre sympathisant)
750 FB (membre ordinaire, avec gratuité aux conferences ordinaires et
réduction de 100 FB sur l’abonnement à la Revue Demain)
2.000 FB et plus, membre de soutien.
Toute information sur les activités du Cé.B.E.S.LA. peut être obtenue chez
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