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L'urbanisme

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L’urbanisme

1
Avertissement !!!

Le présent support sert plutôt d’aide-mémoire pour les étudiants.


Les développements qui sont fournis au moment du cours sont
plus importants. Ce support, ne remplacera guère les prises des
notes qui restent d’une utilité cardinale pour les étudiants

2
Objectifs du cours
Permettre aux élèves ingénieurs de :

Objectifs globaux
Comprendre l’importance de l’urbanisme en rapport avec le GC
Saisir le rôle de l’Ingénieur GC en matière d’aménagement urbain

Objectifs spécifiques
Cerner le concept d’urbanisme
S’imprégner des différentes théories de l’urbanisme
Approcher l’urbanisme en tant que pratique professionnelle
Connaitre le cadre institutionnel et juridique de l’urbanisme au Maroc
Maîtriser la portée et le processus d’élaboration des documents d’urbanisme
(Plans) et leur mise en œuvre
Articuler l’acte d’urbanisme avec l’acte de bâtir

3
Axes du cours

1 Approche conceptuelle

2 Théories de l’Urbanisme

3 L’urbanisme: un champ professionnel

4 Cadre juridique et institutionnel de l’urbanisme au Maroc

5 Les Documents d’urbanisme

6 La mise en oeuvre des documents d’urbanisme

4
Démarche de Travail

Construire ensemble…
Cadrage théorique
Ateliers :
1. Parti d’aménagement

2. Référentiels

• Référentiel de programmation des équipements

• Référentiel des densités et formes urbaines

• Référentiel des ZUN

• Référentiel des modes d’aménagement en milieu rural

• Référentiel urbanisme durable

3. Schéma Directeur d’Aménagement Urbain (SDAU)

• Agadir

• SAFI

• Littoral Nord d’Agadir

4. Projets: restructuration, renouvellement urbain, Aménagement urbain (à spécifier)

5
Approche Conceptuelle

6
1 Approche Conceptuelle

L’urbanisme?

Concept polysémique !

Il a suscité de nombreuses “ théories ”

Aucune n’a fait l’unanimité autour d’elle

Le terme même est récent (début du xxe siècle).

7
1 Approche Conceptuelle

1- Science de l'aménagement des villes. Anglais :Town


Planning.
(L’Internaute Encyclopédie)

2- Art, science et technique de l'aménagement rationnel des


villes et des campagnes. Ensemble des mesures prises
pour orienter et contrôler l'affectation et l'utilisation des sols.
(Anglais: urban planning).

3- C’est à la fois un champ disciplinaire et un champ


professionnel recouvrant l'étude du phénomène urbain,
l'action d'urbanisation et l'organisation de la ville et de ses
territoires.

4- C’est l’ensemble des plans et des actions cohérentes qui


permettent l’organisation optimale des fonctions techniques,
sociales et esthétiques de la ville.

8
1 Approche Conceptuelle

5- C’est l'art de construire, de transformer, d’aménager les villes au


mieux de la commodité, suivant les règles de l’esthétique et de
l’hygiène.

6- Art, science et technique de l'aménagement des agglomérations


humaines. Ensemble des règles et mesures juridiques qui permettent
aux pouvoirs publics de contrôler l'affectation et l'utilisation des sols.
(Divers plans d'urbanisme sont élaborés à cet effet : Schéma Directeur,
plan d'occupation des sols, etc.
(Larousse)

9
1 Approche Conceptuelle

8-
a. Ensemble des sciences, des techniques et des arts relatifs à
l'organisation et à l'aménagement des espaces urbains, en vue
d'assurer le bien-être de l'homme et d'améliorer les rapports
sociaux en préservant l'environnement. Les clefs de l'urbanisme
sont dans les quatre fonctions: habiter, travailler, se récréer, circuler
(Le Corbusier, Charte Ath., 1957, p. 100).

b. Ensemble des règlements permettant aux pouvoirs publics de


contrôler l'utilisation du sol en milieu urbain. Dispositions, plan,
procédures, règles d'urbanisme.

10
1 Approche Conceptuelle

Deux grandes acceptions se dégagent de cette panoplie de


définitions :

Art de produire ou de changer la forme physique des villes,


d’aménager les villes ; ensemble de connaissances et de
techniques nécessaires pour maîtriser ces pratiques

Science de l’urbain et de sa transformation ; ensemble de


savoirs organisés en un discours cohérent qui a à la fois l’urbain
et les techniques de transformation urbaine.

L’urbanisme est à la fois une science et un art recouvrant l'étude


du phénomène urbain, l'action d'urbanisation et la manière
d'organiser cette action dans la ville ou toute agglomération
humaine.

11
1 Approche Conceptuelle

Idées/modèles

Urbanisme

Instruments
Acteurs
Techniques
Politiques
Juridiques
Techniciens
Institutionnels

12
Théories de l’urbanisme

13
2 Théories de l’urbanisme

Repères historiques

Le terme « urbanisme » est apparu en 1910. Mais depuis


l’Antiquité, l’homme a considéré la ville comme un terrain
d’expression privilégié de l’organisation de la société, des
réalisations de ses capacités artistiques et des aptitudes
techniques

F. CHOAY estime que « vers la fin du XIX siècle, l’expansion de


la société industrielle donne naissance à une discipline qui se
distingue des arts urbains antérieurs par son caractère réflexif et
critique et par sa prétention scientifique »

14
2 Théories de l’urbanisme

Repères historiques

Il faut noter que la notion apparaît avec l’ingénieur catalan,


Ildefonso Cerdà et son ouvrage «Théorie générale de
l'urbanisation » paru en 1867.

On peut dater la constitution du champ de l’urbanisme entre


1870 et 1970

15
2 Théories de l’urbanisme

Les théories
Presque tous les auteurs ayant traité de l’urbanisme ont prétendu le fonder
sur des bases scientifiques et ont revendiqué la détention de la vérité.

F. CHOAY distingue deux étapes, deux finalités : ceux qui se rattachent à


l’urbanisme et ceux qui s’attachent au préurbanisme :

 Le préurbanisme, désigne selon CHOAY « un ensemble de textes et de


réalisations dus à des penseurs politiques sociaux du XIX siècle, dont la
démarche, marquée au coin de l’utopie, anticipe et préfigure celle de
l’urbanisme ». Il s’agit donc de contributions antérieures à l’apparition du
mot « urbanisme » lui-même.

 L’urbanisme s’oppose au préurbanisme essentiellement parce qu’il est


le fait, non de penseurs (philosophes, économistes, historiens, etc.), mais
des professionnelles (en majorité architectes) qui visent à mettre en
œuvre, de façon concrète, leurs idées.

16
2 Théories de l’urbanisme

Les théories préurbanistes

Deux modèles (ou deux courants) sont grosso modo distinguables : « le


progressisme » et le « culturalisme »

Le modèle progressiste
Le premier modèle se tourne d’abord vers l’avenir. Les auteurs qui s’y
rattachent ont une croyance absolue dans le progrès, dans les capacités de
l’homme à adopter un comportement rationnel.

Les progressistes prônent la rationalité, le recours à la science et à la


technologie. Pour la plupart inspirés par le socialisme, ils vantent le progrès
qui doit conduire au bien-être des individus

17
2 Théories de l’urbanisme

Les théories préurbanistes

La rationalité signifie la séparation des fonctions. La ville doit reposer sur


une disposition simple, visible. La beauté résultera de cette organisation
logique : elle sera géométrique.

L’hygiène conduit à une organisation spatiale ouverte avec des vides, de


vastes voies de circulation, des espaces verts (Richardson).

Les principaux auteurs qui peuvent être rattachés à ce courant sont :

 Charles Fourier (1772-1837) : l’un des fondateurs du socialisme


utopique en France. prône la création de « phalanstères »

 Jean-Baptiste Godin (1819-1888) : construit « le familistère », sur le


modèle du phalanstère de Fourier qui fonctionna jusqu’en 1970.

Benjamin Ward Richardson (1828-1896) : médecin qui présente une ville


utopique, ayant pour objectif premier de garantir l’hygiène, où les espaces
verts et les hôpitaux tiennent une place privilégiée, où les maisons,
parfaitement aérées, disposent de terrasses sur les toits, d’une cuisine
d’une propreté méticuleuse et d’une salle de bains avec eau chaude et
froide
18
D’après : P. MERLIN (1991), p. 26

19
IHUAE/ RGCBH
20
2 Théories de l’urbanisme

Le modèle culturaliste

Le modèle culturaliste, à l’inverse, se tourne vers le passé

La ville est le reflet d’une culture, la cité et ses habitants constituent une
unité organique menacée par les conséquences du développement industriel

Les culturalistes se tournent vers la ville héritée du passé, la ville médiévale


en particulier (préindustrielle), et portent sur elle un regard nostalgique

Les culturalistes privilégient les besoins spirituels par rapport aux besoins
matériels. Les hommes sont et doivent rester différents, les bâtiments
également.

Pour eux, la ville doit avoir des limites précises, offrir un contraste avec la
nature qui doit rester à l’état sauvage. Ses dimensions doivent demeurer
réduites comme celle de la cité médiévale qui constitue leur référence
permanente. Elle doit être dense et ne pas se diluer dans la compagne sous
forme de banlieues imprécises.

21
2 Théories de l’urbanisme

Le modèle culturaliste

Le plan de la ville doit être irrégulier et asymétrique et respecter le site et les


apports du passée. Le souci esthétique est présent en permanence; la
recherche de la beauté tient chez eux une place symétrique de celle de la
recherche de l’hygiène chez les auteurs progressistes.

Les culturalistes rejettent les prototypes de villes, de quartiers ou de


bâtiments, refusent les normes. L’architecture des bâtiments publics doit être
simple, celle des logements personnalisée. L’harmonie est la valeur à laquelle
ils aspirent, là où les progressistes recherchent l’efficacité, le rendement.

Les préurbanistes culturalistes, à la différence des progressistes, n’ont pas


tenté de mettre leurs idées en application.

22
2 Théories de l’urbanisme

Les théories de l’urbanisme

Les théoriciens de l’urbanisme, à l’inverse de ceux du


préurbanisme, sont des professionnels, visant une
application concrète et généralisée, donc laissant peu de place
à l’utopie, même si une dimension imaginaire subsiste

La dualité progressisme-culturalisme se prolonge

23
2 Théories de l’urbanisme

Le modèle progressiste

Les urbanistes progressistes ont en commun d’adopter une démarche qui se


veut rationnelle

Ils prônent une ville aussi homogène que possible pour éviter toute
ségrégation, permettre l’hygiène publique et faciliter les relations sociales en
particulier grâce à une circulation aisée

On considère aujourd’hui qu’Ildefonso Cerda (1815-1876) est le véritable


fondateur de l’urbanisme progressiste. Le projet que cet ingénieur pour
l’extension de Barcelone (1858) constitue le 1er grand plan moderne

Le plan qu’il propose repose sur une trame carrée, coupée aux angles afin
de dégager des carrefours de forme octogonale. Chaque ilot carré ne devait
être utilisé que partiellement, avec beaucoup de diversité dans le choix des
espaces bâtis et non bâtis

Cerda fut le seul à avoir été à la fois un grand théoricien de l’urbanisme et le


responsable de l’aménagement d’une des plus grandes villes d’Europe.

24
P. MERLIN, 2013 25
2 Théories de l’urbanisme

Le modèle progressiste

Géorges Haussmann (1809-1869) : a transformé complètement Paris. Son


apport fut immense, pas seulement par le réseau des voies larges et linéaires,
par la reconstruction de nombreux bâtiments et la modernisation des réseaux
utilitaires (adduction d’eau, égouts, gaz d’éclairage) et des équipements
publics (marchés, casernes, hôpitaux, ponts) et par l’aménagement de parcs à
diverses échelles, des parcs suburbains à partir d’anciennes forêts aux parcs
urbains et aux squares de quartier.

Tony Garnier (1869-1948) : qui exposa en 1904 les plans d’une cité
industrielle prônait la séparation des fonctions, l’utilisation du béton et la mise
en valeur des espaces verts, la construction de bâtiments standardisés.

Le mouvement est devenu international après la 1ère guerre mondiale. Les


congrès internationaux d’architecture moderne (CIAM), fondées en 1928, en
furent l’instrument. Ils réunissent des spécialistes, presque tous des
architectes.

Le mouvement prône la ville fonctionnelle et la séparation des fonctions


(d’où le nom d’urbanisme fonctionnaliste attribué à ce mouvement), la
construction rationnelle.

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2 Théories de l’urbanisme

Le modèle progressiste

La charte d’Athènes élaborée collectivement lors du IV congrès de 1933 est


considérée comme étant le manifeste de l’urbanisme progressiste. Cette charte
distingue les quatre fonctions majeur (habiter, travailler, circuler, se récréer le
corps et l’esprit) qui doivent se traduire par une partition de l’espace.

C’est de cette charte et de la séparation des fonctions que sont issus le


zonage, la séparation des circulations et le rejet de la ville traditionnelle

Le Corbusier (1887-1965), présente les vues du courant progressiste dans


toute leur brutalité, dans toute leur simplicité, prônant les alignements et les
angles droits, l’ordre et la hiérarchie (des populations, des voies, etc.),
prétendant obtenir l’efficacité par les bâtiments tours disséminés dans la
verdure et atteindre ainsi la perfection dans l’urbanisme

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2 Théories de l’urbanisme

Le modèle progressiste: les grands traits


Les théoriciens de l’urbanisme progressiste concernent le monde
entier et se répartissent sur un siècle (1858-1957)

La ville de la fin du XIX siècle et du début du XX est anachronique :


elle doit faire sa révolution industrielle, ce qui implique le recours à
des matériaux nouveaux (béton, acier, verre…), mais aussi la
standardisation de la construction qui conduisent à un changement
d’échelle des édifices, à une nouvelle typologie des bâtiments. La
conception de la beauté qui en résulte est rationnelle.

Ce modernisme conduit à une volonté agressive de rupture avec le


passé.

La composition urbaine repose sur des formes simples, sur une


géométrie qui trouve elle-même ses racines dans les mouvements
artistiques modernes.

L’urbanisme progressiste se veut moderne, mais également


universel. Pour le Corbusier « Les besoins humains… sont identiques
pour tous les hommes, les hommes étant tous faits sur le même
moule… »
28
2 Théories de l’urbanisme

Le modèle progressiste: les grands traits

Le courant progressiste reste imprégné de l’influence des


hygiénistes du XIX siècle. La ville doit développer l’hygiène et
la santé. C’est ce qui explique
POLITIQUE
la place accordée à la nature, au
soleil et à la verdure : le souci et de dédensifier la ville. Le
Corbusier opte pour la libération du sol en construisant en
hauteur (cité-jardin verticale) ou la ville dans un jardin
(Hilberseimer)

La ville est d’abord un cadre de travail : son organisation doit


favoriser la productivité ( zonage/ séparation des fonctions) et
la recherche de l’efficacité.

Les urbanistes progressistes sont normatifs, ils recherchent


des formes types, des habitations modèles, des villes idéales,
l’industrialisation de la construction et l’analyse rigoureuse
des fonctions.

29
2 Théories de l’urbanisme

Le modèle culturaliste
Ce modèle n’a exercé son influence que sur un espace plus limité : la Grande
Bretagne, avec Ebenezer Howard (1850-1928) et l’association des cités-jardins
qu’il a fondée, L’Allemagne et l’Autriche avec Camillo Sitte (1843-1903), même
si l’influence de ces deux auteurs se répandit internationalement.

Les traits communs sont dans la ligne des caractéristiques dégagées du


préurbanisme culturaliste.
 Les culturalistes s’intéressent à la ville dans sa globalité
 Le courant culturaliste est passéiste teinté de nostalgie chez Sitte, de socialisme chez Howard
 L’évolution des techniques et des besoins n’est pas au centre de leur analyse, à l’opposé des
progressistes
 La vision esthétique s’exprime à travers le respect des apports de l’histoire des formes urbaines
 La conception de la ville doit être rassurante, confortable, ce qui conduit à privilégier les
espaces intérieures, les voies courbes, à refuser les perspectives (Sitte), à l’opposé de l’apologie
de la ligne droite et des espaces ouverts des progressistes.
 Pour les culturalistes, les villes sont un espace fermé, limité, qui s’oppose clairement à la
compagne (Howard fixe même des limites précises « 30000 » à la population de la cité-jardin
typique)
 L’espace urbain est formé d’abord par les édifices, les rues et les places, espaces fondamentaux
assurant la relation entre les bâtiments et entre les hommes. L’analyse de la relation des bâtiments
et la voirie tient chez les culturalistes la place que prend chez les progressistes, l’analyse
fonctionnelle

30
2 Théories de l’urbanisme

Le modèle culturaliste

Camillo Sitte architecte viennois : a protesté (1889) contre l’aménagement


de Vienne. Il participa aux projets de développement de plusieurs villes
autrichiennes et exerça une influence sur les urbanistes germaniques puis
anglo-saxons. Il adopte une attitude passéiste : « ce n’est qu’en étudiant
l’œuvre de nos prédécesseurs que nous pourrons réformer l’ordonnance
banale de nos grandes villes ». Il faut assurer la diversité et l’irrégularité des
espaces, surtout dans le centre des villes en prenant l’exemple sur la ville
antique, médiévale et, à la limite, renaissante. L’espace urbain doit être lié,
cimenté par les monuments. La rue joue un rôle fondamental, de passage, de
rencontre. L’espace doit être fermé, intime, à petite échelle, diversifié,
imprévisible. Il doit rassurer et stimuler les rencontres. L’esthétique doit guider
les plans d’extensions, s’inspirant des modèles anciens sans les recopier… A
l’héritage de la ville traditionnelle, Sitte oppose « l’indigence et la banalité des
aménagements urbains modernes ».

31
2 Théories de l’urbanisme

Synthèse
Modèle progressiste Modèle culturaliste
Idéologie Progressisme Culturalisme
D’après : A. ELIDRISSI, INAU, Rabat

 Homme différents
 Homme universel
 Besoins spirituels, nostalgie
Valeurs  Besoins matériels standardisés
Recours à l’histoire et à l’art
 Recours à la sciences et à la technique

o Simplicité et lisibilité o Refus des normes


o Ordre et hiérarchie o Plan irrégulier et asymétrique
o Formes géométriques types o Recherche : Harmonie & beauté
o Zonage et standardisation des édifices o Relation entre bâtiments et
Principes de o Découpage : activités, Habitat, voirie hommes
conception de o Voies de circulation larges o Mixité urbaine et diversité des
l’espace urbain o Recherche : efficacité & rendement espaces
o Ville étendue ou éclatée o Mise en valeur des éléments
identitaire
o Ville compacte et intime

32
2 Théories de l’urbanisme

Les tendances actuelles...

Après une phase d'euphorie, l'urbanisme progressiste a suscité


une critique croissante.

On observe ainsi un retour à une structure urbaine plus


traditionnelle conformément aux thèses culturalistes (rues, mixité
fonctionnelle, ...) tout en intégrant les acquis du courant
progressiste (l'espace, les réseaux de circulation,...).

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