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Resd Clinic 2019
Resd Clinic 2019
Resd Clinic 2019
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CAS CLINIQUE
Mme M, 25 ans, consulte aux urgences pour douleurs lombaires gauches évoluant depuis 24 heures,
accompagnées de vomissements. Elle a subi une néphrectomie droite à l'enfance suite à des infections
urinaires à
répétions et a déjà présenté des «crises» similaires en rapport avec des lithiases rénales. La patiente est
apyrétique.
La bandelette urinaire retrouve: Sang ++, Leucocytes ++, Protéines+. La diurèse est réduite avec une
créatinémie
à 18 mg/1. L'échographie retrouve une dilatation des cavités pyélocalicielles gauches sur un obstacle
lithiasique de
12
mm.
57. Qu'évoquez-vous ?
C. Une salpingite
A. ECBU
ASP
B.
UIV
C.
D. Uroscanner
E. Bilan biologique: FNS, Urée et Créatinine sanguine, CRP, lonogramme sanguin
C. Organique
D. Vasculaire
E. Glomérulaire
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B. Antalgiques
61. L'évolution est favorable. La créatininémie de base de la patiente est de 14mg/L. Que suspectez-vous
C. Néphropathie glomérulaire
D. Néphropathie vasculaire
E. Néphropathie congénitale
CAS CLINIQUE
Un homme de 51 ans, fellah de profession sans antécédents pathologiques, est hospitalisé pour des
ecchymoses
A. Anémie
B. Thrombopénie
C. Lymphocytose relative
D. Leucopénie
E. Neutropénie
D. Aplasie médullaire
E.
CIVD
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A. Immunophénotypage médullaire
B. Caryotype médullaire
C. Scintigraphie osseuse
D. Coloration de Perls
E. Biopsie ostéo-médullaire
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B. Age> 20 ans
E. Début brutal
B. Phénotype érythrocytaire
D. Typage HLA
A. Androgènes
B. Immunosuppresseurs
C. Transfusion de plaquettes
E. Thérapie ciblée
CAS CLINIQUE
Une patiente de 36 ans consulte pour des yeux rouges prurigineux avec larmoiement et photophobie. A
lexamen,
l'acuité visuelle est de 10/10 Parinaud 2, les yeux sont rouges, les conjonctives hyperhémiées, sans
cercle
périkératique. La rougeur prédomine au niveau des conjonctives palpébrales avec présence de papilles.
69. Dans ce cas, quels sont les signes évocateurs d'une conjonctivite allergique?
A. L'hyperhémie conjonctivale
B. Le prurit
C. Le caractère unilatéral
D. Le larmoiement
E. Les papilles
A. La conjonctivite géographique
B. La kératoconjonctivite vernale
C. La conjonctivite folliculaire
D. La kératoconjonctivite atopiqu
E. La conjonctivite gigantopapillaire
71. Quel bilan allez-vous réaliser, sachant qu'il s'agit du 3 épisode de ce type ?
A. Sérologies
B. NFS
C. Tests épicutanés
E. Dosage du complément
D. Eviction de l'allergène + lavage oculaire +collyre anti-allergique + corticoide en collyre à forte dose
E. Eviction de l'allergène + lavage oculaire + collyre anti-allergique + corticoide en collyre au long cours
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73. Un des médicaments prescrits peut avoir des effets secondaires oculaires. Lesquels?
C. Une cataracte
CAS CLINIQUE
Melle K.R, 25 ans, se plaint depuis 03 mois d'hypoacousie gauche avec sensation de plénitude du même
côté.
'otoscopie retrouve un tympan normal à droite et un tympan bombé à gauche avec présence d'un
niveau
liquidien rétro-tympanique sans signes inflammatoires locaux.
A. une otospongiose
B. Une rhinomanométrie
E. Un tympanogramme
76. Les examens montrent une surdité de transmission modérée et un tracé plat. La survenue d'épistaxis
gauche et d'une adénopathie sous-digastrique homolatérale en cours d'évolution vous font penser à
A. un fibrome nasopharyngê
C. un cancer du cavum
D. un cancer du larynx
78. Le résultat histopathologique est en faveur d'un carcinome épidermoide indifférencié. Quel
traitement
est indiqué ?
A. Chirurgie
B. Chimiothérapie
C. Radiothérapie
D. Appareillage auditif
E. Antibiothérapie
CAS CLINIQUE
Un patient âgé de 27 ans, maçon, sans aucun antécédent pathologique, consulte pour des lombalgies
irradiant à la
face postérieure de la cuisse, du mollet et à la plante du pied gauches, apparues 10 jours auparavant
suite à un
effort de soulèvement. Elles sont aggravées par les efforts, soulagėes par le repos et impulsives à la toux.
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A. aiguës inflammatoires
B. aiguës mécaniques
C. chroniques inflammatoires
D. chroniques mécaniques
E. subaiguës mixtes
B. Une lombocruralgie L4
C. Une lombosciatalgie L5
D. Une lombosciatalgie Si
A. Le sexe masculin
L'age
B.
C. L'effort de soulèvement
D. Le trajet de la douleur
E. L'impulsivité à la toux
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Une patiente de 20 ans s'est présentée pour un eczéma, évoluant depuis 6 semaines, localisé au lobule
de l'oreille,
A. un eczéma atopique
85. Quels sont les éléments qui permettent d'évoquer cette étiologie ?
A. L'age
B. Le sexe féminin
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B. les patch-tests
D. une NFS
E. la recherche de sarcoptes
A. Corticothérapie générale
B. Corticothérapie locale
C. Eviction de l'allergène
D. Désensibilisation spécifique
E. Benzoate de benzyle
88.
E. un mécanisme photo-allergique
CAS CLINIQUE
Patient âgé de 68 ans, fumeur (45 PA), éthylique, consulte pour douleur basithoracique droite, toux
sèche,
dyspnée d'effort et fièvre, évoluant depuis 6 jours. L'examen physique retrouve une matité avec une
abolition du
murmure vésiculaire.
A. Pneumopathie
B. Pleurésie
C. Pneumothorax
D. Embolie pulmonaire
E. Tuberculose pulmonaire
par une ligne débordante axillaire, surmontée par un petit niveau hydro-aérique.
D. pH 7,1
A. lonogramme sanguin
EFR
E. Echographie abdominale
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A. Aspect louche
C. CRP élevée
D. Ethylisme
E. Fétidité
93. Quelle est votre conduite à tenir ?
CAS CLINIQUE
Mme M C, 67 ans, diabétique mal équilibrée, se présente aux urgences pour essoufflement. Elle était
suivie
pendant quelques années pour ce problème, mais a interrompue tout suivi cardiologique depuis 3 ans.
La patiente signale une aggravation progressive de 'essoufflement avec apparition d'une dyspnée de
repos depuis
8 jours. L'examen clinique retrouve une apyrexie, une pression artérielle à 165/90 mmHg, une saturation
en
oxygène (Sp02) à 93%, une FR à 22 cycles/mn, un pouls rapide et irrégulier à 160 bpm, des edèmes
malléolaires,
symétriques, indolores et prenant le godet. A P'auscultation, on note un souffle systolique à l'apex coté
2/6, un
éclat du B2 au foyer pulmonaire et des crépitants aux bases pulmonaires. L'ECG retrouve un rythme
rapide
C. Tachy ACFA
B. Hypovascularisation pulmonaire
C. Lignes B de Kerley
E. Lignes A de Kerley
A. Diurétique de l'anse en IV
D. Dobutamine
97. Après un séjour de 7 jours à l'hôpital, la patiente est mise sortante. Quels médicaments doivent
figurer
E. Antivitamine K (Sintrom)
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Cas clinique
est conduit aux urgences pour une perte de connaissance brutale d'environ 30 secondes selon
l'entourage et
retrouve une notion de douleurs angineuses remontant à la veille et négligées par le patient. L'ECG
retrouve
profondes avec un segment ST sus décalé, des ondes T négatives en DII DIll et AVF. Les QRS ne sont pas
B. est une syncope vraie vue l'absence de prodromes avec installation brutale
D. est une syncope vraie et la durée de la perte de connaissance explique les convulsions
100.
Ce BAV est