Langue Hebraique Reconstituée Fabre D-Olivet Partie 1 PDF
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LANGUE
HBRAQUE
RESTITUE,
ET LE VRITABLE
ET
RTABLI
LEUR
PAR
OuvRAGE
t*. Une
dans
le but
conduire,
et
Une
G&AMMARE
a*.
liter
srie
runis
sur
l'origine
s'est
propos;
fonde
HaMLUQTE,
de RACtMS
l'intelligence
4. Un DtSCOVRS
traduction
5". Une
de
l'Auteur
que
RADICALE.
sur
de la Parole,
de nouveaux
l'tude
des
et
principes,
qui
langues
rendue
utile
peuvent
l'tude
des
en gnral
langues
3". Une
trouve
utTRODTCTiVE
DtssMT~TtON
PROUV
ANALYSE
on
lequel
HBREUX
DES MOTS
SENS
du
HM&AQmss,
et
langage,
PMHMHtARE
en franais
des
sous
envisages
celle de la science
dix
premiers
des
rapports
et destines
nouveaux,
faci-
tymologique;
chapitres
du
Spher,
contenant
la
CosMOGOtHE
MoSE.
traduction,
destine
servir
de preuve
aux principes
et dans le Dictionposs dans la Grammaire
d'une
VERSoN MTTRAM,
en franais
et en anglais,
faite sur le texte hbreu
est prcde
naire,
prsent
en caractres
avec une transcription
et
de
en original
notes
et crimodernes,
accompagne
grammaticales
o l'interprtation
donne
et sa confrontation
chaque mot est prouve
tiques,
radicate,
par son analyse
avec le mot analogue
ou grec.
samarita%,
haldaque,
syriaque,
arabe,
Cette
PAR FABRE-D'OLIVET.
A
rue
~L'AUTEun,
CaEZ/BARROis,
(EBEHNART,
l'ain
PARIS,
de Traverse,
Libraire,
Libraire,
rue
n". 9, faubourg
St.-Germain
a". i3.
rue de Savoie,
du Foin
p-
~1
St.-Jacques,
n".
a.
J.-M.
EBERHART,
IMPRIMEUR
RUS
DU
FMN
DU
COLLGE
NAINT-TAOqCES,
ROYAL
N.
t~.
DE
FRANCE,
LA
LANGUE
HEBRAQUE
RESTITUE.
PREMIRE
DISSERTATION
PARTIE.
INTRODUCTVE.
~MWW~~MW~WWMMM~WWMMM~WM~~MMMWMM~M~WMMMWW~~
INTRODUCTIVE.
DISSERTATION
i.
~tr~
de la
yo/
Parole,
~eM~e~~
et sur
l'tude
des Langues
qui
conduire.
de la Parole
est gnralement
inconnue.
C'est en vain
que les savans des sicles passs ont essay de remonter
jusqu'aux
brillant
cachs de cenhnomne
l'homme
qui distingue
principes
de tous les tres dont il est environn,
rflchit sa pense, l'arme du
L'ORiciNE
et dveloppe
ses facults morales;
tout ce qu'ils
une srie de conont pu faire, aprs de longs travaux,
a t d'tablir
fondes
jectures plus ou moins ingnieuses,
plus ou moins probables,
en gnral sur la nature physique de l'homme qu'ils jugeaient invariable,
Je ne parle point
et qu ils prenaient
pour base de leurs expriences.
ici des thologiens
sur ce
sholastiques
qui, pour se tirer d'embarras
que l'homme avait t cr possesseur d'une
point difficile, enseignaient
langue toute forme; ni de l'voque Walton,
qui, ayant embrass cette
flambeau
du gnie,
commode
opinion,
en donnait
avec le premier
homme,
pent (a) ne rflchissant
avec Eve, et auquel Dieu parlait aussi, aurait donc puis la mme
source de la Parole, et particip
la langue de la Divinit. Je parle de
ces savans qui, loin de la poussire et des cris de l'cole, cherchaient
de
bonne
de St~Grgoirc
Wahoo,
proiegom.
de Nysse,
t.
de rejeter
l'opinion
thologique
cet
DISSERTATION
vj
et d'adopter
celle
de Diodore
gard,
Lucrce
faire approuver.
C'est un extrme heurtant
et par
un autre extrme,
cela mme,
sortant du juste milieu o rside la vrit. Rousseau dans
son style nerveux et passionn,
de la socit
peint plutt la formation
que celle du langage
et luMneme,
entram
il embellit
ses fictions
des couleurs
croit
par son imagination,
fantastique.
pos(c) On voit bien dans son crit un commencement
sible de civilisation,
mais non point une origine vraisemblable
de la
Parole. H a beau dire que les langues mridionales
sont filles du plaion lui demande
sir, et celles du nord de la ncessit
toujours comment le plaisir ou la ncessit peuvent enfanter simultanment
des mots
que toute
adopter.
svre,
et que
et surtout s'accorde
une peuplade
comprendre,
s'accorde
N'est-ce pas lui qui a dit, avec une raison plus froide et plus
que le langage ne saurait tre institu que par une convention,
cette
convention
se concevoir
ne saurait
sans le langage ? Ce
moderne peut-il tre
naturelles,
Stm. Hismit'e
crit. L.
ch.
(e)'M<t<~M~Mt'(~J!<aH~M.
S'M.n~
Sic. L. I.
<tAtM'iottin)ue*onMMtt<ttUfnM)ba)nt
< Mtct'c,
ut utUitM c~ueMtt
nnaunK
iM(.~f<.
i*
reinm)'.
<*
~n<
~o~,
1
T. Il.
INTRODUCTIVE.
~j
son disciple le plus labo~
et Locke et Condillac,
si vous voulez, assist la dcomposition
d'une
bientt
dans l'habile
ridicule,
analyste qu'un oprateur
et pourquoi
danse
et comment
qui s'tant flatt de vous expliquer
tel acteur sur le thtre,
saisit un scalpel et dissque les jambes d'un
cadavre.
Socrate
entendez
encore
et Platon
vous reviennent
dans la mmoir.
Vous les
les physiciens
et les mtaphysiciens
de
gourmander
leur temps
la vaine
argumcns
(6) vous opposez leurs irrsistibles
et vous sentez bien qu'il ne suffit
jactance de ces crivains empyriques,
une montre pour rendre raison de son mouvement.
pas de dmonter
Mais si l'opinion
des thologiens
sur l'origine de la Parole choque
la raison, si celle des historiens
ne peut rsister
et des philosophes
un examen svre, il n'est donc point donn l'homme de la connatre.
du temple de Delphes,
L'homme,
qui selon le sens de l'inscription
(*)
ne peut rien connatre
est donc
qu'autant
qu'il se connat lui-mme,
ignorer
ce qui le place au premier rang parmi les tres
condamn
ce qui lui donne le sceptre de la Terre,
ce qui le constitue
sensibles,
vritablement
la Parole! Non, non cela ne peut tre, parce
homme;
est juste. Un nombre
assez considrable
de sages
que la Providence
et si malgr leurs e~rt~,
parmi toutes les nations a pntr ce mystre,
ces hommes privilgis n'ont pu communiquer
leur science et la rendre
c'est que les moyens,
les disciples ou les circonstances
iauniverselle,
vorables
pour
cela.
Thett.
Cne fameuse
P&e~oM. C~
inscription
eoHHatt <o)(
DISSERTATION
vuj
Car la connaissance
de la Parole,
celle des lmens et de l'origine
du langage, ne sont point au nombre
de ces connaissances
que l'on
d'autres,
ou qu'on dmontre
transmet
facilement
la manire des
Avec quelque tendue qu'on les possde, quelques
racines
profondes qu'elles aient jetes dans un esprit, quelques fruits nombreux
on n'en peut jamais communiquer
qu'elles y~Ient
dvelopps,
que le
gomtres.
principe.
de suite,
parfait, ne produisent
point
selon leur espce, un germe
si rien d'extrieur
Infertile,
lmentaire
ne se propage ni tout
le plus vigoureux,
l'animal le plus
simultanment
leur semblable. Ils jettent,
d'abord
trs-dISrent
d'eux, qui demeure
pager.
striles
ou touSes.
Les secours
c'est
pas manqu nos savans
les recevoir. La plupart
de ceux qui s'avisaient d'crire sur
l'aptitude
car
les langues ne savaient pas mme ce que c'tait qu'une langue
ou d'avoir
il ne suffit pas pour cela d'avoir compil des grammaires,
d'un supin an grondif;
su sang et eau pour trouver la dISrence
n'ont
entr'eux
les avoir compars
explor beaucoup d'Idiomes,
et sans prjugs;
afin de pntrer,
assidment
par les points de contact de leur gnie particulier,
jusqu'au gnie universel
qui prside
et qui tend n'en faire qu'une seule et mme langue.
leur formation,
il faut avoir
Parmi
lument
antiques de l'Asie, il en est trois qu'il faut absosi l'on veut marcher
avec assurance dans le champ
et s'lever par degrs jusqu' la source du langage.
les Idiomes
connattre
de l'tymologle,
Ces Idiomes, que je puis bien, juste titre, nommer des langues dans
te sens restreint que l'on donne ce mot, sont le chinois, le sauscilt,
Ceux de mes Lecteurs
les travaux des
et l'hbreu.
qui connaissent
savans de Calcula, <~tparticulirement
INTRODUCTIVE.
ix
cet estimable
que je nomme l'hbreu en place de l'arabe,dont
et qu'il cite comme l'une des
crivain fait driver l'Idiome hbraque
de l'Asie. Je vais expliquer
ma pense cet gard, et
langues-mres
dire en mme temps pourquoi
je ne nomme ni le persan ni le ttare
penser que j'oublie.
oghoury
que l'on pourrait
s'tonner
eut gard en
des peuples
puisqu'il ne
des cinq na-
tions dominatrices,
tirentleur
origine des Hindous et des Arabes, (6) et
que les Chinois ne sont qu'une colonie indienne;
(c) ne reconnaissant
ainsi que trois couches primordiales,
celle des Ttares, celle des
savoir
et celle des Arabes.
Hindous,
cette conclusion,
Quoique je ne puisse lui accorder entirement
je
ne laisse pas d'en infrer,
comme je viens de le dire, que cet crivain en nommant
les cinq nations principales
de l'Asie, avait eu plus
droits 1 antriorit.
Il
d'gard leur puissance qu' leurs vritables
est vident
arabe
du moins,
s'est environn
l'clat
dont le nom
grce l'apparition
et de l'empire
islamite,
du culte
de Mahomed,
et la propagation
W. Jones n'eut point prfr le peuple arab au peuple hbreu,
pour
en fan une
de l'Asie.
des souches primordiales
Cet crivain
avait fait une tude trop sre des langues asiatiques
aux Hbreux et aux
pour ne pas savoir que les noms.que nous donnons
grce notre manire
Arabes, quoiqu'ils
paraissent trs-dissemblables,
de les crire, ne sont au fond que la mme pithte modifie par deux
dialectes
dinrens.
() ~M<. ~~M~A.
(&)~.T.n.p.5t.
Tout
T. t.
6
le monde
et l'autre
~Mt!M-&.
peuple
T. M. p. 308.3~.
rap-
DISSERTATION
Hber
porte son origine au patriarche
(*) or, le nom de ce prtendu
ne signifie rien autre chose que ce qui est plac derrire
on
Patriarche
ce qui est e/o~y~
tM-c~/a,
cac~e~ dissinaul,
p~e~M/OM/co
ce qui est occidental,
etc. Les Hbreux,
qui passe,
ce qui terntine,
celui des Arabes, en ont
dont le dialecte est videmment
antrieur
driv
enrichi
le Koran
qu'un
le driv
dveloppement
arabe est
(a) ~M<.
re<earc&.
du Spher,
)C Xa~t,
ua Arabe*
T. ,H. p. t3.
INTRODUCTIVE.
lui
refuge sacr de 1 idiome hbreu,
d'une inspiration
contenir,
divine,
indpendamment
y (a)
paraissait
de beauts exquises, de moralit pure, d'hisplus de vraie sublimit,
toire essentielle et de traits de posie et d'loquence,
que tous les livres
crits dans aucune langue, et dans aucun sicle du monde.
ensemble,
de Moyse
tandis
X)
que ce Spher,
croire.
que j'aime
Au reste, ce n'est jamais que par des ouvrages de cette nature qu'une
aux lecteurs
sacre.
laissant
un seul homme
les idiomes
(~~J.MI.p.tS.
ttares
dans
une
(b) ~~c~/MMC.
fluctuation
des Recher.
continuelle,
~<<
assez
b.
<
DISSERTATION
xij
celle qu'prouvent
de nos jours les dialectes informes des
peuples sauvages de 1 Amrique, rend leur tude inutile 1 tymologie, et ne peut servir qu' jeter dans l'esprit des lueurs incertaines,
semblable
sorte
de
dialecte
(c) ~M.
on.
p. 514.
INTRODUCTIVE.
xilj
savant
n'apparles livres
en pehivi
sans
H en est de mme
de l'Idiome
(a) Millin
JtfoKMme~
M<&& etc. T. 1.
p. 5~-68.
cet ouvrage
(*) On ne connat
qui traite
des mcenu et usage de la Perse, que par un
DISSERTATION
xiv
de la terre,
la plus ancienne;
celle dont les lmens
sont les plus simples et les plus homognes.
Ne au milieu de quelques
hommes
grossiers spars des autres hommes par l'effet d'une catasdans
arrive au globe, elle s'est renferme
d'abord
trophe physique
les plus troites limites, ne jetant que des racines rares et matrielles,
des'sens.
et ne s'levant
des plus simples perceptions
pas au-dessus
dans son origine,
la mmoire que
Toute physique
elle ne rappelait
environ deux cents mots composaient
tout son
physiques
lexique; et ces mots, rduits encore la signification
la plus restreinte,
.< tachaient
tous des Ides locales et particulires.
La Nature,
en
des objets
les langues,
la dfendit long-temps
contre le
s'tant multiplis,
et lorsque les hommes qui la parlaient,
mlange;
au loin et se rapprocher
des autres hommes,
se rpandre
l'art
purent
J'entends
vint son secours et la couvrit d'un rempart
impntrable.
volant
ainsi de toutes
les caractres
dont une tradition
sacre
symboliques
par ce rempart
dit cette tradition,
l'origine Fo-hi. Ce saint homme,
ayant
rapporte
examin le ciel et la terre, et recherch la nature des choses mitoyennes,
suffirent
JToMO, dont les diverses combinaisons
pour
du peuple.
exprnner toutes les ides alors dveloppes dans l'intelligence
il fit cesser l'usage des nceuds dans les
Au moyen de cette invention
cordes qui avait eu lieu jusqu'alors. (*)
traa
les huit
mesure que
s'tendit,
de nouvelles
ides, sa
Kang-hi fit
l'empereur
dcora d'une prface.
traduire
en ttare,
et
INTRODUCTIVE.
xv
et se prter tous
pussent suivre l'essor de la pense,
de l'imagination.
(<) Ce pas fait, rien n'arrta
plus
la marche
de cet idime indigne,
qui, sans jamais varier ses drien d'tranger
dans sa forme, a suffi pendant
mens, sans admettre
une
suite incalculable
d'une
nation
immense
lui a donn
rvolution
n'a pu dtruire,
des livres sacrs qu'aucune
et moral peut
s'est enrichi de tout ce que le Gnie mtaphysique
et de plus pur.
fanter de plus profond,
de plus brillant
i
et
en-
Le samscrit
n'est
Ceilan,
des vestiges
aux royaumes
appelle
comme
l'empire
sacre. (6)
rencontre
l'origine
exotique
considrables
W. Jones
les Chinois.
T. I. p. a~3
OMf. Z&M~. T. vm. p. 33 e< ~Mf. J)~H. ~e
~c<t~.
des D~c~.
T. XXXV. M-4". p. aS.
de .SaM. T.
(b) Descript.
n~er.
T. VI. p. 3<
p. s)5. ~M/.
DISSERTATION
xvj
convenable
tre,
et se trou-
a dvelopp
une force d'expression,
dont tous les Europens
dance,
qui ont t
parlent avec admiration.
(a)
elle,
de
originaire
a reu d'une
mme
de
l'entendre
de rveries
de l'Eglise,
quelle a prsid la naissance du monde,
la bouche de Dieu mme,
que les anges et les hommes l'ont apprise de
sa source,
retournant
deviendra
celle
et que cette langue cleste,
dans le ciel; je ne dirai pas non plus
parleront
que les bienheureux
d'une
avec les philosophistes
modernes,
que c'est le jargon misrable
ou les docteurs
Halhed,
dans
la p/t~ace
de la Gramm,
~e~a~e<<&tCt~Co~e~t/OM~MCeM<o.<
du
horde
INTRODUCTIVE.
la-
d'hommes
malicieux,
opinitres,
xvij
dfians,
avares, turbulens;
l'hbreu
renferm
dans le S-
aucune,
que
je dirai, sans partialit
pher est le pur idime des antiques gyptiens.
Cette vrit ne plaira pas aux gens passionns
pour ou contre,
je
le sens bien
mais ce n'est pas ma faute si la vrit flatte si rarement
les passions.
n'est ni la premire
ni la dernire
des
Non, la Langue hbraque
ce n'est point la seule des langues-mres,
comme l'a cru
langues
mal propos un thosophe
moderne que j'estime d'ailleurs beaucoup,
parce que ce n'est pas la seule qui ait enfant des merveilles divines
c'est la langue d'un peuple puissant,
d'un peuple
sage, religieux
instruit
ami
dans les sciences morales,
templatif,
profondment
mystres; d'un peuple dont la sagesse et les lois ont t justement
mires.
(<x)
condes
ad-
Cette
langue,
spare de sa tige originelle,
loigne de son
berceau par l'effet d'une migration
dont il est inutile
providentielle
de rendre compte en ce moment
du peuple
devint l'Idiome particulier
la branche
et semblable
fconde qu'un habile agriculteur
hbreu;
sur un terrain prpar dessein,
ayant transplante
pour y fructifier
elle a
aprs que le tronc puis d'o elle sort a disparu,
long-temps
conserv
et port
jusqu'
nous
le dpt
prcieux
des connaissances
gyptiennes.
Mais ce dpt n'a point t livr aux caprices du hasard. La Proa bien su le mettre l'abri des
vidence, qui voulait sa conservation,
couvert d'un triple voile, a franchi
orages. Le livre qui le contient,
le torrent
c'est
tout le contraire
des
choses,
de l'hbreu
cet idime
spar,
T. II. p. 2t3.
tout
DISSERTATION
xv;ij
d'une langue
parvenue
en dgnrescence,
et de restriction
en restriction,
dgnrescence
justout ce qui tait esprit y est dequ' ses lmens les plus matriels
tout ce qui tait intelligible
venu substance;
est devenu sensible; tout
est devenu particulier.
ce qui tait universel
Le samscrit,
gardant une sorte de milieu entre les deux, puisqu'il
tait le rsultat d'une langue faite, ~nte sur un idi6me Informe, s'est
mais aprs avoir,
dploy d'abord avec une admirable
promptitude;
comme le chinois et l'hbreu,
jet ses fruits divins, il n'a pu rprimer le luxe de ses productions
son tonnante
flexibilit est devenue
la source d'un excs qui a d entramer
sa chute. Les crivains hindous,
abusant de la facilit qu'ils avaient de composer
des mots, en ont comnon seulement
ils en ont eu de dix, de
pos d'une excessive longueur
de vingt syllabes,
mais ils ont pouss l'extravagance
jusqu'
quinze,
dans de simples inscriptions,
des termes qui s'tendent
renfermer,
jusa suivi
qu' cent et cent cinquante
vagabonde
(<). Leur imagination
de leur locution
une obscurit
l'intemprance
sur leurs crits
leur langue a disparu.
rpandue
une
Mais cette langue dploie dans les ~a~s
sa flexibilit
C'est l qu'on peut examiner
native,
la rigidit de l'hbreu,
qui, hors.l'amalgame
ne souffre aucune composition
$ ou bien,
chinois ses mots, tous monosyllabiques,
impntrable
richesse
s'est
conome.
et la comparer
de la Racine et du Signe,
la facilit
de se runir
que laisse le
ensemble sans
se confondre
vain.
(a)
366,
~M.
etc.
~t;(t~.
T. I. P. i~9
357,
CORPP~
(&) ~CM.
(c)
T.
Vin.
<T~MMM.T. I.
p. t33 85.
NTRODUCTVE.
xix
est d'en
tion.
Issu de l'gypte,
o l'on se servait la fois et des caractres
hiet des caractres littraux
roglyphiques
(<), il offre une image symbolique dans chacun de ses mots, quoique sa phrase conserve dans son
toute
ensemble
gauche
ceux du samscrit
d'une ligne horizontale,
allant de gauche droite;
au contraire,
de droite gauche.
les caractres
hbraques,
procdent
des caractres symboliques,
II semble que, dans l'arrangement
le gnie
de la langue chinoise rappelle leur origine, et les fasse encore descendre
Le samscrit et
du ciel, comme on a dit que fit leur premier inventeur.
en traant leurs lignes d'une manire oppose, font aussi allul'hbreu,
l'autre,
suivent
en rangeant
la direction
sion la manire
comme
mais
les colonnes
dont
furent
de droite
invents
leurs
caractres
tout
le prtendait
trs bien Leibnitz,
comme
cet usage appartient
spcialement
littraux;
car,
a sa raison suffisante,
l'histoire
des peu-
qui reurent
temps de droite
leur
fit bientt
(~)acm.A~x.~nw:.L.V.Hcrodot.L.n.3C.
leurs lettres
des Phniciens,
mais leur origine,
gauche;
modifier
cette
marche.
(~) Hcrodot
crivirent
tout-a-fait
D'abord
aussi
dif~-
ils tracrent
/<
c.
DISSERTATION
xx
leurs lignes en forme
nant alternativement
de sillons
de gauche
en allant
droite
de droite
(<)
la seule mthode
l ce parallle
faire un choix.
d'autant
plus
du chinois,
pas entendu.
terminer
commenc.
s
Langue
En
~~y~Me~
vicissitudes
n.
du
otM~e/z~c~
que
ce livre
la Langue hbraque,
cune des difncults,
aucun des dangers
~<?~.
~c~.
T.
XXXIX.
de jMo~~e~
a <~p/ioM~Je~.
choisissant
(~) ~MM.
Z~Mg. p. 4~.
Spher
au-
je ne me suis dissimul
auxquels
m-!3.
p.
3Q.
je m'engageais.
Cpt'rt-GbetiM,
QuelO~g.
<&<
!NTRODUCTIVE.
XX)
il me faudrait heurter
violemMoyse dans sa grammaire
primitive,
ment des prjugs scientifiques
ou religieux que l'habitude,
l'orgueil,
aux erreurs an1 intrt, la rouille des ges, le respect qui s'attache
tiques,
concouraient
garder.
Mais
s'il fallait
quelles seraient
son adolescence
ensemble
consacrer,
raffermir,
vouloir
DISSERTATION
xxi)
il serait maladroit
ou coupable
d'attaquer
servent
encore
lorsqu'ils
ces prjugs
ou d'branler
d'tai soit l'difice sociale
ces charpentes,
et d'aller, sous prtexte de leur rusticit,
soit l'difice particulier,
de
leur mauvaise grce, de leur embarras
les renverser
hors
ncessaire,
il serait ridicule ou timide de les laisser en
autant
de propos
place
les uns et les autres, par l'enet d'un respect frivole ou surann,
d'une
faiblesse superstitieuse
et condamnable,
ne servent
lorsqu'ils
plus
des insrien, qu'ils encombrent,
qu'ils masquent,
qu'ils dnaturent
titutions
plus sages, ou des portiques
plus nobles et plus levs. Sans
dans le premier
ou le
doute,
cas, et pour suivre ma comparaison,
Prince ou l'architecte
doivent
arrter l'ignorant
et l'emaudacieux,
mais dans
pcher de s'ensevelir lui-mme sous des ruines Invitables
le second,
au contraire,
ils doivent accueillir l'homme intrpide
qui,
se prsentant,
ou le flambeau ou le levier la main, leur offre, malgr
difficile.
quelques
prils, un service toujours
Si j'tais n un sicle ou deux plus tt, et que des circonstances
heueussent mis les mmes vrits
reuses, servies par un travail opinitre,
ma porte,
je les aurais tues, comme ont d les taire ou les renfermer hermtiquement
mais
plusieurs savans de toutes les nations
les temps sont changs. Je vois, en jetant les yeux autour de moi, que
ouvre les portes d'un nouveau jour. Partout
les institula Providence
tions se mettent
balanc.
bien
en harmonie
Quel
Je vais donc
intime
me suffit.
la Langue hbraque
dans ses principes
ori.
et la force de ces principes en donnant,
la rectitude
une traduction
nouvelle de cette partie du Spher
restituer
ginels, et montrer
par leur moyen,
qui contient la Cosmogonie
que j'expose
droits contre
INTRODUCTIVE.
xxuj
montrer
le point
les mauvaises directions
qu'on pourrait leur donner,
aux esprits explorateurs,
et bien faire entendre
exact de la question
ment
bonnes
pour
de l'glise 't
cru,
dite des Septante,
par exemple,
que la version
jusqu' St.-Jrme,
tait un ouvrage
divin,
hellnistique
crit par des prophtes
souvent mme,
au
ignorant
plutt que par de simples traducteurs,
dire de St.-Augustin,
qu'il existt un autre original
(~) mais je sais
aussi que St.-Jrme,
cette version
en une injugeant
corrompue
finit d'endroits,
et peu exacte (&), lui substitua
une version latine,
et pour la dqui fut juge seule authentique
par le Concile de Trente,
fense de laquelle l'Inquisition
bchers
(c). Ainsi les Pres
la flamme
des
la dcision
du
Rich. Simon.
&
L. IU. c. ~5.
M yM<ejf. /;~r.
]Mch. Simon.
((.') MtU'MtM
:0
(~) I~Uthct'<~MJOO.)f.
(e)
~<roM.
FuUcr,
/1'
fM~.
C'
Mt MM~'f/A
C. t.
<~ Z</MgMM.
C<tUSabt)U~
Jf.
DISSERTATION
XXIV
bien
avait
cet ouvrage
condamne
l'ide
d'aprs
que toute
s'en
l'glise
de son temps.
Ce n est donc ni de l'autorit
tait forme
et me prouver)
et parfaite de l'hbreu,
non par des citations grecques
et latines que je rcuse, mais par des interprtations
fondes sur des
meilleurs que les miens
principes
que j'ai mal entendu cette langue,
et que les bases sur lesquelles repose mon difice grammatical
sont
fausses. On sent bien qu' l'poque o nous vivons ce n'est qu'avec de
tels arguments
qu'on peut esprer de me convaincre
(*).
Que si des esprits droits s'tonnent
que seul, depuis plus de vingt
dans le gnie de la langue de Moyse, et comsicles, j'aie pu putrer
les crits de cet homme extraordinaire,
ingprendre
je rpondrai
que je ne crois point que cela soit; que je pense, au contraire,
ont en divers temps et chez diffrens peuples
que beaucoup d'hommes
du Spher
de la mme manire que je la pospossd l'intelligence
nument
cette
mais que les uns ont renferm
avec prudence
et t dangereuse
la divulgation
alors, tandis que
de voiles assez pais pour tre difficilement
enveloppe
si l'on refusait obstinment
de recevoir cette explication,
connaissance
sde
dont
d'autres
l'ont
atteinte.
Que
j'invoquerois
d'un homme sage et laborieux,
le tmoignage
qui ayant rpondre
'f Hest trs-possible
une semblable dimcult,
exposait ainsi sa pense
e
a qu'un homme retir aux confins de l'Occident,
et vivant dans le XIX/*
a sicle aprs J.-C., entende mieux les livres de Moyse, ceux d'Orphe
H et les fragmens qui nous restent des trusques,
que les interprtes
(*) Les Pres
tre
cits
c'est
sur
de
ont
un
la
les
comme
des choses
critique.
cru
de l'Eglise
que
reil
cas est
par
!a prouver
autres
de
s'agit
des
Dieu,
mais
irrcusable
que
et selon
cela
est,
de
les rgles
dire
citer
si l'on
la
qu'ils
tait
Septante
les
doute
mais
crivains,
de fait,
Lorsqu'il
la traduction
inspir
ouvrage
sans
peuvent
en paprtend
citation
dans
une
rgles
que
judicieux
discussion
T.
p. 41
etc.
s'engager
excellentes
le
critique
le
ait
possde.
(Voyez
~iaMOtr.
p.
T. VI.
T. XVUI.
de
les
critique,
Frret,
pose
que la France
de .Be~M-Ze<.
IV.
avant
tudier,
~<M~.
p.
est
Il faut
ridicule.
p. 49'
T.XXI.
plus
~6.
INTRODUCTIVE.
XXV
gyptiens.IesGrecsetlesRomaInsdessiclesdePericIsetd
Auguste.
M Le degr d'intelligence
requis pour entendre les langues anciennes,
est
de ces langues
du mcanisme
et du matriel
il est
Indpendant
') tel que l'loignement
des lieux ne saurait lui porter atteinte.
Ces
livres anciens sont mieux entendus
aujourd'hui
qu'ils ne l'taient
mme par leurs contemporains,
de leur gnie, se sont autant
par la force
se sont loi-
rapprochement.
(o)
Voyons maintenant
quel est l'tat des choses. J'ai dit que je regardais l'idiome hbraque
comme une branche
renferm dans le Spher
de la langue des gyptiens.
C'est une assertion dont je
transplante
ne puis en ce moment
donner les preuves historiques,
parce qu'elles
dans des dtails trop trangers
mon sujet
mais il
m'engageraient
me semble que le simple bon sens doit sumre ici car, de quelque made quelque manire
nire que les Hbreux
soient entrs en gypte
sortis, on ne peut nier qu'ils n'y aient fait un fort long
sjour. Quand ce sjour ne serait que de quatre cinq sicles, comme
tout porte le croire (") je demande
de bonne foi, si une peuplade
sans institutions
civiles ou religrossire, prive de toute littrature,
qu'ils
en soient
JMo~WM~.
T.I.
g~
(*) Oo lit an seond Livre
du Spher
inti-
ch. t2.
tu! 010~
H~Mt ~~<'&S~M<M~
~o. que ce sjour fat de 43o ans.
.H:
P~.j.
HL Rich. Simon
(A) Wattnn
cr~. L. B. ch. t~.
DISSERTATION
xxvj
Je crois donc qu'on
a l'vidence,
rejeter
mettre que les Hbreux
sortant
d'gypte
aprs un sjour de plus de
la langue. Je ne prtends
quatre cents ans, en emportrent
pas dtruire
Grotius,
Huet, Leclerc (o), et les
par l ce qu'ont avanc Bochart,
autres rudits modernes,
l'identit
radicale qu'ils ont adtouchant
mise avec raison,
entre l'hbreu
et le phnicien;
car je sais que ce
dernier
trs-troits
devait avoir des rapports
hbraque
avec le dialecte phnicien,
le haldaque,
l'arabe, et tous ceux sortis
il y avait
d'une mme souche;
cultiv en gypte,
mais long-temps
intellectuels
acqr~s des dvcloppemens
qui, avant la dgnrescence
dont
Or, Moyse n'avait-il pas t instruit dans toutes les-sciences des gyptiens ? N'avait-il
l'historien
des Actes des
comme
l'insinue
point,
Aptres (r), commenc
par l tre puissant en paroles et en uvres~
Pensez-vous
si les livres sacrs ds
que la diffrence serait trs-grande,
gyptiens,
ayant surnag sur les dbris de leur empire, vous permettaient d'en faire la comparaison
avec ceux de Moyse? Simplicius
qui,
C&OHa!<ML. n. ch. t. Grot!us:
(a)Bochart,
CoMm.!K<?e/ M.c.! t.Huet:De7MOK~cty:.
Diss. de ~!n~. &ctr.
prop. IV. c. t3.Lederc
JSM~. CM'fe~.
(~) Bossuet
~2.
(c) ~ct. ~n.
111. p&rt. S. 3L
INTRODUCTIVE.
xx~j
un certain
et croyant voir,
rptitions,
frapps de quelques
des anabronismes
-ont
palpables,
pris la lettre,
imagin, tantt que Moyse n'avait point exist, tantt qu'il avait. travaill sur des mmoires pars, dont lui-mme ou ses secrtaires
avaient
biles comprendre,
dans des nombres
maladroitement
recousu
les lambeaux~).
On a dit aussi qu'Homre
comme si l'existence de l'Iliade et de l'Odysse,
l'ordonnance
Simplic.
que Moyse
Comm.
<M-M<. L, Vm.
~S(&) Spinosa:
tract
/Aeo/.
c. 9. Hobbes
Le-
fM<A.Pa/?.in.c.33.Isaacde!aPeyrere:
theol.
/~<
I. L. IV. c.
broke,
Voltaire,
Boulanger,
t.
et peut-tre
Leclerc,
Frret,
C/.
Broliuetc.
etc.
DISSERTATION
xxvi)
de "mmoires
(b);
Dmtride
L'histoire
d'Orphe.
tdLt conserve
dans les archives
On
assure
prit.
lacre
de la Lune
s'en
disputaient
d'Hlne
sacerdotales
la changea
tellement,
que d'un simuil nt une femme, et des ons, ou Esprits clestes qui
la possession
des hommes
qu'il appela Grecs et
mme
qu'il
Troyens.
(g-)
et il avait t
de l'Egypte,
Moyse avait pntr dans les sanctuaires
la forme
on le dcouvre
en examinant
initi aux mystres;
facilement
d'hiroH possdait
de sa Cosmogonie.
sans doute un grand nombre
qu'il expliquait dans ses crits, ainsi que Phylon l'assure (A) son
faisaient le reste. TI se servait de la
gnie et son inspiration
particulire
dans toute sa puret
tait alors parvelangue gyptienne
(*). Cettelangue
nue au plus haut degr de perfection. Elle ne tarda pas as abtardir entre
glyphes
(a)Leclerc,
<eMC&.Richard
in Dm.
Simon:
I. c. 5.
(b) Spher.
(e) /&M. V. c. 'n.
(~.7M~.rV.c.2t~.37.
t3.
(e) Jos. c. to.
(~) Epist. ad ~'<c.
JEBf~. JM JM~M&.
(~) Beausobre,
p.3a8.
(&)Det'~JMc<.
T.
n.
& combattra
(*) Je ne me suis point arrt
croire que
de ceux qui paraissent
l'opinion
anle copte ne dinere
point de l'gyptien
s'imaginer
qu'une pacar, comment
tique
autant vaudrait
reille opinion soit srieuse
dire que la langue de Bocace et dt~ Dante
est la mme que celle de Cicron et de Viren soutegile. On peut faire montre d'esprit
mais on ne fera preuve
nant un tel paradoxe
ni de critique,
ni mme
de sens commun.
INTRODUCTIVE.
xxix
elle-mme au milieu
grossire, abandonne
peuplade
C'tait un gant qui s'tait montr tout coup
des dserts de ndume.
extraordinaire
au sein d'une troupe de pygmes. Le mouvement
qu'il
mais ils suffisait que
sa nation ne pouvait pas durer,
avait imprim
le dpt sacr qu'il lui laissait dans le Spher fut gard avec soin pour
les
mains d'une
fussent remplies.
que les vues de la Providence
D parat,
au dire des plus fameux rabbins (a), que Moyse lui-mme
le sort que son livre devait subir, et les fausses interprtaprvoyant
tions qu'on devait lui donner par la suite des temps, eut recours une
loi orale qu'il donna de vive voix des-hommes srs dont il avait prouv
la 6 dlit, et qu'il chargea de transmettre,
dans le secret du sanctuaire,
H serait
se flattent
encore
trs
si Moyse a rellement
difficile de dire aujourd'hui
laiss cette loi orale, ou si, l'ayant laisse, elle ne s'est point altre~
comme parat l'Insinuer le savant Maimonides,
quand il crit que ceux
de sa nation ont perdu la connaissance
d'une infinit de choses sans
d'entendre
la Loi (c). Quoiqu'il
en
lesquelles il est presque impossible
ne ft parsoit, on ne peut se dissimuler
qu'une pareille institution
faitement
dans l'esprit des gyptiens,
dont on connat assez le penchant pour les mystres.
de Kosrou, ce
Aureste, la hronologie
peu cultiveavantlesconquetes
fameux monarque
persan que nous nommons
Cyrus, ne permet gure
de fixer
de Moyse. Ce n'est que par approxil'poque de l'apparition
(a) Moyse
de Cotsi: Prc~
~<~?M~j~.Ab~-E~JMM~
etc.
au grand
Livre
(A) Boulanger
O~SP
(c) Rambam.
~a~
<&'f. L. I. c. aja.
More. ~-<~A..P~.
c. a!.
xxx
DISSERTATION
mation
qu'on peut placer, environ quinze cents ans avant l're chr
du Spher. Aprs la mort de ce lgislateur tbocratienne, l'mission
entique, le peuple auquel il avait confi ce dpt sacr demeure
core dans le dsert pendant
et ne s tablit qu'aprs
quelque
temps,
plusieurs
combats.
Sa vie errante
influe
Son caractre
rapidement.
s'aigrit;
tourne
les mains contre lui-mme.
Sur uouze
tribus
qui le compoCedtruite.
est presqu'entirement
une, celle de Benjamin,
la mission qu'il avait remplir,
et qui avit ncessit des lois
pendant
exalarme les peuples voisins; ss murs,
ses institutions
exclusives,
son orgueil, les irritent;
il est en butte leurs attaques.
traordinaires,
En moins de quatre sicles, il subit jusqu' six fois l'esclavage;
et six
saient,
trs-probable,
dans le plus inviolable
de la mme manire
la destruction.
vdtentd~
en silence et
que ceux qui se transmettaient
se confiaient
secret, les penses du prophte,
le prser"
son livre
et, au milieu des troubles,
sicles de dsastres,
Mais enfin, aprs quatre
semble luire sur Isral. Le sceptre thocratique
breux se donnent un roi, et leur empire, quoique
sans voisins,
La prosprit
par de puis-<
cueil se montre.
f
NTRODUCTIVE.
~xxj
ses lois sont mmon usurpent la place du Sepher. Moyse est nglig
de ses secrets, investis par le luxe, en proie
connues. Les dpositaires
de l'avarice,
vont oublier leurs sermons. La
toutes les tentations
sur ce peuple indocile,
le frappe
le moins. Il s'agite dans des convulsions
lve le bras
Providence
o il s'y attendait
il se dchire. Dix tribus
deux autres
tribus
au moment
intestines;
d'Isral. Les
s'lve entre ces deux peuples rivaux; ils dressent autel contre autel, trne
ont chacune leur sanctuaire.
Samarie et Jrusalem
La
contre trne
du Spher natt de cette division.
Au milieu des controverses
que fait natre ce schisme, chaque peuple
cite le Spher ouinvoque ses lois mconnues,
rappelle son origine,
bli. Tout prouve que ni l'un ni l'autre ne possdait plus ce livre, et
que ce ne fut que par lm bienfait du ciel qu'il fut trouv, long-temps
mais heuaprs (*), au fond d'un vieux conre, couvert de poussire,
sret
conserv
tandis
fondues
que Jrusalem,
ayant
recouvr
son
code
sacr,
au
de son plus grand pril, s'y attacha avec une force que rien
les peuples de Juda furent conduits en esclane put briser. Vainement
leur cit royale fut dtruite comme l'avait t Samarie,
vage vainement
fut leur sauve-garde.
Ils purent
le Spher,
qui les suivit Babylone,
moment
bien perdre, pendant les soixante-dix ans que dura leur captivit, jusqu'
leur langue maternelle,
mais non pas tre dtachs
de l'amour pour
leurs lois. H ne fallait pour les~lcur rendre
de gnie.
qu'un homme
Cet homme
se trouva, car le gnie ne manque jamais l ou la Providence
l'appelle.
(*) Voyez
C%'w~.
I. c. 3~.
ey ~w.
et
conterez
/!o~.
H. cli.
ta.
DISSERTATION
xxxij
Esdras
du monarque
de Jrusalem.
rois d'Assyrie
cuthennes
ou scythiques,
quelques dbris d'Isral,
rfugis. On avait
aux Juifs dont l'opinitret
voy une copie du Spher
taient
amenes
Samarie,
et mme
quelques
Babylone
conu le dessein de les opposer
religieuse inquitait
(a). On leur avait enhbraque,
trts
tait
difficile
intimider.
tablissement
Non
seulement
il repousse
d'anathme,'
Il fait plus
modernes
tait
dont
d'autant
les Chaldens
avaient
t les inventeurs.
Cette
vation
inno"
t~.
(6) Joseph
B~.
Jud. L. Xt. c.
INTRODUCTIVE.
dans ma Grammaire.
lerai
mulation
Elle
xx~Ij
fit natre
entre
une
docteurs
de Babylone,
il les convoqua,
et tint avec eux cette grande
si fameuse dans les livres des rabbins
synagogue,
(a). Ce fut l que
le changement
de caractres fut arrt
qu'on admit les points-voyelles
dans l'usage vulgaire de l'criture,
et que commena l'antique mashore
faut bien
qu'il
vrage
del du cinquime
sicle de l're chrtienne
(*).
Esdras fit plus encore. Tant pour s'loigner
des
pour
complaire
habitude
longue
Samaritains
que
Ba-
et leur sjour
M R.
(*)
Eleasar.
verset;
La premire
mashore
le nom
dont
in-
dique
l'usage
les
particuliers;
les
ployer,
du
temple
caractres
diffrentes
que
celui
pour
doit
qu'on
divisions
des
y em-
en livres,
doit admettre
ces
guer
Buitorn
qui
tres
ces divisions
choix
en
aux
en
particulier,
note ceux des
que,
est
chacune
et
versets
superflue,
de
de
l'ouvrage
ou quelque
ou
bien
gnral;
lettre
man-
a t
change
et
mot Keri
une
pour
autre,
dsigne
par'le
C&p~
les diverses
doit substileons
qu'on
en
tuer,
les uues aux autres;
le
lisant,
marque
nombre
de M:
que le mme
mot se itonvc
au
au milieu
ou la nu d'un
commencement,
deux
Ao~e
d'Esdras,
qu'il
y eut
l'une
institutions
briade,
qui tait
composent
seim
tournes
sous-entendues,
prononce!,
dessus dessous,
crites
perpendiculairement,
etc. etc. C'est pour
n'avoir
pas voulu
et versets
chapitres
que l'on
dans les
de Moyse;
la seconde
masouvrages
sore,
une
que j'cris
ave
diSeortographe
rente
de la premire,
pour la distinguer
outre
les
les
les livres
caractres,
points-voyelles,
et versets
dont
elle s'occupe
chapitres
gaent'R
dans les dtails
lement,
les plus minutieux
touchant
le nombre
de mots et de letqui
tre
doivent
lettres
quelles
indique
des
sicles
passs
les
si vives
dicule
reI~JBpment
aux minuties
de parIt~Hes
comme
autres,
rin,
Walton,
voyaient
comme
uns,
mas-
Simon
dont
)e
v iens
Mo-
CappeUe,
mme,
rabbins
qui ne
de Ti-
des
que la massore
niaient
qu'il y eut rien d'ancien,
encore
relativement
plus ridicule
au
aux
et
des
caractres,
divisions
rabbins,
l'autre,
se sont livres
accorder
point
ce qui tait
ri-
de moderne,
Richard
de
la premire
ne voyait
que
ne voulaient
d~n
distin-
primitives
tous ceux qui
ce
points-voyelles
du Sepher.
Parmi
ont
quelque
nom
les
ont
de la M<f~Ao~~
l'antiquit
it n'y a eu
que le seul Elias-Levita
qui l'ait rapporte
?it
Mais
des temps
moderues.
plus
peut-tre
n'entendait-il
de
parler
que de la M<w<w
soutenu
'Tibriadc.
tout
ce qu'ils
est
rare
que
les
rabbius
pensent.
<?
discu!.
xx~v
bylone
DISSERTATION
avaient
attachas
a certaines
critures
plus modernes
il en fit un choix,
que celle
retoucha
assurent
les philosophistes
modernes ont embrass cette opinion (c), 9
Pres de l'glise,
et
leur scepticisme,
mais plusieurs
qui favorisait
savans l'ont soutenue
tion
ni une compilation
car on ne suppose
de morceaux
dtachs
ni ne compile jamais des ouvrages
de cette nature
et quant son inil existe une preuve de fait qu'on ne peut
tgrit du temps dUsdras,
c'est le texte samaritain.
On sent bien, pour peu qu'on rflrcuser
chisse, que dans la situation
ennemis mortels des Juifs,
o se trouvaient
frapps
INTRODUCTIVE.
XXXV
de Moyse
dont
je m'occupe;
pher,
S.
111.
du <S~o~r:
des versionsprincipales
Origine
qui en ont t faite8.
6'M~ec~o~~OTM
bien
la Langue~ hbraque,
et d'intellectuelle
dj corrompue
qu'elle tait
son origine, ramene
fut entire ses lmens les plus matriels,
ment perdue aprs la captivit
de Babylone.
C'est un fait historique
dont il est impossible
de douter,
dont on
de quelque
scepticisme
fasse profession.
La Bible le montre
le Thalmud
l'amrme
(6)
(c);
Appuyons
c'est
nier
vrit
le sentiment
(e)
ne se lasse point de le rpter
Simon,
prs de six
(/). Ainsi donc,
sicles avant J.-C.,
les Hbreux,
devenus des Juifs, ne parlaient
ni
n'entendaient
d'un dialecte
plus leur langue originel!e. l se servaient
form par la runion
syriaque,
appel.Aramen,
'de l'Assyrie et de la~Pnnicie,
et assez diffrent
selon d'Herbelot,
tait le pur
chaldaque
(~).
A partir de cette poque, le Spher de Moyse fut
dans les synagogues.
On sait qu'aprs la lecturc
(<) Rich. Simou. R'M/. en'<. L. .ch.
(.&)~e~M.c.8.
(t.-) Thatm. ~efo~. c. 4.
etc.
(c!) RtiM, Rt!~hi~ Ephod,
to.
de plusieurs idiomes
du nabathen
qui,
toujours paraphras
de chaque verset, il
1
(c)~'o~.nictXtL
L. L ch. 8, t6. t~. etc. etc.
(/*) J~M~. <
(~) ~<M<u<At c~. pf 5~}.
e.
DISSERTATION
xxxvj
de violentes
tnt
aux explications
les plus littrales
sectes rivales naquirent
de ces disputes.
elle admettait
lui paraissait
de l'me (~).
les traditions
se moquait
de leurs allgories,
et comme elle ne
Pharisiens,
rien dans le sens matriel
du Spher qui prouvt
ni mme
trouvait
de l'me, elle la niait; ne voyant dans ce que
nont l'immortalit
du
leurs antagonistes
me, qu'une suite de l'organisation
appelaient
avec lui (b). Au
qui devait s'teindre
corps, une facult passagre
des
des socits
CtJiin
(*) Du mot chat<Mquo,
f~OH,
lit COMt~CHf~ <Aa~M.
<tM<&<C<MHt R.Jacob
(<f) Ju~ph,
~/t~.
3.
particulires;
INTRODUCTIVE.
charges
sacerdotales
remplies
parles
xxxvi)
Pharisiens,
et des honneurs
civils
la morale et
s'appliqurent
beaucoup
par les Sadducens,
de la nature. Tous ceux qui ont crit sur la rgle et l'esprit de
cette secte en ont fait les plus grands loges (a). Il y avait des Essniens partout
o il y avait des Juifs; mais c'tait en gypte qu'il s'en
trouvait davantage. Leur principale retraite tait aux environs d'Alexan-
brigus
l'tude
Moria.
Je prie le Lecteur
de faire attention
de quelques
celle des Essniens.
Les Sadducens
ont produit
les Karates
ac-
tuels, autrement
appels Scriptuaires.
Mais avant mme que les Juifs eussent possd leurs Targums
chailes Samaritains
avaient eu une version du Spher,
faite en
daques,
car ils taient moins en tat encore que les Juifs d'enlangue vulgaire;
tendre
Un attribue
ordinairement
un rabbin
nomm
Angeles, le
du Spher,
nomm
dit, et a un autre rabbin,
proprement
celui des autres livres de la Bible, mais on ne saurait fixer
de leur composition.
On infre seulement
qu'ils sont plus
DISSERTATION
xxxvuj
que le Thalmud,
~arce que le dialecte en est plus correct et
de Jrusalem
moins dfigur. Le Thalmud
surtout est crit dans un
ml de quantit
de mots emprunts
des langues voistyle barbare,
du grec, du latin et du persan
sines, et principalement
(a). C'tait
l'idiome vulgaire des Juifs au temps de Jsus-Christ.
anciens
l'idiome
sur la fameuse
et l'loign
de Jrusalem,
version
ver(&).
elle
et s'ils taient
terprtes,
travaillant
ou n'taient
phtes
(a)
7?<
cr~f.
L.
(b)
~K~.
crit.
L. Il.
(c)
De~p!crres
H. ch.
t8.
c. 2.
Auctor.
Cyrili.
script.
tract.
11.
L.
Hieron.
jFjce~oA
Alex.
c. 3..mbr<M..E)M~.
de
t. BcHarnun.
L.
1. EuM-h.
6. Joseph.
Dei.
fe~o
des clulles
enfin
spares en
taient des pro"
o~s<. par.
(<*) S*. Justin.
<K!g<*a~.
de
Clem.
Zt~.
Alex.
weM~. e<pOK~er.
Watton:IX.
(d)
pas dans
~~p~,
~f~K.
C97!M.
L. H. c. 5.
F/t~
tM
P<!M<a/.
J.
Epiph.
fN/w/t.
Monu;
IV.
INTRODUCTT\E.
&XMX
de Ptolme
cette superbe
que s'leva dans Alexandrie
de Phalre,
thque que Dmtrius
auquel il en avait confi la
enrichit de tout ce que la littrature
des peuples offrait alors
les Juifs s'taient tablis en gypte
prcieux. Depuis long-temps
ne conois pas par
veulent absolument
bibliogarde,
de plus
(a). Je
modernes
les savans
quel esprit de contradiction
tt'I que je
que, dans un concours de circonstances
viens de le prsenter,
Ptolome
n'ait point eu la pense qu'on lui attribue de faire traduire le Spher pour le mettre dans sa bibliothque
(A).
est assurment
Rien ne me parat si simple. L'historien
trs
Joseph
sur ce point, ainsi que l'auteur du livre d'Ariste (c)~ malgr
dont il charge ce fait historique.
quelques embellissemens
Mais l'excution
de ce dessein pouvait offrir des difficults;
car on
sait que les Juifs communiquaient
difficilement
leurs livres, et qu'ils
croyable
L. XH. c. 3.
a.
xt
DISSERTATION
l'affranchissement
de quelques
esclaves juifs. Ce souverain
pontife
soit qu'il ft touch
par la bont du roi, soit qu'il M'ost pas rsister
sa volont,
lui envoya un exemplaire
du Spher de Moyse, en lui
de le faire traduire en
permettant
langue grecque. tl ne fut plus question que de choisir les traducteurs.
Comme les Essniens
du mont
Moria
encore
au nombre
.de soixante-dix
pour
d'une autre
ce travail.
Le nom de version
vient
des Septante
circonstance
que je vais rapporter.
Le Thalmud
assure que d'abord
ils ne furent que cinq Interprtes,
ce qui est assez probable;
car on sait que Ptolme
ne fit traduire que'
les cinq livres de Moyse, contenus
dans le Spher, sans s'embarrasser
des additions
en disant.que
d'Es~h-as (&). Bossuet en tombe d'accord,
le reste des livres sacrs fut dans la suite mis en grec pour l'usage des
Juifs rpandus
et dans la Grce, o non seulement
dans l'Egypte
~s
mais encore le
avaient publi leur ancienne langue qui tait l'hbreu,
la.PhiL
(a) Joseph. deBe~oJH~.L.II.ch.
de vit coK/eM~J. Budd. Mt~o~. at~&< &e~
(6) Joseph:
~<<
L. XH. ch. s.
INTRODUCTIVE.
que la captivit leur avait appris (<~). Cet crivain ajoute,
et je prie le Lecteur de remarquer
ceci, que ces juifs se firent un grec
ml d'hbraismes,
et que /ea
qu'on appelle la Langue hellnistique,
et tout le Nouveau Testament
est crit dans ce langage.
Septante
chalden
l est certain
dans l'Egypte
et dans la Grce,
que les Juifs rpandus
oubli le dialecte aramen
dans lequel taient crits
ayant tout--fait
en langue
leurs Targums,
et se trouvant avoir besoin d'une paraphrase
la version du Spher,
naturellement
vulgaire, devaient
prendre
qui
c'est ce qu'ils
royale d'Alexandrie
dj dans la Bibliothque
des additions
firent. Us y joignirent une traduction
et end'Esdras,
le tout Jrusalem
comme paravoyrent
pour le faire approuver
et comme ce tribunal
accueillit leur demande;
phrase. Le sanhdrin
existait
se trouvait
alors
la
compos de soixante-dix
juges, conformment
loi (&), cette version en reut le nom. de ~e~MOT! des Septante,
c'est--dire
(c).
approuve
par les Septante
Telle
est l'origine
de la Bible. C'est une copie en langue grecque
des critures hbraques,
o les formes matrielles
du Spher de Moyse
sont assez bien conserves pour que ceux qui ne voient rien au del
n'en puissent pas souponner les formes spirituelles. Dans l'tat d'ignoles Juifs, ce livre ainsi travesti devait leur conrance o se trouvaient
venir.
Il leur
de synagogues,
que, dans beaucoup
on le lisait non seulement comme paraphrase,
mais en place
grecques,
au texte original (d). Qu'aurait-il
servi en effet de lire
et de prfrence
Ds long-temps
le texte hbreu?
le peuple juif ne l'entendait
plus,
mme
(a) Disc.
(b)
v;ta
H~fH)~.
L. V.
Spher,
in Thisbi.
crit.
(c)
(t<)
convint
Walton:
$. a. ~K~.
c/A.
L. Il.
le plus
ne savait pas
temps,
qu'il
ait crit
beaucoup
une
!.t version
la plus restreinte
MtU'f. I. part.
8.
c. n.
t6. EUas
qu'il
Le-
c. a.
Pro&g.
L. L c
(*) Philon,
tellement
IX.
des Juifs
un
d'hbrea,
histoire
grecque
lui-mme,
Joseph
sa nation,
et qui
qu'il
mot
de Moysa.
de son
tt
incapable
et parmi
les rabbins,
de comparer
l'original.
de
qui a crit une histoire
aurait
du faire
une tude
du Spher,
prouve
a chaque insn'euteud
et
pas le texte
hbreu,
se sert le plus souvent
du grec. Il se fa-
particulire
tant
qu'il
Hb~~Mc<B,
~.
instruit
tait
(*)
quoivante
des heUuistes,
tigue
dans
le connnencetncnt
de son ouvrage
pourquoi
Moyse,
pour savoir
votant
exprile
mer
s'e~t servi
premier
jour de la cration,
du mot MM et non pas de premier,
sans faire
dn
DISSERTATION
usurpait
voulant
la face du Monde,
et oprer un de ces mouvemens
suscita
saires, dont je crois inutile d'exposer la raison profonde,
Un nouveau culte naquit. Le christianisme,
d'abord
obscur,
dr comme une secte juive, s'tendit,
l'Asie,
s'leva, couvrit
Jsus
romain en fut envelopp.
frique et l'Europe.
L'empire
changer
ncesJsus.
consil'Aet ses
politique,
d'une version
la dcrirent
comme un ouvrage faux, et la
illusoire,
firent considrer
aux Juifs comme plus funeste pour Isral, que le
veau d'or. Ils publirent
que la Terre avait t couverte de tnbres
trois jours cause de cette profanation
du Livre saint; ety
pendant
<
la rcNexion
toute
simple
l'un et
que le mot'THtt,
l'autre.
On voit
en
souhbreu,
signifie
la manire
vent
s'attache
moins
dont
qu'il
les noms
sont crits
dont
propres
qu' celte
ils taient
de son temps,
et qu'il
prononcs
les lit
non
la lettre
avec
mais
hbraque,
met
Cet
grecque~
de traduire
et de rendre
sans
y rien
avec
la lettre
ni
ajouter
an moindre
cependant
chapitre
de
son
livre,
historien
le sens
diminuer,
propos.
il dit
qui prod~Moyse,
s'en teigne
Des le premier
ta taque Dieu
au serpent,
sa langue
vequ'il rendit
n'avoir
nimeuse,
qu'il le condamna
plus de
Juifs?
J'excepte
toujours
les Ease-
parole
pieds,
qu'il
commanda
Adam
de
marcher
f. Augnst-
INTRODUCTIVE.
dn;
comme
terrible
s'approchait
doutables
ennemis
un obstacle
Jrusalem
allait
et l'Empire
tomber,
tait promis aux vautours du Nord. Dj
cadavre politique,
romain,
de l'ignorance
noircissaient
les tnbres
l'horizon
dj les cris des
Barbares se faisaient entendre dans le lointain. Il fallait opposer ces re'
rvolution
insurmontable.
Cet obstacle
tait ce livre
desany
contrs.
et Mans
innocente
le crime d'un seul dont il a prpar la chute
postrit
f~}.
disaient tre de lui,
Mnes, jugeant Moyse sur le livre que les Chrtiens
comme ayant t inspir par le Gnie du mal
regardait ce prophte
(A).
un peu moins svre, u. voyait en lui que l'organe du CraMarcion,
teur du monde lmentaire,
fort diffrent de l'tre-Suprme
(c). Les
(a~BeMsctre:
&fp/
Epiphan.
pss&m.
DISSERTATION
xliv
uns et les autres
causrent
les Juifs d'avoir fourr dans les livres de Moyse des choses
la Divinit (~) les autres avaient recours aux
fausses et injurieuses
convenait
allgories
qu'il n'y avait pas moyen de
(b). S~ Augustin
conserver le sens littral des trois premiers chapitres de la Gense, sans
accusaient
sans attribuer
Dieu des choses indignes de lui (c).
la pit,
Origne avouait que si l'on prenait l'histoire de la cration dans le sens
littral, elle est absurde et contradictoire
(c~). H plaignait les ignorans
blesser
au plus injuste et au
dans son
plus barbare de tous les hommes (e). Le savant Beausobre,
(/M ~<2Mc~e~/Me~
et Ptau, dans ses Dogmes
~Z~o~e
~c~ocitent une foule d'exemples
semblables..
~<~M~
Le dernier des Pres qui vit l'horrible
dfaut de la version des helet qui voulut y remdier,
fut S* Jrme. Je rends une enlnistes,
tire justice ses intentions.
Ce Pre, d'un caractre ardent, d'un esprit
aurait remdi au mal, si le mal et t de nature cdes
explorateur,
ses eSbrts. Trop prudent pour causer un scandale semblable celui
de Marcion,
ou de Mnes
dans de
trop judicieux pour se renfermer
vaines
subtilits
comme
Origne ou St Augustin,
la vrit tait de recourir
inconnu.
JP~c~.
o~
que le
au texte original. Ce
il sentit
L, I. 7.
bien
sur ie grec,
to..
x!v
INTRODUCTIVE.
Juifs, l'exception
horribles
tourmens
d'un
trs-petit
ne l'auraient
le texte
n'accuse pas les Juifs d'avoir corrompu
peu moins emport,
et d'apostat
il ne traite pas S' Jrme
il convient
sacr
d'impie
est souvent incomprhensible
mme que la version des Septante
mais
il a recours la providence
de Dieu (c), qui a permis que ces interde la manire qu'il jugeait tre le plus
prtes aient traduit l'criture
propos pour les nations qui devaient embrasser a religion hrtienne.
sans nombre,
S* Jrme a le couAu milieu de ces contradiction';
son dessein; mais d'autres contradictions,
d'autres
rage de poursuivre
(a) Pt Morm ~~crc&StM. Rich. Simoa:
S<'K.<.r<~L.I. <~t
(P) RuBm. 7/!fec~.LIv. n Richard Stmon<
7~.Hv.
(c)
&~J~
I. chap.
Acgust.
~~ocf.
t.
(Xi-Ws!ton:
"ro-
D9SERTATON
H voit que l'hbreu qu'il veut saisir
pbs terribles Fattndent.
lui ehappe chaque Bstamt cpae !~a Jui& (put consume flottent dans
la plus grande Incertitude;
qu'tt&a& s'accordent
point sur le sens des
obstacles
qme le seul
<pFia n'ont attcua pcmcipe n~Cy aiucune grammatre
lexique ean dont il puisse se servir est ceMe mme version heHaiscorriger
tique, qu'il a prtendn
~a). Quet est donc le rsultat de son
mots,
travail
? une nouvelle
traduction
de la Bible
faite da~ un
et conprcdentes,
grecque
latMttm
des ~rmcs
littrales.
latine
divine,
Marciom,
dominait
les esprits de
ouila saivre dams son
qo'OM appeHe
ordinairement
la
Vulgate.
a dclar cette tradaeton
Le Concile de Trente
sans
authentique
la; dclarer infaillible;
nanmoins
l'at soutenue
mais (&) ITnquisMbn
d toute la fore de ses argumens (c), et les thologiens,.de
tOiutte poids
et de leur partialit
de leac intolrance
(*).
Je centrerai
des! controverses
SBOM
point dans le dtail ennuyeux
nombre que la version des, hellnistes. et celle de S~ Jrme
ont fait
natre diams des temps plus modernes.
Je passerait sous silence les tca~
:~t<~L.N.
(~)R!ch. Simon
(b) J9ibf. er&. L. n~ ch. ta.
ch. t3.
(c)~ahvM.~E~R.~chti~.Mart.MKt:
pro JP<~t VM~. C. t.
XIntenee ayant
(') Le carJina
te texte
selon son
hbreu,
le mauvais !a)*ron, la
senthnent,
reprsentaie
version hetteoMti<pie
veMioa
beildttipelalebot:tarron',
um'IarKm, evlull.
M!a;tta}*
duction !at!ne Jcsus-dhtiat
L'~teuc
d~ la
dans sa prface
de Paris ddare
Polyglotte
que ia Tdigate doit ~re fegarie~ commo !s
originelle o toutes les autres versioM
es trappa~t~
texte otmo
doivent
Quand on a de telles id~et on cNre peu d'ace~t
4.
MavdrM.
source
et le
NTMDUCTIVE.
xvi;
avant~
qui ontt faites dans toutes les langues de ITEupope.soit
de Luther,
soit depuis la rformation
parce quelles ne sont toutes ga"
du grec et du latin.
lementque
des copies plus ou moins loignes
disent tant qu'ils vou<
d'Eugubio
Que Martin Luther, qu'Augustin
ductions
de cet ouvrage,
de Hottinger?
quelles clarts nouvelles voi~on
de Bochard,
de Hut, de Leclerc,
de Lelong,
de
en est-il mieux connu? Cette Langue,
perdue de-
des ouvrages
l'hbreu
Michalis?
sicles, cdc-t-elle
puis vingt-cinq
celle de r infatigable Rennicott?
tous les deux ensemble,
pulsent, en compilent,
fouillent
aux recherches
en confrontent
rien
du tout. Quelques
lettres varient,
quelques points-voyelles
changent,
mais la mme obscurit reste sur le sens du Spher. Dans quelque langue
qu'on le tourne, c'est toujours la version des hellnistes qu'on traduit, s
de l'hbreu.
puisque c'est elle qui sert de lexique tous les traducteurs
Il est impossible de sortir jamais de ce cercle vicieux si l'on n'acquiert
une connaissance
vraie et pariaite de la Langue hbraque.
Mais comment acqurir
cette connaissance ? Comment ? En rtablissant
cette
en secouant le joug des
Langue perdue dans ses principes
originels
hellnistes
en reconstruisant
son lexique
en pntrant dans les sanctuaires des EssnicM en se mfiant de la doctrine extrieure des Juils
en ouvrant
qui,
depuis
xM!)
DISSERTATION
INTRODUCTVE.
la Parole,
le samscrit,
et l'hbreu.
j'ai trouv sur mes pas le chinois,
J'ai examin leurs titres. Je les ai exposs mes Lecteurs. Forc de faire
un choix entre ces trois idiomes primordiaux,
J'ai
j'ai choisi l'hbreu.
dit comment
mintellectuelles,
compos son origne, d'expressions
il tait InsenMbement
revenu ses lmens
universelles,
taphoriques,
les plus grossiers, en se restreignant
des expressions matrielles, propres
et particulires.
J'ai montr quelle poque et comment il s'tait entidu Spher de Moyse, unique
rement perdu. J'ai suivi les rvolutions
l'occasion et la manire dont se
livre qui lerenierme~ J'ai dvelopp
de
firent les principales
versions. J'ai rduit ces versions au nombre
ou targunis
la version
les paraphrases
savoir
chaldaques
quatre
celle des hellnistes appele la version des Septante,
cn~n
samaritaine,
celle de 8~ Jrme Du la Vulgate. J'ai assez indiqu l'ide qu'on en devait prendre.
C'est maintenant
montrer la ibrce et
gonie de Moyse, et aux notes qui r~ecQm~agncnt,
de ces rsultats. Je vais me~nvrer sans crainte ce travail
la concordance
difficile,
Jaignent
aussi certain
LA
LANGUE
HBRAQUE
RESTITUE.
PAR
PREMIRE
TIE.
~K~
t~~
GRAMMAB~~BRAQUE.
"L.
jtM~~tM~~MMMMMM~M~tMM~~MMMMWWM~t~~
GRAMMAIRE
HBRAQUE.
CHAPITRE
PREMIER.
Gnraux.
Principes
I.
but de cette
~~fo&Ze
I
L y a longtemps
de parler
aurait
correctement
d penser
ne valait
rien
composer
en effet,
l'on
entend
elles;
mais,
modernes!*
Les
antiques
sont
penses
les hommes.
Ces langues
sont
des
priodes
les sicles;
l'une
lorsque
elles
qui
son
suivent
d'tre
lui survivent.
est teint,
ainsi
des
aux
on doit
vouloir
qui
aux
qu'elles
ressusciter
les
lumires,
avancent
mme
de
expriment.
aux
dans
Quand
l'entendre
ou
pas
les lieux,
des peuples.
se borner
s'agit
envelope
formes
plus
des
lois,
la parler
ne
une
de tous
de la civil!sation
l'hbreu,
qu'il
sous
langues
si c'est
qui n'a
sous
mesure
Continuer,
c'est
pas
de dcouvrir,
aux moeurs,
parle,
qu'on
crire,
envelope
dignes de renatre
de tous les temps,
le cours
et
vivantes,
le zend,
sent-on
une
elles se modiiien<
a cess
gnie
? ne
modernes
est pas
appropries
ges
d'elles
M crits
Il n'en
aussi
et mme
le samscrit,
nature
au contraire,
les penses
d'crire
les langues
pour
parler
crire,
par
l'art
mortes.
de savoir
de cette
langues
des penses
de donner
pour
bonne
dfinition,
tait
il y a longtemps
mais
aux langues
applique
que
inusite,
tous
cette
la Grammaire
langue;
autres
point
faite
une
que
besoin,
Qu'est-il
et les
a dit que
qu'on
Gi~Mt~M!
dans
l'crn'e,
un cadavre
c'<~<
&RAMMARE
r
des manires
avec
dans
raitre
Il faut
froisss'
positions
pnibles,
se
disparues
depuis
mettent
l'instruction
aux
formes
antiques
pussent
pas
chercher
ou
cela a-t-il
parler
ni mme
signes
ont perdu
des
ou
partout
des
l'avancement
les ides
se
modernes
ce que
oppos
les
ides
Ho-
Si Hsiode,
si Platon
autre
lui-mme
offre
sinon
chose,
on a follement
langue,
formes
allemandes
modernes.
de les crire,
leurs
les idiomes
avec
qu'au
de la
tent
et
modernes
des
leur
lumires
leur
et d'clairer
de donner
dans
source,
qu'elles
les
les
la Grammaire
mais
de pntrer
remonter
de
de
pas l'art
et que
en est teint
donc
les ides;
les entendre,
en me proposant
donc,
le son
puisque
relations
conservent
qu'elles
n'est
anciennes
langues
est l'art de
ces langues
leur formation
prsid
Ainsi
leur
de
a donne
qu'on
u rien
modernes
revtir
nu!
se soit
tenu?
de
de l'crire.
Grammaire
dur
pente
formes
ou
anglaises,
entendus;
a~ entendre
La
ides
les
pariaitemeni
a quoi
des obscurits,
parler
dans
scho'
prjugs
ces comapprouver
pour
contraindre
ne
Drude.
vers,
singulirement
on
antiques,
en
penses
cette
que
de vouloir
passer
ne sont
de
des
n'ait
force
soit
la torture,
l'esprit.
publique,
et qu'
tudes,
lieu
prose,
pa-
quelques
je ne saurais
en
ou
romaine,
ancien
malgr
aveu;
soit
d'nn
la robe
mon
longtemps,
Je ne doute point
franaises.
mre,
avec
de la toge
ingnucmcnt,
dans
lastiques,
plier
de Paris
je l'avoue
Europens
s'affubler
franaises,
les rues
que
HEBRAQUE,
de
le gnie qui a
et l'aide
des
d'enri-
procurent,
marche.
une Grammaire
hbraque
ni
parler
personne
~d'apprendre
crire
cette langue
c'est un soin ridicule
qu'il faut laisser aux rabbins
des synagogues
Ces rabbins,
force
force
de se tourde scher,
mon
menter
but
n'est
sur
assurment
la valeur
nuer
psalmodier
m~me
quelques
la forme
pour
la signification
pas
des
accens
quelques
livres
sons
indigestes,
te ft'uit de tant
du seul
livre
et des
points-voyelles,
ils ont bien
barbares
aussi
de
qui leur
htrognes
a t
peines
soit
rest,
pour
ont
conti-
pu
pu composer
le fond
d'ignorer
et de se mettre
tout
que
{ait
de plus
CHAP
en
leur Lgislateur,
de dfendre
l'impossibilit
ait produits,
des attaques
hommes
que la Terre
grands
cess
je l'ai
du
possdions
atteindre
a ces
volontiers
faisaient
plus
ridicule
d'un
ressort
de plus
Platon
Banquet,
et l'applique
tombrent
l'me.
(&) On
parle
vu
dans
sait
modernes
sophes
ces formes
que
ceux
tous
le matrialisme,
combien
Moyse
pour
le mme
sujet.
Les
fameux
plus
Marcion~
les crits
Mnes,
de Moysc,
tMtavaiit
Principe.
les ini-
et de silnes,
avait
rien
les ouvrant,
qu'en
an-
que
il n'y
comme
lui,
tenant
l'avaient
aux pratiques
hrsiarques,
rejetaient
qu'ils
avec
croyaient
nirent
a t
rang
des
je
de
(a)
mpris
(&; Joseph.
mau~s
(c)
ch.tt.
ApuL
L't'ct'e~
du
du
pouvait
les Sadu-
que
l'immortalit
parmi
pas
de
les philo-
par
n'a
de
manqu
les matrialistes.
synagogues
n'ai entendu
minutieuses
Valen-
qui
calomni
de
l'aide
et matrielles
(c) Freret
d'tin
sait
de satyres
dehors,
et
assez
qui,
de ceux qui,
tm,
on
extrieures
Quand
(*)
comparerai
les mystres
n'avoir
du secret,
pour
pas su faire
usage
ses formes
dcouvert
et divines,
spirituelles
cens
hors
les
et
Spher,
mettre
sans
runies
toutes
les divinits
y trouvait
dans son dialogue
de cette agrable
allgorie
Socrate,
d'Alcibiade.
par la bouche
n'avoir
pour
Je
dont
n'en
latine,
grossires,
dans
ligures
tandis
grotesque
(*).
on
secret,
l'Olympe.
C'est
la Vulgate
symboliques
par
qu'au
les Targums
Samaritains,
on usait
A les voir
que
de Moyse
n'a
anciennes
que nous
l'original.
de petites
redoubles
et les plus
dans
(~ont
C'taient
d'Eleusis.
et
des
Septante,
anime
plus
le livre
les plus
extrieures
a ces ligures
usage.
rapportait
qu'on
des
travestissemens
(<~) ou bien
tiques,
les
celles
des
ses traducteurs
a entendre,
que
grecque
les plus
rendent
citer
l'un
le connaissaient
envelop
Les versions
telles
la Version
chaldafques,
ne
qui
l'avaient
traduit
Spher,
ceux
donn
assez
t exactement
jamais
lui,
dont
pais
nuages
comme
tis
contre
de diriger
des
travers
Car,
dans
plus
n'ont
1.
se sont
mis
parler
que
de la ~MM~o~,
n'ont
L XI.
Xtl.
~<~y.
des
~o~.
g.
de
la
F{e/.
e/<n~.
GRAMMAIRE
HBRAQUE,
jamais
pntre
dans
le secret
du
sanctuaire.
sieurs
qui le
gnie
de la langue
hbaque
sacr
leur
un
devoir
on
sait,
tous
la version
les maux
en
chefs
dfendirent
qu'en
caractres
qui
tirent
soufferts.
en
rabbins,
cette
nit
nom
aussi
accords
dire,
ques,
qu'il
selon
lui,
Pre
Morin,
(g) car,
dit-il,
(!<)
(c) Bochard
(J)
~i'
par
la Loi.
convaincu
en d'autres
celui d'entr'eux,
il cite
Dieu
est telle,
de
n'avait
comme
qui
d'autres
de
quivoOrigne,
a pas jusqu'au
pour
moyens
se sont
le cardinal
il n'y
autant
four-
la langue
l'a sentie
(~) Ennn,
de cette obscurit,
incer-
qui me
combien
Calvin
vrit;
Septante
pas
leur
sont tellement
langue
dterminer
le sens. (e)
d'en
dit
qu'ils ignor
est dfendu
et Luther,
S'-Jrme
le
(&) ceux
Simon,
rpter
ext-
la mme
il
lui-mme.
des
doctrine
sur l'hbreu,
incertitude
(c) Richard
les
comme
dans
de ceite
chrtiens
Maimonides
dont
leurs
caractres
connaissances
animaux
chr-
de l'glise,
Ils flottent
se lasser
occasion
Version
les
regarder
de
fixer
prophtes;
la signioca-
hbreux.
du Pre
raison
~/or.
des
impossible
de cette
persuad
la
des mots
(a) Richard
partie
les mots
qui prend
de
Cette
et cette
(d)
que
tait
auteurs
tion
instruits
les
que
se taisent,
de vraies
peu
ne peut
obscure
tait
sicles
appel
plu-
de l'usage
initis
doute
Mais
tranger.
Ils ont, comme
l'excration
mon,
est souvent
s'en
Cajetan
d'une
remarque,
est
abomination.
le Spher
sont
qui
de manger
hbraque
(a)
les premiers
fils de Mai
ont
pas,
ou command
inviolable,
sans
les mystres,
et enseigner
aux
On doit donc se dner
de leur
langue.
Moyse,
jusqu'au
point
et vourent
les moins
que les chrtiens
titude
sur le sens des mots;
rent
n'est
pouvants
l'avenir
est
trahir
des
expressment
qui ne le sont
en
dans
hbraques,
Ceux
rieure.
ont
d'crire
de leur
principes
hellnistes
contr'eux
pourrait
silence
des
qu'ils
tiens
un
impose
II en
M<.
cn~.
11. ch.
29.
Simon
P.
~t'oc.
de
IH,
~M'.
ch.
Morin,
aKWM/.
L I. ch.
assez
t~.
loin
d'tre
(e) Hicrn,
premptoire,
~o~.
aeff. R<~L
n'a
I, Luther,
ComtMCM~. GcKM.
(~)
Cajetan,
(g) ~cf/rtf.
e'omMC'.r.
FtM.
in P~ft/w.
I; e~.
pas
ch. a.
CHAP1
vrais
les
empch
t~t~t
et Richard
savans,
hbraque,
que la langue
rtablie
(<) Il ne s'est point
entreprise.
d'une
langue
cette
tudi
les regarder,
eu occasion
ont
qui
en
interprtations,
le mal,
avait
de force
cela
asse~
!e but
ne
ont
en vain
pour
de mes
connaissais
senti
cherch
tudes.
ni
rien.
ceux
Tous
usage de leurs
avait
qui
ni
Forster,
c'est
elle
m'y
soutiendra.
Je
vais
ma
poursuivre
et
je
qui m'occupe,
aucun
des savans
accords
qui
pr-
l'occasion
regarder
la langue
comme
hbraque
ont tent
ou fait des vux pour
des efforts,
son rtablissement:
la vrit
est une. C'est elle qui m'a engag
dans une carrire
qui,
vu
II manquait
et ses propres
et les hommes,
Simon,
en usage,
car,
rmdier.
d'y
moyens
quels avaient
le dessein
je conus
Lorsque
ordinaire-
dangereux
Forster,
(b)
(*)
opposs.
ma Dissertation
ni Richard
s'tant
les
ne l'tudie
et de fair-
rgles,
l'insuffisance.
et le temps,
trop
dans
dit
leurs
avoir
cela,
pour
le.plus
ne valent
enfin
qu'of-
et des dictionnaires
et ces dictionnaires
d'appliquer
ft
immenses
faudrait
qu'on
l'obstacle
comme
au contraire
ces grammaires
dit-il,
vu qu'il
des grammaires
de se servir
et, loin
ment,
les difficults
manire
de de-
si long-temps,
depuis
dissimul
autre
en particulier,
Simon
Il a bien
telle
une
C~w~
perdue
sirer
frait
Il.
perdue,
mais
difficile;
marche.
.I.
et C~&M~M.
~~TMO/OgM
Le mot
son
de grammaire
remonte
origine
la racine
H,
le haldaque,
(a)
Bi~.cy~.].
(&) 7Z(~.
(*)
Les
crtt.
Rabbins
13,
nous
haut.
plus
1p (<?n~
prsente
est
Cr,
venu
ch.
eux-mmes
Grecs
Sa vritable
~e,),
l'ide
toujours
m,ch.a.
L III,
des
plus
a.
tymologie
pas
les Latins
mais
se trouve
dans
l'arabe
qui dans l'hbreu,
de gravure,
de caractre,
heureux,
la grammaire
n'ont
par
plusieurs
comme
d'Abraham
autres
otivrages.
on peut
le
de Balme:.
vou'
ou
ou
dans
et dans
GRAMMAIRE
d'criture;
et qui,
constance,
l'action
un verbe,
devenant
de graver,
lire,
dclamer,
etc. Le mot
des
caractres,
c'est--dire
l'homme
desquels
Comme
logues
deux
ple,
et les ges.
commun
par lequel
dont
ces
rieux,
Grammaire
elles
Je
contester
que
Toutes
initier
mes
besoin
c'est--dire
sa grammaire
universelle
de
nouvelles
sa
en gnral;
d'un
et de ses
suivant
aprs
a leur tour
avoir
un fond
la Grammaire
crivain
la vie
reu
sur leur
pousser
l'opinion;
ont
particulires
et qui constitue
dit cet
(a) car,
pour
elle repose
se modifient
peu-
labode
la
laquelle
mre,
des rejetons
de plus
et fructueux.
j'ai
sins
Archo-
de ses connaissances
les grammaires
ragissent
hbraque,
Grammaire
les
individuel
de cet homme,
ici l'opinion
rapporte
les connaissances
que
grammaticales,
voulant
moyen
il existe
langues,
l'autre
par~culire.
l'esprit
sur la Nature,
particulires,
forces
au
des
de l'Homme
l'esprit
les autres
choses;
de tous
universelle,
elles se ressemblent,
elles sont manes:
des
robustes
ne
le gnie
fait connatre
grammaires
universelle
donnent
en plus
dans
l'une
est fonde
des
les lieux
universelle
avant
celui
dveloppent
particulires
l'tat de sa civilisation,
de l'universalit
de
la science
proprement
caractristiques,
vu Court-de-Gebelin,
La premire
prjugs
la cir-
de crier,
d'crire,
signitie
signes
selon
sa pense.
universelle
indiquent
exprimer
de caractriser,
des
le plu:
qui a pntr
sortes
de grammaires
les grammaires
a servi
grec y~~nx~
exprime
l'a trs-bien
La Grammaire
HBRAQUE,
base
lecteurs
le
dans
de donnera
cette
langue
on
pour
intime
faire
ne
de
sa grammaire
et
saurait
entendre
la
langue
propre;
la
tenant
qui
primitive,
et les plus
les plus radicaux
idiomatique
par les points
s'loignera
gnie
dont
cependant
beaucoup
des
voi-
grammaires
on l'a moule
jusqu'ici.
lesquelles
ni des Latins,
ne ressemblera
Cette Grammaire
point celle des Grecs
ni celui de Tite-Live
de Platon,
due je
que ce n'est ni l'idiome
parce
particulires,
sur
Cw/Hn:.
MHf. 1.1,
ch
i3,
~ et !5.
CHAP
enseigner,
l'hbreu
d'tudier
sur
de tout
l'on
plier
latines,
son
une
en
proverbe
le dire
je dois
Car,
figure
ordinairement.
qu'on
s'est form
ficults
une
des
assez
un
pourra
sur
de cette
marcher
persuader
du prjug
se le
ridicule
les premires
dif-
six mois
rsister
peut
Je
objet.
langue
tude
certitude
que,
sans
toujours
une
ignorera
et qu'on
ne
et si vaste
de
universelle,
dans
le champ
ainsi
de
si utile
de
dispenser
seulement
on
typique,
me
pour
rpterai
de la Grammaire
ave,,
la difficult
tel qu'on
point
que,
il ne
de cette
cet
fondamentales
parties
n'est
se dpouiller
vaincues,
avantages
encore
dont
scholastique
soutenue.
peu
des
parl
m'appesantir
la connaissance
des
tant
a la manie
des erreurs
ou
partie
d'une
qui,
langue simple
celle
d'abord
et se bien
sur lui,
je cher-
principalement
l'hbreu
sincrit,
Il faut
caractres
application
J'ai
avec
forc
a du une
de fantme
espce
la sienne,
que
c'est
que
moi-mme
j'ai
grammaire
qu'on
et surtout
gard,
!)
Si
Moyse
autre
aux formes
a fait
est passe
une
persuad
est tomb
et facile,
de
bien
l'oublier,
cherai
celui
mais
veux
IL
!.
l'iymologie.
Comme
mon
intention
mthode
des
ouvrages.
Ils sont
ici
hbrasans,
avec
La Langue
ceux
hbraque
tout
poque,
les Juifs
possdassent
plutt
tivit,
rabbins
nxes.
et lorsque
T. t..
s~taa~
dont
absolument
gr~matical
ne trouve
plus rien
on
informe
et qu'on
comme
des rgles
dans
Je me
systme
de cette
Christ,
des
connus
les
de
beaucoup
le
dtail
bornerai
ides
de
la
leurs
indiquer
offrent
quelque
les miennes.
de Babylone,
le .dialecte
assez
m'loigner
d'entrer
j'viterai
d'ailleurs
sommairement
analogie
est
une
avait
qui
trouve
un
cours
Si quelque
barbare,
chose
tait
encore
la captivit
elle. A partir
puisse
faire
infrer
que
Il est certain,
du
moins,
que
qui
le Thalinud
que
me
avec
se perdit
Jrusalem,
dans
employ
jargon
l'hbreu
grammaire.
durant
perdue
porte
comme
au temps
de Jsusde cette ville,.marche
un
idiome
croire,
la langue
vulgaire,
1
soumis
!a cap-
qu'avant
cette
2
langue
GRAMMAIRE
toute
dgnr
trouve
qu'on
de
certains
homme
du peuple,
langue,
ne s'inquitant
tandis
soigne,
observe
avec
autant
Mais
avec
ces
je viens
Les
hbraque.
de grammaire
point
pourtant
Les
Juifs
Jrome
alla
C'est
Juifs
durent
Les
ne
tous
sont
Les
en
bases,
le plus
quable
(a)
hbraque,
et marquer
celles
qui n'en
('!) Richard
hbra&ans
rac-
interprtes
l'hbreu,
il n'y
qui sont
ajoutes.
selon
lui,
prcisment
Hist,
Ilassure
c~. tiv.
t,
crouo
S*
de
principe
Arabes
les
que
qu'a
son
sur
des
Le plus
a savoir
grand
distinguer,
science,
avo~et
est
de celui-ci
ouvrage
l'mitation
cette
en
parat,
de leur
ceux
que
grammaire
qui
lettres~
qm
~es
rema~
sont
secret
de la Langue
ces sortes
de let~
celles
qui sont
du
que
le secret
de ces lettres
ch. 3t.
avait
tait- alors
L'Europe
entre
l'Asie et l'Afrique,
L'opinion
dans
les
crivirent
qu'ils
d'abord
aucun
Ils avouent
de
est Juda-Hiug.
sontpoint.
Simon,
grammatical
splendeur.
de ce sentiment.
Saadias-Gaon,
consiste,
trs,
antique
Aprs
et de celles
caches,
leur
livres
11 parle
d'crire
pique
ce genre.
s'occuper
ancien
plus
premiers
par
place
premiers
arabe.
furent
des
possdait
en
L'Arabie,
commencrent
Arabes.
doctes
plus
imprim
essais
premiers
un moment
rabbins
se
temps
tait
systme
d'expliquer
en art.
ne
mouvement
les tnbres.
pour
nation
au
leurs
dans
plonge
ranimait
tout
temps
rduite
ses lumires,
puiser
grammaire.
ni des
l'instruction
et
un
de sa
la ruine de Jrusalem,
depuis
perscuts,
dans l'ignorance.
de Tibriade,
L'cole
disperss,
long-temps
pirent
tait
qui
nombres,
nuances,
le dire,
de
dire
hellnistes
la manire
de puret.
que
la Langue
gram-
connaissance
aucune
dont
contraire,
entre
exemple.,
ni des
genres,
bien
que,
que du
il y et un certain
usage
cordent
par
sans
rigoureusement
de systme
sorte
diffrence
grande
videmment
au
comme
une
Jrmie,
ni des
d'lgance
se perdit
des
crit
qu'tsae,
enfin,
une
crivains.
d'crire
verbaux;
conservait
tait,
qu'elle
c'est
matical,
HBRAQUE,
corps
des
mots
est connu
et~
CHAP
de peu
de
de son
temps,
personnes,
leurs
les mots
on
les rabbins
de
mettre
sous
Les
aient
nom
Chrtiens
tant
est plus
cause
encore
grave
les opinions
comme
Je
un
me
ont
Mais
en
cela
en adoptant,
d'Elias
Lvite,
de
Quoique M&imomdene<ott
prement parler, un grammairien,
pour
la passer
judicieux
plupart
les
autres
sous silence.
Ce
il estudcessaire
et presque
toujours
de connatre
in-
la sphre
tous
point
im-
en arabe,
les
dans
s'en
cite
avec
la mthode
a suivi
ses
livres
deux
est cart
davantage
Kimhi
qu'Aben-
que
de sa mthode,
une
faute
les examiner,
ambitieux
par
crivain
gnrique,
certain,
apostat
style,
proprits,
rabbinique.
volontiers
commis
assez
crivain
citer
(*)
ils ont
sans
et un
transfuge
de son
intrin-
en hbreu
de Jona
plus
qui
verbe.
n'ont
grammairiens
suivi
lettres
diverses
de Jona,
Kimhi
vivement
la valeur
sur
de l'arabe
David
de la nettet
dispense
de voir concide
ceux
des
ds le dbut
plusieurs
du
l'un
Il blme
Aben-Esra
anciens
et .Mb~a~.
voisins.
l'gard
rduire
et
leurs
d'Ebn-Jannehius.
deux
perdue,
radicales
a lu les livres
hbrasans
facile.
ni
rabbins
de Jona,
avoue
avec soin
t traduits
qui
Tzahouth
Esra,
Celui-ci
beaucoup
relations
de Juda-Hiug,
ces
des
rapporte
diffrentes
celle'
par
Juifs
nombre
caractre,
le
par
intituls
eus les
des
l'ignorance
ne pouvaient
en dcouvrir
le sens.
pour
confirme
Il s'appesantit
quoiqu'ils
prims,
Le savant
Pockoke,
indique
est
au
qu'accessoires.
ouvrages
loge,
racines,
qu'aient
sque de chaque
leurs
et montre
Les
connaissance,
cela
a t
hbraque
que la Langue
au moyen
des idimes
a pu,
de son livre,
ne sont
de cette
vritables
grammairiens
comme
en
de Juda-Hiug
L'opinion
bons
et il reprend
faute
qui,
l.
qui
ont
qu'ils
agtoutes
presque
et systmatique,
regard
de sa nation.
ceux
juifs
grammairiens
(*). Je
ne
vient
le mieux
la matire
dans
cet idiome
de mots peur
antique,
trs-peu
une srie iuSnie de choses, il recommande
d'en
&iie une longue tude,
tcuUoH
etd'avoir
toujours
l'at-
auquel
2.
le
GRAMMAIRE
suis mme
entr
et Aben-Esra,
dans
parce
par
les
l'gard
dtails
quelques
que
le verra
qu~on
HBRAQUE,
de
j'ai
que
fortes
de
dveloppemens
soit par
munication
ont
qu'ils
III
prvenu
maire
propre.
sujet
est neuf;
manqut
Les
Je
que
est une,
discours,
les
de plusieurs
du
je viens
peu
que le temps
possible
avec l'tendue
ncessaire.
vari
beaucoup
sur
le nombre
ils entendent
Or,
du langage
classiiis
me
de
les
par
si l'ide
car,
de le dire,
de
tmoignage
admettait
trois,
et
ces mots
reconnaitre
cela
Denys
appliqu.
B ne se lasse
de deux
si
ont,
espces
et
de
t'en ne veut
(a)Ptat.
Platon
!e
sortes,
ancienne,
plus
qui,
Quintilien,
et la conjonction~)
peut ie
ainsi'qu'on
de mdtt'*<' toxgvoir au chap. V de sonivre,
de tout
que
d'Halycamasse
le verbe
de se dfaire
plusieurs
des grammairiens.
l'opinion
le nom,
de restreindre
de
la sagacit
exerc
de recommander,
avant
et
espces.
et ses disciples
n'en voulaient
et le verbe (a); ngligeant
en
et surtout
ides
quelques
le
que
parce
il serait
discours.
matriaux
diverses
modifications
le
de prsenter
les dvelopper
ont
d'abord
sa gram-
et de cette
est divisible;
divisibilit,
l'expression
ncessairement
des modifications
diverses
dans les signes,
des mots
comme
ct,
dans
hbraque
disent-ils,
naissent
Ces
d'un
les parties
appellent
du
oblig
pour
t~tt Z~MCOMF'S.
d'attention
je vais tre
autre
Partes
la Langue
peu
modernes
grammairiens
parties
un
rclame
quelquefois
ce qu'ils
rtablir
j'allais
que
et que,
familires,
-temps
ouvrage,
ainsi
orale,
point
cet
Jona
dans le secret
du sanctuaire
essnien,
jusque un certain
point
la force seule de leur gnie,
soit par l'effet
de quelque
com-
pntr
vant
de Juda-Hiug,
raisons
de penser,
Aristote,
nom
suien
plus
~M.l.I,eh.3.
(t)
Quint.
Denys
T~f.
Hatyc.
1.
dt. 4.
CHAP.
encore
de la doctrine
s'loigner
pour
de celle des
en
anciens,
II!
t3
de Platon
quatre:
comptait
en admirent
en distinguant
et la conjonction
(a). Les Stociens
cinq,
les grammairiens
en propre
et appellatif
Grecs
le nom,
(&). Bientt
les Latins,
eux
et aprs
les uns
les modernes,
Parmi
les autres
ont
l'adjectif,
et ceux-l
leur
dans
voulu
travail
les
ont
(c),
qui
et donnant
discours,
Pour
sans
moi,
natrai
dans
duites
par
une
parties
sont
le
(<t) Arist.
M~tf.
~u~
rhteur
dansla nature,
et en divisant
comme
coHncc<
autrement
~st-!<
que
e<
lui,
tribut
on doit regarder
disputes,
je ne recondu discours
parties
pro leur tour. Ces trois
Q~
shem,
~ys
fort
/~<~M/,
(*)
digne coUer de
d'tre
loign
un disciple
del'homme
cygne;
voler,
( Herms,
1.
un attribut
de l'aigle,
de pareilles
dans la connaissances
tencc absolue
un attribut
grammaires,
de la Parole.
du verbe,
etc. s
en fui-
d'aller
loin
Niert'exis--
ou en faire un attri-
but
le nom et le verbe,
et
Platon,
le <&Mt<~et
le
le substantif
l'aMide
et
la con-
de la substance,
du
et
accessoires
dire
attribut
sant
Selon
des mots
d'abord
la substance
J'auributif,
Har-
habile,
que dialectitien
de Platon et
peut-tre
en ne reconnaissant
et accessoires.
comme
nomm
anglais,
a cru se rapprocher
d'Aristote~
deuxchoses
du
de Platon,
t~ ch. a, 3 et 4.
(*) Un grammairien
ris, meilleur
dix parties
comptant
des principales.
mais
Locke,
<). 5~
de Platon
ces
T1K <
jonction.
I. TIH,
prjugs
de suivre
trois
est le Signe,
quatrime
ont apport
de leur
cole.
rn
eux,
que
avec
tous
a eu la faiblesse
pour une
de ces vaincs
hbraque,
l'article.
du nom;
la simplicit
quatrime
produisent
qu'elles
et la Relation
Nom, le Verbe,
!T?Q, ~MT&A. La
et
sur
les
du
l'article
runi
Presque
prfrer
latins,
le participe
m'embarrasser
la Langue
ou
systme
d
aurait
la profusion
des grammatistes
derniers
et de renchrir
encore
ont
le nom.
de
l'esprit
de
l'adjectif
distinguer
ceux-ci
avec
l'adverbe
nom,
l:interjection
voulu
confondre
le pronom
Court-de-Gebelin
du
la conjonction,
de
la prposition
verbe,
le pronom
sparrent
qui y renferme
c'est
tre
i'esseneo
trs-loin
de
mme
du
GRAMMAIRE
14
Avant
d'examiner
est peu
connue,
prs
mention
pour
manifester
geste
et les caractres
la lumire.
pourquoi
sous
le.
pour
ce qui
depuis
trop
vagues
pour
c'est
langage
y ferons
que
la
fais
je
deux
vestiges
grammaire
et
occuper
distin-
Court-de-Gebelin,
et prsider
ont
qu'ils
telle
hbraque,
du
dans
Signe.
celle-ci,'
tracs;
ils sont
car,
disparus
sont
laisss
que
la
de prs
caractres
et le geste,
des
l'invention
attention
les
le
s'en
surtout
trs-grande
la voix
la voix,
et
de s'occuper
autres,
se sert
le mouvement
a befoin
lmens,
les
sont:
touche
ses
et
l'homme
particulire
elle
une
de
ceci.
Tout
signe
produit
il ne serait
rien
C'est
donc
bien
donc
lui,
le nom,
de la relation,
et mme
l'homme
extrieur,
pour
de ses sens.
qu'une
grammaire
l'un
Signe,
le son,
doit
les gestes,
rgler
long-temps,
Remarquons
car autrement
tout
est des
dont
je la
trop
conois,
s y arrter,
s'y
arrtt.er.,
doive
celle
de
dont
du
suivant
doit,
et plus
nous
rapport
lmens
universelle
universelle,
C'est
extrieur
ses matriaux,
elle
Les
traces
lmens
la dnomination
est la quatrime
quelle
moyen
Grammaire
ses
dont
fois.
ses ides.
La
connatre
voyons
<&g7M, tout
par
du discours,
parties
la premire
pour
J'entends
ces trois
HBRAQUE,
Le verbe
abstraction
n'est
qui
du signe
tout ce qu'il
que
le
fournit
celle
conu
a~ dehors
par
nom
qui
la substance
qui l'a produit.
peut
l'esprit,
connatre
est
un
nom;
est la base
du
du
verbe,
Le nom est
au moyen
et la relation
n'est
de la pense.
incon~
H n~existe qu'un seul Verbe, absolu, indpendant,
crateur,
et dont il se laisse sentir
mme qu~il pntre
cevable pour rhomme
c'est le verbe ~H<,
exprim en hbreu par le signe intellectuel
1, d, plac entre une double racine de vie niH, ~<
C'est ce verbe unique, universel, qui, pntrant
tabule
des noma qui peuvent recevoir leur existence du signe
(a) G~WMw. Httt'f.
, eh. 8 et 9.
innombrable
en forme de~
CHAP.1
verbes
sont
des
que
noms
universelle.
Les
verbes
des
des
noms
abstraites
et penchent
pense,
t5
ne
particuliers
anims.
sont
Les relations
parla
est Fam
!1
particuliers.
. U
signes,
le signe
vers
comme
ou des
leur
vers
verbes,
com-
origine
mune.
discours
sur
l'ordre
de ces quatre
du
en. particulier
chacune
parties
le Signe, ta J~&fi~~
le Jv<M~ et le
suivant
~~c,
je n'ai
encore
examinerons
Nous
dans
lesquelles
terminer
pour
ce chapitre,
avant d~aBer
d~ connatre
d'un
autre
arabes
que
alphabet
et grecs;
je serai
vocabulaire
Il faut
des caractres
syriaque
cet
ordre,
idiomatique
des
Hbreux
faciliter
de
et dans
)'ai
Lorsqu
de
caractres
j'ai
sur
de l'Alphabet
les Arabes
t ibrc
de leurs
notes
pour
mots
syriaques,
de ces
langues,
dans mon
nombre,
grand
la Cosmogonie
comparatif,
et les Grecs
rencontr
des caractres
qui n'ont
point
de les placer
j'ai pris le parti
ils offrent
le plus de rapports.
des
est le mme
changer
de Faccomp~gner
samaritains,
la lecture
Cet ordre
comme
soin
~'aurai
assez
Voici,
gnrais.
est indispensable
qu'il
caractres
en
mes
l'gard
hbraques
mais
des
notions
hbreu,
avant
de rapporter,
radical
observer,
plus
des
que
l'alphabet
comparatif
afin
forc
donn~
de Moyse.
qu'il
suit Fordre
le samaritain
pour
et le
interverti
ont'beaucoup
l'arrangement
chose
quelque
les mettre
en relation
avec ceux
dans
d'analogues
immdiatement
ces deux
dernires
dan&ceuxdes
trois
aprO~ ceux
Langues
premires,
avec
lesquels
t6
GRAMMAIRE
HEBRAQUE,
ALPHABET
(comme
B,b,bh.
G,
g,
H ne,
gh.
Ie~
dli
le~franais.
aspirations.
devanta,q,u.
franais
ou
comme
sonne
c'est
voyelle-mre
< ~cest une aspttahon
U,u,y.
comme
consonne,
h.
simple:
c'est o~ M~ o
voyeUe-mre
c'est f,<fou~
con-
comme
le ~franais.
Zz.
H h,
!T
des
(comme
h.
<Q o; W,
douce
comme consonne
<%
le & franais.
D d
n
c'est
voyelle-mre
la plus
) c'est
3t
HEBRAQUE
h,
(comme voyelle-mre
ch.{
(c est une aspiration
7~
c'est
comme
?,
pectorale
consonne,
ou c/t.
le~&ancais.
~3,''t.
~t'i,
(comme
<
(sonne
(Ie~
voyelle-mre
c'est
c'est
con-
chumtant~~)
uneaspirat~on
d~s Allemands,
ou N~~ comme
l'ota;dea
Espagnols,
le
j(,
~c,ch.
H..
:M,m.
O.
~'mme'que~es'~~g~s'~nais:
u
N'n.
'):<"
S s..
.P
et
YS
p
'PH'.ph.
TZ.tz.
K,I:,qu.
'n
SH,sh.
TH,th.
c'est
consonne
6,ho,gh,gho.~comme
le
nasale
le
g-
.m~
c'est
voyelle-mre
le
une
&de6Ar~~8~
aspirati~~j~
Ar.
<desArabea.
des Grecs.
)
de
)
mme
qu'en
franais.
.<<
lecAiranaisouIe~angla~
le
des
Anglais
ou
,v:,
~i~
~f'<
comme
le $ des
Greca.
CHAP.
I,
ALPHABETH
nc~ren.
SaaaUtiun.
Arntc.
i
a
,y
Grtc.
H
o
TrMMtt.
ghimel.
*!dale<h.
COMPARAT!?.
S~ri~ue.
~Haleph.
3beth.
J,~
B~~
A a.
Bb.
r~r f
A~
Crggh.
Dd.
DZdz,d~~
Ddh,
,
;c~
Ot
o
?-!nM.
l~wao.
~z:'n.'
EeE
a*
nh~.
~~o~
~
Mteth.
Oo~M.Yu
Z~
Hv!
X-x
~x
TT? 7
~Xy,
Oo,OU~
Zz.
h~
Cct.
;Y~
Tt: t:
T~tti,t/o~
~'i'od.
J"
~~caph.
a
&a
KAM:
~y~
.J!Tibun.
A~
LI.
Mft
M.m.
Nf
'Nn.
Sc~c
S. s.
~JCj
.w
/'Bj/sate~h.
i.
.A
JJ~~
~-?~Ismed..2.
O~~m.
~<
SSss,s~o~
j~~
OYt<
yM~'V~
Il
~jt~
~c'
0
.p~
?
'n~w
~T--
-h.
/7~
~u:
r~F!tMo.
;"A
Rho,wh.
GRgh
P'H ph, F.
pp.
psps.
.TZ.tz:"
K)t.
'C,e,K~.Q
~Ps
R'
SH s!
09~
..TH~h.,
3
<8
GRAMMARE
HBRAQUE,
CHAPITRE
Des Signes
considrs
conlme
nous
venons
en
en
voyelles
hbraques.
rsolues,
s: ceux
d'examiner
scholastique
qui
pu appeler
souvent
manqu
que les
des
par
de
sept;
la forme
ces
()
(a) T~crcg~A.
noter
comment
leurs
leur
liy. H. 39.
sait
que
t ds
Mais
c'tait
la chose
qu'une
leurs
rudition
les autres,
qui
secours,
igno-
des Hbreux
eut-H
orientaux.
l'Alphabet
des
voyelles,
dans
puisqu'on
toutes
suivant
servaient,
musique
long-temps
la peine
des langues
maitres
des
pris
n'avaient
dsigner
d'Horus-ApoUon,
puisqu'on
uns
~ilosophie
et s'en
caractres,
de Phalre,
le rcit
furent
Les
l'existence
avaient
dispute.
des caractres
propres
qui
leur
et la
foi,
auraient
du matriel
pas
la critique
bonne
que
si je voulais
et contre
les lever
de
l'objet
sortait
caractres
gyptiens,
possdaient
Dmtrius
de
dit pour
insipides
le moins.
jusqu'
Je le demande
sait,
ne
caractres
faire
beaucoup
a t
se plaisaient
ils pensaient
des
Ces questions
qui
la signification
J'aurais
ce qui
srieusement
laquelle
auraient
tout
son cr~NM.
de voir
qui s'tablit
consonnes.
en dtail
rapporter
tre
peut
il convient
division
et
voyelles
raient
quelle
de tracer,
La premire
ses B'0)~M
~<~O~M~
d'examiner
AVANT
ca/Yc~es.
1.
Alphabet
II.
sait
les sciences,
le rapport
de.
et la solfier
puisqu'on
taient
au nombre
que
ces caractres
les
Phniciens,
si voisins
des
CIAP.
breux,
ces caractres
employaient
le grammairien
trouve
l'inscription
plique
dissertation
savante
des
invocations
adresses
Milet,
aux sept
les sept
dans
et sur
Esprits
confirme
sans
nous
possdons
laquelle
(c) Cette
planes.
son Commentaire
(&) et ce que
de Barthelemy.
une
a dsigner
Porphyre
de Thrace;
Denys
'9
vocaux
que tmoignepositivement
(~)VoUce
sur
It,.
renferme
inscription
plantaires.
r-
Chaque
Esprit
tres
y sont
au nombre
voyelle
doue
!1
voyelle
plus
voyelle
trs-forte,
reprsente
(orte,
voyelle
brillante,
voyelle
durable,
voyelle
gutturale
ces
caractres
Outre
hbreu
admet
une
qu'elle
est Inhrente
fremment
o,
compagne
les
l'est
ainsi.
point
Cedren;
pxg.
par
reprsente
il faut
devenu
avec
sous-entendu.
pas
aussi
dans
encore
elle,
n'en
est point
est indif-
Ce son
les langues
un Roi,
*T~Q, qui signifie
et mme
~<X<~
TM~A,
Mte~~
parce
croire
fixe
(.')
l'Alphabet
ou vague,
Le mot
T<=w).
<~o.
que
consonnante,
toujours
~o,
par
savoir
marche
car il ne faut
ait
u,
(~
reprsente
que j'appellerai
un son
ou,
par
par
et profonde,
vocaux,
li, cA.
par
reprsente
reprsente
consonnes
induremmentMa&cA~
(a)
renferme,
ou
qu'il
reprsente
la consonne,
et y attache
de l'Orient,
Cela n'tait
par , h.
pectorale,
voyelle
distingue,
<i
par
reprsente
obscure,
voyelle
de sept.
3~
~c
~J.
M'~
de l'Europe.
se prononait
d'union
~c&Zcwc~,
T. XU. p. 514.
de
GRAMMAIRE
20
voix teint
Cette
eAt insr
une
alors
indiffrence
le son serait
chang.
Ainsi,
pomme
dans
manation
divine,
article
Tous
a dit
hbreux
des
voyelles
de cette
l'origine
tienne
dont
ou
ou des
dans
L'Alphabet
plus dijHus,
et appartient
beaucoup
antrieur,
de l'antriorit
dout
avec
assez
daient
forme
Ils
du texte;
quulque
&un alphabet
pendant
qu'une
mais
simple
en ont
et mme
des
cette
iaute
dans
qu'il
son
la
ignorait
ou sous-entendues
consonnantes.
Dans
ou de l'a l'c,
crits
Cet alphabet
pour
littral,
transmises
les
Samari-
les Arabes.
Chaldens.
et leur
lgante
ont
craint
du caractre,
ciennet
voyelles,
en sont
Les caractres
nettet.
Le samaritain,
moins
facile crire,
est visiblement
beaucoup
un peuple
Les savans qui ont
plus grossier.
du caractre
samaritain
ne l'avaient
pas examin
d'attention.
l'anciennet
sans
les caractres
clatants.
ou
nous
est celui
leur
par
une
les Syriens,
hbraque
remarquables
mais
crits
de l'a l'o,
ils rservrent
inconvnient
les Chaldcns,
voyelles
et passant
aspiration,
matriels
a ses caractres
les diverses
imitations
que
tains,
M~ 7~o~
H, l~
dans
plutt
exprimes
mre
de la langue
gypl'origine
dont
les sages qui pensrent
crer l'alphabet
son presque
un son vocal chaque
consonne,
langue,
sans
sans le moindre
la voyelle
seul
cela
si on
le composent
aussi le sens et
souvent
qui a fait
par
exist
point
qui
taient
des voyelles
mres,
attachrent
teint,
toujours
hbreux
prouve
ont
elle drive,
elle a hrit,
mais
et Boulanger,
entendu;
les mots
c'cst-a-dire
n'et
les consonnes
entre
me
encyclopdique,
sur laquelle
il crivait.
langue
vocal
le mot
recevant
exemple,
't?!Q
ne signifie
plus simplement
M/ JP~
MH ~M~.
ternelle,
~7.'0,
on ne s'est point
le son
fixe et clatant,
devenu
par
L'orsqu'on
dans
crite
voyelle
HBRAQUE,
c'est
soit
qu'on
une
antrieur
copie
d'ailleurs,
du
crainte
ne les fort
irlvo!c
l'alphabet
Sphcr
si une
fois
accorder
Le texte
chaldaque,
de Moyse
ils accor-
que
l'an-
samaritain,
n'est
ce-
la politique
I, 1.
CHAP
rois
des
si cette
Dissertation
nuscrits
fut
rencontrent
autant
loignt
qu'il
mentt
leur
caractres
nom
crit,
f~T~C
connue
cune
Voil
des
points-voyelles,
l'on
suit
(b) Leclerc
~0&!7:
B,
demiers,
les. Ccs~oints
Leclerc
il n'y
qui
(A)
a point
variantes
qui
l'envoyait
des Juifs,
s'y
tait
et qu'il
ali-
de moyens.
chaldeenne
l'origine
des
entre
un
dont.
dj
eu occasion
avaient
rgles
simple
infiniment
disputes
les savans des siedes
despountx-Yoyet-
Htec.'Btcmpor<!umsdcscMM~resL<;bra't~uc9,
voulut
pour
Elias
Lvite
tribua
Tibnade,
contre
teur.
tai~ ette
Son
du
vers
regM~da
systme
serait
re~iJ
en
at-
t'co!e
le V~
num.'re
conune
siede,
et
de
rabbins
1.% syna~u~uc
XVI
antiquit
ilorissaient
qui
crc.
(*~
milieu
aux
que
mypnteurs~torsque
leur
attaqua
l'inventMn
de notre
le
au-
et l'origine
emploi,
vers
abso-
nouvelles,
auxmmes
a coup,
ce
sans
ainsi,
plus
leur
tout
cri-
de cet alphabet
fort singulier,
de parler,
et appartenir
de
de
et
/?M~oMy?~)
confondant
relativement
pass
le gnie
les&aieoses
toujours
suivant
de mots
abus
de Tibriade
de ~Me~.
l'origine
toute
par
les
assyrienne
(t'~a'/&/&~
laquelle,
j'ai
criture
le signe<ibrmatif
d'ajouter
!TM*0,
ch. a~.
n'ignore
touchant
tt~a
des ma-
avec
mais
sortes
la dnomination
avec
tS:n(tmen~
principales
de nier
L. TI.
(*) Personne
des
n'empche
les synagogues,
Liv.
(a) Rois,
entier;
toutes
par
l'ancienne/M<MAo~,
dans
tout
~~OM~~)signiiie
et laquelle,
les rabbins,
les massorethes
critique,
de dire
les Samaritains
!)'V)~KQ
Lvite,
voir
lument
dans
ou consulta
d'Assyrie
impossible
rien
dans
Elias
l'auteur
possible
de tous
l'assyrienne.
mme
ridicule
de la cour
~~M~,(<~c~
dnomination
doute
mutuelle
la Langue
hbraque,
local Q, pour obtenir
ture
dh
se compose
Il suHit
aujourd'hui.
hbraque
l'IAphabet
le dmontrer.
de cet Alphabet
Ce nom,
ainsi
pour
mme
cpithte
fut
absolument
dont
le schisme,
du Spher
que
animosit
Il est donc
du
l'auteur
penser
qu'il
car l'intrt
d'absurdit
Rois,
sans
je l'ai
que
que le prtre
qui en fut charge,
aux ides des
(a) ou se conforma
entretenir
Il serait
fidles.
peu
ce prtre
que
il voulait
dont
Samaritains,
des
ainsi
c'est
diffre,
copie
le lit au Livre
on
comme
Samarie
fit passer
d'Assyrie
2t
de
sicde
:? ~o)ueva
un b~sphmacu~evdi
JaM
GRAMMAIRE
HBRAQUE,
des ~Pon~p/?~.
Origine
Ainsi
donc,
hbraque,
l'Alphabet
l'poque
de ses caractres,
trs-recule
si Louis Capelle,
pasteur de l' Saumur,
aprs avoir pass
glise protestante
trente-six
ans le sa vie, a noter les variantes
ne se ft rabattu
l'entendre,
et
d'Elias Lvite
pris coeur l'opinion
m'tant pas plus en tat que lui de distinguer
du mauvais
usage qu'on
pouvait
Il n'y avait
que Buxtorff,
pas moyen
qui
venait
son travail.
mencer
et contre
Elias Lvite,
sans
toujours
guerre
l entra
en lice et contre
et parlant
Capelle,
commena
s'entendre~
dans laquelle
contre
point
Or,
les points,
quel
de la question.
tait
ce vritable
!e voici.
point,
pas l'hbreu,
de cette
une guerre
comme
Elias L.
langue,
(<~o!<n)
ehaldaique,
pour
allumer
signifie en hbreu
<f<eM,
ce qui ap.
cri.
sens
figur,
un
primordiale,
originelle.
D, se rapportant
l'expression.
signme
alors
criture
souverain,
datant,
premire
mashore.
don-
n~M
~<t~-
du principe
etc. Voila l'origine de h
on
auxquels
la
ne fait que
intensitive,
on bien criture
rtc~Ke
n~M,
de force
tl~t~MO
hbr&Yques
mane
Voil
les vrais
doit
rapporter
mashoet les
et les points-voyelles
quivoque
Le m ~"t'i~M
plus
caractres
le vritable
dans
ou,
du signe
verbale
ont
vite n'entendait
tendait,
L'addition
rethes
parti
s'-
transcrire
pour
n~~
souveraine,
une
dominer,
se servit
s'appelait
assyrienne,
criture
ner
tend
dont Esdras
forme
en avoir fait.
ce qui
*W, ou 11~,
le Spher,
ture
sa racine
ouvrage,
tout
lever
phabet
d'ennui,
tout
la forme
son
crivit
l'Assyrie,
indique
n'eut
leur origine
partient
ginel
caus tant
points
o Moyse
de ne pouvoir
dsespr
du reste,
que fut,
quelle
l'obscurit,
du texte hbraque,
II.
mot T)0tt
dssour,
signifie
coNs~e~
MHe c<MtfcM~M~
tout ce
dt} la seconde
de eertameslois
circonstances.
certaines
une
Voil
inashol'6.CelIe-ci
l'origine
n'iaveatc
pa~
aux rgles
que
pour
suivre
la lecture
tant
pour
l'ortho<
du Sphcr.
Cet
CHAP.n,
crites
avait
sept voyelles
chaque
tache
consonnante.
de mon
loignes
trop
les
que
consonnes.
ration
plus
et nasal
le corps
celles
lente
rvolution
o
lthargie,
ne
des lueurs
lettre
les plus
et
l'me,
par
du moins
mort,
en
et ne jetant
fugitif,
et peu
et savante
et de lettres
Kvre
du Spher,
appel
~o</t
ou
sections
grandes
qu'on
(**)
des
mots
tendait
de lecteurs
taient t
en changeaient
l'acception
la forme.
avaient
chang
ides
nomme
de ~3,
20,~ t3 mots,
qu'il
dit,
s'occupent
dans
Bey<B~~
sont
y en
le
de la
40,
yS.ooIfttres~
milieu
:T'nn
chaldens,
dis-je',
~D-'7y.
tu
Je
!esF<?~-
(a)
Priscian.
de tMUou,
tM~Vt-r-
mais
enSu
Leurs
un
est
au
avec
s'aper-
chapitre
a~
de ces paroles
(*)
que
ce livre
de
le premier
C~) Les
les (~haj-
confondue
termination,
da
ce furent
propos
au centre
ne ver-
ou ordres,
tout
sages
dans
au nombre
&<J/<
a mal
qu'on
les Assyriens
quelques
je l'ai
et du nombre
exemple,
sc~~
devinrent
des voyelles,
et parmi
minutieux,
par
au nombre
primitive,
le sens
sages,
comme
entrent,
~e mots
12: <k<
(*)
exprimer.
et en gnerai,
poque
en
de la nation
des chapitres,
Ils savent,
rauque
hbra'tque,
vague,
nouvelles
accent
sont
esprit
habitudes
quelques
caste
massorethes
sets,
De
un
les voyelles
sinon
A cette
aspi-
et devinrent
peut
de corps,
qu'un
le son
comme
de nouvelles
corps
division
plus
souche
qu'une
les
dens,
les dtails
espce
incertaines.
Cependant
le
la mme
une
de le saisir.
capables
comme
ne
(a) l'criture
rsidait
a se matrialiser
franais
des mots,
tenaient
qui
son vocal,
et y prit
les Anciens,
de telle
avec
plus
ji,
pronona
caractres
et changea
dire,
n'offrirent
tres-bien
le disaient
les consonnes
toutes
se
crites
se confondirent
de tout
dnue
forte,
de nos
qu'aucun
ainsi
K, F! et n,
Les voyelles
at-
vague
expose
pour
voyelle
les exprimaient
qui
V et W;
Si, comme
tre
se durcit
ou moins
les consonnes
que
pour
caractres
autres
cette
sujet,
une
y; plus.
une
se matrialisa,
s'altra,
sorte
K, n< H, *),
consonne,
Mais par
vivras
le rends
ta
propre
ex-
g!~ ou lirti.
L. 1.
comme
principales
de
par
Chaideas
corps
Et
de
n'taient
on
l'a
savane
acadmies
point
cru
un corps
ridiculement
d~us
une
taient
nation.
B~Ly-
GHAMMAIRE
2~
4
du
curent
avec
de
chaieni.
livres
ne
raison,
juste
la valeur
uns
dans
s'oprait
aux
orale
et surtout
des
un
son
anciens
un
de
t-
qu'Us
ils cherchrent
vocaux,
et
langue
le sens
autres,
entirement,
sous-entendue,
leur
la tradition
malgr
caractres
des
consonnante
voyelle
des
se perdre
par
qui
que,
se transmettre
finit
de iixer
successif
changement
craignant
HEBRAQUE,
moyen
donner
la
qui ne laisst
dtermin,
entre plusieurs
significations.
plus !c mot ftoUer au hasard
Car il tait arrive
mme
c'estmres,
qu'en
temps
que les voyelles
s'taient
-dire
celles
crits,
qui taient
designes
par des caractres
rendues
consonnantcs,
ses
le moyen
par
d'ides
nombre
y avait
les
de la voyelle
comme
langage
crit
de jour
en jour
Je prie
n'offrait
un
attaches
la
cet
dire
mme racine,
de
possible
plus
et comme
parl
les livres
gard,
vocali-
Le grand
jointe.
n'tait
le langage
secours
le
devenaient
entendre.
peu familiaris
tir
exemple
ainsi
qu'il
dans
difficiles
plus
qui
de voyelles
aucun
le Lecteur
permettre
dans cette
vague
auparavant,
pour
leur tait
s'taient
successivement
qui s'taient
un concours
amen
confondre,
consonnes
du
avec
les langues
franais.
Supposons
de me
de FOrieMi,
nous
que
ayons
une racine
compose
comme cela est trs-certain,
des deux consonnes
nous attachions
toute ide d~ronBL, laquelle
nous dirons
deur.
Si nous
concevons
sous cette forme,
peu d'objets
langue,
indiffremment,
les individus
distinguerons
~Zs,
La
n'est
ni une
ChatJeo
d'un
n'ndt
nais
pays,
o
contre
pas
tine
en
la direction
d'un
eu
gcuct'~
!c
ou
de
~Hl'73,
chef
Qor.1
CAcMt"
bul,
&OM/;mais
en gnral,
ni une
boule;
nous
h Orelioc,
etc.
rens
!e nom
donne
n la
ChaMecns.
classe:
quatre
suprme.
de
bol,
de l'espce
pHlictc
les
divises
M,
proprement
omsatcut
taient
sages
bille,
a SIppara,
a Borsippc,
one,
bel,
bal,
Ces
sous
L'un
qu'une
de confondre
garde
et l'autre
Us tout formes
niuu,
difre-
<Mectes.
cA~e~.
CAcc~t
le~.
n'aurons
saurons
nous
Je ces n(MOM
~Mtwe~Af~~
galement,
t C't~~ CeMX ~Mt COFtn<tM~eM<& Na<M~B des
poUcat
suivant
nous
que
stgmt'ent
Bs portaient
~Kti~B.
mesure
M'exccIIcncc,
& t~uaturo
de l'arttclo
ou l~r!)
asMtnNaqui se M.p-
&r<!suRCBcc,sut<:ssy<:
ctcrneUe.
CHAF
le
d'un
une
grande
une
balle
diffrence
confusion
croissante
de conserver
invention
l'criture
ment
dans
noter
la prononciation
Voici
la forme,
la consonne
la valeur
Ils
sous
placs
caractres
l'usage
et le nom
la
des voyelles-
inventrent
un
au
points-voyelles,
de l'Alphabet,
avaient
cer-
sous
dans
le lan-
avantage
sans
aucun
changeoprer
Httraux
et de permettre
d'en
l'avait
introduite.
que j'ai placs sous
car ces points
de ces points
servir
pour
tous
et
obvier
eut le double
ingnieuse,
anciens,
que
seulement
S,
tre
peuvent
telle
mettrons
pour
ces caractres
que
livres
des
l'arrangement
du
&M~e de savon
de la dviation
vagues
tout--fait
des
nous
imaginrent
voyelles
le son
ni le bill
etc.
de petits accens,
aujourd'hui
appels
ils purent
donner
aux caractres
desquels
gage parl.
d'exemple,
les caractres
tant
littraux,
consonnes
voyelles.
VOYELLES
s
St
A~M?&
M
b
:&
:c/<~v&.
sous
culairement
caractre
sous
ou
consonne,
La consonne
pour
T. t.
3
3
t
3t.
c~o~~M.
nomm
point
~~a,
un
figur
il est
lequel
reste mu~ttf
exprimer
plac,
M <e<t
toujours
qu'elle
ba
be
~<~o~
bu
kibbutz.
bo
~Q~M<Z-C~O&~A.
cette
une
de
placs
perpendi-
voyelle,
si
le
que
signifie
c'est
une
voyeHe
point,
a un son
points
manire
manque
un
patach.
deux
par
de
caractre,
porte
BRVES.
VOYELLES
LONGUES.
vain,
une
~M~,
qui naissait
des
enfin
pape
nombre
lesquels
Le
du
haldens
les
que
les liqueurs,
sert
dernire
etc.
et de la fixation
moyen
que
bulle
cette
entre
le moyen
toujours
mres,
tain
une
de marchandises,
voici
o& l'on
le
avec
d'Angleterre
parlement
Or,
avec
apothicaire
35
. Il.
soit
chuintant
la droite
comme
de l'crien
anglais
GRAMMAIRE
a6
soit
<SA;
comme
est
sa gauche
dans
il la suit,
wo~;
!Q
comme
dont
ces points,
tachait
aux
nature,
ou
donner
s'aspirer
mais
il
le caractre~,
vocal
la
prcde
de voyelle,
manque
comme
est initiale,
consonne
soit
en
qu'elles
fussent
encore
plus
de force
desquelles
il tait
fut de fixer
vocal
le son
voyelles-mres,
inventrent
Chaldens
sur
d. Ce son
mme
la destination
et de dterminer
vagues,
cette
que
importante
remplace
artneure
lorsque
fait
n~ ~o~.
dans
Outre
corps
la consonne
~lorsque
est trs-peu
c'est--dire
c/<o/f~,
ne
qu'elle
ce point
que
appel
voyelle
signitier
difirence
de remarquer
essentiel
!e point
consonne
pour
Cette
ch franais.
HBRAQUE,
restait
qui
sorties
(lemeures
devenir
pour
des voyelles
ou qui s'at-
inhrent
fussent
qu'elles
le son
dans
leur
les
consonnes,
une
de point intrieur
destin
espce
aux consonnes
ou aux voyelles-mres,
dans le
Ce point s'appelle
inscrit.
est
daghesh,
lorsqu'il
il est appliqu
aux consonnes,
et ~no~/M~, quand
appliqu
intrieur
s'inscrit
dans
Le point
<&~M~
toutes
aux voyelles.
les consonnes,
ex-
Quelques
jamais
connu
n'tant
nullement
hbreux
bien
caractre
que
qui l'ont
pas,
par les
donnaient
imit.
de
d'apprendre
qui nous
hbraque
sens
l'articulation
dans
d'entrer
Il n'importe
tel
grammairiens
notre
prtendent
P.
On
sent
bien
l'hbreu,
prononcer
que
mon
but
je me -gardrai
ces disputes.
en
effet,
de savoir,
pour
entendre
tait l'articulation
qu'elle
de Jrusalem;
mais
orateurs
reste,
a ces
caractres
Moyse
le
attache
bien
qu'elle
et les crivains
seul
livre
a tel
ou
tait
le
antiques
CHAP
au point
Revenons
Il.
t!,
Ce point
a?
intrieur
aux trois
s'applique
une valeur
et leur donne
nouvelle.
La voyeiie
ci, t,
se
voyelles,
et prend
un sens emphatique
du mot,
ou relatif;
la voyelle
distingue
et devient
consonne
la voyelle primitive
*)cesse d'tre
ou; et si le point
au-dessus
est transport
de l'
lant
voyelle
ou
un
aurait
Au reste
Je
point-voyelle
dire
assez
du
texte
hbraque,
avec
que
plus
les caractres
hbreux
leur
et surtout
actuellement
fut le moyen
des mots,
a Babylne,
baldaque,
prcier
de muette
invent
sans
dans
je donne
elles
ensemble,
les mots
sont
suivans
plus
loin
j'en
que
en
original,
ai faite
moins
en
se
leur
d'ennui.
III.
les
en altrer
*) ou
les personnes
qui voudront
que tout ce que je pourrais
Texte
par
se-
~haldens
<&~M?'~M.
pour
mme
la pronon-
Il est impossible,
les caractres.
aujourd'hui,
noter
par
faute
l'-
approximation,
et sans s'carter
de
davantage,
Tout porte a
celle o elle fut adopte
par les Hbreux.
sa longue
ce peuple,
pendant
captivit
ayant eu occasion,
avec la ponctuation
les caractres
de connatre
assyriens,
de cette
poque
la vrit,
fixer
que
la
que
~a&)M~, etc.
procurera
<OM~Mye~M.
Hxer
de monumens,'de
croire
bril-
Cependant
runies
la transcription
avec
instruira
modernes,
ou
~JB ~A<MM~,
assidue
Effet
ciation
ainsi
clatante
en hbreu.
comme
Tel
mot
et plus
les voyc!!es-meres
quelconque,
~O~OM,
1~
rares
lorsque
diphthongues,
et sa confrontation'
familiariser
sont
chaldaYque,
vritables
La lecture
caractres
du
ou devient
emphatique,
lev
plus
se distingue
voyelle
les diphthongues
heshaou,
~y
le son
t.
d'un
forment
La
son
lon la prononciation
prcdes
1, elle prend
d'elle
l'A.
de
prend
qu'elle
Ma~o~.
trouva
l'avantage
mais
invention
dans
de
l'un
son
et
on peut
sein
des
de l'autre,
hommes
et pour
assez
clairs
seriner
pour
l'orgueil
4.
apet
GRAMMARE
s8
national
le prjug
qui
HBRAQUE,
les
pouvaient
tenir
attachs
leurs
anciens
caractres.
L'honneur
en est
principal
d Esdras,
homme
d'un
grand
gnie
et d'une
tile
constance
de rpter
ici
jugea
tion
introductive.
aussi
bien
samaritains
ractre,
finirent
A mesure
s'taient
d'en
dont
pourvoir
mres,
ajoutes.
Simon
ont
seuti,
ce texte
authenticit.
Au
tirer
l~i.-meres,
une
preuve
des
et Richard
Morin
perdre
par l de son
le pre
Morin
de voyel-
de l'antriorit
Il ignorait
le
fut
lger;
de Moyse
que
oui Bmuoueat
additions
ma
Disserta-
cours
d'un
tandis
trale
que
les mots
voyelles-mres
du
la plupart
dam9 tt
son
intgrit,
nous
le devons.
Les
attachs
a l'ancien
ca-
et voici
original,
comment.
de la mme
et comme
manire,
ils taient
des voyelles
vagues qui
l o U n'y en avait
tait
rapide,
mots h'&raliques,
que ce dfaut
glyphique
dans
que
l'orthographe
le son
dterminer
sur le texte
de cette ~oudance
des \oyeMex-mMe8
plus
abonde envoyeUcs*
contraire
samaritain.
le texte
avant moi;
remaraue
m l'un ui Faune,
com-
pouvait
prtendait
texte
qu'it
Le pte
fait cette
mme
la dgnration,
dans
changer
de moyens
pour
ils insrrent
fixes,
dans
des
immense.
ne prononcrent
indiffrent
parl
sa politique
hardie
restrent
opinitrement
dnaturer
par
faute
en rsulta
qui
fut
et l'occasion
ai assez
quelque
l'ouvrage
qui
qu'ils
ils crurent
dpourvus
la source
d'Esdras,
prtres
pas.
commit
possdons
aux soins
J'en
le mal
il devint
si nous
c'est
S'il
les motifs
faire.
d'y
considrable,
dont
Car
furent
quels
convenable
qu'il
vail
peu
devinrent
y manquent
ajoute
souvent
au sens oratoire,
a desseia,
des
et
un MM htroselon l'usage
des
antrieurs
Esdras,
et peut-~tre
Es-
dtaslui-menie,on~n~gt~iesvoye!tfs-mt'res,
mi ons que celles de suivre une
prououcia
ion vicieuse, ou de servir leur painvitable.
resse, mais <<itaiLuttit'couvenient
saus autres
Les aMMprethos
deTtbcri&dopeuvtiRtattss!
CHAP
le sens
changrent
qui
avaient
virent
non
ducteurs,
la flexibilit
vicissitudes
des
de leurs
sens
vritable
tout
fut perdu
pour
sacr,
dont
une
en les supprimant
dngur
rien changer
Tandis
ce texte
ont
surtout
du Sepher
<utittvemt<n<
cdant
la
les Samaritains,
le
entier
dans
envelopp
l'intelligence.
Cette
le partage
des Essniens,
qui la
en ngligeant
de Moyse.
d'abord
port
les points,
Ce livre
ou
des
de vritables
savans,
des autels,
de ta ponctuation
la postrit.
tout
de la langue,
des ministres
caractres,
clairs,
de plus
prcieux,
par la dgnration
le sens
d'hommes
a possd
.Laissons
avoir st
ont
en
cette
les
au nombre,
la plupart,
tout
ace
conservait
aux initis,
la favur
conserv
a compt
senti
ils t'entendaient.
comme
restait
orale
tait
en ge,
d'ge
d'hiroglyphes,
nagogue
elle-mme
ne
ouvrage,
au fond,
que
livr la ngligence
par sa perte totale,
f ignorance
du peuple,
aux carts invitables
s'est
de la synagogue
juive Gr
ils pouvaient
suivre
chaldaYque,
ensuite
daque,
eux
traduc-
tout--fait.
a t le sort
quel
et comme
perdaient,
secrtement
a une
leur
se
qu'ils
rabbins
tradition
Kabbale,
dans
apportassent
caractres.
du texte
communiquaient
en plus
Alors
sans
grossires,
appele
Voil
recours
entendaient,
ides
ses caractres
tradition
d'avoir
de la prononciation
ni l'arrangement
telle,
Livre,
aux
cependant
de la ponctuation
Qu'arrivait-il
devint
leur
qu'ils
que ce qu'ils
traduire
purent
scrupule
quelque
~9
confusion
la
enfin
du moment
en langage
pente
-des
d'hiroglyphique;
forces,
pour entendre
!H
de nouvelles
se chargrent
voyelles
vagues
en leur
tant
d'aincurs
ce qu'ils
mots,
ces consonnes
consonnes
11,
chal-
autant
qui, comme
Tout ce que la sy-
ce que l'glise
chrtienne
les sages de tous les sicles
vrit.
donc
.de malaises
! n~mht~
aux Grammatistes
hbraYsans
le soin
rgles, en fixant d-
nerai, en traitant
t!e ces
ba!c:,
YoyeUM.
On
tous
!c:
minutieux
des divers
moyens
qui
et ridi-
tonacs verdt'pcadcut
<L
tacite-
1,
3o
GRAMMAIRE
cule,
d'apprendre
arbitraires
sans
nous
les
qu'il
signifie.
plent
des
et sans
accens,
le sens
profond
sous
que
tres
en plus
Car,
que
ses
l'on
les racines
riches,
varies
caractres,
produisent
variations
deux
rapports,
ne
sur
y avait
attach.
intime
de
littral
encore,
sont
de l'univers,
en petit
qui
qui
nombre.
compte
cents
6u
quels
Et
l'idiome
ou
les
La Langue
faon
est
de savoir
les
rabbins
tons
on
cens
mots
ap-
psalmoquel
cher-
cela,
pour
qu'il
Nous
gyptien
nombre,
des
carac-
les lmens.
mme
chinoise,
les
simples,
plus
une
jusqu' quatre-vingt-quatre
ou deux cent-trente
racines,
treize
ce
examinons
comme
langues
mais
telle
la connaissance
sont
langues,
l'hbreu,
et hiroglyphique.
en petit
des racines,
en
dans
pas,
que
du Sepher,
par l'exploration
cet idiome,
et par
s'y trompe
de t'accent.
musicales
inquiter
Moyse
nombre
petit
notes
chapitres
le gnie
de base
servent
nous
dans
facilement
parviendrons
les
les premiers
pntrer
employ
aussi
recevons
elles se posent.
de telle
? l'cssenuel
importe
Rece-
des autres
parler
se prononce
nous
que
nous
ou comment
dit,
tout--fait
mutations.
comme
des mots
viennent
mot
leurs
hbraque,
je l'ai dj
que
ou tel
Laissons
tait
plus
tel
synagogues,
Jrusalem
qui
ainsi
point,
diait
elles
les rgles
dans
la composition
d'o
Que
dans
chons
dans
embarrasser
l'entendre.
la langue
dans
qui entrent
cherchons
Ne
les points-voyelles
suivent
ces points,
les voyelles
et tdieusement
longuement
que
vons-les,
HBRAQUE,
des
mille
qui
par
les
CHAP.
. .
I,
III.
CHAPITRE
Des
caractres
3t
comme
considrs
Signes.
..
J~M~CC~M~OC~,
MK~M~M~M
<~M~a~!C~e~~M<e~MO~r-
~A~M<! de leur
ous
venons
d'examiner
ractres
hbreux
ferment.
Ceci
la forme
est une
avec
l'attention
Court-de-Gebelin,
ce rapport
d'une
cet
vrit
tous,
laquelle
estimable
crivain,
Ju Tout-Puissant
n'avaient
aucune
? comment
nergie
par
cris
pendant
multitude
la vertu?
une
d'essais
que
longue
infructueux
point
Un
Dieu
ses organes
merveilleuse
anime
d'objets
le discours
d'une
peinture
Comment,
se mprendre.
pu
mconnatre
pu se persuader
qu'elles
pour
et
nergie
s'crie
ici
que
le doigt
!es paroles
n'avaient
aucune
diferentf:
?
et qui pt tre toujours
tre celui du loup
et le nom du vice
l'homme
suite
n'a
ncessaires
en oeuvre
qui
elles-mmes?
admirable
a-t-on
ren-
divine.
a-t-on
valeur
celui
est
on ne peut
comment
qu'ils
je pense,
de la parole
les organes
ca-
mrite.
le dsir de mettre
il put seul lui inspirer
parler
entre la parole et cette multitude
il put seul tablir
devait peindre
qu'elle
qui le rend intelligible
le sens
et qui,
et
qu'elle
des
alphabtique
sur
neuve,
l'origine
l'homme
et la valeur
assez
matire
~TT/M~e.
maintenant
arrtons-nous
approfondie
Selon
forme
fut
de sicles
et pnibles
muet
s*que
et
rduit
ce ne lut
qu'il pt
de
simples
qu'aprs
balbutier
une
quelques
GRAMMAIRE
3s
mots,
et plus
venir
la source
tout
ce
qui
partant
font
tout,
de
la posie,
par
l'invention
admirable
des
tableaux
langage,
pour
aucune
(h) assurant
de le rpter
Encore
si
dans
creus
l'absolue
des
noms
que
la vrit
monstration.
Hobbes,
ou
de
la
par
et la fausset
me
cette
<~ 5.
l'ont
qui
pardonne
cette
que nous
du &M:g. p. 66.
mots
impoil a soin
comme
.<
(c)
ayant
profondment
le nant t
dmontr
qu'ils
latine,
des
Langues,
parlaient;
mais
se croyaient
assez
de leur
pas
en fut la dparadoxe,
qu'on
put lever ses penses
ou
d'un
grondif
qui tout
diggression,
hbraque,
Grammaire
de la langue
le sou-
arbitrairement
termes.
ni
fausse,
d'aprs
raisonne
analyse
de quelques
supin
suivi,
l'exprience
ou
vraie
en avaient
une
l'analyse
d'un
des
aux choses
d'aprs
n'existent,
l'application
ont
de celui
donns
ce ne soit
que
les hommes
par
compilateurs
moins
dans
au reste,
ou injuste,
juste
prtendu,
de la parole
l'institution
digne,
les noms
car
Hobbes,
l'ont
savans
conclure
de la parole,
de la Grammaire
dans
point
ceux
les lmens
grammaticales
l'on
ne doit
que
que
simplement
pour
que
proposition,
ailleurs
ces hommes,
absurde
appele
indifrence,
ou mme
parait
tre
avec
prtendre
et bien
assurment,
qu'on
doit
de l'usage
Que
de
de systme,
pour admettre
dans une singulire
ignorance
croupir
ce principe
enseignait
gnraliser
c'est
du
trange
chose
qu'une
savans
de-
discours,
de l'esprit
possd
et surtout,
lmens
bien
paradoxe
venir
pouvaient
des
qu'il
ces mots
que
composer
de
l'ordonnance
tre
ides
premiers
ou
et
de l'loquence
en effet,
de pareilles
ss
apperut
(a)
II faut,
c'est
qu'il
des phrases,
constitue
qui
parole.
des
aprs
longtemps
former
entr'eux,
se lier
HBRAQUE,
va pourtant
trouverons
(b) Hobb
nous
loigne
qn~Be
y ramener;
la preuve
car
consolante~
<:
CHAP.
haut
mise
plus
de Hobbes
et de tous
publier
gagent
ma traduction
m'entrane
et la rponse
Gebelin,
par
C'est
ses acolytes.
cette
une
mme
de
carrire
33
aux paradoxes
et qui,
Grammaire,
de la Cosmogonie
dans
un
des motifs
se liant
laquelle
celui
une
Moyse
destructeurs
base
je ne
inbranlable,
m'tais
d'abord
pas
destin.
Oui
ferai
si je ne
voir
sont,
qu'il
par
est
immuable
vaste
Selon
des
le fond,
quoique
variable
tels
nous
que
et le geste
les caractres
les formes.
constituent
ici,
fourniront
mme
d'abord
par
l'tendue
suis
oblig
seuls
un
sujet
ses ides
lgers
nombre
hyroglyphiquc.
T. i.
caractres
et quelques
primordiaux,
de seize,
objet
et dont
au sens
pour
afin
qu'ils
je n'ap-
auxquelles
ncessits
le rapprochement
analogues,
dans
puisrent
dveloppemens
et
de
unique
la Terre,
relativement
sur cet
hbraque,
l'Alphabet
de faire de plusieurs
lettres
source
sur
point
nombreux,
exemples
en usage
qu'au
n'est
figure
littral,
l'Alphabet
d&
aux seize
des
de ces caractres,
Voici
des changemens
que
par
actuellement
la ~brme
y attacher.
de
leur
cit,
que j'ai dj
prouve,
littraux
n'taient
porte
principe
crivain
inventeurs
les alphabets
le nombre
Ils nous
disparu.
Court-de-Gbelin
les premiers
voulaient
nature
d'une
pour
examiner
analyse
a laquelle
le nom de Signe. Ils comj'ai donn
tracs.
le geste,
et les caractres
je l'ai dit, la voix,
tracs
la
que nous allons nous attacher
puisque
le judicieux
la nature
les
d'une
fixes,
l'infini
prtendu,
je prouverai
profonde
au moyen
lmens
pouvons
on l'a
de rflexions.
arbitraire.
tous
ramener
faite,
caractres
que
ne puisse,
seul
comme
raison
qu'on
comme
aux
une
par
je
et ceux
en gnral,
et
jets au hasard,
d'tre
arbitraire,
caprice
talent,
du discours
partie
prennent,
assez
un
bien
Ces.lmens,
C'est
d'un
loin
mon
de
les langues,
en particulier,
produits
pas
pour
la faiblesse
par
composent
qui
l'explosion
au contraire,
n'en
tromp
hbraque,
grammaticale
cette
point
les mots
que
de la Langue
forms
suis
que
d'en
les rapporter
5
je
rduire
a leur
GRAMMAIRE
34
A.
L'homme
B.
.3 S
P.
PH.
tout
TH.
toute
AH
. U.
OU.
tout
Y.
au bruit,
&
tout
tout
centra).
objet
demi
toute
canal,
de la
organe
de l'homme
tout
ferme
enceinte,
nourricier:
abondant,
objet
rciprocit.
ce qui se rapporte
Feau.
L'OBeiMe:
au vent
Z. S. SH.
prin-
L'haleme:touteequianime:l'air,!avie,r'e.
L~ceU
W.
comme
son habitation,
toute
la limpidit,
1 1
de l'homme,
Le sein:
division,
H. EH.
!1
collective,
creux.
objet
DH.
unit
de la terre.
La gorge
la main
de prendre
l'action
et dans
D.
et dominateur
son intrieur,
&.C.6H.
T. M
comme
La bouche
parole
A~
lui-mme
matre
cipe,
HEBRAQUE,
Un
une
huniere,
fedat,
ce qui se rapporte
tout
au son,
le nant.
le vide,
bton,
un
flche,
les. armes,
arc;
les
iBstrumenaderhomme:touiob}etaUantunbut.
F!
H. H.
tout
CE.
Un
ce qui exige
ce qui excite
T.
TZ.
asile;
Une
un
Le doigt
M.
toiture
N.
Q
1
un
peine,
de
sret,
lieu
but
une
un
effort
tout
ordonnatrice
de re&tge
:mn
fin.
tendue:
de l'honmie.~mam
tout
c~oi~
P
et qui sertJ~mastiestE~
s'lve,
se jdj~
qui s'tend,
la &miaa~:
toui ~e~t~es~
de l'homme,
chose
'L't
LappodU~nde~ieBB,me~unSs:~m~~
tout
Une
tre
arme
produit
c'
tON~ ce qui~erb
tranchante:
lele dtend,
dfen
:.4< f~,i~
~t
eSbrt
e~r~~t
R.
une
et formateur.
conque:
p
un
terme,
La compagne
Second
travail,
natureBe
la chaleur.
dique m puissance
L.
Le bras: toute
Q
un
de l'existence
image
champ,
pour.
loi.
pour
lbi:
i'tmfmm~),
h'"
ir.
Lateted~rhomm:tOMtce~poss~d~en~
mouvement
propre
et
dterminant
r:
CHAP.
Maintenantil
observer
faut
. II
III.
35
ces caractres
que
ne reurent
inventeurs,
de la pa*t de -leurs premiers
et qu'en
en renfermaient
l'tat
dj l'ide;
passant
que
symboliques
firent
que
mmes
de .Mg7M~ qu'aprs
fonctions
au dehors
manifest
~M
je l'ai annonc,
comme
mais,
objets
la pense
absh*activement
prsenter
avoir
est
d'abord
des <S~7M~
comment
produisit
un nom
et comment
produisit
un
Prenons
signe.
au moyen
ant
la voix,
devient
la femme
la syllabe
esprit
,ferme
aM
qui la distingue
quelque
tre
de ses lmens
l'ide
de Mre
sur qu'eBe
lui
les
tout
car
wwM
celle
sphre
de
de
de Mre.
Si
pourquoi
je ren-
et comment
je puis
la seule
la
s'non-
des facults
celle
me demande
a M ou Ma,
figur,
et les organes
c'est-a-d~re
effectivement,
type
D, M, qui,
le son
s'applique
syllabe
A~&~Nt~KC.'
au dehors,
par un
e signe
exemple
dans
la Langue
caractris
ou Ma, et
donner,
de ces
remplir
se manifestant
primordiaux.
cette
s'y applique
j'aie
preuve.que
le ~g~
de scepticisme
dans
facults
les
~~tM?
minemment~
attaqu
ils ne
un nom.
le nom,
pour
de signes,
ils ne purent
&MT~C/O~CTaN~
de dcouvrir
Essayons
qu'ils
Or~HM
parce
de vritables
ces figures
que
o il s'enve-
matrielle
celle des
les langues
du Monde,
depuis
Chinois
celle des Carabes,
la syllabe
a M ou Ma s'attache
jusqu'
.1l'ide
ee, de~M,
d~e 7.l~er~ aB,.$, Pa ou a,'
ceUe de
de pre. S'il doute de mon
Pa, celle
aP, a,
c'est
lope,
dans
que,
asserdon~
qu'il
me dise
comment
des
distances
dans..la
pression
Mais
de
Djcoave
inne
de
~t
tht
s~gne
c'est
Hobbes et de ses
se faire
inconnus
sijgrandes,
s'il
~st fausse
qu'elle
il peut
sugnincation
eRe
toutes
tant
que
les uns
doute
de peuples
aux autres,
si ~ette
cette'syHabe,
n'en
point,
divers,
se sont
syllabe,
n'est
qu'il
jets
accords
point
l'ex-
de Ja jcnaternit.
un~vnt
disciples
grammaticale
ne.saaicaien.t
que
tous
fies sophismes
branler.
5.
36
GRAMMAIRE
sur
Appuyons-nous
sont
les
ides
de Fide
n'est-ce
point
N'est-ce
de
est
arriv
aussi
loin
de
la fcondation,
de cette
natre
mouvement
ce point
jusqu'
et plus
dans
renfermes
s'attachent
qui
Quelles
ou
d-
qui
loin
que
l'ide
au caractre
de ma
moi?
Eh
toute
source,
de
exploration
de
plastique,
ne
qui
cette
bien,
foule
Mre,
est
quel
le
lecaller
puisse
toutes
d'ides,
ou
s'attache
ou
elle
la reprsente,
qui
d'action
?P
etc
~e
de la
ide
force
Grammaire,
primordiale
typique
la multiplication
extrieur,
de moyen,
etc.
de foyer,
de poursuivre
cette
inutile
teur,
figur,
abstractives
pas
de
et passive,
propre,
Il
l'ide
Ne voit-on
formation?
lieu
ou
et poursuivons.
fondamental,
3M ou Ma ?
par la syllabe
primordiale
reprsente
de ta fcondit,
de la multiplicit,
ride
de l'abondance?
point
excite
ce point
relatives
coulent
HBRAQUE,
au signe
en
dcoule
et
le suit.
signe
Chaque
pement.
tronc
des mmes
part
est comme
un arbre robuste,
La parole
commence
par des embranchemens
unique,
bientt
se dploie,
s'tend,
Et que
de ~M<M,
n'tonne
chinoise,
primordiaux,
mille
quatre
s'est
caractres
une
jusqu'
y conserve
oe force.
Cette
les langues
drives
se forment,
s'identifient,
et s'enrichissent
appartenant
plusieurs
perdent
leur
nuances
de rimagination,
sentiment
ainsi
est neuve
langue
synonymie,
et de l'expression.
de huit
que
et voisine
force
si petit
nombre
clefs
appeles
Koua,
je J'ai
caractres
quarante
et mme
quatre-vingtdit.
dj
de la nature,
se-fondent
les
tants
d'abord
unissent
par
unes
dans
foul
isoles,
se
te~Me
m~r
d'une
mutuellement
et
d'un
s'lanant
mais qui
rares;
de rameaux
dont
s'teihtinMnsiMement
peuplades
<
d'un
cent
quatre-vingt,
drivs,
mme dvelop
et se confondre.
deux
d'abordrduite
leve
qui,
dcoulant
au moyen
le
infinit
se mler
d'ides,
C'est
point.
que la Langue
plus
par
immense
ce nombre
en une
se divise
finissent
entrelacs
les rejetons
Or,
et acquiert
principes
colorfdti
en se prtant
a toutes
du ~M~ est
La force
~satutrs,
de t&o~,
nu~e
que
qui,
runies,
toutes
les
les dMCtes~es
du
la pierre
d~ touche
CHAP
au moyen
grammaticale,
d'une
tiquit
Dans
souvent
par
il ne
cde
Cette
langue,
une
qu'
37
comme
gar,
des -Ages
analyse
un
Ce n'est
d'un
par
le caractre
signe
je leur
au
en hbreu.
du tronc
toutes
le nom
constitutif
ou
en conserver
et
et plusieurs
videns,
donnerai
dessch
les formes
commencement
sans
l'expression
ainsi
point
le caractre
que
plac
qui,
en modifie
mot,
alors
mais
du ciment
reconnaitre
sorti
vigoureux,
rejeton
revtu
toujours
fondu
press,
est trs-difticile
opinitre.
isols
s'emploient
racine,
de l'an-
erreur,
le signe,
de la langue
en a conserv,
en petit,
primitive,
toute
l'action.
Les signes
tous
y sont
presque
mme
sans
juger,
exemple,
souvent
bris,
et de la rouille
idiomatique
on peut
de laquelle
modernes,
langues
le signe,
dans
quelconque.
langue
nos
HY,
aucune
de
re-
~d'une
la fin
par
lui-
mme.
Je passe,
braques,
~raux
primitives
toutes
ces explications,
l'indication
des ~gMM h un nouveau
des caractres
c'est--dire
dveloppement
de la Langue
considrs
sous le rapport
des ides
hbraque,
et par lesquelles
ils sont constitus
qu'ils expriment,
~gMt~
aprs
de ces mmes
ides.
reprsentatifs
caractre
H A. Ce premier
d<~ l'alphabet,
idiomes
connus,
Les
ides
qui
la dtermine.
B. P.* $igne
qu'il
est le signe
sont
exprime
et
paternel
viril
dans
de la puissance
celles de l'unit
de
image
tous les
presque
et de la stabilit.
et du
l'action
principe
intrieure
et
active.
A
G.
Ce caractre,
celui
nique,
drivant
D.
Signe
dcoulant
H
OU.
des
qui
offre
organes
ou de leur action.
corporels
il exprime
divisible
et divise
ne
de l'abondance
et toute
Ce caractre
canal,
matriel,
de l'enveloppement
de la nature
La vie,
d'un
l'image
ide
offre
toute
ide
de la division.
abstraite
l'image
de l'tre.
du mystre
le plus
profond
38
GRAMMAIRE
et le plus
inconcevable,
point
spare
qui
!e signe
~nuniquant,
d'un
de
l'autre
tnbres
plus
t
qui
n'est
ct,
dans
et du sens
Z. C. S. Signe
se liant,
le signe
des
que lui-mme
avec
matriel
et
iev,
.plus
sa dgnrescence,
dmonstratif:
l'un
signent,
l'existence
abstraite
image
la vie., rexistence
que lui.
de la manifestation
I. Image
de rternit
rituelle,
et l'autre
sonne,
perd toutes
o il ne peint
de lien
comme
mais
C.H.
sorte
qui
normale
Signe
du caractre
solue
la
M Ainsi,
signification
dont il n'est,
qui
H~ qui
plus
dure
qu'une
de mouvement
d-
rend
dcoule
d'un
~u Teste,
de
toutes
cot,
A la vie
n,
<:eUe4u
qu'une
espce
la dure
les
ides
~a nature
ds
ex-
plus
spi-
qui s'y
vocale
de
a l'tat
con-
une sorte
matrielle~
comme
lui-mme
du <:aTactre
sert
beaucoup
vie ruchie
et
reoit
tenant,
Ce caractre
en passant
ses facults
assimilatifC'estune
de moule
qui
et lgislative.
dans
remarquable
ou
t,
les
la vie relative,
signe
potentielle
et de toutes
temps,
des
caractre
rapportent
H et
entre
et de la protectioa.
Stgne de la rsistance
lien entre
"t
M, qui sont l'un -et l'autre
pressifs
unit
lumineuse.
absolue,
d'une
l'image
de travail,
et d'action
d'effort,
du lien qui
assimile
il offre
lui-Steme
que
de la rfraction
symbole
C6[. Ce caractre
intemdiaire
. H.
T.
comTMtNre il'au~e
qui fait passer d'une
avec le signe de la tumici'e
etdusens
ct,
abaiss.
choses
H
do mud
<Mt du
l'image
qui runit,
le nant
et l'tre.
Ctest le signe convertible
universel,
spirituel
HBRAQUE,
et passagre,un~
les formes.
du signe
de la
lmentaire
signe
H drive
vie
ab-
il joint
organique~,
de renforcement,
L. Signe
dumoMvemettexpanaif:ils'appuque~4outes~I)ea~
d'extension,
d'lvation,,
d'occupation,
de posseMion.
~omme
CHAP
il est l'image
nal,
signe
Il.
~9
de la puissance
drive
qui
de l'l-
vation.
!Q
M.
et femelle
maternel
Signe
Faction
extrieure
mots,
devient
l'tre
dans
et passive.
le signe
et plastique
Ce caractre,
collectif
En
0
ou
indfini,
l'espace
local
signe
bien
image de
la fin des
employ
cet tat,,
il dvelope
il comprend
sous un
mme
augmentatif
sion
D
individuelle
S. X. Image
la chose
dont
qui le reoit,
est
exprime
signe
l'exten-
toute
susceptible.
de toute
circonscription
sigue du mouvement
sa limite circon-~renciellp.
en ce qui a rapport
culaire,
le lien
y
au mot
in-
et repli
renforc
S. W
Signe
relations
du sens
cirC'est
sur lui-mme.
matriel.
C'est
le signe
t considr
dans
ses
PBL F.
tre
purement
Signe
sert
de lien
l'tat
Ce carac-
3 et 1, B et V,
de consonne
en y ajoufantson
significations,
ce qui y a rapport.
les caractres
entre
est pass
dernier
et de tout
de la parole
il participe
expression
ce
lorsque
toutes
propre,
qui est
toutes
les ides
leurs
l'em-
phase.
X
TZ.
et terminatif,
Signe~nal
de solution,
de terme,
scission,
il indique
ment
des mots,
dont
H est le signe
il a tendu
se rapportant
alors
p et du caractre
le mouvement
plac
il reoit
t,
de but.
et !1
Plac
de
au commence-
qui porte
vers
le terme
la nn,
n marque
cette
du caractre
y. Il drive
la scission
de Fun
galement
le terme
mme
forme
marque
et de l'autre.
s
Q. K. ~tgne
image
do la
minemment
fbfme
compressif,
agglomrante
astringent
ou rprimande.
et trancuant
C'est
le carac-
GRAMMAIRE
4o
tre
3 entirement
ment
physiques.
universelle
matrialis
Car voici
R.
"1
donnant
de tout
Signe
et
ginel
quant
SH.
frquentatif
a leur mouvement.
de la dure
Signe
Ce caractre
et il joint
tives
D
des
.la Langue
drives
sion
drive
naturelles
P,
l'existence
des formes.
bon
propre,
du
image
ou mauvais
renouvellement
et du mouvement
relative
du son vocal
pass
son
originelle
expression
et D.
caractres
les significations
respec-
et
de la rciprocit
image de tout ce qui est mutuel
du caracSigne des signes. Joignant
rciproque.
l'abondance
la force de rsistance
et de protection
du caractre~,
tre"~
dont il est lui-mme
ride
de perfection
le symbole.
TH.
Signe
Vingt-deux
faite
mouvement
purela vie
de la nature
l'effort
aux formas
le moyen
aux objets
des signes
lmentaire,
tenant
la vie assimile
et s'appliquant
la progression
l'existence
H,
matrielle
HBRAQUE,
signes
telles
sont
les bases
sur lesquelles
hbraque,
la mme
qui s'attachent
s'lvent
origin.
de ces bases
livre
une
simples
sur lesquelles
repose
les langues
primitives
De la connaissance
la connaissance
de leur
dpend
aucune
clef laquelle
de leurs racines
gnie
leur
ne saurait
ou
par-
possesrsister.
Emploi
J'aurais
pu
des 'S~K~
exemple
<t~ <&<i~N~OM.
m'tendre
de chacun
beaucoup
plus sur la signification
considrs
comme
si gavais ajout aux
&~M~, surtout
de;'ces caractres
ides gnrales
des ides particulires,
qu'ils expriment,
quelques-unes
ou abstractives,
relatives
mais pen
ncessairement;
qui s'y attachent
dis assez pour
un lecteur
attentif
ce travail
Il
se livrer
qui voudra
trouvera
d'ailleurs
dans
la suite
un nombre
de cet ouvrage
assez
CHAP.
sidrable
et de dveloppements,
d'exemples
et lever
tous
Comme
les doutes
)en'ai
et que
cours,
qu'il
aurait
pas encore
parl
ceux
de mes
la connaissance
que
composition
trai
toin
plus
ne point
pour
qu'il
laisser
est en moi,
la puissance
du
Soit
qui
emplacement.
trop
mot
et pour
franais
faut
soit
allions
nous
que
la Langue
voir
que
faire
ayons
rautre/?&'&ous
du second
degre~
commune
avons
du
Il est vident
(*) An
Or,
moment
j'tais au bureau
Miaistere
~as annonce
le chef
suffisent
mme
commeje
en s'clairant
dterchaM
de la division
Jn
alors.
le mot 6 anprcdent,
tn'tn~fMHpit,
t'<'
teci,
miUtaires
Q~)a tt&vaiHtm
par !a paragraphe
T. 't.
parce
me
soit
l'une
chercher
primitif
les deux mots
izt, une
donner
emplacement
aini&tratif
franais,
ide
a faire
nous
et
platect,
origine
que nous
est
~&K'<
ou
de rsistance
un
de troupes.
term'nd,
que
l'autre.
par
mot
ce
par
l'tymologie
le celte
du
rappor-
les change~
qui le com-
dans
que
l'un
place.
obtiendrons
latine,
sans
a interroger
o j'crivais
des Oprations
ac-
trs-
de le
qui redressera
les caractres
l,
constitutive
que la racine
le Signe nous indique
dans
de la guerre,
Prcisment
arrterons
et du tudesque
nous
nous
la Langue
nous trouverons
qui consisterait
latin
obtenus
aT ou aTZ.
nous
d'une
est ici,
simple
allions
tudesque,
dans
j'exercerai
connaissance
qu'une
le mot
la langue
d'o il drive
directement
du premier
moyen une tymologie
degr,
mens
dans
s'tre
qui pourraient
oprs
Ici,
autant
satisfaire,
au hasard,
pris
ter
posent.
Seulement
l'attention,
fatiguer
II ne
pour
que nous
opration
diffi-
comprendraient
compos.
(*)
de l'tymologie
supert~cieUe
La premire
hbraque
de ce travail.
imparfait,
et visiblement
le mot,
me
par
et l'utilit
sans
un
du dis-
la composition
ou la dle moyen
du Signe,
je remet-
ce chapitre
sur
sa marche
fondamentale
partie
n'ont
de la Langue
en donne,
la forme
Signe
Ab~,
lecteurs
la curiosit,
commune
ception
du
que je leur
dmontrer
assurer
pour
pu concevoir.
si je proccdais~rusquement
des mots hbraques,
cilement,
Ht
nt;
travail
Mon
je repris
en retenant
grammatical,
venait Je m'occuper.
relatif
un
travail
mou
travail
le mot m~me
poor
6
ad-
qui
GRAMMAIRE
4.
de protection,
et dans
donc
une
chose
rsistante
Mais
quel
est
le signe
de droite
signe L, celui
chose
tendue
de toute
mots?
ou une
et borne,
cette
gauche
chose
de fin. C'est
et finale.
protectrice
de toute
ou
late,
de borne,
racine
suivant
extension,
comme
possession.
tendue
et possde
C'est
comme
une
&
le signe
une
chose
nous
a prouv
le mot
que
simple
Mon
action
sous
mens,
en latin,
excellence;
du mot
la racine
tial M et le final
quelque
nous
devons
Ici nous
reflecliie
connaissons
est un compos,
d'abord
S ou
encore
C'est
racine
dans
chose
nous
degr
BfM-~<K'e-Men~
de
les tmcns
en
prcise,
premier
Ces
deux
mots
de recourir
au
mens
ou
laiss
relverons
la langue
de re-
franais,
une
degr
de
restera
caractre
ini-
loin< La racine
~t,
second
tom~~l~
mme
des
mu-
s'expliquant
yna~aous
plus
donne
nous
degr
avoir
sorte
Latins,
c~est a elle
arrter.
ce que
voyez;
examinez
la traduction
le signe
individuel
du premier
irK~,
du
prenions
ou ~V, aprs
D, que nous
prcisment
c'est--dire,
ou une
cherchons
nom,
L'tymo!ogie
en tudesque.
dispensent
~V,
ten-
un plat,
le mot
la terminaison
a un
ajoute
nous
dans
bien,
C'est
l'tre
nous
que
caractre
M<, chose
fixe et dtermine
l'tymologie
a ces
de ce changement.
et ~M~
Soit
l'tymologie.
exprimant
tendue
qui,
le t en c, comme
qui,
nous
explorer
par
entendue.
tuellement
a cette
centrale;
Examinons
adverbiale,
viduelle
et
~ArM~, duquel il
sa composition.
MM'
sens
la ralit
Maintenant
ticulier.
un
d'une
en changeant
place,
nouveau
et dterminant
fait
due,
est le second
quel
intrieur
aurez
de terme,
ide
est irrcusable.
Ensuite
que
c~z, une
qui gouverne
en procdant
Cela
HBRAQUE,
exacte
lumineux,
le plus
voisin
signifie
sur
E et celui
ce point
de l'hbreu
comme
de l'existence
dans
de l'tre
cette
existence
~K/
Si vous
le grec
absolu
e~o, (Edn)
si,
indiajoutez
vous
au contraire,
CHAP
4:
vous
dans
intrieur.
le plus
Mais
terminons
renciel
de
III.
!!,
S, nous
l'homme.
nous
rextcricur
Quant
la forme
des
latins
restreinte
donc
en tcte
toute
du mot
le caractre
f/M-~K'ecause
et cela,
d'elle
se prsenter
de la mme
action.
M, qtt'
au-devant
N,
jamais
pouvait
dcoule
syllabe
mots
avant
l'tre
source
en ou in,
correspondans
dans un point
dtermin,
ou intrieur.
si j'avais expliquer
le mot franais
~M~!qu'il signifie le mode propre
d'aprs
lequel une tendue
comme
est conue,
ou se prsente
au dehors.
~aee,
je dirais
fixe et dtermine
cet
reste
la langue-
qni~
n'oblige
que
au lieu
qu'on
au moina
est beaucoup
que
je viens
plus
facile
en soi presque
tous
possdant
trs
rarement
l'tymologiste
ne peut
au. latin
mcursioM
et le phnicien,
du Signe
emploi
franaise,
hbreu,.
quentes
et n'a reu
jamais
et
extrieur
se modifie
laqueMe
qui se trouve
EN,
le signe
propre
ces donnes
D'aprs
Au
ne
gnr
l'existence
cement,
l'origine
P, qui ne souffre
Cette
la drive
em,
l'intelligence
se manifestant
l'intelligence
cherche
de la terminaison
mens,
d'aprs
la racine
si l'tre
gnrateur.
Voil
initiale
elle reprsente
comme
le moi
extrieure
la syllabe
de la consonne
jours
aurons
et circonte-
circonscriplif
cn~, l'esprit
corporel,
ce mot par
ensuite
rgir
et produisant.
elle exprime
par le signe
EN,
obtiendrons
Faisons
M,
plastique
ment,
la racine
oprer
en franais,
et au tudesque,
dans
dont elle
dont
d'exercer
sur un
mot
de
plus
sr
en
et beaucoup
se&lmens
a sortir
sans
tre
il drive,
constitutifs,
de
forc
et sans
le celte,
sa souche
primitive,
a reu,
en diffrens
temps,
son
lexique
de recourir
faire.
de fr-
et d~ns
le grec
un grand
nombre
d'e~presaionst
G.
GRAMMAIRE
44
HBRAQUE,
CHAPITRE
J9~
<S~e
IV.
JRccc~e.
/?/'o<~MMC!~
. I.
J!)<g~<?.MOM~MT
de montrer
tch
J'Ai
et sa puissance
de revenir
J'ai
son
ici
de mthode,
ne craignons
notre
assurer
de la Parole,
pas
marche.
la voix,
le geste
pas
qui se trouvt
Cette
intresse
et les
la lu-
c'est
puissance,
mme
par
le sceptique
en doute
la rvoquer
sans
s'il
& s'en
et capable
de ~s mfttre
emparer,
la Volont.
Je m'abstiens'de
nommer
di~icilement
car, outre
conu,
qu'il serait
principe
Mais l'existence
le lieu d'en parler.
de la Volont
ne
nie,
impor-
le soit, le mouvement
et
moyens,
ces lmens
et ces moyens
existeraient
vainement,
en mme
une puissance
cratrice,
temps
indpendante
mais
en oeuvre.
lmens
un moment
mieux
du Signe
l'origine
comme
tracs;
n'existait
encore
tS~j~TM.
CO~M~M~~M
prcdent
de manquer
pour
pas,
comme
dsign,
mire
d'eux,
nos
J~M~M!
le chapitre
nous
m'accuser
sur
caractres
dans
arrtons
dt-on
et,
tant
et
~Pr~M'~e
le plus
dtermin;
le vouloir,
et par
ce n'est
saurait
pfisqu'ilne
consquent,
pas
tre
pourrait
~a re-
sans
connaitre.
Or,
ne
la voix
peuv:'nt
Volont,
venir
articule,
tre,
qui,
que
et le geste
l'expression
s'emparant
et
ses interprtes,
si la Volont
Cependant,
du
son
rncnir
est une,
affirmatif
de
et
au
la
ou ngatif,
Volont.
C'est
du
mouvement,
dehors,
ses
toutes
ses
annotions
ajUectiotts
ne sont,
et
c'est
la
elle,
les force
de-
intrMMres.
quoique
di-
CHAP
tre
verses,
doivent
mmes,
pour
tous
les individus
voulant,
et afnrmant
sa volont
la mme
ne sont
mation,
pas
un
par
le geste,
ne
homme
seul
ou
se manifeste
Je
ft
qu'il
oM<ctt~?
inflexion
et le mme
cela
reste
tour
tait
aussi
ne puisse
qu'on
une
pas
C'est
et qui,
facile
une
et il n'est
taire
qu'il
le
qu'on
Il
prsente.
puissance
identique,
d'un
rayonnant
entendre
ou
t'aime,
chose
de dmontrer
te mme
n'ont
volitif,
foyer
c'est
que
galement
comment
et entranant
sens,
pourtant
de
Commen tant
n'auraieni-ils
et de l'analyse,
la mme
le mme
pas
l'origine
inconnue
prsent
jusqu'
mais
son
la Parole
serait-elle
de savans,
arms tour-a-
pas rsolu
une question
de conventiom;
dans
l'homme?!!
n'y a rten
pour
a ceux de mes lecteurs
)'cspcre te faire sentir
qui voudront t
mais je ne promets
une
avec attention
pas de leur prouver
importante
la Parole,
suivre
vrit
de cette
d'une
trop
nature
haute
la manire
importance
pour
des
gomtres
qu'on
doive
sa possession
la renfermer
est
dans
une
algbrique.
quation
Revenons.
sont
organes
geste
la ngation
on
de la voix,
I'af1!ir-
accompagnent
h peindre
auquel
ayant
geste,
facile,
de la synthse,
aussi
!c
aussi
Mo~,
les mots
lont
la terre,
qui.
forment
me
de voix
convention
.l'inflexion
si
un homme
Ainsi,
sur l'autre
voudrais
sans
les
respectivement
destines
spontanment,
va se rflchir
tre
par
ne veut
qu'on
de convention.
ou
45
les prouvent.
qui
l'inflexion
par
I& y avoir
saurait
qui
sur
veut,
qu'on
cenx
point
1.
c'est--dire,
identique
affection
pas une autre
chose.
Le geste et le son
n'prouve
hait;
V,
son et te mouvement,
Le
modins
approprie
mouvement
n'ont
est
qu'une
mis
par
ette
c'est-
<'et
eKet,
te
dtermin
dure
et
instantane,
son
change
dire
est
la disposition
qu'a ta (av<-ur
articul
en
fugitive.
geste.
de h' Vode
<'tc!t:tttg
Mais
S'U
ta
hnportt'
certain
en
~oix
voix
et
te
ta
GRAMMAIRE
46
volont
de l'homme
nifeste
au dehors,
presque
itser
ni peindre
son
main,
le hua,
comme
l'un
aux
afetions
alors,
ne
sur l'corce
des lmens
les
de
fconds
plus
du
et a l'aide
de la
un
le secret
d'efforts
l~aSesion
le geste
traces~
qui,
dpannent
vocale,
tendent
moyen
impour
sur la pierre,
langage,
a l'homme
lui
ressource
des caractres
l'origine
et symbole
et prsentent
empire,
ou de graver
des arbres,
imagejlu~este,
force
trouve,
Voila
et cela
aucune
ma-
qu'elle
eUes-mmea,
du mouvement,
expressif
dtermine.
des aHections
trouvant
elle s'empare
le plus
a d'ahord
qu'elle
son
survive
organe
de dessiner
que le souvenir
de faire
tou)our&
porte
HBRAQUE,
rapidement
de com-
inpuisable
binaison
forme
leur
la volont
premier
et elle peut
d'arbitraire,
mention
pour
n'est-ce
jamais
et soumise
caractres
parlent
leur
qu'au
aux lois
sein
d'une
d'un
tandis
Cependant,
ainsi
symbole
de deux
le~ geste.
Celles-ci
autres
Fhbreu,
temps,
on
les caractres
choses
qui
naissent
le fruit
l'inflexion
doit
s'attacher
et les
n'en
de
que
l ou
Tous
lei
pour
celui
tracs
supposent
<PuBe
s~ppo~nt
pa~,
l'ianeao~
spontane
Dans
et le geste
caraetres'comme
comme
les
ont
criture.
convention,
sont
le
~a'c~e
et
de la Volont.
Langues
disparu
semblables
depuis
au seul
le langage
parce
d'un
qu~
pom~pubHer
les
sont
hommes
besoin
une
rencon~e
l'tathssement
de la rflexion.
coualdter
la civilisation
pour
Pxp~S~
vocale
Aussi
tels sauvages~~pa~ssenttFe,
mais
tous n'crivent
pa,
il n~~Mit
aux
tr& sr
eon~
usage.
qu~an
civiles.
assez
d'une
leur
dans
le
prouve
s'y glisser
besoin
avance
convention
de le dire,
sont
du langage,
de
qui
rgulier,
en est toujours
qu'il
je viens
ides,
hommes
besoin
quoique
que
peuplade
leurs
soit
et autoriser
gouvernement
des
nullement
langage,
qu'it
On peut
quelconque.
l sont
aussi les formes
soient
qu'ils
n'est
pour
authenticit
etse communiquent
qu'il
assez
criture
tracs,
pourvu
reste
varier
assurer
d'une
l'usage
Les
du dessinateur,
beaucoup
de peindre
ses afections,
il peut
dpend
lment
lui-mme
longqui
tout
CHAP
entier,
en faisant
tablis
C'est
des
ides
abstraction
ce
fondamentales
de signes
a sufn
ce que
les
la formation
en sont
qui
Je
reprsentatifs
suivrai la mme
cette
quantit
petite
de cette
drivs.
et la
langue,
d'abord
Fxaminons
Racine.
une
par
j'entends
Racines
ils ont
laquelle
signes
hbraque.
comment
des
les mots
par
constituant
successivement
de tous
composition
en
de la Langue
en montrant
mthode,
47
de la convention
fait
j'ai
que
II
FV,
11
de la ~ac</M
Formation
Une
sulte
de
Racine
et ne peut
est,
de la runion
deux
Racine,
ainsi
signes
au moins,
parce
que
dire
autre
de deux
qu'en
Ce n'est
signe.
car
reprsent
un nom,
mais
constituer
le signe.
Lorsque
il devient
en hbreu,
dont
de relation
divers
ports
La
tre
peut
et des verbes
pas
tre
Je dis
constituer
une
renferme,
n'tant
pour
l'influence
constitu
comme
se prsente
un
au plus.
saurait
d'tre
effac,
entirement
et sans
bissyBabique,
s'est
le signe
l'expression
ne
avant
ce que j'apple
des noms
Racine
ce nom
ne
se dvelopper,
pour
elle r-
monosyllabiqd~
qu'il
le signe,
que
Relation.
et de trois
seul signe
fondamentale
pas
que
au moins,
un
attend
germe,
tre
jamais
signes
l'ide
et de la
seul
je l'ai
dans
tel,
n'ait
dit,
pour
le discours,
c'est--dire
article;
une
dtermine
abstraite,
d'un
sorte
les rap-
entr'eux.
compose
cesser,
par
de plus
de trois
consquent,
d'tre
signes,
sans
au nombre
des
Tout
mot
de plus d'une
est nmots primitifs.
compos
syllabe
cessairement
un driv.
ou conCar, ou deux racines
y sont runies
ou bien
tractes
Quoique
comme
sous
ou plusieurs
signes
ont
t joints
au mot
radical
le modifier.
pour
cela
un
la
Nom,
tant
qu'on
ce rapport,
Racine
tymologique
Verbe
ou Relation,
la considre
aucune
ide
comme
tre
fort
bien
employe
puisse
rien de tout
elle n'est
cependant
Racine
dtemune
attendu
d'objet,
qu'elle
d'action.
n'offre,
ni
d'abs-
GRAMMAIRE
Un Nom
t~~ion.
n~H~re
un
ti~n~termine
comme
Nom,
lation.
Ainsi
la Racine
ploye
comme
spar
d'un
un
elle
c'est
comme
vers
de tendre
Ainsi,
la Racine
tible
universel,
offre
encore
semble
mme
en gnral
en tre
rapport
entre
bon
drives
recevant
exemple,
~<
Nom,
monde,
si l'on
si l'on
vers
c'est
un lieu,
une
c'est,
l'action
comme
en fait
un
sert
comme
s'en
en s'amalgamant
par
les
Tout
des
adjonction
suivantes
dsir
la matrice
l'esprit
=!l TutH
avec
desif
signes
qui sont
d'un
dignes
la
d'ure
dsir,
une
ap<
un
dsireuse,
l'incertitude
de la
indtermine
de vou-
Cette
Racine,
considre
grand
nombre
dracines
racines
qui
a l'tre,
abstraite
du
l'expression
'de la volont,
tablit
c'est
d'autres
le nant
un dsir,
dsigne
ou l'indtermination
que l'incertitude
l'un ou l'autre
objet qui peut la tixer.
droit
un
comme
primitive,
produit
conver-
encore
elle
Relation,
le signe
point
Nom,
l'action
de
tend,
de parler;
inquitude
c'est
chose
je viens
une
Verbe,
foyer,
dont
le germe
dire,
distinct,
Relation,
o l'on
qui porte
but
sans
objet,
comme
de la puissance
Ce n'est
lieu
une
au signe
Em-
agit.
de dsirer
de l'objet
Re-
la volont,
un
est,
uni-
et de la
rgion,
o l'on
ainsi
pour
sens
elle
un
de s'y complaire
modification.
tend
laquelle
une
Rela-
comme
lequel
desir;
objet
contre,
Verbe,
sans
ptance
vague,
sens obtus.
Employe
loir
une
ile,
un
de la puissance
dans
un
une
indtermin
mystrieux
image du nud
un sens plus vague que la Racine
et qui
volont;
toujours
des signes
dsir,
du lieu
abstrait
c'est
~jj~port
la sphre
o l'on agit.
prsente
d'activit
un
une
lieu;
quelconque,
le centre
la sphre
de quelque
particulier
action
Verbe,
en gnral,
Nom,
gouvernement
vivement,
comme
~K, forme
se fixe,
autre
une
la Racine
absolu
dsigne
lie lieu
un objet
exprime
rapport
versel
manifestation,
videmment
dsigne
un Verbe
soit,
qu'il
HBRAQUE,
on bien
primitives,
modulent
grande
On trouve,
en
par
attention
a l'intrieur
et iructinaht
comme
C'est,
agissant
de l'univers,
l'oeuf orphique,
le
le vaisseau
d'sis,
pythonique
etc.
agissant
l'extrieur
et se propageant.
C'est,
comme
CHAP.
l'cfict
comme
Tout
dsir
port
ou
de temps,
l'action
celle
abstrait
dsir
dont
dans
une
dure,
de remplir,
ou de durer
finale
comme
c'est,
dans
abstrait
son
exprim
dans
tout
et rien,
dans
it&
la
comme
Relation,
tourune
passion;
dans
sa volont,
c'est
le rapport
et ~K~M~, <K~RM.
par
tant
excite,
vers
C'est,
le but
desir
au propre
comme
la limite
Nom,
comme
Verbe,
dsir
c'est,
l'action
mme
de pousser,
comme
le
Relation,
exprim
harmonie;
c'est
ce qui embrase,
quelconque
de s'accorder,
comme
C'est,
comme
c'est,
comme
de convenir,
Relation,
le
Nom,
en
d'tre
abstrait
rapport
ensemble.
par
Je n'tendrai
est
un objet
caractre,
de sympathiser,
Faction
en
un
comme
qu'au Sgur.
s'accordant
avec un autre.
sympatisant,
un symbole,
rapport
toutes
.3f~
abstrait
fT~ Tout
dessein
la manire
'c~
daat~h
exprim
par chez.
livr sa propre
desir
ItK Tout
C'est,
impulsion.
le feu, la passion
comme
tout
c'est,
Verbe,
l'ardeur,
Verbe,
le vague,
suivant
d'entraner
l'action
Verbe,
tourbillon
de presser
rapport
Nom,
ou
le rap-
Relation,
se perdant
l'infini,
Nom,
Tout
desir allant un but.
ym
du desir,
la fin o il tend
c'est,
de hter,
c'est
l'espace
l'innni.
d'enveloper
brle,
comme~om,
d'envahir
comme
c'est,
on~n-
distant
on envisage
~lesir en subjuguant
un autre et l'entranant
fentra?nant
~1Pt Tout dsir
MIK
billon
comme
la force
c'est,
Nom,
sympathique,
cause,
de la cause
C'est,
l'espace.
une
de lieu;
s'pandant
comme
c'est,
s'vanouissant
de passer
quelcon-
par ~CM<
exprim
Tout
manation
le rapport
abstrait
d'aprs
lequel
a lieu <x c~M~ d'une
autre.
de s'tendre,
d'atteindre
une
d'maner,
s'lanant
expansif,
Verbe,
la dure
ou
existe,
4<)
la causalit
Faction
c'est
Relation,
intervalle
comme
l'effet,
Verbe,
chose
qu'une
~K
un
comme
c'est,
que
coit
lie la cause
ce qui
Nom,
V,
les exemples
davantage
de donner,
la suite de cette
les Racines
pas
hbraques.
C'est
sur
cet objet,
une
Grammaire,
la que j'invite
puisque
le letea~
T.
)}
mon
srie
en tudier
de
Su
GRAMMAIRE
J'aurai
la forme
HBRAQUE.
soin
de distinguer
les racines
primitives
ou onomatopes.
intensitives
Celles
de !a
composes,
o mille
Ce concours
imitatifs,
arts
de sons
On
hbreu.
nui
aurait
d'imitation,
ides
en
en
trouve
circonstances
locales
trs-favorables
es-
dernire
bien
plus
grand
les ont
fait
naitre.
la posie
et a tous les
au dveloppement
des
considrablement
les Egyptiens
vers lesquelles
universelles,
les
des Racines
leurs
dirigeaient
efforts
idiomes
modernes.
les dbris
de plusieurs
sevelies
sous
.vateur;
mai&il
des
forme
des
n'en
Si malgr
idiomes
runis,
les Racines
les termes
les
sotoa
et ne peuvent
primitifs,
ainsi,
m'exprimer
maintenant
Examinons
ReMkMO&
des
Signes,
dm Signe
division
elon
sont,
au Nom,
simple
et
gure
attentif
qui
ne frappe
l'oeil
ce que
j'entends
l'ai
Verbes.
Elles
du Nom
au Kern,
maiurene~
e~ trois
du Discoursi~wec
la partie
<Sai<gaatwe
J'appttue
Rdation
rapport
du
au
Nom:
Relation
mdiqms
aM Nom,
Relattoa
M~erMa~c,
~Bbcas:~cs&c'~s~~VG~
en-
l'il
Langue,
vari
veut
de l'obser-
grce la
que sa pone-
faire
abstraction
e~~<&
de l'Etymologiate.
extraites
ellea
aw Verbe.
nominale
eeHe
<iara<se
~easplue'
enf
la
elles,
qu& matrqo~
a~RsmoM~~
De l,
pR'8 d'ama~-
con~erweattte
au~ ./<~p&~
des
un rapport
t~a~ours
qwe )'iab&
espces,,
qt~
l pense
par
expriment
ou du Nom
ceU
su.NcR.
les ReIa~ioM.
par
dit,
laquelle
tcgie<
Signe
Cette
n'ayant
sur
profondment
tromper
en hbreu.
comN~
ou des
Noms
la plupart,
pour
native.
employs
par Moyse dans leur intgrit
il s'est gliss quelques
dans
d'Esdras
ehang<Mnens
dans les consonnes,
ces ehangemens
sont
et mme
SewB de terre,
s
presque
empcher
que la Racine,
je puis
Les
ainsi
peuvent
chaldaques,
un Lecteur
encore
les voyelles.-mre&,
tgers
levs,
est pas
c&raetres
points,
ces idimes
les matriaux
offre
tuation,
Dans
<M ~@cbe
ceHe
qm
et enfin
1~ rappo~
ee9
le
~aoB""5!
da
CHAP.
gueurs
sans
dfinitions
les
dont
gues
Les
soin
cela,
en hbreu,
grammairiens
viter
pour
les lon-
les distinctions
ni
ont
admises
dans
les lan-
une
espce
de lien
gram-
ils traitaient.
formant
Relations,
matical
5<
et d'Adverbe,
pour
les autres
II.
de Pronom
admettre
que
!V,
circule
qui
d'tre
Relation
entre
envisages
se rapportent
entr'elles
les parties
au Nom
au Signe,
ou
de l'Article,
Signe
mais
j'attendrai
pour
parl
du Nom
et,
traiter
pour
du Discours,
principales
ont
be-
et snivant
qu'elles
espce
espce,
ou au Verbe. Je vais donc parler de la
sparment,
dsignative
comme
j'ai
puisque
de la Relation
parler
de la Relation
fait
dj
connatre
d'avoir
nominale,
d'avoir
adverbiale,
le
trait
du Verbe.
La Relation
dans
la Langue
dite,
o~d~~cA?,
lation
Signe,
Nom
ou FArticIe,
dsignative
de Relation
interjective,
dsignative
de Relation
rapports
proprement
en ce qu'H conserve
une force propre,
et qu'il communique
il est joint,
une sorte
de mouvement
qui ne change
auquel
six Articles
Je compte
celui
trois
ou de J~t~o~MM,
et de Reprpositive
L'Article
diffre
du
principalement
oud'~p~c&o~.
ta signincatton
primitive
et ne se compose
mnt,
'Voici
sous
savoir
hbraque,
sous
se prsente
dont
f~,
~h?&
qu~r
et lui donne
comme
runit
troit
e-
caractre.
sans
la Prposition
y comprendre
de la foule
hors
l'existence
Par
qn~B innchit,
Driv
locale.
etse
rend
c~<
de ce,
objets
sous
tl dtermine
par
cca~,
semblables,
CM~parta
par
acceptions
simplement
les Articles
de c~
qui renferme
plusieurs
ou de division,
de dpendance
des
des
du signe
u s'oNre
!a prennre,
A'/Sz,
Relation
a6<, d~Az,
il s'y
dsigne
Article.
enfrart~aTs,
une
seul
de ! vie universelle,
ride
Nom
d'un
du reste
rien
je parprai
tMnnaM~
rbb)et
que
en hbreu,
avec
ces Articles
de ce Nom
au
correspon
le
dans
seconde
n exprime
et se traduit
par
la troisime
il n'a-
GRAMMAIRE
5~
au Nom
joute
une
fin
devant
nuire
exclamatif.
et se lie
leur
mouvement.
dernire
accepou a la
sans
des
autres
Articles
alors
~r~c~
emphodque
en franais,
ce qui
je le rends
moyens,
la plupart
emphatique
commencement
Je l'apple
je le traduis
et quand
cette
au
avec
sens
qu'un
Dans
indiffremment
il se pose
des mots,
il est plac
lequel
d'accent
espce
tion,
HBRAIQUE,
est
rare
ou simplement
faute
de
par le point
exclamatif!
~?
Article
dont
Il exprime
entre
d~c/~
II inflchit
le mouvement,
de
nion,
franais
vers
.Article
ou
possession,
par
<
au,
les Noms
une
de
la, aux;
ou entre
Relation
directe
concidence.
Je
de, JH,
des;
de la,
le
de ru-
traduis
extractif
entre
un Nom
instrument,
qu'ils
du milieu
de plusieurs
ordinairement
la, par
Le
ou ~a~~
les Noms
par lequel
le rends
ou les Actions
ou une
sont
les
mouvement
Action
diviss
autres
dans
pris
leur
moyen,
ou
essence,
ou Actions
Noms
en franais
avec,
pour
de,
par
pour
distraits
similaires.
du,
l'Article
extractif
d~M~,
de la,
entre,
avec
plus
des parties.
en la,
<&MM~;
et sans
de force,
Je
des;
etc.
les
que
aucune
Ses analogues
chez,
avec,
en franais
tout
~~<M~d~~
etc.
~B~M~MM~&a~
ou les Actions,
la concomittance.
mais
ni division
extraction,
SOnt:eK,
Q,
ex-
est celui
inflchit
qu'il
sont
cet Article
que
ou M&~n~.
Cet Article
entre
caractrise
M~M~
peu-prs
ou les Actions,
le mme
Noms
mouvement
le,
t.
,1
pour,
~t~tc~
en
etc.
prime
en,
les Actions,
comme
la,
Le mouvement
entre les Noms
exprime
qu'il
est celui de la similitude
et de
de l'analogie,
Je le rends en franais
comme
comme;
par
comme
les;
~Miw<Mt<e~bM,aMMt~Me,A~MM<ar,<9<c.
ou cow$~
Cet
.~ec~
co~oyM~
Je
M~fMC que,
~<
}1
Artic!~
en ~uniMant
les
<
CHAP.
opre
ractre
1 devient
passer
les Actions
iacutt
convertible
jonctif
On
rendre
et
dans
notre
langue,
cw~
et je
C'est
le sentir.
pour
ou je traiterai
soit relativement
le
du
pour
faire
au Nom,
soit
ment
dits,
qu'ils
se joignent
gouvernent;
agissent
Articles
lorsque
le Nom
ou avec
trop
pour tre
Les
peindre
leur
spares
du Nom
n'ont
accentue
par
la
l'emblme
conque,
etc.
pas
exprimable
oH il le soit de
faut
qu'il
Verbe
inter-
contiendront
les
au Verbe.
et <~ /7M&'7/<'C~(M~.
ne restent
d'un
runis
seul
Articles
caractre
proprelittral
et
ou la Relation
au Verbe,
qu'ils
de plusieurs
caractres
et qu'ils
aux mots par un tiret,
je les apple
ils deviennent
des ~~M'Ao/M
ils n'offrent
avec
plus aucun rapport
mouvement
de l'me
qu'un
et n'expriment
caractris.
destines
pour
servir
de
lien
aux
et
choses
situation
de force
tr'elles
elles
ni.
composs
autrement
sur
point
remploi
d'examiner,
d'isolement,
Prpositions,
et du
relativement
i~oo~o~M
le Verbe,
en taisant
~MK~,
puis,
hbraque
connatre
au Nom,
ils sont
quand
isols ou simplement
ou
vu
le ca-
mouvement
n'est
gnie
se composent
intimement
prpositif,
dans cet tat
vif
venons
qu'ils
qu'autant
son
connais
Nom
De la Prposition
que nous
que,
n'en
Les Articles
dont
vide,
l'avons
franais
convertible
manire.
ncessaires
que nous
en
aussi
mouvement
exemples
ainsi
du
il exerce
temps
l'autre,
dont
ce mme
est
caractre
son
Chapitres
53
d'un
Mais
roger
I!i
le mouvement
le Signe
peut
par:
la mme
Les
cntr'cux
Noms,
universel.
IV,
ne conservent
une fois
respective,
plus de sens,
au contraire,
inflchissent.
Les Interjections,
qu'elles
qu'autant
le son,
qu'elles
elles
reoivent
qu'elles
le sont
sont
indpendantes.
l'infini
du sentiment
par
Peu
l'expression
qui les produit.
varies
plus
en-
ou moins
Elles
appar
GRAMMAIRE
54
comme
tiennent,
tous
lieux,
vais
HBRAQUE,
elles forment
les peuples
portantes
ces sortes
de Relations.
remplacent
les Articles
Je
tous
homme,
les temps,
tous
universel
(a)
un lan~a~e
et les
donner
tes ides
Je commence
par
les plus
interjections
du Lecteur
celles
des
Prpositions
de
qui
cits.
dj
~i~o~o~
~~?nMo/A'c
ou ~?K,
vK
~v~(M~MM
<&rcc~
ou ~JQ,
tQ
~f~o~/oM
c~~M'y/cc
remplace
rarticle
Q.
~Q.3 ou ~3,
~~o~tOM
~M~Mf~c
remplace
l'article
~Q~ ou
T~oo~oM
<M~MM<
n~
im-
sur l'emploi
un t
~JQ~
les
L'article
remplace l'article
rarticle
remplace
conjonctif
et
-?.
l'article
remplace
H.
convertible
1 n'est
pas
remplaable.
n~H
F~K
d&~TM~c.'
~~o~M)/?
n'a
point
d'article
corres-r
pondant.
E3A
0~,
mme,
aussi,
ainsi
que.
que'
.Ph~posi~a'ons
avec.
:~E~,C=~
:MK
:?3
~an,
et mme.
aussi,
ou
ou,
bien.
ni.
~Ph~~MMMMcK~MM~M~
sans.
~a,
:*TM
mais,
hors.
.,r;
nanmoins.
:G~
p~
:CN<T~,C3M:
hormis,
si,
que
F~o~B~M~M~~nc~
du
moins.
si.
~~<<N'&
peut-tre.
:'1Tt~
corrjonctives.
outre,
~.fort.
~4)Com't-de.Geb.:C~tMM.M<p.3S3.
de plus,
p~~ositit~ns
rxd~l~li,nes.
CHAP.
:~XK
V,
N5
de, chez.
auprs
, jusque.
~o~<~&
pour.
:~y3
selon.
car,
parceque.
cause
~7)1
de.
puisque.
puisque..
'~i~
disllrSl.,es.
~~o~O~<~<'M~
T ainsi donc.
~7
or a,
or donc.
comme.
~!Q7
e~c. ~&?.
INTERJECTIONS.
ah!
MK
::T~<,
:M1.n
T
! oh!
:n~n
T
ha!
ciel!
a!
or a! l! hol!
6h!
alerte!
h!
hem!
n~n
TT
:1
hlas!
ouais
plui--DIeu!
etc. etc.
Je
c~s
sur
m'appesantir
tions
tfabord
cpendaTt
sition
nous
et y joindre
d~ignative
correspondant.
Le ntouvement
inflchit;
est celui
d'al)onget
la signification
il en est
parcefpeson
et qu'ensuite
mina!e,
inutile
paraitement
usage
fa verrons
son
est trs-frquent
tout
ngurer
lequel
cette
Proposition
et de
me
dispenser
de parler;
dans
la langue
de Moyse,
dans
des articles.
comme
liste,
de ces rela-
chacune
l'heure
a ctui
j'ai annonce
qu~exprime
par
)e ne puis
mouvement
rt~ que
de
particulire
une dont
cette
davantage
n'ayant
entr
en rapport
rinHcxion
C~estta
point
ls Noms
comme
no~
prpo-
d'artide
qu't
rgissant
56
GRAMMAIRE
ou rgis,
comme
elle drive.
Elle
substance
caractrise
Lie
chose
Celte
autre.
rendre
un Nom
qui n'est
des
la liaison,
l'ensemble
si l'on
me
hors
suppose
d'une substance
point
encore
indique
la
ce qui
la prsence
on ne peut
en franais,
Actions,
elle dsigne
la tute,
le toi,
dont
Prposition,
a la nn-im;
"flK,
la senc,
l'identit,
exactement
la spontanit
par un tiret
ce qui constitue
importante
le sens
et participant
la sympathie,
c'est--dire
ce mot
du MMM~une
a cause
et individuelle,
propre
permet
de l'autre
~f~/M/~e,
substantivement.
prise
l'un
dpendans
Je la nomme
action.
HBRAQUP,
de
esprer
la concidence,
et la dpendance
des
choses.
La Relation
de
d'Article,
de la Relation
sera
ne
mens
aux
Prposition
et
Adverbes.
Mais
la
avanc,
que
Verbe,
circule
modifie
pour
leur
tend
gnative
qu'on
l'Article
juger
pour
positions
ne
la fois Prpositions
la preuve
la pense
du Signe,
du Discours
principales
et
et s'y
dsi'
que la Relation
par exemple,
et qu'elle
le devient
toutes
les fois
adverbiale,
avec le Verbe,
ou qu'on y joint
manire
absolue
franais,
de substantif
adverbial.
dans,
hors,
sont
des Relations
dsignatives,
dit
mconnatre
<F<?MM~
;~<* suis <~Jo~
que
commun.
sorte
les
il est
ce que j'ai
du Nom et du
une
on
point,
et j'avoue
en faire
quand
peut
en
fournira
parties
de lien
servir
d'une
sur,
que
par
trois
ces
devenir
l'emploie
mme
ne sera
adverbiale
seront
qui
extraite
entre
observer
peut
rencontrer
Relation
se distinguera
aisment
en ce que celle-ci
loin
Relation
mme
de la Relation
analogie
le rapport
ni peindre
les mouvemais ~ervir
de supplment
et ~ montrer
leur lieutenant,
dire,
Cette
distinguer
sous
les Noms,
ainsi
mutuelle.
cette
plus
de l'me
pour
on en pourra
On
je parlerai
et indtermins
dpendance
aussi facile
souvent
d'Interjection,
inflchir
devenir,
de considrer
je viens
dont
destine
point
Noms,
vrai,
on
que
nominale
confus
leur
dsignative
;y~
sur
cela
dans
MM<oM< hors
adverbiales
pour
quand
suis dehors.
C'est en cet tat
on peut
ou des Pr-
Ainsi
ce /)oMt< mais
on dit
je ~MM
qu'on
le& prend
CHAP.
les inflchir
pour
avec
l'Article.
Y, . II!.
Je
57
<&'<<a'M~ A? <~eAo~/
fOM Zg e?~
au dedans,
<~Mdedans,
du t~/MM~ ;~C <~OMau-dessus,
je viens du dessus,
au dehors;
de consetc. La Langue
qui n'a point ces moyens
hbraque,
se sert
truction,
ment
sur,
hors.
C'est
des
dessus,
mmes
le dessus;
quoi
on
doit
mots
~y,
FP3,
dedans,
dans,
faire
pour
ytH,
le dedans;
beaucoup
exprimer
hors,
d'attention
dehors,
en
galele <
traduisant
Moyse.
aux points-voyelles
les diverses
Relations
qui accompagnent
dont je viens de parler
elles varient
de telle sorte,
que ce serait perdre
en vain un temps prcieux
de s~y arrter;
d'autant
plus que ces variations
Quant
ne changent
rien
prononciation,
au sens,
soin
toph
sens
je m'inquite
dont
je ne m'inquite
en lisant
surpris,
Je suis toujours
faites
dont
seul,
et n'altrent
que
la
qu'on
pas.
la plupart
des Grammaires
sur
la Langue
de voir avec quel scrupule,
avec quel
hbraque,
on y traite d'un misrable
ou d'un ~o/HC~z-c~actdieux,
~MMc~z,
misrable
plus
encore
des mots
tandis
qu'on
daigne
cent
On trouve
s'arrter
peine
sur le
langages
l
.)-
T.
I.
58
GRAMMAIRE
HEBRAQUE,
CHAPITRE
Du,
V.
Nom.
. .
Nom
LE
produit
Ju
n'avait
aucun
Nous
Signe,
lui n'aurait
ni relations
considrerons
les Noms
de la Langue
premiers,
de Mouvement,
le
et, si le Signe
sens;
sous
hbraque
de Qualit,
d'Etymologie,
qui
soit
quoiqu'il
ni verbes.
de Construction
de Signification,
rapport
car,
aucun
il n'existerait
de Nombre,
tieme
sans
le Signe
sens,
savoir
ports,
sept y~jpo~.
je le rpte,
Nom,
MM~oa~
et enfin,
les comprend
sept
rap-
de Genre,
sous
le sep-,
tous.
D<! ~J~MO~M.
Les grammairiens
grand
des facultatifs
usage
tymologique
nombre
les substantifs
rant,
par
pre,
drive
~~K,
T
mais
exemple,
de fOM
!M</<!jWM
Je n'ai pas
*M M~ tas,
que
voulut;
et robuste,
de dire
besoin
faisant
doit
ceux
qui
se forme
~M
que
dans
Aussi
les lexiques
btis
mthode,
ne sont
simples,
)ets
suivant
les plus
que
le verbe
de
en offrent
non-
du mme
moins
de
assu-
entassa;
7?A
trouve
son
le
som rang
du Verbe
composs
d'erreurs
combien
distance
Ifa mots
et par
que
origine
dans
etc.
norme
cette
driver
~~M,
les engager,
et quelle
vritable
but tymologique.
d'pres
le Nom
c'est--dire
encore
du Verbe
l'clat
dpouill
au Verbe,
qilittraux,
de caractres,
par
ont
verbaux,
le donner
pour
seulement
blouis
hbratsans,
le commande,
que
plus
cette
ils se trouvent
moins
ne s'ofn'nt
marche
loin
du
ports
de ces hbratsans,
des indigestes
ou
fausse
tou~
o
vocabulaires,
de tcur
prcHquc
racine,
jamais
ni
V, . 1
CHAP.
leur
vraie
ni
dans
parl
du
Signe
prhension.
J'ai assez
donner
je vais
mation
le vritable
place,
connaissance
~)
jour
de la Racine
et de sa valeur,
rgles
quelques
en faciliterait
~ui
simples
la com-
et de sa forconduire
pour
la
du Nom.
tymologique
des Hbreux,
dit, n'est dans la langue
proprement
rudans un sens plus restrein t comme
quand,
que sa racine employe
nissant
et de la maternit
sur un seul objet,
on
l'ide de la paternit
Souvent
un Nom,
3M un pre,
prononce
alors
de la
un mouvement
en gnral,
qui d'une chose qu'elle avait conue
pense sur elle-mme,
fait une chose dtermine
dont elle qualifie
Ce
un objet en particulier.
dans l'idiome
mouvement
est trs-commun
d'aude Moyse,
et il mrite
j
ne l'avoir pas observ
tant
plus d'attention,
que c'est pour
que la
se sont tromps
des traducteurs
dans le sens des mots,
plupart
et qu'ils
ont
ridiculement
exemple,
quand
ils ont
une
vgtation
vgtative,
une
qui reprsentait
du sang,
bien
est
verses
il faut
d'une
syllabe,
driv.
soit
elle
qui Ouvre
une
une
d'une
par
substance
unjarclin,
circonscription,
dans
ce
ou
sphre,
assimilation
que soit
dans
l'exploration
on doit
de
parties
est modifie.
des
de s'y livrer
trop
ncessaires
autrement
tt,
y apporte
car,
la distinction
Si I'o'
p!us
hautes
et avant
chaque
de tout
M tendre
ou
de s'tre
pas serait
muni
une
connatre
dans
M faut
des iaculs
chute
n'a
qu'il
et les
di-
la racine,
de l'article
foit
conceptions,
et la place
d~s mots,
bien
pouf
si l'on
travail,
signe
Ma fin
du sign~
ve~
et
davantage,
aa composition.
t
de sa racine que brille
de chaque
soit
ou
d~aiiieuM
s'abstenir
et la valeur
qu'il
consonnes
quelle
au commencement,
en faire
la porte
de trois
C'est
Ici,
modifications
savoir
Comme
dans
ou bien
yy
universelle
compos
a la mmoire
affectionne,
quels
l'ide
de l'tymologistc.
prsent
ou un arbre,
en gnral,
une
universel.
etc.
Nom
Lorsqu'un
tait
qui
vu du bois,
enceinte,
dans
0*t
homognes
ce
particularis
par
les-
une
science
prendre
garde
et des moyena
d'autant
plus
8.
grave,
60
GRAMMAIRE
que rien
n'en
donnerait
HBRAQUE,
la mesure.
Si la longue
habitude
en gnral,
et de la Langue
en particulier,
hbraque
peut
donner
confiance
dans la faiblesse
de mon talent
cet gard,
quelque
curieux
d'un art trop peu cultiv,
de mditer
avec
j'engage le Lecteur
soin et la srie des Racines
hbraques
que je lui donne la suite de cette
des Langues
et les notes
Grammaire,
de
doit
qu'on
le gnie
mais
dans
mille
un instrument
Au reste,
DU
ce but.
que
il classait
bien
est d'avoir
pres-
cru
la prsenter
ses
rassembler
consistera
J'offre
C'est
avait
laborieux
Son mrite
Le gnie
tout.
mots,
dans
Grammaire
cette
SIGNE.
tymologique.
m'a
l'exprience
retirer
gnraux
la science
relativement
dveloppemens
homme
d'avoir
de
magasin
il fouillait
dfaut,
un
de Gebelin,
vaste
Cet
mal.
pars.
arriver
ENTIERE
TOUTE
son
fragmens
pour
l'esclave.
il construisait
en former
pour
un
tymologique
primitive
ces fragmens
RIVE
en tre
sans
possder
la Langue
Lecteurs
est
Court-de-Gbelin
plutt
l'esprit
que
bien les matriaux;
senti
ma traduction
qui accompagnent
de Moyse.
de la Cosmogonie
L'ouvrage
nombreuses
suggrs
J'y
dans
de l'ouvrage
ajoute
quelques
de cette
l'exercice
science.
Les
Langues
ne
sont
sur la nature,
et
particulires
universelle,
fonde
vine
les lmens.
anime
n'a
peuple
Cette
n'est
unique,
toutes
dont
compose
a un petit
A mesure
autres,
de plus
entr'elles,
Il faut
que
nombre
pour
savoir
les
autres
que de racines
de signes.
les langues
et s'loignent
en plus
toutes
particulires
de leur
il est donc
souche
essentiel
des
dont une
On peut appeler
en entier,
la Langue
possd
Langue,
que
cette
dialectes
d'une
tincelle
Langue
de la Parole
di-
jamais
nul
Langue,
que
DfKfM~pe.
sortent
comme
d'un
monosyllabiques,
s'attachant
se fondent
primitive,
de comparer
les unes
tronc
dans
les
mots
s'y altrent
beaucoup
de langues
les
d'une
seule.
obtenir
l'intelligence
dev~M
que toutes
les voyelles tendent
consonnes,
CHAP.
et toutes
les consonnes
le suivre
dans
devenir
.1 1.
V,
considrer
voyelles
ses modifications
(h
distinguer
et quand
on
d'un mot,
s'est
n'y faire
On parviendra
cette
aucune
de la Langue
par l'tude
deux sortes
Il faut
considrer
Touche
aise
Ainsi
sous
moyen
connaissance
entre
qui existe
des
surtout
ces
de les classer
F, V. Cette
est la premire
dont
les
langues,
celles
d'une
mme
et de
par touches,
'i
rapport.
celle de la douceur
dentale
touche,
tonne,
?b<fAc
ment
dehors
t~
les <enfans
la plus
comme
~che,
fassent
et de l'amnit,
au
elle
usage
considre
comme
Touche
sifflans,
dans
du
Elle
peint
ce qui
CH,
les uns
un
mouve-
sens
qu'on
l'I-
ce qui
passe
du
Q. Elle peint
les
onomatope.
tout
peint
au dehors.
dedans
GH,
Elle
en quelque
moyen
GN.
y, p
renferms
WH,
K,
dans
les autres,
DZ,
PS.
ou bien
s'y
ceux
qui
TZ,
ont
rapport
Elle
s'applique
avec
l'air,
ou
qui
cours.
leur
lgers,
Z, S, X,
tous
c~MM&M~.
Cnnsnnnes
RH.
circulaire,
N,
D, X
~oK~
mouvemens
tout
assimilation.
les objets
le fendent
R,
comme
sort
qui
et profonds,
par
Touche
ou
LH,
soit
M,
~u//M-a&
creux
modelant
au contraire,
peint,
protge.
LL,
considre
dedans,
Touche
Ij,
rectIHgne,
K~MoZe~Q,
Elle
rsiste,
1
soit
T.
D,
retentit,
toujours
7ouche
objets
t,
/~M~&
rapide,
magine,
t~s
vague,
onomatope.
?bM<~
tous
aux autres,
B, 1 B, P, PH,
en jeu,
est gnralement
voyelle
dernire
la gnration
il est bon
donc
ce nouveau
&&M&?
mettre
dans
que,
les unes
se substituent
les connatre
d'une
vocal
est tranchante.
encore,
organique.
descend
le son
que
o la diffrence
hbraque,
de voyelles,
consonnes
touche
attention
assur
la voyelle-
soigneusement
de la voyelle
vague,
qui entre dans la composition
mre
ce mouvement
l,
les sons
;amM
J,
durables
distingues
CH,
SH,
TH.
et doux;
tous
les.
G,
par
touches,
Elle
peinf
les
objets agrables.
devIeancNt
les signes
GRAMMAIRE
6~
et se mettent
les racines
se forment
desquels
gnraux
HBRAIQUE,
la place
trs-facilement
se prtent
gues
drives,
elles
d'une
touche
l'autre
mots
de plus
mme
et c'est
modernes,
consonnes,
qu'en
radicaux,
giste
de remonter,
racine
peut
crdit
de la science.
c'tait
la tmrit
savans,
et hrisses
se subtituent
elles
tre
munis
K,
n, I,
pour
le
des
Aprs
ces principes
pos
relatives
suivantes,
tymo-
leur
E,
aux autres,
consonnes
et
OU,
depuis
a s'teindre
parler
ce cA d'un accent
toujours
telles
, t,
se reprsenter
peut
je passe
tymologiques,
emploi;
du ch franais,
le distinguer
ou le ~A des Anglais.
hbreux
avoir
ne
et le dis-
bordes
les unes
successivement
toutes
devenir
penchent
et guttural
dans le son profond
3, qu'on
ou le c& allemand.
Je marque
des Grecs
grave
bonne
carrire,
inconnues,
elles
jusqu'
cette
la science
sans
une
la
jusqu'
Jamais
on
de rochers.
aux voyelles-mres,
Quant
dans
des routes
dans'
analyse.
de former
point
qui,
tymologiques,
qu'il
langue,
des
de langues,
les
dont
la facilit l'tymolo-
donnent
degrs
les idimes
la substitution
nombre
du mot
ce n'est
Mais
dans
prsente
de chutes
nombre
des
vaincre,
des
moyen
se hasardaient
cessaires,
RO
au
le grand
Del,
ne peut
que
en passant
des
l'tymologie
mutuels,
rendent
la mmoire,
prsens
secours
qu'elles
grand
ou primitive
idiomatique
l'aide d'une seule
esprer,
logie.
pices
un
possdant
des
alors
en plus incertaine.
On
les obstacles
multiplis
mots
peu
prs
que
comme
aux
rgles
les
donne
Court-de-Gbelin.
N faut
justifier
Ne
par
point
ractres
l'usage
ou par
l'analogie
les
caractres
confondre
fJt
les mots
subir
altration
aucune
qui ne sont
accessoires
Classer
avoir
n supposer
par
familles,
une analyse
dans
radicaux
que
des signes
et n'y
donner
grammaticale
un
mot,
ne puisse
qu'on
d'un.mot
avec
ou des articles
entre
aucun
les
ca-
ajouts
sans
lui
CHAP.
les primitifs
Distinguer
viter
avec
Enfin,
se mettre
les autres,
car
le plus
les sciences
clairent
l'une
63
composs
soin toute tymologie
dans
toujours
marchent
d'une
d'un
force
soit pour
le cas,
Ftymotogie
ne
des
grand
d'appuyer
V,
preuve
certain
pas
soit pour
soi-mme,
historique
ou morale
qu'autant
qu'elles
s'-
l'autre.
IL
~<()MO~.
tout
.S'M~!sM/~
s'appliquent
dont la pense
de l'homme
morale,
de ses sens,
moignage
substantifs
sont
un seul
tre
(Moyse),
nj~
espce,
domin
ou
Les
ou une seule
nommant
pour
Cette
classe
prime
la qualit
bon,
~n;)
La tang~
~or/M~
d?
leur
ont
d'une
la
t?Q
H'pst
plus
fpy
point
une
donn
une grammaire
ou la forme
p~yM~
M<'y~e
dans
exprime
m~me
les choses
intelligent);
propre);
jMb~g
n~]Q,
etc. C<MMMM7M,
mme
(ce
MM ~ot(un
des substantifs,
les qualits
Les
qui les caractrise.
la forme
c'd~'c~,
de noms
comme
toutes
Les
qui
dlgue
etc.
tre conserve
vague,
(l'tre
expriment
sous
oua
le t-
ils s'appliquent
(l'Egypte);
mouvement
etc.
~Mo~ca~
les
l'homme
quand
en particulier,
Q~Q~~M/K
tous les tres
d'un
jouit
l'imagination
en
chose
soit
par
intellectuelles.
de ses facults
propres
ou
physique
l'existence,
(No),
et local)
temporel
admet
ou communs
propres
ils s'appliquent
comme
~H
quand
est substance
ce qui
qu'une
!T:he
ea
grammairiens,
dnomination
de la nature
simple
de la substance,
A~~M/
et les oHrent
trop
de clle-ci.
elle ex-
adjonction;
comme
dans
3~0
etc.
quaUeat'fSt
mais
elle
obvie
GRAMMAIRE
HBRAQUE,
64
cette disette par l'nergie de ses articles, par ceUede ses tacuttatns
verbaux, par les extensionsdiversesqu~eUedonne a ses substantUs,en
leur adjoignant certains caractresinitiaux ou terminatiis. Elle a, par
exemple, dans l'article emphatique n, un moyen d intensit, dont
elle fait un grand usage, soit en le plaant au commencementou ta
elle fait fl~nj
~o~y~n<
y~afin des mots. Ainsi, de ~?!*UM/t
T /oin'~M<,
T TMM
elle fait une
a'~cMcc~rMc/A*,
cK~, de '~Sp J~<~?MoM,a&~<'Mc~,
une ~ar~MM /o/a~/ de TtQ~or~, cHefait !111Qn
T une ~o~ ~bA*M/<
etc. Quelquefoiselle ajoute a cet article ie signe de la
r~c, ~M~Yc;
rciprocit M, pour augmenter sa force Alors on trouve pour 1~ MM
ajMe<?cco/ pour
w~/ia'M~a&~MM
o~w, MnOM~,fin~y MH<~pM<
n3~ ~TTTCMr,
nn~K terreur ca'~i~e, <~HOMpaK~
a~SM~e;pour fl~f~~
MM
~a/K<o~M~, MK
etc. etc.
.~A~, n~M~c,nn~
wacccMtS~e;
L'article
C'est
gouverne.
ou
<~M;
D'une
autre
semblable
Le
mots;
est
torsqu'U
initial
est
la signification.
tumulte
J& glisse
la fin une
;TtBt<! signifie
T
J'MM~ tente;
~M~M~?,
de l'action
il constitue
mais
ecm~~e
celui
d~on~&MM~~
Qn
pouvantable,
sur
ces dtails
une
dont
et
quand
syllabe
extrieure
il est
~!BK un
'?~K si-
et ~oco&;
augmentative
et
mot,
mutuelle.
et collectif
circonscrite
passive
la tte
qui
voile
0/~
des
en tend
am~M~
une
~fo~M~ etc.
mes
d'un
l'action
au
etc.
douleur
~~pl
expansif
HH~~o~~
un fo~,
exprime
qu,il
semblable
QyS
ou moderne;
se rapportera
RU caractrise
T
nom
commencement
il devient
au contraire,
~KcZcoM~Mf~ 7tK!~
envahissante.
extrieure,
signe
au
douleur,
signifie
du
~T~MMaMeoM~cDMMa~
PU sacerdotal;
1< plac
Mne~b~e
Mne~bw~
Le
HW
est final,
lorsqu'il
gnifie
Q,
signe
entendre
de qualificatif
~M'aM/OM~~Mt,
le signe
part,
sorte
ait. ~y~~,
C~nS
la rciprocit
peint
doit
qu'on
ou 'M~iC!
peuple,
un
ainsi
?M~
une
forme
assimilatif
notes
etc.
sur la Cosmgomt:
Je Mvy~e
CHAP
assez
offriront
V,
d'exemples.
M me
en crivant
l'hbreu
II.
sufnt
65
ici les formes
d'Indiquer
gram-
maticatcs.
Les rabbins,
l'addition
par
Ils disent,
minin.
n~SJ
du caractre
foule
spirituel
de noms
tude;
MI~SJ
'{17K et !T!T?K
exemple,
Ensuite
tels
substantifs,
pas
c'est
et
de ces qualificatifs,
divinit;
etc.
tendresse;
primitif
les qualificatifs
n'est
TntM
Ces
point
une
~yb~i-
formes
n'ap-
exactement
carac-
ce qui
est assez
s'tablit,
Lorsqu'elle
de l'article
!W!7K
TtT*~
~~MoZ~;
t'hbreu
au moyen
ils tirent
que
La comparaison
entre
trise
dans la Langue
hbraque.
rare,
les qualificatifs
et de la syllabe
Ff, au f-
au,masculin,
et spirituelle.
~a
partiennent
par
forment
moderne,
ou de la prposition
extractifQ,
?3,
qui y correspond.
Le
de manires.
de beaucoup
Tantt
on trouve
s'exprime
ou le qualificatif
rendre
l'ide
a
doubl,
pour
qu'on
ou de leur
ils sont suivis
tantt
d'un
relatif
tendue;
superlatif
ou le substantif
de leur
absolu
force
pour
dsigner
la relation
adverbiale
les conoit
comme
leur
nature,
phrases.
que
rien
*0
trs,
ayant
ou
bonne
atteint
et diverses
ne leur
que possible,
Enfin
dont
en bien
on
je vais
l'tre
~NMQ
E)~ .3'M
O~n
:inK!T~Q
CM'M
fMQ MMQ
~')
D'nM!T~Q
CtT~
0~3
n~l
yb?
~Mn "nh
fam
leurs
qu'un).
Mat,
mat
Petit
(pis,
Un mont,
rouge.
les gens.
te bon,
selon
diverses
pri-
exemples.
juste
qu'intgre).
bonne.
(Un
sont
meil-
bas (plus
bas.)
(Deux
Bas,
(Bien
plus rouge.)
(Trs-petit.)
celui la
(Le
meilleur
tous.)
T.
t.
nom
essence).
seul.
pire).
le rouge,.
entre
juste
est la meilleure
d'un
qu'on
(l'homme)
de l'essence
les deux
fois
en mal,
quelques
(Aussi
Bons
Parmi
ou
Intelligent,
intgrits.
Un bon nom,
bien
indique
rencontre
offrir
des
3'M
D'autres
comparable.
mesure
leur
No,
.Q~p:~Mn<)
1,
autant
fort,
mauvaise.
formules,
est
de
66
GRAMMAIRE
Cy~n
Cy~tn
1~2 ~M
Bon
selon
sa mesure
O~~n
Les
deux
et les cieux
~~1
Dieux
C~~T?~ ~7K
~~t
Cy~5y
des
L~obscurite
(Autant
que possible
des deux.
et Seigneurs
des Seigneurs.
serviteurs.
des tnbres.
La flamme-Dieu
n~ron~
des Dieux
Serviteur
'~3~
!1'M*~h
:T7BMQ
HBRAIQUE,
les tnbres-Dieu
(Ex-
tremes.)
Les
~K~~IH
de
cdres
Dieu
trs-
(Admirables,
beaux.)
CMT~?
Une
r~TU
:~K~
'P
Les
= Miy
sont
jMb~ca~
d'une
dition
relation
sous-entendue.
le tout
catif~
et facile
que
pris
la ibis
chose
ont
braques
~1M et~l,
facults
qualificatives
forte-ment,
substantifs,
des
Noms
qui
ou modifi-
qualificatifs
chose
une
dsignative
en hbreu
action
une
dont
Les Noms
d'une
dont
y'1 le mal,
pense
l'expression
exemple,
bien
de.la
par
faite
sentir,
de la pense,
ordinaire
signifie
faire
modifis
Qualificatifs
plus
bien,
et mal,
comme
trouver
des
mesure.
outre
d'autant
d'abstraction,
par un mouvement
l'idiome
est neuf et voisin de sa source. Ainsi,
~M
bien
ou
de
(Trs-robuste).
extrmement;
devenir
rare
pas
Lm-Ies-Dieux
les Seigneurs.
abstraction
adverbiale,
Il n'est
tre
puissent
selon
Trs-ardent,
simple
selon
grande
des'Substantifs
de manire,
Robuste
VQH
'P~
ville
autant
dont
signifie
est
faite
comme
On
sent
la mme
j'ai
modificatifs
signification
les mots
comment
renferment
se fait
franais
les mots
que
Je les ai choisis
est en moi,
h-
les mmes
exprs,
cette
afin
de
abstraction
parl.
qui se forment
ou adverbiale,
<<oMc~Mn~
que
et qu'ils
substantifs,
et modificatives.
qu'il
assez
est
et la manire
galement
mal.
exactement
et la manire
bien,
galement
comme
sont
trs-rares
en
par,
l'addition
franais
en hbreu.
<&-MO~
On
d'une
relation
~-oH&isnc~
en trouve
pour-
CHAP.
tant
T!Ttn~
fois
aux
un,
peut
signifier
sont
des substantifs,
c~rMO~e;
etc.
/rM'c;
la
~HK~
67
/MWM//t'~M'7~
T~m~Q.
tiennent
aux moditicatiis.
I!
f'V~t~n,
que
~M~<H<yM~;
nombre
de
tels
quelques-uns,
V,
aux
substantifs,
Les
et
quatiticanfs
MM~Mg et
KM~
galement,
noms
HM/<yM~M~M/.
Les
Nomsfacultatifs
et dans
lesquels
sentir
inHuenee.
son
mais
.pt~cy~,
j'en
le verbe
par une
remplace
Les
dcouvert
et sans
action,
un
dtermine.
intellectuel
une
une
par
t,
C'est
que
cette
exemple,
toute
physique,
mier
et le second
caractre
tiens
sur-le-champ
le
tible
t, et que
substautif
<
Unu et
uni,
t~~M~
On
sont
et d'une
peut
pass;
appellent
parce
qu'en
de T?Q
qui
le
signe
MMroi,
verbal
j'obo~'<'&~
sa nature
dont
Facutatf
jp~
t'act~a
le pre-
<OKM~
~ott~~yMM~;
Participe
entre
le facultatifs/M
je nomme
eitet,
est remarquable.
tout mouexprime
et le troisime
alors
j'obtiens
que
Ceci
si je le rends
*t?~0, <n~M.MM<~
foule d'autres.
s'apercevoir
~~)
vers
et du sens
si j'introduis
le second
H en est de mme
les grammairiens
pelient
entre
je le pose
les
inerte
tout--coup
de la lumire
le composent,
c'est--dire
<<e,
du signe
coM~M
toutes
substance
se portant
morale
facultatif
ce signe,
a~aSaMi St j'teins
d'une
mtamorphose.
le substantif
Ml,
qui
dans
ils prsentent
plus a
le substantif
runit
au
qui
anime,
affection
ta
Je
inexplicable,
au moyen
s'opre
par
de Moyse,
substance
comme
aux qualificatifs.
particulire
le nud
autre,
ici
jusque
appels
juste.
plus
celle
faire
dnomination,
donne
attention
puissance
fait une
je prenne,
vement
dans
dans
que
et qui
but
une
ont
faible
avaient
je crois
que
surtout
verbe,
Que
autre
les
de cette
l'gard
<~i&<~<
dire,
commence
~~f/o~
grammairiens
mritent
mais
Min,
de ceHe qu'ils
~ocM//a/~
langues,
Les
j'agis
ai agi rgard
absolu
ains!
pour
et
exprime
conver-
caractre
du
<~
MM,
~1
les facultatifs
'3t~!3
~~)e-~t,
continu,
celui
fini,
par
con~OM-
celui
que
qu'ils
ap-
ces ~cuitattiis
9
GRAMMAIRE
(~
n'est
.ou
point,
<~
un
l'un
s'y montre
la vie verbale,
C'est
et l'autre
franais,
il est
du facultatif
fini
sort
que
deux
les
caractres
dont
elle
fini.
toujours
au moyen
plus loin. Ce facultatif,
se forme
de la racine
primitive
t entre
signe
en
bien
tait
&~M~<
continu,
toujours
revenons.
le montrerai
fort
continue
ne voit
qui
alternativement
Mais
dit
mais
brlant
et brl,
sont
que les facultatifs
au pass,
au prsent
et au futur ? Ils
et galement
ces trois temps,
avec la diffrence
et l'autre
que le
Or,
participent
sera
&onj!,
sera
premier
prsente
On
quelconque.
temps
~&M~,
ou passe,
parler,
h proprement
dans
finie,
HBRAQUE,
le Verbe,
la Parole
duquel
je
reoit
l'introduction
par
se
comme
du
Ainsi,
compose.
par
exemple
La racine
renferme
Ott
toute
ide
de monument
de lieu
de
ou
C~
ou
tre
rigeant,
CH~
tre
rig,
~3
ou
pour
servir
de
statuant,
posant,
d'o
etc.,
pos,
renferme
toute
lisation,
de l
lev
ou
d'rection,
dsignation
de chose
Q'M~
La racine
d'lvation,
ide
tre
consommant,
~?'0
tre
consomm,
le verbe
Dt~
de consommation,
d'agglomration,
~0
dsignant
~ifr.
de tota-
d'englobement:
totalisant,
agglomrant
d'o
agglomr
le verbe
~*0
consommer.
La racine
ou
7*M
Comme
dans
je serai
le chapitre
davantage
appesantisse
de faire observer
que
les pniat$
~M?:
tre
entassant,
tre
entass,
forc
ide
je traiterai
exhauss
maintenant.
depuis
c~o&'K
sur cette
des
verbes,
~n~
d'o
le verbe
formation
il est
souvent
7~ ~MM~.
des Facultatifs
inutile
de laponctuation
ont
sautant.
poussant,
Je ne puis nanmoins
l'institution
et mme
de bas en haut
qui porte
exhaussant,
de revenir
d'exhausse-
'd'entassement,
de mouvement
ment,
de l
toute
exprime
que
je m'y
m'empcher
cha!daque,
rempse
ie signe
CHAP.
1 dans
verbal
et
cale,
tre
c'est
et
que
comme
dans
ou
d'<~
seconde
chose
qui
conservent
qui
jamais
gligent
a moins
cultatifs,
ses analogues
ce paragraphe
tinus
du
seul
tranger,
de lui-mme
qui
aux
sous
mmes
les rapports
et de
comme
dveloppe
de la mme
ciper
~nKya/?~.
dans
La
ces mmes
fa-
de la suppler
convenable
par
O~p ou C~Kp,
en disant
soumis
mouvement
tre
peut
d'
<~ ~M&~M~r.
Je terminerai
ne
ou
plus
C*
Mais
etc.
irr'sisy reparat
l'action
de subsisC~p
la voyelle-mre
crivant
T?~
deux
le signe
de mourir,
certain
ne jugent
qu'ils
radi-
~MK~a'
MOMr~
ci-dessus,
dont
paratre
ou
~M~er, l'action
y est
un
tre
alors
l'action
l'abus
prouve
on
compose
de la ponctuation.
La premire,
absolue
s'offre
d'une
manire
le sens,
r~Q
jusque
de faire
abus
les exemples
subsistant;
d'origine
tre
nQ
continu
le facultatif
dtermine
tiblement
ter,
ici un
n'en
69
communment
~M~M&M~;
c'est
que
lorsque
rien
que
tre
CP
prouvent
assez
III.
soit
continu,
trouve
qu'on
n~tMCMif;
choses
facultatif
le
V,
que
manire,
mane
par
une
du
le verbe,
comme
ayant,
verbe
~c~
con-
la construction.
renfermant
tant
les Facultatifs,
que
Nom
modificatif
action
sous-entendue
lequel
ne
saurait
je le dmontrerai,
tout--fait
qui
y partila partie
et par
immuable,
inflexible.
consquent
. M.
Du
Le
Genre
une
par
choses
n'a
que
sorte
s'est
d'abord
deux
les Grammairiens
leur
assigne
le masculin
Genres,
ont
par
de similitude,
d'analogie,
et le sexe qu'on
distingue
C~M*C.
iaits
pour
mle
le sexe,
qui
par la parole.
et le fminin
lui en trouver
parat
ou femelle,
exister
entre
ou
les
La Langue
nbraque
malgr les efforts
que
un
troisime
et mme
GRAMMAIRE
70
un
quatrime,
qu'ils
ont
autre
chose
ne sont
Genres
qu'en
commun
que
la libert
le Genre
dans
passant
les
ou
de donner
indiffremment
mritent
c'est
quelqu'attention
et en y prenant
une
le Genre
constitue
prtendus
l'orateur
ou fminin
drives,
langues
Ces
picene.
laisse
masculin
si ces Genres
ils ont
particulire
dans
appel
la circonstance
et suivant
HBRAQUE,
neutre
l'on
que
forme
rencontre
plusieurs
Genre
Le
substantif,
Nom
vie.
n'ont
modincaufs
les actions
difient
et se forme
masculin,
ou facultatif,
qualificatif,
Noms
Les
du
drive
fminin
et non
point
les choses,
le signe
de Genre,
comme
en ajoutant
attendu
font
de la
qu'ils
les autres
au
mo-
espces
de mots.
Je prie
la force
de remarquer
intrt,
qui me suit avec quelque
avec lesquelles
et la constance
se dmontre
la puissance
partout
te Leeteuy
j'ai attribue
que
entier
J'ai
du
de la Langue
dit
que
signe
le Genre
du
masculin
par
un
signe
heureuse
pour
indiquer
le sexe
la vie,
Ainsi
'T?~
~fhg'c~,
bon
de la divinit
ce bienfait
MM~M, produit
MMC~WM~
~IM
tout
n~yQ
fait
ex-
les tres
pa-
un homme
T
MM~OM~OM mle
tous
d'une
?'
we ~~M~CDn
~MM~
dont
l'addition
~awcMjt,
f'm't MM~OMMOK~MM~.
?*
T Ao~nc
tF~M<
devient
<~e-~?MM<,
~?~ T
~n~/MM/e.'
!Q1~
<K6M~,
J~~My~
~<vT~~M~,
T gTMK<
Q~
ou
Q~T
etc.
II faut
caractres
a l'gard
observer,
de cette
formation,
que lorsque
masculin
emphatique,
se termine
de la rciprocit
~<f;
se forme
fminin
d'imaginer
'~?3
le gnie
de Moyse.
possible
Ainsi
catif
je fonde
tait-il
te~ir
Ainsi
sur laquelle
puissance
de la vie n
plus
pression
raissent
MD~H
au Signe,
~CO~,
r~
de la manire
suivante
OUj-t~
~~W~.
~B~ 1%
~H~
'~t
le qualifique
le signe
ces deux
par le signe
!*T~ Qu
'F<
v
jnjB*
t T't
1
)
CHAP. Y, m
Au reste,
ce signe
tous
presque
fminine
les cas,
le caractre
des Noms
hbraque
!im*0
etc.
d'une
un
qu'en
soin
les
que
de fleuves,
Noms
de
prennent
aucune
d'y appliquer
le faire
connatre.
la mmoire
me
soleil;
~Q~
le masculin
galement
yiH
'~B3 me;
mme
rgle
Voici
fournit
en
terre;
T~
ce
des
substantifs
du
1~!
n'n
dignits,
tandis
noms
substantifs
il est
impossible
a l'usage
Genre
commun
sphre
<Mp~,
porc;
du
fminins.
c'est
enceinte,
M~ temps;
savoir,
membres
n, sont
et le fminin,
de ~MO/&~M~)
~1H(e~/M
celui
moment
~7M';
les
villes,
Genres
de
de
d'emploi,
sont masculins
approximative
des
ceux
des
sufnse
le signe
par
c'est--dire
commun,
genre
du gnie
l'application
de
ces
principalement
de mois,
termins
dans
D!T1*0 que
Qu'il
de contres,
femmes,
le
que
tre tombante;
d'hommes,
de montagnes,
les substantifs
au
Quand
sur
dictionnaire.
propres
mme
particulirement
H~St!
beaucoup
le
Noms
il semble
qui traite
Grammaire
regarde
les
et tous
corps,
une
qui
gnral
de peuples,
T?*~ que
dans
remplace,
de la terminaison
s'agit
ou facultatifs;
de s'tendre
Langue,
c'est
qui
dans
lorsqu'il
l'affectionne
plutt
~/n?-/H~an/c;
Il est inutile
n,
qualificatifs
gnie de la Langue
On trouve
derniers.
de tout
n, image
7<
seul
que
o~<MM~M<?;
MM~<'
*1K lion;
expanetc.
. IV.
Du
l n'existe
en
hbreu
~JP/M~
A'~N~M~et
que
restriction
de la pense,
dition
seule
conserver
Nombre
deux
le troisime
simple
a pu
Nombre.
une
l'aide
Nombres
Nombre,
modification
caractristiques,
appel
du pluriel,
de la ponctuation
en passant
dans
langues
quelques
un Nombre
au moyen
pu y constituer
caractristique,
mais il est visible que la Langue hbraque,
y a revtues
restreint,
D~c~
qui
n'est
sout t
qu'une
que la traCe
chaldaque.
a bien
drives,
des formes
ou l'eut
qu'i!
d'abord
GRAMMAIRE
7~
seul,
ou ne le distingua
trop
peu
ment
sensible
remarquer
du
ponctuation,
fminins,
qui
comme
succession
par l'addition
l'addition
la
fminins
de la syllabe
rciprocit,
des
Dt,
C\
tout
exprime
l'addition
laquelle
extrieure,
ristique,
ponctuation
ce qu'on
doit
la ponctuation
cette manire
de
faire
toujours
ce Nombre
glyphique,
confondant
avec
ou'une
extension
ont fort
bien
du
vu cette
de la ponctuation
Nombre,
dition
leur
orale
(lui
nUcKtution
Nombre
le constituait
de
cette
mme
dans
pris
l'origine
manire
C~l
le parti
en
sa source
hiro-
part
voulant
et que
d'exprimer
doublant
deux
de la
points,
rabbins
ne
bien
caract-
masculin
et le fminin
d'une
des beauts
doit
sans
le duel
Les
et de l'autre,
ont
et
abstraction
de Moyse
genre
considrant
qui prsente
transmet,
et
et semblable,
fait
entirement
difficult,
par
de la lumire
rellement
remonter
commun.
chaldaque
ce troisime
veut
disparat
du
pluriel
CP ou EP. On
lise la Langue
si l'on
le. pluriel
leur
ty,
syllabe
et qu'on
chaldaque,
la
exprime
il se forme,
n'est point
cela, que ce Nombre
d'aprs
comme
si l'on
je l'ai nonc
puisque,
sentir,
les
choses.
duel,
de la mme
on ajoute,
selon
~<WM)!z ou ~<oeA
p
nomme
des
facultatifs
reunissant
qui,
les signes
est mutuel
ce qui
les consi-
ou
forment
classes
runissant
qui,
de l'identit
l'ide
dveloppe
Pour ce qui est du Nombre
voix
de la syllabe
mmes
caractres
la'rigueur,
et de la gnration
l'Immensit
des choses.
infinie,
Noms
Les
par
on pourrait,
de la manifestation
signes
de
des mmes
au genre
commun.
soit substantifs,
qualificatifs
masculins,
letur pluriel
forment
se couvrent
.D~
masculin,
appartenant
Noms
Les
le Nombre
le pluriel
indiquent
drer
du pluriel
de voix;
inflexion
que par une simple
car il faut soigneusepour que le signe l'exprimt
le signe qui l'exprime,
mais la
que ce n'est jamais
dans les Noms
moins
masculins
aux Noms
quant
dans
qui,
HBRAQUE,
n'tant
modernes,
qui
l'inconvnient
point
d'ailleurs
perdre
la tra-
l'inflexion
le signe
pieds
se
t3~
de la
de
ma<
CHAP.
au
Ce Nombre,
~aMA
a fait
la nature
comme
ture,
les
ou que
7<! roi,
rois
visitans,
Cnp~B
sits,
EXEMPLES
reine,
juste,
tre
&
na-
livres
Q~~SD
T'
P~X/M~.
~~tM~
Ip~B
dire fM~
T!pS
DU
ou
!T!p~5
t'M~
PLUMEL
les reines
r!~)Q
FtIp~yM~.?
tes,
double
soign,
M~MM<,
~<-
Q~lpS
etc.
~o~M~
n~a
que
MASCULIN.
innocens
J'O~MOM~
choses
d'une
conoit
PLURIEL
Q~~
qu'aux
le dmontreront.
*~SO
innocent,
Q~M~~
gure
l'intelligence
DU
O~Q
y3
s'applique
suivans
exemples
EXEMPLES
')Q
ne
reste,
doubles,
. ty.
V,
QH
mre,
)~c
mp~B
tre
M~MM~~n'Ttp
FMININ.
r~SM
M~~M~c,
~M)~,
!TP~
~o~Man~,
soigne,
r~lP~S
rhT~S
~M<-
~o~M~?~~etc.
DU
EXEMPLE
T~
la TK~~MC~~ Q~
M~
e!M;
(les doubles
main,
On
deux
a pu
conserve
est plus
CyrfQh
Quelquefois
T. .
AoM,
que
comme
cieux;
imat
caractre
dans
~M MtirMM~t.'tty~tpa'
ls 1ions; mais' cepen dun fil.
itp
C"IN
/M
Q~IK
se
mais
~OM<;
perdo
cependant
ou s'amalgame
aussi
/<
une
~<'rc,
G~n~ t
-11
les
avec\
~'TVt~ MM J~M~Q~MjMi~.
),
fminins
qui
se termintent
en prenant
le pluriel,
ce caractre
perdent
le nombre
ce mcme
caractre
duel, changent
fl~
se
1'
imal
ce caractre
remarquer
dans
O~Q~
exemples
le pluriel,
~K
dans
en M au sin~lier,
ceux qui prennent
ces
~'1r! le~lin,
dans
que
comme
a pu
dans
bien
ordinaire
le pluriel
comme
dans
bien
ou
deux
Q~~ "T
G~ &M <'<MMC;
etc.
dans
remarquer
ou
MMoc<MM;
<~<M?.~(?~W;~p7'~<M<
e~/(smguiert!mslte),
mains;
quelquefois
ir~nocers;
On
Cyna~
~Q~
eaux)
Q~~
ZtZ ~(~
DUEL.
~M~
/M
et que
en M,
une
ri~n
t
~M-
<&'M~ ~ra/t~.
le Nombre
pluriel
du masculin
en Q~, se change
!0
en
GRAMMAIRE
74
la manire
~!1H
aussi
comme
logique)
Mp~
tuation
chaldaque,
des. facultatifs.
Df~n
le signe
crivant
D~<
le
des
jamais
mtaux,
On trouve
sont
des
d'ges
celui
si loin
dans
(l'arbre
gna-
qui
dont
relativement
j'ai
l'-
parl
la suppres-
qu'ils
lui adjoignent
plus
de force;
et D~Dm
les .~M~,
langues,
des Noms
qui
toujours
au
s'emploient
les Noms
des
n de la ponc-
lui donner
les autres
et d'autres
et; d'*tats
voyelle
d'approuver
le ca~oe~e,
es-
caractre
du point
abus
fminin,
on remarque
des vertus,
liqueurs,
un
pour
comme
les premiers,
les Noms
conds,
est encore
le pluriel
du singulier,
prcd
des gnrations
de preuve
symbole,
son
ft~, perd
T ainsi
de la manifestation
~7M,
Parmi
pluriel.
Ceci
dans
etc.
symboles,
en hbreu,
On trouve
sortent
etc.
~!TK autre;
frquemment
en
symbole
et qui sert
Les rabbins
important
souvent
ne
~c
~~M~<M~~
de ce signe
fminin
le caractre
que
dans
~o/c~H,
assez
etc.
~~s,
le pluriel
et ne conserve
gard
trouve
')'~
Quelquefois
sion
et l'on
baldaque
OK~~
sentiel
HBRAQUE,
propres,
etc.
vices,
aux
Parmi
les Noms
les
se-
hommes.
dB&N<oms masculins
on~eminins;
au singulier,
fminine
u masculine,
conau plurietl
terminaison
qui prennent
comme
tradictoirement
leur
ftOK
genre,
3~&
ZM/~MM~
T
T
etc. On en trouve
aussi du genre
l ville, O~y
M~
appel
T
le pluriel
ou picne,
indiSremment
mascommun
qui prennent
ou
culin
Do&M,
que
santu
galement
ainsi
fminm,
Q~X~n
ou Tt~n
la grammaire
dictionnaire
d'une
je l'ai
que
~~o&M.
langue
le soin
de
non
dj
remarqu;
Mais
ce sont
parle
les noter
comme
1~ de ces anomalies
ne doit
en dtail.
&
~yn
qu'indiquer,
lais*
CHAP.
V, Y.
?5
.v.
Du
que
leur
section
du
accidentelle
deuxime
Dans
les
naisons
dnomination
de
et qu'on
articles
comme
routine
dis que
ces langues
pour
tout--fait
Court-de-CrbeUn,
aux Noms
et qui ont
sicles
ne
grecques,
avec
examiner
Comme
ces
pas
je me
la
termi-
trait
plus
sous
les langues
!&
a ces
applicable
riches
et par
au plus
suite
en
d'une
des
que
(<) Mais
dans
le matriel
y avoir
un
comme
l'a
articles
ajouts
dj
les grammairiens
les
formes
de
ces
quelque
la Parole
applicable
de terminaison
car,
respectives
cas ne sont
pt
dans
tout
des changemens
que
qu'il
de chercher
soin
tait
renferms
jamais
mme
des
moyen
de termes,
voyaient
souponnaient
est venu
temps
de Cas
toujours
passs,
dans
parl
ridicule.
prouvent
modifications
leurs
au
dans
un abus
par
les Noms
exprimer
j'ai
en~ont
tout
transporte
la' dnomination
dont
~u
grammairiens
avoir
que
remarqu
des
les
a lieu
dnomination
l'hbreu,
scholastique
Je
Mouvement
Noms,
ne peut
dont
modification
IV.
ce
Cas
cette
hbraques,
les articles
prouver
chapitre
des
mmes
langues,
font
langues
les Noms
dans
JMoM~M~M~,
J'appelle
<M)H~/H~MA
autre
latines
ou
et
langues,
chose
au-del.
ne
Le
et d'en
principe
l'influence.
suis assez
tendu
de chaque
sur la signification
article
en particulier,
ainsi que sur celles des prpositions
correspondantes,
je
l'espce
de modification
qu'Us apportent
passe sans autre prambule
dans
les Noms,
Or,
et que
le Mouvement
nombre
Mouvemens
des
s'inflchit
articles.
dans
~MoM<~t~.
j'appelle
Nous
la Langue
dans
pouvons
de
Moyse,
les
Noms
donc
hbraques
admettre
en y comprenant
sept
suivant
le
sortes
de
le Mouvement
GRAMMAIRE
?6
se forme
designatifqni
sans
ce terme
srie
cette
celui
au moyen
de dclinaison
MM'ec~'
DE
La parole,
de la parole,
13*
A !a parotc
de, pour
TT:
La
.13'3
En la parole,
au moyen
premcre
nombre,
prpositions
de
nergie
des
car,
plus
toutes
quel
en plus
prochaine
~3,
H~,
~X3,
~QQ~
~M)
qui
de la mme
augmentent
cette
tant
comme
ce qui couccruc
inflexion
de tout
la parole.
nominale,
et de tout
genre
au fminin,
au
singulier
du Mouvement
directif
Farticle
rpondent
qui
et imminente
qui correspondent
manire
la force
une
de mme
l'article
cxtractif
des
mdiatif~:
l'article
rpondent
7, ont
il en est
l'article
analogues
par exemple,
assimilatif
du
Mouvement
au-
appartiennent.
La troisime
indique
mme
souvent
se supplent
par les prpositions
et qu'alors
le Mouvement
en acquiert
j'ai parl,
prpositions
elles
de
l'gard
masculin
~Q, ~!Q,
prpositions
la parole.
qu'ils
7K,
prpositions
Q: des
faire
au
dont
correspondantes
les
la parole
qui la constituent,
c'est
de force
d'pres
ou au duel.
au pluriel
plus
en parole
de la parole,
L'ipsett
remarque
seconde,
la parole;
de la parole.
Et la parole.
s'emploient
comme
La
Comme
T
les articles
c~est que
ou s<on la pato!c.
*0")t
TT T
m-DK
\<gK<~
6 parole!
De la parole;
par
NOMINALE.
13'TO
ITI?
) ) coo/oKc<<y
L'INFLEXION
13in
T.
~Jc.c/~tc~<
t~\
)~ ~t~M~*
b
SJIr~M/m<&
qui
une parole.
arrte.
et je remplace
~~M?MM
tre employ
ne saurait
ici.
La parole,
/OHCM/{/*T
sans
qui s'exprime
et
MK,
dsignative
de Mouvemens
EXEMPLE
(MemHH<
de ta prposition
Fenonciatii,
y comprendre
J'appellerai
HBRAQUE;
par
remarque
la ponctuation
~aire,
c'est
chaldaque,
que
la voyelle
au-dessous
vague
de chaque
que
j'ai
article,
CHAP v, . V.
est bien
celle
pas celle
qui se rencontre
cette
qui se trouve
la prononciation
Tous
ceux
des
les variations
hbrasans
des rgles
Je prie
se sont
qui
un peu
l'anglais
quel
ce serait,
travail
pouvantable
le son de chaque
souvent
mot,
ter
s'cartent
Il est sans
doute
du langage
de note
arbitraire
vous
l'ennui
comme
que,
vocale
applique
que
sa marche.
d'en
dterminer
dans
connat
combien
le franais
par la prononciation,
s'il fallait avec de petits
de songer
qui
un
labyrinthe
crit
des occupations
non
perdus
le Lecteur
ou
souvenu
plus
se sont
fixes,
se
sorte
qu'une
rien n'est
vulgaire,
par
inextricable.
en tout
mais
ordinairement,
Il faul bien
toujours.
n'est
ponctuation
le plus
employe
77
si oppos
no-
l'orthographe.
surtout
utiles,
plus
acccns
des langues
pour
teintes.
La
en
n'importe
vague,
je ne puis me lasser de le rpter,
au sens des mots
de la Langue
faon
lorsqu'on
hbraque,
cette Langue.
C'est au signe qu'il faut s'attacher
point parler
voyelle
aucune
ne veut
c'est
sa
faut
signification
qu'il
il est invariable
article,
les yeux.
frappent
suivis ou non d'un
avoir
c'est
prsente.
n,~
toujours
si,
Qu'importe
pour
ici comme
Considr
Q,
3,
D< oui,
ces
l'oreille,
qui
sont
caractres
ou d'un <z~;
c'est--dire
des
d'un~a/o~,
ni le ~a/a~A,
sourdes
ni le ~n~z
a, o, ? ce n'est ni le &
voyelles
mais leur nature
ce qu'ils sont,
d'article.
La voyelle
qui les rendent
servir
de port de voix. On doit la prononcer
vague n'est l que pour
comme
on la prononce
dans les langues
moen la voyant
crite,
dernes
sans
crire
l'hbreu
de mmoire,
du
arbitraire
la manire
Le sens
encore
idiomes
d'affecter
est
on
fort
pourtant
apprend
ou de l'anglais,
sont
de l'article
et si l'on
attention
ce qui
comme
franais
qu'ils
tourmenter
loin
la moindre
y faire
la poser
apprendre
Les
~Me~,
veut
on
inutile,
souvent
l'orthographe
force
absolument
de copier
les
doit
trs-
mots
de
crits.
en lui-mme
pour
asiatiques
la roideur
savoir
est dj
comment
en gnral,
de nos
assez
difficile,
on posera
et l'hbreu
idimes
europens.
sans
aller
se
un pied de mouche.
en particulicr,
sont
Plus
un
mot
est
GRAMMAIRE
?a
de sa racine,
voisin
sans
diverses.
Plus il s'en
velles
cesser
hbraque,
dans
toutes
Tout
ce qu'on
au
moment
j'ai
plac
mot
qu'il
soit,
objet,
pense,
bien par
la racine
31,
principe
actif,
chose
toute
13
moyen
de donner
crer
Cette
au
consacr
de l'inflexion
breu,
circonscrits
Il aurait
fallu,
cration
de l'tre,
cours
a ses ides,
pour
pour
Remarquons
mots
qu'il
devient
tandis
que
comme
encore
les autres
en informer
que
l'article
redondant
articles
le compos
la
*dt
tout
de les distinguer,
dans
aussi
dans
les diffrens
j'ai
ne sont
t
jeter
en h-
point,
dans
de la
Mouve-
de leur
forc
me
les mots
donner.
des
dtails
exemples.
M se pose,
en restant
agissent.
donn
contraction
par
non-seulement
a la fin comme
dterminatif,
dans
et du
de cours
observer
l'tendue,
quelques
ces significa-
doit
que
sentir
expression
les autres.
Ces Mouvemens
les bornes
en faire
d'abord
dans
chose,
naturelle
d'~MMM,
offre
par
se sentent
ajouter,
runie
discours,
par
locution,
m'en-
ne
ou bien
de les produire,
l'observer
~3~,
TTT que
rendu
par le
~oyos. Toutes
tant
prsente
le mot
de l'abondance
que l'on
nominale.
dans
terme,
racine
Cette
on doit
par mot,
en grec
impossible.
o rien
oraison;
qu~un
et rendu
qu'il
je l'ai
sermon,
gnrale
est
le traduire
pu
croire
saisi
exemple,
circonstance
signes
Fide
Je vais rapporter
fastidieux.
des
des
d'acceptions
mens
de
exactement
je pourrais
que
forme
mosaque,
se garder
par
bien
<~&e
d'autres
dehors,
diversit
Langue
ou bien
dveloppe
racine
propre
tre
cette
07<
quelconque.
significations
fournir
de nou-
nominale
aussi
j'aurais
mditation;
qui,
bien
puisse
dans
mais,
et beaucoup
tions,
doit
de l'inflexion
l'exemple
le mot
il devient
et plua
dire,
des
dvelopper
Voyez,
employ.
le sens,
ainsi
pour
Cela
par un mot franais.
c'est d'interprter
l'acception
commandement,
~iK'<~<<
tte
on
o il est
pour
de les
Aussi,
faire,
franais/M~o~;
une
moins
ses acceptions
peut
en sve,
lui-mme,
loigne,
quel
dans
chanait
ou
d'tre
ramifications.
mot
il est riche
plus
il peut
HBRAQUE,
Ainsi,
l'une
on trouve
la
mais
emphatique,
ou l'autre
place,
~Q~n
les cMMa:,
!1~!~
T'Tt
!TQ~Q~n
T'TtT
CM'tM7/
V.
Y,
CHAP.
C~K~/
D~Q~~
'-t-:
79
OM. C?K.f, zers
les ~fM~,
encore
une
force
et mme
terrogative
locale,
relative.
intensitive,
En
voici
En ville
nQ~
:r!Q~njQT!?'!na~n~x
TTT
t.'TT
t!"t
A terre
r~
t
T
t
exemples.
sa mre.
de Shara
au ciel.
Vers le nord,
et vers le midi,
et l'orient,
et l'occident.
FORCI:
:ruTM~:n~na
:nn~nnQ~
r r 1"T.
INTENSITIVE.
une
Untorrentrapide
Une terreur
extrme
obscurit
une !aort
profonde.
violente.
f
FORCE
Y'TMT*~<
eENE&ATtVE.
L'ipset
L'autel
:rM~!?1:T3~ar!
y~<!1 r~~an
O~~l
~~n
Ht)~
ce qui la constitue.
d'airain.
L'abomination
FORCE
C~T~
de !a terre
Les royaumes
T~DSn
G~!t!1
in-
du ct de la Palestine
la tente
Dans
:~n~~n~n
des
vocative,
LOCALE.
FORCE
:Q~?art:i~n
gnrative,
de la terre.
des peuples.
VOCATIVE.
Q~n
mers
r~M
mie~
Yiens~
A montagnes
de Jrusalem
esprit,
toi
qui habites
8o
GRAMMAIRE
FORCE
HBRAQUE;
INTERROGATIVE.
~M ~a M~n
Est-ce
OTKTt
Fut-il
~n
la tunique
bon
Est-ce
:~<n;n~rtQMi
T-
moi
de ton
vites-vous
la vrit
Le fils de l'inconnu
:~n:KS~r!
sans tre
d'un
Au
roi
MOUVEMENT
Parmi
de David.
au peuple
'a~Q cni~Q
rt
T,
l'autel
pour
rtemit
sur
la terre.
satit.
lui.
EXTRACTIF.
parmi le sacerdoce.
par la nation~
de leur puissance
du fond de
la multitude
G~
ici quelques
ont cepen<
exemples sur
DIRECTIF.
Vers
les cieux
:~n-~y:Q~rr~M
:'iru~Q'? Selon l'espce
:t:)
tendu,
expriment.
A perptuit
:y~rs~
Je vais placer
Cantique
:n3~0~?
? est-ce
aussi
usage
MOUVEMENT
T!T?1~Q
le temps
RELATIVE.
Articles
? est-ce
:r!
y es autres
celle-l
FORCE
n~n ~rr~
ills,
Au moyen
son cur.
Avec
ta doulur
et ton
Ainsi
depuis le commencement.
de la terre.
motion.
~3~Q
ru'13~
~P
T
:~nnspiQ:3n~
~7
Hors
Ds les jours
du mal;
du bout
de la terre.
8t
CHAP V, . V
MOUVEMENT
~31~3
'!J~31
~~3
s~hna
TT"
MDATF.
Au moyen
(Tune
de fer.
verge
Avec
nos jeunes
Dans
les nomenies.
gens
.'
Aux cieux
:'Tnna:Q~rt3
en route:
'*TT:
MOUVEMENT
:D:a~
e~r~
'T
TT
Q~nn~
ASSM.ATtF.
tel le prtre
Tel le peuple
Semblable
tel le serviteur.
de mme
au savant
qu'aujour-
TT":
d'hui.
c~n~r!ro
n~~
Ti'T
Comme
Tant
les fentres
l'tranger
MOUVEMENT
environ
CONJOUCTIF.
La sapience
&~
Le chariot
et le cheval.
La
grande
;B"~
y~ymBy
mille.
que l'indigne.
M~T! !1!Q~n
~3~1
deux
nation
et la science
physique
et nombreuse
et puis-
sant.
MOUVEMENT
DSIGNATIF,
La set
des cieux
L'essence
Avec
de cette
mais
l'intelligence
T. T:
ne peut
nombre,
tre
mme.
et (~ham
lui-mme,
lui-mme,
lui-mme.
Japhet
en petit
chose
de la terre.
No.
Shem
Ces exemples,
et la sete
suffisent
donne
que
pour
par
veiller
l'tude.
l'attention
et
8a
GRAMMAIRE
HBRAQUE,
VI.
De
Les Noms
le rang
le tableau
en se classant
hbraques,
doivent
qu'ils
y occuper
de la pense,
tration
dans
la Construction.
or,
final;
la phrase
oratoire
dans
y dvelopper
pour
prouvent
le caractre
dans
assez
ordinairement
voila
ce que
suivant
son
ensemble
une
lgre
al-
nom
de
du
je qualifie
C<HM~'MC<MM.
Dans
plusieurs
altration
accidentelle
se fait sentir
c'est
tout
le contraire
en hbreu.
dans
son
Intgrit,
tiers
l'altration
ainsi
modifi,
tandis
le Nom
dtermine
et le latin,
rgi
reste
rgissant
rgi
toujours
presque
assez
prouve
J'appelle
cette
du Nom
la terminaison
il s'agit.
dont
qu'il
dans
que le grec
Le Nom
que
terminative
parce
telles
drives,
Langues
volonNom
Co~~MC/~le
la Construction.
Voici
en peu de mots
les lmens
de cette modification.
Les Noms masculins
ou fminins
au singulier,
termins
par un autre
caractre
Construcen devenant
aucune
altration
que il, n'prouvent
tifs
quand
truction,
le gnie hbraque
il les runit
au Nom
7!1~!mTS
il
~.37*Qf1
Ce tiret,
mme
On
quelle
~~h~,
L'intgrit
de mon
Une
MTT~
Un
nanmoins
mesure
rameau
et Qn
~M~r~;
Le frre
la Cons-
cur.
la Construction
supple
lors
de farine.
substantifs
l'addition
par
un
sentir
y faire
tiret.
d'olivier.
trois
singulier
~HM
par
de la tente.
I~&TtKp
n~
suivant,
La porte
Le pre
!Tm
nanmoins
trs-frquemment,
avoir lieu;
pourrait
connat
constructif
nu
employ
veut
du
masculins
caractre
qui
forment
ce sont
on trouve
de ~hanahan.
de Japheth~
le beau-pre
a elle.
3K~/?~,
leur
CHAP.
ces trois
Mais
dont
~~c~,
ment
comme
final,
avec
les
de cette
gure
relations
article
mamcre
nominales
appeles
ont
qui
le changent
emphatique,
reu
gnrale-
en n.
nKIQ
venant
D*~y
rc~y
Le conseil
masculins
Noms
Les
les Noms
au duel
et perdent
Mais
les constructifs
les ~~t~.
Les
fminins
au pluriel
ainsi
Q,
ne sont
en de-
pluriel
le ca-
les masculins.
que
gure
0,
en usage
qu'avec
au pluriel
ainsi que
et au duel,
sont au contraire
constamment
em-
au duel,
la phrase
leur
ajoutent
caractre
final
masculins
fminins
dans
ploys
le caractre
perdent
le
fminins
eonstruetifs
les constructifs
des peuples.
au pluriel
constructifs
ractre
de figure.
Belle
1S*
ty''~n
l'
Q~
on
comme
oratoire
peut
en
juger
les
par
suivans.
exemples
Les omemens
3!T~
TT ~T!
0~
83
au chapitre
suivant.
en H, et les masculins
termins
fminins
ce caractre
ou
propres,
je parlerai
Noms
Les
Yt.
ne se construisent
substantifs
les Noms
qu'avec
V,
les poissons
7'OOn
T
T-
d'or.
n~TT~!
'?3 Les vases
t i
nes
de hah.
de la maison
Les jours
OTl3H ~!T*
(ou
(ou
les
priodes
mutations
des
des mers.
lumineuses)
des an-
temporelles)
des vies
d'Abraham.
Il est
facile
de voir,
en ty,
mins
comme
dans
ces
exemples,
Q~Q, O~t,
Q~n,
.T
leur
perdu
caractre
Je m'abstiens
encore
que
de grossir
occasion
des affixes,
verbaux.
final
de revenir
qui ne se lient
Je me Mte
.T
dans
Q~,
sur remploi
qu'avec
de terminer
tous
Q~,
la Construction
ma Grammaire
jamais
que
les pluriels
0~
'T
dont
a cet ~rd.
Q~
ont
ils ont
t l'objet.
D'ailleurs
de la Construction
les constructifs
ter-
j'aurai
en parlant
tant
nominaux
ce chapitre.
n.
GRAMMAIRE
84
HBRAQUE,
Y!
De
La
simplicit,
pour
des
Signification
l'origine
qu'au
appele
des
paratre
nrales,
ou
ces racines
avec
Noms
ne doit
plus
comme
Il doit
forme
des
senti
elle
elle acquiert
racines
encore
en Noms,
les signes
d'Articles.
assez
principes
que
de clart
et de
ses adhrons,
que
cette
rside
en
de ces signes;
secondaires
signes
ou
et se dveloppe
composes
et qu'enfin
de ces mmes
Hobbes
vague,
des
la
en ait pu saisir l'ensemble,
tre pour lui un mystre
inexpli-
avoir
primordiaux
les racines
t dvelopps
attentif
une
l'aide
entire
Lecteur
signes
dans
toute
qu'un
hasard.
sous
se fixe
mation
ont
il ne puisse,
dont
rsulte
Noms
Si ces principes
j'ai poss.
cable
des
Signification
la ~~M~&'oM.
et
toute
tS~M~ca~b/,
sous
des
qu'elle
successifs
sa force
pour
ainsi
commence
germe,
et par l'espce
paraissant
rapporter
qui
par
ides
g-
se restreint
s'adaptent
la transfor-
de mouvement
la troisime
fois
CHAP.
Vt,
85
M.
CHAPITRE
Des
I.
Relations
JVb~t/~/Ca.
.
C&M/M~.
Pronoms
J'A
les Relations
dsign
crer
de ne point
sous-divises
chacune
Pronoms
dans
en deux
relatiis
Les
sur
Affixes
noms
indiquent
les choses,
et alors
l'action
je leur
tant
aux
sont
aux choses,
expriment
alors
relatifs
donne
et dont
dits,
l'action
le nom
d'?~
personnels
r<
ou
Affixes
que
les
personnes
Mr&<M~.
est
des
choses
Mo~tMOM~;
ou
sur
Voici
mmes
ou bien,
ils
choses,
et
les
la liste
des
Personnels.
~K
(,
PLPR!Et.
ou ~')3M:)e,moi.
ai
(M:~P!<K.t
(~W~t'H.
f<firtinin.
~'M:K.
)}
t( MaMM&'M.
!i!1M
aascttlin.
M~~
t1K
< ~(~Mt'Ht'H.
tt. homme.
tM) lvi.liotnmc.
tu,
tu, toi-femmc.
fe.'ruinira.
~f?/M'M</<.
( wayeM~.
Mtn
il, lui
(~!<K!'n.
Mtn
3
t
ou ~n:eHc.
~ajcK~/t.
MtMCK/tK.
fi~tltirtirt.
{tj'MuK.
celle
ceux
personnels;
relatifs.
StNOCHM.
des
simplement
je les nomme
sur
afin
classes,
est celle
la seconde
dits;
appels
personnes
deux
classe
sont
des
du verbe
en
hbraque
j'expliquerai
sont relatifs
personnes,
nomms
de .Pro/M~M,
ncessit.
proprement
Affixes,
qui en drivent,
Les Pronoms
proprement
ceux
le nom
La premire
espces.
des
choses
sans
la Langue
ou Pronoms
absolus,
sous
nouveaux
de termes
les Pronoms
divise
Je
nominales
t~M
JJ j !f15
BR~
~MM
ou
ou
aous.
~D3K
~;)t'1~~ nous.
~ous-hommes.
vous-i'otaames.
Vt)U!i-t'ctnme9.
C!1
~S.
i1
~n
ils,
cUus.
Pro-
86
GRAMMAIRE
HBRAQUE,
.Rt'/<
DE
CM H~M
~M
TOUT
GENNE
ET
DE
TOUT
WH
Kl,
lequel,
laquelle,
ce qui~
ce que;
quoi.
ce,
cette,
ou
~1,
~1:
lesquels;
qui,
que;
CM f~t
']~
J'ai
ce,
quelques
ces,
derne,
qui
cette,
donne
des
donne
Pronom
Z! ou lui. Ce n'est
mes
la base
notes
ne m'ont
du nom
Je ou moi,
un
de le mettre
dans
des
ibtce
que
!1~
T
qui,
tient
la bouche
la premire
JnAH
que
jug
mme.
classe
l'usage
ou moi;
de la Divinit
fausse
je
tyau
appartenait
d'aprs
ap-
K1H, Il ou lui,
qu'elles
de sa nature.
une
mo-
et que
mystiques
Ce que j'ai
et
Q~
au Pronom
personne
suivant
La
la pr-minence
que
hbraques
aussi
Pronoms.
d'aprs
le rang
la divinit.
fortes
de
Je
personne
.WM
lesquels?
? que ?'1
les raisons
pensent
ravir
T~M Vt !T t t ~~K:
lui. Il suffit
(Zf~<j!~D/6~~)
crit
rabbins,
donn
toutes
laquelle,
en
tableau
Pronom
les noms
qu'il
cette
au
rang
sacr
souvent
AEuAM,
si !a~ que
avaient
dtermin
rang
si le, que
que
qui, lequel,
ces raisons,
point
cst-ce-q'te?
HO
de la troisime
en expliquant
mais
assez
voUa;
quoi ? qu'est-ce
le
d'entr'eux
au Pronom
cst-ce-qae?
sur
prsente
au verbe,
quelques-uns
partient
formant
faire
ides
mologie
lesquelles
voici,
nQ
cela.
le premier
en cela
m'loigne
~n
~0
ceci,
ces,
j'en
que
n;
cela.
ceci,
remarques
c'est
premire,
~n,
si les.
(<~<M<MyMe.)
n~
Voici,
voUa.
ceux.
~i
ce, cette,
6<n
cc!!c,
NoMBHE.
peuvent
ftt~
leur
mme,
pour
comme
.tnoAM(/'J~6~M<~),
de se rappeler
et qu'alors
qu'on
dit dans
le prouve
paratre,
ou '~M,
personnel
Il suftit
comme
sentir
ce rang
Moyse a fait
AEt.oMM
trouve
ce nom
~M!~
T
a plus
.t
de
CHAP V, 1.
La seconde
relatifs,
tant
que
personnels
entranent
absolue,
Ainsi
Je
ou
~K,
t
~MM~ J~J~~
/M~c~!M<< ou
autres
Il est,
le sens
comme
dans
d'une
manire
<
sous
verbe
de la phrase,
la plupart
et sans
la lettre
es,
Il en
est
de mme
etc.
~/M~
!e
qu'il
idiomes
des
tu
troisime
dcoule
de mes principes
Contentons-nous
et j~m,
leurs,
afin
Or,
mo-
~ow~aM<,
~M~M~~ /M seras
de tous
les
chose
de
ces
les signes
circonfrence.
que
possession,
dsigne
La racine
du
comme
runi
le moi,
de
ces Pronoms?
l'tre
H1K,
le premier,
du centre
la
de la manifestation
devenir
l'aiuxc
de
la
et possd.
n'est
le signe
oH
?K,
assez
indiquent
agissant
a l'heure
manifest
actif,
c'est
produit
par le signe
tout
Pronom
de s'Instruire.
individuelle
modifie
verrons
moins
pas
de la puissance
expressive.
On
M, mais
qui,
de la rciprocit
des choses
M, caractrise
un tre
co-existant.
On allie cette ide, 9
mutuelle,
de la vnratior*
curieux
et de
existence
celui
maintenant
puissance
nous
dans
ce qu'elle
personnels
les exemples,
au Lecteur
racine,
second
en
~M, !1f)K
T
et de laisser,
d'ail-
premiers
du premier
une
Cette
potentielle
y voit,
faire
d'activit,
sphre
les trois
de la puissance
runis
l'tymologie
attention,
grande
multiplier
la racine
est
dans
et les confirme.
de ne pas trop
quelle
d'une
digne
d'examiner
quelque
consiste
enfin,
remarque
tymologie
celle
du
ces Pronoms
K*)!1, etc.,
MTK,
signifient
T
ou
Je ~/M/
toi-tant,
Pronoms
une
employs
l'Ide
suivant
tous
que
Indistinctement.
La
une
eux
avec
toujours
c'est
ils sont
quand
faire,
j'ai
que
remarque
87
en joignant
a la racine
DK l'article
emphatique
et dtcrminatifn.
Mais
ni le Pronom
n'galent
en
employ
d'une
viens
de
dire
nergie
de la premire
celui
manire
touchant
de la troisime
absolue
le
rang
)c
grammatical
ni celui
personne,
dois
surtout
~n,
en
j'ai
quand
malgr
('nuv~tm',
que
de la seconde
cru
d~'vo!r
il est
ce que
accorder
)c
GRAMMAIRE
88
au
Pronom
H est
universel,
Divinit.
la
Cette
~K.
devenu
misme,
ne
le prononcent
respect.
On
doit
farce
que
l'Orient
les
tous
encore
dans
un sens
profr
l'un des noms
sacrs
de
peuples
qui
aujourd'hui
sacr
et travesti
.BoM~'oM-<~M/&o7MM~,
le plus
scandale
sur
profan
l'Isla-
professent
qu'avec
de l'horrible
encore
ce nom
turc,
du
et
telle
tout
se souvenir
a l'ambassadeur
la
est
nergie
dans
Arabes
Les
HBRAQUE;
notre
grand
causa
que
dans
thtre
en la syllabe
ridicule
~<M</ /<OM/
Voici
l'avons
vu, figure
encore
la base
ticle
dans
Tant
que
il se borne
il,
ce signe
le relatif
le prouve
une action
verbale,
t, y ajoute
vertible
de la troisime
de nous
sans
racine
qui
n, au lieu
son
tat
de
de
ne
qui
l'clat
peint
tre
sortant
et que
rciprocit,
lors
d'tre
pris
de la vie universelle,
signe
sa dtermination,
attribu
tre
peut
un
comme
lui:
par l'artre
dtercon-
le signe
que
que le pronom
comme
hors
agissant
encore
en franais,
dsignons,
J7 ou
et l'lvation
forme
que
d'un
mme
ce n'est
nous
rgi
l'ide
considre
personne
personne
~K et DMK,
T
n'est
prsenter
nous
comme
H, qui,
Pronoms
premiers
comme
min,
ce
les deux
de celui-ci.
dterminatif
de la puissance
Le signe
sa composition.
mais
quand
par une
le caracdans
est envisag
article,
simple
alors ce mme
Pronom
devient
l'image
de
KtH,
la toute-puissance
Di-EU seul.
qu'
Il.
~4~r~.
des Affixes
Ceux
mdiaire
au nom
possession
hbraque
appellent
Les
que
j'ai
constructif
~b~MMM~?,
appels
pour
en
se joignent
sans
inter-
et la
la dpendance
car la Langue
pronominaes
exprimer
l'gard
des trois personnes
ne connat
des Pronoms
pas l'usage
que
nos
grammairiens
possessifs.
Affixes
verbaux
sont
ceux
qui
se joignent,
sans
intermdiaires,
CHAP
aux
verbes,
Faction
qu'elles
ne
breux
riens
soient
que
ou
actuelle
sur
connaissent
VI,
les
leurs
non
ou
les
plus
appellent
Conjonctifs.
sans tarder
vais,
davantage,
Je
nominaux
89
et en expriment
choses
car les H-
modifications
personnes
pas
M.
sur
les
Pronoms
donner
nos
que
la liste
des
grammaitant
Affixes,
verbaux.
que
Nominaux.
PLCRtEt..
SINGULIER,
t<
(')
ou
>
t3
miens,
moi,
toi-homme,
tien,
tienne,
tiens.
toi-femme,
tien,
tienne,
tiens.
mien,
mienne,
~)
nous,
t3
nos
notre,
J'f.
f m. ~t
OM
ou
"
sien,
'),)~&Iui,
fM.
3\
ou
a elle,
M
;:t
r CM r!3
t-1;r
avous-hommes,votre~v<M.
votre
vous-l1ommes,
,'os,
~voas-femmes,
vos.
f ?!.
Q,
Q~
(~
t*!
votre,
CM
leur,
eux,
leurs.
3\
Siens,
siens.
Sienne,
s~t sienne,
Sien,
t3
(.{m,
siens.
sienne,
03
("
~~MH~t?.
StNGULIER.
me, moi, de moi.
<*M
PLURIEL.
Ii
<
(~~
t~*
tm.
~(~
et verbaux
ne
la forme,
mais
trouve
que
assez
simples
verbaux
diffrent
ce soit une
soumis
T.
gnralement
rgle
l'inflexion
I.
tels
tels
de vous
vous-femmes;
de vous.
1Q les,
que
Affixes
1, etc;
que
F~,
T!
nominaux
hbraque,
je dois
Cependant
que
d'elles.
les Affixes
la Langue
comme
d'eux
eux;
listes,
employs
composs,
les Pronoms
Lorsque
le sens.
par
de ces pronoms,
les plus
<
dans
entr'eux
point
seulement
vous-hommes;
Qt
nD)
ces deux
en comparant
voir,
(
(
n3
On peut
plus
f M. Q~
2
de
de
nous.
nous.
nous;nous;
1.%
*i3
(M.)
l7~.
l'on
<
observer
que
nominaux
les
et comme
mais
par
il s'en
Affixes
faut
bien
il, etc.
sont
invariable.
personnels
des
articles,
W~~
ce sont
HDK,
tu,
les
Affixes.
Ktn,
nominaux
3
qui
a en
servent
dans
les
dterminer
divers
mouvemens
comme
</c /t/?ca'<oM
/)roMowwct~.
SiXOrHER.
Pt.rRtEt..
e'/xwcM~y
)e,oumoi.
<~?<'rw/M~
~3!!<n
de
~'2~~3~S
M<c</M/
~1S3
coK/o~c~
~S
moi,
moi.
13~~
et moi.
le
moi-m~mc,
~K
moi.
parce
le gnie hbraque
l'affectionne
donner
pour
plus d~importance
Les
relations
dsignatives
se lient
prpositions,
articles.
Voici
quelques
:<M:
c~y3:nya
:n~nn:~y
:'oy:'3Qy:~
Les
positions
pronoms
relatifs
de la mme
des
exemples
*)3Mm
nous-mmes.
de la premire
les autres.
lui
Pour
lui;
Sur
Avec
ensemble
moi,
s'inflchissent
manire
particuliers
que
de
dsignatif
le signe
et dans
1,
quelques
sous
le nom
manire
de
que les
toi,
envers
eux.
lui.
pour eux.
sous
moi
per-
liaison.
envers
moi,
Chez
nous.
On observera
de la mme
de cette
exemples
Envers
exr~
et nous.
connatre
nominaux
aux Affixes
pM nous.
a ce mouvement.
fait
j'ai
que
nous.
~o nous, avec
que nous.
en ce cas,
que
autres
donner
de tous
vers
')3!91
FtK du mouvement
a la prposition
j'ai ajoute
de nous,
le Pronom
choisi,
sonne
*)3Q
tel
J'ai
Nous,
~3~
moi.
c'est cous.
nous!
*)y?
moi.
par
que
~)
~PIH
vers
*!3n~?
enmo!vecmoi.
~I~~S
~~w//<7<
que
moi.
a moi,
f.y//vK'
nous.
moi'c'est
<7~vc/
<~gH<
parait
suivant
l'exemple
.E~c~/e
b.
cela
moi
avec
toi,
par
les
les noms.
cette
mot
jusqu'
avec
lui.
et par
articles
Je
inflexion
ne
m'arrte
qui
n'a
les
pr-
point
rien
a
de
CHAP.
J'aime
yemarqnaMe.
sentir
mieux
H.
~,
rapporter
9'
quelques
phrases
en i~sscnt
qu!
remploi.
TH~I
Ceux-ci
D~
avait
Qu'il
r~
i~
.i~~ -T' yM~ n~ =~w.=
T
sont
les symboles
des gcncra~ons:
fait.
il
Je suis Jliah,
T
ir
Et tout
ce qui.
Pourquoi
as-tu
Qui es-tu?
:n~r~Q:n~Q
~nQ
nG-'?y
r-ts~
Sur
~Q~
:'b~~
t\
v oix?
?
il est agrable!
arrive?
?
fille que voila?
sur
quoi?
futilit..
quelle
Me voici
:G~n:~n
1
combien
moi?
Pourquoi
est cette
de cet homme
:r~nr'nyyt~
ce que.
quelle
:r~rn3
~T\
lui est-il
Que
TT
qui.
ceux-l?
nom?
est bon!
Qu'il
:a~'n~~T!Q
a toi,
fait cela?
est la raison
Quelle
Dieux
et tout
qui sont
est ton
Quel
p
:~n~s~Qna
i.m-Ics
nous
voici
nous
tous
eux tous.
:n~3
Comme
celui-ci
Comme
ceci
comme
celle-l.
et comme
cela.
:r-<~ni3
:~K3:n~3
*T
Le
relatif
Cet
dont
la tte
relatif
II est
bien
fournit
qu'il
de
une
se rduit
espce,
les proprits
du
quelques
rapporter
sorte
d'article
au caractre
signe
il y porte
en se runissant
pronominale
qu'il
toute
prono-
participe
renfermes
dans
les deu~
en
tudiant
l'hbreu,
'tv, et ren<
reprsente.
Plac
la force
du mouve-
directtf
~?, il forme
l'article
qui
important,
ceux-l.
commun.
ou des verbes,
Quelquefois
et de direction
dans
je viens
duquel
de son
toutes
des noms
la proposition
lation
le seul
en cet tat
celui-ci
l'emploi
est assez
l'usage
article,
ferme
ment
de
~H
Dans
'.T
a cela de particulier
exemples
minal
alors
aux
ides
de re-
prsens
12.
la
GRAMMAIRE
<)2
les articles
mmoire
en
ce moment
cesse
avec
dont
)'ai
le Lecteur
les noms
le sens
de
iaciliter
l'intelligence
et cehn
Itant,
parie pms
Voici
passades.
de l'article
sans
corrompu
exemptes
qui
pourront
pronominal
tant
~entretiens
sm~unerement
quelques
Jusqu'
~Q~
<tont
en !es confondant
ont
m~echis.sent,
qu'Us
plusieurs
HBRAQUE,
que
je fusse
constitu
oppos,
en force.
h:in~
C=3~3
tT'
Qui fui
nn~-T'
A qui tu
r-O~ TT'
TT
sembla
Quoi
donc?
.1~
Ce qu'elle
.n~r!~
Ce que
.oy~
:'U'?~Q
De
nous
examinerons
se placent
Ces Affixes
des Noms,
d'une
pour
des trois
devenir
Ainsi,
parmi
trois
seulement
~K,
pre,
inflexibles
loin
ainsi
enseign
/h~,
Affixes
(la cause)
du mal
masculins
et ~QU.
verbaux
avec
les Verbes.
sans intermdiaire,
a la suite
ou la possession
Il est essentiel
de la construction
le caractre
prennent
Saul.
a nous.
la dpendance
le devient
les Noms
~nK<
des
en parlant
constructif,
est
qui tait
des Affixesnominaux
pronominales.
personnes
descendit.
des ~~M.
celui
en exprimer
ce qu'il
(la cause).
IIL
remploi
plus
est le pourquoi
Emploi
maintenant
aussi?
quoi
je parcourus.
Examinons
dans
aima.
ce qui
Dans
~?\M!
~y~)
bte?
quel
moi ?
pour
qui JhAah.
de la tunique
1/aile
~?')~Qn''B~
qui,
a qui lui
A qui
:~Q~
.T')-~
pour nous?
n~
de se rappeler
car tout
en se joignant
a l'Affixe.
point
qui ne se terminent
au constructif
/<<K~<
l'gard
singulier,
les
autres
Nom
qui
par
savoir
restent
<
CHAP
Ainsi,
Ce
ce
SlilgIlIlNr
singulier
tous
Ainsi,
ractre
en
les deux
termines
mais
gnralement,
Ceci
je pase
dont
entendu,
aux
ma$. )
t <
~t
~g&
(~.)
'S
rM<j.
?!"l3t
le
< ~M'
't~O*?
mas.
< ( ~<.
*)~3~
t3313't
:T
2 ~<7M~.
(.K.
~3''
g
&<
de mme
au duel
le capour
moins
manire
irrsistible,
cette
en T~ ajoutent
syllabe
les fiinale,
f CMOMfM~)
>
le discours.
< ~~t.
<
-5f
M~.
faMM.
mas.
3
3~
Il
fm.
mes
~*G't
(~.J
votre discours.
Tm'?
(M<M.)
votre discours.
M~M. le
Masculin
Mascnhnptnnel
pluriel
(a)
perdent
~discours
discours a tol-ltomme,!e
discours
tien j ton discours,
toi-homme, le discours tien,
discours toi-fennne,te discours tien, ton discours.
1*)3'? )fdMcours lui, !efliscouM!iicu,sott discours.
5 fnKM.
tT'Q't !e discours ~eUe,!e discours sien, son discours.
(~<'
changent
exemples.
Mascuun sutguticr
en C3~.
il en est
d'une
en prenant
-S
a
emphatique,
au pluriel
constructifs
le pluriel
se forme
l'Affixe
nominal.
Sg
article
genres.
Ainsi,
minins
C'nn.
les masculins
CD en devenant
93
tous
comme
recn ce caractre
caractre
Clll'~tCtt'l'e
!H
et les ieminins,
les masculins
parmi
VI, .
~t
)i
tes
fe~OKCM~Qtm't),
discours
nncitifnf~
( eoM~c~
Ses discours.
'sea<hscouM.
deMptM.eommemtstn~er,
S
le
ty~'t
<)
a
-s
l~'t)
1f1~Z
tMt~.)
(<t)..S
discours.
~~t
j'fT
les discours
Ies<uscouts
discours,
O~~l~'t)
t
{
"?'
mas,
fMt~.
33{,.
f~m.
d moi,
a<e<
nos discours.
vos discours.
ni jt'T
D~13'T)
'~Ueurs leurs discours.
/<,<?!,
etc.
GRAMMAIRE
94
FetUtHiN
HBRAQUE,
} la dtresse.
singulier
( ccn~Mc~
mas.
&i
<
(.~J
mas.
'tr<~
~t
~ni
tT
f~M~.
la dtresse
dcnessc
~D'TS
1n"
*)rmt
nm~
'S
J3
~M~.
Q3;jmt
!a
t /!M<.
~D*)~
la
f wn.
<
) ~'Mh
Cm~
tn*)~
~n"1~
Fminin
h
g,fn
(HM~.)
(~w.)
ma
ma
toi-liorame,
dtresse
a toi-feuinic,
dtresse
~!ui,!a
dtresse
dtresse
a elle,
la dtresse
dtresse
a nous,
dtresse
a vous-hommcs,
dtresse
a vous-icmmes,
dtresse
a eux,
tcur
dtresse.
dtresse
ai e!!cs,
cllcs,
lenr
teur
cltrcssc.
dtresse.
pnu ici
Sg
la
.s
J!
3 )~. <
t'S
~Pl~)
ou iJuunnt,
duel
sa dtresse.
dtresse.
votre
dtresse.
votre
dtresse.
les
dctrcssei.
t { NM~.
(~.)
(
nos d~'tres:cs.
d~trcs~c!.
'iyni~
as~
dtresses.
'}Vos
~r'i~J
<
M~.
3 (~<
aD~nx
), teaf:
dtressct.
~I'
ff'MMCMt~Qtyy)
<)
ta dtresse.
sa dtresse.
).
) ses dtresses,
dtresses.
r
Mascutm
tienne,
sienne,
<t <CHCM~
nmt
( COM~n<C~!T]-~
dtresses,
dW
ta dtresse.
tienne,
sienne,
'a
i~')-)~
detrcsse
dtresse
'\tesJctrcsscs.
la
notre
( MMM. 't~n~
'i
dtresse.
dtrcsse.
dtresse
~C!
~n*)Tt
tt raoi,
mot,
COMy~<~
)y~
les
)
les yeux.
yeux.
fHM~t
g,
)~Jf
< t
ci
tes
(~-
"a
yeex.
yeux.
nosyeM.
t~y
Q~y)
>
)~.
mas.
i{
!)
<
mcs J'cux,
mcsycux.
~~y
")
<
i~
vos
~'os
cux.
yeux.
(MM~
3~ )~
t~cs
1~)
ses
SfS
C7L.
ses JTeux,
yeux.
g!
3 (
~)
noms,
soit
masculins
soit
I~minins,
fne.
qui
~i'i!
prennent
leurs
(jcm-ayeux.
yeux.
j1
le
nombre
CHAP.
ou
commun
leur
selon
tion
chatda'tquc
eltct,
et ne
relatives
sont
doivent
encore
ou
au phtriet
trouver
/fM~~ J~MM~;
<~f~M
ailcctc
<p
des
prcdons
exemples
encore
~t
nn
ou bien
ou
A'M~ <M.
au genre
emphatique
mats
que
tre
moment.
souvent
pour
')Q en place
ou
marque
va~uc
constdcrabies
arrter
pas
faire,
c'est
Importante
du masculin
se trouve
sonne
pourrait
m
Fun
singulier
a la voyelle
pou
de et
genre.
anomalies
Les
au
suivent
duel
Y!,
1~~3't
TT
ou
La
le singulier
ou
~OMJ~coM~,
')Q]n*1X,
T T
TT
Au reste il semble
et FAiuxe
'tQ,
cUcs
seule
'H ou
de m
la posie.
l~
per-
en place
en sorte
et IQ~t
T
<A'M~,
que
un
remarque
de la troisime
rAin\c
de 0,
ta ponctuasont
de nul
par
qu'on
discours
et
FAiixc
I~DT~
soit
GRAMMAIRE
96
HBRAIQUE,
CHAPITRE
Du
VIL
/~n~.
Du
!~t dans
le cours
croire
n'existe
dont
j'ai
au
parl
dans
de force
Grammaire,
des
verbes
j'aie
oubli
mon
ainsi
n'ont
dire
verbaliss
Oublions
et d'intensit.
mots
sont
des substantifs
que
le but
qui leur
leur
la vie dont
nature
comme
vaise,
flamme,
selon
interne,
toute
communique
noms
mais
sa qualit
comme
intrinsque.
ce seul
que
faire
faut
point
avec
ides
plus
que
existans
qu'il
ne
fait
que
ou
nous
moins
aurions
de Verbes,
et dtermins
Verbe,
qu'il
noms
par eux-mmes,
le nom
verbale
des
unique
la vie
en eux
substance
influence
de verbes
par
mais
il ne
le Verbe
ordinairement
car c'est
aux
ils reclaient
donne
me
pour
s'entendre
les fausses
foule
anims
est propre
en communiquant
point
on
auxquels
d
par
son
donc
d'une
par habitude,
pu garder
notre
et revenons
principe.
Verbe.
Il n'y a qu'un
Les
au pluriel,
jamais
il dveloppe
lesquels
forc
fondamental,
principe
qu'il
Les verbes
que je crois inbranlable.
principe
pluriel
j'ai
souvent
que
et pour
tant,
cette
seul Verbe
qu'un
pntrs,
<
cela
pour
des ~a~&cM&yy.
c&~o~M,
de
de parler
entendre
#'
~f~c
que
possde,
les rendre
ne
vers
le Verbe,
ne
change
vivans
de
les principes.
Ainsi la flamme
combustible
ne brle
pas seulement
mmes
substance
enflamme,
bonne
ou mau-
CHAP.
Verbe
Le
mriter
remarqu,
ne
la vie
la racine
sert
racine
~n,
faisant
entre
verbes
particuliers.
Verbe
souffre
substance.
mHt
d'un
la pense
~r<?-<~<M<,
appartient
futur
terme:
!T~r!
dans
Mais
cet
incomprhensible
l'homme
substance
substance
perd
dont
son
il se revt
immutabilit.
toutes
presque
ne le saisit
mil exerc
accoutums
ouvrages
T. I.
modifications
encore
distingue
Ces dtails
pourront
a voir
mais
mais
ces sortes
je crois
ces
qu'il
n'est
prvenus
sur
anime
revtu
mmes,
lui
qu'il
et
tout.
il est
de
ce nouvel
Dans
le
origine
la faveur
au travers
inflexible
comme
indpendant
il s'est
formes
qu'au
mouve-
sans
qu'a
ni
de
point
de toute
d'universalit
sensible.
dont
en
qu'au
tout,
agit
la
de la
tat
il
transmet
influence,
desquelles
un
unit.
de spculat!ou&
les avoir
dure
comprend
extraordinaires
paratre
le pass
et
Verbe
tranger
ne sort
actif
d'une
particulires,
son
ce
indpendant
bien au masculin
Ce
point.
La substance
ses formes
des
acquirent
Tant
se rend
qu'il
de
ni nombre
qu'il
absolue
l'homme.
quelconque,
au moyen
transforme
connat
sur
tout,
d'immutabilit
pour
la
Il est mme
aussi
ne
emploie
le conoit
remplit
tat
les
au mouvement
pluriel,
dsigner
que
et
tant
influence
il exerce
la mme
passif;
il est l'image
il remplit
le prsent
ment
C'est
Il ne
et au temps,
qu'au
effort
noms,
dj
hommes
hbraque
d'inflexion.
espce
de
les
que
le signe
immuable.
ravoir
s'agit
opposes.
aux
et que
au singulier
fminin,
sans
aucune
absolue
essence
l'ide
par
verbale
est
lorsqu'il
la vie, la Langue
puissances
au mouvement
aux formes,
son
force
reprsente
et. absolue
je crois
/<'a'/s/f/M'<
apporte
deux
en lui-mme
il ne
car
caractrise
sa
dispense
genre
n,
comme
de manire
est la lumire
racine,
dire
avec
intellectuelle,
unique
en hbreu
nom
mieux
pour
le caractre
quilibre
la lumire
de
confondre
jamais
Cette
nn
jamais
ou
propre,
devraient
t; sa substance
intellectuel
par
Le
Faitention
reprsente
97
dont
unique
le signe
par
I.
VII,
que
aux
trouver
c'tait
grammairiens
place
peu
dans leurs
sur la Grammaire
l3
GRAMMAIRE
98
que
jugent
ma mthode
que
ils pourront
tre,
de suivre
leur
ses
c'est
Comme
de leur
comme
domaine.
S'ils
je le pense
rien
pas,
donc
peut-
ne les empche
les noms
plutt
qu'il
dans
et soumis
aux mmes
parat
levs
se
il a participe
le discours,
les
qu'prouvent
iacultatiis
lui-mme
pu
a revtue,
particulier
modifications
les
Or,
verbr
d'un
n'a
r~tH,
qu'il
les fois
toutes
les attributions
nodiications.
le Verbe
de la substance
la faveur
Ainsi
ou
autre
applicable,
ne le jugent
s'ils
toujours.
formes.
culiers,
soit
aucun
routine.
qu'a
avec
leur
l'adopter;
Poursuivons
manifester
sur
et non
j'crivais
Hbraque
HBRAQUE,
verbes
partisont au
la vie verbale,
nombre
de quatre
du
en hbreu,
de la Forme,
rsultant,
principales,
du Temps,
et de la Personne.
Mouvement,
sont
ces quatre
et de
modifications
J'exposerai
plus loin quelles
sur les verbes
elles agissent
il est essentiel
d'examiner
quelle manire
avant
tout
comment
noms
des
Si nous
verbe
tel
entier.
H!)
vague
une
comme
chose,
quelque
peindre
cette
chinoises
son
chaleur
suppose
d'action
qui
ainsi
clairement
sorte
mais
peut
toutes
expriment
alors
le son
le voir
dans
les ides
rsider
parat
n'offre
plus
lorsqu'elle
signifie
et quelquefois
vocal ne tarde
Adc,
Ao~
de
de chaleur,
qu'une
se borne
par exemple,
sa chaleur,
un
le constitue
qui
verbal
qui
chinoise,
exhalaison,
qu'on
ce
elle-mme,
la langue
comme
~re-~<m<,
l'esprit
d'expiration
les anime.
qui
que
ou
primitives,
feu,
la vie
pas
racines
de vie,
et d'tre.
Cela
bien
et le signe
senti,
hbraque,
Langue
le transportant
cette
Ft~M)
abandonne
dans
l'haleine,
s'y mannesier,
unique
~) dans lequel
La racine
exclamation
que
intellectuel
racines
unique
verrons
nous
particulier,
des
du Verbe
le Verbe
considrons
est le signe
tout
la faveur
drivs,
sortent
verbes
ces
Langue,
la nature
verbale
du
symbole
dans
cette
tant
une
racine
racine
ou
or
c'est
Verbe
ou
universel,
dans
un
ce compos
ce qui
arrive
le gnie
il est vident
selon
constitu,
compos
participeront
sans
la moindre
de la
qu'en
quelconque
l'instant
exception.
de
CHAP.TI,..
un
Je rclame
lirement
du signe
nuances
avoir
du
comme
V.
la formation
renvoie
J'y
ces deux
Verbes.
des facultatifs,
tout
pour
ce
particu-
qui
sous
convertible
signe
des
en traitant
se prsentait
je parle
lumineux
en traitant
vu
avons
comme
signe
dans
dit un mot
chapitre
dont
premirement
employes
dj
Nous
celui
que
distinctes,
et secondement
lement
d'attention.
peu
99
deux
univcrscll,
nuances
Je me
sont
ga-
souviens
dans
la seconde
regarde
cette
d'en
section
de
espce
noms.
entre
les deux
lre-rgi.
*~Q
Maintenant
nous
suffira
d'tat
espce
parce
mouvemens
de l'inflexion
nous
composs,
c'est--dire
signe
suivant
pourquoi
et
gouverner
par
nominale.
Et quant
un
ferons
en le remplaant
sensible.
va le rendre
Racine
en
Op
toute
ide
que
j'appelle,
Verbe
T ~MM,
en
faire
~o~M'M~
en
C(~(~
7~'K/<y~M
c~e
CM?
tre
t31P
Faction
clairant
'), comme
mouvement
Ml
et de consolidation
~1
MOWMM/ ~1
<~t'<' mn,
l'action
consolider.
physique
ou moral;
une
motion.
ou mu.
de mouvoir,
ou
le
l'exemple
consolid.
de
les
fini sortant
trielle.
J~TacM&H&M
~'<Mi6<;Mo~Mt/
un
et se plie tous
nominal,
de substance,
il
appellent
moi,
au facultatif
le signe
signe
de la racine,
pour
les articles,
par
tWI
les grammairiens
que
originel
~o6c
de ce mme
sortant
fini
de la pense
abstraction
Ql~
comme
de ces noms,
le facultatif
prenons
simple
comme
par l'insertion
caractres
si nous
d'une
la composent,
composs,
je ne sais trop
qu'il se laisse encore
Z~
des
derniers
dans cette
Verbe
qui
et des noms
~rc-<'a'M~<
entre
caractres
d'mouvoir.
t:
ma-
GRAMMAIRE
too
Il est bon
le Verbe
d'observer
ques
autres.
rgle
est
comme
Verbes*
aux
Quant
1 s'ectaire
le signe
que
de la racine,
sortant
HBRAQUE,
remplace
la mme
valeur,
tait
suffit.
Cet
besoin
pas
de
je pense,
convertible,
qui s'insinuant
au sein
ser
de nom
de Verbe
de Ftt
a celui
tour-a-tour
et variant
le sentiment
d'une
la vie
verbale,
Verbe
nominal.
pement
admirable,
faire
de la parole
l'ont
un
tait
avanc
cole,
aurait-elle,
tant
d'une
petite
de la
rien
qui,
mmes
colores
croire
et qui
son
tions
les substantifs
ou
n'est
qu'il
des
avec
lui
et avant
de tous
jettent
les feux
Gorgias
qu\'Hcs
tragrandtsscntcnL
de la niaht
ont-cHes
soient,
et de ibrcc
de~hoMunes,
puisse
<~uclest
arbitraire
et les sophistes
d'un
cot
)annus
le domaine
rouvre
se comparer
institutions
Voit-on
humaines,
tmu'cht'
cette
pro~Tcss!ve
tMfchat!~u<'
? cet
orme
avec les
ramifica-
de l'infini
Les
de
qui sor-
envahissent
gnie,
et scmblentaitcindrcjusqu'auxlimitcs
de semblable
dans les jeux de hasard
arbitraire.
ces immenses
de l'autre
et du
Lecteurs,
profondes,
et se confondant
du
de mes
institution
ces racines
y fixe
facultatifs
institution
une
dire
ddain
une
je le demande,
de la nature,
seul
qui ne soit
un art mechanique,
de signes
signe
y porte
ainsi
deux
pas un
art mechanique,
quantit
du
composs,
et pour
finie,
successive
ne rejette
Uobbes,
l'effet
remarquer
pense,
pnrtaHes
des
la paresse
favorisait
de ma Grammaire,
si la parole
lmcus
alors
des racines
continue
la formation
Je dois
ce point
comme
ont
ces points
~a~~M/M~y.
faire
dans
dplace
action
par
parvenu
Ah
chaldat'que.
II
de /~<i6~
3VoM c~'cM
n'ai
la
composs,
ponctuation
qui
quel-
invitable.
Je
abus
et dans
des
ou ~<?/~
former
pour
remuer,
sortant
Si la
sans
et cela
~10
nominaux
cet gard.
exceptions
ce signe par les points
rAo~M
copistes
si
dans
quelquefois
aitier
qui,
sorti
dout
le
CHAP
tronc,
un germe
dans
d'abord
qui
ne peut,
d'une
production
comme
cetle d'une
est cet
force
arbre
claire
tre
en recelait
considre
comme
au
elle
a son
la
contraire,
en ses desseins.
lui,
que
puissant,
le sol qui
mais,
et constante
Ainsi
cet arbre
Or
la
ainsi
germe;
sont
aux tnbres
elle chappe
abreuve
comme
ou,
lumire
d'une
terrestr
lui,
un
aspirant
elle tend
divin~,
elle s'lance
es
dans
lment
ses rameaux
plus
des
pur,
et les couvre
de
et de fruits.
fleurs
Mais,
on m'objectera
peut-tre,
m'tre
contest
que je tenterais
que cette objection,
comme
lieu
qu'au
de
drait
me
sont
constitues
me
dire
ou
ce qui
diincile
gine:
mais
Celle
de
sont
qu'ils
tre
pour
l'hbreu,
que
j'ai
tons
les etymologistes.
de
rayons
suivie,
beaux
qui
rsultat.
pouvoir
chose,
les
idiomes,
cette
aux
avant
est
a leurs
chose
l)ien,
ihitiM
m'ont
'~'
est
d'autant
de
leur
ori-
unpossihie.
a la mthode
esusai,
recueil
)e l'avoue:
que
aussi
condmtj~loMi~
}c nie
que
pomt
grce
cet
sur
primordiaux
trs-simple,
I\njntt~~on':
ramens
tonnes
n'est
il iau-
iaire
ou le grec,
signes
composent
;e le sais
analyse
moins
Langue
)<'
le latin
tre
u.aintenant,
aise
pas
pas
et plus
composs
Cette
Je rponds
il faudrait
pas,
que le franais,
qui
dnncHc,
qui parait
n'en
tait
autre.
un
ferais
ces
plus
pour
ce serait
je ne
de mots
de
et que
Langue,
les
l'est,
est la mme
la masse
irrsistiblement
devrait
tre ai'nrforce,
quelque
c'est-a-dirc
au lieu d'tre
ngative;
par
L'analyse
plus
travail
exemple,
a ne
de manire
repose
absolument.
~c
a cette
qui ne saurait
avoir
pour
p.'cuvc
dmontrer,
principes,
lesquels
ma
le mme
ce rapprochement
je dmontre
dont
se borne
successifs,
en vain
mative,
que
l'hbreu,
pour
dveloppemens
les
peine
enseveli
nagure
que
et capricieuse;
majestueux.
nouvelles,
rgions
oit're
point
manire,
aveugle
sagesse
les elemens
elle s'lve
cela
dormait
rameaux,
en aucune
TM
que lui,
dont
H.
Ne sent-on
imperceptible?
brin d'herbe,
faible
perait
les principes,
parole
de
maintenant
surcharge
V!
de.
elle
si
serait-<-<,
bien
pousse
tes
GRAMMAIRE
le
vers
chinois
pense
Je reviens
le signe
mine
quelle
la formation
la prcdente
section
convertible
que
deux
mme
ce qui a fait
primitif,
et par
racines
seule
syllabe.
tique
peut
sbstantif
toujours,
organis
pour
locale
soit
dans
le voit
ainsi
a fini
par
de l'hbreu,
examen,
que
et que
ses
ridicule,
le sign"
qui
auxiliaire
corrompre
le sens
une
sorte
les langues
toutes
de jargon,
pour
que
dans
Q~,
que
ou que
je l'ai
T~?Qla
en renforcer
je l'ai
dit,
riger,
dit
de
racine
des prjugs
je lui dirai
soit
syllabe,
mais
convertible
il se forme
poser,
"?!0
idioma-
l'expression
du signe
l'aide
ce sentiment.
racine,
Le gnie
cette
ajouter
d'une
possibles,
vrit.
cette
rpter
ainsi
le nommai
la sentir,
aux tymolo-
sans
confondre
Lorsqu'
se forme,
on
primitive
et formant
bissyllabique,
caractres.
Erreur
l'hbreu,
la dnaturer.
invincible
pas un obstacle
ici quelle est cette
mande
expausif
dans
le sens,
compos,
mme
trop
comme
comme
racine,
caractres
racine
long-temps
les choses
mme,
dans
sont,
Je ne saurais
en modifier
pour
il ne peut jamais
le Verbe nominal
que
mme.
primitives
bien,
des facultatifs
contractes
croire
en faisant
au milieu
de l'hbreu
diffrent
dans
sur une
racines
de trois
que
natre
dmontre
essentiellement
la racine
avec
faire
deux
qui reoivent
des mots,
l'origine
l'article
Les
tre
la
pour
de trois
composs
qui s'lvent
C'est
tait
J'ai
hbraques.
les mots
sur
aliment
quel
la dignit
du Verbe.
Il est essence que le gnie idiomatique
ajoute
ou
et mme
tout
le nom
ceux
et
l'intermdiaire
signe,
ne pouvaient
en voilant
par
les mots
et
gistes superficiels,
la langue
des Hbreux
racines
c'tait
un
par
syllabes.
Verbes
surtout
c'est--dire
gouverne
des
maintenant
affectionne
consonnans
a exploiter.!
levait
t,
HEBRAQUE,
ou
ou
statuer;
~e~r
mais
primitive,
de la
du
on sent
on est
quand
grammaticaux
n'opposent
curieux
Si le Lecteur
me deque
avec celui
conjointement
~? gouverne,
toute Ide de lgation,
S. Or "!t~ dveloppe
c'est
"~t,
de Faction
de fonction
que
le signe
extrieure
laquelle
et
CHAP.
li, de vicariat,
on se trouve
dont
est
l'origine
de mission,
tyopienne,
un
absolu
envoy
Ce mot
a eu dans
avons
adopt
la traduction
Et que le Lecteur
charg
son
origine
ainsi
le mot
proprement
un
*~?Q
MM Roi,
un
dlgue,
de reprsenter
la divinit
sur la
le mme
sens que
dont nous
*3H7Q
yy~o? un ~M~.
grecque
de ces sortes
curieux
to3
etc.,
signifie
ministre
terre.
IL
Y,.
de recherches
encore
remarque
les drivs.
Mais
pour
vient
logique
hbraque,
laisse
peu
de suspendre
qui affectionne
en modifie
qui
de quelle
manire
se fait
tre ajout
est initiale,
jonction
cette
digression
rpterai
de deux
sans
syllabes,
un
y ajouter
Or,
l'expression.
et quels
adjonction,
que
tymole gnie
sont
voici
les caractres
a cet usage.
c'est--dire
ou terminative
le caractre
est terminative,
lorsqu'elle
je
ou en renforce
ou
au commencement
se place
cette
les mots
singulirement
se former
de la racine,
est initiale
adjonction
que
moment,
le sens,
consacrs
spcialement
un
le Verbe
souvent
caractre
Cette
reprendre
c'est
que le carac-
la fin du mot.
l'adLorsque
de la racine
est ou
:
en tte
ajout
tout simplement
le caractre
final
qui
se double.
Prenons
deviendra,
pour
exemple
par
le moyen
OY
par le moyen
lement
trs-loignes
conjugaison
l'ayant
variera
paratra
t aprs
Q"
de l'adjonction
de l'adjonction
le sens
ceptions
le Verbe
terminative
considrablement,
du sens
que j'ai
initiale
Ce Verbe
ou
Q*M~,
et
Q*M~,
T
mais
QQ*)~
et
mais
primitif;
cau~e qne
irrgul!re,
la formation
du Verbe,
cit.
dj
pourra
alors
recevoir
la marche
1~
ne tiendront
non
caractres
pas
seuac-
des
mme
de la
ajoute
d'assez
prs
GRAMMAIRE
to4
la racine,
y rester
pour
de la conjugaison
toute
Verbes
des
pour
veront
propre
gine
est
ce sont
irrguliers
un rang
aux
et
offriront,
qu'ils
relativement
ces Verbes
que
la Langue
et a marche,
assigner
nouveau
anomalies
aliti
ne sont
des
des
hbraque,
ni des Verbes
Verbes
Verbes
Verbes
dans
les
savoir
et
distincte
espce
il faut connatre
l'ori-
dont
Par
etc.
les
"?Q
) T etc.
Par
tantt
restent
les troisimes
enfin,
tels
j'entendrai
initial
de la conjugaison
que
&1~,
directement
le rapport
Verbes
drivs,
que
d'un
Qf~,
et
les
qui
se
~3,
substantif
tels
queT)pB,
ceux qui se forment
ou
par
et qui
terminatif,
tantt
se
et
monosyllabiques
QQ~
MM,
de la
ceux
tels
drivent
qui
bisyllabiques,
caractre
d'un
le cours
bisyllabiques,
ceux
r~M~MM~-
sous
monosyllabiques,
toujours
dans
et de leur
j'entendrai
premiers,
j'entendrai
l'adjonction la racine
prsentent
les
et qui sont
compos,
les
radicaux,
Par
seconds
de Verbes
espces
Verbes
et qui
de la racine
dj
trois
ni
d'une
dans le discours,
distinguer
la Grammaire.
Je les nommerai
Verbes
radicaux-composs.
tirent
prou-
radicaux
de les
je reconnatrai
conjugaison,
tantt
qu'ils
comme
un milieu entre ceux qui sortent
gardant
co/~<M~
et ceux qui se forment
de la racine,
des substantifs
drivs.
Ainsi
le cours
de
dpourvus
des Verbes
pour
tantt
prendre
tout
modihcations.
la vrit
Verbes
sens
Irrguliers,
leurs
dans
Mais
des
au
durant
les hbrasans,
verra
qu'on
les
tymologique,
relativement
radicaux,
attachs
inviolablement
en sorte
science
HBRAQUE,
etc,
m
des ~~M
~M
La
che
racine
errer
signification
a la racine
bien
des
sur
prsente
dans te sens
nOTM~OM~
Yerbes
radicaux
J~C~MTtM?1&a&.
dpend
toujours
de ride
aUa'
du Yerbe
par
exemple,
CHAP
la racine
que
d'un
remarquable,
monument,
Il saura
u~
chosp leve,
d'une
droite,
gnrale
d'un
d'un
nom,
d'un
signe,
lieu
l'Ide
renferme
Q\~
HT.
VII,
bien
que le Verbe
statuer,
d'riger,
qui s'en
E3~,
noter,
de-
nommer,
les circonstances
ou il se trouvera
etc.; suivant
placer,
poser,
soit an propre,
soit au ngur.
employ,
Les Verbes radicaux-composs
11 est vrai,
oHrent,
diffiquelques
car il faut joindre
a la connaissance
cults de plus
de la
tymologique
signer,
racine
celle
de
Initiale
l'adjonction
Le premier
impossible.
point
de la racine,
c'est de bien
mme
Fun
racine
embarrassante.
On
En sorte
et plus
Quant
du signe
signe,
dont
Mais
elle
connaissons
de poser,
que
que
al'adjonction
JonctIon
le sens
d'exposer,
T.
double
pour
le sens
I.
elle
final,
prenons
comme
peut
une
d'Influence
n'est
que
cette
qui
existence
en la ramenant
comme
tire
aussi
exemple
gnrale,
extrieure
de ces trois
dans
son
manifestant
manitcstanl
de/?<Mcrc/tt~M<~
tat
sur
elle-mme.
elle
dpend
son
Je ne puis
radical-compos.
est son acception
Initiale, c,
1mba
tome
en parler
la plus
son
son
action,
action,
de nM'n?
dtermin
action
ce Verbe
nous
Ilii
(nnnc
donne
lui
plus
connatre
la racine
radical,
simple,
ner-
de ce menu*
sans
modifications
de Verbe
plus
que
de la dupli-
expression
En prenant
une
dpendante
donne
une force
en
potentielle.
produite
comme
verbale
l'activit.
dj
Verbe
et J expriment,
manifestation
admettre
terminative,
double.
rons-la
une
premier
enveloppe
sera
nous
sorte
cela
l'exploration
un mouvement
et plus
plus apparent
rendra
cette mme
J, au contraire,
l'adjonction
cation
qui
la
aprs
les caractres
que
a Faction
durable,
et plus
Intrieure
signe
le
qu'on
l'adjonction
que
concevoir
savoir
donnera
l'adjonction
gique
tandis
d'y parvenir,
moyen
et ie second,
InteHectueMe
et passive.
que
doit
de signes,
qualits
dure
mais
exercent
mutuellement
(lui lui est adjoint
cet gard
car leur action
est rciproque
c'est la la
des caractres
n'est nullement
LasIgnUlcaiIon
adjoints
dmicult.
leurs
tcrminative
et le caractre
surt'autre
seule
on
ic
Q~,
et considQ~,
dans
trouverons
dansaus d~
~j~,
en //<?M~wMV~ma!s
si ce
tu6
GRAMMAIRE
Verbe
se prsente
verrons
nous
lui fait
ainsi
que
dire,
l'~r/7
~Mcr,
se composer,
action
en
sa qualit
de signe
tant
sa nature
que
en soi,
pour
de la
brillantes
se
en
une
se touchent.
cal Q*~
qui
se borne
cmincntc,
ne
prsente
'de s'<?7t'<7rf
mme
dans
de n'/M/~
Ainsi
aux
comme
Verbes
reoivent
de <j'c7~r,
verbale.
l'expression
d'examiner
ces sortes
la
Co~o~oMM
de jMo~,
ici
d'avantage
cependant,
au Lecteur
Prenons
qui
deux
dire,
me
lit
dclarer.
il est l'image
dont
de l'tre,
Aussi
d'une
place.
QQ~,
l'espace,
radi-
le Verbe
distingue,'
que
l'action
consis-
de~~crt~e
radicaux
n'est
analyse
d'un
et radicaux-composs.
pas
substantif
un
assez
car,
ils en
trilittral,
grand
le cours
dans
difficile
plus
nombre
de mes
d'occanotes
sur
me dispenser
de m'tendre
pouvoir
cet gard
ne laisser
rien
a dsirer
pour
avec attention,
La
a ce
arriver
etc.
de Verbes
d'une
est em-
d'anantissement
dans
J'aurai
pour
Verbes
Or;
sans
compos
l'ordinaire
pour
0~.
dj
au-
expansive.
les Verbes
leur
carac-
l'occupation
de s'garer
drivs,
ils naissent
sorte
du
extrieure,
l'extension
le radical
dans
s'analyser
tre
action
signifier
J~
doivent
une
de son
le vide,
l'tre
Alors
dislocation,
l'excs
Mais
dveloppe
ne peut
le permet,
change
caus
par
de l'action
collectif.
l'adjonction
pour
la duplication
dans la racine
par
le signe
et qui
o les extrmes
Voici
ce caractre
d'examiner
comme
l'extension,
parler,
d'f7t'~
son
initiales.
se formant
considr
virement
sions
celui
ramenant
leves
adjonctions
adjonction
il convient
ce caractre,
ici
deux
cette
final,
Quant
J,
A*M.y
comme
Hgnr,
s'w.-ywcr,
J<?a~~
les
terminative;
tance,
plus
initiale
s'~A''awf,
pour
terme
sens
~K*~C/A'.
Voila
ploy
un
l'adjonction
signifier,
.<W/<0/
tre
dans
HBUAtQI E.
haute
premire
deux
je vais rapporter
j~'T3
importance.
chose
l'un et l'autre
aux substantifs
rapporter
ais en tant le signe '), qui les verbalise.
l'ide
d'une
~3
mane,
production
que
dont
j'ai
ils
Le premier
puisque
r
faire,
drivent
exemples.
<?~' et ~C~<
c'est
ce qui est
me prsente
signifie
f
de les
MM~,
dans
M/i
CHAP.
/rM~
puisque
e second,
transposition
ment
lui
plus
pour
Le mot
lement
KM
mane
d'un
a celui
intrieure
ranie,
qu'il
l'ide
gnrale
au premier.
ne signitie
production
de la plus
dignes
arien,
ign,
est le symbole
quel
principe,
constitue
la racine
qu'il
soit,
"~3,
d'o
s'applique
forme
ou
aqueux
paternel
par excellence.
mu par
se forme
une
force
il est
quand
dansi~,
quelque
*) runi
propre
de ces signes,
et sous
seu-
pas
de toute
K, comme
soit,
thr,
principe
de ces signes
l'lment
primitive,
3. Le premier
quel
M/<c
au commence-
Attachons-nous
par la voyelle-mre
principe,
conu
second
du mot
racine
dveloppe
vocalis
l'lment
du milieu
Les dmens
en sont
gnrateur.
C'est d'une partie
signe du mouvement
de l'action
simplement
<M<*t~eZor~'oK,
1QK,
tre
attention.
haute
tre
mais
toy
M~y~/cr/f~M/MM~,
M~j<?~
dans
K est un signe de stabilit
d'nergie.
comme
considr
15,
dans
le caractre
donner
lit.
~Qsigtnfie
le premier,
il n'est une
&<'<xM.Dans
m'annonce
!e second
~~CMy;
VII,
qu'il
puisse
terrestre.
Le
Ainsi
donc;
intrieure,
le substantif
gnK*~
TT
compos
et le Vrit
Kt": c'est--dire,
/y/rr~HMcZ~<</Mco/?MM/
que j'analyse
r~/M~e mme ce qui tait C'M/ordu principe
l'essence;
passer
<cr du centr e la circonfrence;
crer, enfin.
Maintenant
racine
lmentaire
intellectuel
1K;
cette
mais
devenue
est
~~XD. Ce mot
le mot
voyons.
racine
du signe paternel
comme
danslemotH");3,
mais du signe maternel
de l'action
Q, image
aussi ce n'est
tituer le substantif
"~Q ou"~HQ
et cratrice,
mais
c'est--dire
un
dont
il a reu
Telle
foyer
rcr.ME~M~,
Je viens
action
extrieure
lumineux,
un
cet tat,
une action
flambeau
de consintrieure
une
et propageante,
non
d'examiner~
afin
extrieure,
plus
le signe
elle se revt,
que je viens
la
dispensant
~~o/;
la lumire
le principe.
est l'image
hbraque
une
galement
claire
par
s'tant
Dans
/M~
~K
sur
s'appuie
'DQH,
T
de la parole.
qui
veut
sa e~A~M~
d'enseigner
dire
/<~r~
comment
Telle
est du moins
~a~Jrc
au <~o~
du verbe
l'tymologie
lumires
<Iec/a-
etc,
fe forment
et s'analysent
les Verbes;
t4.
o8
GRAMMAIRE
voyons
comment
its
appeles
articles.
j'ai
que
verbes
sont
<~OKf'M/;y
"lSQ1
une
Elle
du Verbe
devant
de rgner.
l'action
telle
l'article
absolu
ils
dont
n'exprime
ou
temporelle
et que
par exemple,
tion en recevant
le temps
le futur
d'expliquer
sans
hbraque
universel
Au reste,
nous
action
peu
Je ne me
rappelle
grammairien.
au Lecteur,
pour
pas
la force
du
le
convertible
signe
et
temps
le caractre
son
une
sur
sens
leur
change
futur
devient
du
futur.
vu
C'est
la rctation
lui faire
sentir
du
dans
relation
!*P!
cet Idiomatisme
adve rbiale
de quelle
cet
idioma-
signe
conver-
ce cas.
qu'elle
qui
exerce
rend
futur.
relev
~in~ulit'r
Si. Je donne
manire
~~(/<~
en prenant
adverbiale
pass
Ainsi, t
de significa-
originel
intrinsque
un temps
comme
con)onctif,
Verbe,
l'influence
en franais
d'avoir
de rgner.
<~
le futur !T!1
sera.
TT
d'une
manire
satisfaisante
semblable
prs
l'action
change
brusquement
et devient
le pass
en avouer
avons
en rgnant.
constitue
la force
galement
admettre
1, et sans
ce qui
tout
prend
conjonctif*
Il est impossible
tout
de ce mme
pass
de telle sorte,
que
le pass
le mme
de rgner,
toute
~T?T <7~<
l'article
rogner.
te mouvement
que
passe
pour
prend
futur
de rcgnpr.
eu rgnant.
de rgner;
conjonctif
ci-dessus,
modiiication
pass,
de rgner;
trs-importante
nominal,
le temps
en rgnant.
et
observation
l'exemple
rogner;
df
"!nD''n!
regarde
a rgner,
a Faction
l'action
</e'M'pn<
aucun
au verbe
de rogner;
coniornie
*T~T03
co/t/OHc~
une
part
de l'action
de rgner,
t'actioti
l'action
'tl~S
<!y.wH<7~
tible
que ces
au nom dont
rgner.
!cdnn
1'
"Tm'2
/Mt-</<
tisme
designatves
la preuve
d'une
et de l'autre
de
l'action
scton
'1T~~
i
<<wc~
ainsi
relations
donnera
participant
mcmc
)~
dans
l'tioM
"T~
<7<7t'e~
bale.
inflexion
substance,
~1T3
f/<'?~rM/
J'ai
des
la vie verbale.
reoivent
Cette
nominaux,
leur
par
l'aide
s'inflchissent
rellement
ils drivent
HBRAQUE;
par
cetexemple
un pass
peut
de-
CHAP.
venir
futur
sans
mme
sans
natures,
adopte
~/r
wo/(de
ou
rgne)
sent
si t'aftxe
les
afixcs
/MC//07
bien
hbreux
le faire
un
le de~ut
des
exemple
le signe
par le point-voyelle
J'ai
suivi
verbal
L'action
et verbaux.
(mon
On
ou
rgne),
minin
ascztlin
B {
f M<M/M
qui
que,
de ce mlange
inconvniens.
cbatdaque,
dans
~MMKM
wwcM/M
qui
cette
runis
occasion
de
nomm
incertain,
la visiter.
visiter:
( 3 ~u'Kt'
L~ction
t M~CM/M
t~K~H
Jt
<
~tBB
toi-homme.
<
"t~pS
& toi-iemme.
toi-fezuzne.
ou
*ty
M~(.-<~<M
}
a clle.
c!ie.
ora
c" mpS)
M3'!pS.
~s,
-I,f'
la
de
aous visiter,
')3nB T.
vis!taUon
uous.
~vons-hommes.
1
M<cK~'M
t~/c~t~t/t
fc~minin
2
lui.
')1pB
vous
t
vous
visiter
visiter
tf~vKtft*
{
.pp5)
( 'QmM
< 'tJT~pS
.'=j~
f' T:
a
Q~a~
avous-ietnincs.
vous-fecnmes.
a eux.
~Ucs.
tait
au Verbe
esclave
toujours
'h :'i!'
')mp5
ne l'ont
puisqu'Us
la vtshation
me
te
MvMter.
vIsIter"
le visiter,
de
//'(son
rsultait
de
trouve
/~<fw
de y~<~
( Ma~CM/tM)
a
2 t
t.
t:!
<!)<
a deux
que de lgers
verbaux
aflixes
et nominaux
la prononciation
a
'o
nominaux
Mais il semble
la ponctuation
affecte
vulgaire,
.S
J,
de te dire,
de la phrase
qui puisse
indiquer
ou verbal.
C'est une amphibologie
que
viter
en
les
pu facilement
distinguant
auraient
et N'entranait
sensible,
nominal.
t t1)
'<~
au bou~
le sens
des verbaux.
pouvant
Voici
je viens
A wo~
de 7~!<
nominaux
dix ans
f~~ dans
s!
phrase
les aftixes
galement.
ajout
fait,
peu
cette
me reg!r):
et tn~Q
/w7/(W
'C1"~
l'action
f/f.
</<' /7~ /M< (de le regu')
crivains
pas
de la hardiesse
Je l'ellipse,
et
clicqu
attention.
V~M
est assurment
au passe
<'t ''JD*'Q
On
tu~
travaux,
Vrit
~Q
I.
soit
l'esprit
qu'il y iassc
devenir
futur dans
voyez-le
de mes
Le
que
YII,
remplacer
~Acf<z.
de
ttn
GRAMMAmK
HBRAQUE,
CHAPITRE VUL
dit ~c~<?.
Des woe~/?c~/o/M
. L
La
J'Ai pari
dans
particuliers
qui
annonce
des
conjugaisons
braque
car je conois
d'espces
de verbes,
ont
ces conjugaisons;
est le type
choisie
plaait
c verbe
J'appcHe
!aqueUc
forte,
compte
au premier
verbale
cette
les verbes
plus
hbraques
ou moins
directe,
qnahc
et !a yormc
tonnes
rcuchic
inoditicaHons
Je
ces
de
verbes
verbes.
vais
J'ai
ta
taire
con-
des modles
je donnerai
la Langue
h-
radicale,
rang
de la drive
Ferrcur
sorte
dploient
p!us
verbtdcs:
ou rciproque,
ou
de
!a Positive,
par
ridicule
qui
la forme
du
au moyen
(le
p!us ou moins
modification
une
moins
qu'ils
tymologique.
doit entendre
ce qu'on
qui en est insparable.
exposer
!e mouvement
Jbrmc
quatre
et particulirement
par une suite de
modete,
trilittral
par
de
conjugaisons
la Conjugaison
les autres,
leur
pour
espces
de verbes
de difiercntes
des
trait
de toutes
et par
ensuite
les espces
savoir
tandis
Je commence
Verbe,
autant
et la Conjugaison
les hbraYsans
ont
toutes
pour
absolu,
et la Personne.
le Temps
de ces modifications;
la nature
drive,
soumis
taient
le Mouvement,
Forme,
Verbe
des diverses
et
verbes
W~A
du
prcdent
manent,
ces
que
natre
!c chapitre
en
f/ le ~/<
~F~!C
expression
simple
ou
rutet~!tiVt~
compose.
'M:l~Iv<:
Je
cn\p.
modification
sousquetque
du
~exerce
du
exerce
t\w
dedans
Les
?w~
ni passits,
non
tels que
cette
que
parce
des Verbes
verbale
deux
H est
car
indispensable
un
agent.
0~
ont
donne
modernes
en eHet,
paraissent,
M~Acr,
etc.
/fw~r,
comme
convient
le
rendant
Verbes,
mais
renechie
sans
si Fon* disait
ac-
Harris(~),
de logent,
objet
ni
des
te croyait
se saisit
enc-memc
n'tre
sont
la forme
qu~
le nom
et !e sus-
bn
oter
rien
w~<<<'
quand
on dit :y<' </o~<'
wc ~MM //t7~
~c/MM </<' <yvM/
Ainsi,
ou
~~<
etc.
qui
Mouvemens,
d'agent.
comme
c'est
sur
objet
Mouvcmens,
ne
dfinition
les
et
les deux
a la Ibrmc
paraisse,
l'M~ M/M,
Jo~w~r,
o Faction
entre
pend
de sa tacultc
un
par
wM/r<~
runissent
qui
Verbe
les grammairiens
auxquels
de
vague
tifs
ou
on <
Verbes
assez
au dedans
est intterent
tt
une action
c'est--dire
ou passive
:}ui
par un agent sur un ob~ct, ou qui soit
active
au dehors,
dehors
M/MC;
!e
passif.
que
action
une
prsente
qu'it
ou
actif
est
Mouvement
Le
vin,
Aw~
</<'~r-
tion
tant
de la pense,
pris
ne puisse
objet,
prendre
tout
Quand
on dit,
Verbes
c~M~
c'cst-a-dire
suspend
un
sens
gnrt,
le caractre
des
par exempte,r/tw/~cM/Mc,
A<M'y, !'oM/o~,
Faction
que
en
dans
lui
le Mouvement
Verbes
dont
sont
etc.:
rellement
expriment
qu'ils
sans
domine
ic rendre
passif
irancaisc
qui n'est
point
Hbreux,
o j'ai
actif,
de
H sa~H.
/~7,?'M<~
~cMf~
verbale
indpendant
les
~<w<7~;
et
t'a~en!,
en aucune
manire.
Mais
sortons
de a Gramman'c
rentrons
et
lais
me reniermev.
() ~v~,
dans cette
H est inutile
L. t. c. o..
des
d'y
parler
du
de mon
Mouvement
do-
je vou-
supcmctif,
tta
GRAMMAIRE HBRAQUE,
tous
que
et qui
les
Verbes
ne
d'aiueur*.
d'abord,
et
taqueUe
ils sont
C'est
ment
et selon
sa nature
devait
est celle
ajoute
y supplent
une
avoir
par
caractre
seoi
moyen
ment
du
en pouvait
simple-
Ainsi
est
qui
on
!e signe
trouve,
/~<yt
CHt?
d<:
s'y distingue
le second,
continu;
qui
est
pour
le
</<? co/Mo-
~7~/< co/<M//t~,
dM
(lui
second
reste
que
le pout
~/<
ont
pris
le part!
tre:;
hn
a t
ravie
Car
par
cette
Qlpn
actif
c\h~'ieure,
clu pomt
Les
et
de
presque
avec
rccruurc
surent
cet!e
lorsque
est ires-
nergie,
depuis
la
est
Forme,
la
que
le
aprs
Le
le redouble-
malheureusement
ne
gure
trappe
reconnu
cet
la voyelle-mre
Il ncrau
jamais
Forme
se notant
ayant
de
en
huperccpt!bleappcte<V/t'
in teneur,
rendre
est
Cette
place
l'in"
qui
de Forateur,
Fcxpression
lequel
point.
qtu
modiilc:tii{s.
a la voycHc-n~rc~,
rabbms,
de
mo<!ernes,
la bouelte
connatre
ce dermer
n\t
dans
verbal,
sa~e
des
le point
pour
cause
w~M/7/
Nos Langues
!e concour;;
a substitue
Fortne,
MoYsc,
verba!c.
dans
caractre
Unsertt~u
par
je nomme
rendre
du Verbe,
tage
faction
hbra-
s'nonce
passif
t'o~~o//(/<<,
iorcc
grande
chaldaqne
pomtuatton
jlacuUatif
parie
la forme
Yerhes
te premier,
nominal.
que
a raction
a dtsHn~ncrau~ourd'hut
de
ou passive,
.3 et n;
passif
dlHicUc
Uvres
des
Le Mouvement
~~f'
C3P
de la voix
!mUer.
}'a!
selon
Formes
active
le Verbe
racccnt
encore
la marchf
pour
dont
caractrisent
le ~cuttatif
ou
Qlt?
forme
qu'eHe
prctn!er
quatre
quitter,
coM~o//</c.
prives,
qui
des
caractres
e Mouvement
La seconde
tcnsit
deux
gouverne
actif
<f/OMJ~/y'~
actif
Mouvemens
se
verbatc~
gouverne
et pour
deux
ils
origincHe.
des
la vie,
Mouvement
sont
Faction
produit,
de
licier;
la premire
ou
au moyen
celui
(!u Mouvement
aux
v peuvent
tous
que
mherens.
celle
ques
retrc
en rien
comment
voyons
/)fw7/tY'
J'appeUe
de
digre
prendre,
Bornons-nous
caractristique.
l'actif,
y peuvent
par
le
daus
ses traducteurs.
caractre
y est
Q,
galement
<pn
de les
prudent
importance
sentie
tnconA'enient,
la pbce
peut-tre
dermere
davan-
les
Le
si~ue de
double
CHAP.
l'un
dans
et l'autre
nominal
Verbe
et dans
ou
voyelle-mre
actif
1PNQ
et pour
etc.
<?<~c <M~<
avec
Je qualiiie
trouve
~o~
*~p~3
forme
je le
que
dans
ou
puis,
Faction
passif
actif,
le
aprs
le
il prend
en place
le Mouvement
pour
la
le point
passif,
On
le Mouvement
la troisime
autant
entendre
~X&M~.
le Mouvement
~M~M<,
de <<<
ou
le Mouvement
le point
t3
dans
la voyelle-mre
adopte
r.
mais
Mouvement
caractre
premier
V,
<'A/n'
ou
~S
un seul
etc.
ann
mot,
de faire
d'excitation
l'espce
en transportant
cette
action
hors
qu'elle
opre
du
Forme
sement
un
sujet
et qui
verne
qui
caractre
que
la fait aisment
le Verbe
Mouvement
nominal
actif
/MM de faire
<~
verbale,
M~
tP.SQ <'7an/
<~c~~ <7<'7~c !'M<
''MpS
du nom d'~<?/cc,
par
/~c~oM
1M
le point
reconnatre
dans
c'est
les deux
jamais
le signe
de.la
pu
qui gou-
trouve
ou
G?n
suppleen,
vie n,
On
Mouvcmens.
le Mouvement
et pour
CO~MO&<Zc;Qptn /<9!C</0/t
n'a
<~ coM~o~Ja/
Q~MD/a~MM~
eoM~o/~r~
chaldaque
passif
C~pn
pour le
/~c-
Gp!)QyMMCM/
CO~MO/~r.
J'A
La quatrime
est celle que je nomme
enfin,
Forme,
n''6~~o<yt~ ou
oit qu'elle
cause qu'elle
rend l'action
verbale
rciproque,
~ZpcA~,
la rflchit
sur le sujet mme
tacitement
au
qui agit. On la reconnat
de signes reunis
de la syllabe
de
V! compose
moyen
caractristique
la vie et de la rciprocit.
Le second
caractre
cette Forme
comme
dont
dans rintensitivh,
l'nergie.
Les
deux
Mouvemens
du Verbe
elle
conserve
aussi
s'y runissent.
se double
en un
dans
ainsi
toute
seul,
pour
de son
action
devient
l'objet
(lue l'agent
qui iait l'action
mme.
On trouve
continu
?'M/7<M<, ~'c/
'tMMQ
pour le i~cultatif
'T r t
sc~e~M~
MM~' ou cle
de s'c;tcilcr
de sc r~isiler
clc
s'
action
r.sil~ur.t,
MMfcy'; l'action
?'M~w/,
f~aisnrtt visiter,
.,?~~i':1'
indiquer
.M'-W<~<?
<
~M<7~.
J'entrct'iu
Fonncs,
<~n~
en donnant
T. t.
t~~t'es
iouvc~ux
les modles
J'!<;u!M
des
r~
df
~es
quatre
coM~t~amonH.
!5
GRAMMAIRE
n4
HBRAQUE,
n
2~~p~.
se modifient
Ainsi
et du
mouvement.
de femarquer
avec
les verbes
sous
hbraques
J'espre
qu'un
quelle
constante
Lecteur
de la forme
le rapport
attentif
n'aura
pas manqu
les prinse dveloppent
fcondit
devenir
Car,
qu'il
examine
se runissent
mens
et ds
avec
soin
a quatre
il se distingue
son origine,
de
La forme
l'tre
produit
et de la manifestation
dure
a ses modifications.
et prsider
du Verbe,
mme
de l'actif
principalement
est-elle
c'est
intensitive
le signe
le signe de la
par
c'est
la constitue
est-elle
excitative,
c'est le signe
..est-elle rflchie,
le mme
signe runi celui de la vie
Tout cela s'enchane
de ce qui est rciproque
et mutuel qui se prsente.
au. hasard.
avec une rgularit
d'attribuer
que je crois dificile
hmamteaant
aux modifications
Passons
diverses
que les verbes
qui
sous le rapport
brajtMues prouvent
voir queues sont ces modifications)
autres
le Temps,
les cause,
des
~dps inconnues,
car
comment
puisque
renferm
pass,
dans
chifrabtc
pour
quelle
peine
de cet
le Temps pourrait-il
tl n'est p~us
que~M~r,
quiconque
tre
indivisible?
se renferme
L.I,
Cb.?.
et quelques
qui
nos
organes
matriels,
Le Temps
dans le cercle
et cependant
les sensations
seules
lui donnent
Sielles
elles n'existaient
t?
fi t!~l~ aU'llt pas,
sprait..il
(lue serait-H
pas.? que
(a) 2?~M~
de
appuyer
affecter
Harris
avant
incomprhensible
n'prouverais-je
que je ne pourrais
~n instant
comme
examiner,
~<t), la nature
grammatricns
SI je 'voulais,
du Temps.
une
des
existence
sensations;
relative.
CHAp
Ce qu'il
le Temps.
autre
estime
mesure
Donnez
un autre
espace
se meut;
qui
connat
sensible,
la vie. Changez
mouvoir
ici,
la matire
c'est
la vie,
des choses
changerez
et vous
aurez
L,
analogues;
la vie. L'homme,
ses organes
par
et vous
en la matire,
et le Temps~sont
L'espace
la matire
de
ttg
n.
vm,
tre
un
c'est
et
intelligent
mais
corporels,
non
pas
il a le sentiment
de la vie, mais
Intellectuel
par ceux de son intelligence
il ne la saisit pas. C'est pourquoi
et le Temps,
dont
il parait
si
l'espace
lui restent
inconnus.
Pour
les connatre,
il faudrait
veiller
voisin,
lui
chez
une
troisime
facult
se dvoilerait
l'espace,
il saisirait
sa double
mme
la
elle
sur
plis
leur
matique
ne
assign
Nord
si
existe,
appelait
de la vertu.
suis arrt
un moment
obscurit,
en avoir
point
que
pour
de
envisag
les mmes
prouv
ef-
recueilli
avec
les dbris,
les sicles,
de l'Europe,
sont
et dont
cet gard,
riches
de l'homme,
de l'esprit
de plus
s'purent
celles
fort
d'idiomes
au grand nombre
elles se sont insensiblement
d'abord
richesse,
la marche
limites.
de l'Europe
modernes
cette
ensuite
les mmes
et se
en perfectibilit.
dveloppent
et qu!
uent
de trs prs a l'histoire
du
dans
Socrate
ne l'ayant
les peuples,
pas
facult
que
la profonde
ai fait sentir
pouvaient
elle
la'puissance
je ne me
le Temps,
tous
troisime
c'est
que
il attribuait
que
ait
elles doivent
cumulant
il se connatrait
de
se
dans tous les idiomes,
les verbes
que,
H ~'en~fajHbien
au mme
et surtout
nombre
de Temps,
que le gnie idio-
Les Langues
poses
les profondeurs
du Temps
si cette
je dirais
et je n'en
manire,
soient
ont
fugitive
soit enfin
entendre
Aussi,
elles
il sonderait
alors
demander
exister,
quelque
la mme
fets.
me
et laquelle
sa nature,
donner
l'essence
venait
peut
tSc&Mcc,
Mais,
ses yeux
nature.
si l'on
Que
qui,
C'est
une
du
genre
d'o
drivent
dont
en plus
par
chose
digne
huMt~ia,
ces idiomes
les ides,
mais
dont
coms'ac-
le frottement,
de remarque,
que
les langues
aujourd'hui
t5
tt6
GRAMMAIRE
en modiucations
si riches
deux
Temps
tandis
que
de
simples,
les langues
Ie/wyfH<
de l'Asie
de
leur
n'avaient
temporelles,
manquaient
l'Afrique,
HBRAQUE;
et le/MM~
elles manquaient
occidentale,
qui paraissent
prsent;
n'ayant
origine
que
de f utur
originaires
deux
que
galement
le passeet
le~r.
du
la question
modernes
dlicate
Les grammairiens
qui ont aborde
des plus
la Langue
l'une
nombre
des Temps
irancaise,
que possde
Temps
simples
de l'Europe
et du monde,
d'accord.
Les uns n'en ont voulu
reconnatre
au nombre
les Temps
varies
des Temps
vrais,
que
des Temps
loin
d'tre
ne comptant
que cinq,
les plus simples,
comme
L'abb
temporelles.
huit
jusqu'
t fort
les
et ne considrant
F~K/awM/aM/MM,y~w<~<M,~a~fr<
des nuances
autres
que comme
le nombre
ont
cet gard,
Harris,
jusqu'
Girard
a pouss
et Beauze~
douze;
au lieu d'claircir
cette maticre,
l'ont emjusqu' vingt. Ces ecrivaius,
brouille
de plus en plus. Ils ont fait comme
cespeintres
qui, ayantdevant
au lieu de s'instruire
eux une palette
de couleurs,
eux-mmes
charge
ou
d'instruire
les mlanger,
ces couleurs
principales
L'art
le Verbe.
lumires
dans
et plus
fait
de
comme
consiste
trois
savoir
rang.
Temps
distinguer
un
que
Plus
donne
palette
les peintres
demi-teintes.
Un
tableau.
peuple
cette
la pense.
un
Les
la palette
l'essor
usage
du Verbe
Temps
son
conforme
verbale
est
sont
riche
en
imagination.
Chaque
son gnie.
C'est
dlicate
les peintres
On sait bien
mlanger.
et leur
de
de composer
les nuances,
et de les mlanger,
et les crivains
se distinguent
galement.
la manire
des
du
colores
que
ft
nombre
la lumire,
du peintre
de peindre
est un moyen
crivain
leur
manire
des couleurs
MeM, roM~c ct~aHM~
mdianes,
et ces couleurs
mdianes
des couleurs
compoinfinies
natre
de leurs mlanges.
La
qui peuvent
nuances,
de la meilleure
principales,
les
sur
daas
couleurs
dans
principaux
et
usage
a disputer
s'amuseraient
Il y a trois
parole
de leur
les autres,
tableau
antiques
Ms employaient
compos
les
de quatre
ignoraient
couleurs
couleurs
l'art
des
primitives
passait
nuances
sans
les
pour
un
CHAP.
Les
de l'art.
miracle
inconnues.
taient
(me les
de la parole
couleurs
de la lumire
nuances
verbale,
et les
thiopiens
renomms
Egyptiens
la haute
ment
parler,
il faut
Mais
dans
et
l'hbreu
le
ni
dernes,
tre,
la moindre
sans
sant,
indivisible
l'instant
du
extrme
plus
de la
d'une
pense,
ligne
temporelle
sent
au futur,
de toutes
les
WMfM <F~!C,
~<?,
Je ~eiraM,
n'est
~n "<'
correcte,
Je serai
runis-
continue,
extrme
du pass
au point
le
seule
pour
deux
./a(~
sur
rette
ou du pr-
mots
restriction
fixer
peine,
acquiert
y aMyMM <
doit
une
rupture,
au prsent,
Jg /<
dT~/rc,
ou ce qui
une
d'une
des
mo-
et ~n~
M~h
T T
la faveur
~<~
Je (/(~
y~/<
~<
.7~
~~Mr~
de ireixenuances,
ce rayon temporel,
compos
Je ~/M, qui fait la quatorzime,
indivisible
parce nu&
en hbreu
jamais exprim
seul,
que par le pronom
le iacultatif
C'est
l'aide
idiomes
indivisible
du pass
franaise
viens
on ne peut
propre-
les modifications
le plus
de la voix,
suivantes
Je
leurs
que,sur
l'instant
cet instant
~3Q
la Langue
fut
dure
sufhsait
inflexion
quelconque
obtenir
ainsi
Je
t'ai omis
par
qu'il
combinaisons
C'estadesscin
ou
En
un point
les mmes
Jt'crdM
et cet instant
sorte
nos
non
une
prsent
simple
et pour
nuances
que
.aM,
mais
le point
futur.
dont
7/~M;
interruption,
du
par
n'avaient,
ce qui
en hbreu,
:T:"< et ;T:V,
expriment
temporelles
solution
de continuit
temporelle,
lea
sagesse;
connus
dans
depuis
prcisment
par, Z7 a~
signifiassent
qu'ils
nous l'entendons
comme
pauvres
et le pass.
dans ces langues
antiques~
fussent
aussi
dtermines,
Temps
devenus
sont
plus
Ic~/<M
que
deux
Ces
composes,
leur
euiin,
et les autres
de croire
ces
surtout,
qu'ils
les Arabes
verbaux
Temps
se garder
bien
tranchans
aussi
deux
que
par
les Phniciens,
les uns
antiquit
varies.
pas plus
appelons
Temps
pas cet gard
n'taient
leur puissance;
iameuxpar
Assyriens,
et leurs colonies;
vastes dcouvertes
contester
n?
n'talent
nous
que
Hbreux
Les
. t
VIII,
continu,
voici cof~MM~Mj!;
rendre
comme
dans
fT!!T ~JH
Je ~<M y/
etc~
dott
tau'e
toujours
attent'on,
le pass
dans une
ou le futur
traduc!!on
hbra'queS).
tt8
qui
GRAMMAIRE
sont
des Temps
examiner
Ainsi,
l'intention
rendu
verset
que
dans
la traduction
cette
nuance
hbreu
un
l'autre
l'action
du pass
en
l'ont
cration
servant
verbes
qui conviendrait
son action
transitive.
des
avoir
elles
se forment.
doit
entendre
mination
ainsi
relatives
Mais
par
j'ai
<
jugeant
t'~&CMM?,
fait
commun.
Les
trait
nn'on
que
des
vois
galement
A/'OM~
connaitre
et
grammainom
ne
pour
comman-
examiner,
dsirer,
on lui
pas pourquoi
toutes
ces affections
d<*va!t entendre
en parlant
sont
les
il ne mere~te
avant
Personnes
Relations
des i~~OWM~/WWMMMMC~.
quelles
au Temps,
personnels
c'tait
je ne
a l'un
Ce
impratif.
sert
qu'il
ainsi
participe
en
in
il est essentiel
les trois
de pronoms
a fxnlifptff
naies,
2~7~~
hbraques,
Lorsque
lien
parce
pour
Aprs
encore
souvent
et qui peindrait
Formation
il existe
on l'emploie
aussi
et mme- pour
supplier,
nom
en parlant
toujours
un
exprim
existait,
servirait
t qu'on
con-
K*Q
TT
<7e~M!, j'ai bien
je t'ai
<roM.H~,
nomm
improprement
qu'autan
demander,
parler,
et qu'il
de
comme
mais
de
au futur,
me
antrieure.
j'appelle
que
des choses.
irrsistiblement
s'en
lui- conviendrait
refuserait
leur
dtermin
tout,
le Verbe
par
!Tr~!T)
je viens
dont
Temps,
modernes
riens,
d'une
Temps
Temps
il est
avant
pour
comme
c~
le Verbe
par
troisime
transporter
avait
car
vident
objet
de Moyse,
Ih,
signifiait
correcte';
les deux
Outre
dans
antcdente
de la Terre,
j'aie d'abord,
quoique
le mot
mot franais,
de la Cosmogonie
ce verbe
senti
der
un. exemple,
i l'usage,
du premier
des Temps
dfinis. Il faut,
et la situation
respective
par
de l'crivain
donner
pour
former
vagaes,
HEBRAQUE,
qu'
dire comment
de rappeler
tout,
des
modifications
ce qu'on
pronominales.
je ne me
et relatiis,
p:
sous
connues
nominales,
trois
du Verbe,
suis point
Personnes
que
la dno-
ces dtails
arrt
pronom!
seraient
CHAP.
d'autant
placs
plus convenablement
comme
considrer
la Personne,
une
et le Temps
La Personne
mouvement
sont
ne
l'une
jamais
moment
a ses
hbraque
tire
du
tracs,
avoir
pour
non
des
la voix reoit
comme
les images
des
les symboles;
lopp
parties
de la parole
chacun
d'eux
agit
don~ner
il doit
lever
ver-
la Langue
driver
tout
en-
n'agissent
plus
dans
le
en~n
m'ont
dont
ils
in-
chaque
distinguer
de la parole,
le Verbe,
dont
ides
diverses
vocales
le geste,
suit
les trois
par
la Relation.
le sentiment
accentuer
l-
celle
o
m'a
exemple,
l'accent
Verbe
dans
cependant
La voix,
dans
et le geste
usage
la voix
ensemble,
des
ces caractres
inflexions
et purement
les inflexions
de ces parties
seule
particulirement.
le Nom,
faisant
des
reprsent
une
de vie
Ainsi
dit,
caractres
et vivantes
par
de l'homme.
aux
la
je les considrais,
que
symboliques
accompagne
du discours,
le Nom,
essentiellement
dans
si Fhomme,
ramener
m'attachant
d'abord
aussi
ait pas
n'y
quoiqu'il
caractre,
de
dnues
au moyen
ils m'ont
mens
paru
organes
ncessairement
les trois
j'ai pu,
hardi
en
exprimes
la voix,
reprsent
est
forme
s<Mt passif
du signe,
quelconques
du langage,
flexion
de
des verbes.
qu'une
en la faisant
entendre,
figures
gnratrices
sont
tait
et le
que la forme
car il n'est pas plus
du Temps
actif,
la puissance
ma~
toujours
fait
assez
matrielles,
que
hors
constitutifs,
dvelopper
comme
modifications
insparables
sans l'autre
parait
dessein
avait trois
lments
naturels
je vis que le signe
et les Caractres
tracs.
Je me souviens
de l'avoir
signe,
et je crois
mon
que
aussi
le dessein
je conus
principes
le Geste,
Voix,
plus
<,g
des quatre
de concevoir
une Personne
possible
au mouvement
soit
bale trangre
An
m.
Vm,
davantage
ou
vocal,
En sorte
le
que
de la nature,
le Nom,
Jo
et
geste.
tivcs,
les pronoms
poser
firme
les adverbes
qui
de toute
sont
des
espce
relations
qui
sont
adverbiales,
des
relations
entranent
nomjmacs,.
toujours.
120
GRAMMAIRE
avec
eux un
cette
concidence
de tous
par
du geste,
et il n'avait
a eu
relatif
en se montrant
Le
c'est
~JK
jMot,
seconde
geste
tre
ou relatif,
tre
autre,
quelquefois
Ces pronoms
lesnoms
qu'Us
et
tion,
s'tre
Aprs
avant
ils se placent
A ce moyen
le gnie
dcoule
avoir
leYerbe,
afin
d'exprimer
aussi
est dj
simple
en
hbraque
de la puissance
qu'nergique
un autre
ajoute
du signe.
C'est
former
franais,
comme
au genre,
connatre
sous
ces
ils servent
en
d'atten-
digne
tre
point
dsignant
Pour
c'est
Hin
soumis
ainsi
le pass,
par 'a :que
(b).
confondus
verbe
au devant.du
le futur
le geste
Court-de-Gebclin
ne pouvoir
lieu.
la Personne,
avant
dsignent
le discours,
Je les ai fait
ils se placent
la
sont
de quelle manire
des verbes. C'est une chose
de manire
produit
le pronom
ici l'origine,
de
ou
ou Zt~,
j'explique
la sagacit
Je,
mutuel;
dont
de former
qui jdoit
aprs
mutuel
hbraque.
dans
des
autre
personne
tre
personne,
comme
dans
remplacent
verbaux,
l'action
un
tou-
mutuel,
identique,
le pronom
chapp
il est question
quand
c'est
!inK
r
des articles.
contractes
lesafHxes
tour
pas
rapporte
accompagnant
la distinction
dans
le Temps
n'a
qui
la source
des anciens,
la premire
se manifeste
le geste
relatif
et l'inflexion
dterminer
ooscrvc
d)a
d'y placer
produit
la troisime
personnels,
C'est
tour
7u/,
quelquefois
absolu
comme
rapports.
hbreu
ou
produit
substantifs
au nombre
qui
7~
personne,
autre
divers
identique
un
hsit
cela.
nominales,
personnes,
pas
avait
(~).
en
raison
Harris
en cela la doctrine
suivant
les relations
trois
avec
ou sous-entendu.
et Priscien
Apollonius
jours
un
exprim
les pronoms,
Harris
ou
geste
HBRAQUE,
nominal
la Personne
au contraire,
l'action
qu'ils
faite.
de pein
qui
verbaux,
drc les Temps
ne Fest pas moins,
et qui
de laisser
subsister
!e futur
dans
`
(a)
~K/
(~)
tj.~bptin
Ilerms,
L!v.
I,
chap.
5. Prise.
Liv.
H., chap.
G~<M/!Mn*
~K/t'.
nus
q~ciq~e
5. AppoU.
Liv. XII.
~e
ma!
exy'tcatioa
quoiqu'il
le rapport
des Tem"s,
sous
est
que ce qn'H
Yeut dire
que )<' t~M.
se
soit
on
trompd
voit bien
ex~ctemcHt
ce
CHAP
le signe
tout-a-fait
racine
est cause
pass
donner
eu
Voici
former
du
les Temps
cette
TS
homme,
i<
(HM<c~M
tu,iemme.
~~e/~tKM
il.
S
S
tS
Pass
homme.
~'t
<,
t~/M/:tM
tu,
femme.
n3'M
Ze
M<fCH~
T. I.
femmes.
i).
cUcs-
~r&<
)
/13
MOUS
t)~
Mft~-/t//
d!c
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sorte
/M~~<
il
OM~CM/M
une
Yous~hommc~.
'3/'{
tU~
tient
t~7M'/tM
}~
parle
*)~
*))
placs
masculin
ne
nous
vous,
)"
~J-)
(M~CK/M
t<
Je
personnels,
Les ~~M
fnairain
appartiendrait
~ir&~
elle
< ma~CM/H
ne recla-
verbaux.
tu,
~MMM
et de n'a-
pronoms
t~~WWt
o t~M~CM~'M t
{;
les
prennent
je-
~MM~cM/t'H
est d'avoir
nominal
priorit
ont
f 7Ha~CK/Mt
}K
~~K!'M<M
lui
de tous.
(~K
erreur
que si le verbe
simple
( MM~CM/M
j~
Leur
o il commence,
celui
per-
et qu'iis
hbraque
les Temps,
Les .M~M.FM/Mr/~c<~<~<M</e
t{
verbe
avec
caractre
la troisime
gnralement
pourvoir
le plus
nouveau
pris
les dictionnaires.
sur tous
comme
quel
tous
de critique
assez
au transitif,
racine
o il nnit
la priorit,
pas
ont
dans
le moment
pas
pour
la
pour
ce rang
confondu
mait
les hbrasans
que
du
sonne
voir
t,
ne ditere
en rien de la
sans pronom
au masculin,
qui se trouve
ou du compos
d'o
drive le Verbe.
Cette simplicit
apparente
Temps
fait
t2t
le verbe
et non content
nominal
(pu constitue
dans
If facultatif
comme
de le faire
fini,
disparatre
en sorte
dans le passe
de ce
que la troisime
personne
lumineux
retondu'
de
H!
VU!,
~w</<~
puim
dec
afuxc:!
du
de
miiicu
entre
te
transitif,
futur
parce
et
le
passe,
vous.
hommes.
vous,
femmes.
ils I!s
~jeUcs
que
n'a
ce
Temps,
qu!
<rafuxes
point
tC
t23
GRAMMAmR
proprement
cle l'autre
Les
mais
parler,
dsinences
des
ne
hbraques
connaissent
dans
soit
Vt'rbale,
dans
J<*y~M,
solue
comme
est
,/a/~j~
comme
les modincationsvoutiveset
par
Je '~M
~re,
teint
/~M,
visiblement
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dans un futur,
~y,
et ensuite
les trois
bien
Temps
nominal
ce transport
un
futur
caractrises
dans
le moyen
mais
de
./<* z'~?/M
ce mme
et du futur.
l'autre
pas
du Temps;
indfini,
Le
mais
d'abord
si
un
pass
Veut-on
mme
n'a
no-
transitif
Temps
on
le transitif,
dlicates
Il n'est
trouve
marque
un futur
dans
a cet gard
les plus
VoU bien
de l'un
faction
est
des verbes.
n'ait
Je '~M~ ~oMr~MT~.
du pass,
du prsent
des couleurs
transporte
est un
exemple,
j~c,
faudra
les couleurs
qu'elle
lorsqu'elle
~Mc~'oM
/?
~Me~MK'~O~;
nuances
apport
et irr-
soit
franaise
des
comme
~M~j~~c,
temporelles
verbe nominal,
o elle n'ait
jusqu'au
il n'est pas jusqu'au
transitif
Temps
nuancer.
ou rsolue
est dubitative,
Il
que
peignons
faction
relativement
dans~j~aK~
colore
Elle
inepuisaUe.
nous
Je ferais;
~MC~t'MMC~~;
la Langue
etc.
/<
richesse
minal
et
ce
surplus,
desquels
lorsqu'elle
JaHr~~aof,
<yM~M,
au
est influente
soit
Je ferai;
~Mc~
toutes
de l'un
emprunte
point,
au moyen
de la volont
volont
dansJ~cM~c~~
ou contrainte
Ilfallait
/<r<~<7/~
cette
lorsque
influence
d'une
qu'il
Temps.
verbes
nous
HBRAQUE,
qu'a
dire
idiomatique
l'un
l'autre,
ou
influenc.
nomm
d~s
mcns,
p!us
peut
pour
peindre
enfin
pour
le 6~oMc/~
hn!s
eu
frapp;
Aprs
le mode
!cs appuyant
toutes
de (juc!qu~
peuvent
d'opposer
volitif,
c primer
verbales,
conjugaisons
~ic:. <
c'est
faire,
ce
que
ces donnes
selon
leurs
remarques
s'y rencontrer.
nos
sur
ont
grammairiens
aux
modles
et leurs
monve-
je passe
formes
vagues
influant
!es
anomalies
les
ta3
CHAP IX,
X.
CHAPITRE
.Des
C'CM/f/~YMOTM.
. I.
radicale.
Cwt/H~MOM
POSITIVE.
FORME
PASSIF.
MOUVEMENT
ACTIF.
MOUVEMENT
FACULTATIF.
CONTtNU<
CONTINU.
ou
m~c.
ap.
Bip
n?1'!?
m~o.
~trecoosoMant.
devenant
dp~
~~e cousoUdante.
devenant
niplp~
consolid.
consolide.
TNt.
M<MC.
~M.
~~s
consolide.
~tre
consoMJe.
Q*M
nQlp
VERBE
NOMINAL.
1
<
Q<)pconsoM<:r:rMHon<et~
coueoMer.
C31?
coK~y.
VERBE
t CCK<
Q~l'~t-oti~t~consol!
TEMPOREL.
FUTTR.
f,
~'j.}
1
(~
g
~(~
(~
le
consoliderai.
~}~{
je
~c!.cra!con)Mc.
serai conso~cc.
seras consuii~.
C=tT:n)
tu
consoltderas,
')_~uconsoMera9.
~~?~!
Q~
Itc.ns.Mcra.
QtMeUeco~UJcta.
''F~
f fi
J~
J
(~
tu seras
)~~tu~asconso!:J<'t..
i_con'chd~
Q~cMc~ac.o~Mcc.
t6.
GRAMMAIRE
,24
H.BRAIQUE;
f~t.)
nous consoliderons.
"S
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R
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C~?9
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J.}
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~'?P)vouscoMoMerez.
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X
(C 3\ (~
consolideront.
'i~l'R~
~M.
consoMcront.
ils cousolideront.
c~s
1r!3Qt?~
~Y~1jr~
(aou;seroM<:onsoUJ&.
eonsotitlecs.
fnom
nous serons consolidcies.
i')
~''
IQIPn
consolids.
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~p'
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TRAt<StT!F.
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soyez consoMcs.
consoMccs.
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cip~
na,
(~
i'!N')p3
t;
(M.!
i)~f.
"~i
tais consolide.
comsohdtQtM.
il tait. consolid.
H~taitcousoMe.
eHe~taitcoMoMJe.
fnoQ&~ttonf
(M.)
consolides.
'j/:('P?)noastioMcoisoM~.
vous tiez
("OD')Q*)?3
r~.
vous consoMiez.
(HscousoUda!cnt.
tw.)
~tcUesconsoMaicat
cllcs consoliaaient [.
eH
L/~
consoM<<
tiez consouuces.
'!T)~?3
3{
S
conso!!d<
')')d1M
miSIPS
S\3<
S
(~'
'5
consolidais.
~}m
consolid.
consoMd~.
fj'ctajs
fM.)
f Us Etaient
T~~eUes
taient
consot:J~.
coosoUdcs.
CHAP.
FORME
X,
~5
INTENSITtVE
ACTIF,
MOUVEMENi
PASStF.
MOUVEMENT
t
f
<.
FACULTATIF.
COKTNC.
COKTtNP.
t
M!~c.
/M<MC.
cnsolidant,
E3!31pXp
consoItJaute,
HD~IpP
avec
conso!idd~
QQIpD
consolids,
r!QG1p!3
avec
nergie.
F!Nt.
1
M<M.
Jacrgio
1.
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VERBE
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TEMPOREL.
F~TCR.~
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fjesera!conso!iJ~oucon-
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nous consoliderons,
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*)]QQ')pP
YousconsoMcrcx,
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avpccu.rg.e.
tDQ1p~i!scotMoMerout,
elles consolideront,
MM~Ipn
avcccucrgic.
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oucotisoM<!c,
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avec cnergic.
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elle
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C~'P~
')~)2mn
~J~n~~lpP
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nergie.
1IOUS serons
(nous
(w.)
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S
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~.f.
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(M.
cozzsolidce,
coMsotidcc,
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COI1WIiJt:1i
ou consohdt:c$,
tou
consolidcs,
vous
serez
consotide!
ou
ouconsotidees,
consolides,
i~seroMtcansotides.
')T)Q1p~
U'nM~1p!'1
eUesserouteon~tidecs.
avec
eucr~te.
<
GRAMMAIRE
t26
HBRAQUE,
T~AN8tT!F.
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.9
'~?Lon.oM.avcc<!ucrg!c.~J~
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(/t-'w.
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7
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E=~p.!c~couso!i~
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~ec~e~c.
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13D~1?
L~
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g
(S
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~}
dons
consolida,
""~ consotMions,
'~}~~(~
(w.
J~
cousotidcc.
c0l1s01idl:,
~~p.uc.u~.d~,
n~pcnec.J
~*f
ou
~j~cous<
tu
~?r'"
(~
n'dtai!.conso!idc,
P~')
f~)
O~CiIp).
~i~
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(itix'onsoliJ.~cnt,
'?(cU~coMoUJatcnt,
avec ca~rgio-
;)
~~)
tiez
cousot)J<<<
CP~CIp
'!5~p
co~oMce.,
(UsdtaleatconsoM~,
'P~ct~dtMontcousoMcM.
avec nergie,
CHAP.
tX,
POHME
!37
EXCTATVE
MOUVEMENT
01JVJo:l\1
ENT ACTIF.
i
ACTIF:T"MU.Uv~T
MOUVEMENt'
1\1
PASS~.
pASSiF.
FACULtATty.
CONTtttU.
w<w.
CONTINU.
excitant
M<w.
consolider,
G~P
cxdtame
~~p?
e&cittS~coMoMcr,
cxem!c & consohder:
Qp~
}t consoMcr
np~lQ
f~iiiaat
eotMuMder,
t~it consolider.
F~t<
M<M.)
comme
V~RBE
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E3?!?
au passif
NOMINAL.
~'recM!so!ider,
fOM.<r.
d'exdter
l'action
&
constr.
coM~.
.ond~ccxdtJ,
~1 ~n
f'
)1
ccnsolidar.
coMotider.
coasolider.
VBRBE
TEMPOREL.
FUTUR.
is
-g
(w.)
fers~i consolider,
jo
S~Mjc&raicoMoUJct-,
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~o
tu fera:,
'}
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') (~t
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J"
~t~
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Ir:;
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Cetera,
C~
.,("
C3~
Gp*)~
consolider.
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C~p~
j[erou: coNsolider,
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y
-c ~{
VOUSterez,
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C)3i.!
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(oucxcttt't:stn'oni,otittc~
'))?R1D
n~in
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n~G~H'l
~'<'m
"f'<
excita,
causes,
'<'t-<'t<t<~n.t(,!j~
cMes seront
cxcUcc~
couau~tict.
HBRAQUE,
GRAMMAYRE
TN~N<!t!F.
0~e.~Mcr.
t.{~f~-
~pnL~
~j~.
~{~
K
n~?)
AS9E.
'
fM.)
j'tais
excit,
je faisais consolider,
!P~
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tu fasros,
t
~~Lf~
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~}~~{
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tMt.
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3
~(~
elle
ppptn
ouexcUcc,
i!faisait,
il faisait
faisait,
(M-
CPin
il~aitc~cit,
ou excite,
n~n
~{~
~conso!idfr.
fnoastiomcxcims,
~t.)
tM
'[niD~~as
excit,
')P~n
:<:onso!id<:r.
t}
tais
faisions,
ou excites,
'~}'n~
f;
(~
(M.)~D~r!)
3~~
~?.in
(M)
titsiatsaient,
i
''D~t,
ou excita,
(itiitatcntexd~~
is~n
.uc~e~
consolider.
consolider.
FORME
MOUVt.MENS
IX,
CHAP.
t~9
RFLCHIE.
ACTIF
ET
PASSIF
RKUMS.
FACULTATIF.
7M<M.
E
s
ou sc fittsaut
.m.
s
u
E
E
se couso!idant,
QQ~pDQ
HQDIpD~
fM<M.)
)~ fnr.
manque.
mauquc.
f
VERBE
a~o/.
co/t~<r.
consolider.
NOMt~AI..
f se
} apipnrt~
)
ou
consolider,
se faire consolider.
L'action
VEBBE
de se consoUJer.
TENPORB.
FUTUm.
'3
GQ1DDK
jcmoconsoMerat,
fe
a
rruas.
(j~M.
fnMt.
SPIPH~
(~M.
C3p1p!'1p
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')'
GQmTII
'S
'
'
aj
a<
fHM~
( M<
fS
T.L
} m te consolideras
'f"
~ip~J
?
taaipnr))
~<j'.
t')Qdp~
nySQlpP?
il se consolidera,
elle sc consolidara.
'7
t3o
GRAMMAIRE
HBRAQUE,
TRANSITIF.
tM<M.
2
c~isnn)
taQipnr!)
S~\
t~ fent.
n~ip~j
eoM.Mc-toi.
consolide-toi.
''i
~~Y31~T1
~Pip~)
f~
g4
<
consolide~-vous.
~consohdez-voas.
1
BASSJ6.
g
'3
l:i)
=
's
fM<M.)
{fG~llJ~ Pp~lpP~!
f M~.
~QDinnn)(
(~
''T")~
!?~ipn~)
t~H.
g
g
eHeseeMisoUdait.
f~p~
)ty~~j
f Ma~.
"tsecoMoMa:t,
nQ~tp~n
rnas. QnQQmnn
nn~ni~n~)
t~
teeonsoMfus,
CQIprtr!
g~
'
jg
Je me consoMais,
je
consolidais~
n~
vons voas
vous
vous
conso!idiez,
consolidiez,
~aipr'n'
m<M.
~t.
ils
~9''P~~
se
M consolidaient,
consolidaient,*
se consolidaient.
elles
CHAP
sur
JR~M~M~
J'ai
assez
verbes
doit
en
qui
racine.
Celui
choisissent
tre
choisi
j'ai
que
de toute
la moindre
dans
Le signe
mes
P est,
ou rprimante,
comme
ceux
servir
est
pour
le sens
C'est
hbraque.
Le latin
Comme
notes,
je vais me
comme
nous
aurai
borner
le savons,
de l'existence
de la
directement
de type
les hbrat'sans.
acceptions.
l'image
offre une
se forment
qui
me
pour
la Langue
de ses
t3t
traitent
que les hbra~ans
la premire
de toutes.
Les
Conjugaison,
sont
dpendent
I.
la Co~Kg~aMOM J~tSeaA?.
considre
ordinairement
difficiles
parler
cette
dit pourquoi
d'Irrgulire,
!X,
le mme
que
des plus
un
~M~r~
n'exprime
que
souvent
occasion
d'en
une
simple
analyse.
celui de la force agglomrante,
le moyen
des Formes.
suivant
qu'il commence
matrielle,
ce signe
dIHrente,
expression
comme
dans pn, par
la racine
ou qu'il la termine.
S'il la termine,
il caractrise
tout ce qui est fini, dfini,
li, arrt,
coup,
exemple,
comme
taill
~urun modle,
dessin:s'il
le commence,
dans~~ou~p,
Or,
il dsigne
le premier
matire
dans
tout
ce qui
c'est
cas,
propre
le mot
en gnral
qui dcoulent
~M<M~r,
ou
M?
y~M~r;
expression
du sens
jours
suivre,
que
'lever dans
tant
tous
dernire
formes
pour
les verbes
reprsente
exprime
car
et de l'intention
auxquelles
cette
cette
verbes
expression
telles
ne les reoivent
que
ides
sub-
subsister,
eo~M/~cr;
combien
hbraques
rsalte
tou-
de Fcrivain.
Conjugaison
revtue
les
toutes
de ~M&~&MC~, consolider,
cet exemple,
sentir,
d'aprs
les
la
la ~M&~o/M~,
et
restreindre
c'est
racine,
en ~M~ancc,
exister
l'espace;
Dans
le second,
et de ses modifications
de forme
etc. On doit
aux quatre
Cette
du signe
collectif,
Q~?
elle
comme
verbe
de la phrase
dans
en oeuvre;
en uvre.
de
dangereux
fixe et dtermine
une
je prvienne,
mise
informe.
indtermin,
vague,
mise
employe
de la substance
renforcer,
~s~TM~
il est difficile
et
Quant
indfini,
la matire
tre
tendre,
consister,
est
que
pas
pour
StP,
celles
il faut que
qui
indiffremment;
vont
que
i7-
i32
GRAMMAIRE
les uns
affectionnent
mme
une
une
plus
ne rencontre
qu'on
HBRAQUE,
Forme
sous
jamais
la Forme
ces variations?
qu'Importent
mais de le comprendre.
fois
i'hbreu,
et qu'enfin
l'autre,
que
il y en a
Mais encore
positive.
il n'est
pas
d'crire
question
.F~TMC ~0~*.
JMbM<~M~<K'
Quoiquelesmodernes
sans exemple,
aient pris la troisime
de tous
les verbes,
cette
gaison,
trouve-t-on
thme
dicaux,
ils sont
troisime
dans
forcs
de convenir
que,
nullement
n'est
personne
dictionnaires
les
hbrasans.paruncbizarrerie
du pass pour
personne
dans
thme
cette
conjuaussi
thmatique
comme
Q~P prsent
ce qui devrait
non seulement
tous les verbes,
ratre,
pour
de quelque
mais pour tous les autres verbes,
tels que celui-ci,
qu'ils fussent
continu
Le facultatif
le nomMaI
espce
qu'on
le voit
point
constante
point
kametz
dans
que
fini
MgpXa~,
deux
fminin,
mouvemens,
tant
change
lumineux
ainsi
i,
n'est
chaldatque
Au lieu du
ce signe.
le &
dans
J'avertis
continu
et passif,
n en
le caractre
une'
ici,
actif
iy
f!
et
ou
ou
n!Q~
T!Q~ MQ~J
n~
ou TQ*)p.
f~~
en traitant
J'ai dj prvenu
de cette variation,
au chapitre
V, . 3
le pluriel
des facultatifs,
Je m'abstiens
aussi de rapporter
du, genre.
sa formation
n'offre
aucune
difficult.
puisque
qu'on
trouve
ponctuation
de remplacer
ici dans Qp, on rencontre
'T
autres.
et dans
quelques
le facultatif
que
les
pour
La
la manire
qui se trouve
toutes,
du signe
marqu
e~/v brillant.
~K
dans
t7r~ ~Mnc~Mf,
fois pouc
est souvent
galement
Le futur
le transitif
se couvre
On
trouve
r~OMTTM
JR~MMc~
Le pass
serve
!7~~6t/
pourtant
~~0
qui,
quelquefois
fTQ~K J~ co/MO&<&~H~<'
etc.
<oyt~y~H~'<~o~,
par sa nature,
dans
~7iM~~
de l'article
quelques
emphatique
TiMM~nM
doit
aussi
le <a~
substitu
que
!1<3~jRecM/M
le signe lumineux,
perdre
o il est identique
tels
verbes,
etc. On y trouve
ainsi
le conque
*f)K,
au kametz
CHAP
dans
!?MOMyM<. Je
nQ
ni la seconde
premire
le point
Je
intrieur
mourais,
pour
tu
nQ
T
n ne
par
<33
cette
remarque
qui se terminent
les verbes
X,
occasion
doublent
qu'en
ce caractre
pas
du pass,
mais reoivent
personne
On trouve
d'accent
servir
duplicatif
~OtM mouriez,
CFM
~OMrOM,
La mauvaise
dnomination
JMoM~M~M/~o~i~
en tes considrant
avaient
donne
aux facultatifs,
la diffrence
dlicate
existe
qui
les
que
comme
de
tous
la
Seulement
donc
*pp
CtC.
hbran'sans
des participes
de distinguer
fini appartenant
gnral
sentir,
le facultatif
aux deux
d'aprs
en hbreu,
entre
leurs
Q~J;
<~(WM< ou
<7<'<i!<?~<J~M
est
COM~~HC; et QltP, ce ~Mt~A~
tait question,
par exemple,
d'expliquer
Lorsqu'il
avoir
comment
le Verbe
<7*
~yv,
n~MT ou T~n l'action
pouvait
ils se perdaient
dans des interprtations
ridicules.
un facultatif
passif,
ce <7M/</C~
ou sera coM~
Ils ne sentaient
et
pas
n~H! tait
dans
en franais,
que la diffrence
le mouvement
un ~/re tant,
de ces trois
ou fini
continu
facultatifs
comme
vivant;
T!T~1, !m.!
T
nous dirions
M dire ~ce~<e,
KMB chose
~C<~K<
Il est facile de voir,
passif
que
l'autre.
la seule
au surplus,
la ponctuation
On y trouve
chaldaque
presque
partout
du mouvement
inspection
Fa beaucoup
le signe
moins
verbal
dans
altr
que
sa puissance
originelle.
Forme
Cette
a lieu
Forme
caractre
final;
son
Ainsi
le verbe
le verbe
radical,
par
le redoublement
du
en sorte
ainsi que
toujours,
que sa signification
dpend
de la signification
de ce caractre,'comme
signe. Dans le
je l'ai expos,
cas dont il s'agit,
lectif,
dans
Ht/~M~C.
le caractre
redoublement
Qp~p,
final
exprime
considr
comme
un envahissement
subit
tant
selon
la circonstance,
t34
GRAMMAIRE
J'~H~K!
HBRAQUE,
~M&~MCC ~MM<* Mt<M~cn: universelle
WO~&MMMH~,ifjfe~M&CH
de roH~K~~b~T~M~,
de po~o/~cr~
t'~e ~~tf;
etc.
poser !~OMr~~<*wc~
Ce verbe,
en cet tat, se confondrait
si le signe
l'tait
il l'est,
en
lui
ont
trouve
d'ailleurs
quelques
Forme
consiste
substituer
de la lumire
a celui
Meu de 0?~
dans
.intensitive
Le
des
verbes
mouvement
est
peu
on
qu'au
remarque,
te verbe
actif,
est
de
ses
parl
dans
cet exemple,
et de la dure
ty{? au
final,
tout
mais
CM~~Mc~
caractre
le dernier
la racine
de
comme
cnt'ero,
ces sortes
et
conjugaison,
de
de vefbcs
suivent
en
remarquable
du
mouvement
la Forme
soi
la trs
que
ce
actif;
qui
fait
~t?caf~/M'<?.
tant
d~une
effets
observation
actif,
que
quelquefois
et le point
le point
~MM&:
mouvement
sa
dans
passif
la langue
de
construction.
convertible
que lesigne
jaie faire,
au
utilit
grande
et de
en t, dans
Op, se change
le mouvement
avant
passif,
substitue
mouvement
double
caractrise,
dj
radical
dans
transpose
La seule
daque
parfaitement
mouvement
J'ai
Cette
employ.
Forme
Moyse.
on
dont
drives.
~~M
Cette
assez
hbreux.
le caractre
de doubler
n'a rien
passif
de le distinguer
diflicult
grande
qu'il
content
la seconde
alors
appartiennent
des
?'M/~r.
etc.
dansC~p)
<M~<~r, coK~o/MM~
7~?~
i
TPS
cette forme
chadaqu~,
le Spher
doubler
~c
comme
la racine,
pas
du
comme
dans
de la manifestation
sans
dire,
tire
dans
le signe
tton
aussi,
Quelquefois
une
driv,
caractre
le voit
qu'on
ne trouvant
exemples
et
le premier
aprs
ainsi
aubstitu
a~ lien
~n
plac
e~-
avec un verbe
tacitement
les rabbins,
diffrence,
caractrise,
d'tre
le second,
aprs
cette
malgr
au lieu
verbal,
</<*~~r,
On
t, qui constitue
le mouvement
c'est
<s<~
au signe
le caractre
que
peut
actif,
et se
initial.
la ponctuation
la voyelle-mre
du mouvement
chaidu
passif.
<35
CHAPtX,.
En
sorte
qu'on
t'u
.3~n
/t'w<
le facultatif
trouve
et
rcK'w~;
continu
etc.
ct</<~o/'</<
JP~H<?
Forme ne diCRTe
Cet te
ttou,
que
peut
le voir
Tout
Or
par
ce qu'il
elle
Du
CQIpm
reste
comme
nn
caractristique
les
deux
on
mouvemens
seul.
est essentiel
ce
prouve
de la construc-
sous e rapport
de la syllabe
le nominal
en un
~ccA~.
del'intensitive,
Fadditton
dans
runis
y sont
ot se
c~Ac
0)?r< <7/M<
le pass
mme
le iu-
irriter;
1Bp~M<M~
d'observer
les
que
est relatif
hbrasans
cette
rn
syllabe
et la
la ~~ce~e
appellent
Mf/M//tC~.
La syncope
dans
a lieu
le facultatif
se trouve
ant
par !Q ou
on suprime
qui le supple
par U,
se ~M~!cr.
La mtathse
des quatre
et dans
QQtprtQ)
remplac
consonnnnce,
a lieu
suivans
se transpose
n~~r
p~
~0
le
quand
qu'oti
tre
T
juste.
iermer.
a~pr~ter:
caractres
le futur
QQ~DM,
caractre
rtt
le point
pour
peut
Snitial,
le voir
ou le caractre
viter
en se
dans
une mauvaise
verbe
d'un
verbe
caractristique
changeant
les verbes
seioacr.
n~M~M
se )MstMier.
t?'*M~n
~~rcn
se fermer.
s'apprter.
~QW!
f.p.
commendans
comme
intrieur
comme
s'eHace,
devautun
le premier
caractre
Alors le 1 de h syllabe
exalte.
ioMer,
deux
lorsque
de ce caractre
ainsi
des
ou bien
par
D < X<
la suite
et en U aprs
en exemples.
l'un
lorsque
en
"ntan
est
l'un
nn <
aprs t,
drives
cits
~G
GRAMMAIRE
HBRAQUE,
IL
J9<'h<'<'<
Cb~KgMMOM
FORME
POSITIVE.
ACTIF.
MOUVEMENT
PASSIF
MOUVEMENT
)
FACUt.TAT~F.
COKTNP.
CONTINU.
tM~c.
~tre visitant,
tp~B
/SN.
oa visitante
M~IS
~PMr.
m<MC.
devenant
visit,
ou visite.
~<.
M'TBM
FtNY.
M<MC.
tre
'~p5
visit,
ou
~M.
visite.
nTtpS
M..d~revMt<
YMter/racti~Jef~~ Y~ter.
1~$
<WM~.
d'c!tre
l'~tion
!coKr.)
VERBE
l'
~ERtE~pMMfAt..
TEMPOREL.
).
FPTCR.
n
'{~
Se
t/*7
T?~
~-j~
je ~siterai;
ou
~~}
fM.
tpBP
citeras,
J' t/
< M.
tlp~
'~pj~
n~P
'~P~L
nip9p)
VM:tera
eUevMite~.
J!
aoa! visserons,
(~.
visiterez,
~f(~ ~rP:~M.}vons
nynps~~
ils visiteront,
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('
("
tip~L~
IS
<S
eUesvMteMnt.
visiteront,
n~1p9P
YMit<
ouviM~c,
~P
fnotMseroms
~{
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.s,
vous
serez
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*)tp~~
ou visites,
n~~
M.
'S
seras
oayM~e.
)j:
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J!
tu
~Sta<etaviHt~,
<M.)
TtpM
l'
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~i~
')'?P~
itseeront
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oa~isHes.
n~~
v&it,
CHAP.
. IL
!X,
,3y
TRANStTtF.
'3
(M<
S~{
{masc.
(~.
g
T)pB)
"t~~vMte,
ou
!-3
~~p)
n?~~
(M.
'nps)
}VMttez,
ns'MM)
soyez
nDB!
p
9\ {~
SOM vis!t<~
*~pB~
fMOt.fC.
)j3
visitJe.
visits,
ouYiNtes.
~p~~
FASSE.
~J~}
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je visitais,
~tM
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's!
(~.
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3{"
=.
elle
visitait.
'aa;~M.
j !3
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(~
~f~)
!T~p.~
n'R~~
il ~ta't
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tait
visite:
visite.
nous vivons,
U'~ <
st
~')/-
'??~
ft~
t~
~pB
ou
v isitea
ouvisHe,
n'~
~?9
visitait.,
T!?.B~
ouviti~ej,
~Tp.B9
} tu visitais,
3
T:j~
vousvisitiez,
vous
VIsItIez,
J~)~~J~
j
('
ou
m'n~B~
Zi1`j~~
~9~
ou
vous
visites,
vM~es,
tiez
visita,
ou visites,
'!?'??B~
(ik visitaient.
(~)
T. 1.
"{eUes
visitaient.
3~}
(7-
~{"'
telles
taient
visite*.
t8
GRAMMAIRE
t38
HBRAQUE,
FORME
NTENSITVE.
ACTIF.
MOUVEMENT
MOUVEMENT
PASSIF.
FACULTA.TtF.
COttTtNC.
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<M<M.
TSB~
/f/M.
visitant,
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m~X?
HMMC.
inspectant,
inspecte,
e~.
e~c.
avec
visite,
tpSQ
T
n'~3
visite,
assiduit.
avec
assiduit.
ritf.
mas.
*H35
h:
~CM.
mpB
VERBE
absol.
visite
avec assiduit.
NOMINAL.
assiduit.
'(avec
inspect,
de visiter
< Faction
coK~.)
visit,
VERBE
<o~.
coM~.
d'tre
faction
visi~
assiduit.
7'(avec
f
TEMPOREL.
FPTTJR.
~?~.
(M.)
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~M.
3
f.
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lit.
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tu vi:;iteras.
viyiteras.
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assiduit.
't/
fH!.
visits,
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~~{
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ils visiteront,
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!='=~vous
rt9-)
-p.5P<
assiduit.
serons
nous
'~}
~'3B~
S
visite,
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t'TSBn)
(M.
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sera
visiterez,
..{
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ou visite,
*?p5n
( M. t
nous
.<
~~P
elle visitera,
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avec
(M.)
t
t
~)
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visitera!.
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T~sn)
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tw.
')~B)
i!s
p
visits,
visites,
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visits.
3\
visiteront,
avec
assiduit.
n3'?~9ri
cites
seront
aveeaMidnit~.
visite:,
CHAP
IX,
. Il.
t3<~
TBA!<8)Tt!
inspecte,
-<
)~}vtS)tc,
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assiduit.
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}vKttcz,
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jnanqncnt.
i.11~IlIqlleilt.
inspectez,
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avec
assiduit.
1 pq
FASSE.
(")
~~F~
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'~S~iIvM.itait~
3
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elle
avec assiduit.
tu
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visi
te,
ou
ouvisite,
visite,
il tait
iltaitvisit,
visit
~pB
m.
cUetait visite~f
avec assiduit.
!TpB
tions
f nous
fM.~
(M.)
nous
tj'taisvisit,
}e v~taM,
visites,
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j~i
f~a.
(M.
d
S
s
g
(~
P~j
')tM<
ti!s
e!j~
~.)
tS
(~
ils
1
visitaient,
avec
assiduit.
visites,
ou visites,
'!P7~
tiez
CP~pB
S
visitaient,
3{ fM.t
(~ )
vous
('
E3r~p9)
*)~vousvtStUez.
ia
)
taient
~~s
visites,
taient
avec
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asdJuit.
j8.
GRAMMAIRE
~o
HBRAQUE,
EXCITATIVE.
FORME
ACTIF.
MOUVEMENT
PASSIF.
MOUVEMENT
)
FACULTATIF.
CNTtNC.
CONTINS.
M<M<
excitant
t~99
M<MC.
a visiter,
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HTpSS
faisant
a visiter,
excit
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excita
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tp~Q
~K.
!T!1B50
Il
visiter.
fait
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rN.
]M<M.
<
t
J~M.
faire
t~i-t
eoM~r.
au
passu. .f
t.<t*'J
VERBE
e~o~
comme
YMiter,
NOMJfAt..
l'action
o~~o~
H'act:on
)
t'(
eoK~r.)
d'exdteravi'ter.
VEnBE
d~tre
e~dt
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TEMPOREL.
FUTUR.
t/'s
a
f~.
fM.
i~
ierMvmter,
~P~
~~)
~}
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TMIt)
t~
n~~)
(M.
(~
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('
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f)e serai
(M!
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T'p$peU<?&ra
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(M.
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ou:
Vtsttcr,
'i
'
n~M!3
e!!cs
feront
Ymter.
s
6
p~
'F?~
(~)
/voa5iercz,
tTp~
tu seras exdt,
ou excite,
it sera excite,
sera excite,
(nous
~)
(w.
~MP)
ils feront
visiter,
a visiter.
(H'.
ou excite
'TB~P
visiter.
ferons
excita,
'p~M
~IP~
f'M'
3{
(~
~'TB~
"('T!
serons
excits,
visiter,
ou excites
excites,
eUes seront
n~P$!p
visiter.
excites,
excUes,
&
CHAP.
.4.
. II.
IX,
TRAtfStTTtF.
f~KMC.
'g
*t'pBn
&9<
.3 (~e~
fein
fais visiter,
e$cite
excite
)t~~n
a visiter.
v isiter.
fM<MC.
"3
1'
Jf2
-j6pa<a~ nrasc.
manquent.
faM~c.
2 (~H.
fcin.
*)'~)p~
iMtcs visiter,
excitez
n~.M~
;r`~i
-3
visiter.
~M.fC.
1~J
PASSE.
tfM.l
faisais
i
visiter,
c
'S
(na.
d~{
f.
')~}~
fM.
'ufaisai~
fM.
TpSf'!
(~
fi
T(~
mp.5r!)
g~
(j'taMexdtc,
lit
'Haisait,
!T~~5!? 1
fM.
3 f.
visiter,
ou ~MCtte~
es ~itc~e avisiter,
''!M
tu tais excite,
~pSU
ou
ou excite,
excise,
~Br!
x)1F-~:\
il tait
Tp5n 1:
elle
visiter.
f~J
i<
*jS'?pB!
nous
faisions
YtStte,
'
nous
'~)~
ou
vous
~)~
~1~?)
fm.~
~~}
{ni,}
tions
excits,
excises
tiez
elles
(Ha
jEaisaient~
faisaient,
{ils
fuient
Ymter.
(~')
~j~)
excites,
~1~~
fils
i
'1'i~~{
elles
taient
excits
ctaicutexcituct,
Yisiter.
visiter,
excits,
Gmp~n
~J~P~VOUS&i~
ts~it eacite,
excite,
mp9~
visiter.
T!
cxcitd~
H~BRAQ~E,
GRAMMAIRE
t.~2
FORME RFLCHIE
MM;Vt.MENT
ET
ACTIF
PASSIF
RE~S
FACOLTATJF.
se visitant,
citant,
mflS,
~f~.
r,
~rP
'?~T:
){
<J
~pect~nt,
;'in!lpeClant,
se faisant
n~rp
~)
manque.
')
NOM!NAL.
VKBPE
corrstn
~)
COM~. )J?
-f~
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Ire, .e-nf. .1 ou{sese
l'action
visiter
de s'inspecter.
TEMPOREL.'
VERBE
FUTUR.
&
-S
I~FP
visiter
vivrai, li,,
lJ~e
~MnK
J"
<)
visiteras
n~p)
1~.
p~.
'3
J!
~SP~
~(~
(")
cHc
se
visitera.
'n~
U~'J
( MW.
)
IMM
'~evi-iter~
vous v;sitcrc~
~~PP } y~
n?T~5~~
')~
p;
'M~
~c~~iBiteront.
n~P
CHAP.
. II.
IX,
t43
TKANStTtF.
ge~{
}vtSttC-tot.
1 ma$(~
np~r!)
mas.
-s
'c~
S3
(~.
s
'npB~n)
~vMttez-vom.
n~pa~)
FASSE.
t<
M<M.)
&
'sIii
a
.g
'J~~J
visituis,
je
P me visitais,
~rnM!T!
-)''
fM<M.
rn~snn)
~'f~
f
jg 2 (~.
tnta~.
tu ta
tu
te VIsItaIs,
visitais,
T
rnps~~)
Use visitait,
s
T~Brn
elle se visitait.
!T~M!
_j
nias.
nous
miMPH
nous
v'sttion<~
t (y<)
<
(
'o
a<
t~
cm?BD*t
-<:
J~`~~a.
Pt~m)
MMM. )
~M.
'\vou9VousvmHez.
ils
~Sn~
se visitaient,
visitaient.
GRAMMAIRE
'44
sur
Remarques
Je
n'ai
hbraisans
que
donnent
ce verbe
en prsenter
La racine
d'un
se plie
facilement
le sens
tymologique.
mouvement
querait,
par
l'autre,
se ~o~r
l'action
oppose
l'autre
dans
la
racine
des
deux
le mot dont
composer
ou
qui, se rapportant
signifie
de
au
mme
Ainsi
l'ide
autre
car
visitant;
et le verbe
distinct,
del
suivant
toutes
actif
Il faut
les inflexions
moins
alternativement
une
~rc
visiter,
T~B,
pour
ne
par
la
~T
le compos
<A)r<j~oM,
et
expressive
de la main,
en hbreu,
contraire
le facultatif,
nominal
non
le centre
est jointe,
racine
est exprime,
se porte
une
Cette
clairement
au doigt indicateur
de l'abondance
seul, extrait
le rapport
contractes
dans
qui
se prcisant
<~ M/ endroit
passer
y remarque
dont l'un
ouvre
la racine
ici,
en
ide,
On
S et p~
la circonfrence.
Forme
~OM~TM~~
e< ~M~
sous
examen,
un ~c<?7M<WM'M~, etc.
Cette
signifie
abondance
cette
mouvement
un
les
que
Conjugaison
parce
formes.
Je vais seulement
quatre
signes
objet
envisage
ces deux racines
c'est
typique
cette
le pendule.
proprement
racine
d'un
aux
verbalise
il s'agit
tout
figur
la division
de thme
Zo~ a&r
et dessine
tranche
le verbe
changer
il s'lve,
renferme
l'ide gnrale
p*~ sur laquelle
alternatif
le remard'un lieu un autre,
tel qu'on
exemple,
dans
davantage
~7~.
CoH/~aMo~
de
servir
pour
primitive
la
ncessaire
jug
point
HBRAQUE,
*~pS, y dveloppent
d'un
objet un
une
inspection,
inspectant,
examiner,
~M~?,
e.'<MMnaM~
M~~c~,
etc.
positive.
se souvenir
que
de la ponctuation
la ponctuation
vulgaire,
chalda~que
corrompt
trs-
du facultatif
le signe verbal
Ainsi elle supprime
dans ~,5;:)
ou le ~<~M'~
comme
ou le r~o&w,
continu,
et y substitue
troublant..
~3~ ~/yM~H<,
~M~~a~<M~,
f~M/?<;
jO~OMa~,
on trouve
facultatif
ce mme
termm
par le caractre
Quelquefois
isouvent
Ftymotogte.
CHAP.
une
former
pour
de
espce
. Il:
IX,
.45
comme
qualificatif,
dans
~D~,
~o~,
<'M<-A<MM~, subjuguant.
le caractre
Je ne parle plus du fminin
final n en f!, parce
changeant
que c'est une rgle gnrale.
Le nominal
de l'article
se couvre
assez volontiers
!1,
emphatique
surtout
lorsqu'il
constructif
le signe
verbal
encore
supprime
selon
devient
l'action
ici
prvenir
d'enduire,
sans
me
emphatique,
peut
mais
l'un
surtout
qu'il
le rencontre
jusque
rna~
T
~7YH'/
nm~,
t
le verbe
nominal
Lorsque
se fond
voyelle
~ans
la seconde,
ainsi
rassembler,
tT)DH,
rassembleras
~M~oMTTTj~at;
commence
fait
faire
hbrasans,
ou
les
on le remarque
~1,3
~M supprimais
vous
~0&aSc~.S/
~t~
MOM~i!io~M;
difucult~
T. r.
ainsi
fait
dire,
ont voulu
qu'ils
prompts
~'OK
<~H,
~jky~
1QM'!<M<~M;
de cette
faire
disparat
du point
~Ao~e
ou
tu
~n
~&t<n
fait ~j~ je
nourrir,
ra~<?/M&~ra<;
~M~TK~t
cette
du futur,
personne
la troisime
t1D~
relle
/~Mn!~y;
rsulte
du
affixes
avec la dsinence
mais
dans
~Q~
anomalie
appellent
~M~~c~M~M~e
multipler
les difficults,
lgre,
<Z~?A.
ont voulu
des verbes
dont le caractre
final
conjugaison
irrgulirc
tre J ou M, ne se double
en recevant
la dsinence
point
du future.
comme
article
une
aussi
se trouvant
fond
dois
le voit
qu'on
la voyelle-mre
par
de la premire
Je
cet
que
ains!
l,:
et le pass,
et se charge
C1&
!?
ainsi It~M,
etc.
de peindre,
"t
avec l'aJHixe
quelquefois
~OMr owf~e
les modifications
verbales
toutes
et au transitif
On
au nominal
facultatif,
le jfutur
chaldaYque
fn~u?,
1':
T:
de le rpter
besoin
a presque
et l'autre
dans
<~M~r,
soit
s'ajouter
comme
~),
<~OM<7~,
la ponctuation
alors
pass
T!,
rt,T
ourafTSxe,
en se supplant
dans
.M~~h~er,
etc.,
*S
ou
dans
~M habiteront
etc. Rien
ne peut
du~~angcment
n,
~o&~r,
n.3b~)
T T
embarrasser
qui
fait
a Heu
~13
qui
se
intrieur
par le point
qui
~0~
mais
*)J, ENT!, ?t
je
~y~
fait Hj~n
vous-femmes;
l dedans.
La seule
du caractre
j en n,
19
GRAMMAIRE
46
dans
le
etc.,
j'ai
verbe
dj
(lui fait
donner,
~j
HBRAQUE;
de la conjugaison
en traitant
anomalie
cette
remarque
1"U tu ~oMno~;
donnais,
je
'~3
radicale.
Il
existe
lorsque
plus
trois
une
irrgularit
le verbe
se termine
Mais
amplement
d'tre
ce dernier
de ce chapitre
dans
qu'on
mme
de s'arrter
ibis,
de parler
les
dans
m'y
arrter.
quelquefois
dans
l'observe
co~OMM~.
~'<M~OM J'<
~?1
paratre
dit cent
pour
arrive
qm
sentir
substitue
ainsi
passif,
exemple
je l'ai
se fait
chaldafque
ou
rassembl;
comme
est inutile,
la fin
La ponctuation
dans
le nominal
.MoMt'~wM/M~
le i~~
au ~<~A,
l'action
~O~n
On voit dans
comme
celle
il est essentiel
M ou !"h et dont
cette anomalie
par
~'attendrai
conjugaisons,
c'est
considrable
plus
le point
sur une
c~o~MM. Il
chose
qui
au surplus,
remarquer,
rciproque
et mme
mouvement
actif
~&;
y~J
il
superactif,
on
Ainsi,
!?~
jura
que le mouvement
le verbe
lorsque
trouve
*t~J
<MM!
en ~Mo~a~
~n~C
M~Mt~C~.
peut devenir
n'est pas usit dans le
i3 se
garde
lui,
passif
etc.
la
passif,
force
trieur
que
il ne reste
supple
plus pour
la relation
du second
caractre.
les verbes
drivs
Tous
achever
ips verbes
entirement;
~13
reconnaitre
adverbiale,
On doit
cette
trs-rare
nomment
r<~M~m~~
que le point
plus grande
contractes
en /'aM';
quadrilittraux,
dont
Intressante,
en hbreu,
doncyiairela
de deuxracincsnoh
~~&'f<y
forme
parce
in-
attention.
comme
etc.
la
Enfin
qu'ils
~?9
tous
sont
CHAP.
en effet
composs
le signe
verbal
a cette
<), appartiennent
'47
au nominal,
lettres
de quatre
. H.
IX,
sans
y comprendre
et la suivent
forme,
dans
ses
modifications.
verbe
au pass
//6~M~ avec
sans
intensitive
rgime;
le mouvement
elle
quelquefois
donne
parl
caractrise
cipal
effet
est
est question
tre
de faire
sans
C'est
rgime.
facilement
dclara
~tMa,
ce qui
selon
ainsi
impie;
Q~Kn
excita,
~j~
dans
un
que
autre
observer
que
alors
quelquefois,
le mouvement
actif
cesser
son
prin-
sujet
qu'il
la
elle devient
ou passif,
ou
avec
~c&rc~M~,
p"3K1
est assez
lorsque
i~M~o;
tre ro~;
nM~f~b~M~,
Forme
que
cette
forme
c'est--dire
rflchie,
peut
Elle
On sait
il faut
arrive
trouve
qu'on
forme.
le repos;
"7\1
~io/~a;
"!7~n
etc.
~yM</?~e~;
se M~cr
verbale
cependant
pas,
de cette
reconnue.
Faction
agir
n'existe
dclarative,
Outre
excitative.
et de l'usage
de transporter
simplement
y~n
et ~'M~
<M~M/roKF,
de l'utilit
pour
positive
y~lM
sens
un
modifications.
bien
forme
avec rgime
au verbe
contraire
tant
actif,
Forme
assez
"F~S
et K~M
fait t<t3T!
KHonT ac/MM d~cAer,
T T ~~a
JM pch
ainsi \~1*~
~<c~byt de s'enraciner,
fait
T
T
et
suit peu
etc. Le mouvement
dMYcMo
passif
racine,
J'ai
du
ainsi
~M~at
/)~
a lieu dans
T T
je me ~~OK~s
par
le premier
caractre
le <z<~ comme
dans
Mf<! intention.
positif:
accompagne
est remplac
intcnsitif,
une
La forme
que
<A~A/qui
te point
Quelquefois
~oMM~fn~
encore,
suivant
que
peut
tre
le nominal
visiter
les
r~c'Ate.
les uns
circonstances,
en
rciproque
I~Sm
les autres,
peut
ou
devenir
mme
signifier
c~c~ra
temps
que
galement,
~~r/
simulative,
elle
frquen~9
GRAMMAIRE
t48
tative,
et mme
car
j'ai
dit
on
ajoutait
acceptions
c~afA sans
notait
autre
caractristique
V!
MOKM~
en tout
forme
"r?!Tm
s'arrter;
l'intensitive,
que
On
trouve
~<*M~, il
!?~<M<A le malade,
!1~?!Tm
T
a sa propre
ainsi
en retournant
intensitive,
que cette
la syllabe
HBRAQUE,
source;
laquelle
ces diverses
sous
<7 ~~ir-
~yoMf/M~,
il
~<<~M~
malade;
~~Brtrt~o~OMraJwwM~~r/oKr~CM~M<r~;etc.
J'ai
parl
l'article
inutile
de la conjugaison
aussi que je rappelle
fremment
chaldaque
et de la mtathse
de la syncope
toutes
varie
radicale.
que
je l'ai
assez
dit.
souffre
II est inutile
l'article
les modifications
que
de me
emphatique
verbales,
la syUabe
et que
rpter.
Ft se place
nM,
Il est
indif-
la ponctuation
CHAP
X,in.
ni
avec
COM/M~MOMjR~CO/C-CoyM~O~V,
FORME
MOUVEMENT
'49
~'OHC//OM initiale
POSITIVE
ACTIF.
MOUVEMENT
PASSIF.
FACULTATIF.
CONTrNU.
CONT!NP.
w<Mc.
*!trc occupant,
./t'ot.
!13~~
Mew.
devenant
3~13
ou occupante.
occupe,
ou occupe.
n~~13
F!ft.
mas.
~w.
occnpcr,
con~.
H~~
Faction
ou occupe.
}m')~t
VERBE
<0/.
~tre occupe,
B*)~ 1
habiter,
d'occnpcr.
VERBE
NOMINAL.
t
<o/.
eoM~.
f Faction d'tre
3~:1{
7
d'~trc
( d'tre
habite,
oc~up.
occupa.
TEMPOREL
FUTUB.
s
~5
(~-)
s=a :1
a{ fm.
:M~n)
~)
~t~t
m.
3
~~P
!3~3
(~
t<
't!
~<
'J
S~
(V')
tu occuperas
~tn
occuperas,
il occupera,
*)~P)
~f
("
~~'i
(~
~~P
vous occuperc~1
~ousoccupetex,
ou
t.~)
t~'
g
-S
(M.
t~
occupe,
tu seras
ou
occup,.
occupe,
il sera
elle
{
3~~3~
(~
cDes occuperont,
serai occap,
serai
occupe,
(~'
(w.)
nous occuperons,
ils occuperont,
~~P
`(jeje
m~lP
1~~1t~'31
n~p)
(~'
uccupera,
occupera,
)
<
S~ ..It~) occupera.,
(~
(
m~W
sera
ou
vous
ou
occupes,
occups
occupes,
5erops
serez
occupJs,
occupes,
ils seront
elles
!T5~n
occupe.
nom &eroM
n~)
''R~
occupe,
seront
occupes,
occt'ppp*.
GRAMMAIRE
t5o
HBRAQUE,
TRAttSTF.
fm<MC.
j)-3
~)
rp n masc.
a habite,
occupe.,
M~.
~L~~h~.
n~
~(-
sois OCCUP,
occupe,
sois
(M~1
ou occupe.
!~{'
)~
~.ccupc~.
n?~~
rASS~.
$t
L~)
's
f~.
CI
2
a'2< a( (M.
(.f
l'occupai~
P~13
tais
~3~
ouoccnpe,
occupais,
*r"
pn~)
n3~~
~(~
T~tQ
occapait.
T
fM.
3
S
H tait
3~13
!J~
rQ'C~S
.g
("
2<
2(~
g 3< (Nt.)
&
m.
(~j
nous occupions
nous
occupions, p
t~~
l~e
i
's
'
ar~t
.?-~
vousvousoccupiez,
occupiez,
~~) -.1
occupaient,
')3~{
occupe,
occup,
tait occupe.
elle
elle
nous
?'43 it{ f~t.)
1
~f.
fm.)
occupe
on occupe,
'S
il occupait,
3~-
(j'tais
f")
(')
(its
~(eUes
occupaient,
occupaient
< fM.)
')ntyi3{
M.
Q~~a
(~
~~IS
M.
~(~}
o.
tions occups,
occupes,
vous tiez
occups,
on occupes,
ils
celles
taient
talent
occups,
occupes.
CHAP.
FORME
MOUVEMENT
IX,
. ll
t5t
INTENStTVE.
ACTtF.
MOUVEMENT
PASSIF.
yACULTATP.
CONTINT.
CONTtNU.
cM~.
haMtanttte6)rcc.
3~3
habitante
:*Q~P
M<M.
de
force.
~M.
occupe
~'Q
occupe
n~Q
de force.
de force.
ttXt.
M<M.)
fm:
const.
~J
} manquent.
r~~
VERBE
!}
de
~J~ti.n~Mter,
~per
d'occuper
NOMINAL
~fr.c~~reha~
~co~st.
~J
force.
VERBE
~de force
~ideforce~~tre~q~.
d'~tre
TEMPOREL.
ypPR.
M<M. )
j'occuperai
~1%!
M<M.
de force.
je serai coNoqn<?
3~
etc.
etc.
TR~STit.
mas.
M<M.
~e/K.
occupe
~~)
de force.
MMM.
~M.J
~manquent
etc.
PASS]E.
M<M.)
fm:
j'occupais
j'occupais
de force.
Corce.
M<M.)
<J
etc.
)p~~
1 i'<s
c'c.
colloqu.
i
collo
a.
HBRAQUE,
GRAMMAIRE
EXCITATtYE
FORME
ACTIF.
~~T
M.UV~
1
tACCLTA-TtF.
CONTtNV.
CONTNV.
m<M.
3~1Q
nn~lQ
~<.
excitant
excitante
faisant
M<M.
a habiter,
3~~
~M.
a hahUcr.
n3~')Q
excite
a habiter,
cxcit<!e~
habiter
fait occuper.
occuper.
F!tf.
MM.
pitsst~
~'M.)
VEHBE
NOMINAL.
~.)
y~n)~ha~r.
IL
~}
~n}r~nd.ha~r.
VKRBE
~n{~
~{~.r~cuper.
TEMPOREL.
F~TCR.
{je serai
y~~w,~
x
3W-)!<~
habiter.
ferai habiter,
)e&ran
je
J!)
excit, 9
ou excMc~
habiter.
etc.
C~Ct
TRANStT!
M<M.
~M.
~~f~
habiter.
fuis ~habitor.
1 inanqiient.
'y~inf
etc.
~)
i'A:SE.
f ttais exc:t~,
MMM.
}t-~in
1)c&Ma!s habiter.
~w.)
f/f.
t
}~joa
excite
~c.
Muter.
CHAP.
. ll.
IX,
FORME
t53
RFLCHIE.
ACTIF
MOUVEMENS
ET
PASSIF
REUMS
FACULTATIF.
f ma~c.
s'oceapant,
3~~Q
(~K.
ou se&isant
nS~in!?
E<
K~ycM.)
occuper.
~manquent.
VBHBE
a~aoA )
NOMtNAL.
f s'occoper,
ou se faire occuper.
3~m{
<OK<<f.)
TEMPORELS
VERBE
mTrca.
}
J~M.)
!3~rt<
m'occuperu.
!c Jeimoccoperat.
etc.
TRAystTrr.
"M~
mas,
fm.
J~'
a~~nm
=
occupe-toi.
~1?~)
occupe-CoI.
etc.
~ABS~.
M<M.t
,m.
} '~1~t~r:r
~3~!?
je
]em'occcpau.
m'occupais.
etc.
T..
20
GRAMMAIRE
t54
EA
SUR
REMARQUES
HEBRAQUE,
CONJUGAISON
RADICALE-COMPOSEE.
~f~OMC/M)~ W/MH~?
Le verbe
modle
ici pour
prsent
est
3*)~.
Je vais procder
son
La racine
en soi ride
d'un
retour
a un lieu t
renferme
~f~
analyse.
a un temps,
a un
d*o t'en tait sorti.
C'est le signe
tat, une action
du
mouvement
centrale
relatif~,
et generathe
une
occupation,
peut
signifier,
~~o~
se runit
3. Ce retour,
initiale
jonction
qui
devient
une
un
tant
vrai
habitation.
suivant
Ainsi
deux
disparait
bien que
premier
du
dire
au
nominal
dans
~~o/
ou le
des
absolu,
constructif,
chatda't'que,
du
simplicit
plusieurs
eHet
temps.
cette
verbes
3~~
f/<'
~7<cr,
~OM~f~.
demeure
ainsi
au
qu'au
pass;
et au futur.
transitif
dans
les
mais
elle
constante
temps
temps
savans,
transitif
ayant
prvalu,
l'a
cette
conjugaison,
dans
a Court-de
et notamment
le regarder
comme
le premier
des temps
sentait
vivement
le besoin
des recherches
qu'en
radical-compos
d~c&y~
devait
qui
de possession,
Il semble
le
cas la voyelle-mre
du se placer
entre
aurait
et le second
et qu'on
aurait
caractre
de la racine
verbale,
/cfe~bK ~ocet~ter~
etc.
M~~
3~t<,y'occ~<?~
y~, occ~
la ponctuation
penser
l'ad-
par
ce
Mais
La
prise
le verbe
initiale
L'adjonction
au nominal
facultatifs,
et manifeste
une
Faction
miencuro,
etc.
JP~~TMC
actif.
de Faction
prcis
sjour,
la circonstance,
~<7/'~o~<j!b~/
TM~MtWH~
celui
le transitif
Le
est,
prsident
opinion,
hobr~ques.
et
danses
idiomes
Desbrosses
s'tait
l'abb
Bergier
y avait
Cette
opinion,
qui
verbaux
supple
avait
Gebelin,
Dj
le
par
fait
qu'on
Leihnitz,
avait vu
tymologiques,
le plus simple
tudesques,
hautement
prononce
born
N'est
toute
nu)!emcn<
pour
l'tendue
mprisable,
des
il.
CHAP.1X,.
un
trouve
(tes Tatares
du
gine
Mais
il est
modiilcation
ce
//OM de co~M/~Mcr,
vident
et CM?
ilalde
Les
constitue.
leur
du
la mme
premier,
Hbreux
L'intention
ori-
de la conjugaison
sont au fond
diHere
ne
la langue
tirer
l'examen
et le transitif
dernier
toucitant
paraissent
par
mentale,
purement
Du
les verbes
du verbe,
et que
en hbreu;
le pre
dit
dont
le nominal
que
chose
ce que
Mantcltcoux,
transitif.
radicale,
une
dans
appui
f55
que
disaient
de
par
dp
l'accent
l'orateur,
verbes
un
le transitif
signe,
exemple,
Les
n'est
voyelle-mre
ne
diffre
verbes
semblables
adjonction,
l'affaire
bon
d'un
la Grammaire
dictionnaire
conjugaison
toute
la fermet
initiale
ne
de
Forme
son
que
la Ibrmc
radical
la trouve
pris
toute
quel
elle
usite
positive
au verbe
donne
qu'on
est peu
employe,
la force
d'un
On
trouve~
par
oA le signe
citer,
dpivee
conjugaison
avec
soin.
C'est
tl s~f&t
que
existence.
mouvement
forme
la
de
de les distinguer
L'adjonction
passif.
par la voyelle-mre
Cette
nominal.
je viens
que
appartiennent
leur
mais
adjonction,
simple
/'ac~oM~~o~<~r.
celui
annonce
MoMt~n~
du
point
~1~
et
~o~Je,
une
point
varie
plus,
la conjugaison
dans
remplace
et
donne
ce
a cette
drive.
intensitive.
dans
cette
elle-mme,
par le moyen
par hasard,
signe,
tant
et qu'elle
conjugaison,
et cela par
n'est
sorte
qu'une
de l'adjonction
on voit
que
n'abandonne
d'intensit
initiale
cette
la rai-
Lorsa
adjonction
plus le verbe
au-
est unie.
e.~citalis~e.C.
M'cAc~<
.ornze
.fo/TMC
L'adjonction
Intellectuel
initiale
se remplace
*), et au mouvement
passif,
au mouvement
paf
le signe
actif
par
convertible
20.
le signe
I. Ce
t56
GRAMMAIRE
marche
des
verbes
S'il
dente.
comme
arrive
radical
quelquefois
rien
JFo~M
Le verbe
trer
toute
portante
placent
radical
la fermet
~ai a faire,
que
leur
d'un
verbe
dans
la forme
ne
reste
pas
sous
driv.
cette
connatre:
n~y
argumenter,
~O*
corriger,
dmontrer.
instruire.
la
prc-
s'effectue
pas,
moins
indivi-
forme
mon-
La seule
aux trois
par
nouvelle
le signe
un peu imremarque
verbes suivans,
qui rem-
convertible
sonne.
~t
et suit
~A~.
est relative
initiale
adjonction
n'en
plus,
sa conjugaison.
continue
compos,
varie
ce changement
le verbe
ne change
diffrence
il Fa suivie
que
le 6~,
ne
compos
comme
drivs,
dans~t3~e
Cette
sible.
le verbe
fait,
changement
HBRAQUE,
ynrinT
se connatre.
n~T!
s'argumenter.
IDtnf!
se corriger.
t devenu
con-
CHAP
IX,.V.
t57
. IV.
W/
Co7?/M~MOM~~<7~/e-Co~~O~<K'~c7'OMC//OM
FORME
MOTJVEMENT
J.
POSITIVE.
ACTIF.
MOUVEMENT
PASSIF.
FACULTATIF.
CONTtNU.
M<MC.
~tre
~~13
n~13
CONTHU.
~<<MC.
approchant,
~~c
devenant
approchante.
appt'oclu',
dove~aotapprochue.
n~3
F!Nt.
M~M.
'U~')~
~<.
approdier,
l'action
Pocher,
n~
approcha,
tre
approcMe.
rt~')~
VERBE
at~.
tre
NOMINAL.
<~oA
d'ap.)
)
ractiond'(Itrcapprocli;.
~~t'ac~n~trcapprocM.
t~
VERBE
TEMPOREL.
fCTVR.
(~')
')/:
rapprochera:,
~w<
~/J~
"-t
(m.
~)/-
.PP~hcra~
'V/~j
~~P
~M.
approdtcra,
~'1
~3!~
cMe approchera.
~~t
(~
~3!*)
ou approcha,
tu seras approche,
oaapprocht!e,
it sera approche,
c~c sera upprochJc.
fuou9!icrons
't~f
t
c
Mous approcherons,
(")
~)
_
( '?.
1"~
S
b
'~M
(m.
)
n~pr"
(M.
i
t/'
i
t)~~
D~SI')
i!9
approcheront~
cMc!) opprudtcroMt.
(~
(~'
~,J`
(~
approches,
( ouapp<'ocht't!~
*)~3f1
vous
on
ns~~sp
1'~M~
;1
nit~Mp
scrcx approcher,
ttppt'twMo)},
i)~crontuppt'o<:h(.'x,
~:lles
scroul apl,~rocl'ist;s.
cUcttsct'ottt.nppt'ocMes.
t58
GRAMMAIRE
HBRAQUE,
TRANS!Ttf.
t/MC~C.
-j
fw<MP.
~)
&a{
tca{
.S ~)H.
fm.
"pproch~
~)"
fm.
(~.
fma~.
(rnas.
-S
9<
(~.
'S
n~J
sois approche,
~33F!
sois approcho.
approcLo.
~33~
')'~3j)n
soyez approclis,
approches,
rapprochez.
(~)M.
soyez
nMyMt
approches.
PASSE.
t!
!y')
<
'f'lW~
'~{
~}
ou
'S
approdMus,
= -~}ttt
!-?~~
Tt~JH il approchait,
approchais,
j'tais
approch,
j'approchais,
a~
m.
f~'
(<a.)
tu tais approch,
F~T~Q
ou approche,
P~
T
approchait.
nW~
j fM.
~.pp~M.,
approche,
(M.
il tait
~M
n~~O
T >
Q.4
approche,
i<
*M
fM~EN~~M)
j
f
noas
approchions,
vons
'}voasapprochiez,
ils
fBt.t
{~
')eHes
approchaient,
approchaient.
1
g
< (tm.t
(~j
2 ('
(~
fm.l
f
a<
S ~1 <- J
')~a<
'(
f nous
ouapprodies,
~~
GP~30
tiez
approchs,
ou approches,
W~M
ils
taient approchs,
taient
approelles
t ches.
CHAP.
FORME
. tY.
X,
~9
INTENSITFVE.
~r"
MOUVEMENT
ACTIF.
MOUVEMENT
PASSIF.
FACCt-TATtF.
COttTtHV.
CONTtNU.
m<MC.
,/e)K.
touf-a-Mt.
approchante
n~~Q
tre
masc.
tout-&!t.
approchant
~~3~
~Q!
approch
!T~3B3
approche
adhrent.
toot-a-f:)it.
tout--fait.
contigu.
FINI.
M<M.1
comme
au
~j
}cau
passu*
omme
VERBE
f<HM<. )
a~oF.
approcher
l'action
NOMINAL.
tout~-Cut,
d'adhrer.
VERBE
coK~.
<!&
f I*act!on
'"~
d*~tre
tont-a'&it
approdi,
~trc contiga.
TEMPOREI..
FCTPR.
m<M.
ias'
}
}(
MM.
Vjp
tjessrat~ontiga,
j'adhrerai
~adhrerai
~Mm
~K.
j )))
-=
etc.
ou
contigue.
eic.
TRANStTtF.
Ma~.
,711115.
J~M.
manquent.
}'manquent.
~CW.j
~a)
~~r..
etc.
~c.
P~SS~.
W<M. )
J~'M.)
~~53
j'aurais.
j'adhrai5.
fttt.
~M.
f~.
}
}J
~33~
.{.
ou
oucotig.
cont!gue.
(
~p,
HBRAQUE,
GRAMMAIRE
160
EXCITATVE.
FORME
m~tt~
ACTIF.
MOUVEMENt
PASSIF.
MOUVEMENT
t
FACPLTATf.
CONTNT.
CONTNT.
M<MC.
encitamt
.n.
ex<taNto
n~~C
faisant
M<M<
& approcher.
!t
exdtd
~Q
approcher.
eMttdo
n~P
approcher.
approcher.
fait adhrer.
adhrer.
rN!.
CKM.
~Mt
.J
VEHBE
&c
absol.
const.
~rt
"u
~apassu..f.
passif,
comme
comme
irOMttfA..
t l'action
a&)
approdier,
runir.
coK~
'(
exdt~
approcher.
<!tre~tUM.
1
VEMB
d'tre
TEMPOREL
FUTPB.
mas.
M<M.)
~iM.)
f
~SH
tL~~L!t
ferai approcher.
appx~ocker;
1 e MNt
je
~<M'
~t.
f je serai excite,
excite
'e?~
approcher.
c&.
e&
?ASS&
Mat.
mus.
~nL.
~~)
MM.t
fais
)&Mapprocher.
appro~her.
\nMBOncnt.
etc.
e&
T&ANSTtF.
t?MM< t
&M.)
T'
~'er.
'f:JI";)~wy!T
< <
<
approcher.
)eMnsM9
je
faisais approd1er.
<~c.
mas.
~M.
fj'~tfds
't
exdt,
oaexctde
etc.
rapprocher.
CHP
FORME
<6t
. IV
X,
RFLCHIE
ACTIF
MOUVEMENS
ET
PASSIF
R~UMS.
FACULTATIF.
fM~c.
t~Mt.
7 f
eu se faisant
n~~9
w<M.
approcher.
) manquent.
i
K~
VERBE
abiol
s'approchant,
~M~Q
OMtfA..
( s'approdier~
ou se faire approcher.
-<S:'
c<MM&)
TEMPOREL.
VERBE
FUTUR.
"KM' t
fm.
/NH. )
je m'approcherat.
Wapprocheroi.
~~r~
VjA;re
etc.
TRAtfStTF.
n:as.
approche-toi.
~3~)
c.
P~St~.
RM~. )
.r.
~tWt.
~nn
je m'approcha:
etc.
T.
1.
`'
GRAMMAIRE
~a
SUR
REMARQUES
HBRAQUE,
COJM~CASON
J~
~AB!CALE-COMPOSEE.
~~OMC~MMt OM<M~
Voici
pour
l'tymologie
suivant
type,
La
ou
racine
Runie
tant
gement
J,
un
\M
compos
hbratsans
rid&
offre
d'un
cette
dont
je ne m'carte
racine
est
elle
local,
un
l'action
de
celle
offre
au
o<~
et
au transitif,
futur,
elle
dans
J~ocA~
~a,
Ce dgainitiale
de joindre,
radical-
d'aborder,
le nominal
je l'ai
dans
absolu,
remarqu
manire
dans
le pass.
partout
remplace
par
c'est
trs-croyable,
cette
appartenans
tel que 70*,
prend
suit
'Cette
qui
trouve
Une
chose
encore
conservent
chaldatquc
le premier
et
l'action
D~M
voyelle-mre
qui rend
signe
cette
verbes,
plusieurs
ce
dans
que
au
futur,
etc.
que
quelquefois
la marche
/?o<~A.
qu'on
conjugaison,
~~o~na,
remarquer
le point
les deux
Je suppose
approche.
consde l'ad-
dj
de la mme
demeure
au nominal
J, disparat
comme
~<~yioc~
supposition
tiale
aller.
le verbe
la langue
de Moyse,
et avant que la ponctuation
originelle
et t adopte,
c'tait le signe
ici entre
qui se plaait
et qu'on
lisait
le second
caractre
de la racine
verbale,
nominal
le mot
positive.
initiale
L'adjonction
initiale
facultatifs,
11 faut
organe.
l'adjonction
voisinage;
bien
~c.
etc.
Mouvement
a t
ou
de tout
laiss
par
d'avoisiner,
quel-
gaine;
dans
d'un
sur tui-m~me
rapprochement,
dgagement
serw
relatif,
Forme
jonction
ici
je prsente
que
d'un
gnrale
dgagement
exprimera
d'approcher,
d7approcher,
tructif,
~M,
en lui-mme
et ramen
arrt,
signifiera
des
mouvement
restreinte
plus
l'usage
de canal
du
au signe
l'ide
verbe
contenir
servir
conduire,
du
raisons.
M~
destin
conque,
dcile
en cela
de fortes
sans
jamais
assex
le verbe
tt)M,
le caractre
de la conjugaison
prendre,
en place
tirer
soi,
dont
ini-
de l'adjoncion
.radicale-compose,
le
dont
je
CHAP.
viens
nnp
de'donner
JMoMfCFM~~M~
ia voyelle-mre
doit
forme
du mouvement
que
que
usite.
ne
radicale-compose
initiale
forme
ce que
est
diire
radicale-compose
ne
le point
dont
entre
place
dIRerlt
les
comme
~<'nK i~h)~e~;
.~ar~'e~~
<o~<'r;
ici
et l'autre
le ~Mt<<z,
drive.
en
la conjugaison
hbraque,
de
et
parler,
dans
On
passif.
faire
on
trouve
que
le mouvement
devant
devait
le
dire
premier
~yc
et
o~~c~
\)
par
la voyelle-mre
1 se montrait
on trouv
au mouvement
radicale
que
radicaux
la ponctuation
partout
o~~cAer;
mais
presque
par le cA&~ ou le <z~~
plac ces voyelles~mres
et par
manire
mouvement,
de l conjugaison
caractres
commte
signe, t
La conjugaison
lieu.
de la conjugaison
de la Langue
caractre
d'un
tout--iait
et n'est suppl
y disparat
dans le premier
de la racine.
caractre
je viens
deux
on
cependant,
de la mme
agit
en son
l'un
tandis
actif,
c.fCjSfa/M~.
dans
tait
Il n'y
se prsente
la force
Elle
j'ai parl
alors
point
adjonctif.!
intrieur
au pass.
la rencontre
dont
remarquable
le caractre
supprime
l'a rendu
trcs-
lorsqu'il
J y prend
verbe.
.fow~
Cette
on
Quand
de son
plus
initiale
l'adjonction
partout
~O~TMe jt~SM~t~e.
l'adjonction
ne se spare
le distinguer
ou
Hp~
etc.
surtout
actif,
puisse
qui
est peu
remarquer
et qu'elle
trs-souvent
!Tp~<*M<&,
nPM~nt~ro~
trouve
qu'on
La ponctuation
ayant
chaldaifque
ce tnovement,
qui devait caractriser
distinguer
<t!iucile
cnsorte
l'exemple;
~ac&oM de prendre,
. V
!X,
/o<
~<~f
<~e~e
a rem-
chaMaque
au mouvement
actif,
passif.
~O~~M~AM?.
imtia~e
L'adjonction
MT
~R.itM
de
lu &cM~
J reparaissant
lt uOuinc
dans
cette
le C&iatcit~
~orrne,
J'inu
refB
sans
se sepa.*
t!nv.
2t.
GRAMMAR
HBRAQUE,
.
CbM/~MOM
V.
<~e
jR~CoWJOO~
/<'WM/
/~0~&OM
POStTtYE.
FORME
j
ACTIF,
MOUVEMENT
PUS::
PASSIF.
MOUVEMENT
MOUVEMENT
t
FACPtTAM~
CONTNT.
COttT!NTr.
M'MC.
~D~s
~re
~a.
masc
entourant,
~C3
~'N.
entourante.
devenant
ehtour~~
devenant
entoure.
f13M
!13at0
MN.
M<M.
M~
~t~
entoura,
dtre
entoure.
J~t.n~3p
l'
NOMNAI..
VERBE
t<!&)
3')E'entonrer/l'action
<pK~7'.
d'entourer.
~1~
d'c!tte
l'aclon
~~racdond~treentoaE~
<
entour.
coa~.J
TENnPOKM~
VENBE
F~TP.R~
je
(nt.)
mO~!
ttA!f
g!
_/B<
{J.,
g
(~*
}ta
entoorera~
fmt
1
?'
~)
(~.
3<
(~
(~
'(~
3103
tsiDn)
nous entourerons,
n3~!?P
f~
/vous entourerez.
entoureront~
eesentouretont..
3B!~
~Br!
ttseras
entoor~,
01 entoura
~36~ aser&etttoar~/
~Bn
~n.~T'
..fnt.t
t<
3
tm.
n~pp~
*)3b~
fat.
,jL~
r.
~TP~ ilentoarera,
!5')PP
entoureras~
;&
1.
(J~
'S
'S
entONt~
B~~e,
~')B,n).
.'s
,J
i'~to~era:,
serai
(~
g
S
f~'
3<
t~
;( NOM tentas
entou~s,
3M~
vn:ntoures,
o~eatoar~es,
t'SBn
n~S?
~t3~
"f.
vo)M serez
entoures~
ouentoores,
Mont
8eront
~eritoitrs,
entoNr~s,
JTa~&~eUesseroo~entoms~.
CHAP.
IX,
t65
. V.
T&AN8!T<F.
fm<Mc.
'a<
(~.
aoM entoure,
3B!l
(m<MC.
31B)
&a<
.3 :1 (~)M.
fm..f~~p~ ~1D)
rj
entoure.
}entoare.
I'3 ~~{~('"<MC.
sois entour,
(~fm..i~l~ ~~nsoNeatouree.
{-S f :1
1.
fMM~c.
Mb)
}ento
rez.
t~
ny3D)
')3Br!
!~3~
'5~
n~59!
soyez
en~ars,
entoars~
soyez
entoure.
tAS9)E.
~.)
(m.
a/a<
M3B)
ro
g
S
f.
(~
a.
(w.
a.t/
(~
elle entourait.
cUe
nStp
f
(Mt.)
*d!3t3
&n')'a0
'}
~130)
S:
tu entourais,
entourats.
P1~'-}ta
~D il il entourait,
entourait,
~p
S m~
f
fM.
0)9/
3
s
j'en_.
~entounM,
~P
~{'}
&t
'St
(~')
'{~
frtais
) J)
('
P1SH33
(~
MStDS
3<
fm.
t~
'aM
n393
1nous
'{
J'U:}I ( m.
fm. QM2t!p3
T
entouraient.
ou entonre,
t~t?:!
entour,
tntab
ou entoure,
il tait entoure
elle tait
tait entoure.
fnous
entonnons,
tions
~doM
tS
g ( (~
m. j1)
entot~,
entomr~s~,
on entoura
vous
~tiez
entoa~,
entoures,
taient
()Is entouraient,
'tcUes
'(
(M.)
entourions,
vous entonnez,
nous
fM.)
~3~!
entour,
entours,
talent
(telles
ils
entoores.
GRAMMAIRE HBRAQUE, t
<<?
FORME INTENSITIVE.
ACTP.
MOUVEMENT
<M~T~
PASSIF.
MOUVEMENT
fACO.TATtF.
CONTNT
CONT!!fC.
M~c.
3~100
f~lD~
HMUC.
entonrant~
entourante,t
entoar<<,
3~')C!~
entoure,
HMtM
tnMteaMat.
<!troitement.
Ft~t.
MJ'
.<*<
)
~commeMpMtM.
yc)t.<
j
VERBE
a~<t
NOMINAL.
)<)
~ract!on~eMM<re!~tCitemeat.
jcM~J
VEHDt
~")
fi'acd0n~treenioar~
~te~at.
TEMPOREL.
fO~c~
()e tera!
M<M. t
MM~.
~M.)
~<)~
j'entouterai
troitement.
ouentouretroitement.
~T'-P)
~H.
entonr~
etc.
TRANStT!?.
M<M.
mas.
M<M.
3.~B)
~entoure
n'onoment.
~10)
<*<*.)
tmaoqaent.
~t.)
1
etc.
<?.
?ASS)S.
M<
'f:'I~C
~.j
~~10
T
entoura dtroitement.
~eatouraM~tMtMment.
j
e<c,
tj'~taM entoura
~D~
o~entourJctrcitcment.
etc.
CHAP X, .
FORME EXCITATIVE.
"T
MOUVEMENT
ACTIF.
MOUVEMENT
PASSIF.
FACUt.TATtP.
m<Mc.
FtN~
comme
~M.
VERBE
tl'acdon
A/<.<o/
S~~
ccnst.lt
tCM~.j
dee taire
i. t~~iire
an passif
NONrWAt..
ta~o/.t
action
~(entourer.
~`~
I)ccf<j
corist 1
VERBjR
d'tre
(t'action
exd~
ex t,itd
entourer.
IltaentoMer.
TEMPOREL.
FCTUR.
mas.
'"<M.)
fein.
a~
~Q~
serai
je
cadrer.
je ferai
ferai enLourer,
~c~
ou exctte
~1
<'<e.
excita,
entourer.
etc.
'tBANatTtF.
MM.
ncn;
~*W.
M<M.
MMentourer.
manqwent.
~M?~
~)
e<c.
etc.
PAS9~.
HW.
./??.
fm
<
w<M.t
".f-i~1;\1:'f
je
fesas
-fal.
/<~<.
~c.
t)'<!taisexcM,
excit,
entourer.
entourer,
j
'M)t<'MJM'n(M)t~)
{j'tais
(
ffc.
e'ntoil
rei
HBRAQUE,
GRAMMAIRE
t68
RFLCHIE
FORME
ET
ACTIF
MOUVEMENS
PASSIF
REUMS~
FACULTATIF.
M~c.
s'entourant,
n~WPP
ou sciant
t~.
catoarer.
n~~nR
manquent.
K
g{" t~
")
NOMt~At,.
VEBBB
')
~P~
const.
co~<.)
"'?'")
:l:llM~1
-ou
o. se faire
TEMPONBl..
VEBBE
FUTUR.
)e m'entourerai.
hainE'K
J
e<c.
-t~N~,
TRANSTF.
fl1l.
n~nt?~
~~in!?~
'Mtf;:1
)
c<c.
?AeeE.
~M31H!?n
./ew*
!cm'<~oarau.
<*?<
entourer.
IX. V
CHAP
SUR
REMARQUES
CONJUGAISON
LA
t6<)
RADICALE-COMPOSEE.
~r~MMM~C.
Adjonction
en gnral,
modification
de la conn'est,
conjugaison
qu'une
Il semble
mme
intensitive
reque ce soit la forme
jugaison radicale.
ait voulu poser pour
par le verbe QQ~p) par exemple,
qu'on
prsente
Cette
forme
afin
positive,
nergie.
grande
La racine
3C~
sur
de l'action
circulaire
autour
en donnant
confrence
de serrer
de force
dont
toute
au point
trouve
dans
tnd
pour
fmal
3,
la cir-
former
le verbe
facultatifs.
comme
je viens
de le
radical-compos
M~D,
ne se
le reste
de la
S, qui,
Il disparat
dans
que la conjugaison
avec
quelques
lgres
diffrences
la ponctuation
c'est le point
La seule
chaldaque.
intrieur
plac dans
marque
laquelle
verbale,
indiquer
double
caractre
~<M~e.
caractre
les deux
laquelle
intensitive,
pour
qui
y ramener
au fond
la forme
du
du mouvement
dernier
n'est
conjugaison,
forme
l'action
de tourner,
plus intense
d'entourer
enfin,
exprime
par
rend
d'envelopper,
Le
a<?&~
que
~3~0.
il s'agit.
a t doubl
dire,
du
plus
de mouvement
espce
central,
Forme
~bK<wM~
tant
et du signe
3,
une
radical-compos
duplication
consquent
en tournant,
le verbe
et centrale
La
suivantes
les hbratsans,
d'aprs
centre.
et par
0,
les formes
le verbe
ncessairement
d'un
plus
s'lve
type,
intrieure
0~ exprime
s'opre
a toutes
laquelle
ici pour
que je prsente
signe
de donner
l'accent
le second
prolong
tout
apportes
par
on la distingue,
caractre
qui rsultait
selon
radicale,
de
sans
la
racine
doute
de la
consonne.
Mw~MCMjf
CC
~a~M~
dans
le point-voyelle.
vent
marques
T.
du
Ce
Ls
~'J,
mouvement
une
et les nominaux
facultatifs
comme
prouve
dans
DS~<
T
<<~
variation
grande
se trouvent
sou&~&a~
<~o:
22
GRAMMAIRE
~o
en J~o&<&oK;
etc.
M3!
Il faut,
~rif~MM~,
en gnra!,
tacher
au
HBRAQUE,
&~M~c; ?n!1,
se mfier
~irio/<M~
et s'at-
de la ponctuation,
toujours
etc.
J/fM~~;
sens..
jF~TTM~ M~/M~<
Cette
ibrme
la ponctuation
point holem.
de bien
que
radicale
en
seulement
ce que
le
presque
partout
ie signe 't par
avant
de lui donner
une signitication,
soin,
le caractre
final qui est double
car c'est de lui seul
chaldaque
Il faut avoir
examiner
cette
de Fintensitive
diffre
signification
a remplac
dpend.
~b~M~C~M~~W~
C'est
encore
ici la forme
prs du signe
Le mouvement
mre
que
l'on
trouve
se trouve
un peu
actif
<!M~
par la voyelle-
dans
verbale
diffrence
le. point
par
caractrise
plus
a la racine
ajoute
a la seule
radicale,
le mouvement
dans
remplac
passif
excitative
quelques
pcr-'
du pass.
sonnes
Forme
~A~.
La syllabe
jugaison
TH est simplement
caractristique
comme
nous l'avons
dj remarqu
mais ici elle subit la mtathse
radicale
trouvant
place
tensitive,
devant
un verbe
commence
qui
la forme
ajoute
de la con-
l'occasion
c'est--dire
par
que,
le caractre
M a dA se transporter
caractre,
la suite de ce mme
le voit au nominal,
qu'on
o, au lieu de Hre~Dm,
in-
se
le
de la manire
on
lit M~nDn.
dans
les verbes
. YI.
Des
J'ai
parle
des
commenant
par
Jc me dispenserai
~f~M~M~
petites
anomaHes
Je caractre
d'y
tYeHti-.
dans
<nn
j~, ou
se rencpntreHt
termmes
par es caractre~
J ou M.
CHAP.
Les
verbes
des
lit ou
voyelles-mres
dans
tions
Lorsque
marche.
c'est
la voyelle
ordinair
verses
sont
teinte,
K'0,
la prononciation,
Comme
cependant
rhbrcu
diincult
pour
de son
en aucune
ne doit,
une
conjugaison
nous
a savoir
en suivant
final
verbe
d'un
mar-
point
reste
le comprendre,
pour
encore
besoin
de psalmodier
~ntoriss'faire
irrgutarit.
l n'y a nulle
elle
que
ont
qui
varia-
et n'est
qui rsulte
et
sensible,
quelques
le compose
H1~3, rer;
~M&p~r~ cette voyelle
M~J,
ou
l'irrgularit
tes
par
venir;
muette
point
termins'
le caractre
~o~ia~
verbales,
:H qui n'tudie
Les rabbins
seuls,
tre
K~,
nent
n'est
nonciation,
171
peuvent
constitue
radical
chaldaque.
formes
V.
H qui
le
composs
du point
que
et dans
!t
'comme
conjugaisons
leur
quelconque,
les radicaux
devient
trois
IX,
dans
les di-
dfaut
de pro-
faon,
arrter
et le traduire
cette
de cette
particulire
que
du radical
la conjugaison
radicale,
langue
t<*, ~'<K"
i.')'
`
'i ~It
K~OK T
je viendrai.
H~Or!
tu viendras.
~FHOIr
tu venais.
ltO
T
t~h T u venait.
c/c.
b<'0~ il
viendra.
etc.
ou bien
~ue
du ~On-~bse'
)c venais.
y)~; T 7'<M'
Je
e~r,
procdent
caractre
final
galement.
1
!~H
ou
H~~
-e
KISt
T i
K~3~
If
)e crerai.
tu creras.
il crera.
~<13
m'
T TT
t~3
TT
vcrbc,
lorsque
alors
c'est
la dt~kultc
la voyelle
devictu
tu crais.
il crait
f/C.
e/c.
Mu;~
te crais.
;1 qui constttuc
consid~raMc,
le
etwc'
pourquoi.
2K.
du
Cette
GRAMMAIRE
t'~2
non
voyelle,
seulement
en une
quelquefois
Je vais
porter.
nominal
Ce verbe
dans
d'un
voile,
On
radicaux,
Au reste,
trouve
Ces
appartiennent.
;3~3S
verbes
?'~OM
sont
pour
par
quelou d'un
de<c.
aux trois
est
conjugaison
H, soit comme
les quatre
drive
caracqui
sont
laquelle
ils
suivons
d'exceller,
de surpasser,
L'action
de dsirer
ayecJangueur,
L'action
d'mettre
ou de'
L'action
d'tonner
par
son
ce mme
le distinguer,
la conjugaison
L'action
verbe
qui leur
marche
le caractre
termins
intrieur,
qui suivent
lieu
en libert;
que j'appelle
par
verbes
quelques
du point
marqu
c'est--dire,
rguliers
termins
d'un
appartenant
outyejta
de celle-ci,
du
ou radicaux-composs.
drivs,
on
M, mais
sont
qu'ils
verbes
encore,
peuvent
pour
de se montrer
l'action
des
le raptype le
expans-~ex-
de se dgager
de se mettre
la plupart
les modifications
suivant
irrgulire;
tre
que
on pt
dgagement
du mouvement
enveloppe
de re-
impossible
d'un
ride
Faction
se change
tymologique.
l'occasion
parl
j'ai
de se dlier,
rgulires,
recevoir
propre,
verbes
d'une
observer
conjugaisons
dont
de verbe,
vtement,
doit
l'analyse
et qui renferme
runie
au signe
de se rvler,
couvert,
voici
!a racine
tat
serait
qu'il
auquel
pas un modle
ici ce modle,
en prenant
dont
racine,
son
ensorte
ou
disparait
n'avait
prsenter
f)~,
tient
radical-compos
Cette
conque.
prime
donc
mais
muette,
voyelle
si l'on
ou
M~
reste
autre
!e verbe,
connatre
HBRAQUE,
rncur
clat,
d'exalter.
de languir.
la
lumire~
d'blouir.
(;
CHA~ tX,.V.
J~~M&~rC.
CMt/t~MOH
POSITIVE.
PORTME
MOUVEMENT
ACTIF.
MOUVEMENT
!?3
PASS?.
FACULTATtF.
f?CONTNT.
CONTNT
m~c.
M<c.
~~trervlant,
~m
r!~
rvd,
Avenant
oarvte.
.0~
"r
t~-
t,
,']FtN.
FIa
<
.tt~t
i~'i~
);'<
trer~v~e,
(~
)
i
't
m~c.
ourvle<v:
-n.
`
.<i'
.)'
VERBE
~<
NOMINAL.
~ni~L~~
t
~l~cH.n~e ~v~r.
~n~
VEME
.d
J
t<M<r.
~~t~.
rT?~)
TEMPOREL
y~T'ca.
n'
4
y
'M
<
JS
t~
t{
n~M
'i
T'
..rvle,
2
'')~
n~P 1'4.'
~j~
3J'
3
'2".
nbsp!
f o,. )
(~
t'
3<
~{~
')S~
~3~~
rvleront,
enes~Y~roBt.
tu seras rvl, 1
ou
onrvis,
rvle,
(M.
sera rvle.
eNescrarvIe.
elle
nom
ou
~{
t~
~L..srvlerez,
r!)~
fM.
t~}
t'7
J~
nousrvterons,
~i~
Hseran~M,
r~~ ilr<!vlera,
!P~rv<aera.
~r
'~)
,b
~~n!v<3<
tnt.
'S
n~
'
J~
je ruerai,
serons rvls:
rves,
n~P
')~
n5~~
ils seront
rvls,
eUesserootrvMee.
GRAMMAGE
.74
HBRAQUE,
W~jm~iTty.
-a
5:a{
2
f~MMc.
nSs)
'3
'1."
"rcvie.
n~1\}.
~)
T.,
1rdvlea.
~~v~
~('
K
'5
'fw<M<
D~M
~)H..
~art
iJ"
'5
:1n;
rvi,
onr~vle.
fla r~vle~.
oardvM.
1~1~~7~~
Tt
n~~
tA~SE.
'{~i
I'{(~)
~~]cr<!vtal~
t
(~
t!'eta:v<n<
j'tals, ivl,
~~TM~
ou rv~e,
tais
(M.
..("
i~
3
a
(~.t
'{,.f
L~)
r<!vlait/
?1~
nn'?3
~~(~~
'M.
eUe revtait.
(~
...
-y
~S-nousr~HoM.
j
-vousrvHM,
'L<~
tasrvta!ent,
~eUesrv~Ment..
t'
tait
il
n~*?~
d!e
rvl,
tait rvle.
fmo<N tions
~f
.A
(M.)
?
3<
~)
rv!M,
f
vous tiez
('
f't
M~
~)
ou rvle,
fm.)
-<
rv~~
revte,
ou revte,
t!QP~M
ils
taient
')1U<
taient
'-(eUes elles tuient
revtes.
rvles.
r~vle<s.
.C~AP
X<
<
!?S
INTMStM~E
~O~ME
.t<[r*
~1Tm)MOt<x)
MiOU~~EMBNX
MOCV~EMENTPASStF.
ACTIF.
FACU~TATtf.
CONT!Nr<
MM~K*. ~~)
CONTtN~J
M<KC.
~V~Mt,
t~v~ame,
3~
(f )'
~Vdtd,
~P
~v~de,
a dessein.
~dcssdn.
Fttt.
NM~)
au pa5sif,
~commcaupass!f.
comme
~MM.j
VERBE
M&~
;*t~
<'<
) FacHon
NOMJNAt.
de revoter,
N&~oA
co~
dMelu.
n*)~3 )
tre
VE~
\1:}
'~j'
rv~),
~l: adesMi~
~:~cf;
TEMPOREL.
FUTUR.
J~K.
M~.
mas.
r~vk~t~ desset.
je rc!vletia1
f
~t.
) }
etc.
serai rvl
~v<c,
( je ou r~vdie
etc..
a dessein.
dcssein.
~RANtITF.
M<M.
mcts.
?T)X~
Nt~M.)
y
~)
~c~leafksspin.
c/c.
manquent.
~M.J
etc.
BASS~
<M<M.
flii.
~M.
}~M~
)}
icrdvtau~desscm.
~M.
ntas.
c~c.
j'tais
revoie,
~eizein.
tn>~x{j'tais
( ou r<!vct<!c
rvl, & Je-isein.
<w.
etc.
GRAMMATM
'76
M~AQUE,
FORME
XCTATV:
"TMQCVBNBKT
AeTtP.
j!
MOUVEMENT
PASMF.
FACCt.TATtF.
COtfTttfP.
~MMC.
CONTttfC.
& revoter,
n~9
~ctttat
n~9
~e'taMe!nr~v~er,
i
faisant
M<M<
ottiit
n'?~
& rdv~ep,
n~<~c!tdehr~ver,
fait rvter.
rvdter.
ttttt.
M<M.t
comme
}commeaa
J~M.)
VE&BB
absol.
c~
BfOMTtr~~
,l,
h~n)
t.
n~5,~n
ni~f'
passif,
passif
t<0/.
~}t)
c~tre~~cit~
e:cit~ hrJv~er.
rvester.
L
V~BM
t~MPOML.
FCT~R.
W<M.
n1~
fm,
~v~
je ferai r4vlcr~
}
'e ,m )}.
~C'
(
e
etc.
on
excite rvler.
onexd!~earv!er.
<-?.
~(
f&AttttTtt.
M<M.
nS~n
n~t~
~j[
WM.T
~fs rc;vdter,
r3V~ler.
1
}'
etc.
etc.
PABSE.
m<v.
~eM,
)}
*D'?JH1
faisaia rJv~eir.
rvlo.
je fuisaia
etc.
~n~
f ~t
rev~f.
<?.
. Y!.
IX,
P~AP.
FO~ME
t?7
RFLCHtE.
a
MOUVEMENS
ET
AC~nF
PASSUF
~EBN!~
FACC.TATF.
6
t rna~c.
n~Q
rt~I~P
~M..
rdvtant,
ou se faisant
6 .fm~)
Et~H.
<
VBRBE
manquent.
NOMtNAt..
f se revter,
<o/.
cc~.)
nSvdIer.
on se faire
}
~ERBE
rvler,
TBMPO~B~
F~TVt.
~Ili.
n~~
Il
te
me
rvlera.
c<c.
''t:'
TBANSTtF.
fe~m..
revele-toi.
Y'
'WH
<*?.
tjkes~.
M~.)
j~,}
fm.
t~1..
)eme~v<aa.<.
<-?.
T. t.
a3
GRAMMARE
~8
HRRIQUE,
CHAPITRE
De
X.
la
Constructions
J'APPELLE
J'ai
baux.
nissent
de) montr
aux
noms.
Ces
voyelles,
les
dincation,
aux
quelle
qu'elle
ici
les lois
des
variations
petites
seule
verbale
quelconque,
avec
a un
soit,
que
se rules
suivent
verbes.
a cette
en se construisant
aux Affixes-Ver-
runion
les Afnxes-Nominaux
a indiquer
abstraction
modification
qu'une
elle la reoit
reste
se rduire
peuvent
fois
dont
la manire
fait
leur
Verbes,
en se runissant
si Fon
lois,
des
Il me
Afnxes-Verbaux
<M~ .M~l6oM~.
des ~er&~
Runion
lui
des
savoir
rgle,
reoit
c'est--dire,
que,
elle
constructif,
points-
que
toutes
un
a~ixe,
si cette
l'emploie
modans
ce cas.
Or,
jetons
en suivant
Les
un coup-d'il
le rang
facultatifs
distincte.
la manire
~'TP~S
.t:
~(?1S
~T!P~
~P~
qu'elles
appartiennent
Lorsqu'ils
reoivent
rapide
occupent
les modifications
sur toutes
dans
JF~fCM&a~.
aux noms
le tableau
dont
its forment
c'est
rafnxe-verbal,
des
verbales,
conjugaisons.
une
en se construisant
des noms.
lui me
visitant.
eux me
visitant.
elle me
visitant.
cMes me
visitant.
~T!t~)S
iy!(!~tS
't~mp~S
~THp~
hu nous
visitant:
eux nous
visitant
elle nous
visitant.
elles
classe
nous
visitant.
CHAP.X,
des
Ceux
par
de )a conjugaison
iacultattfs
l~i me
*J~~
ou
lui
me voyait.:
dj eu occasion
Nominaux
soin
et Verbaux.
aussi
toujours
en traant
le Constructif
du nominal
distingu
tention,
reconnatre
lorsqu'il
s'offrira
~3{?
avec soin
~QI
~3~
~?S
~npSn
TtPB
nTPSn
t
<
~M1
L'article
suivant
le tableau
absolu.
les rgles
diverses
ellesi
dominant
En
sorte
un
Voici
verbe
L'action
de me perfectionner;
L'action
de me restituer;
L'action
de me visiter,
L'action
d'tre
L'action
de me visiter,
L'action
de la faire
quelques
exemples
de la ponctuation.
mon
mon
perfectionement.
marsurrection
retour,
mon
par un autre;
de m'inspecter
de l'habiter,
examen.
sa visite.
avec assiduit.
de l'exciter
visiter,
de t'approcher,
pour
ma consolidation:
lui-mme
de l'enfanter,
nominal
au
de m'examiner
de l'occuper,
d'at-
peu
quelconque
aux varits
de me consolider;
tant
avec un
pourra
d'ailleurs
visit
d'indiquer
s'est trouv
ce Constructif
qu'on
et accoutumer
de me
conjugaisons,
lorsque
L'action
emphatique~
lui
euxm~nstruisAnttHeK.
~B~Q
des
nominal,
avec l'afixe.
L'action
eux.
nominal.
facilement
L'action
~rO~
L'action
Wn'7
T<
L'action
'y~M
lui dominant
de prsenter
le Verbe nominal
runi aux AfixcsIl est inutile
de rpter
ce que j'ai dit. J'ai eu
cet gard,
ou ~p
se terminent.
q~
ia construction.
E3"t~
~1&<?
J'ai
179
irreguHere
faisant.
lui t'instruisant
"t'O/Q
dans
M, le rejettent
le caractre
a visiter.
d'y demeurer.
elle.
toi homme
ton
approche.
donner.
ajout
un nominal,
se change
de la Construction.
23.
en M,
GRAMMAIRE
<$p
irOHK
de l'aimer,
lui,
L~aciion
de les serrer
de prs
L'action
de me sacrer,
'L'action
EDrO*~
~TM~
T t
souvent
vivement!
de m'oindre
de l'huile
sainte
Ti!
La conjugaison
plus
HBRAIQUE,
rejette
irrgunre
en
elle le change
ie caractre
quelquefois
nt
mais
fi
VERBE
TEMPOREL.
JF~Mr.
Le
du
bales,
final
futur,
ne change
senter
dans
point
son
dans
en prenant
comme
usite.
M<M.)
ou
y'f~'
~TS9~ -')?'ttnB~
~M.j
jfMM~
<
*)~P~
'I le visitera.
et qu'on
Dans
futur,
observer
trouve
volontiers
la conjugaison
qui
se terminent
se construisant.
Voici
ces irrgularits,
IJ~D~
et quelques
~Qj~
assez
autres
de peu
consolideras.
bien.
'n~ !T'
'tj~
en *tn~
ou
de
~}?S~.
temporelles
du
ce caractre
en
& dessein
j'ai rapproch
'`
d~importance.
*UJ3ty M nous
Tu m'entoureras
visitera.
} tl vous votera.
irqemment
M) remettent
exemples
Ill'entoura.
Tu me
'T-
de 'r!}?~!
les noditications
le caractre
~IMtan
*~?
P'?~
au lieu
irrgulire,
quelques
Vtsitera.
D~
t'7]?~
TnpS'
par
drive
~~
Q~D~
A-
Ji
se change
FAfRxe
que
la conjugaison
J~7
m~.
aux
runie
~P$~
")!
il la visitera.
nS~R~oo~D~.
Il faut
dans
}H
np$~
Je vais pr-
rgulires.
futur,
ver-
le caractre
reste,
M<M.)
g
'S.
a
te visitera.
modifications
Du
du
exemple
il me visitera.
~~j
des
conjugaisons
des personnes
mon
~r~B~.
=')!?''
mas.
la plupart
la Construction.
les trois
une
entier
xes-Verbaux,
la plus
dans
se remarque
se perd dans
signe
iera entourer
l le bmra
Unousyerr.
avec f~rve~r.
CHAP. X, I.
n me
~7
verra
Elle
W~
Il m'aimera.
~?~
t8i
me
Il nous
t33~
verra.
faonnera
~TS'
Il me comblera
de biens.
divisera
lime
avec
H me fera
soin.
habiter:
Je les bnirai,
Q~ISbt
T
eux.
3f~M~~
Les modincations
transitives
c'est--dire
du futur
que le signe
Le caractre
tion.
~HpS
"T:
final
y reste
Visite-moi,
homme.
Visite-moi,
femme.
WS~
coute-moi.
~nS~
Rtouis-moi
peu
se comportent
verbat
comme
dans
disparat
celles
la construc-
muet.
H'HpS
L
m7K~
T t
CJt
.'T
bien.
Accorde-moi
T~an
~rn Conduis-moi.
4
Maudis-le.
prs
sr&ce:
~~Q~?n
Visitez-nous.
Demandez-nous.
Donne-leur,
eux.
Connais-les,
elles.
Fais-nous
constituer.
Rassemble-nous.
mt3~
eux.
Considre-les,
QltpM
JP<M~.
Dans
du
les modifications
et
singulier
masculin
du
pluriel,
et la troisime
singulier,
le point-voyelle,
que
en
et la troisime
conde
masculin
et
du
du pass,
la premire
personne
et la troisime
la seconde
du
personne
temporelles
se construisant
du fminin
personne
fminin
du pluriel,
avec les ainxes
personne
pluriel,
singulier,
changent
de
ne
changent
mais la se-
et la seconde
caractre
final
Fexemple
eoK~t
<!J~o/.
~t~
a
's
f~na. r~P~
) :.11"\
~T~S~vMtaM,
'1"
<tK<M.
tnvis:tais,
r~pS
'
~~M.
~p9
~B
~)~N.
n~
avec fa~cc.
';pe)
y~cUe
t)iv:s:tais,
il visitait,
visita
~p~)}etcvMHaM,
"1'1
~3~'S)
~P~9
nTM)
tamevisitaM,
mmeYMit<m,
tH~viBitait,
t~$cUctoYKHMC.
du
voici
GRAMMAIRE
t8s
constr.
<!&t<~
fnKM.)
<tfcef~%re.
nous visitions,
~~noMY~hons,
-'~f'S~
fm<M. arn~B)
<
')-
'0
HBRAQUE,
C*!3'7?5
vous visitiez,
'jn'tSS
vous
'M'HpS
eux.
visitions,
nous
visitiez
~i~r
f~Nat.)
ils
inutile
Il est
tions
TnPB~
ils
~{eUesY.i~t.}
~~J
que
en particulier.
les. diverses
sur
je m'appesantisse
Je vais terminer
et dans
formes,
~pS
Il le visita
ni'TK
l la maudit
les
(ikiesvisitatent,
visitaient,
elles
les
{eUes
visitaient,
visitaient,
les
par
chacune
de
quelques
diffrentes
ces
t
}eUes.
elles.
modifica-
exemples
dans
pris
conjugaisons.
assidment.
H te plaa.
~Q~
fortement.
tUnQ~
bien.
y!Q~
Elle
Je plaa.
T.t,
Je t'enveloppai
yn?~
fort.
Je te recommandai
yn~
!s se placrent
m'appela.
~l?
tN~n~n
Tu nous
fis descendre.
irMW
MIe
Hf~~n
Tu nous
fis monter.
~'?~
Tu le rvtas.
Il se fit
93~Sn
'KH~n
disperser.,
Il se fit savoir.
I~S'Vt
Il nous
CS~~n
v:
Je le domptai.
t~y
T~ la
nr~XD
TT'
revenir.
~nW
~&
c&
II
Des
J'ai
tre
dit
trait
celle
qui
m'a
sous
sous
qui m'a
paru
le nom
patu
Relations
aJpe~&M~C~
V de cette
trois
elle conservait
laquelle
celle
au chapitre
considre
trouvas.
Elte te pervertit.
'yTM~
Je t'apperus.
fit taire.
St.
plus
appartenir
d'c~e
remplacer
Grammaire,
selon
rapports,
J'ai
d'analogie.
plus
j'ai
que
la partie
appel
expressment
nomm
spcialement
ensuite
le nom,
la Relation
du
devait
discours
Relation
au signe,
Relation
et agir
avec
~M~~K'c
ai
et j'en
M~~KM~
en son
ab-
CHAP.
et je tai
sence,
semble
me
ni l'autre,
tre ni l'un
dernire
de cette
connatre
sous
t83
le nom
de Pronom
voici
participer
de Relation
espce
tous
galement
sous
les deux.
le nom
nom
du
et en indique
des
dont
ils indiquent
docile:
forte,
Lorsque
franais,
nables,
grammairiens
tels
que
j'ai
sais
sert
bien
bien
un nouvel
article
ne
tre
saurait
je sais bien
pouvant
~tre
lation
aussi
le rapport
est considr
pour
/'oK~M~
Ne dit-on
de nom
dit,
:un
Considrez
comme
~M)StM,
portez
les
etc.
cela
en lui
Relation
<~a
sont
<~M~~OK~
rendu
franais
pas
dit fort
absolu,,
une
action
mais
vritable,
de la pense,
dis
lie-
qu'une
une
pproavera
bien,
dessous,
flexibles
Je
n'existt
le verbe
dduction
loin.
qui
le modiilcatif
que
une
plus
choses.
qu'il
adverbiale,
adverbes
tous
moins
par
vais
latines,
l'article
exemple,
bien
simple
aux
indcli-
procup
de formes
en beaucoup
d'autres
que
souftre
adverbe.
taient
qu'ils
dveloppe
l'artSde
ou
des adverbes
porte
s'i)l est
n'en
choses
puisqu'il
le
article,
d'article,
le dirige,
des adverbes:
en parlant
je sais
par une
a l'inflexion.
la. Voyez
pas
peut
plus,
tre
Relation
au rang
accessible
sous
non
ne
donne
la mesure.
de citer,
cet usage
qu'une
dsigaative~
d'inflexion.
sorte
c'est
destin
qui
passer
ou
par
dsignative,
ne saurait
tre inflchi,
inflchi
sous-entendue,
ont
je viens
que
le nom,
et lui
aux
la Relation
~ue
pas l'adverbe
sont
a~r~,
au nombre
lieux,
tout
que,
l'esprit
en cela, comme
peur
Je traiterai
l'adverbe
relativement
modernes
ceux
tromps
inflchir
doit
aux
les
ils ne se soient
Je
de l'action
aux temps,
personnes,
par le qualificatif:
la direction
ils montrent
et sans
sont
t?OMcc7Kcn<, /br~M~M<, doc~MCK<,
est faite d'une
manire
que l'action
Ainsi,
remploi.
modificatifs
douce,
il dcoule
qu'elle
d'e.
de se souvenir
Je prie mon Lecteur
que je ne confonds
Ce dernier
modifie
avec le moditicati~
l'action
verbale,
la teinte
mainte-
celle
nant
fait
. Il.
X,
la,
avant,
jusqu'
au (A~H~;
un
c'est
aprs,
certain
mettez-vous
II
de 1~
n!Kpoint
t~H~
GRAMMAIRE
t84
ne parlez
sez
que
Quoi
etc.,
de ces ides
que mon
parce
faut Je beaucoup
soient
hbraque
les,articles
n'est
objet
que
pas
la
les Relations
ainsi
qu'on
Langue
points
je dis
franaise,
de la Langue
au contraire,
Plusieurs
reoivent
ont des
mme
le remarquer
pourra
celles
parmi
je vais citer.
de &M.
:n~0a?on!
= ~<1B~'
nS~H
r.
n~P~P
~4 <'M'c ? o!t ceta?
~.$'3
QW
HS~
0~
r?~P
~ir~
l~y
"t~P
0~9
~9
Devant,
dessus.
pardevant.
j~M!3 En has.
En ce lieu Mt y.
Des!OM!),par dessous.
~mP~~M~
en.
par
139
:y)~!
par
Dessus,
it~~
~na'~s~.
ni~
comme
adverbiales
toutes,
presque
a leurs mouvem~ns
.~A~~
Q~9
pen-
cf'<H~oMnfA!M;
ici que
je ne pose
que
inflexibles;
et sie, prtent
et des genres,
nombres
les usages
etc. ?ri
en soit
qu'il
d'appui,
qu'il s'en
que
MMM; considrez
d'aprs
A demain,
HBRAQUE;
llhK
~")!J~
Dehors.
en dedans.
Dedau;,
En de
Bntre,
par
!3~!3
deR.
r!t~
Autour,tcutMtour.
Pta:
Mo.
au milieu.
temps.
Quand?
nQ'~y
quand-eat.ce?
]3'')t9 AapaMvaat.
Jusque-
)~y
lors.
jnpy
'?1]0!1:
:t~]n
Aujourd'hui.
1~
Demain,
Maintenant.
Autrefois,
Q~~p
Encore.
:)~
t3~1~
hier.
jadis.
'!T~pDe8<me.
<-?.
Sans-ceeM.
?0~
:)jp-
CornUea?
:1~Ua,eapremief.
t
j
~1~
S!x, en M~me.
Sept~aseptt&tae.
der.
CHAP X, , i
en $ecpnd.
D~p~ Hait,
en troisieNte.
*0
Doux,
~3~
!M~
TroM,
en qaa~~e.
y3,)~
Quatre,
W~]!
C*~ ) c~
cinquime.
\)<).
t.
Il
H3
'!3
cela
est ainsi.
Suspensifs
7
Qtjt Est-ce que ?
Ne! de peur que.
Q~Ft
ME)~ Pourquoi?
Parce que.
A cause que.
y)'~Q
~Bo T~c,
t~S
abment.
!ron~-&dt;
e~c.
et M~~TO~S~.
Poft-~tte!
:~t<
rien.
:)S~3AtLCunement~d!BrMB*
e~,
amen.
Ainsi-soit~it;
Oai
~J~&~0!~7?M~.
'M6!
comme
HW
:taxo~
03!$K
'<
*!HS) BeaucoMp.
-.0
r
,<))'
~M~?w
t.
'<it't~
i~As~z..
Neuf, en neuvime.
C<fC.
>
Comment?
~?~
en hatien~
.n~.P'
<Pc
:K
tas
cMie.
etc.
J~
Il est
tion,
plus.
Non,
ne pas.
Non du
~*?5
leur
Point,
facile
est,
comme
pas de la modifier.
les
langues
T. .
etc.
~ut.
en
sa direction,
En vain.
iQp~
de voir
destination
Nant.
:t~
je l'ai
sa mesure,
L'action
ces noms
ces
parcourant
de montrer
dit,
sa prsence
se modifie
existent
Relations
en
ou
son
petite
adverbiales,
que
l'emploi
de l'ac-
absence
et non
modincatiis.
quantit,
comme
a4
Dans
en
t86
GRAMMAIRE
hbreu
par exemple,
alors
forme,
que
~ai fait
connaitre
tention
de rcr!va!n,
verbe
la couleur
ne doit
Le
!e nom
dveloppcmens
et de Verbe,
nous
expressions
bien
mrite
d'tre
entre
saurait
la force
Fessence
ce n'est
que
jamais
que
du nant
la Parole
l'Univers
Je
borner
diesse
l'tre,
nait,
que
trop
une vrit
adverbiale
par
de cette
aussi
rien
traducteur
simples
nature,
une
Parole,
ou
mais
au nant,
sur
telles
de
o sont
multitude
et tenterait
chose
et que
que
ne vouloir
se modifie,
l signe
que
pas,
la Nature,
que
ternel.
Je
spculations.
nos connaissances
de mots,
q lui parait
qui
une har-
difficilement
de ramener
nt
tellement
que
grammaticales.
concevrait
vainement
sens
serait
lmentaires,
expressions
l'tat
ou
se dploie,
l'intelligence
renferment
de l'Univers;
vouloir
nier,
et
rnchirait
quelles
celle
les
la substance
Quiconque
verrait
le
affirmatif
a des l-
compliqu.'
complique.
entendre
je puis bien laisser
que I~HirmatIon
pourtant
existe par elle-mme,
d'une manire
absolue,
indpendante,
enfin,
au
intelligent
l'adverbe
et K~
n~
au-del.
ou de l'tre
but
entre
ou
expressions,
affimer
deux
une
et
y avoir
del
pas
dans
grande
accabl
Mais
son
m'appesantirai
toute
langue
L'esprit
mens
pour
marche
ne
1H
de ces deux
non-seulement
passer
et donne
H en serait
quand
temps,
sur lui-mme,
en reumt
Il existe~
remarqu.
oui et non,
il ne
sur
ai l'in-
de l'Asie.
cette
le verbe
se plie
de la phrase,
ce qu'on
Cette
car la
aa signe dont nous sommes partis
dont nous nous occupons
en ce moment,
difere
et mme
se confond
avec elle par pludsignative,
communes
Je me rapple
avoir indiqu
d'avance
de la relation
et ngatif;
secows
revenons
adverbiale,
Ce point
au
d'intensitive,
le mouvement
de vue
vient
la marche
de mes ides
attention
qui suit avec quelque
doit s'apercevoir
avoir parcouru
des
le cercle
qu'aprs
d ta Parole
diverses
de Nom
spas les modincations
Lecteur
sieurs
sous
reoit
perdre
grammaticales,
peu
verbale
la forme
de la circonstance.'C'est
jamais
relation
HEBRAQUE,
,-14
~.<
CHAP'X,M
renferme
est'
le verb&d~ont
dans
h
affirmatif:
Voil
ngation
dans
pourquoi,
l'effet
alors
pour
on interroge.
cette
peindre
rendre
pourrait
dtruire
parat
avoir
pu lieu
sens
de la phrase
ticle
dterminatifn
Au reste,
ellipses
toutes
grande
~?~
~nnn
:tjTt.~r!~~
Je vais
Sous
je l'ai
relations
le
C'est
l'ar-
dit,
adverbiales
ex-
premire
l'absence
et
se lient
exceptions,
forment
avec
eux
des
de
ces
quelques-uns
rapporter
il sera
quand
o-d'eux?
moi
besoin.
o sont-ils)
(o est-il?
(en ma puissance).
nous
Devant
et entre
devant
moi,
Autour
de moi,
de nous (nous
encore
d'eux
~n~~
partis).
toi
toi,
autour
Encore
T7n
des peuples
de la voix.
La
la
Derrire-toi.
Entre
.~s
est assez
dans
la plupart
sans
le mot-a-mo~,
qu'on
particulire.
souvehl:
et
en
la seconde,
adverbiales,
O-de-lui?
;a~
:Q~M~3
'3~
tr~
Q~3~ s~y~
toute
nergie.
en interprtant
hbra&mes,
attention
suspend
et C3Kn
~'? et
dfense:
et verbaux,
un
adverbiales
l'usage
de plusieurs
sont
en
ordinairement
glus.
la
les relations
nominaux
d'une
une
mrite
mais
de l'accent
usites
plus
l'opposition,
Celle-ci
afnxes
au moyen
Les
on
comme
Quelquefois,
force interrogative.
une
noncer
tre,
Q~
lieu pour
moyen
l'indique.
s'exprime
rapportes.
le nant.
aux
qui
la cessation,
prime
au
prends
La Ngation
j'ai
elle a encore
~erbe
opposition.
relations
de la parole
est-ce-que?
c'est--dire,
deux
possde
par
comme
son
le verbe,
en franais
L'interrogation
langue de Moyse~
mridionaux;
L'hbreu
c&r tout
nie.
entirement
modification
rare.
ee puisse
que
c'est
de~mre,
sans
Quelquefois,
langue
quelque
c~es~ainrmer:~
verbe
que
elle constitue
l'essence
<
ou
n'est que son absence
? ( sont-iis
entre-deux.
devant
nous.
de vous,
autour
sbninies
encore),
encore)
?a
homme des-entre-deux(uottantntrles
d'eux.
eh!
'
t8B
GRAMMAIREHBRAQUE,y
~~? M~~
Yers-es-entre-deuxdes-entassemcns-entassemens.
des espaces
le centre
(vers
des sphres
thrs,
c<~estes,desm6ndes).
cy~i~
De rentre-deux
m~o
ds-chrubins
les forces
qui reprsente
(damuicu
de
ce
est
le
multiplicatrices).
interrogation.
~na
wun
na
Quoi
iui--eHe
Quel
pch-mien
Le
:*inp~)Ql~nn<
3~Tr!Q~3
boeuf-mme
buf
mme
Dans
le tombeau
est-ce
~.Bt
m~t
.'TH<Q
qui
de qui
j'ai
qui fera
t'adressera
pris
? (
clater
vers
qui
tu le visiteras
Qui
est le Seigneur
toi ? (qui
ses chants?)
tu visiteras-lui
ainsi
mes
pch).
j'ai pris?)
que
nous
yeux
? (Est-ce
le fils.dAdam?)
ainsi,
?
ces monts?
sur
moi?
viendra
Faide
que
les iniquits
Est-ce
ma~jnn~~aM
T
est mon
Et-le-fils-d'Adam
D'o
:Q
? (quel
que
Eleverai-je
:Q~nrr~k
lui dit-il?)
? (que
tu considras,
Jah!
~V<~O~M.
Tu n'ajouteras
:~otr~
:wr~1 T
~~yn~
T-:
Tu
plus.
n'agiras
plus
II ne verra
plus.
Je recommandai
't
consommer
.t.
~KG~
T
De rien
hostilement
(de ne
que.
Il ne rencontra
a toi
fortement
consommer
propos
point
de rien.
d'aide:
d'aucunement
aucunement).
CHAP.
tyvw:
~rrw
Q~K
. Il.
X,
t8~
il-sera
Non-pas
(Il n'existera
Tu
:~OB~rw~rt~'?
~Q~
pas d'autres
ne feras
Et-il
~!T.V!'
O~ST!
Dieux
a toi
point
ne sera pas
dluge.
Dieux
pour-toi
autres.
pour toi).
de statue.
un encore
des eaux du
(Les eauxdudlugenes'leveront
plus).
t)~
n'on
rM?
Pour
nullement
le blesser
0~53
ne le savais
~yM
Et
nant-de-lui.
~M
Et
nant-de-toi
apnn
~~3
'~an
pas,
Et
3&M~
Car
n~
dansla-bouche--eux:
et nant
(Il
il ne surveillait
nant
dans
avec vous).
voyant,
surveillant.
savait,
~n~~
(Tu
pas).
il n'y a point
chose
nant
nant
niM
plus).
et nant-d'eux.
esprit
(Car
quelque
n~
( Il n'est
~o
de ne
pas.
ils ne sont
Nant-d'tre
!Tn~
lui. (Afin
nullement).
Je
n'est
blesser
la mort
ne
et
sachant,
il ne
voyait,
rien).
souvenir
ner-
la mort
tu
me chtieras!
ta colre).
etc. <<c.
(ne me chtie
plus
tienne
dans
GRAMMAIRE
igo
HBRAQUE.
M!
Des
Au milieu
ont
entrepris
sans
mrite,
dont
des innombrables
travaux
la plupart
de ces savans
l'origine
du signe,
et qu'ils
qui
modifier
tait
nom
Les uns,
barbare
plus
en ont
que
pas
pas
les
de remonter
particulirement
ou
la fin des
six
Jt~, M,
ne s'arrtant
Les autres,
pour
en
Q, J et n
et
mots,
runion,
jusqu'
tous
presque
remarqua
de leur
d'A<~Ma~A<M.
loin
ils ne pouvaient
liMnt
rsulte
qui
ne sont
plusieurs
s'aperussent
bien
au commencement
paraissent
le son
fussent
jugeassent
arbitraire,
la signification,
prenant
derniers
Quoique
tres
ne
des sicles
avaient
ils communiquaient
de le distinguer.
et dont
qu'ils
impossible
hbraques
ces caractres
les savans
que
des Hbreux,
sur la langue
il tait
caractres
C~~A~~<M'Oyog7~M~.
dsigns
ceux
qu'
par
le
que
le
hasard
insrer
sans raison
dans certains
ou leur ajouter
mots,
parat
les ont nomms
c'est--dire
~M/~c/M~. Ces cavidente,
~a~a~c~M~
au nombre
de six, sont
ractres,
*!<.t et n. On
galement
M, !t.
voit
que la seule
c'est,
~Mc~,
Je pourrais
diffrence
ces derniers,
parmi
sans
doute
dont
j'ai
assez
entretenu
pour
ne
laisser
rien
hbrasans
en ont
S En
considrant
me
vu qu'il
sans
dans
H'?*!
t~'O
le
rapport
de ces
caractres,
de signes
mais
ce que
les
auxA~MM/
appartenant
la dure
la stabilit,
la force,
de
je vais
ce caractre
la domination.
comme
sous
dire
succintement
pens.
la substance,
en t,
1 substitue
de parler
dispenser
desirer,
ont
le trouvait
les ~~M<M<~
la voyelle
le Lecteur,
les hbrasans
qu'on
entre
qui existe
comme
exprimait
motifs
Comme
ajout
les exemples
s allrent.
Ils voulurent.
paragogique,
quelques
temps
ils
verbaux
suivans.
jH~J t
Ils enlevrent.
etc.
ont
enseign
termins
X, m
CHAP.
Cette
Soit
l'on
que
On sait assez
signe,
qu'il
peut
mutile
soit
noms
que
1 H n'est
point
question
caractre
de changer
au pass celles
a}out
comme
verbes
ou
rien
j'ajoute
que
ou
y&<nr)~Tt
1~~
O~Q'~t'yiQ*?
t
<7 1
Les hbrasans
attribu
les mmes
portant
davantage
Le
ai
j'en
ou emphatique.
proprit
les espces
de
possde
ce
que
des verbes,
temporelles
et au futur
terrestre
en portant
au passe.
ils le considrent
(le rgne
Lors-
simplement
de leslier
L~an!ma!te
ou parmi
relations.
I'appIent~<FD~o~M~,
certains
Elle
ce que
toutes
terminer
ici de l'tonnante
aufutur;
de plus
dterminatif
article
lesmodHications
qui sont
de l'arabe
lesA~wMM<&M,
parmi
commencer
tant
mots,
imite
de l'action.
ce caractre
range
il es~
les/)a~og~K~,
dit, soit comme
de redondance
sorte
et la dure
la force
exprime
il
est une
addition
/9'
ensemble.
animt)
Uts de BewhAr.
La source
qui ont
des
c/c.
eaux,
vu un ~<~Mw/Ae
qualits
qu'a
la voyelle
l'esprit
qu'a
la matire.
dans
K,
ce caractre,
mais
lui ont
plus morales,
trait
qui Font
Ceux
et
de
le trouvait
insr
dans les mots,
ont dit qu'on
~rc~g7<yKc,
quelquefois
et plus souvent
dans les fminine.
Ils n'ont
plac la fin, surtout
point
dit la cause de cette insertion,
ou de cette addition,
trsqui rsultent
certainement
de la {acuit
la maniqu'il a, comme
signe,
d'exprimer
iestation
et l'imminence
:~T~
a~ns~
~pQ
;~ran~
C'est
A F effet de s'informer,
Elle sera faite
T~Q
~nn
des actions
Une
Lui
foule
immense
constituant
Amante
Ennemie
de suite
avec
avec
avec
ainsi
moi-mme,
de peuple
gloire.
clat.
audace,
qu'on
de s'instruire
par
etc.
trouve.
une
sans relche.
ouvertement.
uche
rapide.
GRAMMAIRE
~a
Ce
hJ
trouve
caractre
plac
il devient,
commencement,
selon
pu si souvent
dans
la Langue
nu'ils
ont
notes
mes
quelques
Ce qui a caus
de le confondre
avec l'affixe
les
sans
:EH!Qt<
Une
de Moyse
vrit
1/universait
des
:cnj
l cessa
verbal
0. Je produirai
r
o cette
exemples
plusieurs
Voici
universelle
une
Un nom
collectif,
dans
con-
l'instant,
pour
foi immuable.
universel.
gnrique,
collective.
Fipst
des espaces,
des temps,
ilse
entirement;
l'action
Faisant
;TT!~Q
T
erreur,
des
dures,
ges.
Dans
:a~3
est si frquent
c'est b facilit
l'usage
commentaires.
Tout le jour.
T
CPK L'ensemble
~c~iy
intense
leur
contre-sens.
tranges
plus
exemples
;D~;0~
T1
dont
il
ces savans
ces donnes,
qu'avec
ce signe
mconnatre
la fin,
ou plus
gnrique,
singulier
il forme
est
Lorsqu'il
se
est au
Lorsqu'il
et instrumental
et d'objets.
de Moyse.
a caus
fusion
local
eux,
comprhensif,
sur la Cosmogonie
les hbra&ans,
par
de passions,
d'actions,
eue
les hmanthes;
parmi
au commencement
galement
les noms
HBRAQUE,
de se perdre.
de dcliner,
gnrale
abimer
dtruire,
dgrader,
tout-a-fait.
reposa
entirement.
etc.
J
les A~K<M<&~
Parmi
en soi,
replie
il s'ajoute
gogiques,
dans
par
dans
~~n
il se place
la fin.
disent
raison,
par
ou l'action
des
les voyelles
mots
les
t bu
suivans.
Ils surent
Tu
feras
tfwt
sans
an long.
ngliger.
et
passive,
mots
ou le d-
Parmi
les
aux
hbrasans,
la prononciation.
pour en adoucir
ce cas, il garde
son caractre,
comme
les exemples
:t ?ty~
sans
exprime
au commencement
qt~nd
termines
verbales
quelques
mme
il parait
quand
et l'augmentation
ploiement
cations
ce caractre
ou bien,
para-
modifiest insr
II est vident
que,
en peut
juger
on
CHAP.
Afin
!?~
de donner
bien.
Il le serrera
:~3
M Les
lui ont
mer
de Fam,
Mmoire
inbranlable,
trs-tendue.
les A~~aM~
parmi
comme
qu'il a, en effet,
signe,
d'expriet leur rciprocit.
Ceux qpi en ont fait
choses,
remarqu
que la grande
propension
qu'il a,
des
n'ont
au
caractere
relatifs
exemples
!T.X*!1 Tristesse
dont
propension
sa rciprocit
j'ai
comme
assez
parl.
Voici
signe:
rciproque.
MK'UT!
loignement
Il desira
aversion
mutuel,
et continuellement
mutuellement
T T:3~
Sommeil
nQ'un
sympathique.
Rtribution
ce caractre
rang
la proprit
un /MMio~o~M~
:n
entire
dsorganisation
considrable.
qui ont
la continuit
se substituer
a lui).
(l~tre
tristesse,
Approvisionnement
attribu
d'tre
Tourment
hbrasans,
quelques
soigneusement.
sa lanire
Voil
;<~
'9~
gnreusement.
Il l'entourera
:in~
. III.
X,
contribution.
mutuelle,
etc..
IV.
Conclusion.
Voil
effets
a peu
tout
prs
du signe.
Ce serait
en faire l'application;
Il est vrai que dans
aux racines
sorte
difncile
en
T.
I.
devenait
doute,
ont
connu
des
s'ils avaient
su
et bissyllabiques,
la Langue
vulgaires
sans
beaucoup
je n'en
les entraves
elle-mme,
les hbrasans
encore
mais
trilittrales
de dvotion
ce que
hbraque,
nulle
qu'ils
cette
dans
assignaient
application,
avec
une
dj
trs-
ses rsultats.
25
GRAMMAIRE
,g~
me
J'ose
arriv
des
les langues
une
Parole,
qui m'aura
que le Lecteur
de ma Grammaire,
ce point
flatter
convenable
autant
hommes,
larit,
l'homme
organes
d'institutions
due
fortune,
production
de
rien
Rien d'arbitraire,
ne se dveloppe
gane~
HEBRAQUE,
avec
ne parlerait
faits
scion l'tat
ce principe
le principe
toujours
prt se modifier
plus
ou moins
tin
la recevoir
Plus
raboteuse,
sombre
ou nul.
varier
puisse
de puret.
et s'y rfracte
le cristal
surface
reste
La lumire
l'infini.
sans
acquiert
avec
est pur,
Ainsi
cesse
Plus
plus
dont
une
elle
s'y
Et le
im-
existe
ou moins
plus
i!s
nergie
n'en
lorsque
l'un
par-
sont tirs,
prsentent
et le rflchissent
homognes,
la lumire
frappe
plus
sans
le cristal
des-
au poli de
analogue
Une
brillante.
montre
ou noircie,
ne rend
qu'un
clat
indcis,
immuable,
quoique
son
clat
rfract
se comporte
le principe,
de
la Parole.
il indique
dans ses effets l'tat
pourtant
cet tat acquiert
de perfections,
et il en
au fond,
de l'homme.
organique
moins
Ainsi
ou souille,
le mme
Toujours
ou
plus
Mais
les autres,
substance
rgu-
modification.
donns.
divine
de la
temporel
des foyers
avec
sa surface.
l'essence
dans
cette
vrai que
{
de la Parole
de .cette
la
des or-
tl est bten
mais
pas
dans
plus
et dans
avec
ne marche
indpendant,
pas moins
se prsenteraient
des. organes
susceptibles
et les organes
sont galement
principe
ternel,
ne verra
au mcanisme
constance.
existerait
muable,
l'attention
avec
arbitraires,
seulement
fortuit,
cette
suivi
la Parole
trouve
de facilit
dployer
ses
beauts.
A mesure
que
Les
nement.
langues
des
quant
dpendantes
man,e.
cet
la
si ses organes.avaien.~
une ~e~e langue
susceptibles,
l'autre
gard
les
accuse
manifestation
parfaite
extrmit
marche
de la Terre.
seratt
perfectionde toutes
vicissitudes
elles
tend
in-
en sont
il
dont
l'unit
l'imperfection
des organes,
cette
mut.
S~ .l'homme
la p~ectipn
dont
de
acquis
son
la forme,
ce principe
Or,
des,id~mes,
s'opp.pse,~
tout
quant
organes
auprinpe.
La multipHctt
puisqu'elle
marchent,
prouvent
Dpendantes
choses.
tait
sont
les sicles
toute
entendue,
et parle
ils
d'une
J.
Je
sehs
mais,
cette
que
X,
toute
vraie
ide~
la vrit
lorsque
CHAP.
. IT.
est, parura
qu'elle
paradoxale;
sous ma plume,
je ne sais pas
se prsente
la
repousser.
Parmi
plusieurs
choisi
langues
l'hbraque,
sensibles.
d'en
je n'aie
connatre
a d'autres
Car
est la base
les
nglig
moi,
pour
le matriel
enseigner
mon
que
lev
j'ai
mon
rendre
de
difice
gram--
les langues
toutes
reposent
j'ai
a t
principal
le transporter
but
le Lecteur
sur lequel
sur laquelle
offertes
et les
et d'engager
le Signe,
unique
sont
dveloppemens
nanmoins
le gnie,
tudes.
matical,
rien
se
qui
suivre
j'avoue
antique,
faire
en
pour
Quoique
cet idiome
simples
du
Monde.
Le
dcoule
signe
directe.
man
de la divinit
forme
et avec
tat
non
dehors,
dans
encore
une
seulement
tous
impulsion
que
l'esprit
la Parole,
sous la mme
partout
les organes
de
chargs
pas
que
ne sont
pas
tous
sous
les ges,
de
ternel
principe
les mmes
les climats;
humain
chez
mas
modifie
reson
selon
temporel.
Le signe
signes
que
se borne
aux inflexions
d'inflexions
possibles.
ont distingus
Les
les
qui
peuples
en les reprsentant
comme
ht
du
et s'il ne se prsente
les mmes
c'est
attributs,
le produire
au
tous les peuples,
oivent
icnt
on
des
par
le voit
dans
de l voix. Il y a autant
de
simples
sont en petit nombre
Ces inflexions
de leurs
caractres
ceux
rieures
ont
appliqu
le voit chez
gyptiens
qui,
une
srie
les
qui
hiroglyphique,
indtime
Chinois,
possdaient
devaient
de
tre,
sont
racines
toutes
des formes
monosyllabiques.
extleur
comme
composs,
intrieures.
images
constituent
Leur
on
Les
et la combinaison
en effet,
qu'ils Ftaient
du Monde.
le plus clair
entr'eux
ont
possdons,
ainsi
Les
choses,
entr'eux,
combinaisons,
ses
perfectionn
la fois le signe littral
Les diverses
des
caractres
ont
le peuple
des signes
combinaisons
temporel
que nous
le rapport
sous
du langage,
avec ces mmes
les confondant
le perfectionnement
diverses,
de se lier
susceptibles
littral
l'alphabet
combinaisons
nombre
pour
les
est
s5.
l'tat
~<-in<'s;
born
GRAMMAIRE
.96
car il ne peut
deux
d'une
C'c~t
toujours
risent.
Platon,
une
par
au plus
gnrique,
d'une
espce,
de la pense
les ides gnrales
avait
particulires,
elle ne
origine
les
toutes
leur
s'appliquant
mme
mme
nature.
se particula-
qu'elles
comme
raison
entre
possibles
Dans
restriction
qui considrait
aux ides
antrieures
prexistantes,
relativement
mme
La vgtation
se conoit
qui les exp nncnt.
le chne
l'arbre
le vgtal avant l'arbre,
avant le chne,
le vgtal,
On voit l'animalit
avant l'anitoutes
les espces
particulires.
des
la formation
avant
avant
~nal,
l'animal
loup
avant
mme
et leurs
donne
ou le signe
le loup,
avant
le quadrupde
le quadrupde,
ou le chien,
le renard
aussi
Les
mots
avant
Au moment
races
le
diverses.
a la racine,
naissance
il pro-
la relation.
ides
particulires
autour
glomrent
reoivent
matiques,
forment
cette
foule
le verbe
Cependant
une forme
de mots
unique,
que
les idiomes
de l'homme
l'a senti
verbale
en
est pntr.
noms
qu elle
qu'il
circule.
Mille
divers
se partagent.
sous-entendu,
jusqu'alors
son essence
et parait
analogue
une rvolution
brillante
a lieu dans
poque,
vie
vague et
d'une
forme,
mme
choses
et
ide
qu'une
prsentent
duit
et un vocal
consonnans
signes
au de 1~ des combinaisons
s'lever
jamais
HBRAQUE,
dans
s'approprie
le discours.
la Parole
La
A peine
substance
anime
A cette
l'esprit
La
s'allume.
des
deviennent
verbes
particuliers.
Ainsi,
distingue
vement.
la Parole
le genre
par
Le verbe
le temps
de la volont.
par
ces deux
est divise
se laisse
et par
parties
et par
le nombre,
affecter
la personne.
Le signe,
du
en substance
qui
discours,
et en verbe.
la qualit
par
par le mouvement
Il se prte
transmet
toute
les dirige
dans
aux
La substance
et par
et par
ditcrentcs
sa force
leurs
se
le mou-
la forme,
afcctions
a la relation,
mouvcmcns,
lieet les
cuusHul.
Tout
dpend
ensuite
de l'tat
temporel
des
choses.
D'abord
mille
CHAP. X, V.
Idiomes
dominent
sionomie
locale.
sur
Tous
mille
ont
de
points
leur
gnie
sante
'97
la Terre.
vers
de l'ocan,
se heurtent
et confondent
Une
plus
se propage.
Les
sont nombreuses,
et se mlent,
tendue
sons
se forme.
s'adoucissent
lgantes,
facilit.
ont
leur
Mais la Nature,
particulier.
de rtre
des tres,
reoit
a l'impulsion
unique
qu'elle
l'unit.
Les peuples,
les uns
pousss
langue
Tous
les autres,
obismarche
comme
leur
les vagues
idime
natal.
Cette
s'enrichit,
langue
le frottement.
Les
par
phy-
se colore,
e-
expressions
La pense
nergiques.
s'y dveloppe
docile instrument.
Mais une,
deux,
avec
un
Le gnie y trouve
trois
rivales
se sont galement
le mouvement
formes
langues
qui porte
l'unit
au lieu de quelques
continue.
faibles
Seulement,
peuplades
se heurtant,
entires
ce sont des nations
dont les flots maintenant
au midi,
et de l'orient
a l'occident.
se rpandent
du nord
Les langues
se brisent
les existences
comme
Leur fusion
a
politiques.
lieu. Sur leurs dbris mutuels,
et d'autres
et d'autres
s'lvent,
nations,
dbords,
domine,
passs,
fille
langues
page
de proche
0 France!
sacre
et juste
pour
les ramener
hritire
en proche
A ma
tous
Patrie!
de
de tous
et envahit
es-tu
les hommes,
a l'unit
jusqu'
de la Parole?
toutes
C'est
tes
les idiomes
une
seule
dcouvertes
du
Monde,
Nation
des
ges
se pro-
la Terre.
tant
destine
a-t-elte
ce qu'cnun
reu
ta langue,:
de gloire?
du ciel assez de force pour
le secret
de la Providence.
LA
LANGUE
HBRAQUE
RESTITUE.
PREMIREPARTIE.
~?0\
RACINE
~~E
~r~,
AI(~TJ~S.
RACINES~J~AQUES.
~MM~<M~<<<~<~<<W'<W~M*M*
AVERTISSEMENT.
d'une voyelle-mre,
d'un
l'adjonction
primitive~ soit par l'amalgamme
leur fusion
ou de plusieurs signes, la runion de Racines elles-mmes,
lune dans l'autre, ou leur contraction.
et cette
cette uniformit
dans les principes,
Cette grande simplicit
dans les dveloppesret dans la marche, cette prodigieuse
fcondit
mens, avaient fait penser aux anciens Sages de la Grce, porte de
et d'apprcier
les restes du dialecte sacr de l'Egypte,
que ce
dialecte avait t l'ouvrage des prtres mmes qui 1 avalent forg pour
l'allure irrgullcre
leur usage particulier
ne concevant
pas, d'aprs
qu'ils voyaient suivre l'idiome grec et mme l'idiome vulgaire alors
connatre
livre son
en usage dans la Basse-gypte,
qu'une langue quelconque,
Leur erreur
ce degr de perfection.
propre essor, pt jamais atteindre
tait jusqu' un certain point excusable.
Ds ne pouvaient
pas savoir,
de moyens de comparaison,
quelle est l'privs comme ils l'taient
mre et
norme diffrence
qui existe entre une langue vritablement
T. t.
AVERTISSEMENT.
une langue qui ne l'est pas. Le mrite des prtres gyptiens n'tait point,
comme on le pensait,
d'avoir invent l'idime antique dont ils se servaient en guise de dialecte sacr, mais d'en avoir approfondi
le gnie,
d'en avoir bien connu les dmens,
et de s tre instruits les employer
leur nature.
conformment
le Vocabulaire
radical que je lui
jugera bien en parcourant
donne, et que j'ai restitu avec tout le soin dont j'ai t capable, quel
la langue dont
degr de force, de clart, de richesse, devait atteindre
illbrmait
la base; il sentira bien aussi de quelle utilit il peut tre entre
Le Lecteur
les mains
l'ocurieux de remonter
sage et laborieux,
rig!nc de la Parole et de sonder le mystre,
jusqu'Ici gnralement
mconnu, de la formation du langage. Mais cot du pont que j'ai lve
sur le torrent des sicles, un abune assez profond
s'est creus
je dois
le
d'un
il
signaler
sa
homme
Le voici.
prudence.
autre
dvelopper
veloppemens
dcouvrant,
l'hbreu,
connat,
toutes
une
sa propre
s'avisait
les autres
elles
ou modernes
langues anciennes
est la langue primitive
que l'hcbrcu
il se tromperait.
Il imiterait
cette
descendent,
langue,
dc croire
qu'il
dont
foule
AVERTISSEMENT.
systmatiques,
qui,
point
a
voulu
ayant
dcoule
du principe
par le principe
Le franais,
de la Parole,
de sa formation.
universel
en diffre
essentiellement
particulier
issu du celte par ses racines les plus profondes,
modifi par une foule de dialectes, faonn par le latin, par le grec, inond
refaonn
par le goth, ml de franc et de tudesque,
par le latin, reavec tous les Idiomes voisins, le
poli par le grec, en lutte continuelle
de toutes les langues aujourd'hui
existantes sur la
franais est peut-tre
face de la terre, celle dont il est le plus difficile d'assigner les tymo cet gard. Cette
logies. On ne peut agir avec trop de circonspection
est belle
mais sa beaut ne tient point sa simplicit
au conC'est mesure qu'on s'clairera
traire, il n'y a rien de si compliqu.
sur les lmens qui la composent,
de leur
qu'on sentira la dinicult
langue
a.
4
nues,
AVERTISSEMENT.
l'hbreu,
le samscrit
mais pour
il y faudrait
y conduire;
du franais,
et le chinois,
comme je l'ai dit, y
peuvent,
dans tous les dtails tymologiques
pntrer
fond
joindre encore le celte, et connatre
tous les idimes qui en sont drivs, et qui, directement
ou indirecont fourni des expressions celui des Gaulois nos aeux, des
tement,
Romains
nos matres,
ou des Francs
leurs vainqueurs.
Je dis connatre
fond,
Le premier
franaises.
pas qu'il fit dans cette
ridicule qui l'et entirement
discrdit
s'il et
rencontr
cela de savoir
primant
tout
disons
encore
(*) Nous
mer
ce qui
marque
que
est
fc~/MHM.
le mot
banal
pour
Il est
retenu,
expride re-
digue
&<!nJ remonte
& la racine
caracgallique
Z~</<,qui, JaMsuMset'sreatremt,
trise
tandis
K~e~MMC~
que ses analogues
c<MKMt< et gnral
la ras'attachent
l'un
cineceltique
ue la racine
ces deux
G~~M,
t~~M
grecque
r,
racines
caractrisent
ou ~um,
qui
en ddive
galement
e).i'aaor
une
femme,
et
tout
ce qaise/CM~,
tMMMt~Me, ou g~o<&
gallique, uw on 2u~ en grec,
de relatiou
servent galement
adverbiale,
pour exprimer
signiRe .MM', se
grecy~t~
,/c/MNte, et le' mut o<KMt,
mand moderne
tient la nu!
plique
f~MM~
McoM-
~M en celte
cum en latin,
ou
dsignative
avec. Le verbe
M<mef, p/e/tjne
qui dans l'aUeme rach<e,
s'ap-
AVERTISSEMENT.
o~/c~ analogue l'hbreu
aux mots, exprime absence.
~c/
~M,
ou e~~M~e~e~.
nos expressions,
dlaiss,
Court-de-Gbelin
fit une faute encore plus grave lorsqu'il
racine
d'une prtendue
drivait
que le mot franais ~c,
crivit
primitive ~c~ ou ~e/~ qui, selon lui, signifiait l'eau et tout ce qui est limcar comment
oucomme cet lment
pouvait-il
pide et transparent
blier que dans la langue celtique et dans tous les dialectes du nord de
/you~<~
1 Europe, la racine
dveloppe
et signifie,
les ides de l'Etre en gnral,
de 1 homme en particulier,
et devient mme une sorte de
suivant le dialecte, ce qui cs~ ce qui~
verbe auxiliaire pour exprimer cequise/~
? On a del peine leconcevoir.
a pu s'garer ce point en
Or, si un savant aussi recommandable
des tymologies
franaises, je laisse penser ce que pourraient
faire ceux qui sans ses connaissances
acquises voudraient
risquer cette
carrire.
traitant
entrevoir
il a du moins
nn~ SM~tt
Der ~r.
1808.
AVERTISSEMENT.
les premires
au point de
rgles de l'tymologie
des mots de deux,
pour des racines du samscrit,
de trois et de quatre syllabes;
ou feignant
ignorant,
d'ignorer
que
toute
racine est monosyllabique;
il
je conois encore moins comment
n'a pas vu que, dans la comparaison
des langues, ce n'est jamais le commais la racine. Le samscrit
pos qui prouve une analogie originelle,
a sans doute de grands rapports avec l'antique celte, et par consquent
un de ses dialectes; mais ce n'est
avec le tudesque,
pas en interrogeant
de mots composs
une trentaine
de l'allemand
moderne,
qu'on les
ces rapports.
Il fallait pour cela descendre
racines
jusqu'aux
primitives des deux langues, montrer leur affinit, et dans des composs
invitablement
divers, distinguer leur gnie dnrent, et donner ainsi au
prouve,
et a l'historien,
des matriaux
philosophe
pour pntrer dans l'esprit
des deux peuples, et noter leurs rvolutions
morales et physiques.
Mais ce serait sortir de mon plan que de m'tendre
davantage sur cet
a t de montrer
la
objet. Mon seul dessein dans cet Avertissement
de la science tymologique,
et de prmunir,
autant qu'il est en
contre les mauvaises
moi, un lecteur
trop ardent
qu'il
applications
et les erreurs
aurait pu faire, en gnralisant
des principes
particuliers,
dans lesquelles trop de prcipitation
l'aurait pu faire tomber.
difficult
~n~M~o~M
dont
il est fait
usage
Ar.arabe.
dans
ce f-ocabulaire
Eth.thioptqne.
7!. e<MK/).racine
R. intens.
R. onom.racine
Hb.hbreu.
S.sigae.
Syr.<syriaque.
R.raciue.
SS.signes.
Gh.
RR.racines.
chaIdMqoe.
V.voyez.
racine
ro!dK'a/.
compose.
inteusitive.
onomatope
~j~MM~~I~~j~lj~t~ll~
RADICAL
VOCABULAIRE
ou
SRIE
DES
RACINES
HBRAQUES.
M A.
K. A. Premier
3K.AB.
de l'alphabet
les idiomes
connus.
dans
tous
presque
Comme
image
symbolique,
sente l'homme
universel,
l'tre
main,
Dans
dominateur
son
acception
il caractrise
l'unit,
le principe
abstrait
d'une
signe,
la stabilit,
puissance,
chose.
Quelques
grammatistes
aussi la facult d'exprimer
Em-
il
exprime
la continuit.
lui
la
tant
1 article
au commencement
mots.
une
Les rabbins
sorte
d'article,
d'o
dcoulent
ides de cause
sieurs
idiomes
lement
dans
s'est
le persan
applique
en
H,
emphatique
qu' la fin des
comme
remploient
et lui donnent
le
mme
les rendre
redondante,
pour
plus
sonores
et ajouter
leur expression.
Son nombre
est .
arithmtique
produit
toutes les
Dans
spcialement
comme principe
Un
dsir
d'avoir
En rflchissant
diverses,
les ides
plu-
aqueux
la fructification
universelle.
Toutes
dtermi-
gnrative.
antiques,
runi
de volont
productive,
de mouvement
l'lment
Racine
cine
donnent
comme
une
efficiente,
de force
nant,
hiroglyphique,
le point
central,
comme
ploy
caractre
de
de ~M~VH~
un pre
un fruit.
sur ces significations
disparaissent
qui d'abord
on sentira qu'elles dcoulent
parates,
l'une de l'autre
et se produisent
mu-
tuellement.
L'ar.
<~J
renferme
toutes
les si<
t
hbraque.
et ~t~-
de la racine
gnifications
Comme nom, c'est MM/
et ~y~MC/~a~/t;
~~TM~ M~~M<
et produit;
tout ce qui est producteur
et verdit
sur la
tout ce qui germe
30R.ABB.
~.A~.
terre.
Comme
(*), c'est
un but desir,
ver~e
de A"~<~vers
fc~r/<~
l'action
~SS.
AG.
de pro-
sage
dans
caractrise
qu'en
composition,
son acception
une
primitive,
agissante
qui tend s'augmen-
etc.
revenir,
~!< ou M~
(jR. M/.) tout ce qui
croit et se propage
la vgtation,
la ~~TMM~OM.
3!1K.
J
co~Mp.) Toutes
(~
<~
OMOMr,
tion,
de bienveillance.
de
vie
la
sir cf
le
~C/~MZ-
C'est
donne
n qui
mouvement
de
en
sens
celle
d-
la R. ~K,
dans
d'expansion
transforme
le
le signe
l'ide
~<w~ renferme
d'aprs
les ides
~/M~<~M,
C'est
d'amour.
une
vie
une volont
M)paM~ qui
dsireuse,
cherche
se rpandre
au dehors.
C'est, dans un
31K. (~. comp.)
sens
tendu,
la
universel,
~w~s~ie
dans
/~<&on~~
une
cavit,
Pour
(")
la forme
un
nier
caractre
en arabe,
forment,
ne sont
Ces verbes
au
sens
une
cette
<~
il suffit
de supposer
C'est
douM,
ainsi
tous
les verbes
point
considrs
fausse
doit
mair
le derse
que
radicaux.
comme
du
v~rbe
faire,.
qu'ils
~Jm9
C'est en partant
type verbai.
toute
racine
supposition,
que
trois
caractres,
possder
iens hbraManstaieatpur
iMttretesyraicsracinesdeialanguehbra'tque.
d'u-
n'est
L'arabe
l'arabe
.~(
tant
ide~~KagTM~MC~
morale.
renferme
toute
que
physique
que
selon
tK.AD.
Cette
de
signes
sibilit
la puissance
physique,
distinct,
L'ar.
straite
!es
posent
de,cette
seul,
tout objet
indique
extrait
de la multitude.
conu
et comme
d'une
manire
ab-
relation
adverbiale,
une potemporel,
lorsque,
quand,
& puissance
de la division,
/MM~
MM~C~M/M<<0/t, MM<M07~/Mrelative,
m<M<.
T)K.
cause
(J'
ou
chose
une
la
(A
co~Kjp.)
de puissance
force,
une
une
chose,
ide
Toute
de
<& H~'c~t~*
voyez~
MiS.
AH.
verba!e
des
compose
et de la divi-
racine,
occurence.
grammairiens
arabes;
mais,
comme
et pour
dfectueux,
w~M
sourds.
Ces gramappels
cet te raison,
ne regarden
t comme radicaux
mairiens
formes
de trois
verbes
caractree,
comme
selon
partes
contraire,
forme
outre,
-t
racine
qui
<<MdM~MC.
*~M. Toutcequimaned'unechose:
plus
etc.
vase,
concevoir
verbale,
radicaux
le ventre,
c'est
restreint,
un
ter.
racine,
un point
exprime
f~ue dtermine
de l'univers,
MM6<~M'C
/'Q?M~O~~Mg,
le Monde,
le MM~aM
<M,
prit
chose
Cette
la
qui
tymologique,
AH.
n~.
Principe
~aqueite
terjective
ks mouvement
t.uit
ceux
qui
vocal.
Racine
s'attachent
intous
de l'me,
passionns
naissent
de la joie et dn
AUR.
~M. AH
de la
que ceux qui manent
plaisir
C'est l'oriet de la douleur.
tristesse
toutes
les relations
interjecgine de
tives
par les
M~ee~o"~
appeles
dit
l<es interjections,
grammatistes.
envaries
Court-de'Gbelin,
peu
tr'elles
l'infini
le sont
le son,
par
de force avec
le plus ou moins
elles sont prononces.
Suglaquelle
t jEournie8 par
gres
par la nature
elles sont de tous
l'instrument
vocal,
par
les lieux,
tous
les temps,-de
les peuples;
elles
forment
Il est inutile
universel.
le dtail
de
leurs
de tous
un langage
d'entrer
dans
di-
modiScations
1
celle
et la plus difRcile concevoir
de M)&M~p; mais non de volont dtermine
ou nanueste,
mais d voet considre
inen puissance,
de tout objet. 'est, &!
dpendante
lont
fO~OM,
OU.aCM&S~OM~O~
l'acM~. L volont
dtermine
tion de ~o~/oM*, de <~erer, de ~n<~
'l'
vers un objet. V. la R. tu
ou ~K
M~
te
?6
La volont
du
volont,
de la
~o~
pat ia relation
dsM',
reprsents
adverbtafo&.V.~a~
3nK.
(jK, con~)
?~r/a~FM~
manues-
Lotion
de~OM&t~
<e c~
V. !aR
lieu iev,
~nn.
(~.
co~p.)
6xe,o& t'on !'gtd~~w~ho~K,Mn<e~
V. laR.
.)'
T.
t.
runi
W.
au
du
image
qui joint le nant
l'une des racines
noeud
mystrieux
l'tre, constitue
les plus difnciles
cbncevoi!'
que
A
hbraque.
puisse offrir la Langue
le sens se gnralise, t
mesure
que
on en voit natre toutes les ides d'a~
de passion
concupiscible,
ptance,
de desir vague
. mesure qu'il se reson n'y dcouvre
treint,
plus qu'un
et de doute,
d'incertitude
sentiment
qui s'teint dans la relation prpoM'
tive CM.
& exactement
L'ar.
verses.
et celui de la
MU. Le S. potentiel
une R. dans lavie runis/ferment
quelle rside l'ide l plus abstraite
(jR.
1~ mme
c(M~.) ~~s~r
sens.
lissant
.rintrie'T.V.a'R.
*t'S<. (jR. coa~?.)
~arag~sam
al'extrieuf.V.
~!)H. (JK. )CM~o.) L'action d~p~
de <&~TC7', de &?M~ avec ~<M~
jMM. V. la R. nK<
T~H. (~~OM~ ) -R~ ak~tr
dan~'espace)
tion adverbiale
(JR
reprsent
~M~~
)r~
V.
s'lanant
par la raia
6~~
se perdant
noui$saat,
dans
R.
dan&
M~a~! V.
~K.
R.
s'va.
fagMe,
d'<M~
rt1p
L'action
(~ cb~.)
Ifaction.d'~tra~
V. la
ner dans sa volont.
R.
L'action de A~
V)t<. (.R. co~.)
un but dsir. V. lt
d ~~M~ vers
R~K.
son
J'<~<'Mr,
le feu, tnutceqm~a~
10
f~R.
AOTH.
tant au propre
brle,
V. la R. 1K.
4-
M~.AT.
qu'au
ngur.
L'action
d'~fwr
(J. co/~p.)
Zf ?M~MC<~M/r, la mme volont,
de
V. la
con~~7M/ d'~rc du ~~Mc c~.
rf!!<.
R.r~.
7N.
AZ. Cette
racine,
peu usite en
un point fixe dans
dsigne
ou de la dure; une distance
On Fexpnme,
dans un sens
hbreu,
l'espace,
mesure.
restreint,par
l ou alors.
L'ar.
les relations
~
de pulsation,
de
d'agitation,
de mouvement
boUtUonnemnt,
gOn l'emploie,
nrateur.
comme verbe,
dans le sens de cfo~MSMr M~~MM'y~;
/OFM~r. Le ch. j~K exprime un mouvement d'ascension
d'apMs lequel une
chose se place au dessus
d'une autre
par suite de sa pesanteur
spcinque.
toutes
X/th. ~HH (<~M) dveloppe
les. ides <MrMM~
a!<~HM!~o~
t
t~
~C~M~)~M<X<M~
l'action d'un
pt'oprement
~M: qui ~'exhale et cherche son point
le moud'quilibre
? c'es~ au 6gur,
du feu; de l'ther,
d'ascension
vement
~*)H. ~st
guides
gazeux
nB~.
celui
en gnral,
"r.
''
AU. Le signe
de l'existence
'y
'J 'I~
potentiel
runi a
lmentaire
n~
plus ou moins
alors toutes les ides
devient
le nom
le feu,
le foyer.
d'galit,
donne
toutes
d'iden-
une
action
Elle iburhit
et
d'excitation,
du lieu o s'allume
nK
MM<M!7M~!cr~,
un parent,
~OC~, un ~OM<M le foyer commun
o l'on se rassemble,
L'ar.
renferme
tribues
'J caractriseunesortedetoco-
et peint
violente.
~H,
logues
adverbiales,
motion,
des
le S. f~
dit, de fraternit.
Lorsque
caractrise
un effort,
principalement
la R. MjM prend
le sens de ses ana-
tous
at-
les sens
l'hbreu
K et *~nK. !7n.r~
toutes
les ides attachesUridentit,
/'MM~c.
'}!'?(.
Toutes les ides <oMC<OM~
~M7MH/ de rapprod'adjonction,
cA~/MM''
Un
~K'0~~
un jonc,
MM~
ZMM~.
(jR. co~'M~.) Toutes les ides
~n~.
4 'adhsion
~CgJ~Pn~e~MMM,
~b?M~'<~MM~ de runion,
de passes-
-yMM~
'tr!t<-
(~.
Tout
co~.)
ce qui est
a~M~ctM<o~]My'M:Mr;toutce
tout ce qui reste en
qui vient c~n~
etc.
a/7~
13~.
AT.
Cette
racine
ne se trouve
employe en hbreu,
que pour
un son, ou un mouve ment
peindre
lent
et silencieux.
L'arabe
i?( exgures
prime
rant.
MK.
~M~~ec
toute
Un
espce
murmure
de bruit
murmu-
M~~M~
un ~McZtaM&e~i!.
un
AL
~p.
AT. La
accompagne
puissance
une raforme
de la manifestation,
de celui
cine dont le sens trs voisin
nous
avons
nonce
la
que
mais
Ce
moins
n'est
mme
passion
comme
nous
tombe,
sentiment,
la volont,
senti-
un
sans
objet,
l'avons
qui
dans
vu,
que si la R.
dans son acceppar la relation
c'est
remarquable,
tj~ s'est
reprsente,
la plus abstraite
tion
dtermine.
l'incertitude;
chose
<~e dsir,
ide
vague et plus
plus maintenant
une
ment,
la R.
dans
reconnu
se reprsente,
ou, la R.
prpositive
dans la mme
acception,
par la relation adverbiale
o~.
L'arabe
mme de la volont,
en se restreignant
dans la relation
adverbiale
oui. Comme
relation
sert
pronominale,
demeure,
tairement
a une
Tout
jet
o l'on
spar
d'un
centre
tend,
autre
de se runir
aussi
lieu.
Une
une ~MM/
l
eo~n~~
l
'r
lao~l'onagit.~
otd on
agit.
yK.
Toute
(~ co')
/)~M<A~
d'inimiti
volon-
tout
d'activit,
tout lieu distinct
~f~
o~ l'on
ide
trieure
du mouvement
de
effectu
par
3.
sur le centre
le signe
de
vo-
l'activit
in-
Une !'a~M~
une
(JR. comp.)
une contagion
tout ce
C~Aa~MOM~
au dehors.
V. la R.
qui se ~<~<~
*<K et !T~.
tivit
dans
Tout
un
centre
'sens
vautour,
une corneille
abstrait,
oM~
d'ac-
prcis
restreint,
dans
un
un sens
oM.
du
La restriction
(R. co/~rt.)
~H.
o et de quellefaon,
lieu, du mode,
une chose
agit,
reprsente
par les
relations
o donc
co~Madverbiales
7M<?~< <~~
V. la R.
'3j~.
7~.
Un blier,
(R. co~.)
l'ide
de force unie celle
Tout
(jR. comp.)
tout tre sortant
midable,
ture,
racine
mant
Mirt~
de desir.
lectuel
une
querai
s'tant
~'<M-
<f<mMM<K~'cr-
revtue
du
0,
signe collectif
une
volont
dsor-
exprimer
une chose
donne,
la terreur.
et
est;
C'est la
TMO~M~~ un gant.
comme
~K, considre
expriun centre d'activit
quelconque,
pour
ob-
un
s'est
qui
y~.
la R.
etc.
chose,
litif
C3~.
distinguer
les choses les unes des
et lorsque
autres;
cette racine est emen qualit
de verbe,
elle exploye
l'action
de se
prime
dans
ou
de choifixer dans un lieu dtermin,
sir une
contraction
t J
V. la R.
l'assentiment
exprime
A~n.
L'absence
(jR. co~.)
constituant
capable
d'inspirer
de toute
ralit.
Le principe
~Teow~c.
intelJ'explila R,
les notes.comment
la R. '~K, a form
runie
dans
V.
(JH.
fo~.)
Toute
b.
la
lesym.
ide
de
ta
~M
COW~MK~
tout
lont
A~H.
~K.
de ~a'cA?
dans la voce qui est rude, ~~A~
c~
pre,
tendant
trique,
vement
contraire
Le mou-
s'exprime
oppose 7!1 ou
II faut observer
comme
par
la R.
une chose
de la plus grande
attention,
la R.
que, dans un sens abstrait
*3H
la
relation
adverbiale
reprsente
oui,
et la R. ?K, la relation
adverbiale
KOM. t~a R.
encore,
dans
"M exprime
le mme sens, mais
~OMjr'&M~/c~
&HMcyM~<.
digne
ide
de M(M~
AL.
Cette
de ~Mo&~ intrinetc.
de la puissance
et du
signes runis
mouvement
extenso
Les ides qu'elle
sont celles de i lvation,
dveloppe
de la force, de la puissance;
de l'tendue. Les Hbreux
et les Arabes
en
ont tir
s'lve
sur les
le nom
de
Dnsp.
comme
universeUe
c'est
relation
en fran-
des;
<&<~ de
c~~?~ etc. Comme
verbe,
dans l'idiome antique,
l'ac-
il exprime
tion de se ~MM~M* !W~~MCH<~ d'aller
avec promptitude
d'un lieu un autre:
dans l'idiome
prement
vement.
moderne,
isigmn
prose &M~r par trop de mou-
H'KSM'M
) Dans son
c'est tout ce qui
excs d'extension,
e~<~MOa~j tout ce qui est vain, tout
ce qui s'exprime. par le&retations
adet
verbiales
?!'tM.
T~.
(R.
M&M~~o~j!,
Une demeure
MM~ rien
etc.
leve
une
'?1M. L'action
de s'~&'f<?r, de
de M?~~
tendre,
d'CR~aA~
t~M~.
~acc ou
'?~.
Toutes
les ides
s'
de
racine
AiL.
AM.
QK.
les ~o<MMa? de
un ~~Mcc;
le ~M~; etc.
un chef,
la porte,
runi
~e signe potentiel
elui de l'activit extrieure,
employ
donne
naissance
comme 8. collectif,
B~.
AM.
toutes les
qui dveloppe
ides de causalit
passive et condide force plastique,
de fationnelle,
une racine
cult
formatrice,
CM. Une
de maternit.
une
une matrice.
OTTg~M~ une
une KC&OM~
une mesure,
un sens abs-
la possibilit
conditionnelle
exMais remarprime par la relation
la voyelle-mre
quez que lorsque
j~
trait,
fait
place
rielle y,
pression
au
~.AN.
S. de la nature
la relation
adpoint,
pour exprimer
verbiale
matavec, !e S. de la nature
rielle y, avant
celui de l'activit
extrieure
ensorte
Q elle le prend aprs
que l'arabe au lieu
manire
inverse
de dire Qy,dit,d'une
Cette
diffrence
<M.
prouve
que les deux idiomes,
quoique
tenant
aux mmes racines, n'ont
point
t identiques
dans leurs dveloppemens. Elle montre
aussi que c'est au
ou
phnicien
l'hbreu
faut
qu'il
les origines
latines,
rapporter
puisque
le mot cum (avec) drive videmment
de Q~, et non de
<
inusite
C1K. Cette
modification,
en
hbreu,
le
fond
mat-
des
B~.
en
haldaque,
Voyez
alors
signie
ch oses.
AN.
Racine
c'est la maternit,
tendu,
dont tout tnane, la matrice,
tient
la cause
qui conc'est lac-
comme verbe,
tout;
tion de ~'M'rJ'c.M'/M~
~</<?MoJc/~
de /?o~~ en
l'action de
semblable
mais, ce qui
ta racine
quable,
QH;
est
arabe
l'hbreu
assez
remar-
ne prend
de ~OKC~
<M/C.
Les
racine
signes
sont ceux
wo~'de
sa
qni composent
de !a ])nissancect
individuelle.
'l'existence
nent
de ~/a'/M/~<
ensemble
Ils
cette
de
dtermi-
la si<, l'ipsit,
ou /c
et bornent
l'tendue
de
l'tre,
circonscription.
'?t<t.
Dans
un
sens
~cndu
c'est
!a
~r/A~
dans
un
~c~'a/g
M~t'yc
c'est le fo~M de Jt'<'tre.
sens restreint
On dit en hbreu,
c'est
y~o<
AOUN.
i4
si l'on
comme
disait
ma
ce qui
de mes
la somme
constitue
facults,
MO circonscription.
en
J dveloppe
ides que Fhbreu
L'ar..
mmes
un
sens
~{.
racine
prsent;
elle se reprsente
afinque
Dans
ex-
actuel
le temps
de plus,
et comme relation
prime
les
gnral
cette
restreint,
le
adverbiale
en franais
par <yM~
DK.
AS.
breu,
o elle-est
la R.
universel,
le
a reu
elle de-
en gnral.
les ides
Dans cet tat, elle dveloppe
les plus opposes.
Elle exprime
tout
et rien, 7~/rc et le nant,
la force et
la
la ~y~M et le vice,
la faiblesse,
place par
les ides qui
base.
Dans
on a tir
la
deFetre,
en constituent
dans
la puret
de
sentir,
jus-
faire
manire
)
(~aM/~e)
etc.
AH.
son
ploy
Le ch.
exprime
~K
en
dans
onomatope
dfendre
pour
caractrise
composent,
une
T~C,
le nom
toutes
les
absolue
sens
un
celui
raciuc
le chai.
hb.
l'ar.
C'est
em~
<t
chose.
quelque
la matire
v-
une
dfense,
au
naissance
quisignine
Le signe
de
de la parole,
q'.l caractrise,
tout ce qui
tendu,
une
but,
fin
MK~A~-
la puissance
constitue
dans
un
conduit
une
quelconque;
ie style hirdg~y'
Dans
finale.
on symbolisait
phique,
cause
et
ironique.
APH.
il
des
de la terre, qui,
comme
la terre
inusite
mot
mais
le mot
R.
une
~K.
runi
o se prsente
absence.
base
en cela
exprimant
donne
rejection,
partout
la
le samaritain
syriaque,
suivent
l'thiopique,
peroole
de faon nanmoins
prsenter
le contraire
de ce qui est
toujours
nonc
comme
rel
en sorte
que
de
antiques
mme de
encore
gtale.
L'ar.
r
~letre{'
partie
rem-
de celle
tant
Le
base.
l'es-
ces oppositions;
qu'un
certainpoint,
en clairant
ou teignant
la voyellede cette
cette
h-
Le ch .~DK a signifi
dans un sens
restreint
M~ mdecin
sans doute par
allusion
la sant dont il rtablit
la
un
1,
se dduisent
comme
en
offre toutes
longtemps
a conserv,
entire,
malgr
la dnomination
rvolutions,
avait reue.
qu'elle
la matire,
qui
sence. On pouvait,
mre
L'arabe
et de l drive
choses;
de 1'
daique,
hbraque,
peu usite
ordinairement
idiomes
plusieurs
de cette R. le nom
Terre,
TTcAM~e et la pauvret.
et cela, suivant la manire
dont Ftre est conu,
l'esprit
et Fidc que l'on attache
ou
la langue
Racine
considre
~MMr<'<yM<
Lorsque
~K.
signe convertible
vient le symbole
APH.
t~.
cette
racine
P~t.
par
d'une
l'image
AR.
APH.
roue.
Dans
toutes
en dduisait
Hguron
d'entranement,
d'emportement,
dans une sorte
veloppement
billon,
L'ar.
le style
les ides
yt~.
de tour-
procher,
une
est
le mme
racine
sens
L'action
M~.
tT~M~ia~cr,
~n,
un mouvement
l'hbreu
que
la relation
C~,
adver-
de eoMjMMie
une
dans
d'envelopper
de rotation;
l'action
l'action
avec l'entendement
Je/KOMpo~r,
de passionner,
etc.
de
ATZ. Toute ide de bornes,
V~.
de force rprimante,
de terme,
limites,
de fin.
en gnral
tout
exprime
L'ar.
ce qui est ferme
et restreint.
C'est le
Le ch.
central
des choses.
point
~
toutes
renferme
les ides de pression
La racine analogue
et de compression.
s'emploie
dans
l'idiome
toute
signifier
espce
et de ritration.
pour
redoublemcnt.
concevant
L'action
de
MM re-
de ~oM~fr
onomato-
et y reprsentait
biale ~OM~MO~.
La partie de l'me appele
apBl~.
Dans
~w~~MO~
ou co~w~<7M/OM.
un sens trs restreint,
le M~~ dans
un sens figur la eo~y~.
arabe
derne
un <M~7<
cach,
etc.
les ides de
toutes
dveloppant
Dans
d'ennui,
d'indignation.
dgot,
le langage
elle tait reue
antique
de saisir
et trs
d'en-
pe,
dans
secret
t5
la
mode
en
usite
peu
composition.
Le mot
ide de vacuit.
hbreu,
hbreu
R.
en
except
signifie
proun &GMC~aKK?~
et l'arabe
prement
comme
verbe,
employ
dsigne
~t
tout
ce qui est nausabonde
et fait
lever
le coeur.
)!S.
AR.
suivre
Cette
sont
l'intelligence
signes
qui
~PK
racine
et celle
qui
trs
importantes
du texte hbraque.
constituent
celle
va
pour
Les
dont
il
ce qui appartient
la Nature
en
hirogiiphique,
par la ligne
la ligne
circulaire.
cet lment,
Dans le
gnral.
droite,
tait
repr-
et
par
comme
")K, conu
le
lmentaire,
principe
indiquait
mouvement
et ~~{
direct,
rectiligne,
le mouvement
relatif,
curviligne,
giratoire.
Tout
En
comme reprracine
sentant
le centre,
le fond,
ou la proj~uueut
de
de uhu~es,
uu li'ou
un
uuuvc V~ uauli
dans
tntt:l;,
ton redoublement,
un lieu trs
Toute
ACQ.
p~.
lmentaire,
ce qui tient
tout ce qui
~OM/TSMa?, producteur.
JL'ar. J cf6'c le mme
breu.
au principe
est~orf,
sens qnc
uneimpulsion
M-
rh
16
en
c'est
un
dans
gnrt
ATH.
AR
1K.
sens
rstreint,
considr
et mme
stance.
raideur
amoureuse,
de se livrer cette
l'action
par r
ardeur,
des sexes.
la runion
tout
ce qui coule,
I.c
wt ~<M~a'M.
1K on ")j~. Tout
ce qui est fluide
/<
signifie
de
l'action
ou ~t<,
chadaqueIK,
")'
Z'y<'M, /r~'M/
~M~.
La
~1~.
/M~<re;
d'MM/~<w.
~r,
Zo
etc.
/M ~v~<*
~cXc~!c,
l'action
dM/
1
<Wt
yo~,
At
son excs
) Dans
(~ M~
les ides
cette R. dveloppe
de force,
<7t' MM?/f<F//OM.
<f~7M//b~,
un
~1)~. (R. co~tp ) Une &'MifM~e,
Le gnie
~H.
cette racine
avec
hbraque
la R. D~,
dre
ce qui sert
aux choses;
ce
Un
(JR comp.)
un 0/M<M.
(R.
attache
Un
coM~.)
~M~~&
ou en chaldaque,
~y?ic.
cow~.)
ASH.
la prcdente,
lmentaire
R.
Cette
ie symbole
quel
comme
actif,
mouvement
tendu,
tout centre
ceux
comme
est,
du principe
soit. Elle est
de la puissance
relatif.
Dans
un
c'est
tout
principe
une cir~
dployant
force relative.
Dans
c'est
/f feu
toute
conierence,
un sens plus restreint,
procit,
veloppe
tr'elles,
qu'il
la ligne circulaire
Les signes qui la
droite.
est la ligne
sont
constituent
trs
racine
(Z.
de M~'
ce
tout
tout
du
<oM<~r,
feu, ~H.
Jfn'//~
la
Ai!~)~C<
M~M<W.
celui
V'
et consi-
~e~<?M.
tout
ce
de donner
solde,
ment.
sens
L'action
(J
la majest,
~t~.
(~.
R.
cdre.
confond
son principe,
~Mf;
J~f,
la mobitit
~K.
r~.
du
lin,
l'tre
parait
sub-
se
qui
M~ dsigne
Cette
meut avec agilit et vhmence.
de celle
ide dcoule
ncessairement
7bM/!e/?no~~<z'~j~.
(J~.co~.)
tout M~CC~
~tOM. toute f~&H~OH,
et
est
qui
comme
~r!t<-
y~
la
en elle tout
~t <b/t<&Wc<R/
qui est cach dans
/M~M.
n~K
de toute
l'absence
L'ar.
'T1K-
ment,
dans
ATH.
CO~.)
/<~&<.
~KM~M-<?
CO~O.)
'~0~!W<
Le signe
potentiel
V. la
runi
<tc la sympathie
et de la rciconstitue
une racine qui denles ra~orts
des choses
!eur ~iit
mutuel,
relative
l'me universelle,
ouipsit
mme. Cette R. diffre
leur substance
leur
lien
ou
suivant
relative,
le <o<
lad&nition
est ~p
?
des philo-
et MU est /'o~e~
K.antistes;
Tout ce qui ~ert <&' ccnae~i~,
tm.
c~ ~TM~e~,
de ~~c,
de type,
etc.
marque,
<
sophes
n~. Aourn.
~3
<(
ou
c~!
nn
mens
tique,
L'action
irrsistibles.
d ~Mr,
l'action
nir,
gradue, t
lieu un
de '<~w,
dc/~ro~de M~
de /M~ccw'r,
d'aller
de procder,
etc.
ar<'OM/, d'entrer,
tre
an-
dans ridimc
indique,
un mouvement
de retour.
L'ar.
K'.
un
irrsistible,
argument
une preuve;
comme
signe surnaturel,
verbe, c'est l'action
de convaincre
par
des signes
ou des argu
surnaturels,
nom,
de progression,
de marche
de venue,
de passage
d'un
de loco-motton
autre,
comme
indique,
DG.
CM
R.
B. BH. Ce caractre
de consonne,
qualit
biale. Comme
la
reprsente
son habitation,
image
bouche
son
appartient,
la touche
vient
la-
intrieur.
Emil
ploy
signe
grammatical,
est le signe paternel
et viril, celui
et active. C'est,
l'action
intr!eure
l'article
intgral
ainsi
exprimant,
que
dans ma grammaire,
peu
ou les actions
mouvement
mais
cune
que
avec
plus
extraction,
de
en
et indicatif,
je l'ai expliqu
entre les noms
sQ.
rieure
image
nombre
B. Dn
runi
de force,
et sans
d'o
T.
t.
DB.
rieur,
et de boursounure
~3
ni division
arithmtique
signe
celui
de l'action
est a.
int-
sc tirent
toutes
les ides
ide
de vide
L'action
3*0.
vide,
toute
caf~
int-
extrieure.
de /'a?~7. En cha!-
daque,MHCOMK*r/~rc,
a le mme
L'ar. <}
d'tre
une porte.
sens.
intrieurement
image
<rMan~
de
vacuil.
DG.
Tout
tout
ce qui
c'estnourrit
agit l'intrieur;
car ~'est
ce qui
ici une racine
la R. ~H,
runie
-~ire,
des par-
Toute
Z<MC//<'
au-
de la puissance,
de la continuit,
se forme une
racine,
~~3.
prs le mme
l'article
extractif
Q,
ties.
Son
67<~?<
V. la Rac.
il
symbolique,
de l'homme,
comme
hbreu,
'~t0.(A
en
compose
au S. J3.
de
en gnral
une
~} exprime
une vacuation
c'est dans
dtension,
dans
un sens restreint,
Faction de
.L'ar.
de laisser
/~?M~
racine
onomatope
cri sourd
d'une
Comme
faire.
catactrisc
voi& rauque.
C
!e
t8
"3.BD
BD.
n9.B.
La racine
rapide
qui <
qui ~MC/~0~ <& soi
nique. V. la A. ~n.
C!T3. ~R coMp.~ Toute chose qui
s'~cc
et s'tend dans tous les sens';
comme MK&~M~, MM/HMM~, et aussi
rieure,
compose cette R. d'o decou
lent les ides de sparation,
d'isol
de solitude,
ment,
d'indtVtduaUt,
1
d'existence
particulire.
De l'ide
JoMf~~M~c;
bouche qui
de ~o~&OM,
del !e sens
s'attache
la
R. dans
et par suite celui
idiomes,
plusieurs
de badiner
de babiller,
de bavarder,
de mentir, etc.
en paroles,
de habler,
/c mi<~ signifie proprement
c~K.c. Comme
&<M, f~M/rs
verbe,
cette racine
l'action
de
caractrise
disperser.
BH. Racine
onomatope,
qui
peint le bruit que fait une chose en
&
et qui, la reprsentant
s'ouvrant,
l'ide J'MR
o~A?, onre l'imagination
d'*MM
~oK//rc,
etc.
~FMC.
~R.
~-0'
J<ca/ew
cette
L'ar.
*Q.
un coips,
une troupe:
MM cMMMc~ quadrupde.
nait celle
d'ouvrir
qui ~fOM~o~
une jf~~eMF'~tt-
c'est au propre
V. a R. OU.
Tout
camp.)
proprement
BZ. La
.Q.
mouvementde
w<
objet
le doigt.
racine
qui
peint
chercher
pourr
s'tant
int-
au dessus
de s'~fc?'
objet de M~M.
t~3 (.R.w/c~M.)DanssapIusgrande
c~tte R. signifie dpouiller
intensit,
caractrise
les autres
Le mot
dsigne
l'tonnemenfet
arabe
qui
tout ce qui est tonnant,
sur.
tout ce qui cause l'admira-
prenant,
tion. Lh),
~~j~
signifie
r~~M<&r,
MM~~M/MM~.
M!3
~n~a.~
cause de sa pesanteur.
7n3.
la surprise.
s'en forme,
~R. co~y
et
biens
toute
droits
et de leurs
de l
L'ar.
'L
de leurs
yj
signine
Le mot
a le mme sens.
MM
un oiseau de proie,
~M~O~.
Le
n9<!B~
Y. la R. ~t.
Un muuvemeMt
le
HtH.
B.
en hbreu
Cette
qu'en
racine
composition.
n'est
usite
JL'cthio-
~n3.BL.
~.BL.
dernc,~ot<rJc~~MCM/r~
&'<rM.
~HP.
comp.)unfruitquicomFM<*y?c~ M~nr, qui est encore <rc<f
une
un fruit/wcocc;
par mtaphore,
chose qui ~/?~,
qui/a/~M~.
fruit
(R. co~/?JJ~Mtd'Uti
~3.
pour juger s'it est mr; et par mtatoute sorte cfc~<*WcMC<
phore,
"in3.
une
~R.
est c.MH?M~,
Un examen,
comp.)
et par suite, tout ce qui
~7*OMf<f, lu.
_V
La racine
Tj~l.
BT.
une
sorte
de bruit
avec le S. de
mute, s'tant contracte
l'activit
caractrise
tout
intrieure
ce qui ptille,
tout ce qui tincelle;
c'est une locution
vive et inconsid*
futile.
re, un discours
L'ar. <
tout ce qui tranindique
che, tant au physique
qu'au moral.
caractrise
L'onomatope
qui tombe et s'pate.
Une
~M3.
~R. intens.)
tout
ce
saillie,
une ~HM*
t3*S.
~jR.co~o.~DMc~&/.Tout
ce qui jette des clats, des tmceHes.
Une ~n~aM~e,
du marbre,
etc.
'0,
d'une
BI. R. analogue
qui caracttisent
chose
dehors,
rapplique
qui
vient,
aux RR.)M3,*S~
le mouvement
s'avance,
s'ouvre,
principalement
pafat au
etc. Celle ci
au
de?ir
une
chose,
exet qu'on
prime
par~M~a-J~H'M
V. la R.
coM~
~'3.
V. ta H. -Q.
co~
v. la R. ro
n~. ~jR. co~~j
rune/~M~OM,
treinte plus ou moins
l'arabe
forte, ainsi que l'exprime
De l
l'action
de cot<A'r, de se
Tout fluide
en eau, de/~CMn'r
tlune
~M~f
coM/~fc/Mn,
provenant
fondre
MM
un <0t
dbordement,
etc.
~//,
~/?&M~,
L'ar. c~ a exactement
lememe sens.
L'tat d'tre
resserr
par !a
*M
centriste
larmes.
douleur,
jusqu'aux
CM/~O~
deux
nranires
les ides
40
~a.BL.
pS.BOUN.
une espce
des choses, en y causant
de bouiHonnement,
de boursouflure;
tandis
mme
quedans!esecond,cestlachose
ou qui se
qui se transporte
sMts augmenter
de \obouleverse,
hunc.
Toute
?~
~yio/MH,
ide
~Ky~MM,
toute
~~oy~HCC;
ide
~C~e/MM~
<7<M~P,
<i!f.~aM~O~
</oK~CMr. Dans un sens ngur,
/ee
~~Me ~M~MMC, /C
~~MaZt~,
MTM~~C~C, ~S ~rbM/, D)EU.
L'arabe
sens
dans un
caractrise,
tout ce qui humecte,
~cn~ne, ramoMit, rend fertile
etc.
Jt~
restreint,
nouiUe,
a terre,
De rexcs
de
a~M.~
nat l'ide ~M M<m~M~, 1
rextension,
~<~o~,
J!~M<,
/syo~c'est tout ce qui est
</MM~
&t
~3.
adverbiate
M~M.
7~.
~A.C07M~JC~~<~MO~OMM<CrMM~~ MM~M&Zc, une CO~M~MT~
une ~CT-~r~~MM
P~TMOr~a~.
V.
la R. ro.
une
racine
/<?/, etc.
L'ar
treint,
musical,
R.
M!~CC/!<*e~ une
<MOM,
une
MM/2-
<7f~<OM, M~CC~M~~MC~
DM. La runion
t'acuvit
principes
des signes de
et extrieure,
intrieure
des
actif5 et passus,
constitue
en
res-
sens
du systme
V. la
UK~.
grec
la R. t0,
conoit
qui
les ides de progresde naissance,
revtue
sion, de venue,
la R.
du S.
pour former
~3, 1
extensif?,
l'ide d'une
cette racine
dveloppera
d'une producextension
gnratrice,
produisant,
analogue
l'tre
~MaMOHCMM si l'on considre
le rsultat
R.
comme
mme
tion
dune
cette
de
la contraction
du
S. de
l'activit
ca-
intrieure
en acte, de toute
puissance
de l'acte gnrateur,
tation
Dans un sens figur,
une
une
intelligible,
sens propre,
une
formation,
CWM/rMC/tb~.
L'ar.
Lj3.
appel
BN. Si l'on
'?2.
renferme
toutes
de se eMEt~r, d? se
Inaction
de se ~f~airM&ic manation
~o~/Zer, de &OM<
de toutes parts
M.*j~M~ M~e M<<M- dans un
7~3.
un
dans
signifie,
le son fondamental
l'hbreu.
e~'
ce'w<j
~~j~eM&tM
de
de
manifes-
ou
du
moi.
c'est
une
sensible;
c'est
un fils,
C07pOyM<?/M/~
a exactement
acceptions
que
L'action
de
de coK<~o~
les
mmes
d'M?~
~<?//t?c-
sa BTZ.
~S.BIN.
des
~o~MCr~ d*<<'0!r
de
MM ~a~,
de j~bw~
l'action
/K~/A*
ides,
de
racine
qui
Tout
~<M.
/~a~c/MM
est intrieur.
ce
la R.
Voyez
~MM&
Toute
ide de
~y.3. ~jR. co~J
de puissance,
de haudomination,
teur
un seigneur,
un Fna~e,
MM
absolu;
suprieur
D-l.
BS.
Tout
exprime
par
,qui est la base.
de terrasser,
d'cra-
ser,
de/bM~r~de~yco~rc~rr~
l'action
de concasL'ar.tM.~ signifie
et M~ renierme
ser,- et de 7M~
toute ide de force, de violence
et de
contrainte.
~<1.
BO.
Toute
ide de mouvement
dsordonn!
rude,
prcipit,
R. M~ dont la voyelte-mre
nr vers le sens matriel.
L'ar.
~M
~C~~rc~e
C'est
treint,
~oe~/
dans
signinc
M'~J/ie
<itc/t~r,
et
~~M/M<
et lui
autre,
dire. Le mot
SOK~
~J
(~R. co~J
pav le feu,
de J~for~/MM,
qui
la
en parlant
des hom~n~,
stupide,
mes. C'est la R. 1~ rgie par le stgn
de l'activit
intrieure
L'action d'pou~JR. co/o.~
F~
de frapper
de terreur,
~aM~r,
par
des mouvemens
formidables.
Racine
Idiomatique,
qui
que d'on fait en
&OMC c'est
onomatope
et le beu-
KH<!
M7<yM~
un
KM
&M7-
sens
res-
le nun
pour
faire
ce
<~ cow~MM,
coy!/X~M~<OM,
J air~fMr co~MM~MM/c
tout ce qui
tout ce qui rend <
dtruit,
ravage;
en parlant
de la terrer
sert,
aride,
BTZ.
a dg-
une ~OM~O!Mr<
~MM~O/F;
/OC~O~
de
&OMt7/aW!C~Mg~;
7j!y, etc.
L'ar.
~3.
~~&oM
/'J&/Mt*-t&~7~M~.
Tout ide de d-
de
L'ar.
ty~.
toutes
et d'injustice.
L'action de re-
~jR. eo~J
~3.
renferme
~3,
MM~r;etc.
pour
primitive
a<
doit
qu'il
dcoule
de la
~K.C,
L'ar.
marchant
au
propre
MM &OMyi6~y.
et
bruit
dans
MM ~CM~m-
ne tient
onomatope
mitive qui
SS dont
onomatope
se forme
du
la racine
point
c'est une racine pri-
toute la force
possde
elle est compose.
Dans
des
un
elle caractrise
toute
&ens gnerai,
se portant
espce de rayon lumineux
du centre la circonfrence.
Dans un
sens
elle exprime
l'action
restreint,
de r<?~~<
de cancer des regards,
de n~ard~
Comme
c'est la
nom,
~'<H~.
Le
ch
~3
qui
tient
aux~
~3.
BTZ.
lmens,
signifie
mmes
~cy?~r,
faire
~3.
la boue.
L'action
~3.
~amw~,
une perquisition.
de/M~M~dans
C'est le nom qu'on donne au
Av, cause de l'apprt
qu'on lui fait
subir dans l'eau.
BCQ. Toute ide d'vacuation,
jp3k
C'est la racine pj~ reud'puisement.
nie an signe de l'action
intrieure~
d'~ccM~r,
de dissiL'action
rendre rare.
~r/de
et U~
L'ar.
signifi
~'M<
<M~n
BR. Cette
Radne
se
compose,
ou de la: R. tmentaire
1~, runie au
ou
intrieure
~3
signe de l'activit
mouvement propre
bien, du signedu
de l, preavec la R. ;0
contract
toute production
active,
mirement,
toute
toute conception,
en puissance,
secondement,
manation
potentielle;
matout mouvement
inn, tendant
ni&st~f au dehors la force cratrice
Dsn.
~M!
/?M~~ Toute espce de mtaL
L'ar.
lev la puissance
de
J,
de /M~r
l'action
verbe,
dveloppe
etde~My~~
Toute
~3.
~jR. co~~J
7M<?~&b7,
<f<~&'<~7!
tnet au jour, ce qui
explore,
produit
restreint,
~}T3.
~c~<j~,
candide,
au dehors.
ce qui
ce qui
H~c~b~/am~
K~/)M~
Toute ide
~R comp.)
Tout ce qui
<~c <
r~~ZsM~M~a~.
Toute
~J. co~J
fO.
de
ide
de
est
ide
de
Dans
d'M<MC/MM, ~c&~
de puret.
un sens restreint,
&~WMcn<.
Dans un
1~ ou ')~0. ~R. comp.)
WM ~~ca~a/MM
dans
sens tendu,
Mn puits;
dans un
un sens restreint,
sens ngur,
une citadelle,
un
un palais.
de l'tre.
c'est
En style hiroglyphique,
nat la cirle rayon du cercle duquel
dont
il est la mesure:'
confrence,
*0.
sance, l'tre
au sens propre,
L'ar.
treint,
plus
sigsi&e
MM~!&.
dans
un
a?B9
t~
considre
racine,
du S. de l'activit incomme drivant
trieure
3, runi l&R. ~M qui catoute ide
le feu, exprime
ractrise
Mais si on laet d'clat
de chaleur
~3<.
BSH.
Cette
~de la R. t!3
et du
qui dnote toute progression,
alors
Stgne du BaouventeMt relata
dp ~eta?ddaa<
cl!e
indiquaHHC sofPf
la marche.
ces deux
participe
1/ar.
,~ou,~
considre
comme
forme
~M. GAL.
BOUSH.
acceptions.
la premire,
j~,?qui
un vide.
Le mot
qui tient
j*
et
MiM Mo&ncc
signifie
tient la seconde,
signifie
~3
tement.
nous apprend
que
Plutarque
ce fut un certain Carvilius,
qui le premier, ayant ouvert une cole Rome,
ou introduisit
inventa,
la lettre
G,
son du C
L'action
~0.
ver un sentiment
de rougir,
d'proude pudeur
intrieur
de tarder,
de
ou de honte
l'action
de tourner
au lieu de s'as'amuser,
le double
pour distinguer
on se servait
avant du C tout
vancer.
lique le
hbraque
peint la gorge
de l'homme,
tout conduit,
tout caEmnal, tout objet creux et profond.
\~3.
BTH.
Toute
den
MK~MOM~/M~K~.
de demeurer,
d'ha-
~Mg ~a'&b~
ce qui
com-
ce qui
la ~aH~~
pose l'intrieur,
est interne,
loM~yM~M~j
propre,
cal; etc.
H.
G. GH.
en qualit
gutturale.
est
crit,
dcru,
Ce caractre
appartient,
la touche
de consonne,
Celui
d'une
et lui
par lequel
invention
rpond
assez
je le transassez mo*
imparlai-
seul,
au moyen duquel
on reprsentait
le
r des Grecs. Comme
image symbo-
comme
ploy
signe
il
grammatical,
exprime l'enveloppement
organique,
et sert produire
toutes les ides drivant
des organes
et de
corporels
leur
action.
nombre
Son
arithmtique
est 3.
Hm.
venir.
tend, s'lve,
tant au propre
~CMT' de la taille,
l'minence
des ob-
des
l'orpenses,
le faste; etc.
Toute ide de li~M. ~JR. co~B'
&<a~oM~ de rdemption,
J~Zs~M-
jets,
l'exaltation
l'me,
~Me~dc
de rc/~c~M~M<
de liens.
la vengeance
d'une
figur,
sement,
en
style
feuse
of-
et par mtaphore
de l'ide de
KM <~K~ KMf/~o/~UH.
relchement:
GB.
*4
runi
organique
signe
la R.
symbole
par contraction
en
de toute fructification,
dveloppe
ou'
chose mise,
d'une
ride
gnral
autre.
d'une
survenue
au dessous
Le
CB.
3JL
~M.
!~he&o~c,M~c<croM~OMCc,
une &M//C,
Kn?/M&Cra'7!C;
une
ou
Une
~m
une
con-
chose
toute
le dos;
minence;
vexe.
la
sauterelle.
R. H.
Le S. de l'actidoubl,
change
l'effet de la R. posif:h e, et en prsente
C'est alors toute cor.le sens inverse.
M~
ta'at
un effort. Dans
<~. caractrise
un
sens
plus
tout
ce qui
sa nature;
et,
drable
selon
relation
adverbiale,
cette
prsente
par <b~,
verbe ~a. signifie
<~
gnral,
est consicomme
se re
racine
&<Mt/coM~. Le
donner
/M~
gnreusement.
tT/M MCM/yM~
une t/T~Ao/,
au propre
et au figur.
Une MM'M/o~
une fosse,
l'action
sillon:
de
fossoyer,
de
L'ar.
prsente
Comme
le mme
sens
Var.
ide
Toute
d'lasticit
et s'tend sans
prte
renferme
~t.
Ed'extension.
ou
les mcmes
d'une
Zc
pour
couvrir,
que
H~?
C~MC~
s'tend
pour
1~ et
se
et
pour
envelopper.
de
M) symbole
et s'tend,
tout ce qui s'au~nente
ne de
yen nie an s!cne de l'abondance
GD. La racine
la R. "m, dont
lu division,
produit
est de peindre
tout ce qui
l'emploi
par
MM
etc.
MM/~JoM/toUtce
agir.
GOU et GIII. Le
soit celui
runi,
GUE,
signe
organique,
de la vie, soit celui de la force convertible
soit celui de la
universelle,
constitue
manifestation,
ides
tente,
ce soit, M~ ~i~oM;
dans le sens restreint,
le signe du capricorne;
quoi
mtaphore
c~p~coM
qui
etc.
creuser;
dans
MM <<MM'<~M<'M<,
cavit
*7~.
agit en tbulc,
qui afflue,
qui s'agite
en tumulte,
en troupe.
qui assaille
L'ar. t\
signifie
proprement~oH~c
*t~.
33~.
vit intrieure
un
GUE.
;ir~
une
racine
le symbole
de toute
Cette R. qui possde
ganisation.
~cultes
d'extension
et
mmes
qui
devient
orles
d'a-
et de dveloppement,
point
de
vue
sous
lequel
selon
le
on envisage
l'organisation.
peint
L'ar..3.
versel,
~<tK'<
tout
caractrise
~M~.
Tout
uni-
l'enveloppement
/a//MO~
et
ce qui protge.
ce qui
o~ww;
tout
ce
Az ~a?~
qui rend la vie aux organes
&< ?M~d!<?fMM.
et par mtaphore,
Toute espce ~'o~<~e,
dilate
vilivrer
aux esprits
passage
pour
toute
ou clos pour les retenir
taux,
tout ce
J<Xo'/<~uM, <bM/<*conc~MM
sert
qui
en
corps,
ce qui
choses;
un fourreau
Jd <~wn<
le milieu des
gnral;
les conserve,
etc.
d'pce;
un
L'action
Dans
de fouir,
un sens res.
~ca7TS&
L'action
T~.
co~H~J
V. la R. "t~.
une ~<p<MM.
de faire
L'action
~.R. comp.)
deyoMavec la faulx.
V. la
d'enlever
t'
c~cF*,
R.M.
n'm
~~R comp.)
de force.
d'enlever
L'action
*)'H.
~JR. cornp.)
au dveloppement
de ~w~
~JR.
organique.
lution.
ce qui porte
des organes.
V. la
Un mouvement
co~
Une ~o/M&o/,
une ~'o-
~r,
ment
V. la R.
M~M.J
GZ. La
d'y de-
peint le
mouvement
de tout ce qui tend s'au signe organique,
runie
lever,
7~.
constitue
racine
qui
une racine
dont
Faction
l'emploi
d'aprs la-
on
en enlve,
toute supernuit,
toute croisde ! t~, Faction de &MM~
sance
de
la taine,
de r<M~'tes
cheveux,
on
quelle
extrait
j~McA~rles
mits des
supprime,
herbes;
choses,
d'e~~rles
som-
de /~o~r
les asp-
rits.
moderne
tout
ce qui
est
et permis.
n~.
H*)~. L'action
distendre
outr"
mesure,
de
~MM<,
y<MM~
chose.
La
sens
crever.
!?
~A
un
Tout
en le parcourant,
~MCMrer.V.laR.*m.
licite
~*)~. ~R.
de
lieu
l'idiome
politique;un
Nation.
?.
*?~.
dans
de vivre
V. la R. m.
Une organisation
de peuple;
une
corps
Faction
~o~g~
mme
est de caractriser
~Jt.
~.eo~
de faire un sillon.
treint,
le
comme
a5
pa. CHN.
}~. GOUn.
(~.
<)M~
L'action
de clore.
mme
rotite;
l'action
de
verbe
d'agw a~c
e~orde
M~~ irruption,
de~Mr
une
dans un lieu, de ratw
racine
ar.
en gnral;
signifie
offre le mme
~ale
en particulier,
~H'r<; le /~M/a!roM.
~6
GT. v
.UA.
racine
est
inusite
en
entendre
une chose
de'la:
main qui
l'effort
qui repousse
la presse.
CL.
au contraire,
qui se replie sur
se cu<
soi, se roule~ se complique,
On peut
mule, s'entassey s'enveloppe.
reconnatre
l le double sens qui s'atchose,
tache
rapport
GHI,
qu'on
une ~Oi~e,
C~)e i!oZ~,
t~
aux RR. H~ et
R. anal-ogue
peut voir.
un~ieu.p
l'e&U)
eQ)
se corromtpt
t
croqpissant.
~jR.<?Oi~~
t/M
V}
~(/:
R.
(R. comp).
V. les RR. nA et
Ce qui fait durer
cowp.~
les choses et les conserve
un sens restreint
dans
en bon tat
cAo~
Cette rcineest
inusiteen
~G'iH.
hbreu.
L'arabe
mme parait ne pas
la possder.
5~.
GLJ Cette
racine
ue selon deux
c'est la R.
poser. Par la premire,
de toute
extension
~ymboe
organiS.
du
mouvement
dique runie
au
c'est le S. orrecfif'?$
par l seconde,
qui se contracte
syMboIe de l'lvation
ganique
hj~,
fore expansive.
f'est une chose
l'espace
veloppe,
avec la R.
'luus
le second,,
c'est une
organique.
ce qui se meut
lger
qui tmoigne
de l'aisance
d'un mon-
tout ce
et ondu!eux
de la joie, de la grce,
La
dans ses mouvemens.
rvolution
bite
CO~<<~CC~MM~dc<t<M<b~
Tout ce qui .? ~e/c,
tout
ce qui
tout ce quise
d<"coM~.
<H~~<;
Tout ce qui s'MOMC~* en se rou."
lant
le mouvement
des vagues,
l-d
un
de quoi que ce
le e)''rsoit, un /<M~ un ~a~~M~<;
CM?~ le co~~oMr d'un Objet ou d'un
lieu
ses co~rM.
Ad~
yo/M~M
J~. prsente
de mme toutes
les ides de dploiement
et d'agrantant dans le physique
dissement,
que
L'ar.
le moral
dsns
c'est
aussi
bien le d-
et de la
cas,
Dans le premier
'qui se dploie
dans
qui s'y den s'y droulant,
s'y produit selon sa nature,
~'y dvoile;
vement
)
~710/b~M~M~
L'ar. ~Aa. indique
reste stagnante
et
et de l'en-
du dveloppement
veloppement
7~. Tout
une,
sous le double
au S.
toujours
chose
ou
quelconque.
YjR
'M~Kyj De l'excs
nat l'ide de /~~
du dploit'mcnt
Je /<a ~/yMMM~MM,
~H'/OM,
~!f
fat
M<yw/M~(~
une pcuptude
gr ou de force.
/M~<7/~<?~
<~
que
GN.
~M. ~.coM~t/Mn?Zac~~<~
soit au Cgur. V..la
soit an propre,
1
R.M.
L'action
de se dployer
ou de
7'
se ny~/o)~
/MAOM.
Toute
~o/K~oM
cause
7~. ~~oa~'o~
vlation
deFobjet.eietd'un
rc~/H&Za~cc.
1i t.I:
ou rvopar la rmiroir i
nral
en
toute
particulier,
une obscurit
Ide decumulation,
,1
de cqmplmeut,.de
d'agglomration,
comble;
dans un sens absexprime
t
trait par les relation~ aM~<, ~c'/H~,
encore.
dveloppe,
ainsi que la
L'ar..ta.
toutes les ides d'aracine
hbraque)
bonclance
et de cumulation.
C'e~,
comme verbe,
et
l'action
d'abonder
de se /?~r;
dans un sens
une pierre
comme
prcieuse,
sigaine
Le signe organique
runi
GN.
la R.
o
par contraction
7j~
~ti(,
forme
une
racine
d'o
dcoulent
les ides de circuit,
de clture,
d'enceinte
de sphre, d'ipprotectrice,
sit organique.
toutes
~Mc~M? u'une
chose,
la ~ro~e
ou
physique
que moElev
la pu~
ce mot exprime
l'ac-
tant
<OM&ea!
tion
faire
de
d'envelopper
d'obscurcir
nuit,
de verbe,
iou,
de
de
de
l'esprit,
d'un .voile,
tc.
Dan~I'i'
un <
a signin
~n ~~o~o~;
~LLa.,
antique,
un <7M~e,
mon,
MM bouclier;
tnbres,
couvrir
de murailles,
MM ~rc~M~M<
enved'esprit;
.~A~ Kp CM&yyp~
&< 5
loppe dans le sein de sa mre;
une cuirasse
et toute
<respce
l'idiome
maTMM/'c; etc. etc. Dans
ce mot s'est
signtrestreint
derne,
ner
MM ~?f<M,
D~.
GS. Racine
/?)
~M~M. Le ~haldaque
ce qui s'enOe,
en latin
couvre
une autre;
c'e~t,
en
une o~~rf
protecMice,
un
dime
en
~~rJ<M.
et
nom,
restreint,
qui
rale,.
sance
rendre
GM. Toute
chose
environne
d'enclore
Q~.
37~7
en:
chose; A/M~
de la mme
inusite
en tire
en hbreu.
ride
de tout
c~est l'action
de &~y'/&~o~-
Me~ ~M~r.
y~.
CS. Racine
analogue
la R,
~ous son
limite et
qu'une
gatne enclot,
sa lame.
protge
offre toutes les acceptions?
L'r.
de
dc6~r~oud'autreliqueur~crmentce.
faon
!:)
t'ncinc
hcbraqtx;.
d'est
eu
g-
L'ar.
d.
a8
et idioonomatope
le mugissement
peint
Racine
y~.
matique
dubceu~
qui
la gueule,
toute vo-
d'ouvrir
L'action
de fM~~r;
toute
clameur,
C~T~OM.
L'action
y~.
~A camp.)
pcr.V.laR.
~R.
L'action
coTM~
jeter de la.bouche;
toute
ide
de <v~de rede
~o~
Tonte espce de
~JR. co~c.~
de fracas, de murmure.
~R.<'<MM/~ L'action de trou-
1~.
bruit,
GPH.
des clameurs
par
&
d'<y)OM~n~r
et des vocifrations~
Toutes
de protection,
de garantie dans un sens restreint,
un corps.
l'ide de la sdveloppe
L'ar.
et de tout
sec. Le verbe
S'~fMgMer.
L'&ction
M~.
riser,- de munir
sert
L'arabe
as.
en hun c.fc~
indique
Le
GR.
ee qui
devient
signineproprement
de clore, de co~pod'un corps; tout ce
la conserva-
par. contraction
de l'extension
organique
une racine qui prsente
constitue
de tout
mage
ce
~OTt~Mpour
ner ensemble
o
nit,
t
l'i-
itratif
et
qui ramne
action
hu-mme.
Tout
'H.
mouvement
de toute
continu,
l'tre sur
se
qui
en
rassemble
~'o~<
oupour
~'OH~le 'lieu o ron se ru-
l'on
demeure
l cours
dans
Toute
ide <&' /OMr~ d~
voyage.
de retour;
<~ rMi'MMO~tbn
dtour,
de
un mouvement,.
dans
coK~M~dans
une
action.
L'ar.
vement
inusite
en hbreu.
L'thiopique
(~s&~caractnse
la forme, ta 6gur corporelle.,
la face
des choses.
L'arabe <c!~eo. signine
c&< du ~~w,
ou CM en<&<~ m~t-t
l'ide
prsente
violent
et continu.
d'un
'~U.
mou-
C'est
l'action
dentrairier,
prement
soi, de y~(?~r. Le verbe J~.
prode tirer
signiSe
usurper.
~JR.
du
S. 1,
continuit
le symbole:
tion.
~ieurementles~tunens.
mouvement
runi
propre
racine
~~M~y~
la dfense,
GTZ~ Racine
du
signe
d'un
servation,
cheresse,
inusite
Racine
p~.
breu.
ment.
M~.
qui
GER.
La
M<CM~
duplication
et- la
indique
la vhmence
du mouvement
dont il est
de l, les ides
analogues
<~
<~ MCMKM~ de ~C&OM~ ~&0i~;
hachur,
&~MM~
~Mt'M~;
de, ruMN~a/M~
~acA~/eM<
"n;!).
extenseur
du
yis~~e~y~
etc.
co~
du corps,
L'action
corps.
de son Iong<
&/ote?Mca~
Toutmouvement
ou d'un membre
de
s'tendre
tout
GSH.
de conde prolonger,
action. V. la R. *m.
L'action
une
tinuer
GSH.
des choses
chent
Cette
racine
l'effet
peint
en chaldaque,
en sama<
prrogative
et en syriaque,
ritain
o il remplit
les fonctions
d'une sorte d'article
distinctif
Son
se tou-
qui rapprochent,
nombre
est 4.
arithmtique
se contractent.
de
L'action
de se contracter,
~jt.
dense et palpabe~:
se rendre corporel,
et tout ce
au sens figur, la FMc~~
qui
'9
BD.
tombe
les sens
sous
~or<.?Mr~
phore,
L'ar.a.
peint
sure, et de chose
toute
de bri-
espce
DA.
~T
GTH.
et de la division.
lui donne
force
extensive
dans
sens
un
C'est,
une vis, un pressoir.
restreint,
L'ar. <a.
exprime l'action
de pald!a?M la MaHM~ etc~
per, de presser
m.
croissante
Ce
appartient,
la touche
en
de consoan&,
denqualit
tale. N parat
que dans son acception
il tait
l'emblme du
hiroglyphique,
de
universel;
c'est--dire
quaternaire
la source de toute existence
physique*
Comme
sente
image
le
sein,
cier, abondant.
grammatical,
l'abondance
symbolique,
et tout
objet
Employ
comme
signe
inexprim
en gnral
ne de la division
c'est
il repr-~
nourri~
article,
mais
divisible
l'emploie
il~quit
et dipoint
de cette
de,
dont,
usite
en
ca-
naturelle
l'emploie
reprsent
ce, cette,;
quoi.
quise
bb caractrise
propage
un mouvement
sans eNortet
sansbruit.
n~.
OMOM.~ L'action
de ~o~r
avec rapidit;
de fondre sur quelque
chose
de l, n~n~
un w~M;
Hn,
un vautour.
3~.
eo~
(R.
caractre
qui
un sens abstrait
w
D.
Le ch.
les relations
de
ce qui exerce
une
et rciproquement
Tout
n'est
qu'en
composition,
logue de la R.
qui porte
ractre
du S. de l'abondance
L'ar.
1~.
R. qui
hbreu
par
brise.
Cette
3<t.
DB
turelle,
c<w~
J V, la R.
V. la R.
Le signe de l'abondance
naruni par contraction
la R.
et d'influence,
de communication,
d'insinuation,
gd'o
d'ef-
d'manation,
de transmission,
propre
et ~u gur
MW M~MM~
ce~utproedeeatemgntetsans
tou~
bruit~
3
une
~<NMf
C07(M?MM<
WM COH/O~OM.
L'ar. <
dveloppe
dc
de tout
L'ar.
~CC~f,
Dans
3~.
un
~OM~BMr~O~r~~
/<tC~MM*.
l'ten gnral
s'insinue,
rampe,
sens
ngur,
une
M~M~MC~
restreint,
Dans
un
sens
cause
de
sa marche
3*)~
sur
t'c~
~t~
est de caractriser
l'emploi
ce qui se Seconde, et puUuie
damment.
tout
dont
C'est,
ce qui
au propre,
abon-
Ze MM~on
et
rapport.
En considrant
~R.~coT~
~j~n
cette racine
comme
composedu
signe
la R. jtM
t runi par <:amt~action
agissante,
qui
qui peint une chose
on trouve qu'elle
tend s'augmenter,
toute espce
au Rgur,
exprime,
~0/&C&<MJk, d'<iHM?~f~ d*a~OM~.
de
ide d'abondance,
Toute
de propagation,
et de division;
d'fude raison suffision et d'innuence~
et de sympathie~
sante, d'afBnit
DD.
riante,
un
d'<?~r par
l'action
~y~a"
d'ar/<*7\ iw
de se ~<~&;<? WM
un sens
tendu,
M~
restreint,
/?,
et particuirement
~t.
/AK~ et/<ar<~M~
de ~A~re,
d'aimer,
<MC/A*w<'n<.Dans
MM
lente
L'action
*m.
M7!c
silencieuse.
tout
jeu,
ce qui
en se trnant.
tuarche
ours,
Qm DHM.
I)AB.
&t ~MOMd'rc~ofC et
A w/f//<
m
et idioonohatpe
un sentiment
exprime
DOU. Racine
nitatique qui
de douleur,
de peme, de M~tesse.
de se
L'action
nn
de ~OM~r,
de languir,
d'<~ret~&
plaindre,
onre, comme racine
le mmfc sens que l'honomatope
'n. De l', tant en hbre,
braque
en ethiopique,
en
qu'en
syriaque,
L'ar.
l'ancien
celte,
JM~ (lugubre)
les mots
<Jb/
le latin,
de
(ressentir
dans
~o&
(douleur),
la douleur);
et dans les langues mola foule de leurs drives.
dernes,
OTt.
~R. co~jp.~ Tout ce qui ac~
cable de douleur;
tout
i~oM~M~.
<
~.GOU.
~*n et !1't1
&? ~on-
JoM~~r,
j~~Mr,A~cMM~~
Par mtaphore,
~1.
est ~o!M&
tout
ce qui
<
/M~&n'M~
6t de raison
sance,
OM ~t.
ide d'influence
Toute
ee, d'impulsion,
de con-
d'expulsion,
rat,
trainte.
L'ar.
renferme
L'ar.
&)r.
le mme
sens en
~OM
~indique,
la distribution
les
der e secret
quetqu'un
!1!Tt ou
de~~M~r,
d'c~M&er
fMc?'; etc.
!T)T
ou imposer
c~M</
te silence
M~. L'action
deyb~er,
de <?OM/~aMe?/'c; l'action
les ordures,
ffade~a~c
~!T~
~M faite avec violence.
MM~ MMpM~-
fJR.
M*n.
J'MrCNfO~M.
Toute
U).
DT.
co)7~
ide
E~a~M~
ca~r~M~.
Cette
racine
est inusite
renferme
l'ide
en
hbreu.
L'arabe
DI.
turelle
tion,
de y~-
et cT&t~M&M~.
jeclion
').
J~
Le signe de l'abondance
naruni
celui
de la manifesta-
constitue
ractristique
dveloppe
la vritable
de
toutes
ce
les relations
par
'onotnidmonstratives
ce, c~
<&,
ceci, cela; etc. La racine
qui i
celle;
conserve
avec
une
plus.grande
la racine
hbraque
proprement
conformit
siguine
possession.
Ce qui ~a~/a~
comp.,)
~1.
<fOM/; ce qui fait cesser un dinerent:
ToutcequicoT~a!
Une ~<MV~O~
pH~. ~R.co~
une O~T~~OK
nales
et sert
les
En particuner,
ou
se repr-
distinguer.
racines
sentent
~M~f.
en gn-
des choses,
est une
gcnral.En
parttCuUer,
y~-a.~
sorte d'exclamation
pour recomman-
lnten-
ce qui est~U'oH~
~M~f<ifn<; toutc
Tout
abondant,
fertile,
qui COM~M~t*~ satisfait
DH.
de cause
suffisante
et de divisibilit
abondante,
taire.
~~M~M~
H~.
3.r
~.DOUKH.
signe.
les ides
racine
Cette
ca~
R.
de sutu<
MM~Mge~MCM~
Ce qui divise, ce
P~t. (R. co~o.~
rduit
en. morceaux.
V. la R. p~.
qui
Toute espce de
~jR. cowp,~
1
j~~Mra~M.
V. la R. ~-(.
une
sive,
dont
besoin,
toutes
L'ar.
racine
'infiniment
l'objet
la ncessit,
les ides qui
est
expres-
de peindre
la pauvret
eh dcoulent.
le
et
`
constitue
une raou<~
!p
cine onomatope
et idiomatique
qu
exprime
le bruit que Fon <ait en irap-
m M
3~
en battant;
en cognant,
pant,
et qui,
toutes les
dveloppe
par consquent,
l'action de/nyides qui s'attachent
&~
celles de meurtrir
comme
per,
etc. Dans un sens rescasser;
ser,
treint
~signiCe~Mf'r;(~,&oMWpr
avec la main.
et
un fusil
<OM~
Tout ce qui est ncessiteux
"M.
calals,
C07~7/~ triste,
~MMfn~
vex;
FK~P!
L'action
'Wn.
par la privation,
de ~OM~r
d'c~r~e~
signe
les racines
de vexer
DL.
Cette
la runion
racine,
de l'tendue
cause
du
conue comme
de l'abondance
signe
ou de la. divisibilit,
naturelle
de l'lvation,
symbole
extraction
!*ide de toute
la R.
produit
et de tout
comme,
enlvement;
par exemple,
on tire l'eau d'un puits,
quand
quand
et de
d'une plante;
on enlve l'esprit
ide, dcoulent
les ides accessoires
cette
ncessairement
d'puisement
et
d'affaiblissement.
L'ar.
Jb
renferme
le mme
sens en
duire
quelqu'un
vers un objetdistinct.
elle
est aNaibliedansJb,
Lorsqu'elle
distinction
de
n'exprime
plus qu'une
~d~~M.MMaMXM~M~.
ce qui ~c<MtN!;
ou
ce qui eM&~
tout
<oMth! en haut;
ce qui attnue,.
coMtout
~MMe;
~T.
Tout
qui, au moyen
sctvcntsur
et
des
du sens qu'elles
ides opposes
Celle-ci surtout
produisent.
qu'elles
une attention
particulire.
demande
un
C'est au premier
coup-d'oeil,
c'est--dire,
universalise;
sympathie
forme par af~
une chose homogne,
unit
de parties
similaires,
universelle
et tenant
de l'tre.
l'organisation
EH. Dans un sens tendu, c'est tout
dans un sens
ce qui est identique
lien assic'est le sang,
plus restreint,
milatif entre l'me et le corps, selon
de Moyse que je
profonde
C'est
dans mes notes.
dvelopperai
tout ce qui detout ce qui s'assimile,
tout ce qui se convient homogne;
chose
de l l'ide
fond avec une autre
de ce qui n'est plus distingnrale
diffde ce qui cesse dtre
guable,
sa sit,
de ce qui renonce
rent,
avec le tout, se calme, s'ops'~n<~
la pense
cette
en particulier
mais
gnrt;
racine
s'attache
plus exclusivement
conde distinguer,
t'ide
dsigner,
mpris,
puiser
quelconque,
des
ou Q~
symboles
actif ou passif, sont toutes
principes
et saisir,
dterminer
trs-difficiles
prsentent,
5*T
vase
un
MM sceau,
treint,
de l'eau.
d'un
tC.
de ~<r,
C~.
etc.
de coups;
DM.
Cn.
~MMM',se&M~,<~0~.
L'ar..t3
gage antique
Cn.DOUM.
rates; mais
cette racine
dans
l'idiome
33
tp.DPH.
moderne,
un
a reu des acceptions
en gnpeu diBrentes.
jt3 exprime
rai un fluide glutineux
et visqueux,
C'est en partifacile se corporiser.
!~MMM~
~H.
tence.
U?.
DS.
Racine
en hbreu.
inusite
ce
tout
dsigne
j~~
ulier le sang, comme nom; et comme
se dissimule,
cache,
agit
de coww
<? M~
verbe, c'est l'action
nire
cache
et clandestine.
sens
f/dM~f~~M~M~M~. De ce dernier
est sorti dans l'analogue
celui de
j~,
couvrir
de
fOM<<MM~r, calomnier,
&/0/?M.
L'tat
d'~CHMK~K/M~ c'est*
de vie que celle de
-dire, de n'avoir
l'univers, de JonMr, d'~c.H&~cMM~
et par mtaphore,
calme,
taciturne,
Qt'
L'action
d'assimiler
d
H~Xonco~M~.
soi; c'est--dire,
de penser,
d'erM~ner, decoMCCpoiar; etc.
LesignedeladivisibilitsymH.DN.
runi la R.
pathique
symbole de
de l'activit
de l'tre,
circonscriptive
constitue
une
racine
dont
l'objet
est
de caractriser,
dans un sens physique,
toute espce de d~a~e~MMMe
dans
la nature lmentaire;
et d'exprimer,
dans un sens moral,
tout jugement
contradictoire,
port
sur
des
choses
litigieuses.
L'ar.
L'ar.
D. Toute
yT
MMC~M-
MH~M~,
chose
d'une
se
qui
ma-
qui cherche a
Cette racine
se montrer.
s'exposer,
n'est usite en hbreu
qu'en compotout ce
sition.
L'arabe~
caractrise
tout ce qui met en mouqui pousse,
vement.
La perception
des
y~ ou ny~
choses, et par suite, la connaissance,
la .K~MC6.
ru'W~ ~jR. co~o.~ La racine y!
la R.
me par contraction
*!K symce qui
bole de la restriction,
exprime
ce qui M< f~c~,
n'est plus sensible,
obscur,
<gMO~M~.
'1T
L'arabe
ou
inusite
enhbreu.
laisse entendre
une
de frottement
sorte
on
DPH. Racine
chasse
fomente.
racine
forme
au moyen duquel
on
le froid,
on chauffe,
est encore, en arabe, une
onomatope
par imitation
et idiomatique,
du bruit que fait
pT ML
S4
AM~o~<&?
m. DTH.
et aussi
&<M<~
MMgy<M
de ~<f~
dans
<OMt~OMr.
<
Le ~haldaque
signifie une chose
une table.
lisse comme une planche
On trouve en hbreu
~3"! pour scandale, opprobre.
mouvement
DTZ. Toute
VT
larit..
L'ar.
le crible.
d'tre
Toute
ide
de
division
pT
tout ce qui
par brisure,
par fracture
est rendu petit, menu,
tenu, par la
division
l'extrme
subtilit.
Cette
R. se confond
souvent
avec la R.
pi,
votr.
qu'on peut
les mms4des.
L'ar.
x~ dveloppe
L'actionde
~<~c
~KM, ~H&P'H.
etc.
~*7.DR.
Cette
du
racine, compose
de l'abondance
ne de la divi~
stgne
Mon, runt
~ractrise~tat
la R. lmentaire
*?<,
temporel
des choses,
la. gnral'ordre,
l'ge,
le sicle,
tion, le ternes o l'on vtt. De l, T!,
de priode,
de
toute ide d cycle,
vie, de moeurs,
d'poque,
de demeure.
1~. L'acttond'OM~i~unechose,
de la disposer
un certain orsuivait
dre
de rester dans une sphre quelconque
de e~TMM~"
dans
un lieu;
tout ce qui
ge
ce qui existe selon un
t)Ut
et un
ordre
un
M~
C~M~~
t*
due et
De ride
de cifctuer
~~A~
genMdise
de suivie
obstacle
nat ride
naturd,
d'~n6
Un
rgl.
MM MOM<
<<M i'<Mf6~,
orbe,
tensans
un mouvement
de A~~
l'tat
d'<igM' sans con-
action
A~,
trainte.
L'ar.
a perdu
toutes les.
presque
et universelles
gnrales
acceptions
de l'hbreu
de joie.
transport
DCQ.
d'agiter
L'action
y'
dance,
l'action
caractrise
un
dans
conserv
ride
cette
racine
l'idime
d'une
tion
fluxion,
sur
abondante,
tion
de traire
')D"T
DSH.
antique
moderne
d'une
tout
n'a
que
iqu&cdans Fac-
te lait.
Toute
de gennina~
ide
tion, de vgtation,
lmentaire.
de propagation
L'ar.
~hbreu
celle de battre
le mme
Toute
chose
sufSre,
satisfaire,
pour
de raison suMsantf;.
t'idime
signineir
mise
pour
pONr servir
~~o~dbM-
C~M~tit~~t~,
Dans
borne
que
~n.
t~~DTH.
T!.
tMR~.
sens
moderne
une
Far.
petite
se
jO/MM~
1M.HED.
n.HE.
pour ainsi dire, une mission
et abondante.
est le symbole
Il reprsente
huaaide
universelle.
de l'homme,
l'air, l'esprit,
tout ce qui est animateur
et
Employ
comme signe gramil exprime
la vie et l'ide
matical,
abstraite
de l'tre.
gue hbraque,
comme article.
Il est, dans
d'un
grand
la lanusage
ce que
On peut voir
sous
j'en ai dit dans ma Grammaire
le double rapport
d'article
dtermtnatif et emphatique.
Il est inutile de
rpter ces dtails.
Son nombre
arithmtique
wT
HA. Toute
existence
est
vidente~
Tout mon'
eo gneL'arabe
c~~ caractrise
ra, un soutvement,
un mouvement
un enHammement.ConHMP
spontan,
verbe,
<~b
stgoiSe
~H.
HEG, Toute
tale,
de mouvement
s'e~MMMtcr.
ide d'activit
~en-
de
de l'esprit,
H est facile de re~
de verve.
chaleur,
)Conna!tt e ici la R. j~
vie spiritualise.
que le S. de la
~n Toute<~<a!'&)MM~tout
jee qui meut,
remue,
e~
ff/c-
une
w?~c~~
la parole,
~M';c~ oro<<.w~.
L'ar.
ne conserve de la famine h<jh
d'une agibraque, que ndee gnral
tation intrieure.
Gop!t~e opw, c'est
une <~A~<!<<~Ft; contrne
proprement
~'M6~
yerbe,
c'e&t faction
de changer
de
de $'~p<r.
dtermine.
dmontre,
vement dmonstratif)
dans
exprim
un sens abstrait
par les relations t
voici, MMXa/ ce, C~.
L'ar. !A n'exprime
qu'une exclama-
place~
tion.
d'manation
la R.
HED. Comme
"?n
elle n'est qu'une
modification,
toutes
les
racine
s'attache
spirituelle,
dont
cette
ides
de diffusion
d'uneehbse
3.!T
HB. Toute
ide de fructification
et de production.
le signe de la vie
C'est
~H.
qui,
sens
retre
envisage
encore
la R. ~K,
mais
mainten~at
selon le
l'erreur.
Dans
offre
de
rimage
,<de ta vrit ou de
uo sens Festreint,
c'est
symbolique,
ou du nant
une
un souivement
vaexha!aiaoM,
un <antome,
poreux,
une iHasion,
une simpte
apparence,
etc.
l'effet
voix,
La
toute
qui s'applique
de brait;
espce de son, de murmure,
la
mais par une dviation
naturelle,
onomatoracine arabe tant devenue
dans
l'af. ~b
36
*wt. nouD.
Toute
T!H.
ide
de splendeur,
nie, etc.
nn.
d'clat,
ici cette
C'est
j'ai
ma Grammaire,
encore
dans
occasion
mais
tre
double
beaucoup
et dont
raparl
j'aurai
de parler
beaucoup
Cette racine,
destine
mes notes.
dvelopper
est la seule
de l'tre
absolu,
dont le sens ne puisse jani matrialis,
ni restreint.
l'ide
l'j~
-e
K*)~. Dans un. sens tendu,
celui
qui est; dans un sens particucelui dont on parle, relier, un ~ie
par les relations
pronomiprsent
nales
c~&M, ce:
offre le mme
il
L'ar~
La racine
ft~
le
lence,
verbe
sens.
excel-
verbale
unique
sens
dans un
C'est
par
jE&ip-~OMA
la ~Tc
universel,
de la vie.
Cette
~)n.
lie le nant
des racines
racine
matrialise
,ex-
trouve
Les racines
<aM<.
Matrialise
racine
<~</WM~~
t~
t~e
restreinte,
dsigne Mt acc~M/br&tMe.
HOU. Le signe
<igae convertible,
et
de l vie runi au
image
du noeud qui
arabes
~&,
j~
les ides
toutes
perdu presque
et universelles
dveloppes
gnrales
analogues,
par les racines hbraques
et ne conservant
tuel, la seule
dans laquelle
pronominale
~b,
on en trouve encore quelques
traces-,
dans les acceptions
se sont restreintes
tion
particulires
de la racine
n~D, dont
en sorte qu'elles
~ng-~-M-
ayant
choses
nanmoins
tence
mme
l'tre,
constitue
une
les plus difficiles conce-
intellectuel
cette
HOUM.
voir
de vie dont
dans
de gloire,
d'~a~MO-
de
HEII.
cine
0'n.
n'a plus
potentielle,
/<MT, Ze, ~M~ le .vide;
mme existence,
dgrade
lise de plus enpiu~dans
dsign
et cette
et matriaa t
le synonyme
de /er..
c'est y'c~MM
om.
(~K coy~j
la. puissance
l'existence,
potentielle
d'tre,
conue univeisellement.
sens
~~b n'ayant retenu que le
ne
matriel
de la racine hbraque,
L'ar.
~1. HOUN.
~n.
un abune,
Za substance,
Mn. ~R CO~H~
f~~cM~HC~, ~M/acM&!M, qui tiennent
la vie, l'tre.
7!THEZ.
Le mouvement
d'ascension
et d'exaltation
exprim
par la R. ~K:
dedans celle-ci,
spiritualis
une sorte de dlire
mental,
s'tant
vient
MM y~,
~~M~.
L'ar.
signifie,
&!<<etc.
nn
~M ~O/MM~M~~e
restreint
~coM~r,
HEU. Racine
L'arabe
sympa-
au sens matriel,
&KMA'T'
c~o~,
inusite
n'indique
en~hbreu.
qu'une exclama-
tion.
J~,
~iMier
lutter; et
U~,
agisDans
~)~r
une forme
agrable.
V la P. Min dont celle-ci n'est
j~n
e~?.
c&, cc~
que le fminin
~!1. R. onom.
afections
Relation
sente
par Ao
tale !m,
Racine
analogue
eUe manifeste
&la R. vi
les pro-
prits.
L'ar.
repro~H~
L'ar.
un mouvement
~& exprime
et ~j~ peint,
rapide dans la marche;
comme
racine onomatope,
le bruit 't
du sabre
qui fend l'air. Ces deux
mots caractrisent
une actoujours
tion
faite
avec vigueur.
Voyez
REL.
une
ment
dont
interjective,
A~M/
qui
HEI.
toutes les
exprimant
et douloureuses.
pnibes
et en spirinouvelle,
expression
le sens. Dans
le style hiro~Mg~M!- tualise
~~b<signi8e
la R. -~t est le symbole
dans le travail
du
glyphique
mouvement
<i?~, lutte. Voyez la
excentrique,
d'loigne-
R.MM.
'!T
37
ou
~H.
I3!T HET. Racine inusite
en hbreu.
L'ar. <S
ou Jp~b, indique,
d'aprs
la valeur des SS. qui composent
cette
HEL.
~reprsente
.<<'
nominale
elle, celle,
cette racine
verbe
la relation
c~.
dveloppe
pro-
'Comme
dans
la R.
1)
par
opposition
est celui du mouvement
concen-
rapprochement
dans le
elle caractrise
un senstyle ngur,
timent
dTulIarit
et de flicit,
une
dans le style propre,
elle
exaltation;
trique,
de
exprime
tout
trieur,
L'ar.
plac
J~
ce qui
est
loign,
ut`
au-del.
dveloppe
en %<
gnral,
les
~n. HEL.
38
ides
mmes
verbe,
c'est
Comme
l'hbreu.
que
l'action
en particulier,
de commencer
de
luire,
en
Comme
relation
/?ar<~n',
de la lune.
parlant
c'est dans
adverbiale,
treint,
~n
tp.
l'interrogation
Tout
ou ~n.
un
res-
sens
~c~MC/'
ce qui s~o&c,
se ~oy~<?,
est
s'
~~A?M~,
digne de ~bKaaf~
/K~~c, c~&rc~ etc.
tout
ce qui
est
Tout ce
~!t et ~F!
w/e~J
qui atteint le but dsire, qui recouvre
ou donne la sant, qui arrive ou conduit
au salut.
G?*
HEM.
puissance
&.ft.
La ~ie unh'efsalisec
vitale
Racine
CM.
de
l'univers.
onomatope
peint toute
matique,
qui
bruit
tumultueux,
tout fracas.
toute
la
V. la
et
idio-
espce de
commotion,
L'ar.
en gnral,
~caractrise,
tout ce qui est pesant,
anpnible,
C'est proprement
un
goisseux.
<&OM, MM~OMo~MM~M&z~M. Conune
l'action
de s'M.eA exprime
de se donner du
~Mesit~ de s'a~~c?',
mouvement
pour &dre une chose.
verbe,
C~n.
L'action
d'~a~c~r~M&~MM&c,
JM &nM~, de <MM&~r par des
de~Mnc
clameurs,
par un
~oute ~ei~M~<t<to~,
&*acas imprvu
toute
con~
~M~tOM, tOUtyhMMM~FM~t<,
jetC.
HEPH.
constitue
une racine,
qui caractrise
les existences,
les choses en gnral;
un objet, un lieu, un temps prsent;
tout ce qui tombe sous les sens, tout
ce qui est conu comme
tuellement
excitant
HN.
Tout
rel
et ac-
les
o~re
en gnral
l'hbreu.
C'est
les mmes
une
chose
distincte
de
petite
partie
et idioracine onomatope
Comme
l'action de&~
matique,
,jjb exprime
tant au propre qu'au 6gur,
Toute ide d'existence
actuelle
Wt.
l'tat d'<~re l, prsent
et prsente
chose
et prt quelque
les ralits,
les rtcA~M~.
effets de <OM~O/<M
RaciaecnomatopeetidioD<TtES.
matique,qui
peint le s~ence. L'arabe
semble
une sorte de
indiquer
toJS
comme
NMMmNre sourd,
quand un
troupeau
pat dans le cline del nuit.
HEU. Racineinusiteeenhbreu.
un mouvement
L'arabe
<& indique
violent, comme une irruption
subite,
un vomissement,
etc.
yn.
CetteRacine
que le gnie
~n. EPH.
hbraque
n'emploie
qu'en composidans H'r. ~h une onotion, constitue
matope
qui peint
un soufre
qui s'-
ou.
yn.HETZ.
C'est,
vivement et lgrement.
l'action
verbe,
d'M~cr,
de s'esquide toucher
lgrement,
chappe
comme
ver,
etc. V. la R.
IIETZ.
Le hald.
Vn.
// y~g~eoM, et l'arabe
compose de plusieurs
par contraction.
Cette
racine
Vtn signifie
une chose
~oA
autres runies
exprime
aussi
le
dans
que
chose
imptueuse,
un dlire,
*~n.
par
que ce soit;
un discours
racine
dve-
qui
propre,
l'ar.
Jh
C'est
au
ou de
de s'ccn?M~
intumescence,
MMgW!~M~;MMe
etc.
co&~M, une MOMifa~c,
L'ar;
HESn.
j~
n. inusite
signifie
L'action
de co~M*
dans
de machiner,
de tramer
les tnbrea,
la suite.
en hbreu.
proprement
W. Ce caractre
a deux
s'~FMo-
ac-
vocales
et
trs- distinctes,
ceptions
unetroistmeen
qualit de consonne..
Suivant la premire
de ces acceptions
vocales, il reprseutel'il
de l'homme,
et devient
le symbole de la lumire
la seconde,
il reprsente
du
reille, et devient le symbole
de l'air, du vent
en sa qualit
faire ~OM/~
~n. Une conception,
une pense;
une grosseur,
une
une grossesse
~n.
occulte,
suivant
soudaine-
bruit
qui
l'action
existence
inconnue.
profonde,
1. 0. ou.
vhment;
tant
un
HTH. Toute
en quelune marche
peint
ment,
~H.
racine
L'ar.
un transport.
constitue
Comme
complots.
un
indique
tendre.
un cononamatope
j&A indique
cours tumultueux
de quelque
chose
que ce soit.
Tt~.
verbe
.~l'actiondeT~MKicdM~o~CM~<c, en parlant des yeux du loup.
HECQ. L'arabe ~b
pn.
mouvement
extraordinaire
lir et devenir
39
consonne
son
de
il est l'emblme
et reprsente
le gout
Si l'on considre
ptant.
comme
l'o-
de l'eau,
et le desir ap-
ce caractre
on dgrammatical,
signe
en lui, ainsi que je l'ai dj
couvre
le plus prodit, l'image du mystre
fond et le plus inconcevable,
l'image
du noeud qui runit ou du point qui?
le nant et l'tre. C'est,
rpare,
vocale lumineuse
son acception
dans
le
le signe
signe du sens intellectuel,
ainsi que jp
verbal par excellence,
1 OU.
~o
~.OUG.
Grammaire:c'est,
verbale
arienne
tible
universel,
nature
d'une
quant d'un
intellectuel
ma
du
plus lev, et de l'autre,aveccelui
sens matriel
y, qui n'est encore que
lui-mme
c'est
ennn,
plus abaiss
dans son acception
consonnante
acle lien
queuse,
de toutes
C'est
conjonctij~
signe
nire
choses, le
en cette der~
acception
qu'il est plus particulirement
employ comme article.
Je renvoie
tous
ma
Grammaire
les dtails
dans
entrer
sans
pourrais
j'ai dit.
comme
grande
except
mence
J'ajouterai
une chose
attention,
son nom
aucun
lesquels
rpter
seulement
pour
je ne
ce que
ici, et
de la plus
digne
que le caractre 1,
ne com.
propre
de la langue
mot
h-
sur
la nature
prouve
des signes h~
la haute antiquit
de sa
langue et la rgularit
Car si le caractre
est relle signe convertible
univer-
il ne doit
conjonctif,
en tte d'une racine
jamais se'trouver
or, c'est ce qui arpour I& constituer;
et il ne parat
rive. Il ne doit paraitre,
sel,
et l'article
pour
les joindre,
des
ou qu'an-devant
pour les changer.
temps verbaux,
Le nombre
arithmtique
ractre est
6..
de ce ca-
le syriaque
L'arabe,
l'thiopique,
et le chaldaque,
qui ne sont pas si
et qui admettent
le caracscrupuleux
tre t en tte
d'une
foule
de mots,
tous plus
prouvent
par l qu'ils sont
et qu'ils ont corrompu,
modernes,
ds longtemps,
la puret
des prinl'idiome
cipes sur lesquels
portait
idime
ils descendent,
gyptiens,
par les prtres
et livr, comme je l'ai dit, Moyse,
aux Hbreux.
qui l'apprit
primitif
conserv
dont
aux
de la science
tymologique,
brivement
les racines
je rapporterai
les plus importantes
par
dsirer
ce caractre,
qui commencent
dans les dialectes
OUB.
Toute
sympathique,
tagion. L'ar.
ide
de production
de cond'manation,
signifie dans un sens
particulier,
cow~MM:'<yM~ /a~c.
ou toute autre mutadie
contagieuse.
~).
rabe,
OUG.
qui
~cMMMf
possde
L'a~ro~a~M~.
cette R., en drive
OUD.
l'action
de c~
~1.
de~o~M~
es animaux.
En
OUD.
Qt.OUM.
d'M&y,
arabe
toute
ide
d!'MC/MM~OM.
d'amour,
J'MR~,
C'est !a R. sympathique
'T~
Dans l'idiome
moderne,
cultiver
7'OM~
tmoigner
de
11.
de lumire,
une manifestation.
C'est la R. hbraque
niH.
lacr,
WOU.
mis en droute.
C'est
le nom
du
caractre
toute
dans
un sens restreint,
c'est
QUZ. Le syriaque
une oie.
prement
)1.
L'ar.
est une
un c~OM,
signine
racine
de ~OM; c&K~
l'espce de
en arabe
un cri de frayeur;
o~,
/9n?~MM~M~/tMif/c<crcec~~
et
J~,
Jcj~y
WI.
qui exonomatope,
en
le <j~~
et le d~o~,
Racine
syriaque,
en thioexle mme sentiment
en
!;ha!daque,
c'est
pique
prim par
L'ar.m
<
la relation
intejective~/
a le mme sens. Dans
dime
<~5
thiop~que
du vin; et l'on trouve
arabe
raisin.
mme
Un son
OUT.
1S1.
prime
.<<
en !:h. et en ar. une
R. onomatope
un tat
qui exprime
violent de rame.
au cri
~L s'applique
d'une extrme douleur;
et
peint
le rugissement
du lion. Le verbe
J~
caractrise
l'tat de tout ce qui est dchir,
subite
de la bienveillance.
(3UH. C'est
m.
signifie
lui
quelqu'un,
4t
~l.
tout
,t-3
dsigner
pour
OU~iH.
Toute
mouvement
(~)
dans
l'i
signinc
l'anoien
une sorte de
agglomration,
donn
conpour
en arabe, <
centrer,
Le compos
J~
un jrpM/MM.
prement
signine
pro-
pro-
onomato-
ti~-EnarabeJ.
De la l'arabe
tesse et d'anxit
qui exprime
/0/WMOK,
~<*M<t'oM,
cme '?M.
drive
de la ra-
'!).
T.
t.
C). OUM.Toute
<f'~M'
Mt<<
espce
<~e coM.~M'
~'c~f~~
~w/~ir'f
fi. OUN.
!-?. OCTN
~a 8igni6e~M7K~M~
un MM~f
C'est
s~&tance de 1~ l'arabe
qui $ignitout ce qui rsiste, et
fie, en gnral,
en particulier,
la ncessit
4'~
L'arabe
~7M&&
cine
la ra-
OU
Le verbe
signifie
Le verbe
faire signe.
D).
tN~P
~OMtM~
<fo7M les ~&~*
eomo~~
L'thiopique
OUS.
Racine
onomatope
qui
peint le bruit
que l'on fait en parlant
une
l'oreille
de l, l'arabe
j*
insinuation,
MM~gi~o~M.Cemot
et alors il si~'crit quelquefois
.c,
U.
OUR.
Racine
qui,
onomatope,
te bruit de, Fair et du vent,
peignant
dnote
au ngur,
tout ce qui est
vain. En arabe
~n~,
gw~~yeM~
gnifieunetentationdudiahle.
Le verbe
y).
OUi.
Racine
onomatope
feu violent,
qui
d'un
C~~
et Fa-
rabe
le murmure, le
-c. ou <
/t&MCM< d'Mn~~OMyTMMC: une C&tetc.
meur,
Racine
teindre
rab
~~r.
~MM~~
ide d'ornement
parure,
c~-
c'est
une
aM FMOM-
<!<MK<eK/d!~oM~oMM~dansFar.
j~a*&y
yaction
de
Le verbe
~m exprime
jm.
Toute
onomatope
qui
confus de plusieurs
de plusieurs
couleurs,
de
1 de ~MMy<BCC
emprunte.
OUTZ.
yi.
d<* snUdit,
fend
Racine
le bruit
exprune
choses
la &is
s'agitant
eOM~MMM, MMC <M~
onomatope
qui
~).
OUPH.
un sentunent
de
exprime
d'orgueil
la part de celui qui se voit lev en
De l l'adcore,
dignit,
puissant.
toute
OUSH.
ce qui
ide
de fermet,
de consistance,
de-per-
OUTH.
Racine
peint la di~cutt
le gnnssem6nt
cult~
de l, dans
onomatope
~i
de se mouvoir,
t
qui suit cette duSraraBe<
et
ZD.
~.&
jf,,
toute
membres,
ide
les
de ~MMM dans
de c<~
J'c~oMM~M~M~,
<ZM~a<p~<~Ke~c~etc.
3'T
ZB. L'ide
par
Nt
contraction
celle
dp
repropagation
gnratrice~
~H, forme
prsente
par la racine
appartient
la touche
Comme
il est
symbole,
le tfait, la.
reprsent
par le javelot,
Sche,
tout ce qui tend un but:
comm
c'est ~e
signe ~ramt&atica!,
signe dmonstratif,
image abstraite
du lien qui unit les choses. L'hbreu
ne remploie
comme
article
point
mais H jouit de cet avantage
en thiopique, o il remplit les fonctiona d'arl,
ticle dmonstratif
Son nombre
la racine
toute
en qualit de cpusonne,
sifflante,
et s'applique,
comme moyen onoma tous les bruits
siRtans,
tope,
tous les objets qui fendent l'air et s'y
ruchissent.
r-
mouvement
dans
renferm
flchi,
-runie
dont
une racine
t. Z. Ce 6aractM
du
4S
arithmtique
est y.
est dpeindra
et tumulpullulant
l'objet
tout mouvement
tueux
comme
tout
mouvement
ou
insectes,
effervescent
comme
celui
celui de l'eau
des
au feu
qui s'vapore
L'arabe
dveloppe
les mme}:
<
idesquel
hbreu Enqualitdeverbe,
cette racine exprime,
dans l'idiome
l'action
de jeter au dehors
antique,
une excrtion
comme
quelconque,
la bave, et mme la bourre.
l'cume,
Dans
l'idiome
moderne
se scher,
simplement
raisins.
elle
signin<p
en parlant des
L'action
3*
de ~M&H&~ comme
ou de se dt~tMe~
les insectes,
de se
<~M~r
~OMS~, comme un fluide.
..1
ZA. Toute
~7.
et de direction
ide
de mouvemenft
et!
ce qui se montre
le brait)
la
donne;
tel que
~oyM
agtt t'extrieur;
en
HM
terreur
rsultent
qui
&
~un
arbre, 7~ co~MC d'un uf, etc.
M~ r<~on &<MMeM~; MMe~e~
MM
~ar.
dsigne le fer qui arme le
indi
comme
cx3rmde R. onoonoL
indique,
L~ar.
matope, l'tat
d'trescoudans
l'air,
etlebruitque&ituaiechosesecou~.
Un Zo~, cause
,3~.
lumineux
que ancentse$
Relation
prime
par c~c~
bout
Marieur
d'une
pique
racine
onomatopee~ycaractrise
et facile
mouvement
prompt
peintehennissementducheva.
Comme
un
et -A*
~J
des traits
yeux
dans
~bscurit.
r!Mt
ZG. Tout
dmonstrative
c~o:. V. jta R.
<cx~<
ce qui ca~se.FeHerr
tout ce qui excite l'vapo~escence,
ration d'une
chose; toute tde d'ac~
ZD.
rogance
Tout
et d'orgueil
ZOUD.
44
M.
de ~oMt~r,
au pro*T~. L'action
de se ~OMMo~cr,
de s'r
pre
<F oyg~~7, au figur; d'o~M* Of~c AaM-
Toute
fR. <-o~
V. la R. ~t.
persion.
~Kr.
7f.
n~
tion, de rverbration;
tion lumineuse.
~?1T
ZOU,
ZHE,
ZO.
Tout
ZZ. Tout
L'ar.
comme
relations
arrogant.
;lt. L'action
ce, ce/~
pronominales
ces,
cela.
~c<,
L'ar.
'ctat,
ce qui se montre,
~a!~<
au dehors, brille, y~M'~&& /MFM~MC;
un objet.
dans un sens abstrait,
repouss
son.
par
cause de
Z'o~
Tout
coM~J
une mauvaise
d'o
la lumire
se r-
flchit.
homme
de vibrer,
de se Wla lumire,
de res-
la rverbra~~MdcMr,
<MM de la lumire,
~'cc&!< /M~M~Ma'.
Ht.
Tout
Z!
mouvement
tout
esprit
rude
ce qu'on
et
dirige
prsomptueux
y. ~dveloppe
action
exprime
vhmente
qu'elle
<wr
soit; c'est
M~e.
1~
tes mmes
ides.
en gnral
de quelque
eh particulier,
ZT. R. inusite
une
nature
en hbreu.
~M-
L'a-
~JR. co~
par extension,
ce sott
~r;
tadmarched'uM
comme
/~<K~r
L'ar.
r~.
peint
Le verbe
chose
rfrac-
et tenace.
cejqui
exhalai-
1;Tt.
toute
toute
La
cAo~ l.
!1~ Tout
On~
de vibra-
plendir.
de briller.
Ce~e
F~.
de jeter de
l'action
exprime
mouvement
mmes ides,
~dveloppeles
racine onomatope.
Le verbe
manifesdmonstratif,
toute objectivit
extant, rayonnant
par les
prime dans ua sens abstrait
mouvement
iJet&dM-
"W.
Un prisme.
de quoi
~a~&
ett
que
den~V.tR:
ramp,
eo~J
~or~.V.a'R.
y~
f~.
cowpj
etc.
Z'~fc&f~co~
V. ~a R. yi.
ZI. R. analogue
auxRR.t<<~
1~ mais dont le sens est moiua
n~
abs-
~t. ZOU.
C'est, en get plus manifest.
tout ce qui est lger, facile,
nral,
ce qui est doux, gracieux;
agrable
comme la
ce qui brille et se rflchit
trait
lumire.
L'ar.
45
CM ZM.
toutes
les
ides
qui
la
ont
rapport
des choses.
la forme,
comme
d'tre;
l'action
de
exprime
manire
..J\
<
la ~a/M/t~
la joie,
la gloire,
le nom
beaut:
c'est, en hbreu,
mois du printemps.
premier
la
du
E~oMaMa~:
(R. co~
-dire un tre qui rflchit
de la vie. V.
c'estla lumire
C/n~anMM~:
W. ~.coMt~
-dire un corps resplendissant.
rabe .JtSignineorn~r.
!M.
c'estL'a-
flamme
celle, etc.
rp~.
et ~M~
L'olivier,
l'olive,
comp.)
c'est--dire
qui en provient
l'essence
A~KM~M~.
ZH.
runi
par
symbole
Le
signe'
(contraction
de toute
~).
une racine
prodigalit,
lit, etc.
j~OM'r,
faible,
Dans
de
d allongement,
et, par suite d'att-
ides
tes
prolongement;
de
nuation,
7*
d'o se dveloppent
et aussi de
faiblesse;
de relchement,
de vil
L'action
ar.,
jLt signine
faux pas.
le verbe
&7TOKc~<'r, faire des
restreint,.
'='
UT.
une
Tout, ce qquit~i~ donne
Io
que une
AZM. ce,
forme,
tout ee qui lie
une figure;
plusieurs
un tout.
parties
dmonstratif
former
a la R.
renferme
L'ar..t~
Comme
racine
onomatope
'').
dans l'ar.
c'est,
matique,
bruit sourd,
un murmure.
restriction
une racine
eC ex-
constitue
ception
expres.
&ive dont l'objet est de donner l'ide
verbe,
U.
de tout ce qui abonde
en bonnes
couvres.
en vertus,
entr'lles
*n.
et comme
pour
'0,
les mmes
en
ides.
et Mio-
jt~t
un
XM.
C~.
46
c~.
MM~ MM~OM~M<
de
tout ouvrage
~Mt, MM <<tM~
un
en bien ou en mal
Feutendement
M~e MMcAMM~MM, CtC.
<W~
Q~.
Le signe
ITZN~
dmonstratif
rum
h A.
tion
une
constitue
racine
qui dve!oppe
deux sens distincts,
suivant
qu~eite
de l'es*
sous le rapport
est envisage
ct de l'esprit ou de la matire. Du
morale
c'est une manifestation
l'tre
les <acu!ts~e
qu fait connatre
du eo! de
et en dtermine
l'espce
c'est une manifestation
la matire,
prit,
~r;
toute
et au ngur~
M~M~Mc~,
toute <~<ZMC~~
toute
~bf~K?~MM,
un lieu de /WM~Mune ~~O~M~
tion, etc.
une sorte de susexprime
L'ar.t
pension
diverses
de l'egprit,ritre
des choses de
natures. Comme R. onomato-
pe,
peint
L'action
un
&OM!~OMFMMMM<.
de se nourrir,
de.? '<
~FMeM/~t
Faction
de se /?~o~M~r.
D7.
hbfeu.
L'arabe
!a possder.
mente
est inusite
pa~t
en
V).
ZH. Ceue
la R. }lt ou
matriel,
veMMntpniMf,
racine,
qui n'est que
incline
vers le sens
ride d'un
dveloppe
d'une agitation,
d'un
souci,
ue t'avenir.
Dans
2P!.
trouble
moud'un
par l'eSroi
caus
Far. ~tSirestreint,
.guifie agir en renard, user de dtours.
de
de se /fOM~&ret
y*!t. L'action
l'attente
dans
c~H~M~iC~ de frmir
d'un
un sens
malheur.
menter,
r~
~M<
de se tour-
Inaction
de ~~o/~Mcy.
?h)M&/<~ <~a&oM d'esprit,
et ce qui en est la suite, ~M~Mr.
C~).
~R.eo~g~a~oM~M~/!c
7<
,,et gnrale, et ce qui en rsulte,
au ngur, la ra~e,
c~M~
md'Mation.
eiy).co~JTumu!tedes
sions irrascibics;
<o'
co~
pyt.
l'ar
tion. donne
pasetc.
oro~<?;
commoCrande
clat
de yoM?,
~MC.
ZPH. Tout ce qui est corpori~If.
tout ce qui
collant;
sant,
gluant,
exerce une action mutuelle;
proprement, &Z~OM!.
une racine onoC'est dans
Far.
qm peint t'omet d'une bou~
matope
fe de vent.
Le verbe
exprime
ne pas
l'action
d'tre
emporta
par !e vent.
it. 66
!M~. ZOUPH.
L'action dea'oMacA~
d'proutM.
ver un sentiment
mutuel,
rciproque
ZTZ. Racine inusite en hbreu,
y?.
et que l'arabe ne parait pas possder.
ide de diffusion
ZCQ. Toute
pT
dans le temps ou dans l'espace.
L'ar.
peint, comme R onomato~e bqueter.
Une C~a~C, une suite, MM/?Md?,
MM~Mf de quoi que ce soit. Tout ce
pe,
l'action
une c~a~,
et la force
M~~Sc~/etc.
l'accompagne;
Dans un sem restreint.
!<FM outre
gnifie
o l'on
C'est
quelconque.
queur
le mot hbreu
)p~,
Far.
met
sans
qui
Stsiune lidoute
ou le ~haldaque
pD,MM~cc.
)t.
celui
S. dmonstratif
du mouvement
rum
propre,
constitue
l'ide
de tout
devient
q'
frange,
L'ar.
sens
s'est
restreinte
signifier
un
serrer
de
ceindre,
lier, etc.
L'action
*?.
centre,
gndu
noeud
de
comme
~Ot~
alin,
!W~~M~,
F~M<; l'action
~hMten en-
etc.
d'ternuer,
ZTH.
IHt.
Toute
reprsentation
parles relations
c~~
Cc~B chose l.
H. . A. C.
considr
voyelle
de son
la touche
cenh~,
de
N~~MM~~ota~~M~oK~
sa propre
~W,
son propre
<~
Faction
d'tre
considre
impulsion
l'existence
s'hxga~
une
restremt,
plus
MK~ C~M~M~
toutes
les
perdu
~y ayant
danscette
ides primitives renfermes
racine, n'a conserv que celles qui se
sont attaches
au mot c~w~~p,
et
tranger.
toute dissdispersion,
toute ventilation
tout ce
MtMafMM,
qui est abandonn
vement;
un
ob.
symune
<?~e
~JT,
dans
jective exprime
nominales
ceci,
Le
ZR.
47
mouJt-
sous
Ce caractre
le double
il est
lmentaire;
de l'aspiration
le principe
de consonne
qualit
chapnp
le
gutturale,
de l'homme,
tre
de
rapport
En quatit
ou de consonne.
vocal
peut
de
symbole
et reprsente
vitale
il appartient
et reprsente
son
travail,
en
le
ce
yt. &B.
4~
TH.D.
de sa part un effort, un
qui demande
soin,'
uho fatigue. Comme signe
gramil tient un rang intermdiaire
matical
signifie
Comme
entre
le bruit
absolue,
M, la vie, l'existence
et,
relative et assi~), la vie, l'existence
mile. H offre ainsi l'image d'une sorte
et s'attache
d'galit,
de travail, et d'acd'eubrt,
et lgislative.
normale
d'quilibre
aux ides
tion
et
Son nombre
~H.
arithmtique
a la R. T! qui
du S. n. Celle-
HA. R. analogue
le vrai caractre
porte
ci. est plus
onomatope,
d'un effort,
exclamatif.
usite
est 8.
sous
son rapport
pour peindre la violence
d'un coup port) d'un cri
l*
HB. Le signe de l'existence
mentaire
runi a la R. 3~,
symbole
de toute~ fructification,
forme une ra~in.
cine
dont
l'objet
est de peindre
tout
cach, mystrieux,
comme
l'est
un
toute
n'ucti&caT
si la R,
est
lmentaire
dans son acception
de desir d'acelle dont il s'agit ici dvelop-
peral'ided'unrapprochementamou<
reux, d'une fcondation.
Voil pourquoi
l'ar. <~ pris dans
un sens restreint,
aimer;
signifie
tandis que dans un sens' plus tendu
cette racine
Dans
un
sens restreint,
Far. c~ta~
<n~'
partial,
~~o~M~r.
B. onom. l'ar. <~o., rappel
du tranchant
d'un sabre.
~n.
6G.
Toute
action
tinue
tout
de/~
de M~MMa~,
rude
et con-
tourbUIonmouvement
tout
d joie; une
nant
transport
un
joute, un jeu, une fte populaire,
un carrouse.
tournois,,
Toute ide
~F! ou ~H.
M~
o tout
le peu-
lieu
visiter
Faction de
d'aHer en plerinage~
saint,
et dans
ceUe de trotter.
~H.
danser
L'action
de tourbillonner,
de
en rond, de se ~~r~
A~yo~
de e~&~cr
Par mtaphore,
~M.c.
une OM&i~e, une
t<MC
C~COM/~MC~,
sphre
~'ae~
le globe terrestre..
de la di-'
D. C'est la puissance
vision exprime
par la R. 1~, qui, se
trouvant
arrte
par l'effort' qui r~
suite de sa contraction
avec le signe
tn.
tmensaire
~n.
ED.
phore,
force
Faction
de fendre
terre.
Comme
et
tant
ren-
exprime
de touiUer
la
<\S* signine
nom,
pro-
ZayoM~.
prement
L'action
de /M~er~&MFMen<,
<&?~~oa~M~
de proposer
des
<M~gNM~.
Une
~n
e~~nc,
Un.
Cette
AH.
M?M~on&o&
T!H.
co~J
~H.
COW~
OU.
L'existence
tout
Cette
racine
arabe
ce qui
l'annonce
ce
et
aux
dans
l'analogue
mais en se
a prsent .ce
dans
renforant
elle
lmentaire
a de plus
que l'existence
le ~oo~.
profond,
breu,
etc.
~H.
~A
co~
~n.
rR.
eo~
T.
t.
V. !a
L'action
d'accro
tStH
~~R co~M~
L'action
de ~ac
de eoM<
V. Ja R. ton
co~Mo~r,
V. la R. ~T
~Tt.
co~~J
V. ta p. an
L'action de <WM-
air!.
con~j
~in.
~Ar,
~jR. co~
de se coM~M~Mr.
~<iro,
Aor~MM
y. la R OU
Tout ce qui est
con~
Mn.
~F&'WeMr, OU qui <~C.!7&'h~M~M<Mt<;
tout ce qui sort des limites ordinatres,
et qui, dans un sens abstrait,
s'exAony, <~ot~
prime
par les relations
ItH.
co~J
eo~J
etc.
V. la R. 'Vt.
V. !a R. ~~H.
~H.
Z. Le signe de l'existepce
lruni celui de la dmonsmentaire,
tration
ou de ta, reprsentation
objective,
les ides
V. ta R. -t!
Z'AoyMOH.
lmentaire,
en gnral
en particulier,
tout
manifeste
qui rend cette existence
patente;
sens.
49
R.tn
~tn.
in.
6Z.
tM.
V. la R. ~n.
V. a R.
forme
une racine
trs-expresde donner
est
sive, dont l'emploi
naissance
toutes les ides de vision,
de perception
de cootemvisueHe,
pation.
L'ar.
toutes
en laissant perdre
les acceptions
intellectuelles
de la R.
n'a conserv que les ides
hbraque,
comme
physiques
qui s'y attachent,
et s'est borne
racine onomatope;
toute espce d'entaille,
d'indsigner
et par mtaphore,
de scrutacision
Le verbe
tion, d'inspection.
lignine proprement
piquer.
g
5o
tU Z.
L'action
tn.
de cotMjM~r,
~c< des choses;
&H.
'nn.
t
de t'<M~ de ~on~cr,
de con<CM~~r;
<M-
~A~,
ttn
~cZa~r.
)'!n
L'tendue
de la vue,/Ac~OM~
les &o)~nM, les &MM<M d'une chose,
d'une
rgion.
Un.
UEO. Toute
ide
d'effort
apfai-
ce qui exerce
une force
comme
des tenailles,
quelconque,
des frocA~,
de l, le
des forceps
verbe
approarabe
~t~&rr,
fondir.
c~M;
'SH.
H&T. Lsine
de refbrt, runi
celui de la rsistance,
constitue
une
racine u'o dcoulent
toutes les ides
d'attente
frustre,
d'erreur.
pch,
L'arabe
de
de
manque,
<na.
couper
signine
proprement
en menus Mon?e<MMx; et~o.,
poser,
<MH~r,
mettre,.
~MMa~;
<~o~r;
<&<M~r, po~<MjMer, etc.
MnouUan.
qui
~0:
~.H~w.~Tout~
en d~
MOM~M~ le but, qui
qui pche d'une ~namre quel-
conque.
~M.
fournit
ride
restreinte
celui d'<M?MM<&~Mn< et
mtaphore,
de yiM<OM?~OM
d'o il rsulte'que
le mot j~n.
qui signifie t~/?~c~,
signifie aussi une ea~M~tb~.
HI. La vie lmentaire,
les ides qui s'y attachent.
et toutes
'H.
est l'analogue
voir.
Cette
de la R. IFt qu'on
R.
peut
~.dveloppe
renfermes
dans
toutes
les ides
la R. hbraque.
~n.
co~J
~~b~'e
~a~;
la
tout ce qui entretient
l'existence,
la soutient
/<~ ~ar<MoN&s<
procure,
MMM&HM;
tant au propre
J~tCtt&~
~~t~MC~,
&~MMqu'au figur
la
de la force;
qui rsulte
sance
HM~jO!
vertu qui nait du courage;
~M~ et tout ce qui est nombreux,
t~M~M~
~t~OM/CttMc; MM~br<, MMC
MM~ mM&
~b~e;
Wt nM~pa~j!;
&~e, etc~
s
C
(jR. co~aj
de 1 efbrt
La
rum
-symbole
<~nce, tant en~i6agcd'an
racine
~n,
a rsis-
autre
cote,
Le signe de t'~tence
runi celui de l'exislmentatre,
une
~~e
tence sssinue
etrdat'w;
~n.
~H.
toutes les
ae rapporte
du tact, et qui en dveperceptions
loppe toutes les iddes intrieures.
racine
qui
La racine
arabe
~a.,
ayant perdu
les ides tnoralea qui
toutes
presque
de la R. primitive,
dcoulaient
tant renferme
dans les ides
ment
et s~pure ex-
s'est borne
physiques,
comme
une <&~MMnom,
primer
et comme
~M~MOM, une ~M'<MM;
l'action
de d~Matverbe,
analogue
ger et de jnj~r.
Tout
s<t
~n.ouL.
~n.6~n.
AL.
L'ar.
toutes
une a/<C.
en gnral,
J~a. dveloppe,
les ides renterntes
dans la R.
manire
de quelque
d&.
(~A
MM~COM/Orif~tg solution
de COM~M~;
MFM ouverture,
une
blessure
MM ~&%C~M~/
extrme,
une dissolution,
MM6~0/<HMt~OM,
une ~H~M~
une
MFM ~0/&<~OM;
signede
MM~ <~&<~e; MKeMMi~,
M~~fM~,
la R. '?t<, symbole
de la force ex'
Mn.O~MMCM~;
MMe~rM~
~~MM~
tensive
et de tout mouvement
qui `
et toute
de
MH~
espce
jeu
une foule
porte vers le haut, produit
de danse dissolue,
d'instrument,
d'adont il est trs-difficile
de
d'ides,
musement
etc.
frivole
fixer le sens avec rigueur.
en
C'est
de MM~r
~n ou ~f!. L'action
qui cause
gnral, un effort suprieur
un allongement,
une distension,
un
par l'effet d'un effort violent que l'on
ractioo dese~M~,
c'est une force incon&itsursoi-mene;
relchement;
l'action
de s'e~Md~;
nue qui rompt les liens des corps en
d'cccOMc~r~ 1
de se ~o~r
les dtirant;
les rduisant
de M~~
OM monde;
les brisant,
en lambeaux,
en pense ou en action, t'B~s Mt
ou bien en les dissoi
ide d'M~MMM,
~n. Toute
d'~
fort fait sur une chose pour 1'<~M~
l'action
de
N~HM&<~ ses ides
de
d*<s~M<
i~~M&
<1'~<
sa foi dans quelque
chose;
placer
!a <~v&
l'actiou
vant,
les relchant
l'excs.
~Stn~
la cMM~H~
de
de
<&~a~~r~
de
~KwJ~t*,
g
Sa
~n.
H..
~n. AN.
on
prement
lieu
-destin
matope,
FM~MM".
aux
Comme
une ~o~er~.
geurs,
voyaR. onode
Faction
exprime
une
rsidence
de se
propre,
et par
de se retrancher,
de serrer l'ennemi,
d'a~M~r,
fixer,
DU.
S. Toute
silencieuse,
se fait de conni-
ce qui
tout ce qui se confie,
vence;
ou se dit en cachette.
L'action
DtH.
suite,
etc.
action
tout
secrte
se livre,
de con?Mper
une
de conspirer:
chose,
d'y co~MM~
un lieu de refuge, un asyle, etc. C'est
aussi l'action de faire effort sur hoi
un mouvement
d'prouver
de eoM~r&MM.
mme,
intrieur
Les
diverses
hbraque
mots arabes
acceptions
se sont partages
analogues
dans lesquels
et
dtnes
de diverses
de la R.
dans
tMa.
elles se sont
manires.
les
M~.
mo-
Consid-
r comme
w~ signifie sentir,
avoir
de quelque
chose
~WtMMcr
a;gw avec clrit; j~
de volume, se contracter,
retrcir;
verbe,
la sensation
,~por<tCM/arM~
yH.
Q. Racine
L'arabe
<
douloureuse
53
pH 6ECQ
6N.
etc.
inusite
une
indique
et pcnibe.
en hbreu.
sensation
Toute idedecouverture
'~n.
6PH.
donne
une chose,
protectrice
de sret.
garantie,
de
d'loigner
de pei-
symboles,
~ux
DMMun ~eng.
~4
m.
ECQ.
pf!
en oeuvre se-
la matire mise
tendu,
lon un inode dtermin.
de
de d!~&M~, de~,
L'action
pn
d'<M~<i~* les
~OWi~ une ~rMe~OM,
mosurun
~MWMy,
decd~M~
d~!e,
<rM~
~e,
L'ar.
chose
une
<!i~
~r,
coM~
~&z<M~?, <&
etc.
dveloppe,
es
en gnrt,
la racine
h-
mmes ides
que
mais On s'appliquant
braque
tout ce qui
particulirement
plus
con-
fournaise,
constitue
une racine
en gnrt, l'ide
veloppe,
dont la chaleur
s'chappe
une arnant. C'est, en particuher,
tant an propre
deur consummante,
qu'au Ngur.
L'ar.
offre exactement
~t
le m~noe
~M/M, d'c~~Me~
d'une
~M<
d'une
d'tm~r.'
feu; d'embraser,
Az/~CT~, celle de la co~~
c&verne,
etc.
par le
l'ardeur
de
l'effet
de
son clat;
&t~oMH~Kg,
~710~~
au vidage
la c~M~Mr;
qui monte
toute ~M/co<to~
par le feu; etc.
ce qui est
comp.) Tout
~~anc~M,
aigu,
c~P)
destructeur.
~IH.
*~n.6ESH.
~t~MOM~
Toutmouvementviolent
st desordonn,
toute ardeur interne
cherchant
se distendre
feu cen
tout
principe
apptant
ce qui est aride.
et cupide
en gnral,
L'ar. ,&a. dveloppe,
Comme
les mmes ides que l'hbreu.
de
racine
onomatope,
j~a. exprime
plus Faction de A<M~
de faucher;
et lorsqu'elle
est renforce
par l'aspielle signie dans le
ration gutturale,
verbe
j~s., /M~i&w.
avec
<~t~
L'action
~tn
d'o~w
chose
toute Mmence sur quelque
toute
c~c~;
Cette
racine,
lence,
dont
wMM~;
toute
ayM~~
~H.
~M~tpofMMW~toutcequtestar<M<
toute espce
M~~<&
2'eM~?
tral
~H.
~ETH.
ETn.
l'esprit
est aride,
Cette R. renferme
etc.
toutes
nM.
35.
TEH.
C'est, en gnral,,
faisse et consterne.
l'exisd'un effort inutile,
ja raction
sur ellerefoule
tence lmentaire
3'U.
une racine
toutes
ides
d'intgrit
d'une fruc-
L'ar.
<
ides morales
n':t point
conserv
instigateur,
T. Ce caractre
13.
etc.
provocateur,
appartient,
la touche
qui s'applique
de conservation'et
en
denqualit de consonne,
il
tale. Comme
image symbolique,
le toit
reprsente
l'asyle de l'homme;
son bouqu'il lve pour le protger;
il
clier. Comme
signe grammatical,
et de la proet M,
entre
les proprits,
mais
tl:Scation
d'loigner
L'ar. <J
ou t~c,
oRre, en gnDans
ral, le mme sens que l'hbreu.
s'<tun sens restreint
<
signine
et <~?, ~~&~r
au manmender;
que, au dfaut de quelque
chose que
ce soit; ~wMr
sam, se ~Mciw, etc.
Tout ce qui garde un juste
~M.
tout ce qui est bien; tout ce
milieu
qui est sain; tout ce qui se dfend et
tout ce qui
rsiste la corruption;
est bon..
<Mj. TG.
L'arabe
dont
lente, un
On entend
il partage
dans un degr intrieur.
Son nombre
arithmtique
est g.
ide de
rsistance,
de rejection,
de re-
jaillissement
ce qui cause
tion lumineuse.
la r~rac'
L'ar.
Ua dveloppe
l'ide de toute
d'inflexion.
espce de chisscment,
De l, le verbe U?U?, 8'Me~.
de j~
~MU. (Il. MA'M~ L'action
~OM~<'r le trait
de /<wc ~a~'
toit:
etc.
comme
un bouclier,
la grle comme un
les
c'est le symbole
saine, et d'une force capable
toute corruption.
centrale
les
dveloppes
par la racine hbraque.
C'est, comme racine
excitaun mouvement
onomatope,
teur,
Racine
inusite
en hbreu.
une secousse vio-
indique
cri belliqueux.
TD. Racine
L'arabe
inusite
semble
chose
tbrtc
HtS.
TEI.
et capable
Racine
an-~
de
en hbreu.
un6
indiquer
de rsistance.
analogue
la
Kjjj~
un ee~
rcatyetMt,
e vct !? ~1~
56
TEHR.
ou ~b
signifie
une chose de
~O.T;.
et prparer
la rendre
disposer
manire
utile.
Tout
TOU.
ce qui
est
Cette racine
quelqu'un.
heure.
Tout
ce qai arrte,
tout
de la rsistance.
V. j~U.
~signiSe
proprement
<)
une
~M~~MMjS!?~
rTM.
L'action
de mettre
decoMCi~
de~TYK~
une
une couverture
en suret,
d'~M~~~r~
une
croute
eoMC~rc;etc.
~')t3,
L'action
co~
de pro~'o~M&ne. V, la
spcialement
t-JhJ.
~oaM;
et dans
TT. Racine
s'amortir.
inusite
L'ar.
une
JaA~ parat dsigner
un limon puant.
corrompue,
T. R. analogue
comme
qui exprime
pce de rejaillissement,
dique la suivante
M~
M/~M.~
Tout
~IS.
breu.
de s'en~M,
~R. coMp.~ L'action
V. la R, ~3,
fo&~ de <K~ora~.
T~H. Racine
Le chaldaque
un sige.
signifier
R. onomatope
Comme
peint
H ne parat
en fasse
'~13,
runi
T.
Toute
et par mtaphore,
ou repouss;
CO~OFMMM~MH~ <K'CM~<B!MM.
tt'ac.
exprime,
yl?
le bruit
en
inusite
est employ
hpour
rar.
en hbreu,
usage.
mS.
et
L'action
de <fM*~M. ~R. cpFM~
poser, de mettre en ordre. V. la R, *HS,
inusite
vase
la R. M~
tre mou.
TZ. Racine
en hbreu.
Le chaldaque
tK~ se prend quelquefois pour exprimer
le nombre
deux.
~cA~
th3.
repousser
renforce
l'aspiration
gutturale,
signifie,
se ~~M~ie <~n.!c/
s'obscurcir,
dans~i~
J~e~w
ce qui oppose
comme relation
L'ar
s'emploie
adverbiale
silence
imposer
pour
~c~r~
R-~
de
par
"~13
~R eow~
pur, V. la R. IM.
112.
l'action
onomatope
avec le pied.
comme
une
racine
de toute
comlvation,
symbole
pose une racine dont l'objet est d'exl'effet d'une chose, qui, .s'leprimer
vant au dessus d'une autre
chose,
couvre) la voile, la met l'abri,
en gnerai,
JL1? renferme,
les ides dveloppes
par la ra-
far.
toutes
cine
E~U THM
TL.
~3.
Tout
comme
porte,
!<dont
t'ombre
MM ~'o&,
un
on se couvre; M/M/oc~e
la couleur;
la rose qui
qui change
forme
un voile
sur les plantes;
un
tette
a~M~oM qui
sa mre.
L'ar.
encore
l'ombre
offre
une
foule
mtaphore,
etc. Dans
signifie
soulever;
Toute
et d'anathme
immonde
et profane.
ce qui
de ~M~r
d'<Mo<A~M!~r~
restreint,
<~ &t
C*!M. L'action
Toute
former
T..
co~TMM~
toute
de ~o~<MK,
d'o~M~~e,
~M~~ de~a~jS~
TN.
rend
les
gnral,
renfermes
dans la
pce
chose
us
de persistance
la racine
hbraque,
le verbe
croire,
prsumer,
certain.
reten-
arabe
,J~,
comme
regarder
TS.
Racine
inusite
en hbreu.
laisse entendre
0~,
!:haldaque
une lame de quoi que ce soit
l'arabe
peu prs cette sorte de
j.J?
signine
vase appel
tasse en 6'anais.
Comme
verbe
dans
signifie
t~L?)
l'idime
~c~
dans le ~ac,
vulgaire,
guia.
rduire
en
R. hbraque.
Dans un sens
ce mot signifie
simplement/~r
~OM~~yic.
M~pMr,
par
form
toute
peint
de bruit
continuer.
tout
a perdu
primitives
JLf
ide de contamina-
tion
L'ar.
la
la longueur,
un sens restreint
et JJc
ou
Le
d'accep-
comme
diverses,
l'hbreu,
qui
toutes nanmoins
se rduire
peuvent
l'ide
primitive d'une chose manant
d'une autre, comme la rose, l'ombre;
TM.
dveloppe
que s'est
et idio-
onomatope
de tintement,
C'est sur l'ide
espce
tissant.
HH~o
de
tions
et par
dure,
racine
Far.
matique,
DU.
JLL
Q'B.
une claie,
lin treillis,
H/~ COM6c~.
Comme
ce qui~c~
tout
o~&r~,
ce qui ~~r~/c~
du haut vers le bas;
tout ce qui varie,
change,
se trans-
~Ij.
HMre
~Mr,
hbraque.
713.
ides
comme
5?
tresse
tout
esde
de ma-
persistaut,
mauvaise.
Cette
la R. Ma, mais
sens matriel.
R. est l'analogue
de
vers le
plus incline
Zo ~Mtc~,
mauvais caractre
la
duret
d'un
o&~Ma<MM.
~a longue
du ~o~;
la
que l'on en fait
&! coKMaM~o~cg qui en~
la .~MMO/~
exprience
~~MCt<MM,
rsultent
au ngur,
bonne
ou mauvaise;
une A<~E&~
M~e coutume,
~Vtjt~t.
tt
58
\.
~.TN.
accac~Mjp.~ <r,
de ~n~a~a*
&&r quelqu'un
~~Mr
en un tieu,t'y
<'&Mfr~p?.f mtaphore,
assommer.
(R.
TPH. Toute
chose qui se d~'.
mne, qui se remue sans cesse; qui
va et qui vient sans s'arrter
qui persiste enfin dans son mouvement.
dans un sens
dveloppe
l'ide de tout ce qui est ftottendu,
tant dans l'avenir,
qui peut arriver,
cheoir. Dans un sens trs-restreint,
L'ar.
~l? signine
onomatope,
cracher.
Dans
transvaser,
indique
un
sens
comme
R.
l'action
de
de ~aAMMr,
figur,
un en-
inusite
ides
qui
de
en hbreu.
une racine
seulement
aux
cette
ne caractrise
racine
formes
mouvement
brusque,
une
fortuite,
chose
frottement.
pur,
*VM
conduit
coMp.~
Tout
ce qui se
avec ~Mn'<~ avec rectitude;
ce qui garde de l'ordre,
de la
Racine
inusite
clart.
~2?T3. TSH.
en
h-
j~
qui peint
tombant,
est une
R. onomatope
le bruit que la pluie fait en
le frmissement
de l'huile
etc.
bouillante,
ono-
vicieuse
fans, et de plusieurs
relatives.
et trop rude.
comme
qu'un
une
Mfopiu;
un
incidence;
plus
TM
L*at\ <J~
tithe
physiques
etc.
breu.
par
conscra-
laiss perdre
presque
J? a
toutes les ides dveloppes
par la R.
en sorte que, s'arrtant
hbraque;
TTH.
Le signe
contraction
les
tion,
L'ar.
~113.
TR.
de
purification,
d ordination.
matope quipeint
lebruildespienres
sous les pieds des chequi se heurtent
ou celui des grenouilles
vaux,
qui
sur les bords des tangs, ou
croassent
celui que produit
une prononciation
tN,
uni
toutes
dveloppe
breu,
etc.
racine
tout
tIM.
flottant
~M~/ une chose quelconque
en l'air ou sur l'eau
un n~PMr/
M~
rameau
une
de la rsistance,
la. R. lmenimage du ~eu, forme
matope
qui
Racine
. Ce caractere
toute
est une
puissance
racine
en hono-
que fait
sur et!e
n~me;
de diver~ jeux d'en-
peint
tournant
Une toupie
et de l, le nom
inusite
le bruit
autres
choses
de
est I:e ~rmbde
manifeste.
U ~pt~
la main
sente
indicateur.
1~. D.
IA.
K\
son doigt
de l'homme,
comme
Employ
signe
il est celui de la mani-
grammatical,
de la dure infestation
potentielle,
Caractre
teMectueUe et de l'ternit.
dans sa nature vocale, il
remarquable
perd la plus grande partie de ses facults en passant l'tat
deconsonne,
o il ne peint plus qu'une dure maune rfraction,
une sorte de
trielle,
lien comme
ou de mouvement
comme
Platon
ticulire
drait
donnait
une attention
parconsi-
cette voyelle,
qu'il
comme
affecte au sexe fmi-
nin, et dsignant
ce qui est tendre
tout
par consquent
et dlicat.
hbrasans
Les
grammatistes
qui
ce caractre
rangent
parmi les ~M
la proprit
~OH~M~, lui attribuent
au commencement
des
d'exprimer
mots
la dure
et
la
n'est
rsultat
qu'un
comme
signe.
J'ai
quel
montr
usage
dans
le gnie
force; mais ce
de sa puissance
ma Grammaire,
de la
idiomatique
faisaitdela
Languehbra!que
voyellemre
dans la composition
des verbes radicaux-composs,
en qualit
initiale.
d'adjonction
Son nombre
est 10.
arithmtique
N'.
IA.
Cette
facults
racine
potentielles
b exprime,
L'ar.
manifeste
les
des choses.
comme
relation
adverbiale,
interject
vemens
'me
naissent
de
qui
ds
Fad-
59
de ltonnement,
miration,
d/oA/aA/
pect
Tout
t~.
ce qui
digne,
conforme
choses,
~e~MMa?,
qui a de ~&~aM~,
3~.
~R. eo~
y~c ardemment.
~7!.
penchant,
aspire,
t~.
du
res-
est coHt~o&
la nature
des
tout
ce
dcent;
etc
de l'lgance,
Tout ce qui
V. la R. 3M.
Toute
ide
co~
de
tout ce qui
V. ta R. -?~.
Une ~CMt~C.
d'inclination
A~~Jvers un objet.
~J.
CO~
V.taR.
IB. R. onomatope
qui peint le
jappement d'un chien. C'est au figur,
une poe~
un c~t, MMAMr~M<<,
//OM. L'tniopique
~<K~ ~7&&<?~ signifMTM&MM.
de fatigue,
de
de tristesse;
rsultat d'une
langueur,
continue.
action long-temps
V. ~K.
IG.
L'ar.
Toute
~b
assommante,
ide
indique
touffante.
une
chaleur
Le signe de la manifestation
runi la R. *W, image
potentielle
de toute cause
de toute manation,
une racine
divisionnaire,
compose
ID.
est de
dont l'emploi
remarquable,
les ides relatives la main
produire
ou dcoulant
de son
de l'homme,
image.
L'ar.
mmM
exactement
JV prsente
ides eue l'hbreu.
h.
les
!D.
IZ.
c'est
et de
la puissance
<&*la <~tKOM
c'est la
le bord,
marge,
le point par o on
saisit les choses; c'est le lieu, /p~o~<
<
l'on
etc.
que
indique,
Toute
ide de
~jR. co/~?.~
et de force
ce qui est
puissance
en bien comme
le destin, la M~'c~~
~fM~Me
sort,
en mal
le
ou T~
~jR. H~c~M.~ L'action de
de lancer
avec la main
d'jeter,
de mander;
we/i~e,
d'~o~d~/de
etc.
~M~<~r,
juif
peuple
il drive.
10.
r.
l'ternit,
vant DtEP.
L'ar.
La vie absolue
l'tre
manifeste,
ternellement
vi-
trouve
perdre
toutes
les
ides intellectuelles,
dveloppes
par
la R. hbraque,
et conserves
par ie
0< et par le samaritain
~(t{,
syriaque
celui
Toute
le nom
de ./Mdb,
manifestation
seulement
du
dont
lumi-
dans
le mot
copte
to~ pour dsigner
la /MW; et ce qui
est assez remarquable
dans le mme
mot arabe
le ~oy.~J, pour dsigner
~7. Ce dernier mot, en recevant
l'asdans
piration
gutturale
~~J, signifie
et s'emploie
proprement
le jour,
en place de
quelquefois
,ta-3.
La manifestation
E~* ~R. comp.)
universalise:
lumineuse,
continue,
V. la R. [y.
lejour.
L'ar.
n'a conserv
aucune
des
~yr*
intellectuelles
dans
renfermes
1 hbreu.
sens
Comme
restreint,
verbe,
a laiss
ou
c'est
ides
EH.
jDMM-~oMH~~
vine,
nom,
un jour;
~MM~OKr~
W. ~R. eo~~o.~
en acte
puissance
la R.
C'est, dans
la facultgnratrice
c'est dans
et
un
comm
c/OMr~r.
L'tre passant
de
V.
FMNM~
un sens tendu,
de la nature,
la
(~.
cc~
Eut&naUvu
Ji-
<.
7'.
IZ.
Racine
inusite
L'<ttttbcM<;pma~pasI.tpussder.
en hbreu.~
S*. IM.
C~.YZM.
dans
Q~. ~co~J'JM~~r.~M~
V. la R. Ot Voyez galement
tres
racines
qui reoivent
positives
l'adjonction
grand nombre,
en assez
t.
initiale
n~.
~.
L'ar.
ne parait
pas la possder.
La manifestation
COF~
~R.
l'action
de l'unit;
d'tre un, MM~M~,
de
l'tat
s'unir,
V. la rasolitaire.
m.
Toute ide de ??~R COM~
l'action
d'<!cM~OM et d'attente
sion,
de ~OM~w,
d'afo~*
etc. V.iaR.~n.
prer,
CM~
ceA~M~,
figur.
~R
~e l'anxit,
est
considre
cipe
central.
U~.
IT.
L'action
d'
au propre
et au
ici comme
Dans
un sens plus
intel-
restreint,
C'est,
en
chaldaque,
le
nom
L'arabe
notes..
Ce nom est
souvent
un.
Toute
ide d'mission
et de
prolongation.
L'ar. JLJb ne s'applique
gure
la sortie des dents des enfans,
leurs diverses formes.
-?~.
L'actton
ses cris;
de r<w~o//r
un cAoM< ~a~Me,
l'air
qu'
et
de
une
jubilation.
IM.
Fesprit.
<-
c'est--dire
triction
l'endroit
par o
les choses sont restreintes,
le c~
la manifestation
de la res-
prin-
en hbreu.
inusite
La manifestation
IH.
Q\
Racine
restreint,
yw.
d'es-
tre MM<&/)MC~.
CO~~
MT.
Voyez la R. ep.
Toute ide d'onL
~n~
~R.co~~
de race. V. la R. ~n.
de source,
~M,
Elle
W, /'J?~~
JE~M~.
~.COMp.~J~COi~OtM~~
dans un sens
c'est-~ire,
toute liqueur
spiritueuse,
IL.
cow~J
~M&r<~e,
V. la R. Qn.
~r~,
en hbreu.
inusite
Racine
*T
cine
les au-
le targum,
~A~<~
6<
cric
cine
s'est
et
universelle,
les ides d'amas
intellectuelle
affaiblie.
d'autant
de cette
de
et
ra-
plus en
conserve'
ty.
AZ.
M.
sion
<e$t beaucoup
moins forte,
encore est-ce avec
l'a remplace;
nombre
M grand
qui
un
et d'iir-
d'anomalies
EP. Dans
c'est
treint,
un
sens
la
Mer;
et respropre
c'est--dire
la
mahuestation
acqueuse
des eaux.
ramas
Comme
mer,
Ce mot
l'ar..J
nom,
et comme
s'est
universelle,
la
signi6e
verbe,
~M&yM~~r.
dans le copte
conserv
la manifestation
verselle.
Voyez
lumineuse
uni-
la R.
Le signe de la manifestation,
N.
individuelle
uni celui de l'existence
et produite,
compose une racine d~ou
se dveloppent
manifestation
toutes
les
ides
proprit.
L'ar. <A-3 n'a conserv
presqu'aucune des tdes intellectuelles
dvelopCetteracine
antique
pes par l'hbreu.
encore former le pluse~t pourtant
en arabe
riel des noms masculins,
et en syriaque;
comme en !:haldaque
~oit
EUe se change
souvent,
dans
suivant
Fusage
des Samaritains,
entirement
diaparah
et plus souvent
pour laisser ce mme
pluriel
mer de la manire
la plus
manifeste
se for-
irrgulire.
~/<HM~M/
Ce qui
HJ/fM?MC/, l'existence
propre,
tout ce qui est relatif
ceMr~ t~e~MMe~
<~Mt ~OM<
tout
~~r;
ce qui
un
~ro~~<?,
enveloppe,
son tourbillon;
<~OtHMp,
opprime
les autres
son intrt
tout
pour
mouvement
<M&77M, tout
desir
d'ac-
croM~M~~
~A comp.)
J~~M~MrMyyK'e de la nature,
&! ~b~M /?ZtMun sens restreint,
une
~M~dans
colombe,
condante.
D'.
S. Racine
L'arabe
vement
de la chaleur
symbole
inusite
parat indiquer
j~
de progression.
f-
en hbreu.
un mou-
de
et d'tre
particulire
de l, les ides accessoires
individuel
de
de particularit,
d'individualit,
mais
en
ce cas,
creuse et propre
IA Toutechose
en recevoir
une autre, comme une
polle,
L'ar.
.tope,
MM~~Z<?~etc.
comme R, onoma<~ peint,
le cri de celui qui veut attra-
par quelque
la main.
(R.
chose,
comp)
ou la saisir
Toute
espce
avec
de
coMpcMi!MM,dic/!a!a~tOM dejour,delieu,
de temps,
pour MM <M~?K~&e, une
une <&~?MK~M~oM. V. la R.
~c,
pre,
<COM~?.~Tout
V. la R.
escarp.
ce qui
est
y
m,
~.YHBL
un vtement.
comme
enveloppe,
Voyez la R. My.
f~,
s'~<
ce qui coM-
Tout
~R. cot~
M~
~JK. eo~
Toute
chose
qui~MNM~,
<t~nen<e,
qui
pro-
R.
M)~. ~.coM~JToutmouvemeot
R.
qui lasse et~t~Me.
!~y.
Toute espce de
yyt. ~A comp.)
toute
co~MM&~KMt, de dlibration
qui tend ~fCDSur
V. la
lait.M. ~r
a d~TMHMr,
Tout
1)~
comp)
un point,
ce qui encomme
chose,
et dfend
une
du noyau, le bois du ro/pe/o~M
seau, l'corce de l'arbre,
la peau du
un bois, MFe/b~,
destins
corps
toure
coMf~
~vcrune
etc. V. la R.
IPH.
*j'.
tion,
qui s'applique
une
toutes
les ides
de beaut,
et d'attraits.
de charmes
L'ar.
des mots,
J& &COM,1
qui
inusite
parait
d progniture
tant dans l'arabe
une
en hbreu
toute ide
exprimer
et. de propagation.,
~MM~e~ en parlant
dans le syriaque
peuplade,
que dans
comme dans
beaut, J etc."
J&
ITZ. Racine
mais
de grce,
ne s'est conserv
~J
la composition
~J
habitation,
Le
runi
titue
Toute
IR.
chose
nation.
6~
ide
de rvrence,
crainte,
de respect,
d
de vnration.
L'ar.
entendre
une chose
laisse
mais pour.
polie, lisse, sans asprits,
tant ferme,
comme
!e crystal.
C'est
aussi une chose de nature igne; mais
alors
le mot
arabe
R1~
W'.
ISH.
tion
j~i**
s'attache
la
signe de la mam&sta~
celui du mouvement
reLe
joint
la R. llatif, ou par contraction
mentire
donne naissance
une
~{,
racine d'o dcoulent
tontes les ides
de ralit,
de substantialit:
c'est en
l'tre substantiel
et effectif;
gnral,
et ten particulier,
un vieillard.
On
cette racine pour exprend souvent
Ftt d'~i~,
de ~oM~&~
primer
de se manifester
en substance.
Cette
tel
racine
et
a
dans
le verbe ,~J signifi
~CEU~cr~ ~MM~<
r~tteint,
<~r,
<~&c/o~.
Ir.
ITH. Racine
mais
qui dans
syriaque
inusite
en hbreu;
le ~haldaque,
dans le
dans ie saimarttain
/<
CH. KH.
64
CHB.
et la ~na-
l'essence
toujours
exprime
ture objective
des choses.
la
Voyez
R.
tout
ce qui
se condense,
pour
quelconque.
L'ar. b
D.
H.
en
qualit
KH.
Ce caractre
appartient,
la touche
de consonne,
Comme image
gutturale.
symbolique,
il
tout objet creux,
en greprsente
et eh particulier,
la main
de
nral
l'homme
demi
ferme.
Employ
comme
se compacte,
Dans
prendre
en gnra!,
les
la R. hbraque.
dveloppe,
ides que
les mmes
un sens
restreint,
en 6'anais
se reprsente
tions adverbiates,<M~M<,
etc.
que,
caractre
se resserre,
une forme
cette
racine
par
les rela-
Il est
J,
tel
c~~K~e,
remarquable
comme
employ
ce
que
signe'
il est le
grammatical,
celui de la vie rSigne assimilatif,
flchie
et passagre
c'est une sorte
dansFidimerabeJes
mmes
remplit
fonctions
R.
,3: Comme
que l'hbreu
le glousseonomatope,
exprime
de moule
ment
signe
et communiqu
reoit
toutes
les formes.
qui
tuduieremment
caractre
(te
ainsi
drive,
vocal
mais
absolue;
du caractre
est une, sorte
en hbreu,
eomijtant.
de
M) image
il y joint
la vie
l'expression
dont
organique
de renforcement.
l'article.
Le
H,
l'aspiration
principe
Ce
C'est,
et con-
assimilatif
mouvement
il
de la poule;
et par
l'action
de ~vM~CM&/er
~3~.
(R.
ment
moral,
toute
rieure
resserreUn
c<WN?.~
une compression
int-
desir
et comprim.
L'action
co7K~
restreint
!1KO-
douleur
qui
entre
les
noms et les actions,
prime
est celui de la, similitude
et de l'ana-
ccmprimerintrieurement,
une vie triste,
resserre,
douloureuse.'
hbrasans,
souvent
Ils n'ont
vu en lui qu'une
ou un afnxe
insparable
l'ont
qu'il gouverne
Son nombre
BsD.
simile,
confondu
avec
paret
le mot
en sa qualit
d'article.
arithmtique
~est 20.
HA. Toute
ide d'existence
de fbrnjtationpar
nat
d'un
de
se
de mener
~~c!?,
les
parmi
<~<
une poule
ses poussins;
soi, comme
ou bien encore,
l'tat
d'tre
timide
comme
une poule
mouille.
ex*
quTI
mtaphore,
autour
contraction
as-
3D.
HB.
Toute
ce qui
port
verse,
prcipite,
perd, etc. Comme
du
la tonique
en
bas,
renverse,
abme,
R. onomatope,
<~
Cette
signifie couper.
la musique,
dsigne
mental,
haut
R. usite
le son
d'un
mode.
dans
fonda-
~M.
:0.
Racine
CHG.
3D.
en hbreu.
inusite
une sorte
-j semble indiquer
sur soi-mme,
excut
de mouvement
C'est en particulier,
en ligne spirale.
L'arabe
certain
un
jeu d'enfant.
ce qui participe
la
l'unit
l'isolement,
relative,
division.
C'est dans un sens restreint,
Tout
CHD.
une
MM ~A~ de quelque
cXMM~s,
chose
de fragile,
une ~MMr<
dans un
se reprsente,
adverpar la relation
Le cb'.
sens restreint,
bile,
en
JJ) signine,
son intrt
propre,
L'ar.
~Mc~~r
agir dans
gnral,
travailler
soi;
pour
s'industrier,
et
se ~~T~
s'M/n~<~
toute
~en'<?~6?~M~
toute o~mca/MM
~'0
(~.
mais
se
R. analogue
dont
l'expression
et renforce
par
la R. H~
est spirituali-
la prsence
du
et que l'on
de l'espace
ou du temps,
dans un sens absconoit
trait,
les
par
oui,
a~M~
n~~M,
7o~
L'ar.
ides
les
adverbiales
C07M?Me
~&/
~t~
toL.
concentres
jf bu
u,
'est'
dans
devenu
~ne
onomatope
peignant
tion uppt esse, son pat
T. r.
la
~MC;
toutes
~j,
ayant
perdu
attache~
la R. hbraque,
ayant
primitif
relations
!Tt<~he,
f~Mr.
v.~
Toute adminis~MD. (R. comp.)
toute
fonction
tration,
distingue;
le Mcc~t~occ,
/?on~proprement,
j~ca<; un ~r~/ric, un homme lev en
avoir
pour
dignit
spciale.
)D.
une surveillance
Voyez
Toute
~HOU.
le
les
signe
une R.
vieiHeNse
t~ racine
dvelopp
selles dans
assimilante,
la farestreignante
arabe .ja
le& mmes
l'idiome
freinte
ides
umver-.
sorte
une
L'ide
de
de combustion
en partiest exprime
l'on entend,
par la R.
et
brlure
.culier
'en
certainement
mais
antique;
elle s'est resmoderne,
caractriser
cautrisation.
et de
la prsence
l'idiome
dans
ou
respira-
torce
mais modifie
j~,
par
du S. convertible
t.
Tout
un point
Toute
le dvequi enchane
et les ramne
des corps,
loppement
leurs lmens.
la R.
R, analogue
s.n.
modle
tout c/
contrition,
tout C&A?MM~~CM~
etc.
de /a;~M~,
co~J
comprimante,
culte naturelle
HE.
de
en particulier,
se tourmenter.
n~t
De ride d'un ex
nrO
~R M/c~
cs de resserrement,
nat celle de/M
de Ta faiblesse,
de la ~OMfrayeur,
N~K~M~
T~.
c~ 1$
nbuHE.
;T~.
gnra
.parole
vigoureux,
It*tn;!iuu
d'arfctet
ce
violent
ex-
-<
-)
trme.
r<~3'
mot~out
'tMSUt
t
de
68
~r.
notM.
ta vgtation, de coMpnfMMf~Mfo~,
en les
de ZM ~a'co~??~' en les brlant,
n&~MtMM~ oe eew~.
~oc<H'a~tM~M;tout
~Coufl~.
poj'To~.
Tout ce qui tient
tTO
caM~J
Az~~F~ c~H~~M~; tout ce qui dtout ce
pend de ~~M~anc~~M~;
se dqui,
aprs s'tre centratis,
bande comme MMr~KM*~ en gnra!,
wVM<?~ de la terre.
&! ~<&~
(R.
~3.
CO~?~
~J.
cowpj
C~UM/TM'M~.
V. la R. ~3.
L'action de M~*
~H~.
~B. co~~
Bne chose, de la ca'e&
de MM~
'N0.
CIT.
Racine
1/arabe
contracte
Dans
en hbreu.
inusite
chose qm se
~indique
toute
en soi-mme
et se racornit..
un sens restreinte
t~ sig'T.i6e
se <Z~<?~~
n~.
~HE.
breu.
C'e~t,
Racine
en
inuait~
syriaque
en h~), ~ne
l'e~rt
onomatopie
e~pcimant;
que
Foa fait pour retenir fion ba~iae.
)L'aif.
ta~t
de ta! R~ ~jcaBaotrts~
personne
i~bmat~ine,
Fen~roement
t'tait
d'june
use: de ~eN-.
~<y~ravec~soin.
?n~. ("jK. COM~J L'action
une chose;
de; ~j<~r<~r;
~~y
de ]re~de
en h-
inusite
L'ar.
Mer
de tMvai.
<d~signie
'3.
I~ns t'idi~me
moderne
se~%M~.
&HI. C'est
la mani&station
d~une
et comforce quelconque,
assimitante
V. les Rtt. K~, n3 t '0.
primante.
signine
L'ar.
MM~ ~niSiM~C.
R
~D. La force exprime
par cette
dans un sens abstrait,
se reprsente
e~M~ ~M~
par Ie& relations
~NC,
dbae~ AM~tM~, etc.
Toute chose
~B. c~
<i
vivement,
comprime
qui/CM~
qur
~an~
tm propre,
WM ~MMn?/
!m
~MMie~~EM, c<tr,
~M.
~K eoM~o.~ Tout ce qui se
avide et tenace:
un <wx~.
7~.
montre
dont
~,se..
m~'
~tr~une
Racine
Faction de se
exprime
J ~M~M jusqu'au
~o~r
point de
ne pouvoir
C'est, at
plus respirer.
cutre mesure,
accangur,
Mmplir
breu.
treint,
~!HZ.
HIPH.
t~.
les
tqiles
D~.
serrer
sont
C~
co~
de t'a~ent~
M~.
chose duM
serres.
~CM~e
c<M~Sp.
eo~?.~
et jbrte
spt~e.
'j
~0)C
d'une
une
sub&tancs
~HKH.
Ricane
)&HM,
Le h~M~t~ue
*3~.
bre~
p. HN.
tntsite6
en h-
n ~gt6e
peint
~D. HL.
les ides
d'assinM!att<oB
detota-
Hs~ton~d~hveimen~depe~etto~.
en ~ae~al,
L'a~.JL~dve~ppe)
ies
mmes
du bien.
leur
ttlimeoSt,
<!<~ <tvec la substance
~C).
Cetteracmeexprtmetoutes
d saisissed'apprhension,
Te~tiTe,de<ooM<Matn&~<m,
des
du
<t~~t&
la
corps
e~7~!ca/KMt.
le <aa du oot~beDi.
de contenance,
ment,
MO~aa
67
en sorte
L'action
de
d'M~&
iCo~ptKr, de~~~t~c,
Ae coM~o~
~aiS~~
QD.
nM.
chant,
carabe
tout
d'ac
&~J5~
~tc.
Toute
tout pentensibn,
desir' ~assimitattoh.
co~MM.
~sigate
La R. t$, employe
comme ~erbe,
la quantit
de quelsignifie connatre
que chose, ou 6xer cette quantit.
pu le signe
tD, ~!HN. ett~ racine
M6uaanlaufse~~MMt
la R.
image
de toute circon$cnptt0)t
corporeHe,
<te t'apporte
tout ce qut jouit d'une
torce centrale
a~e~ &ergique
pour
devenir
palpable,
corps~endu
~n
former
pour
tou$
sens,
de la solidit
qurir
le. point
~4., ~a~aae,
pour
UM
ao-
et
qui tait l'accumulation,
de ce pO~Bt~tl~~iMMeS)
dsigne Ftt de ce qui diminue,
d a
qui s'amoindrit.
t~a*N~pomt~i~r
L<laas s<m <M't~tne primi'7~.~TbtcequiestMt&~M/,
~~y, h)~tatqoe,
ont ~t6
0&~0~,
MM~pe~
tve~ maM aes d~doppemens
j!o&~
parfait
tout ce qui consomme une chose, la
dM~enB. La racue m~iectueUe
n~
prm~if
~c-~na~
perdue
la ractae
dans
s'tant
en arabe,
pMsqu'entterement
a t remplace
par
physique
l'idiome arabe
en aorte
le
que
mot
qm
ce devait designer qie l'exMbanc~tHatrielle et corporelle,
la ~~o~cc,
en gnral, a atgnHS f<
Cette sub8tttuHon
d'une
t~uc
l'a~tM,
& eu
63
HN.
p.
ds suites
et a servi plus
trs-graves,
l'aque toute autre chose loigner
rabe de i'hebreu.
Tout
~&y~M<
stabilit,
ce qui
tient
la ~A~
toute
c~ fo~?on'c;
toute-consistpute ~o~c,
une chose ~c<
coM~M~c,
/~Mcc;
nc~wa/~?
une cAt~/<*
dans
un sens restreint,
c'~st daus un sens abs-
les relations
et en particulier,
avec les
couper
de
de <~M~,
ciseaux.
Par la R.
onomatope
iorteatcnt
on entend
donne
~M/
T~M~
!a nature.
arabe/a
primitive
exista.
usurp
!1')M signifie
proprement
On peut remarquer
que le
le chatdaque
samaritain.et
de la R. hbraque;
le syriaque
et l'thiopique
sens
suivent
le
la partie
chose;
~3.
breu.
L'action
denow&~r,
Racui
HH.
inusite
de
la
de~
d~CM-
en h-
n.mire
d'une
indique
le bruit
que
1/ar.
ides
L~e ~haidaque
onomatope,
l'on fait en cracHant.
<3n develbp~equeds
de~chetetdccota'aise?
~actib
de s'inde /?i~ofo<yM~' violemnent
D~
co~
J~Mcr,
de l'arabe.
gnrative
de MM/~ic en ~o~MC,
de
de quelque
~r~'<M</<
etc.
deco~
de couvrir,
tandis
que
ont celui
un coup
Le
~Me cassure.
femme.
~M<~ dnc,
L'ar., ~t.j, par une suite des raisons
ainsi,
J,
appliqu;
Ftt de tout ce
j~Lj caractrise
ou se replie en se.renqui se courbe
s'oMf/ie
versant,
de, l le nom
D~.
adverbiales,
etc.
celle
.verbe
oui,
trait,
HPH.
.fp.
etc.
quelqu'un
de
de
dKseo~M~~r,
y0.
de baser; l'action d'<t~
/?o~~ de~c~
6TIPH. Toute id~e de courbure,
de coM~/He~
l'ac/~yW< d'a~vn~f,
~D.
de chose
concavit,
d'inHexion,
-tion de eo~or/~M'y,
det'r~~r~
a~< a 'de
et de prendre
de contenir
une chose, ae~j~oJM~e
selon un cercapable
dans an sens restreint,
a ~aume de
ta<n mode, de d~~Mr
par un nom,
la main, la plante dcs~ieds,
de 7M'/M/M'/M~ ensttnble,
esserres,
etc.
les greffes d'un anhna,
une cuiuer;
L'action
D~.
tIS.
Toute
d'nuhtratiott,
id~d~~cumalattoh,
de'snune.
co~M&A?;
/cy~/c
d'un di-
ce qui se courbe,
comme
un
tout ce qui a
un rameau
manche,
comme une pocto, une
de la capacttc,
tout
Cce'MM~~Me'.
L'ar.
exprime;,
spatnte,
tion d'enlever
mcmes
en ~c~cfat
l'acla supetticie dct) choses)
t,J'J'
L'ar.
,etc.
e
exactement
~3 renferme
ides
~ue
la
R. hbraque.
tes
~HOUPH.
Comme
L.
verbe,
~~er~r.
~? signifie
L'action
de se coM~r,
M'O.
de se rendre concave,
s't~~M*,
de
etc.
vase
t/M
CHTZ.
VD.
breu.
Racine
L'arabe
.c~
de mouvc
une sorte
comme
~D.
parat
signifier
'ent ondulatoire
celui
~HSH.
CHR.
Le s~neassimilatif
celui du mouvement
propre
runi
ou
la R. lmentaire
par contraction
une racine qui se rap1j~, constitu
en gnral,
tout ce qui est
porte,
tout
ce qui
minent;
apparent,
dissert de monument,
de marque
tout
tout
ce qui conserve
manire
ses, de quelque
que ce soit;
s'lve,
enfin, tout ce qui s'accrot,
se fait remarquer.
L'ar.
~n
le mme sens
certainement
gnral
dans son
hbraque,
dans
mais,
mitive
la R..<rabe
tendu,
dvelopp
racine
que.la
priacception
un sens moins
i
s'est borne
faction
de ~t~wsur
soiexprimer
sur ses pus; de ~~fj''
le
mcmc,
mme Mouvement,
de ~<~<*run
discours,
etc.
Toute
espce
MtO/</Mc~ dc~w<
de <~ac~'<?,
tout
objet
racine
Cette
s'applique,
mouvement
en gnral,
ride d'un
de vibration,
qui agite l'air et le dilate.
L'ar.
j&j signiHe
~e r~'fr~
cr~cr,
nerfs
'tinctives
graver;
en h-
inusite
de l'eau agite.
Cette R. tant double
dans
.~M
extrmement
un
mouvement
indique
';<'<~r.
t<D.
69
'p.
nature
mme
se
proprement
en parlant
des
~e r~c/M~r.
~.K. co~.Jt
Ce qui est de la
du feu, et communique
le
mouvement.
Au figur, ce qui
est spirituel,
f1~.
Toute
~HTH.
de
chement,
de coupure,
scission,
de schisme.
L'ar.
<j
y<
<~jsignine
par l'action
~tate.
Connue
lve,
dis-
st~nc
se
les che
appartient,
a la touche
de consonne,
reprsente
de l'oist'au,
de
caractre
!c
En particulier,
et l'on entend
de ~yr/
veux.
Ce
etc.
exactement
prsente
en gnrt.
tnemesens
quanta
d'exclusion,
schisme,
de/<Hrc
L.
retran-
de couper,
de j&MMde
d'exclure
~'e~oMcA~,
de
~rcr,
'?
de
L'action
TO.
c/<er,
ide
en
lin-
il
symbohqttC,
latte
Ihutmne,
s'ce qui s'etcud,
image
le hrasdc
tout
dploie,
~t'anuatn:al,
connue
employ
d cm ic signe ~M
~.LG.
K~.LA.
yo
et s'applique e
expansif,
d't& toutes les ides d'extension,
de possession. 1.
nation,
d'occupation,
l'article
directif,
C'est, en hbreu,
mouvement
nombre
arithmtique
de posest 3o.
L~ctmn
d~~R. eon~.J)
de <&~M~
V~yex
(~K. COW~J) ~M? M~M
'3~.
po~cr~
Q~
Voyez
ty?.
~J~
N~.
LA.
Cette
racine
est le symbole
l'infini,
du
de la ligne prolonge
sans terme,
de l'action
mouvement,
de ta,
dont tien ne borne ta dure
les ides opposes,
d'tre, et de nant,
qu'elle
sert dvelopper
de ses composs.
part
L'ar:
dveloppe
dans
la pta-
les mmes
ides
Bans
~n sens
que ia R. hbraque
restreint
se reprsente
par ~es TeattonTs adverbiales
K)Mt, ne
ngatives,
pus. Le verbe
signifie proprement
r~Hic,
t~McoSer,
K~ ou
expansion
sans teNne
trait,
par
C'est,
indnie,
~oMS~
en gnrt,
une
un toignement
dans un sens abs-
exprim
les relations,
?MM, ne
du jfOM/. La direction
d-
pas, ~o~
celle qui se restreint
finie, c'est--du-e
par te ~noyen du signe assitniiatif~,
lui est oppose;
ou
-voyez
HM?
C'est,~n
gnrt,
un
~aM~~M; au propre,
~w~ <tc~y
travail
qui
~Me,quieBnMM,qui!MO~M~.
de coMtSK? ~R.cow~ .~L'action
de cacher.
f~
Voyez la R. U~.
de passion,
d~audace:
toute
de la vie;ioutc
qualit,
iacuit
rsultante
d'un dploiement
de principe
vital.
de quoi
J~ ca~Mr~ le centre
la vie, et
que ce soit, d'o rayonne
toutes les facults qui en dpendent~
~a ~a.MMM,
& eoM~rag~, la force
J37.
le desir,
/c<MK,
~M.
L'ac.
cceptions
J3~?.
&
le vouloir
t
'J
L'action
ac-
Je Mton/~r
~<:tj~K?~
.d ~~e&~er,MN~&CM&t~<t&~
de
de
de
OM~ace~ d'ona~e~
~~o/T~rct~c
de~iCMN~~ ~tC.
t/M'
~7.
a7T&a~
(~B. ~QM~
tant au
~<MCj8<!HMMe, <MM~M z'
/~M~~iOM~M!,
P
propre
~u'au&gut.
LD.
LOUH.
ni~.
prementMMM~f,
coM~M~M* IPhbreu
rnin~,
dans
prsent&
la mesure
figur,
le style symbolique
de l'tendue,
M-
/r<M'. t
S17.
de
fatigue
y.
de
insupprtable,
Tout
mouvecoM~~
tout lancement
dans
~R.
~<M*e.
ment
~L
apptant,
le vague
)v.RD.
Le
expansif
joint
ne de la divi-
signe
de l'abondance
celui
ou par contraction
manation,
image de toute
une racine
dont
l'objet
sion,
mer
toutes
la R. *W,
compose
est
d'expri-
les ides
de propagation,
d'extension
quelcon-
de gnration,
l'tre.
que donne
L'ar.
mmes
en
la
les
gnral,
R;. hbraique.
se met
dtend,
se dtecte,, ettc.
aan
de~aaiHe,
de~M~e~deUgn~:
coMe&e~MT~ un e<~K~R~<t
"-A
JJEH.
JH.
M~a~etc
Cette
'Cette:
est t~nttJ\tnali;.x qm
&
qui e~
R. i~?t ~n~raie
r~s
lo~a de
d'UiBe ~HeectMMt d<mn~
terme.
monvements~m~
d'~a
Cest
de l; que l'ar.
stgnt&e proDiEU. Pans un sens plus CM~
prement
tpmUse le mot
dsigne tout ce qui
devient hea-u,
sesmbti~e,
~tt~aue,
pM]R, ete~~t.
?!!T~
To~te ide
un
sens
MM ~~n~
ngur,
M~~ ~QC~jTHM.
M17.
flamme,
que chose.
0!T'.
t\)
exprime,
ides
que
dans
~JK co~Toutcequis~s'~M~
&
pour
f*R
coMp.~Universatserun
le rendre
expansif,
mouvement
~c&M<~
pathique,
etc.
ger;
LOU
ou
de liaisop,
des objets
lien
quel-
sym-
M~!7T~D7H~
ou
LI.
de cohsion,
les uns vers
-Toute
ide
de tendance
les autres.
Le
La ligne abstraite
qui
se eon~o~ allant d'un point un autre,
et qu'on
reprsente
par les relations
que M~/ oh que si
~/t~ZM?M
universel.
etc~
~M~
L'ar.
fermes
celles
n'a
dans
qui
conserv
des
la racine
primitive
se reprsentent
ides
par
ren-
que
les re-
lations
adverbiales,
MMOM, quoi la
~M~. Le verbe
qui s'attache
~J,
racine
faire clater
n?ou &J, signi6e
une puissance
donner
divine,
c~r/
le mouvement
vital
a matire.
C'est
de rayonner,
R. que s'attache
au sens
cette
renferm
le. mot
dans
JJ
Mj~
~y&.
d'action
iadter-
n'J7.
L'action
d'tre
a~
co~
LQUX.
t~.
~.Lt.
~<fcn/,
newM par un lien MM/MC~ par
un ~OMt~MC~f
toute
~i~a!Me
COMC~OMC/tOn, liaison,
<'6~&OM,
etc.
~<MM~O~, addition,
~7.
<WM/~ Tout
~JR.
ce qui cde,
la R.
~MA,
Voyez
s'c~~
Tout
ni?
comp.)
V. la R. n~
poli et luisant.
ce qui
est
Mt~
~JR.eo~~Ca~<*r,~M~&'pV. U~.
per.
~7
MM
~V)Z~?~H/.
(R. coMjo.~
se dsunit;
Tt7.
dtache,
//ia~,
ce qui
Tout
ce qui
se
au figur
tout
se salit,
se ~oM~e. V.
!aR.
comp.)
y*!?.
~jR comp.)
V. la R.
L'action
d'englou-
/<*r.a~.
w
~R.coMpJV.IaR.
_r.~
V~.4'
(A
co~)
V. ta R.
t~.
un
objet
s'exprime
les relations
dtrtg vers
et qui
pour, le montrer,
dans un sen~ abstrait,
par
leur
heurtement,
traction
etc.
et ne garde
braque,
queles
et matrielles.
en gnrai,
et de conh-
de la racine
acceptionsphysiques
le mounaturelle
La vigueur
vement
inn de la vgtation;
fMtout ce qui est ver-,
FMM?<*~M/H~
H7.
doyant,
ce qui
Une addition,
co~)
L'arabe
yJ dveloppe,
toutes les ides de cohsion
beaut,
poli,
tout
rcent,
AtMMMA*yio~;
de
e&t &~T~~
de jeunesse,
est
de fracheur;
tout ce (qui
doux
au toucher;
etc.
L'action
*!H7. ~JR. co~a.~
de ~o/
c~r,
de humer,
de
LJ~.
de mystre,
de cachette.
V.Mt~?
.-et~?..
n~.
L'ar.
JcJ
trer.
~~?h
caractrise,
et dans
en
gnral,
empOMse~ lutte,
proprement
un sens Sgurc,
U in
M.
de ~?7*,
de cHO&!MM!~r.
l'action
dique
yMc/
de compro-
R. analogue
aux
*!7, qu'on
peut revoir.
J dsigne
chose
liante
ou
RR.K7,M7t
les enveloppe
~~7.
la racine
une
proprement
la nuit.
rend
les
les
li,
V. la R. 77.
Un
comp.)
tant
pose une
mouvement
manire
lion.
Voyez
\~7.
LH.
la R.
constitue
runi
extensif
image de toute restriction,
une
racine
d'o se dve~
Le signe
restreinte,
loppe ride d'une mission
comme
un message
une
dtermin,
fonction
laquelle
on se trouve
li
pour
un
autre
tion,
un
vicariat
L'ar.
qui
envoie,
une
natre
L'ar.
mais
acceptions
physiques.
Dans un sens
le verbe ~Jsignine
restreint
w~cA~r,
et comme R. onomatope
le
&) peint
d'une bouteille.
~OK~bM
/tMe/,tb~
Toute
espce
d'~M~
de &~a~K~
pour
remplir
de
une
quelconque.
T.
I.
i
lui-mme,
comoppos
racine
ride du
qui donne
circulaire
de
la mme
JL) ne s'est
on reconnat
conserv
point
la R. hbraque
dansteverbeJLJquiexprimeranxit,
d'une personne
&a~l'angoisse
qu'on
lotte,
qu'on tire en des sens opposs,
fOM~p.
L'action
~t7.
de mouvoir
de tourner
alternativement
et d'autre,
de bercer,
en roM<
d'un
cte
d'Ay~cr,
d~~o~~r.
Ce qui lie
(~&
~a~p~
la nuit
choses et les enveloppe;
t3~.
absoluperdre
ment toute$ les ides intellectuelles
et
dveloppes
par la R. hbraque,
n'a mme conserv
que peu de ses
"M~.
(~MM,
ex
tes
lgaeb
a laiss
<~J
du mouvement
qu'on
:}7.
Le signe
7~
au centre
dont i'un~attire
opposes,
t~mdis que l'autre
tend en loigner.
pliante.
Ce qui
~j. <ioM~
comme
adhrentes,
7~7'
choses
LL.
tensif
LI.
L'ar.
LAM.
0!~?.
M!< Un lien
tuel, un mouvement
niversalisation.
L'ar.
que
sens
J dveloppe
la R. hbraque,
mu-
sympathique,
dirig
vers
tes mme~
mais
dans
l'u-
ides
un
Comme
verbe,
plus physique.
de
de runir <M~Mc,
c'est l'action
de ramasser,
~M~K~/ey,
etc.Lorsque
le
non, il s'attache
mot J signifie
la
S, ou
Q~nombre
c'cst-a-dire
un
peuple;
plus ou moins considrable
un
d'hommes
runisp&runliencommuN,
qui en fait un tout.
k
74
Racine
LN.
*~.
inusite
exprime
L'arabe
1~LR.
LN.
f?
toute
en hbreu.
de
espce
Zpya la lueur
de cette
ser
l'action
la
nuit
l'action
nocturnes,
lampe, de~<Mun
de prendre
~7.
retour
LPH.
Toute
ide de raction,
sur soi-mme,
de rtraction.
LS.
Racine
inusite
en hbreu.
l'action
L'ar.
indiquer
mJ para!t
de &n~M~~ On entend par le
mot .e3,
un &rroM
un voleur.
de tour,
de
de sinuo-
toute
en gnral
de ruse, de filouespce de fourberie,
terie. C'est au propre
w< larron.
y 17. L'action de se jouer, de prenL'ar..cJ
exprime
de
l'action
de tourner
l'autre,
d'employer
etc.
<o~,
de r~re~
parlant,
d'une langue dans
un
/~E)pc ora-
Dans
un sens
LCQ.
propre,
tout ce qu'on saisit avec la langue,
tout
au Sgur~,
ce qu'on
&c~:
lape,
saisit avec l'esprit,
Mne lece qu'on
j3~.
c'est
LOS.
y~.
Racine
Inusite
en hbreu.
L'ar.
ra,
rante.
La
tre idiomatique
R. ? qui parait
l'arabe,
et onomatope..dans
peint le
son articul
ou inarticul
la
qu'met
voix et que modifie la langue;
d-l,
le verbe
UJ qui signifie parler,
ou
a~o~r,
homme
selon
d'un
qu'il est question
ou d'un chten.
Le mot ~Jj
signifie proprement
K~/MC, etc.
yt7
une parole,
C~M~M~MA?&~M~MMO~K<'
<~cra~M~
tout
c~o~c,
dvore.
ce
qu'
~Mj/OK~
un enseignement.
fOM, une lecture,
L'ar. ~J signifie
et
~n~c~cr,
1
A),
comme
R. onomatope,
toute
peint
de claque,
espce
de
de claquement,
cliquetis.
Derided'~M~~M~nat
M*~
celle de doctrine;
de ceUe de Joc~rMe
De l, l'ide d'a<*<celle de docteur.
<&~nM~ de rassemblement
MM de sages
de vieillards,
t~.
LR.
L'arabe
der.
Racine
mme
ne
de savans,
de snat.
inusite
parait
en hbreu.
pas
la
poss-
MQ.MA.
~?. LSH.
<
W?. LSII.Tonterunion
en mas~,
tout
pctrissement.
L'ar.
de ce qm est
j~ iudtqnertat
comme la ~Mte. Le mot
a~it6, secou,
caractrise
un homme tpemj&LL~J,
lant,
troubl,
chancelant.
Ce
tend
qui
rendre
<
d!Mc/~ une
~c-
chose
dure
et divise.
jn.
LTH.
L'arabe
tuelle,
duqae
Racine
inusite
7~
en hbreu.
une runion
mu<j~J indiqu
un lien sympathique
au
moyen
on se rtfnit,
on se met en
mouvement
une
par
sont
action
toque!
tin
nom
on
pris ponr
moyen,
sont divises <tnMX
instrument;
pour
leur essence,
OM tt~tratt~
du mHteK
de plusieurs
autres ttOna ou actions
similaires.
Les grammatistes
hbraMn!<,toMt
en considrant
ce caractepe
comme
n'ont
/t<')Wt<tf~<
pas laiss uan'
moins de !c confon<he
avec les mots
comme signe, ainsi que
qu'il mutine
imj'en donnerai
plusieurs
exemples
dans mes notes.
portans
Son nombre
est ~o.
arithmtique
socit.
?0.
U.
M. Ce caractre
qualit de consonne,
appartient,
la touche
en
na-
sale. Comme
il reimage symbolique,
prsente ~a femme, mreet compagne
de thomme~
tout ee' qui est fcond
et formateur.
comme signe
Employ
grammatical,
nel et femelle,
rieure
etpassive;
plac au;commencement des mots, il peint tout ce qui
est local et plastique;
plac la Rn, ?
y devient le signe coMeetif, dveop~
j)ant rtre dans l'espace infini, autant
ou bien ruque sa nature le permet,
nissant
en un seul
par abstraction,
tre tous ceux d'une
mme espce.
C'est en hbreu,
Prtict'B extractifom
partitif,
<f~~
noms
exp~Mnant,
d!<H&
ou
ainsi
je rai'
cette
sorte
de
grandissement
tier dveloppement;
tout
ce qui
sert
& la puissance
gnraet la manifeste
& l'extrieur.
d'instrument
trice,
L'ar.
dans'son
sens oriprsente
ginel les mmes ides que la R. hmais cette R. a acquis
en
braque
arabe un plus grand nombre
de da en hbreu
veloppemens
qu'eHen'en
c'est pourquoi
elle demande,
dans
l'un et l'autre idiome,
toute t'atten<
tion
de ceux
remonter
qui veulent
l'essence
du langage. MQ ou
jusqu'
!a matire
b caractrise
en gnrt,
la chose
passive,
laquelle,
toutse&it.
et
au
de
avec
laquelle,
moyen do laqueUe
dant
en particulier,
ridi'mcafabe,
/'MtM, une chose que!<OM<ou ~s~, suivant
ta maconque,
n!~r6
fnt~
tna~fMnnMnp~
les actions,
que
MA. Tout
dtoton
iimportante,
C'est
etta racit~
renvMa~
conue comme reiation
k.
MAn.
n~.
?6
la possert dsigner
pronominale,
sibilit de toutes choses, et se reprc-~
P
sente parles analogues
jfran~ais, que
au
conue;
<yKOt?~
que, ce qui;
comme relation
contraire
en arabe
elle
s'emploie
mer l'absence
de tout
adverbiale,
expridter-
pour
objet
~r/~ac<ctc.
dans un sens
facults;
c'est le nombre
cent.
restreint,
MB. Racine
.JtlS.
L'arabe
ide
<~J~
de retour,
inusite
qu'ils
!1Q~
1/arabe
exprime
chose
d'une
amre;
ble, tourmente.
Dans
~M.
rieure,
vision
MO.
Le signe
s'tant runi
qu'on
cre,
piquante,
trouqui aigrit,
le verbe
dcoulent
toutes
de dimension,
i d'tendue
commensurable
Toute
et
mle,,
ide de ~0-
aux princidans un
pes actifs qui les dveloppent
sens propre
et restreint,
/~aM; dans
un sens abstrait, ~Mt/MO~~M
c~ce?
sont
relatives
laquelle?
cAo~.
que
L'ar.
les ides
jourd'hui
~na.
vaine
quelqu'un,
~M~'
a laiss
toutes.
chapper
de la R. hintellectuelles
et lui a substitu
la R. L~
braques,
pour toutes
chose
et.
ou tQ,
les facults
~M~?
de l'action
ext celui de la diconstitue
lntentaire,
d'o
celui que les an
comme le principe
de jSiMMJM~ de ~<M~M*
de
dont l'estenue;
impassible,
intime
reste inconnue,
dont
sence
~~Mr.
ciue, d'o
de mesure,
ratiun
pre,
chose
lide
un sens restreint
signine
en hbreu.
inusite
l'lment
gnration,T~M,
au principe
opposaient
tre le feu.
croyaient
qu'ils
une
etc.
mobile,
regardaient
femelle de toute
indiquer
de remise, d'bonnCtUr
Racine
Tout
ciens
bilit;
chose
oAM. MG.
/(~
passif et formateur;
tout tire sa nourriture;
plus
reptdu.
d'une
MEH.
tiellement
en hbreu.
semble
C'est, en
que l'hbreu.
s'altout ce qui dtend,
AcaMco~,
nH.
ides
mmes
abstrait,
rem-
~<'y<<7n* tout,
tout,
et se rend
min
~niL.
~rt~
les ides
on n'ettend
inan~,
cc~
physiques.
par
Au-
~e qu'une
f'thif.
Toute
espce
"~Q-MEHR.
t~M.
de plusieurs
1
de mlange
de /M~oM
choses ensemble.
V!Q
c<M~jp Tout ce qui s*
coule avec rapidit, tout ce qui change,
et promptement.
V.
t'a~c facilement
laR.1Q.
dont
1Q.
en hbreu
syllabe
tous les
une
~<M?
Voyez
en soi
Voyez la
R. ~&
la R.r~,
une
t~C
Une image,
~R.~OF~
~Q
n~nM<?!<s~M,
la racine
?Q.
tracte
1Q.
77
TtQ.
autre vie,
-tM.MZ.
Le passage
comp.)
& ~M~
Tout
combustion
Voyez~a
enCmmement,
une
R. f~Q.
toute
parreSetdta're&actmn.
Un vif blouissement;
une repercus~
~n~ds
rayons sotaires~'ube!:
incanune chaleur,
uae scheresse
qui
L*ar.
est une R. onomatope
le miaulement
peint, en particulier,.
tout son aiduchat;
et par extension,
descence,
subite.
gre tperaat.
Ut~. ~~p
f~o~
en gnral,
caractnse,
Tac~on
de
et celle de clbrer
son;
~triompher,
triomphe
par une fanfare.
senspNthitiMeIaR~
hhrque,n'oHre
que les consquences
tparticuiires
j~.
7~M<~cr,
~MM~
niQ
~St
.de
de se
de se
L'action
~jR. eo~
se
~wM~,
Il
L'ar.
y,
n'ayant
point
conserve
le,
des ides
Za!
Touteyn0~
espce
(B.
corp. j Toute 'espce de
~MOMt~M~K~ eo~H?MMH!~M~. Voyez la
nH.
M~f.
peint
le bruit
racine
quant
des mains
~.co~p~
co!T~
U)h.
'3*!Q
~Ma~MM,
Toute
comp.)
de d~~M-Hon
ide
d'o~
Voyez
la
racine
'2.
7t3d'a~HpM~
co~K~~ L'action
de ~McAey'
de
~y,
rx.ubranc,
<rcpMc~f.V.laR.'?jQ.
0~3 <R. CO~?.
M~ V.laRtQQ.
d'applaudir;
voir bonne
n)Q
un
onomatope
qui
l'on fait en cla-
que
ftt
mine.
au figur, faction
d~tre joyeux, tl'a*
'b;
C/a~M~,
~~MK/;
/<<&O~OM/
&OW~ ~MTMCMr.
un
du
a~t/CfNe~icbfpS;g!
) <~M &~A~,
Une
Racine'
:1MC.M~E.
?9
connue
tme
bole de toute galit,
racine laqueUe s'attachent
les ideo
de dsutude,
de favage
d'abolition,
exerc par le temps, ou par faction
des lment
ou des hommes
De l:
L'action
d~r,
d'~K-cr,
de JcifNMM; de KMM~MBe
de Zsfer,
de netdifice;
!Tn!Q.
d'en~tw~
un
ville,
<io~e<c.
L'ar.
gnrales
Les ides
modras
p~c ta.~
de&~M~
<
~10.
la R. flQ.
M.
i~e
~MOt.~L'th.
<Ma~,
/~<M<.
prement
'HT~
C~L cc~.J'!
Toate
CM~~CM~ ds ch~se~Nv~SM~cMe,
dans un sens pFopre, c'est la
futur
/<a!a~~
relation
adverbiale
tDIQ.iMT.
uesigne
sive,'runi
t~MMWt.
de la rsistaBce,
les ides de motion
celui
toutes
dveloppe
ou d'motiondonne
.quelquecnose,
de remuement
de moo-
de vacillation,
vement
communiqu
vers
spcialement
offre le memesens.
ComnM
de
R< indique
Faction
d'fendM
en tn'ant
de ~Nia",
de ~MOMfo~ d'
M~Q. L'action
verbe,
cette
M~H. LaraetnelM,hnagede
de toute contracrestriction,
runie
au signe de Faction
ex-~
et passive,
dp deoutent
nuation,
sement
constitue
une ra-
les M~es
d'anaibussentent,
d'une chose ~dure
d*att-
d'amolissa liqu-
sa soumission.
faction
V. '3tQ.
<
en gnrt', toute
exprune
ide d'extnuation,
d'absorbement,
On entend
&
de consomption.
par
C~V~OM.
L'ar.
~U.
ML.
Le signe
de l'action
ext-
rieure
le bas.
L'ar.
"p3.
toute
Cette
racine,
compose
de 1'action extrieure
et pas~
si~nt6epro-
cine
d!8
Voyez
tion,
trieure
de f~~H~r~ d'<~
de \M<yV)MW,
etc.
de ~~c
d'!a</f~M~
d'w~
yn~~cc~J~etiond~ea~
ter, de~c~MrviolemaMnt,
j~r. Voyez
W!.
do ~t~r,
Mow~
et'passtva,
runi par contraction ) la R. '?(, symbole
de toute t"
vation et de toute tendue.,
compose
une Faciae taqMeite s'attachent
tou..
tes les ides
de continuit~
de plni-
~Q. MOU~.
~Q. LM~
tude, de mouvement
du commencement
chose
locutton,
ration,
continu
la
de l, les ides
locution,
fin
allant
d'urie
de
accessoires
nar-
loquence,
etc.
~rf
an<&
79
par
toute
les
figuration,
finition,
L'ar.
formes
extrieures;
dtermination,
qualification.
n'a point
suivi
d-
es mmes
dveloppemens
que l'hbreu,
qu'ils soient sorti d'une rcine
quoiiden-
l'usage d
tique, ainsi que le prouve
cette racine,
dans les deux idimes,
comme
relation
dsignative,
reprsente en franais par du, de la, des;
etc.
/Mr & par la, ~r~~
parmi,
pour
nat
dJ~M~~Mc~.
celle d'on~M<o/MM~
et de l, l'action
de circoncire,
d'~ir
tout
d'amputer,
ce qui
CQ.
L'ar.
l'ide
e&t ~Myia&o~M&M~,~?~~M.
MM. Racineinusiteenhbru.
semble
indiquer
une chose
livide, ou qui rend livide; nue chose
inanime
et comme morte.
C'est au
Ue la cire, ou WM <M<w~/
propre,
et au agHr,
enrichir,
etc.
des choses,
leur~tQ. ~c~c~
eur ~M/M
~M~ f~~TK'Mj~,
WM~C
en conoit,
/*M~ qu'on s'en
qu'on
forme, la <~M~o/t
qu'on~en donne;
leur mesure
leur MOM&
propre,
leur ~o~e.
L'action de~My~
de <~rMr,
'?*
line idee,
de ~yb~MFr
une image
Fucdes choses
l'action d'~MogM!
tion
fier,
de
etc.
WM?~~r
~P~~?~~
~'M~
80
~!Q.MR.
~Q:M!Nr.!
/'<H~~c~des
~JQ. Zo/bn~t~
etc.
leurMwc,
lear/~H~;
il
tanta
Choses;
tout
ce tpi
et
physiques'
de' itont
L'ar.
j~ carctt
ise ret~t
se
ce qui
touche,
tout ce qui est
On e&<end j pa~ j~
contigUt
~M<~
ses
-et par '.?,
perdre
~e~N<?r,
'&)rces,<M~.
*1Q.
Tout
ou
ce
MPN.
Ractne
~usite
breu.
Le Chaldaque
entend
de tapis'ou
de nappe.
~Q
tout
MTZ. Cette
ce qui parlent
racine
'
en
arabe
&ux ou
caractrise
un but,
6n
qui rencontre,
qui.
obtient
l'objet dsirl
h-
une sorte
'~'"
.It~
~10.
Une
~O~MMM?~ COM<OH~M, /OM~
<nau~~e~M)K,
MHC~~TM'a~M?a~MM.
trouve.
une
qui
MOR.
(~d circule,
qui sert X 'la circul&tiot
,M~?n
L'ar.
~signi proprement
lSML~achon de
~b.
~~M/~Mr?7N<e7'MM~;
f<Rac.M~n~
yy~.
yM<
~M COTyM
~~M
~M~ )&~Mir~~ c'est--dire
y d'o~M~ e lait
&
J'MM <a~,
& ~OTM~;
FMO~
deJ,~idee
de~~iM~MM et d'c~p~
etc.
.$MM~ de~MM~M~;
'TM~etC.
..)).)
Fai dj~ &it
L'ar. <t, qu~ comme je
de la R. ~Q, sien parlant
observer
MCQ. Toutcequise~ond~tant
p*Q.
ave, a ren&rm
L'action
de
au propre
gnine
proprement
qu'au
ngur.
le mme sens que la
de se Hqufier;
de s'aNaise fondre,
jprimitiyement
il sagit ici;
R. hbraque
ici:; blir,
doilt. i.1,
1'c dont
~Q
hlir'aique
de s'vanouir.
ont 6t assez
mais ses dveloppemens
l'tat de tout ce
L'ar.
exprime
Ainsi, tandis
que le chjK~
de tenun sentiment
di~rens.
qui prouve
en circulation,
une chose
osigne
dresse,
qui couve,
qui
qu!~ choie,
une pice de monnaie,
comme
'ar.
aime, etc.
U~ caractrise
tout ce qui est umsimultan.
iorme,
unanime,
~.
MR. Le signe de l'action
extrieure et passive, s'tant runi celui
tO~Q- ~R.co~JTputcequiest
constitue
une
~K(M~M~~ ~.c~Mt de peu de valeur,
du mouvement
propre,
commun,
racine dont l'objet est de caractriser
pauvre.
't~Q
ser,
~Q
~JR.co7?~
d~~wo~r.
L'action
J~
co~MpJ Tout
depres-
<~)
ce qui est
*~Q. MR.
la R.
symbole
par contraction
alors la racine
de l'lment
principe,
toutes les
qui en rsulte s'applique
de ce mme lment.
modifications
a renferme
L'ar.
primitivement
ides que la R. hbraque.
Dans l'idiome
cette R. se
moderne,
borne deux acceptions
principales
la premire
s'applique
& Faction
~e
yt
les mmes
'~Q.
affecte
comme
cde
les
de
bornes
son
autorit;
MM rebelle
tout
Mt ~~aM,
ce qui s'attache
& l'ide
t~t
comme
principe,
comme
de l'lment
o~~M~
une
~OMS!c.
ce qui est
dans sa
Tout
~1]Q. ~JR. iniens.)
OM~ dans son. mouvement,
quaUt
acerbe
ce qui est
propremement,
~MQ. ~~<M
eo~
corf~M~;
ronge,
mouvement
tion
Tout
au propre
ce qui
et au 6-
*~Qou~H)Q.
co~Tout
ce qui &~
claire,
~CM~.
TtQ.
(~R. eo~
J Ce qui ~cc~e
et MHTc, passe et s'<oM& rapidement.
l'SQou'~S.
une
gement,
&OM. ,r
MSH.
<)B l'actiTit
T.
t.
na!t
proprement/M~L'ar.j~signiSe
/Mocr l
/M'r, <<M~?A~r ~M&b~M~
~cn<,
~Q.
Toute
chose
~tt~
nMMM~uta~yMt~,
/?oc~,
&~ n&o~t
se
~a~MO&Tbu~pe
~~c&
~c
comme
qui
comme ~t
7e<
i;)f.
~&e<Nt!
J
.')'
:i.H
Si
.n~.
MTH.
~cine
comme
ron
consider.~tte
du
si~ne de
tac~on
exrieur,
ruBi celai de
la rciprocit,
ou de ce mm& signe
& la R. rt!<t
joint
par contraction
compose
de du
L'ar.
universelle.
Del,
trpas, de ta mort.
<.s~ ou
a laiss
les ides inteHectueUes
mes dans
rhb~'eu.
jourd'hui
qu'une
Ce n'est
extension
'i-
perdre
renierplus auou une
une sorte de
physique,
expansion
flux de quelque
chose que ce soit.
de Petre,
(R comp.)
Un chan<.&~ indique une dissolution
fOMO~M~, une ~HM~a!- et <
~L~
signine /!s~or~. Le verbe
tout ce qui est mort, disicaractris
propre,
priv d'existence
~orme, etc.
de !f/t~MM~
L'action
rt'M.
1
sous,
'~3.
contrac-
toutes
~ur.
ou par
relatif,
la R. lmentaire
une racine
tour
oFMer,oc&
8t
MO~JTBf.
jntQ.
De la runion
extrieure
du signe
ceut
du
de
de
H~. NOUA.
'N.
de M0<
~MMM~ d&n$ une autre-vie,
-W J l'C~t d~~C NM~~ &t ?60~.
L'ar.
?.
J.'
N. <R<! t~ftQ~M~
sonne,
~qttaUt~~&-
primitif
etM jeune
& ta mme
tenant
quoique
a dvelop-
que'hbreu,
p pourvut
R~
~he
appartient
d'un
nouvelle,
production
et gracieux.
des
ides
en
opposes
raivoict pour
apparence
queUe
~prcomme
~ma~e
ey~ue,
son. Ce qui est nouveau,
nouvelle~n~e
~s,<h~~NM',
Jto~~e pr<~
ment ne, est gracieux, 'tra~s, agcable~
duit et particulier..Employa
~mme Tna~ i! est
~ussi &&
dbile, inc~~ de
~g~e ~j~m~ticatt,
H e~i
constant:
r,'i'idime
hbreu s'tant
t'e~tet~~ndivtdtMMe~
prpda<t~.
attach & l premire
ide, ~idiome
~Qraq~eSt
pa<!e ~<h mi'M ?0~
arabe a suivi lt seconde et~dvede~eat
sJtgae a~~m~miti~~ ~t
qui indique
donne l'tre toute l'extension,
dont it~e.De~,teverb~t3~
est
!'bt ~e tout ce qui
~l,
faible,
il est individuellement
susceptible.
e verbe
~ul exprime
impotent
~T
~es ~mma~istes hbratsan~
ett pla~de
ji'aetton
.M~M~cr
<
~antce<re~rnuIes~iRMt~'
&~ienit;
b~en ~marqu~
q~'tjL
~ma~~au.ccMtnmencemen~de~MtpM,
ou i'a~ion
passive et ~pli~
ou quand:il
paraissait
lat &n,
~oiement
~a~
j~
(Soi
d~
mais ils
et l'augmentiez:
j~ar~u~
Je ne rp~teyai
potnt ici <:? que j'ai
dit dans ma (~aaMBaire,
touchant
fumage que le .gnie idiomMtqae
de la
&istut
.I~ngu~ h~aqup
tQre,:d{msIa
~compoattion
radica~tx-~mpos~s,
(de ce cajfacdesvepbes
en qu~ite
joncttOM'int-tMue..
Sun titOabf~ arithmtique
d'adest ~o.
de Jeunesse et
tout~idce
de nouveaut;
do trachcur,
de g'~ce,
toutidde
dde beaut;
coulant
de ccUc qu'on se ibrme d'une
Nd.
~fA.
Toute
ide
etc.
chose,
R. c'est
C~qmhp~ove
que Je verbe
t'id<cK~t~e;Ia
~U
compos
p~opreaMaA
Tout
nM
en~nt.
~<~?~~n
aatM!ce qouest~cNM,
aigt)~6e
MEM~M,~MMc,~NtM. Tout ce
de )eette re-
peu;d.par~
d'b~M~M~fne
~MF,
revche
qui n'est point us, fatigu,
rn~is au contr~<ce<;uiestiMM~,
J~HH!.
~n'
/o~
De l'ide
de~eM~M~ et il'~
n'est
se tirec~Ile
<ieceqm
~/M'g,
son pont de pertecpoint parvehu
tion,
de ce qui in'est pas <M.Me M~
d'un fruit,~<M assez CM)!,
en parlant
j~tj.
en partantd'Mne
viande
d'agw ~n~Mc/M~M< et
comme
de se J~'r<?
de i~ l'action
sans r~exion,
d
un enfant,
se CO/KFMH~ ~<MMC~tCC
quc!e{t!
Mc~
~<E
~o~
<~
MOMfC~~M
d'<?~
eho~e,
~n~r,
d~etc.
NAD
TM
?7HC O~,
du lait,
ou une e
*~M.
CO~
de l'eau ou
mettre
liqueur
quelconqne.
d'exL'acte
~o~
poser ~~b/M? ou & .MM~e de quelde eM~ Zai ~~rH!~<
reque chose,
~MOM~r A
c~M.$f. Voy. !a R. E~
I~'a~~on ~e
co~
t1M.
une passiotl,
&M~r o~r
jua <
Q~JR.
de~dieN~
de
co~t&e
tranrent,
un adultre,
.c<
d~c~~jr
d'~&~M~~t
traMgcfs.Voyp~~
~f:<M<.
&o??~,
<<raM?~
~KJt
<~o<~w~
Vo~ ta.R..
yM,
~w~~
t*attop
n,
~otA
de
M~~e
pA~Mo~e~f~M~~Mi~.
~J
~'aotio~
CQ~J,
pour
pj~F
du chie~Au
~j.
L'action
dejRCH~'
~a~ ~Mptau dehors
rs~atton,
de ~~o~M~c
~a~
un
prit dont on est
~emp~t
sens propre
et
restreint,
M~M~rMCf~!ea&o~
NB. LaRacmemystneoseS~
s'tant fhM! pait* co.)ttMtC~o)i AU si-
is'app~c
t~
esppce de lumire
r~cj~ic
!a. o~mre
d'tjm mirot)'~ de rfaction
so
laire
de l, les ides d'ppposi<jion,
d'objet'
mis en regard,
~'ar. -j indique
sion ~u~~anat~n
d'e ~eopihanie,
de 'pto~
phtie; et par suite, celle d'~ata~lon,
de irayj~en~ot,
d'extase,
t~ro~e,
para~
d'~tit~t
dtvine,
&n ~netat~
p~pleM~nt
a!tj
~wtto~
de
~So<
tJ.
toute
ide
d'~ntM.
ac~u~UM.
de <!o~fw!rc~n ~s~
~~at~
~de qu~!qu~m
d <~MM1~, de
M~ id~
feoe'vpi)'
M~ ~Mte~'et~
/h~KM.~?Mn<,
unmou~emeti'e!)!!t<~
rie!' e~~
i~,M<p@
~attttpM 4atrieu~
Nho.
C<Mj~~R.~mont~op~e<}t
mu.
t~nt-
e~p
gne d~ rexistemc
pMd~te,
)doa~ne
naissance une nouvel!~ racMe, 'd'~
entannt
toutes ~es ide~ d'u~pj~a-
ment
ce dnier
M~oni. 11 parait quee dans
a.
cnu est snHp~es~ns, c'est la R.
au signe
embtoy
ntent
rpn}e .L:
'7\\
.f.
7~~ J.
~comme
adjonction
tnihaM.
.):' .), ')'
.~3.
o~nM~
~J
d'ho'~UTMH~uae'
Ij'ap.
<mdiqu~
Mfc cj!
d~voiy
Voyez la R.~K.
tio<t
ex-
figpr
l'action de
priment
cetui
qu~ahnoncc
la vo!oht6 du ciet,
qui prophtise.
Le mot hbteu
K~J~~c~
se
de a R: ~.f, dont il
forn~
s~t
R:
<~a pn:<
~i, et de
sabote
~ancedtvM.
~a&p~,
~jR.ooM~J~tiopd~
~r
83
.'<'M~~
jrat)t!o~
~c
ND.
M~M&w~
De la runiou
~e ~xi~teNee
t~Mt naturel
de donner
CM de
MM~ <
des
signes
pMxd<Mto ~t de la dtvt.
~K))! u'ne raoino qut
~t~dbppe't~uteal~
~(M<, do M~vemeht
td~s~e
~ncoytau
d~~
d'aL
-f.
NOUD.
de'fuite,
gitation,
dedissention.
d'exH,
84
yij
de trouble,
l'ide de tout ce
L'ar. <AJ dveloppe
Ce
s'enfuit.
s'exhale,
qui s'vappre,
mot s'apptiqu&
aussi en arabe l'imais
d'galit
et de similitude.;
et drive du prialors il est compos
avec le signe de
mitif *p, contract
de
l'existence
j.
produite
s'~MM~
TU. Tout ce qui se meut
de trouble
et d'inpar un principe
tout ce qui est vaguant,
certitude
tout ce qui s'~o~Me~
~M~,
og~
~M~e,
*pJ.
etc..
MM f~~t&&C~e <c<MM,
MM <n!M&~e manifeste
par le
M~t~
mouvement
est l'analogue
de la R. m, et caractrise,comme
Ue,
rtout ce qui est nouveau,
jeune,
n.3.
cent
ntj.
NHE. Cette
racine
de :
&
indtermin
moyen
compagne.
L'ar. ~J est une
R. onomatope
et
idiomatique
qu'on
le
Ide d'Aa-
Toute
la R.TU.
&a&N~oa Mo~ipf~~Toye~
tTH.
eo~~
i~jM~
~t~
~6~~ o& une c~ose agite trouve
Faction
i~
de ~M-
de~e~o~e~
ter <ray~M~~
de/oM~
Z~aMc et
du calme. Voyez ta R. nj.
Toute espce de
!atj.
~.eo~~
MO?MJ.
CM.
(~Rae.
L'tat
&M~MW~oM~o~~<M)
etc.
Racine onomatope
m.
qui peint
le long gmissement
d'une personne
qui pleure, quisouHre,
quisanglotte.
L'ar. tJUtJ peint
toute espce de
bruit' et de clameur.
13. NOU. Le S. convertible'
image
du nud qui runit l'tre et le nant,
et qui communique
d'une nature
~4nt
donne
naissance
le sens, entirement
tence produite,
une racine, dont
coM~?.~
L'action
de
t~M~Mn
d'tre/eMnc,
oZa~e.
et par suite, l'ac~OM~eM.r, a!MM&
tion de former
une co&MM~ de fora
der une ~<&e<a<MK
MOMM~~td'
l'autre,:
NOUTZ.
joint
~Im
Je
l'exis-
~J.~R.eoF~Toute
idedec~
d'ace~MMeMMB~de
&miUe.
~Mg~b~
Voyez
M3
la
R~j.
(R. c<M~?.~ L'action
j6erdansrince'titude,d'e77~,
V. la R. OJ.
de~io~
de/Mtr.
~M
(Bac.
camp.)
Tout ce qui
cAon~c~ tout ce qui manque
de coBUtanc ou de force,
tant
au propre
qu'auftgur.
<M<&~Oe~KM~
MJ. ~R.~QK~
une 0~0~
racM~e JM~OM
tion de ~cMn~
dez~/td'~a~tM~y
<
<6Ms'r,etc.
~t.
co~
L~Hon
de~M-
{~j.
tiru. NTH.
NOUCQ.
et o elle demeure
celle de ~p&m-
R.13.
Tout
~R. co)~
!fM&&& t&a&t~, M~TMC.
~j.
Cettr racine
NZ.
ce qui
perse
fluence
ce qui
tout
caractrise
se rpande
s'panche,
tout ce qui fait sentir
est
se disson
proprement
~~oM~r.
oRre le
Faction
mme
de
sens.
couler,
Dans
L'ar.
peint
un
soupir;.et
lamentation
intellectuelles
dveloppes
se sont presque
hbraque,
faces en
arabe.
On
par la R.
toutes ef~
trouve
encore
nanmoins
dans
l'idime
in-
le verbe
pris
pour
C'est
e~~<7',
pos ~J,
patience,
la tenacit.
au dehors.
L'ar..
De l:
immobile.
le premier
cas, et dans
un sens restreint,
un ~dc
dans le
second cas, et dans un sens gnrt, t
le repos de l'xistence.
Voyez ntJ
nj
$5
de
~nj. ~JR.eoF~
tend avec effort,
moderne, t
s'oesignifier
Tout
ce qais'~
De rexces de la
~jR. M~M.~
qui se~M~&
qui
Fide
de
nat
Za~ctc&<~
dispersion,
se dK~e
une valle creuse par un
et de la
une ~o~M
ls
pour tout ce qui est solide,
torrent
d'hritage
tout ce qui est li<Ka~Q~MM pour
d'une eau courrante
une
sinuosits
quide.
un envahisseprise de possession,
ment quelconque.
cette raH~. N. Si l'on considre
C!1J ~.coTM~Toutcequi~~c
cine comme forme des signes runis
entirement,
qui se dsiste d'un sende l'existence
et de l'exisprodite
timent,
qui renonce
<OM<o-/aMjf un
tence lmentaire,
elle se prend pour
une opinion,
soin, qui abandonne
vers un
le 'mouvement
qui conduit
qui <atW
qui co&Me une douleur,
comme forbut': si on la considre
sole, etc.
me du mme signe de l'existence
Toute ide d'M~
comp.)
ym
la
runi par contraction
produite,
V~
de presse,
d~K~or&~M~
gence;
R. nK) image de toute ibrce quilila R. yn.
elle fournit l'ide de ce repos
brante
V la R. in.
~nj.
coM~j
chose
une
parfait
qui rsulte
pour
V. la R. ~M~
~J.
co~J
agite en sens contraire,
long-temps
v. la R. rn~
cow~
nm.
dupointd'quilibrequ'ellereacontre,
~J.
''86
UJ. NT.
'CM. NM.
INJ.
t~.
figur, de 1&
de ny<*!oM, de
qu'au
Toute
espce
<hc~verge <F o~Mr, de liant propre
~er, MOMP~,&Mo~r~ une chose qui
/?OM~
qui cro~ sur une autre, qui
comme
un
sy &,
qui s~ MM~;
t~HMccM,
un ~e~
une
M~
~M~e&e,
Ma~ Ma~
un
&~OM,
~f; etc.
V. t~~
1/r.
n'a
dveloppes
la R. arabe,
tre manire,
eaMes
point conserv
ou ptutot
par l'hbreu,
s'tant forme d'une au-
a exprim
un sens dif~
frent. En gnra!,
le verbe
caractrise tout ce qui fait effort pour s'loigner du point o il est arrt; c'e$t
en particulier,
sauter,
s'~A~M~r,
On entend
s'~MMe~ef.
par i'b ou
Ftt d'une
chose
i~
suspendue,
du point vers lequel elle inloigne
cline. Le ~:h. nMJ
signiRe
proprement ~C~M~~M~.
~3.
NH.
toutes
d'inetion,
tant an propre
NI.
Racine
slon.
L'ar.
J
indiqua
l'tat
de ce qai
est cru.
comp.)
~j).
/X~ V. !a R. p.
TJ.
comp.)
un
La
&<)M!
ma-
dans
y~~?
V.!aR.
tence,
prime.
HJ.
liment,
sa production,
Tout
/<
l'exis-
ce qui nuit
la restreint,
t'an~te,
la com-
~M~7~<M<~f,
decA~~r,
dt;n~o~~r,
de ~M7w;
l'action
de ~MM~r~r,
de
etc.
<~MM~no~/
/r,
L'ar. w
en gnral,
les
prsente,
marnes
ides qae l'hbreu.
Il en est
-d mme du syriaque
NL.
Toute
tenant
Les mots
sentent
arabes
J~,
e sena
tous
de se suivre
en grand
nir, de donner,
ment.
Oj.
la mme
de rendre
NM. L'existence
prsente
versalise
eoMectifQ,
dvdoppe
par
source.
le signe
abondam-
individuelle
j,
tant
reuni-
par Fadjoaction
du Sgne
&Hr<ne une ratsce d'o se
l'ide de y~Mwec~ Cette
composition
bi'og!yphique
est digne de la plus giFStmde &tten<wn. Elle
donne penser qa la physique
des
anciens i~p6en&,
som.
fegardait~
meu comMM une soFte d'tmivenMdisation <~ r~tpp pa~fftt'er.
V~ye~ Q'n
etG'!3.
j
NN.
yu.NOUR.
la R. Mb.
JL'ar.jj
ne participe
que dans le cas seulement
o le verbe
en
a'M~t~*r,
s'~tM~,
~j signiue
des odeurs;
car, lorsqu'il ex.
parlant
des &n~,
prime l'action de rpandre
il rsulte
d'une
mdire,
ea&MH&r,
autre formation.
Au reste on peut re-
t'ancienne,
toute
exten.
ajoute
de
sion de la ligne,
de la famiUe,
race. V.
NS. Toute
~1.
tion initiale.
solution,
C'est
de vaciuation,
t
fi-
au propre
qu'au
ce qui Rotte
tout ce qui
incertain
et flottant.
rend
ide
tant
d'agitation,
tout
gur
tJ.
~7
un
Dans
Dj
enseigne
dans un sens
<<M<,
voile de navire
c'est
cest
restreint,
Mne
un
tendu,
sens
un
une
plus
d'~rr~
mouvement
de l'ide
d'M<<~
de
mane
nouvelle.qui
d'une production
plus ancienne
pour
former
une chane
continu
d'indi-
et qui caractrise
j par $uite, tout ce
des vagues,
qui imite le mouvement
et au figur
tout ce qui
au propre
vidus
est livr
une production
de la mme espce,
L'ar..U n'a point conserv
un
Vnus,
ratrice
des
noms
c'est--dire
Qn
j!3
de la nature.
~J.
,(
Toute
~O~IOg~~M~
mouvement.
les ides
dveloppes
par la R. hbraque.
seulement
peut remarquer
que
est
un tel
MOMf~
soi-mme,
tion,
ide
toute
de mouvement
de tieptda-
de vaciuatu.n,
d'osctUation.
Tout ce qui est <&
iorce;tout<;e
ce quicA~M~~
c~cMC~j.
sur
et sans
qnic~tMMM&A*,
tout
U~ut Ce qui vacille.
erre de
cote
et d'autre
88
NBM
C~a
~.NR.
de son engourdissement.
Tout ce qui est
C~yj
co~
JoMa?, ais, <~r~o&&.
facile
~yj. ~jR. co~Mp.~ C'est, dans un
la tirer
un CM/<M< nouveau
restreint,
K~~ dans un sens figur, c'est la predonne l'lment
mire impulsion
sens
vital.
et l'action
la ~~d~Mr~
d'tinceller,
plandir,
sir,
Toute
d'inspiradu dehors
ou du dedans au dehors
au dedans,
si l'objet est lic'est une distillation,
si l'objet
une parpillation,
quide,
V.
Cttj.
offre en gnral les mmes
L'ar.
ides. Comme verbe, c'est en particul'action
lier dans l'idime
moderne,
de moucher,
de se moucher.
son
NTZ. Tout ce qui atteint
V.3.
son but, son point extrme
terme,
tout ce qui s'lve aussi haut, s'tend
aussi loin qu'il peut, selon sa nature.
ne diffre
de l'h-
point
L'ar. ,cJ
breu dans le sens radical. On entend
par le verbe
l'action
de
fournir
une
de dmontrer
de~~TMer.V.tMU.
De t'ide d'at-
etc.
ide de dispersion,
de ramification,
d'effusion,
tion, de mouvement
opr
est solide.
TA intens.)
au plus haut
V~
teindre
de d~~y,
NPH.
de t'o~;
de confirmer,
texte,
par un
un tre a~toceM~dgagde
reprendre;
tout vice, de toute mauvaise
pense;
de
ce qui est.libre d toute souillure,
ce qui est purifi,
toute impuret
blanc.
c&yotM; ce qui est candide,
Dans un sens figur et restreint,
le
&?& et le nourrisson
qui le tette, un
V. ~j.
e~Mf.
germination,
le terme
dc/~Mra";
~c~/MM~
est
L ar.
une
R.
onomatope
de son rauque
-hJ.
etc.
argument,
M. Le but de toute
~M~cMy, et l'action
de tout eSort oi~anique,
mtaphore
de l,
cette ide
tout lieu e~MM?,
pj,
tout espace MM~; toute
cavemeux;
ni
chose o il n'y a rien prendre
NR.
contraction
produits,
l'objet
~~M, runie
par
signe de l'existence
La racine
au
constitue
une
est de caractriser
racine
tout
dont
ce qui
NR.
H.
la lumire,
de l,
figur
propage
qu'au
*Tj. t~c~~y?~
un
~OM;
qui
au
tant
)f/oM
propre
HK/~SMce
tout
Ki~~MK~,
ce qui /M~, tout
dans
un
sens
ce
mta-
signifie
'3.
NSH.
l'ide
proprement
Cette
des choses
stabilit,
elle caractrise
et faible,
tout
ce qui
in-
est dbile
facile
sduire,
variable
tant au propre
qu'au
transitoire,
et
fi-
gur.
L'ar. j~J
l'absorption
caractrise
en particulier,
par la terre;
de l'eau
signine
dans l'idiome
ser les mouches.
Toute
~j.
ide
et
e~<M~
moderne,
de mutation.,
de
de <~M
de soustraction,
permutation,
de tromperie,
de
traction,
diM'~n~M,
de ~HOM, d'oubli,
etc.
de. faiblesse,
NTH.
riJ.
corporelle.
un
treint,
Toute
espce de division
dans un sens res-
C'est,
car&ctrise
extension
donne
quelque
chose que ce soit.
Le verbe <~j exprime
au propre l'ac.tion de transsuder,
de transpirer.
rU
que
~Mo~caM
ce soit,
T. 1.
de
du
quelque
MMC~W~KMt,
chose
une sec-
nombre
Bacon,
ont
comme
le symbole
sonnant,
concevaient
en
appartient,
la touche
comme
sif-
moyen
les bruits
observaest
desquels
conu cette
lettre
je
S
con-
du principe
de la mme manire
qu'ils
H, comme
Ce caractre
de l'arc
dont
mains
de
est, en hbreu,
la corde siffle
l'homme.
F image
les
entre
Comme
signe
mouve-
il est celui du
grammatical,
en ce qui a rapport
ment circulaire,
la limite
de. toute
circonfrencielle
sphre.
Son
nombre
est
arithmtique
60.
ide de circonfrence,
de pourtour,
de rondeur.
SA. Toute
~D.
de tour,
ronde
comme
propre
une sache.
un sac,
c'est l'action
d'sens'ngur,
de lieu, de prende changer
sac.
contenir;
dans un
migrer,
dre son
Lou
de
donne
chose
Toute
!1!<D
L'ar.
une
caractre
de consonne,
et s'applique
qualit
M~/K~re.
L'ar.
Ce
teurs,
crois
lefell.
en gnrt,
leur
exprime
leur innrmit,
leurcaducit
sagres,
S.
peindre
tous
onomatope
crivains
sifilans
quelques
MMC~MC~c~fMf.Voy.~Jetl~..
L'ar.
D.
de dMC-
de ~Morice~Tj,
etc.
Hante,
MW n~OMtMC'nC~K~y~,
phorique,
l'action
~M~r,
un fanal,
tout
claire,
est clatant:
qui
a;)
~D.SAN.
(Lu, dsigne
Finquitude,
tout
tout
ce qui
ce qui
nuit.
Dans
fjR. comp.)
un Mns
une chaussure
en .M/MM/c;
?HD
propre,
et
une
de
l,
o~o~<
KM
~pag~,
M???
~qypp,
etc.
~O.SB.
<)0
3D.
tp.SOU.
oit
con~rencie!
runi
celui
tonte ide
~3, cUe exprime
de force occasicnnciie,
de cause, de
mais lorsque
c'est la racine
raison
J3~, image de toute fructification
que
mme,
Toute
espce de co~/OMr, de
CMVMt~ dc<*CM!/Mr~/ M~CC~OM~O~C~,
une cause.
~MM<?occasion,
L'ar.
<.
a le mme
mais
sens
ayant dvi vers
contourner
une
la R. primitive
<~w,
le physique,
signifie
chose, la prendre
du mauvais
maudire
quelqu'un,
/Kywr,
~!D et ~30.
ct;
etc.
L'action
M/f~yj
de tourner,
de contourner,
de circuire,
de c~o/~H~
d'<?n~<
de coMt~r,
d'atWfYt,
de ~~fc~<~ etc.
(R.
L'ar. <
signine
sens dessus dessous;
circonfrencielle,
s'ouvrant
la
le mme
et se rapprochant
du centre
del,
Toutes
de r~M~oM,
dey~~wM~yie.
ne s'loigne point de Fh-.
L'ar. <
Comme
breu pour
le sens radical.
c'est
verbe,
proprement
l'action
de
que le verbe
/g/WMr. Il faut remarquer
~Lw qui signine maitrisrr,
dominer,
s'attache
la R. "t~, JJ qui indique
la main, et la puissance
proprement
dont elle est l'emblme.
HD.
SEH.
Racine
L'ar.
&~windique
'les fesses
le fessier.
j~.
analogue
la circonfrence
y~t~~
"i
d'c~H~OK,
de ~oM-HMcc
~A~yMc. V. ~10 et ~0.
/~o.M~
L'ar.
~D.
~0.
tes ides
d'!~g7MeM/a//o/t,
J'on conoit,
mais en inclinant
vers celles
braque
qui se particularisent
plus dans un
dans un sensmoral.
sensphysiqueque
du centre
v
~D. Toutes
de Faction
intrieure
et s'loignant
plus en plus,
dc!a:
de
de cette
en arabe,
R. s'attachant
l'ide
de ce
mp.SOUEH.
~Q).S!.
Un
!D.
fM/owv,
qui
voile,
un
vtement
qui
enpeloppe,
L'action
comp.)
~1D ~R
tendre en s*toignant
du
cder, d'offrir
MM<c<
1
~7~.
qui
o~t~/c.
de s'
de
centre,
une pos-
tD.
SZ. Racine
L'ar.
mme
)!D.
Stt.
<~t
inusite
ne parait
Racine
en. hbreu
pas la possder.
inusite
en hbreu.
de se
<~ exprime
l'action
de
/bM<~e en eau, de se repandre,
etc. Le ch. nip signinc
s'~o~M~,
dans l'eau: le
~a't~r, ~7/t'r
nager;
ont le mme
syriaque et le samaritain
L'arabe
sens.
!1!TD L'action
de netloyer,
de la-
p~
~!TO Toute
ide de nettoyage.
Toute
ide .de
comp.)
de renrersement;
MK<o~
de ~OML'action
*TtD. (~R. eom~
de clore
tout ce qui
<
de fermer,
est secret, renferm,
COMtVTf.
tlDD
subversion,
rent.
L'action d'oindre.
~0. f'JR. coM~
Voyez la racine ID'
Tout ce qui brille,
MD. (R. comp.)
tout ce qui TiCTM~/o~H~. V. la R. ~D
Un cheval V. la
MD. (R. comp.)
IHD
circulation
Toute ide de
co~J
des denres
et des mar-
chandises
l'action
racmeDO.
Tout ce qui~&
t~tD. ~R. co~cj
une chose, la cM/MM~e, la rend co~M*
V. !a-R.
no.
Tout ce qui se
~t0. ~JR. coHt~J
se courbe,
se ~n'<'r~,
~ow?M,
tout
change de ct, ae rend adtWM
ce qui est <tMjac~u:c,
MM&~n<&M<
tout
ce qui
s'c~TC;
tout
ce qui
dre,
y~t-
etc.
acheter,
inusite
L'ar.
1?~ caractrise,
action
vhmente,
une
verbe
en hbreu.
eu gnrt,
illgale. Le
U?.w stgniue
compos
propre'
co/M~Ma~~cr Mt'<*c arrogance,
ment
~~M' en despote.
est
A?M~MC~ COM/fWa~,
e~M~
etc. Voyez la BL "0.
<j'
L'action
T~D
d'o~r
ce~
'D.
de ~e
de quelque
chose,
t'OM~ard un voile) tM ~peKt~e, Jc~/<?~
etc. Voyez la R. DO.
~M<f<
dica!e,
prise
tout
qui
<&f~
o l'ombre
de ngocier,
SI. Racine
;*)0 et tD.
analogue
dcoulant
de l'ide ra-
L'ar.
ce
du bon
est
cot,
t't
rgnUer,
une
caractrise
suite
de sa propre
m.
~0.8N.
yo.SG.
par
de toute
image
circonfrenciel
Le
S~H.
*~D.
runi
la
restriction
R.
"M,
et excep-
dont l'emploi
tion, forme une racine
ronde
une chose
est de caractriser
et couet close,
propre
contenir
de l,
vrir
"~O.
<~M/~
CT~-MM*,
un
W~,
une
cou-
la terre
sont
est
dont
peau est enduite,
bouchs.
Voyez "~D.
conserv
Var. J~a
sions
qui
tiennent
les pores
principaux
dveloppemens
sur la R. onomatope
J~
lvent
de l'effort
l'effet
que l'on
peint
C'est proprement
en frappant.
per une chose pour la faire
~D.
jLw signifie,
tirer soi.'
restreint,
~D. Dans un sens
dans
un
sens
trs-restreint,
MM~a!M&, MM~~aM&<M~; dans un sens
tendu
et figur, /'M~M,
~~BM? que
l'on met aux choses. De plus, MM<<M
de quoi que ce soit; une chose forautres
leves les
me de plusieurs
comme
SM
tant
universalis
devient
Q,
Le
circonfrenciel,
signe
par
la sphre
odoinuence
l'air
Toute
CO.
le S. collectif
de
le symbole
et de toute
olfatique,
donne
rante
~ne motte
espce
avoir
parat
de l,
d'aromate.
conserv
plus
L'ar..tw
et mme
de dveloppemens
plus de
hb.
force
radicale
l'analogue
que
tout
ce qui
caractrise
Cette
racine
pntre
en mal.
avec
De l, dans
le verbe
soit
soit en bien
force,
l'idiome
qui signifie
moderne,
~oM~r,jo~<nc~.
sont
Ses
L'ar.
s'qui
fait
cder.
~D.
atteint
SN.
Le S. circonfrenciel
ayant
dimension
sa plus grande
par
devient
l'addition
du S. augmentatif
?,
et
le symbole
de la sphre
visuelle,
lumineuse:
de l,
de toute influence
de coMToute espce de clart,
?0.
en parties
/gMr vive, en gnral
et
comme
la plus
lier, la couleur
n))M~
en
clatante.
Cette
couleur,
prise
tant celle du
mauvaise
part, comme
sang,
rancune.
a fourni
l'ide
au chaldaque
de fureur
MD;
et de
mais
le
DO. ss.
effet lumin'y a vu qu'un
syriaque
ainsi que le prouve
le mot Jtf&
neux,
&~ lune.
L'hbreu
en a
qui signifie
du
le nom
tire
de
l'anne,
mois
~D)
le plus, brillant
le mois
de mai.
V.~0..
caractrise
L'ar.
lumine
les choses
tout
et leur
ce qui
donne
ilune
en les taillant,
en les polissant.
l'idiome
moderne
le verbe
.yw
signifie
affiler.
forme
dans
DD.
SS.
Le
tant
circonfrenciel
signe
lui-mme,
conspue
ajout
une racine
qui
intensitive
tout
trique,
et lui
de
du
manire
l,
centre,
voyage
MD
animal
propre
c'est--dire
un
favoriser
TmigraeoM~K~.
Voyez
le voyage;
un
tion,
les RR. j~O et yp.
L'ar.
tient
videmment
la
t~Lw
en gneR. primitive
j~D et dsigne
du centre
rai une chose qui se porte
la circonfrence,
<M&Ma~Mpour
soumettre
trer,
~OMtWTM~
~?MC/!C~ etc.
~<M in-
SH.
dacieux,
propre
n~O.
Tout
ce qui
vhment,
au combat
Un
un ftu;
mais au figur
ce qui peut faire le sujet
tout ce qui agit
dlibration,
prement
c'est tout
d'une
vite,
lyse,
par
etc.
coMr~r,
est rapide,
proprela
de l j,
parties,
petites
au~
curse,
KMjCOMjrytc?'; au
par
ana-
Un mouvement
~j0.
nn,
mine,
SPH.
Toute
de comble,
qui
une
ide
de
consomme,
/<
de bout,
chose
qui
d'une
de
qui terachve.
le
chose,
C~O'
c~~M~
point o elle cesse; son achvement,
sa co~Mo~MFMo&oM/ ~o~
<&~ede cette chose
le manque.
le
tion,
coFM&e, le sommet,
le ~M~;
ce qui la commence
ou la ternt~Me; tout ce qui y est o/p]M&~pou~
De plus, une ritra~~r/ec/MM~
~or~
tout
tion de la mme
t'
yD.
MM calomnia-
Le syr. ~~LCC~.
a te mme sens que
l'hbreu.
L'ar.
parat s'tre cart
du sens radical.
C'est probeaucoup
de
d'emigration,
de l,
Un cheval;
un arrogant,
figur,
<eMr.
excen-
le cercle,
agrandir
un diamtre
plus
toute
ide d'loigne-
donner
tendu
ment
d'une
peint
mouvement
tendant
~3
tp.SPH.
un supplment;
autre
plusieurs
une du-
re enveloppant
plusieurs
n'a consfyv
L'ar.
actions.
du s<'ns ra-
.dical,
,dical,
que
que
l'ide
l'ide
d'une
d'une
chose
rduite
chose.rduite~
t~j&.8PHPH.
~4
y.
en poudre,
mdicament.
qte l'on
pfend comme
Le syr. StO. caractrise
de
toute
espce de Consommation,
rduction
en poudt~
par le <en.
de
~ae.
tM~MM.~ L'action
~SC
de s~coMM~r,
de tou8*<~?roe~~r,
cAer le seuil, de n'ccptw l'hospitalit.
/iroM&
pour
jet~r
dsordt-e
tout ce qui est tt~tc~MK/, aMe~acMM.f,
tout ce qui se
~d~fH~a~<,
/o~;
se <oM~e,
fo~OMirw,
une
prend
autre direct!on;
se co/T?~
etc. V.
~D.
wD.
en hbreu.
mme
en
SSH.
L'arabe
S(N~t
inusH~e
Racine
aihst
~)r~~
Le ~martta;n
&C. indiquent
syriaque
iment
d'vasMn,
h-
su
tth
que te
mou'~
de germi-
da sortie,
n~ti<Mi.
R. onomatope
de frapper.
Xw est une
L'ar.
qui dsigne
l'action
pas
la
possder
STH.
Toute
espce
mutuelle
d'enveloppe
toute
es-
et sympathique,
de voile
et d'obscurit,
pce
les
l'arabe
du
parties
doivent
se voiler.
indique
humain
corps
L'h-
qui
ainsi que le chaldaique
breu,
*)nD,
caractrise
saison obscure
o
l'hiver,
la nature'
est couverte
d'un
voile.
T<D.
SU.
Le signe circonfrenciel,
celui du mou~ment
propre,
joint
constitue
uhR.
d'o~ Accoulent
toates
d'audace,
de retour,
d'educatioa,dedirectiomiouvel!e,etc.
L'ar. ~.wO'Hre, en gnral,
radical
caractre
que
l'hbreu;
diffrent
tout
ce qui
sort
Ce caractre
doit tre
considr
sous le double
de
rapport
Suivant
son
voyelle et de consonne.
l'inil reprsente
vocale,
acception
y.
U. fi. W6.
trieur
devient
le m~nM
niais
assez
dveloppemens
Le verbe M signiue en
sensiblement.
se
c'est-a'dhe,
particulier,
se J~r/
srieuses.
dtourner
des occupations
Tout ce
10 et IID.
&o~J
~'&
~'acqui est c~or~oM/~,
ses
~'rc;
parait
en hbreu.
nouptus.
Voyez
tD.
Ractneiuusitc
ne
MD.
pD.
u.a.wn.
de sa sphre
de
l'oreille
de l'homme,
et
condes bruits
le symbole
fus, sourds,
inapprciables
et sans harmonie.
profonds
des sons
son acception
consonnaute,
tient la touche gutturale,
il appar
et repr-
sente
sous
Suivant
la cavit de la poitrine.
Employ
comme
l'un et l'autre
rapport,
il est en gnral
grammatical,
du sens matriel,
image du vide
de voyelle,
et du nant. En qualit
signe
celui
~.HA.
dans
c'estle signe*),considre
-UD.
ses
En
physiques
purement
c'est te signe de
qualit de consonne,
tout ce qui est courbe,
faux, pervers
et mauvais.
relations
Son nombre
arithmtique
est yo.
au
tant
agissante,
gur.
L'ar.
physique.
des RR. ?*
H. est l'analogue
qu'on peut voir.
J'y.
runi
Cette
A. La ralit
et ty,
et de
symbole de tout desir apptant
toute fructification,
une raconstitue
cine qui, dans le style hiroglyphique,
le centre matriel;
caractrise
c'est,
dans un sens moins gnra!,
tout ce
qui se condense,
lourd et tnbreux.
s'paissit,
devient
charproprement
et l'on entend
par
.M~&t, CM~r en
de <~M~
d'o~<'Mr<
M~ MMO~, une ~MHAM va~<'My; un ais, un madrier.
de se condenser,
de
3~y. L'action
s'~atM~
ide
de devenir
~a~ct~
HK~-
~eM~, sombr,
c'~M:</M~;etc
Voyez
3tH dont 3iy est la dgnrescence
et le renforcement.
RG. Toute
deaii,
mente
de teu
espce
d'ardeur,
de
vhthent,
qui s'augde ptus en ptus; toute <~ha!cur
propre
S-
qu'au
R. onomatope
et
uu bruit,
idiomatique
qui caractrise
le mugissement
des vents et
violent;
des
est
flots.
une
d'une
aussi,
le bruit
peint
nire
~y.
~5
ma-
onomatopique,
que
fait l'eau quand elle est avale ou en*
gloutie.
~y.
l'action
qui
c'est
restreint,
et tout ce
de cuire au four,
a t expos la chaleur
d'un
un
Dans
sens
~ycrardent,M~(,MM,
etc.
unefouace,,
sensibles,
temporelles,
sitoires.
C'est, dans le style
et transymbo-
monde,
lesvoluptsdu
lique etngur,
les plaisirs
sensuels,
par opposition
aux plaisirs spirituels
c'est, dans un
sens
plus
restreint,
toute
borne,
toutretourpriodique;
et constante,
dure mesure,
lant sur elle-mme.
priode
toute
circu-
L'ar.
ral
se rapporte,
en gnJ~,qui
si
au sens radical de l'hbreu,
/<o/
gniue, en pat'ticuiier,<w~~
etc. On entend par
brer,
~~M<<
le muf. c~, le t~mps qui aui!. le i.~mpt
actuel
<~tw.
96
~.D.
point
le temps,
exprime
<'<~v
dure
un
actuel
ou dans
temporelle,
de mme
que, encore
exprims
parHM'<M~MtM~,
tandis
lunrctourpriodiquecommeMR~MOi~;
une chose
constante,
certaine,
dont
on peut
~e~
palpable,
dre
de
de
ren-
dcoule
r.e
de
l'action
temps
celles
celle
de
~a/Mer,
de revenir
de l'ac<.M-
l'accumulation,
des
du
r/c/M-M~,
de l, l'action
de la
butin,
de d~oM~r~
se liant celles
proie;
or, ces dernires
ides,
des plaisirs sensibles
renfermes
dans
de /~M,
primitive
produisent
toutes
celles de fo/
de sensualit, de <M<CM, de &c<H~
de grce,
tfornernent
etc., etc.
l'ide
iy.
n~
est
sensible,
tombe
sous
sique.
forme
H EH, flOU.
en gnral;
les
leur
n'a
Tout
ce qui
ce qui
tout
la ralit
phyla
la courbure,
Leur
des choses.
La superficie,
extrieure
croissance,
triel.
L'ar.
sens
dveloppement
point
conserv
~c signifie
proprement
Toute ~~a'/oo,
!Tiy.
circonfrencielle
o~o~cr.
toute forme
toute
de
espce
de cc/if/e,
coK~Mn*,
d'wpc~MM,
toute chQse eoMca'u
cycle;
de
con-
une /)<
un sens ngur,
~n~ Htf'~Mf~, et l'tat d'tre
t'cr.o/t,
?ty.
etc.
de poser,
de revenir
priodifournit
l'ide de r~M~'M<~
yMM&~<M;
dveloppes
par ta R.
Ce n'est plus aujourd'hui
hbraque.
R. onomatope
un
qu'une
peignant
sentiment
de suffisance
et d'orgueil.
~~r/
constituer,
*T)y. L'action
quement
et de la certitude;
l'action
fournit
l'ide
sans cesse,
intellectuelles
<'c.x'< Dans
de r~/c/v~
et de la consistance:
la stabilit
l,
~<
A'MtOM.
(R.
*n~.
fournit
l'ide
ou
continu
de
un
~/M0~7M~
~ousn.
~y.
ma-
les ides
riger
~Mr.
MM'</M<yOM/l6< vicieux.
L'action
de se di~R.cow~
l'un
vers
l'autre
M~.
~jR.eo/K~
M~<Cirruption.
pour
L'action
se $OMde faire
~y. (~J.
Agir avec ~M*
co7K~
avec hypocrisie;
ou bien tre
~c~
un dais,
coM~c,'comme
MM~o~,
MM~M~~o~e,
~JR.
~y.
etc..Voy.
to/~p.~
la R. '?y.
L'action
de se
de cohabi-
corporellement,
joindre
ter. Voy. la R.
L'action
de ~'e~jR.con~o.J
M~.
en l'air, d'y
lever et de se soutenir
~o/cr; comme MM<?!~CM~ MMecAo~<!
un oiseau, etc. V.
~~MCM~c,
L'action
y~y. (R. co~
V. la R.
~o/~y;
d'<vMM'~
L'action
~JR.tW/
p~.
~~Mr.
Voy. la R. py.
L'action
~iy. R
co~
~'OMMcr~ d'c~c~er, de ~('</r<?
pe~CM/~ l'action
d'~M~M~M)~
etc. Voyez la R.
~y.
C2{. ecw~
L'action
laR.
CW.
de (Wt-
y~.
de coMde pasCMw~Md'<o!f<*M-
d'
f~y.60UT
de
de, composer,
ger,
semble.
V. la R.
en-
~M'/y~c
de comco~~o.~ L'action
un mouvement
muniquer
de perversion, de ~~fw~r.
Voyez la R. D~.
Tt
~.
HUZ
Toute
ide
ble et matric!)c,
tout
physique
de
corroboratif
ce
de force
sensi-
dmonstration
qui
est
robuste
en
une chose
gnral,
en
qui se r~M/b/'c~ en se doublant,
a elle-mme.
C'est
tort
s'ajoutant
corps dur, ~y~,
/c/7M~, /~f/<w~
comme
un rocher,
une pierre,
c'est toutcequijouitd'unc
forteresse
M/~c
comme
grande
vigueur
gnrative,
KM&OMC; tout ce qui est M~OMn'M~,
tout ce qui sert d~atc,
audacieux;
de ~OM/*
tout ce qui
de JoM6/Mi'<
corrobore,
<~c~M~,
encourage,
enen sOignant
s'loignant
trs-peu
tres-peu
-Y
du sens radical
a
cle la R. hbraque,
un grand
qui sont
dvcloppemns
l'hbreu.
Ainsi
nombre
de
trangers
caractrise
tout
la R.
'~c
cher,
"iTtUt'f.
Lj
Racine
samaritain
~\7
ia substance
t'uhfr
/f
T. t.
bois,
inusite
en hbreu.
indique
en gnraL
et en parti-
materieue,
l'ide
d'une
moyen
racine
Cette
dveloppe
vaincue
par un
rsistance
physique.
C'est une entaille,
t0y.
~~r<* iijtite
une cltanc'est un
une chose
et graver
~<,
MM~o~pon pour crire
c'est toute espce d'~HC/MOM, de trait,
de /<
L'ar.
Voyez Hty.
Jcp oftre le mme
On entend
par
sens
c.~
en parlant
des habits,
se gter
dans
vers; et par l?p plonger
que
s'M~r,
par les
l'eau.
des RR.
Hl. Cette R-cstl'analogue
l'exet ~y, dont
elle manifeste
~y
pression
physique.
une croissance
une
matriel;
C'est,
un
dveloppement
cunudation.
une
indique
L'ar..c
surcharge
et
M/Mfatigue,
travail,
en gnral,
-c
de
signifie
~M~M<?r.
L*ar.
L'ar.
acquis
RUT!
97
etc.
Voyez
pourtant
13*
rhhrcu.
auxihahc.
C'est,
~y.
6IPH.
tp~.
de fen(~JR.coM~
~L'action
'Q~.
de /oKJ/'c
sur
dre l'air avec rapidit,
au propre,
MM oichose
quelque
seau
de proie.
de !:),
midit.
tend
T'a 'nanticstation
Mw/~
(~7. Voyez la R.
'?~.
t'out ce qui tna<w/
~y.
corporelle,
file,
ce qui
force;
~'<Y~aw<'ravcc
desir, une vive sympathie;
Voyez la H. Qy.
la M~
tt~.
nitcstc
Tout
t'o/~J
Q~y.
a~~MM/r,
un violent
une chose
~c/M,
M~w~c,
tout ce qui
Vt'ycz
.r<7MCM~f,
la
/fw~t<M
?'~&<-
et
<<A'/
faute d'Iiu-
M.
IR.
98
Sy.UM.
J~ <~M~M~ matrielle;
sa pro.
son extension
exindfinie,
gression,
vers, deivers,
primes par les relations
commun
cause,
nonobstant,
~c~oM~
pour,
etc. Sa puissance
sa croisaggrgative,
sance par juxta-position
de
exprime
comme
*~y.
breu.
d'activit,
Me M?&,
une surveillance:
tlUH.
inusite
en h-
la composition
elle a le
sens de l'arabe <
qui caractrise
tout te qui retient
avec effort, tout
ce qui dvie, tout ce~ui
serre.
Dans un sens trs-restreint,
~c si~ni6e
Dans
tacher.
sallir,
Sy.
mme
par
cd~,
prs, proche,
en haut,
outre
viron,
la matire
sa force
ngur,
premire,
sa vgtation,
son dveextensive,
dans l'espace, son nergie
loppement
lmentaire
ce mme
dr sous
son
change
constitue,
au point
signe,
consi-
rapport
consonnant~
de la racine qu'il
l'expression
de ne lui
faire
reprsenter
que des ides de
de fraude,
de perversit.
crime,
L'ar. J~c a laiss perdre
presque
plus
toutes
les ides
intellectuelles
carac-
Dans un
trises
par la R. hbraque.
sens restreint
jLc, signifie se livrer
uu richemeht
s'amollir,
physique,
se rendre malade. On ens'eRmInr,
du
tend par le verhc Je la formation
grain
dans
la plante.
dessus,
au-dessus,
attenant,
etc.
en-
titue
con~y. Rl~L. Le signe matriel
sidr sous ~on rapport
vocal, tant
runi celui du mouvement
expanfse racine qui caract~if, compose
rise dans le style hiroglyphique
et
sur,
la
forme,
la facture,
fa~ale travail
des choses
rence ~M~
une ~~C/iCM~MM~un entassement;
etc.
ble,
Uy.
par
faux,
A~ocn~
la force qui
parties l'une veraFautre;
les fait graviter
vers la masse gnrale, qui les porte l'aggrgation,.
raccHmultton;~
doc~t la cause
jEnrce
la conton~tinh
est exprime
inconnue
Q~.&UM.
par les relations
eA<*z.
cpcc,
Dy. RUS.
ment
~M'~r~~M~nM,
mme
Terbe,
rendre
un
en gnral
le
jt~c prsente,
sens
Comme
que l'hbreu.
c'est l'action de gnraliser,
de
commun.
tat
mal-aise,
CCy
en
grand
Faction
On entend
pnible,
etc.
(R.
par
<TM~
une
M<eM~. Toute
nombre;
une
d'<~A<M~er
from.
l'anglais
L'action
de cord'o~CM~/r~
y~.
les ~opCM~,
d'ft/)or~r
d'~oaM~
moMc~r
l'action
nuages;
de/r~
de coA<&~cr ~nd'habiter,
corps,
l'ide
d'une
semble
corporation,
d'M~C troupe,
d'un corps,
d'un peud'KMC <~7M~
ple, d'une association,
en
f/~j6e,
source,
et~.
~y.
cation,
c'est
~et~jy.
~J.
M/<
un air ~neS~M~c,
une
un trou,
un
Un espace,
obsvapeur
etc.
MM~/OM&KW,
Voye~
~y
Racine
onomatope
exprimant
?y.
se
une forte
aspiration,
soit pour
pour
plaindre,
de l
Un
er~
une
gmir,
pour
une vo-
une ~&MeMr,
une
T~OFMc;
pression de poitrine,
crier;
vive
op-
~n~oM~c<Mcn~
.~M~e~~M~tant~uproprequ.'au
ngur.
cure,
MMMMa~e.
Ij'ar.p
signifie
en gnral,
~on~tomber
sous les sens, se montrer sous une forme matrielle.
Dans
abstrait,
etc.
attache
la maniride
De
'festation
des corps,
nat celle de7 ep~,
C'est
et de tout ce qui y a rapport.
une
dans
sens mtaphorique,
un
de toute inflexion,
superficie,
runie par contraction
au signe augon y voit facilement
une
mentatif
ihnxion
entire
si cette inflexion
est convexe, c'est un cercle., un globe;
toute
dsignativc,
par de, du,
yos
tudesque
de
yMM~/M<~
sens
le
.< 1
un
runion
de nx~MaM~r, de coMfy<r,
cocA~
d'o~cMWj&
entassant.
V. Q~
un
par
ou
rendue
~9
c'est
une
relation
i'Cprccntcc'en
franais
de la,
etpar~ite-
-D~
EUS
Cette
exprtmeraotion
avec tes pieds,
radne,
tpett
de presser,
ainsi que
usite,
de ~tu~er
tontes
tes
d~es
de ~~r,
too
yy. auH.
de ~/owMT;
et aussi
de MrcAer~<M~
"MUR.
celle de r~r,
.so//Jc,
etc.
forme
(&c~,
se <<<,
constante
sons une
parat
et dternunc.
Voy.
V~.
HUitt.
y~
L'ar.
toute
<Lc indique
et se replie.
plie
UPII.
*1y.
comme
eu hbreu.
Rac. inusite
Cette
chose
qui
racine,
du sens
int-
d'autre
ide que
n'onr~Doint
et de tnbres;
mais
celle d'obscurit
onoson plus grand
usage est comme
rieure,
les mouvcpour
peindre
matope,
mens
faciles,
agiles
~Mgcrs, vtoces.
Le ch.
proprement
!?1S~ signiCe
le faire brsouffler
le feu; rallumer,
et Far.
sans doute
ler
partant
~p,
l'tat de tout
de cette ide, tiaractrise
ce qui a pass
au feu, qui est pur,
sans
qui
taches,
s'abstient
!W.
vole
Vy.
ouerte
vices,
de tout mal,
onoTM.~
ou
s'~a/td~
tout ce qui
etc.
V.
HUTZ.
innocent,
etc.
Tout
~.K*
/(~?,
l'air;
sans
ce qui
s'OM~
plane,
et
n~.
La matire
8'dans
dtermine,
g~MM
le bois,
la facult
dans
tout
ce qui
racine
de point
roide,
est renforce
d'apvalide.
par
elle
gutturate
dans ,~p,
tout
ce
s'applique
qui est oppressif
tout ce qui motestc,
de sa nature;
dans
un
sens
c'est
vexe,
mystine
restreint,
d~Mjf/o~,
entend
par
et
par .e~-P,
l'action
de <'<?M~r K~e Met de </oHM~~Ao<~M~
On
xu?,
celle
HUH.
p*
tion
de yMon~,
Faction
de rendre
<~r<
ide de condensa-
Toute
de contraction
sur soiextrme,
de durcissement,
et au Bgm,
mme,
V.
p~y.
ap caractrise
l'ide
de tout
l'onde
fait
en
d'exis-
de la
physique
nn sens trf~-rfstfwint,
un or&re.
cette
tope,
aC exprime
le bruit
corbeau,
etc.
se brisant,
quelconque.
Dans le style hiroglyphique,
en gnral;
la substance
dans le style
propre
ou jBgur, la substance
~~e~
et
ce qui sert
ce qui est solide,
tout
I~ar.
tence
&
c'est
d'angoisse.
sc~K&7wM~ #
un mode
Dans
Lorsque
rinnexion
la
leur origine
radichoses,
un
sens moins
tendu,
cale.
pui,
considre
un compos
du signe
runi
celuidel'activit
matriel,
se
en gnral,
caractrise,
I.'ar.c
racine
des
~-
se con.
Cette
MUR.
R. doit
tre
distin-
avec soin
sous deux rapports
gue
diffrens.
Sous le premier,
c'est la R.
de la rcattt
et
ty,
image
physique
symbole
chn'M"1
yement
de
la forme
des
extrieure
<m!
S, d'! 'mfuJL se r~mt <
sous le second,
propre
~.RUB.
le signe du
contraction
c'est
par
de la lumire,
contraste
sens
matriel
la R.
image
avec elle un
et formant
de
parfait
runi
premire-
ment
en gnrt
J~ passion,
Mt/<'r/?c,
?~~<?H/<
~y.
orf/fw
MM~
~~c<'7t/r~M<'W<*M/ //?V~M/~&/C
un
taille,
Mn dsordre;
!w<* /Mr<?Mr,
tant au propre
M?c~/<?M~
gure. Secondement
KM /<'K
uquau
Un
Mne ~~<'a!oc<?~/cyHcn/,
de /MFM~r<* ou J M/e/~<tcc,
K/~
au propre
ngur;
qu'au
sous
MM <~M~MC~<~
M&(J/<<,
iy.
t~o~
tant
~n~fMC
tous
les rapports
M~e M~possibles;
et morale.
<y/& MM<?~&'W7<~ physique
la /~<'OM nue,
Dans un sens restreint,
un
la terre
aride
et M~M verdure
~Mf~Y.
L'ar. n'a conserve
ides intellectuelles
des
presqu'aucunc
dveloppes
on
par la R. hbraque.
Cependant
le sens primitif
de cette R.
reconnat
mojusque dans ridime
importante
o
derne,
honorer,
dures
hausse
faire
l'on
entend
co/~wwcr,
et
par
j;,
apparence,
etc.
illusion;
~y.
degr
~t.
M/Mj
d'effervescence
par
~P, <&
eforcouvrir
cine
primitive
deux
rapports
vertible
<<n
nuTti.
ny.
confondant
ses
~y,
au moyen
du S. con-
prsente
mixtes.
une
foule
d'ex-
C'est
faction
d'
pressions
Faction
tV/Mfr, d'~c~r,
de~~c~cr;
de se <~ooM</A*r, de
~r<'<'r, de se
w<?/<* MK<F; Faction
de ?'<X?r,
de
l'action
de ~rJ~
~Mn'<A'r~
dcn-
liy et i~.
IUSn.
mation
Toute
ide
par aggrcgation
de
confor-
de parties,
ou
par suited'nn
mouvctnent~inte!ligcnt,
d'une
d'un plan form
combinaison,
d'avance
dans
la volont
de l,
7Mea?M<<
~y.
MMfCOW~R~OM,
une cration,
MM//Yit(~
MH~<0/t,
MMe chose;
l'action
de
quelconque,
/<Mr<?, en gnrat.
Voyez ~W.
L'ar.
s'est loign
du sens
j~c
formation
dical, et au lieu d'une
gnral,
formation
s'est
restreint
& dsigner
racn
une
en
comme
particulier,
celle d'un
d'un
nid,
vt'tctnent.etc.
On entend
faire une fraude,
par j&p
une falsification
Assimusimu!er,
1er, etc.
Le
1*
lUTt.
Ce qui prend
toutes
n'a qu'une
existence
les
la privatioh
la plus comreformes,
qui
de quelque
chose que ce soit.
lative,
par sympathie,
plette
qui s'inuchit
Le nrbL'action
cl'enflammer
raction,
par rciprocit.
liy.
du~Nt. ~nar
des passions,
et de priver
sens matriel,
cestdQ~&i~
~~W~du
7c<MtHM;
t
'y
~MOMC/< CM l'on
mire
et
mor.Je.
~M<, exphysique
n-oirei.te
]~~a
ra~ !~<t~t~
passions;
xoa
a.
P. PH.
PHOUG.
adverbiales,
prim par les relayons
M<HM~KM/,
O~t WCOM/M~M~
<~C,
Jonc~ etc.
L'ar. c~p signine proprement
ronce qui est un
M~cr, J~<&~r/
~r,
rsultat
du sens radicalqui
s'est perdu.
On entend
par <<~c ou ti~P, tout ce
comme
alarme
K~~OKC/,
M~e /y*M/~
Ce caractre
qualit
biale
distinctes
en
appartient,
la touche
la-
articulations
P, il se
par la premire
lie au caractre
3 ou B, dont il n'est
que le renforcement
par la seconde
dePH, il se lie avec le caractre
et prononc
venu consonne,
Comme image symbolique,
sente la bouche
de l'homme,
peint le plus bel attribut,
ses penses.
signe
ou F.
il reprdont il
celui
comme
Employ
il est celui de la
grammatical,
et de tout ce qui y a rapport.
parole,
L'hbreu
ne l'emploie
point comme
mais
tout prouve
article
qu'une
l'emdes gyptiens
grande
partie
et le confonployait en cette qualit,
dait ainsi avec son analogue
2, par
une affectation
de proparticulire
nonciation.
aussi qu'un cerPeut-tre
tain
dialecte
Son nombre
est 80.
arithmtique
PHA.
de consonne,
et possde
deux
rendre
de mots, o il est
grande quantit
rest tel, ainsi que je le remarquerai
dans mes notes.
l'admettait
la tte des
avec
ce qu'on
emphase,
fait
remar-
qer.
En arabe, cette R. dploie sa force
la bouche, et dans ~orZcr.
dans .9,
Le verbe (~caractrise
proprement
Ttat de tout
se sce qui s'ouvre,
comme la bouche.
pare,
IKB.
(R.
d'orfMMMM<,
Voy. l R.
fl;N.
PHB.
de
~o~,
de
espce
plines.
Racineinusiteenhbren.
Elle ne parait
~S.
Toute
eow~
pas exister
en arabe.
PHCr. Tdtttce
qui divague,
et sa chaleur.
L'r.
comme article
nna
~.PHP.
~9
de
Jj
magnifique,
arrogant.
gnreux,
se trouve
Le sens de la R. hbraque
dans !e compos
qui signi~e proprement
<M/(?7TCy.
PH.E~. Cette racine est l'analogue de la R. KS; mais eUe sert plus
dsien hbreu
particulirement
HS.
la
avec emphase
gner
l'on veut distinguer
chose
dans
que
u~i temps,
~a-nt~MC,
dans
comme
une bouche;
chose,
tout ce qui suit un mode,
un cours,
comme la parole.
L'ar.
sens
offre, en gnral,
que l'hbreu.
*B.
PHCU.
des racines
pression
Cette
J~
se rapproche
J~.Voy.IaR.~
ptS ~ac.
mouvoir
d'un
de se
L'actton
co~J.
alternatif
mouvement
Voyez la R. {?&.
11B ~~c
c<WM?.~ To~t ce qui
<
&~Ms au dehors,
~o~ia~. Voy.
laR.ia.
'~B. Tout ce qui se n~MMj avec
qui inonde
abondance,
la R. '~B
l'espace.
V oy.
-PHZ. Toutcequijettedesniats,
des lueurs,
des rayons
qui se reQtte
vivement:
de l,
le plus ~Mr;
/OM la
plus vive; ~~M /0pa'~c.
caractrise
le mouvement
L'ar.
de tout ce qui s'lve vivement,
reetc.
saute, se dmne,
jaillit,
~B.
Zor
~!S. L'action
dans le cot.
d'mettre
l'analogue
mais son ex-
PH. Toute
~<;del~
!1!1S' Toute
d'<K~MMM<?~~
nement.
Var.
L'action
le ~cr~MC,
davantage
de
peindre le soufue
l'onomatope,
pour
qui sort de la bouche.
ne s'loigne
L'ar.
dical de l'hbreu.
n*)S- ~R ep~
V, la R. HS*
L'ac~ton de s'co~
de se disperser,
de se~M-
le mme
R. est
et f1S
V.aR.
ytS'
~n<
d'~H~.
~S.
Dans
HB
L'action
comp.)
~S
o3
pnaE~.
ide'd~/MMM~&'oM~
d~a!<, de ~OM~e~-
-j constitue
et
de ~OM~ matope
toute espce
une
idiomatique,
de sifHement
racine
ono-
qui peint
de la voix
~B. PHL.
pnou.
nia.
O~t
de ronflement,
de rle. Lorsque
de respiration
forte,
cette H. se renforce
dans
e!!e
~t~<;
MM~~C.
L'action
d'aspirer
signifie
un
proprement
et d'c~
Hia.
l'action
de respirer,
de ~OM~fr;
rer
sa vode cowwM~M'yMfr
d w~Mipy,
ient,
de~oHt~v~r.
~iB
en
il dveloppe
caractrisant
Un M//A*wc/~
c<w~J
~tMt/K~~ un trou.
PUT.
eSbrt,
donne
Une
ouverture
une dilation,
faite
proprement
sauter.
De
et i?3, s'c&~r,
~M~cr;
mot se
ce dernier
qui caracfbrme-c9
tout ce qui agit brusquement,
trise
etc.
avec cruaut,
~B.
L'action
au
de
&<~Mcr;
t~y~ de bavarder,
d'ouvrir
la bouche,
l'action
de
figur
de clabauder,
dedans.
Comme
la partie
obscure
et comme
verbe,
etc,
est l'analogue
des deux R. KB et ~!S mais son exa quelque
chose de plus mapression
nifeste.
;T~j CT~ ~c;
l'orifice de quelque
chose;
PHI.
Cette Racine
une partie
un discours,
~&
un ~tt'
L'ar.
un
tninente,
et particulirement
s'loigne
surface
des
abstrative-
conue
franais
par
en, dans,
elle dsigne
nom,
du corps
F~MM~ic;
elle signifie
obscur-
07M&~r.
1~5
~afC.
MM dsastre.
(R.
Une
comp.)
comp.)
an-
de la R. hbra-
PH~H.
~3.
nat
Toute
d'une
dense
vapeur
une
mtaphore,
L'ar.
J~
La
~T<
suie.
distillation
subitement
et
Jcs~
goutte
une ZeM/tMc.
signifie
qui
conpar
proprement
se
dissoudre.
~3.
Le signe
contraction
PHL.
ici par
de
bole
toute
emphatique,
runi
la R. *?H, symconstitue
lvation,
toutes
les
qui dveloppe
de privilge,
ides de distinction,
de
de choix,
de mise part
d'lection,
une
~S.
tout
avec
une prorogation
chose.
quelque
L'arabe
<9
signifie
physique.
ce qui est in-
en
se reprsente
ment,
les relations
adverbiales,
tTi5.
T39.
cot
du
et oppos
La R.
j,
trieur,
choses.
CM*,
nnSun
de
MM~&
de cAo~
de A~r!p/<
~OM~p,
ide
Toute
comp.)
ra,
racine
de l,
7S
~c
chose
admirable,
MM~~f~.
proprement,
L'ar.
J~ n'a point conserv
les
ides
PHLL.
~?S
mondes
Cette
l'hbreu.
par
dveloppes
racine en inclinant
vers le sens
exprimer
s est borne
ce
physique,
tir d'une auextrait,
qui est spar,
tre chose;
ce qui est divis en,parties
distinctes.
Dans
l'iditce
moderne
JL? signiue
proprementj~/fr.
De l'ide
~jR-w/J
~3
et de magistrat,
nat
/M'/MM et de puissance:
de juger les autres,
/K'c~ de gouverner,
celle
de noble
mens
de J<WM~
plutt
moral,
de l, Faction
de rendre
&/M~etc.
PHM.
R.
inusite
en
LecualdaqueO*~
signifie la bouche;
et Far.
a exactement
le mme sens.
Comme
cuire
on
verbe,
entend
par
en gnaux mu-
le ~<MM, ou apprter;
~out ce qui se rapporte
ral~
nitions
d'abord
la vue
toute
effraye:
de conversion
prsence,
se prce qui
tout
tonne,
frappe,
ide
vers
un
de
ob-
l'action
par
sa
son front,
ou serein,
de
tourner
les relations
~<H'~<m~
gw~
~c~cMr~Me/etc.
par son aspect
T. I.
ou
d~pan~
irrite:
exprime
aM-<~MM~
etc. L'action
face,
dduite
de la tace
de
les choses,
que prsentent
manire
d'tre
l'idiome
ext-
phnomnique
a tir les ides secon-
arabe
daires
de complication,
et de complide mlange
et de mlanger,
quer
de varit
et de varier;
de spcincstion
et de spcifier;
de classification
s'est
de la mme
servi
dsigner
un art
conque,
des arts
cause
examiner
et
les
des
racine
pour
ou une science
que c'est au
sciences
qu'on
et qu'on
choses,
leurs
sous toutes
quelmoyen
clas: e
peut
faces.
les
air
la face,
o~a/~pM~
/OKyv<e/* la
de faire
de mme par
sa
yMMC, son
clment
on l'a pu remarquer,
eu
des autres raeines.~Ainsi,
del'i-
toutes
jet,d'envisagement,d'observation,etc.
d'une
personne,
~B. L'aspect
~M~,
triste
comme
en
et de classer~ensorte
que venant
en gnral,
suite aconsidrer
ce qu'on
considr
en particulier,
avait
on
de bouche.
PHN. Lafacedequoiquecesoit,
t3.
le devant
d'une chose,
ce qui
sente
ont t diffrens
vers. le physique
gnral,
de primitive
leur
hbreu.
j(~
ian <M<
HH n<&M, une /OMr~ etc.
Tout ce qui cause du trouble,
de 1~sitation.
Voyez ?')S.
L'ar.
tient
videmment
la
mme ide primitive
la
qui a produit
mais, quoiquepartant
rac. hbraque;
du mme
ses dveloppcprincipe,
rieure
M.
pus.
PS.
exprime
non/
ne pas!
tout ce qui en impose
Kn chef,.
un prince,.
totalit
d'une
qu'une
ou de la
chose.
unc
une face,
!7MC~7~<
de metphase. L'action de dirninuer,
t
tre en parties.
03.
Lar.?
stgulue
~~M-
prupieumut
c~
0
io6
yj3.
PHUjS. Racine
~3.
PHROU.
PHUi).
onomatope
qui
par un animal de
~A~
Toute espce
(Rac.
comp.)
V. ~y.
d'a?Mc/ic, d'action.
Toute espce
(Bac.
coF~J
O~S
de ~tOMt~Me~,
d'impuld'o~&~OK,
V. Qy.
les pieds.
sion
proprement,
Toute
comp.)
WJ5. (Bac.
d'o&ya~K)~
d'augure,
~M~M V tS
espce
Toute
de desserrement,
en libert. Voyez
ide de diStision,
de sortie,
de mise
'~3.
le mme sens en
prsente
Dans un sens restreint,
gnra!.
~~MC~er~
sceau.
signifie
~O~rC
PHCQ. Tout
p3.
se ferme,
se meut
et.
intermittent,
teur, etc.
dcacheter,
ce qui s'ouvre
et
d'un mouvement
va et vient;
alternatif,
inquisiteur,
explora-
de <j'e~
et ppS.
l'autre,
de
d'aller et
~CM~
~o et l,
d'obstruer,
etc. Voyez
o&~ac~
de~s~rc
Mg.
etc.
<Ft&
~<?/M.~ L'action
ouvrir,
(R.
propre
remintmou-
une R.
1, constitue
toutes les ides de fruc-
qui dveloppe
de production,
tification,
tion lmentaire.
de phno-
Toute espce de
co~K~
iyS
l'action
d&~K-MOM, de ~~c~~M/;
de dpouiller,
de mettre
de priver,
MMJ, etc. V.
L'ar.
endroit
)S.
~B
d'acte,
PHTZ.
l'action
d'un
caractrise
teurs.
V 3.
de passer
se porter
*~S. !~?/?n3g~MfMr~
de gnraMK~O~M~
ani'
quelque
quelconque;
MM~~de
mal que ce soit, et particulirement
de la vache. Tout ce qui est fertile
fcond,
L'ar.
productif.
s'tant
attach
mentdveopperdans
~J3, l'ide qui avait
d'un animal,
tris faction
qui
principate*
!aR.
hbr&que
au petit
rapport
faible et timide, a carac-
fait
deproduire,
de~o~
&n
n~S. ToutcequiM~c~qui~'TTM~
le germe,
~s~Kr.
au figur, M~
~e/h<
qui pullule
~jS.
une C07MCyM~/M'<?.
ou ~IjS' Racine
onomatope
bruit que fait une chose
qui peint.le
eu feudant
l'air, ou le frappant
avec
un mouvement
violent.
't1S
>
PHRt:H.
MX
TZA.
t<~
Tout mouvement
*3~S- ~JRco~~
brusque,
qui fracasse,
qui froisse.
Q~B. ~J~.coM~
C/Men~~Mn*avec
effort.
toute
D~S
f~ co~Mp.~Toutcequi&M;
tout
ce qui
d~Mc
en brisant
ouverture
retendue
l'espace
de l 1
ftS.
en gnral,
ou M
en particulier
L'espace,
espace quelconque,
tout ce qui est indiffrent
eu
~0/M~<?~.
de &~
L'action
V*\5. ~7!. eo?~
ser en mille morceaux,
de mettre ~M
L'ar.
conserve
<3
radical
le sens
~OK<
de Fhbreu,
\~tS'
(R. comp.)
de ~M~Mer,
perser,
L'action
de dis-
de manifester,
l'action
de piquer:
par
un ~~M~Mr,
un cuyer.
d'exposer;
Tataphore,
S.
PHSH.
Toute
ide
d'orgueil,
Ce
TZ,
L'ar.
image
syle de l'homme,
tend. C'est le signe
rapportant
de
scission,
si Fon considre
plac
mme
la vessie, le sens de
et si i'om coBaid~re
le
d~M~ey;
vent qui sort, le sens de faire une
chose avec vivacit,
avec arrogance,
avec emportement,
~3
MfTH
de
~acUit
pntrer,
Totte
etc.
ide
& s'tetKtfe,
s'ouvrir;
toute
se
Comme
il reprsente
et le terme
symbolique,
final
sif-
onomoyen
qui ont des
les objets
avec l'air et le vent.
rapports
en
appartient,
la touche
tous
1) matope,
de vanit,
d'extravagance,
d'enflure,
tant au propre
qu'au figur. Tout ce
s~eM~De~ se mettre
qui cherche
en vidence. V. ~5
caractre
de consonne,
et sint,
comme
qualit
flante,
~9.
d-
l'ail
oit
et terminatif,
toutes
les
ides
de solution,
terme,
au
commencement
de
de
des
but.
Plac
mots,
le mouvement
qui
indique
il est le signe;
vers le termedont
le term~
la fin,
il marque
porte
Son
il
o il a tendu.
nombre
est f)o.
arithmtique
de dilatation,
& se laisser
d~is~bHtt,
mites
matepieHea,
rompt
les e~n'aves
0.
~8
~Qf.
des
vient,
corps,
dehors.
TZAN.
TZEHL.
~X.
nat
pousse,
au
astres,
l'harmonie
mouvemens.
qui
en rGIe
les
1/ar.
Une pousse,
~R; co?~
t~S.
une porte; une /MO~~ un troupeau;
dans un sens tendu,
une ~CM/~
productrice.
K'f- Racine
onomatope
exprimant un mouvement
de dgot et de
la vue d'un
repoussement
et ftide.
TZB.
de foule;
sale
Toute
ide
de M~f<c, d'o&
de concours,
tout
<A~
ce qui
en gnral,
caractrise,
coule la manire
des
tout ce qui
fluides
et par mtaphore
suit un penchant
dtermin
qui
obit un entranement.
On entend
toute espce
d'manation
par <
tout ce qui tient,
en gnra!,
tout
ce qui
rsulte
d'une
autre
chose.
Dans un sens trs-restreint,
si<
gnifie
un renard.
Une arme,
une ordonnance
7M~<H7'c, M/ orJrc gnral
observ
la discipar une foule d'individus,
/?/M<~
renom.
TZG.
de l, /AoKM<?M~ ~b/
Par mtaphore;,
/'c/w~
le
des
inusite
Racine
L'hthiopique
L'arabe
publier.
en hbreu.
~og~)
signifie
le bruit
.~9 indique
le fer en heurtant
le fer. On
que fait
entend
par
murmurer.
TZD.
).t.
faire
~O,
Tout
articcicux,
adverse,
objet
~St.
ce qui
double,
trompeur,
t~c prsente,
un
tumulte;
est insidieux,
rus,
sducteur.
oppos,
le
en gnral,
mme sens que l'hbreu;
c'est ~-dire
ide d'opposition
et de dfense.
toute
t~b exprime
l'tat d'tre en querelle,
L'ar.
de vivre
en dispute.
Dans un sens
Z~ cdt;
treint,
dans
trs-respropre
un sens tendu
et
une opposition
cacA~,
figur,
un ~a~.
~~MM&<? un 0'7~!c6~
de tendre <o~~
'D~. L'action
de chasser,
oiseaux;
H3?.
de pcher,
d'r
l'action
de ~iMM~n
TZEH.
Racine
qui
dis-
caractrise
les
analogue
les mmes
racine
l'action
la R
ides.
onomatode celui
elle se reprsente
silence;
qui impose
en franais
inter~ecpar ls relations
tives
en se
c~M~/ Cette
racine,
renforant
sign
~'0~
la finale
proprement
dans
le silence.
~JK. cow/?.~
jH<i!
<~?, a d-
M~.TZT.
TZEHR.
~nX
M!~OM /M7M~
CO~J
MeM.r; l'clat du MM~. V. la R. ~X
1MX'
Tout
prime,
compacte,
V. la R. IX.
forme,
(~
Cette R.trs-impo
tnte,
caractrise
toute espce de ligne traest le
ce vers un but, dont le signe
Elle dveloppe
toute ide
symbole.
de dide commandement,
d'ordre,
IX.
TZOU.
rection
imprime
par un premier
mo-
bile.
s'est beaucoup
loign du
L'ar.
sens radical de l'hbreu,
dont il n'a
retenu
que quelques
dveloppemens
o~
ce qui comcon/b~MC.
Mettre
TGf. ~R. comp.)
incendier.
Voyez la R.
72?
TZZ. Racine
et que l'arabe
sder.
Comme
ractrise
inusite
mme
l'tat
en hbreu,
ne parat
racine
ca'y~
ayant la
mettre
que
serre, ne peut
des sons inarticuls.
C'est,
ronger son frein.
R. onomatope,
~~<? peint
tissement
de la voix.
m?.
~OM~
~OM!.
~JR. co~M~ Une chose qui se
au loin, comme
un bruit,
propage
une profondeur,
au propre
et au fi7*
gur.
V. la R.
Q~.
~JR. comp.)
mchoire
au figur,
le reten-
comp.)
pas pos-
onomatope
de celui qui,
~JS.
~~M,
.7<?~Mer. Voy.
la
TZ6.
expos aux
qui est clair,
rayonnant.
L'ar.
en gnral, le mme
~c offre,
sens que la R. hbMque,
et y ajoute
de dveloppemens
du ct
beaucoup
moral.
C'est
dans
l'idime
arabe,
l'-
tat de tout
R. S~.
coMtp.~
fM~
AOKJ~r.
Voy.
R.~3:.
yiS.
R
R. 't~
f~.
co~
~Mw.
Voy. la
la I3X.
]
breu.
]lionnn
<
doutable
TZT.
Racine
L'ar.
j~
inusite
en
daigner
parat
un adversaire
vigoureux,
hus
re-
to
~X. TXI.
~Sf. TZ!.
SIX. TZOUM.
aux ra.
analogue
cines HX et FtX mais qui dveloppe
les metnes ides avec plus d~intensit.
Racine
une sorte
par L~,
de libation,
d'manation
siguie
queus.
ou toute
clart,
mineuse.
une
~oj'7e/
tout
de
comme
K~
ac-
L'ar.
espce
lu-
du soleil,
t~.
(R.
comp.)
opposition
de la ruse. Voye% la R.
Racine
TZ~H.
L'ar.
~j~
pe qui peint
inusite
que
plattes
l'autre pour gruger
pi?rres
contre
en h-
quoi
que
du
Cette racine, compose
final runi au signe directif,
dont
chose
l'eS~t s'-
recelant
l'obscurit
del,
dant
ombre
projete
au loin
dans
obscure,
~espace;
toute/?ro/OM<~w
ce
ctont en ne cannait
pa~Ic~nd:
une ~oM~~A~M~aa~
par tntaphbre,
un
objet
quelconque,
tendu
vers le
un
videmment
au
que l'hbreu
outre le sens
racine,
primitif
ayant encore un sens onomaa reu des dveloppemens
topique,
Selon le prebeaucoup
plus tendus.
sens, le verbe jL~o caractrise
l'tat de tout ce qui noircit
en se
de tout ce qui imite la
corrompant,
de l'ombre,
de tout ce qui
noiyceur
etc.
s'tend,
gagne comme l'ombre,
Selon le second
sens, c'est un son
un cri qui invoque
du seprolonge
CS.
tend
vide
cette
<0~,
et obscur,
V. 7*)~.
ca~/vM.
tient
JL~
sens radical
MM
M/<
une prire,
etc. On entend par
indnniment,
JL~, ce qui se prolonge
etc.
qu~ s'gare, qui disparat
.3X. TZtj.
une
COMt~f~M~,
lieu profond
comme
cours,
ce ;soit.
signe
caractrise
ombre,
mier
Toute
dcoule
"~S?
breu.
mais
Tout
M~
qui
mme
proprement
d'effusion
et faisant
<~tM,
On entend
lotion,
haut
0~'
QQ~.
soif.
Un H<~MC?. MMC~6.
MM~Mjio~A?.' de
Ct~.
Z '(K'~M
MH
l,
t/CJ~MMt~
t
1X.TZR.
p~.TZN.
TZN. Tout ce dont le but est de
*H?.
de mettre en
de prserver,
conserver,
sret.
e~TM~M~ o l'on
Une
se ras-
un
pour se mettre l'abri;
une corbeille;
MMCurne,
bouclier,
une arme dfensive ou offensive quel-
etc.
une rancune.
concentre,
D2?.
inusite
ne parait
TZU6.
On entend
ides
en hbreu.
racine,
analogue
en y ajoutant
de la R. iy,
l'expression
particulire
matimage de tout dveloppement
de l,
riel
Toute espce de Mac~M~
d'~Mdtermin;
tomate,
ressorts
de cette der*
en partant
nire
Faction
de
ide,
dveloppe
~MC~/ic en ordre,
de co*
d'arranger,
etc. On entend
d'instruire,
mettre
~M~Mensemble,
par
~r.
L'action
MX.
&K
/'ca!M,
de cot<
de y~
de ~MK'?~
de ~M~tO-
est sordide,
pas la possder.
Cette
racines
les mmes
but
~o,
constante.
avare.
L'arabe
aux
de ce qui
l'tat
TZS. Racine
~3?.
pente
ordonner,
tout ce qui
caractrise
,u~
et sent
s'chaufe
tant ren&rm,
mauvais
c'est, au ngur, une colre
par
tenace,
une
L'ar.
semble
conque,
L'ar.
111
de
tout
chose
agissant
par
ce qui est x'o~Ma~
des
TZTZ.
V3?.
breu.
Racine
semble
L'ar.
oiseaux,
TZCQ. Tout
soudaine.
p3?.
meur
en
inusite
h<
e
exprimer
par un bruit
bruit,
toute
cla-
L'ar.
un claquement
exprime
Dans ridime
de ~a~.
moderne,
un consentement
donn
a~ indique
de main,
un e~g~par une poigne
un &<M~.
gement,
<r-
etc.
Mf~o/K, eoMrwM<e~<
L'ar.
le mme
sen~
prseinte
radical que l'hbreu,
et caractrise,
en particulier,
tout ce qui est soulche,.etc.
ple, flasque,
dgingand,
Comme R. onomatope,
le
<~? peint
et l'on entend
silence;
par le verbe
l'action de rduire
Fgalit ce
<
qui veut s'en carter.
tN.
TZR.
Si l'on considre
cette
ra-
cine comme
du signe nn,
compose
runi par contraction
la racine lmentaire
~M, on en voit sortir toutes
de forme,
de
les ides univcrseUes,
formation,
de coordination,
de configuration
paetion,
taire
mais si on la considre
le fruit
de la reunion
de come!emencomme
du mcjtue st~nC
ttt
~X.
final
celui
TZOUR.
du
mouvement
ive
treinte,
et osseuses
propre,
que l'ide d'une
d'une
oppression,
on M v apperoitplus
d'une
qui ta Uenta
~<7<'M~ d'un
extrme.
comprcssiou
De !a, premirement:
~S?.
sou
artificielle,
modle
un
et leur
toute
limitation
TZStL
les ~o~</s
ia uturaitte
d'une
porte, i
A'~ WH~M
~Kc A~o/~
roi;
Racine
etc.
inusite
en h-
brcu.
O~f~
L'ethiopique
tout
ce qui est
prime
et contrefait.
ex-
~OM.t~
tortu,
bancal
impulsion
don-
toute
cn~/on,
toute
M~c~c,
~<*OM,
toute ~~Mr<
tout
.'Faction
Jc~bw~r,
~c/~M~M're
d~ nod~A'r, Jc~Mde co~/or~<*r~
etc.
dc~~J/ie,
Secondement
R.Q.
p.
m?.
TZTt.
ne vers
ment
*Y~. Toute
co/M~rf.MKM par
fet d'un
mouvement
extrieur
l'ef-
qui
lmen-
ntcme
T)~.
tout
but,
commu:nqu6;
l'arabe
<~<~?.
prime
le
Tc~tte
ainsi
L~< Mc~M</<e,
mouve-
l'ex-
que
l'actton
d'M-
cendier.
commun
point
slreinl,
oblige,
force,
serre
sde,
assige,
K.Q. Ce caractre
vers p.
appartient,
tout ce qui a&- qualit
de consonne,
la touche
turale.
obComme
oppresse,
image symbolique,
en
gutil
tout
tout t
une arme tranchante,
reprsente
l'homme,
le
ce qui sert d'instrument
fait effort pour lui. On a dj
dfend,
avant
moi,
que presque
remarqu
rcr,
resserrer,
~r,
ew~a~M~r,
l'action
agit
~h~,
un
?'<o/</;
un COMCMm*/<, un ~a/;
~<'
adversaire
~o~M<?~/
un fWM~M,
par
d'offenser,
entorlilnouer,
etc; et l'on entend
lier,
de nuire,
de blesser,
etc.
Tout
IM~.YjR.
cornp.)
tient aux formes
corporelles
uu sens
~X.
ce
qui
dans
restreint,
le ~
Tout ce qui sert de lien
les
les ligatures
musculcuscs
tous
les mots
celui
compressif
et tranchant;
signe
ou rpride la force
agglomrante
C'est le caractre
entiremante.
car voici
la promatrialis;
des signes
voM, principe
gression
cal, signe de la vie absolue: n, prinde l'existence
cipe aspiratif,
signe
ment
lmentaire:
Jt, principe
guttural,
M?. KA.
tisne
organique
renforce,
ptus
assimile,
~,mcme
de
signe
aux
tenant
fermes
scuies
est retrancha
de la, l'ide
d'un prince,
d'un magistrat,
de tout homme
ou de
toute
chose
une ligne de
qui opre
dmarcation.
encore
le
<~9 dsigne
est roo.
arithmtique
son
principal
la tonique
CA
~p.
R. analogue
KA
ou
de
tp
QUA. Ceci
qui caractrise
est
qui
l'ex-
jt~t?.
Comme
toutes
racine
le croassement
L'action
de la R.
place
en renferme
primitive,
ceptions.
Utj peint
tient
les ac-
onomatope,.
du corbeau.
a t vomi
le t'o~M-
toute
une
propre,
Wt CMa/e
Mais
expurgation.
ca'co'ca/<bn;
C'est, au
an ngur,
MtO~~C/MM
une
soit;
Le point
le po!e~
vertical,
de quelque
chose
que ce
le pivot,
le mobile,
le point sur
lequel
L'ar.
primitif
tout
J~
tout
porte,
tient
roule.
videmment
de la R. hbraque,
d'autres
pourtant
C'est,
en
relle,
etc.
au sens
mais
d-
acceptions.
ligne de d-
une
gnral,
une fissure,
marcation,
une entaille;
la taille de quoi
c'est en particulier,
la proportion
que ce soit,
corpoDans
"~p.
tion d'~c~e~
un
la
sens
restreint,
l'ac
~e.
si l'Ott considre
ici la figure
contracte
avec la
p,
comme s'tant
R. J3~, alors la racine
~<? caractrise
tout objet capace
et contenant
toute
c'est, au propre,
espce de mesure
&< fM/pe, et au figur, MMMMMMM lieu.
L'ar.
KD.
)p.
le sommet
veloppe
RB. La R.
s'onomatope~,
3p.
tant runie par con traction
au signe de
l'activit
toute
intrieure
3, exprime
rejection,
KG. Racine
inusite
en hbreu
~p.
Il ne parat pas qu'elle
existe en arabe.
de vomir.
Ce qui
K~.
~eweM<.
du systme
de musique,
du mode. V. la R. EH.
la
R. onomatope,
pi~'ssonduS.Comtte
c'est un effort convulsif
et violent
un
vomissement.
L'ar.
n3
tailler.
Elle caractrise
couper,
pour
eu gnrt,
tout ce qui retranche
ou
principe,
l'existence
mme princtpetrs-renforce,
signe
p,
matrielle
(le 1 existence
mcanique,
des formes.
donnant
le moyen
Son nombre
KEH.
np.
est une
<
et idiontat'qne,
fait
que ion
T.
1.
R. onomatope
tout cffrt t
exprimant
pour
trancher,
pour
<t4
nn;?.KEH.
un clat de rire
peint
dr.
L'tat
M!P.
bruit imprvu,
subit
et immo.
d'tre
<c~
a&MOMy~,
ua
par
Af&
cow~
~riP.
taux pour
les faire
le mouvement
mca-
nique -qui agit sur eHe la force obtuse, vague, aveugle, mais irrsistible,
la conduit;
qui
principe
dfinie.
L'action
de tendre,
t~~Nor!T~p.
/<'r vers un objet, de le ~MTr,
de <
venir /M/, de se confondre
avec /M/,
de ~~o~?M~r
sur lui. Tout ce qui est
obtus
tout
gence;
tout
la ncessit,
retendue
divers,
in.
et tout
~c7~M
mathmatique
ce qui la reprsente
MFt/K, une n~&
tout ce qui tend irrsisun nK~~M
un point:
un ~~OM;
KM desir,
le son,
figur,
par mtaphore,
dans un sens
de
quelque
chose.
t31p.
~M<esur
~R.
de ses drivs
nombre
tous
de plus
ou
qui tien-
moins
prs
obis-
tels que
la R. hbraque
toute espce
sance,
et, en gnral,
et analogue;
chose convenable
valeur,
etc.
~MM~M?~,
t~M;
Comme
force,
'matope,
tit
b!cH,
long,
peint,
Uii
comme
Sti
de
&.a9,/acMA~
onoracine
de mme
in'~tittaaahit
celui
effort
gnral.
saisir
pour
Y. la R.
HP.
L'action
coy~
d'tre
J
chose.
V. la R. Mp.
<7MCM)M*, un son.
quelque
Ttt?
~CO~O
V. la R.
Ctp.
de s'c-
La
(R. c<~M~
Y. la R. OP.
y)p.
la R.
~R.
comp.)
Mp.
~R.
eo~
substance
en
plainte.
V.
Une
Un
V. la
~w~.
R.
L'action
y~p. (~~. comp.)
de ~~M~r.
D~r, de trancher,
de coMV. la R.
VP''
7<~o.
L'action
con~
faire
H~p
tendre,
tp.
tiMem~nt
une
l'cho,
saisir ni le garder.
le
c'est
autre,
KZ.
tp.
qu'en
et
L'actton
(R.
comp.)
un
puits,
~p.
ser un
l'action
pige;
circonvenir,
d'attraper,
Voyez la R. Ip.
de c/w<-
d'oA~M~,
de
etc.
Un panneau,
(R.
COM~
~t?.
et l'action
de tendre
un
d'~or~Mcr,
Voyez la R. \M?.
/~<
tp.
KZ.
1/arabe
pu-
pcCc
du cor de chasse.
ment
Racine
'J
uu
a&Ht
imptueux
semble
'et
inusite
en hbreu.
toute
indiquer
'H~S~Nttt,
pour
tt
envahir
es-
HtOUVC-
une
np. K6.
Dans
chose.
verbe
',9
d'un
L'ide
une
vers
le
moderne,
chose
effort
que l'on
la saisir ou
pour
la comprendre.
Voyez
caractrise
L'ar.
sincre.
naf,
pur,
de
*!p, image
ce qui est indfini,
invague,
iforme, runie par contraction
au S.
clirectif?,
une R. dont l'obproduit
KL.
)p.
teut
lisser.
signine
K6.
np.
fait
l'idime
tTtp.
tout ce qui
est
un
sens
un
dans
et
trs-tendu,
sens
l'occident;
un
trs-restreiht,
M-
idiomatique
de coupure
avec
un
qui
faite
un
KI ou
Cette
etc.
canif;
Cette
racine
est
adpar
peu.
l'a-
QUI.
~p.
des
et
dont elle
nalogu"
~p,
racines
HP
la puissance.
manifeste
selon le sens rasignifie,
L'ar.
une
aride
et dserte;
et
t~rre
dical,
un t'o-
onomatopique,
MM~M~M<.
coMtpJ
Une
comp.)
~p'
~.
COTM&~OM, une
Un
c~M/b~~!~
alors
prime
lance.
mur
cldture,
Voy. la R.
de clrune
en-
ce qui devient
nue,
s'allge,
KCH.
Elle
Racine
ne parat
inusue
pas exister
eu
h-
en, ar.
peu
de valeur,
moindre;
s'lve~
sens
ra-
comme
l'tat
de
qui s'attse
terre,
perd
etc.
rarfie
La
71p.
L'ar.
!t'OM7, le son.
JH3 signifie
s'noncer,
parler,
J~
proprement,
s'exprimer.
Qtp.
:jp.
breu.
de ra
A~rc~
tout ce qui est
tout ce qui est
McAc, infme.
L'ar. JS prsente
le mme
dical
mais
que l'hbreu
en particulier,
verbe,
c'est,
paraissent
1p.
ex-
etc.
griller,
t"7,
comme
effort,
comme
relation
employe
se reprsente
en franais
verbiale
tant
seulement,
~M~MM/,
si
~p.
elle
suprieure,
l'action
de torruer,
force
sans
couteau,
le sens
fa R. 7~,
de toute
du signe
avec
compressifp
et
image de toute lvation
R. onomatope
et
toute
peint
espce
racine
selon
racine
Toute
ide de
7p.
~M'cMf~ de M~oc~c~
A~M, ~a?~M, menu
de
sans consistance,
ton.
Voyez t01P*
L'ar. LS est une
La
tout
ce qui est priv
j jet s'attache
<de consistance,
de forme;
au son,
mais, si cette mme
ta voix, au vent
comme
forme
racine
est conue
par
la runion
Roi~t
dp.
tance
del
les seules
L'action
proprits:
en
d'exister
de~~MOM/MM~<~
consistance
de l,
subs-
dept~uutc
l'tat
d'tre
~M/M,
tt6
toutes
revtir
de
s7etendre,
celle
s'c~f~r
dans
ce qui
ir~M/c
une autre
chose, se montre
etc.
M/~M'~&/c,
&<~ contre
y~w/<K/~
L'ar.
l'espace;
de con-
de subsister,
de ~iMM~r~ tout
de persister,
est ncessaire,
rel;
rigide,
s'
tout ce qui s'oppose,
d'c.rM~~
sister,
ides
apt
o~~?w,
l'action
de
les formes;
coH~M~
consola'd,
n'a conserv
aucune
~3
intellectuelles
dveloppes
des
par
~3
Comme
verbe,
hbraque.
la snperl'action
d'enlever
exprime
le somcie des choses,
d'en former
de les rendre
sches,
met,
propres,
l'action
de
etc. C'est, en particulier,
la
R.
Le sens radical
balayer.
est dvlopp
par l'ar.
Toute
ide
de l'hbreu
!r~6c~/
ma-
ce qui
la matire
en
Secondement
Tout ce qui
se ccM~o~c
j
?.
concentre
en lui-mme,
dvore.
De ces deux racines
se forme
W?
o se rassemblent
les ides opposes
de tension
<v~<'ifaM/~ et de compresde vhmence
sion,
la seconde,
elle dcoule
par
tatif
du
contract
signe
compressif
<?,
de toute
avec la R. ?M, symbole
cirde l,
conscription
corporelle
~~crr~-
de ~<M~aMcc
L
et de densit.
la M~/?n?centrale,
laforce
la rgle, la mesure
des choses;
/OM~,
L se trouve
saisit, enAz~cMA~qui
po~
simile
agglomre,
0 soi.
L'ar
racine
que
d'avoir
un
si grand
toutes celles
se sont
le plus
quoique
Fhbreu
tenant
nombre
la mme
est pourtant
ou dvelopp
?,
conserv
d'ides.
Presque
intellectuelles
.Jj,
radical,
au sens
forger
le
est chaud
as-
~<a~~o~rM'et
qui taient
eRaces. Le verbe
proprement
tandis qu'i!
a deux sourKN. Cette racine
*?p.
se fondent,
ces dont les expressions
en une. Par la predire,
pour ainsi
elle drive
de la racine
mire,
tp,
de
la
force
meut
qui
image
aveugle
runie
au signe augmenla matire,
et de
ment,
rside
ticipe
travail.
M'<~
loin
d'opposition
dM~Mrwe/zbn
tout
Q~.
nifeste,
est adverse,
KS
pp.
C~.MM.
qui parsignifie
fer, le frapper
les msouder
au moyen
de la forge.
M~j~b~yioM.
,t~,
ou ~?.
Dans
un
(~JK. M/e~
sens propre
et restreint,
MM MK~, un
un
centre,
MKcc<MM<?, une mesure,
un
yO~~M,
sion,
un
habitacle,
une acquisition,
un
possesseur,
PC/; ~~fM,
une <~c~~
une
posscs-
une conque'le,
un riCM~Ma?,
la ~~<
Zs~a/OM~,
un ~CM, la riclaesse,
etc.
premirement
Tout
ce qui ~/J
avec ardeur
~?.
vers une chose
tout ce qui est ~m-
Dp.
tattdit,
KS.
de
Toute
ide
chance,
de
etc.
hasaid,
de
K.
yp.
l'espce de jalou~exprime
de
l'occasion
sie que l'on ressent
la chose que l'on desire et qu'un autre possde.
L'ar.
RH.
*~p.
ment
vement
violent,
blesse,
L'ar.
dsordonn,
etc.
drange,
dplace,
est une R. onomatope
<S
le son de voix que l'on
peint
un
chasser
pour
tune.
de
trace,
animal
qui
qui
qui
met
impor-
mtre.
Toute
KPH.
~1p.
tion,
ide
L'ar.
ce qui se
etc.
s'paissit,
le mme sens ra-
prsente
d'ca!.
C'est
chose
humide
de condensatout
de concrtion
se prend,
coagule,
d'une
l'image
retire par
lorsqu'elles
proprement
la scheresse.
runi
KTZ. Le S. compressif,
yp.
une racine d'o
constitue
au S. final,
toutes
se dveloppent
natureltcment
de terme,
de bout,
d'extrde but, de cime, de fin, de ces-
les ides
mit,
sation.
pp.
C'est
une
de co~~r,
c/tc~,
L'ar.
a/M~K~~
de trancher,
retran-
e~c. V. M.?.
signiue
proprement
inusite
en hbreu.
le chaldaque
le nom
p*)p
au plican,
et dans l'arabe
dans
donn
destine
onomatope
le gloussement
peindre
des poules.
KR.Le
S. compressi~
)p.
lui du mouvement
propre,
runi
ce-
constitue
une
l'ide
de
racine,
qui dveloppe
est incisif,
tout
ce qui
pntrant,
de tout ce qui grave ou
droit;
roide,
de toute
qui sert graver,
espce de
et de caractre,
de signe progravure
des choses.
pre conserver ta mmoire
le mme
sens raJ prsente
dical que Fhbreu,
mais avec queldiffrence
dans
les
que
dveloppeComme
mens.
verbe,
se
signifie
L'ar.
lieu, quelque
chose,
quelque
fixeren
s'en
faire un
souvenir,
s'y arrter,
acte
de
commmoration,
etc.
t~oM~r,
De l'ide
'~p.
CM&M~ renifrme
de ~'e/M~,
toire,
de
cXM~er,
c<a'~K~
dans
et dW-
cette
racine, t
et de celle
celle
de lecture,
ce!!e de tout (~coM~
fait haute
diverses
pressions
<
~~c~a'/M~r,
~~?Mf une chose
un
<OM-
etc.
chose
KK. Racine
a dcout
narrer
une
Au figur,
tout ce qui repousse;
ne eau sauforte
c'we~~c,
une
tt7
ide
Toute
KR.
1p.
convenu,
~~M
</M~ etc.
ora-
de l, les exvoix;
de crier,
s'<'<c/'<c/
<&
A'rp, appeler,
par
un
MOM.
convoquer,
par
~co-
t8
KOUR.
En
faisant
du du
abstraction
du
suit,
con/M~CMc~
celle de cours
et d'~K'wyH<'H/;
ractiot)
~MTveH/r,
*YH?, "~p
a fait natre
ou
de
etc.
d'ar~
L'ide
*T'p.
celle d'inciser,
et de l celles de puits,
d'inrision
de cr~Mde~)~-
taine,
de trappe,
de/g,
de foss,
mais tout ce qui est incisif,
d'o&~e;
cause une sensation
roide,
pntrant,
celle
qui rapple
t'idcc de la
duj~OM?:
celle
froidure,
de l, avec
de tout ce
comme
une enqui peut en garantir,
CCC~~ ~MM)~, une ~710~, une <OMr;
une ~e.
et par extension,
Toute
ide
~p.
KSH.
lement,
d'embrouillement,
tout ce qui est ml,
cultc;
inextricable.
serr,
compact,
ter, d'explorer,
L'ar.
ides;
conM~
etc.
j~ofreeng~nr&I,
c'est dans
un sens
approprier,
frotter,
Le mot
mais
de
diffi-
endurci,
L'tat
(Bac.
M~MJ
embrouill,
pesant,
ou bien l'&ction de Je&roMt~
endurci;
A'r, de cA~TY-~ra
rabe
d'entortil-
et ~~P.
e~oy*
~p
d'tre
de scru-
lesmmes
restreint,
etc.
balayer,
la racine
hbraque.
Racine
L'ar.
ou
<~3
en
<
ide
toute
gnral
d'extraction,
inusite
en
h-
ttvetoppe
d'attraction,
d'agglomration.
de ~o/
d'a<~f~
d'wcuHW,
KTH.
F)~.
breu.
de l
des ~v<<?/M,
d'occurrence;
ser,
signe,
et ne voyant que la
caractre,
ou l'effet
qui le trace,
qui le
on a trouv
l'ide de cours,
de
cause
R.
1.
).
R.
Ce
caractre
de consonne,
qualit
Comme
guale.
image
la. tte de
reprsente
mouvement
Selon
ta lettre
gine de la facult
Elle est rejtbime
sans
qui,
crit
assure
savans,
il
son
l'homme,
sa marche.
son ori-
R tire
igne de la Nature.
du feu. Cet homme,
aucune
de manire
lin-
symbolique,
dterminant,
Boehme,
en
appartient,
la touche
a souvent
science,
les
tonner
dans
livre
son
plus
de la
forme
de la Nature
particulire
centrale.
la Parole,
dit-il,
a Quoique
les varie par la transposition,
ce pendant
lettre a une origine
chaque
au centre de la Nature.
Cette origine
est
merveilleuse,
peuvent
saisir
N telligence)).
qu'
et les sens
ne
la clart
de l'in-
comme
Employ
signe
cal, le caractre
1 est dans
hbraque,
? aot propre
grammatila Langue
le signe de tout
bon ou mauvais.
mouveC'est u n
et frquentatif.
signe originel
du renouvellement
des choses,
leur mouvement.
Sou
nombre
&nt!<imtiqu<!
la
image
quant
~t
aoo.
RA.
RA.
K).
Le
runi
propre,
forme
une
du
signe
celui
mouvement
hyroglyphique,
par le rayon
c'est--dire
cette
gomtrique
par
de ligne
droite
espce
partant
qui
style
cation,
d'augmentation,
de grandeur
ment,
de mouvement
tant
physique
L'ar.
de la circonfrence
c'est,
conque
dans un sens trs-restreint,
une raie;
dans un sens plus tendu,
MM7~oM,
et par mtaphore
le rayon
x'MMc/,
mine,
sde,
augmente,
rassemble
'31.
et 331.
la visibilit.
L'arabe
mme sens
le
exactement
prsente
radical
que l'hbreu.
Les
de cette racine,
dveloppemens
qui
dans
l'idiome
sont
trs
nombreux
se rapportent
arabe,
dans
<
de voir,
etc.,
<t
<
<
ou l'tat
d'tre
de
L'action
n~
fixer
der,
tous,
l'aspect
n~H.
~~a'e.
/?/ic'MC;
admirable.
Une
<.o~
MM~occ~c~/
~1.
la R.
co~
La
de
une
~MMM
Le
runi
en
ce qui do-
envahit,
gouverne,
Tout
M/
soit
accru
biales,
&c~Meo~,
toutes
t'/M'or~/M~;
ce
en
ce qui
ce qui
tout
volume
posetc.
adver-
<~M?M/Og~,
plus,:
les ides de/oM~,
de ~M<M/
la
A force,
etc.
puissance
qui se tire du nombre,
L'action
de se
3')1. (R.
eo/?~
de faire du !'<~coir~t~
porterenfoule,
d'lever
une
M7M J~M~.
querelle
mouvement
RG.Touteespcede
une
les organes
con~KO/tOM,
se par
L'ar.
MM~d~o~fM~a~oM
mouvement
trop
un
offre
le
MH~
motion,
vif.
sens
mme
l'action
cau-
l'hbreu.
C'est
mouvoir;
de e6tM~<'r~r<'M~
(r<7g~
que
de
Voyez
du mouvement
signe
celui de l'activit
in-
la R.
ou par contraction
de toute
~K, image
ttuctiucation,
une
constitue
racine
d'o
se d~vetrieure,
s'exprime
du mouvement
signe
runi
au signe de ~abondance
propre
lmentaire,
contraction,
ou,
par
la il.
image de toute manation,
!t.
RD.
sorte
se multiplie
tout
les relations
par
s'aa!gWMM~
dans
une chose
~c.
crot,
en soi,
<M,
de r~a~la vision,
au figur,
~d;a7K~M.
tout
en gnral,
qui estgrand,
soit
nombre
chose.
un
spculation,
propre,
un objet,
la vue,
vu.
celle
une
de nombre,
en gnral,
l'action
miroir:
'~<).
-1t.
voir,
c'est
la propagation
que morale.
ne diupre
de l'h
point
C'est,
point
de multiplid'accroisse-
vers
breu.
aboutit
~9
les ides
quel-
du centre,
un
toutes
toppent
de la puissance,
caractrise
dans le
racine
RD.
ft.
RD.
Le
produit
une
peindre
indcthu,
toute
racine
dont
espce
comme
celui
l'objet est de
de mouvement
d'une
roue.
tao
'hbreu
tient
L'ar.
radical,
par le sens
accessoires
les ides
quoique
qui en manent,
C'est en gnral,
ratif,
qui revient
en particulier
Rousn.
RD.
T~.
un
diffrent
peu.
it-
mouvement
un
lui-mme.
sur
C'est
de rendre,
l'action
circulairement:
un
ce
M-
w~Ae~
voile.
de
se mouvoir
avec
constance,soitpour?MOM~soitpour
Faction
descendre;
de~e~<f~c/'dans
sa v olont
la dontination,
de la constance
propre
d'me.
caractrise
proprement
Lt
l'action de co~M'd!/w les consquences, de T~X~~M' avant de faire une
chose.
est le
qui
et de la force
Le compos
~.a exprime
et mre dlibration.
~fl.
la R.
~JS. COi~
T!~). (R.
V. la R. -!l.
(R.
de l'air,.le
REH.
cine
Racine
analogue
dont
elle augmente
L'action
!T1
d'~ZoM~
de troubler.
ner les yeux,
L'ar.
du sens
s'loigne
et ne dveloppe
de l'hbreu,
de l'affaiblissement
de accessoire
suit
un
boussement
la ral'effet.
defasciradical
physique
l'iqui
et
moral.
Toute
ide de
co~
de grandeur,
de force.
magnitude,
Voyez la R. 31.
Un cours. V. la
MM1
(Jl. coy~
~1
R.
1'.
ROU.
jptae ~1,
Racine
mais,
qui
analogue
ppecaut
la ra.
une ex-
Un tumulte.
V.
Zo~byve~t~
comp.)
Le mouvement
souffle.
~jR. co~p.~
maM~a~,
matriet,
V. la R.
V. la R. ni.
L'action
de remplir
Le
de s'
l'es-
mouvement
et c~orJoM/~.
Ml
une
comp.)
que
ruisseau:
L'ar.
nil.
*!).
dun
rivire,
L'action
actIOn d'
d' lm6 1d'irnbid'~TV~o~y,
orroser,
etc. V. la R.
d'c~M~r,
longue
L'action
t'
d'une
del,
ber,
chose,
par l'ef
qui se propage
uneroue,
cours
'Il
~)~.
etc.
restituer,
~~M~
Tout
T1 ou TTl.
w/c/M.~
se dploie
occupe
qui s'tend
(rune
s'empare
pace,
fet d'un mouvement
au heu de
plus matrieHc,
pression
caractriser
le rayon
ca/?<M.f,
ractrise
souvent
le
le fil de /~M,
V. la R.
RZ.
t'.
HZ.
Toute
d'annihilation
M. Dans
/n<
ide
d'puisement,
de tnuit
matrielle,
ce qui
extrme
un
devient
sens
meut,
n*1
iudiscerniblc.
Toute
de
~m.
espce
<uy~J
</M/p/~MOM et d'cM/ZM~e. V. la R. 31.
Tout ce qui est
C!T1. ~jR. eow/
comme
un air,
doux,
calme,
faible,
L'ar.
en gnral,
tout
j) dsigne,
ce qui est secret,
renmystrieux,
ferm. Cest un mouvement
intestin,
murmure
)!).
Rn.
un
extrmement
souffle,
la ~~rcA~
figur,
MM~corJ~.
sourd.
De la
mme
manire
que
comme
rapporte
voir leur
ainsi
nous
allons
ni se'rapporter
analogue
et peindre
tous ses effets
l'air
verrons
nous
L'ar.
cal
tient
marque
ses drivs
la
tels
mme
grand
que
qui
une
sens
radi-
le requ'on
de
nombre
C'~
~.<,
~L qui
chose
que les anaest encore
mais
logues hbraques
dans l'idime
arabe
matope
vent sur
mme
ainsi
l'hbreu,
dans
un
que
disent
au
peint
une
racine
l'effort
mme
onodu
Toute
dilatation
chose,
ide
aticnne:
.Tl.
d'expansion
A; t'<~
et de
voM~f~
tout
ce qui meut,
~c~~f.'
CM~C,
transporte.
M~t'~C,
Toute
V. la
d'odeur.
espce
R.11.
le secret
figur,
des initis.
un
tatf
M~.RT.
tendu.
Au
clmence,
la
se
Tout
ce qui
CIHI. ~jR. co~J
mouvement
?Hg!< s'a~yoM~d'un
et vital; couve,
expansif
affectionne.
etc.
(R.
ym.
d'~&~OH.
Toute
co~o.~
espce
ro/.
13~.
RT.
Cette
du mouvement
celui
racine,
propre
de la rsistance,
le signe
est born
par
caractrise
un
ou inflaccompagn
dirig,
etc.
une chausse,
chi par une digue,
M~ caK/ conduit,
C'est proprement
cours
M/M /OfM<M~.
t n'a point
L'ar.
Je
de l'hbreu;
radical
/Mi'~
chant
celui,
conserv
mais
le sens
en
s'atta~
l'un
de ses dveloppemens,
cette R. a dside/~fWM*/MM~,
un
confuse,
gn une foule
Le ch. tMI
ment tumultueux.
mouvesuivi
taa
la
~.RI.
mme
rendue
mant
ide
que
mme
une
plus
sorte
de
C~. ROUM.
et
Far.
forte,
en
l'a
L'arabe
en gnral,
les
offre,
J~
mmes ides que l'hbreu.
On entend
<~MMc~
par son
analogue
expri-
trmoussement,
de frissonnement.
aux
RI. Racine
RL.
racines
analogue
K~ !T~ ~ Ml; mais plus particuliodorement
affecte
au rayon thr,
L'arabe
rant.
U).
Une
une a~STM~OT
C~~M~,
une ex/?MM~, CJ~nt?,
~~M~MC
un sens res~cAxMo~o~DRns
treint,
L'ar.
proprement
sigmnc
RM.
ou
comp.)
(tonne
lectrique,
sympathique,
une foule: proprement,
un tumulte,
une insurrection.
n~
L'arome,
~'<?~
au gur,
odorant,
le parfum:
~<'MO/M7M~?.
(~
comp.)
la pauvret.
/Wc,
etc.
ses diverses
tant
radicales,
ici universalis
lectif
Q,
quoi
vant
T/~C commotion
la possder.
pas
Le
dans
une
du
chose
centre
la
circonfrence,
plit une tendue,
n'occupait
pas
L'ar.
toutes
m,
a
les
modinca~1, m,
~1,
le signe col-
par
cette sorte
dsigne
ou d'action,
vement
pOMMOM.
.yi.
en hbreu.
du mouvement
signe
considr
dans son mode abs-
trait,
uons
le
inusite
ne parat
propre
M~rM~M~CM.
Racine
au
de moude
moyen
s'lequelconque,
l'un des points
de
ou remparcourt
une
place,
qu'elle
auparavant.
laisse
effacer
ides
presque
dve
intellectuelles,
Cette racine,
loppes
par l'hbreu.
duite
au sens purement
physique
ret
en gnral,
l'action
exprime,
de rparer,
etc.
d ~a~M~, de ~&&y,
Tout ce
Cn ou Q~. (R. ~/M.~
matriel,
suit
gression
et d'ascension.
Q11.
L'action
de
latant,
de~'r~a~cr
ce
soit;
un
l'ctat
mouvement
de ~p~en
s'lve,
se
s'lance,
de ~fo*
se di-
l'action
remplir
l'espace;
en parlant
de quoi que
d'fs
la partie
suprieure
le ~M~Awc.
~M<;
en
~i''f'<'<
d'une
chose,
le
RN.
Toute
de
espce
une commotion
RN.
Tt.
son
3~1.
qui suit
un
Un chant,
des
murmure
cri,
une
de
bruit,
de l'air.
le
clameur
de l'eau,
de la
vents,
le tintement
des mtaux,
etc.
offre exactement
le mme
namme;
L'ar.
sens.
C'est
nMow/~
proprement,
etc.
un son que!couque,~C7K~r,
rendre
D).
RS.
ide
de
de rduction
brisure,
racine
en parties
!7Mcomme
la ro7~MA,
y!.
R6.
Nous
ment
principe,
avons
la circonfrence,
en lumire,
tour,
vu
gnrant
matriel,
l'emblm
tre,
gne
~)
partant
de la R.
de plus en p~'is vers
devenir
je
opaque,
de la plus
et yyi.
dans
ce qui est
et mauvais.
Ceci
grande
n'a conserv
aucune
<
ides intellectuelles
dveloppes
hbreu.
La seule ide physique
L'ar.
cette
R. paraisse
dime
arabe,
exprimer
est celle de
par
l'inertie.
se rap-
) 9~ )) etc.
en
des
que
l'idans
R.
au soin
hbreu,
et des pturages.
d'tre
perverti,
ce quiconcerne
les soins
les -SOMCM, les
peines
enles o~e&'o/M,
qu'ils
la socit
humaine
en g-
chagrins,
traiuent
et dle sens
MM voisin,
en particutroupeau,
les mmes
KM/cA<MM,
KM
camarade.
Tout
<~o/'</7'c,
t~l.
infraction.
ifwf, toute
toute
rup-
yi,
terres-
'yi.
t/M~M/M~ro~r~~
l'tat de
un bien: tout ce qui regarde
de r<M' la socit
de chef,
pasteur,
est di.
des pasteurs.
attention.
~jR. M~Tout
le
*ty~. Tout
/~7~~M/
la racine
tout
le
L'tat
~OMy~.
l'action
de suivre
MM~ FMa~oM6tKj!/
un mouvement
<&~M&v~
~SM.c,
~or</OM~.
en feu, en eau, eu
selon les racines
air, en fluide thr,
Kl t !T%*)*1, ni, ~1 or, voici ce mme
mouvement
et
d~orJ/'c.
portent,
des troupeaux
le mouve-
du centre
agissant
se modiSer
tour
f~M~ en poudre
le mal physique
la misre,
la yMa/c,
moral
la ~cr/
y~Mr/w,
vice,
drives
comme
les quatre
arabes,
.y,
et
o ses diverses
accepj&
.0
~?
tions se sont partages.
On entend,
en gnral,
la terre,
par j~
fouiller
cr~M~r
par j~
a~ro~r~ asperger;
en couches,
par .c stratifier,
range,
et
&rM~r, c<M~r.
par .c t,
a a 3
tout ce qui i
et
wcAw
qui se courbe
se rapproche
pour
se co~M)MC~
et
tout ce qui devient/~g7'/e,
aigre
tout ce qui se &y'Mc et se M~
cassanl;
Les
se reconnat
primitive
racines
dans
de
cassure,
en gouttes,
ce qui est soumis,
pulpables,
se; tout
dompi.
Cette
Toute
RUB.
;3~
ce
co/
La
/a</M';
d'f~<* o//a~!<?'.
<I-
l'tat
RUD.
994
(R
d'
comp.)
La
l'tat
peur;
~'o/~
~1.
~e~Mt
L'horreur,
co/i~?~
d'f
d'horreur,
r~i~/<
t'tat
le
Le mouvement
comp.)
universalis
/~<OKK~rc,
de rompre,
L'action
yyi.
de fra-
~1~.
tion,
de rparation,
C'est
rdemption.
ment
mdia-
de
de.gunson,
l'ide d'un mouve-
rgnrateur.
L'ar.
mais
dical,
sensiblement
c'est
de
espce
l'action
~r~oM~a~~MCM~.
racine onomatope,
de l'oiseau
qui bat
quipeint
des aies.
Un
un
.MM<c,
mdecin,
une
]e bruit
yL
une
RTZ.
sorte
de
racine
mouvement
outre
M~-
caractrise
de vibra-
et unissant,
recommenant
en se
tiforme,
qui se propage
tion,
mouvement
tranant
Tout
M~
se
mor ceau.
tout
secousses;
par
une
partage;
ce
ce qui i
rupture,
strailsignifie proprement
L'ar.
~er,
ranger
par tits. ou par couches;
et Fon entend
co~cc~~r,
par
~9;,
briser
en gros morceaux.
De l'ide de morceau
partag,
nat
celle
d'alliance
celle
de
mouvement
et d'~MtMs;
de
intermittent,
de coHCKrrcHce~de
l, l'ac-
nat
l'ide
tion
de s'allier,
et celle
de eoHcoMrr.
RK. Toute
ide de tnuit,
de
p~.
de nchissement.
rarit,
d'expansion,
L'ar. A
ofH'e le mme
sens que
l'hbreu."
Toutcequi~'o<~M~<
pi.
tant au physique
~e,y~A~,
qu'au
moral
dans un sens figur,
le temps.
la
remde;
dc~M~/w.
Le signe du mouvement
proMl.
la R.
pre, runi par contraction
PtW,
forme
une onomatope
qui s'applimouvement
que tout
rapide,
qui
Cette
un
V.~1.
l'action
<&($MMA, r<C~
disloque,
~M~
etc. Voyez la R.
My.
c'est
et pnible.
yi et yyi.
un
en fzirzer~x.
casser, d'!gw
c<M~r,
d"
~rM'~M?.
RPH.
sant
quise meut
se rompt,
~/<ec~ de venin.
D~.
dsordonn,
la /OMJ~.
RASH.
W1.
rcpdivi-
!).
RR.
Elle
paran
Racine
inusite
en hbreu.
en
inconnue
galement
arabe.
W).
propre,
Le signe
runicetm
relatif,
constitue
du mouvement
RSH.
du
une
mouvement
racine
que
style
hiroglyphique
un point
au milieu
symbottse
d'un cercle
le 'entre
le principe
dployant
!a<'trconfrence
~j~l.
fZbM/<6'~e
le
par
c'est
principtaut.
<~M~<,
bon
RTH.
D1
MMz~M
ou mauvais;
SHOUA.
M~.
un
trs-ardent,
ce qu'il y a de meilleur
~/trs-amer;
en tout
ce qui est primitif,
initiai
le
la cime,
la sommit,
l'origine,
la
de toutes choses;
point culminant
a~S
des consonnes
et D Employcomme
relation
il constitue
une
prpositive,
sorte
d'article
tte de l'homme
et se place
pronominal,
la tte des noms et des verbes,
pour
leur
la double
communiquer
puissance
du mouvement
qu'il possde
le c~~d'un
et de la conjonction.
un prince,
L'arabe
sens
radical
compos
tion
j~
~Kl.
que
derne,
SHA.
relatif
runi
Tout
mouvement
arrt,
offre
le mme
sens.
l'action
de retarder.
ce qui
tout
c/M'~a~,
ce
qui
subite,
C'est
coa-
le
glace
une ~ooM-
SH.
en
appartient,
l touche
Ce caractre
de
consonne,
et peint
les
onomatope
durables
les sons
d'une
manire
mouvemens
lgers,
Comme
symbolique,
de l'arc d'o
partie
en sifflant
et
doux.
une
le signe
C'est, en hcoreu,
de la dure tpjattve
et du mouvetncut
11 drive
du son
s'y attache
eu)
pnss !'tMt de consonne
son
jt:; en joignant
prononc
qui
les
sigmilca~ons
respectives
voet
ex-
racine
que
caractrise
entre
circonfrence.
La
deux
du cercle
portion
la racine
t~
reprsente
par
tre considre
en mouvement
de
l, les
etdecalme
ides
qu'elle
rer.
n~.
i 'action
d~Lu
des troupeaux
~M
de faire
tourbillon,
</y!o~,
in-
l'abreu-
un
eM~;
/MWM/
M~
j ~ae<M~
/aM<yM/ro/b~/<?,1'tat d'tre
M~
<~<T/,
:M<
etc.
j'oM~c,
M~
Tout
de
dveloppe.
L~ signifie
proprement
Comme
R. onomatope,
l'appel
peut
ou en
opposes
L'ar.
CJique
voir.
il reprsente
la
la flche s'!ance
Le signe du mouvement
celui de la puissance,
Le
rayons.
caractre
0 est dsign
par l'arc priv
de son rayon,
ou de sa flche,
et
ferm de sa corde. Le caractre
) l'est
la
par le rayon ou la flche dessinant
repos;
tumulte
chuintante;
p~siou.
KW.
constitue
arroser.
a?7~
une terreur
qualit
image
accep-1
mo-
l'idime
Dans
est 3oo.
arithmtique
le
retenu.
<~
proprement
Ml. Tout
sang
Mt/
la mme
offre
nombre
roglyphique
cercle
inscrit
enchain,
L'ar.
gule,
et
l'hbreu
signifie
j~
RTH.
W.
de
Son
taG
<3!<
L'action
co~~?.~
V. la R. 3K.
(Rac.
de l'eau.
~MMcr
7~
de
L'action
fR
como.J
de <M~Kf~r.
terroger,
j~. SHG.
8HAB.
3K~.
d'M-
V. la R. *?~.
L'action
~jRac. co7H~
de mettre
en dsordre.
CK~
troubler,
(Rac.
'?K~
C/MC.
L'tat
comp.)
de
Secondement,
Tout tat
g?!c~M~
une
tion;
L'ar.
tout
tant
~f.~<~r,
V. la R.
qu au gur.
tt~.
Tout ce qui
*~m~.
~oc.
eo~?.j)
tend vers la coFMM<o/M'c,
la ~0/K.M~~
co~)
C~
au propre
tout
~STH~~Ma~MK;
un
dans
<~
~~r.
toute
7~M/
sens
&
restreint,
V.taR.
SHB.
Cette
suivant
pressions
racine
le
a deux
du
signe
la dure
mouvement
compose
relatif
et de
de
si on la regarde
dpart;
forme
par le mme
signe
la R. ~~, image de la paterelle
la prise
dsigne
une peuplade~
sa captivit,
hors de sa patrie
portation
nit,
de
toute
L'ide
<a6/M~/M~M<,
primitif,
parti
tion.
a un
soient
le retour;
un
tout
SHG.
est
sur
de l,
L signe du mouvement
au S. organique,indique
runi
relatif,
un
mouvement
de
d'intelligence,
le mme
tant
traction
un
l'organe
mouvement
la R. j~,
veloppement
toute espce
une
l'on
tait
/~0/7MC-
appepar con*
du d-
d'accroissement.
Del,
Un
a~MMf
e~o~
<M~g~,
au ngur,
en volume,
d'o
dnu
symbole
caractrise
organique,
de
espce de rretour
un tat
joint
signe,
de toute
MMC re~~O~,
ce qi
vieillard.
t/7~X?f~
r<*Mr, une dgnration
crotre
et d'augmenter
lieu
tat
premier
t comprim;
dveloppe
etc. Le sens primitif
de la
&. hbraque
se reconnat
dans la R.
ne
arabe, quoique
ses dvetoppemens
sa trans-~
premirement,
3~.
se
s'accrot,
sous
position
lequel
Si on la considre
comme
du
ex<
s'agrandit,
revient
son
aprs avoir
ses forces,
l'action
3'
J<~o~o-
caractrise,
en gnral,
tend
du centre
la cir-
ce qui
dploie,
d'<%L
capture.
t~~
confrence,
d'e'
de c<(~
de sa patrie
une
L'ar.&
sens
tope
un
penMMe
l'action
en
de
nombre,
en dure.
conserve
radical.
Faction
C'est
peu
comme
de fendre,
de chose
du
R. onomaune
chose
SOT7PH.
SHD
T~.
SHDt
de l'abondance
Recompose
runi
relatif,
contraction
divisionnaire,
la R. *~K, image
manation,
caractrise
ductrice
boles
celui
on par
de toute
la Nature
en
dont
gnral,
sont une
particuliers
pro-
les symmamelle
et un
De l, le nom de <T~,
champ.
donn
DIEU,
comme
au principe
de tous les biens;
la jf~opK~M~.
L'ar.
caractrise
<
ce qui
tant en
tout
avec nergie,
agit avec force,
bien qu'en mal
tout ce qui renverse
les obstacles
qui lui sont
opposs
tout
ce qui se montre
fort et puis-
snt
tuelles,
dance
L'effusion
des
la Nature
le signe
et
facults
de la fcondit,
yM~Nc~ un
vir-
de l'abonune
ma.
les biens
Tous
~br~n~, & dcMoyt de
cAoTH~.
physiques,
la Terre. C~n <-A<M<de jubilation.
*TW. (R. Mt/e~M.J L'action de rendre la nature premire,
brute; c'est-dire
de dvaster,
ductions
des arts,
les pro7W<~r
du travail
et de
l'industrie.
T~.
espce
ou
deprofanation,
biens de la nature.
H~y.
R.
SHEH.
Racine
qu'on peut
L'ar. L~ caraetrise
vers un
persvrant
W.
de ~OM-
de <~M/~oM
de pillage
des
SHOU.
Rac. analoguelaR.
qui se conoit
principalement
sous ses rapports
d'quilibre,
d'ga'
de conlit, de parit, de similitude,
de proportion,
de mesure
venance,
mais
entre
les choses.
L'th.
~t~* (shouy)
signifie proun homme.
L'ar. L<~ carac-
prement
trise l'tat dtre
frapp d'admiration.
L'tat d'~e
en ~M~M~e dans
!T~.
toutes ses parties,
comme l'est toute
de cercle;
portion
conforme
quelque
!TW.
clin,
(~Rac.co~?.~
ce qui penche
quelconque.
Ht~.
vre quelque
de se plier,
R.M~.
L'action
de suicomp.)
chose dans ses contours,
de faire
de ~fKC.
L'action
de placomp.)
l'un sur l'autre,
cer, de dM~o~*
par
comme un o~7!OM, ?<Mail.
couches,
~R
yt~.
~jR.
coM~J Une
l'action
une vocifration;
analogue
voir.
la
toute tendance,
V. la
L'action
d'<?M~
comp.)
*T1~. (R.
terrer tout--fait,
de couvrir entired'~t~H'
ment,
01~
Toute
mouvement
du S.
Cette
du mouvement
tout
tay
haute
vo:x
M'
presser
~ac.
c/d'~~
d appeler
V. la R. )~.
fortement,
co~
L'actiou
de ~M~~M~
de
~8
SOUCQ.
p~
SH~H.
loi; dans
de nager;
pW. ~JR.COM~Toutt~M~CFMOMreux;
tout penchant.
L'action
1~.
~JR<M*. con~
se diriger
des lois fixes,
d'aprs
de
de
en quilibre,
en harmonie,
moduler
sa voix, de chantei,
etc La
dans le sens trs'tendu
~MM~M,
que les anciens
V. la R. 1~.
\M~.
&o~e
donnaient
(R.
comp.)
en
humeur,
un
d'tre
en
d'<Mr!t~.
(~R. co~Mp.~ L'action
seoir quelque
chose. V. la R. fW'
(R.
y~s
sec et aride.
semble
indiquer
un
lieu
pour
videmment
de l'eau.
conception,
t/M~Xo~OM.
Toute
de
d'inclinaison,
blable.
Voyez
Jc~
ide
d'inflexion,
mouvement
sem-
t~
caractrise
tout
se
ce
qui
se
du
dtend,
s'loigne
tire au long, se trouve
centre,
hors de sa de-
etc.
en hbreu.
n~.
un
complir
une vertu.
C0<7~
SHT.
meure,
L'arabe
Faction
ce mot.
~a~TMOFMe avec
inusite
Une
(R. comp)
un essor.
lan,
L'ar.
SHZ. Racine
de suivre
On'
soi-mme.
tw.
restreint,
le cours
!T~
13'
L'tat
sens
V.!TW.
de
rester
un
acqurir
au sens
de l'hbreu,
mais en le ddu ct purement
matveloppant
riel ensorte
que l'effort indiqu par
la R. n~, tant tourn vers l'gosme,
SHI.
Racine
la R,
analogue
t~ dont elle manifeste
la puissance.
C'est dans son sens propre,
une justice rendue,
etc.
mrite,
un honneur
au
accord
ce qui tombe
sous
les sens.
primitif
l'avaque la tenacit.,
de tirer soi, d'accapaetc. Comme racine onomatope,
ne caractrise
rice, le dsir
rer,
le bruit
peint
quelconque
bas, et signine
proprement-~M-~r.
}TTn~< L'action de s'Nwc~Mc~ de ~M~de se plier une
pre M~ ~ncAcK~
:1W.
relatif,
Le signe du mouvement
celui de l'existence
as-
SH~H.
runi
ou
simile,
*t~, image
titue une.racine
toutes
les
ides
d'o
de
mme,
hsitation,
~S
dveloppe
d'un
doute
cons-
se dveloppent
retour
en soi-
d'enveloppement,
de conscience.
extrieur,
L'ar.
la R.
par contraction
de toute restriction,
de
l'ide
repos
d'une
consciencieux.
~SHCH.
Comme
R. onomatope
JL~ signifie
proprement
~M~Mer avec un guillon.
Dans
un sens propre
et rest~.
c'est
treint,
c'est
figur
MM o~MOM
eM~&OM~WO/OTM~,
un ~OMMe~~A~~MC,
tant
senient,
Voyez
dans
un recueillement,
une
un
sens
une me-
le
c'est la ligne
phique,
le trait
jet un autre,
c'est
ce qu'expriment
prpositives
Tout
7\
reste
dans
sa
d'ordres
hbraque,
&~dL&,
/o~c
l'action
logue
.tiw,
du respect
moigner
cine s'est confondue
la Rj
par
dveloppes
dans
except
le compos
et dans l'ana-
morale,
entire
sphre
quelconque,
c'est
cupe
d'un
total
l'espace
tre
ce qu'expriment
adverbiales
l,
l-mme,
ngur.
suit
ligne
le style hiroglyi'tendue
circoniren-
qu'au
dans le
qui est ~rcM~M~Mp, heureux,
~OM ordre,
dans
la voie du ~/M/.
L'ar.
n'a point
conserv
les
JL
ides
la
cielle,
la
de saluer,
de tmais cette raavec
l'intensitive
suivante.
l'clat,
la vertu;
gloire,
c~
leve
l-
y.
et brille
qui
ce qui
Dans
c'est
phique,
dedans
de,
SHM.
tions
au propre
Dans
Q~.
spculation,
un ensevelis-
'3*
SHL.
x~
~.SHN.
dans
~M/~gM~
<yMa&&.
L'ar..<Lj~
la
splendeur,
tout ce qui
tout
l'espace;
est ~M&~M,
la
~cce
~e~Mtr-
n'a
conserv
les
point
mmes
ides intellectuelles
dvelopla H. hbraque,
pes par
except
dans quelques
et dans l'acomposs
nalogue
ordinaires
.t-w.
Ses acceptions
se confondent
de la R. intens.
les plus
avec celle
suivante.
OCW.
M~?M.~ Tout ce qui
se livre
sort de sa sphre,
o~Mc~'
Le desir esorentre en di~M~neg
/a~donn de se faire remarquer,
de sa ligne,
outre quelque
tout
que ce soit, tombe dans terreur;
ce qui est ~rat~o~,
~Ma~M~
ce
MMe?M~~ tout
droit et la justice.
sens que
restreint,
~?~.
(R.
M&KM.~
Tout
ce
qui
chose
sort
L'ar.
sens,
l'tat
qui
mconnat
le
le mme
JL& ou JLL& offre
en gnral.
C'est,
au propre,
d'tre
estropi,
etc.
perclus,
T. r.
tortue
manchot,
t
l'hbreu.
le verbe signifie
flairer.
t~o
Y~. S!ITZ.
SHN.
<'t)&<<M~ cyc~ue,
une MM~~bft
<oZg%yM', et dans
MFMCMM~.
tremt,
~Cy.SHUH.
-servation,
tation.
un
sens
6M-
trs-res-
Toutes
de restauration,
de cimen-
~W
~L CCMjp.~La
MM~~T-
(Bac.
suivant
!e sens sous
Mne/~o~
la R. *VM~
lequel on considre
ture,
SHPH.
ToMt objet
apparent,
~y
tout
minent,
distingu,
prominent:
les ~nM~
ce qui dborde,
comme
s'lve, comme MM~eo/Me; parat audessus,
L'ar.
ce qui
comme
la c~Me, etc.
en gnral
dsigne
~K
devient
limpide,
tout
clair,
dia-
phane.
)~.
Dans
un
sens
de la
propre,
dans un sens
fi<?AaM.c~ du ciment;
gur, tout ce qui c<MMo~M~ ~itMM~
sert de ~aM~c-d~,
conserve, a~ctionne.
le sens
n'a point conserv
<~
dans quelque
comradical,
except
L~
On
poss et dans son analogue
entend
par <
rpandre
rayonner,
Selon cette accepc et l, disperser.
la R. onomation, ~5 se rattache
tope suivante.
L'ar.
Racine onomatope
qui peint
)~.
le cri d'une personne
qui apple avec
&trce: Voyez ~1~.
t~
&o~.
("ii. cM~
<M~ acc~oMa-
Racine
exprionomatope,
M~.
mant le bruit que l'on fait en foulant
avec les pieds.
.VCy.
SHTZ.
V.
Tout
but~ la perfection,
la fin.
L'ar.
ce qui sert
le poisser
t'M~'
ce qui
conduit
au
l'achvement,
eh gnral
tout
dsigne
de moyen
pour
prendre
MM AoMMpo~ MM~S~, etc.
ce
~!HR.
qui~crt~M~,
de
l'action
SHR.
'a~nerciproquement
~&~r,
de/~an~~rleau,
de ~M?Kcn V. pl~.
L'ar.
n'a point
conserv
le sens
X<K
de t'hbreu.
jadicat
C'est une racine
qui dans
onomatope,
l'idiome
<~p~a~r.
Mgni6eproprement/<m<~e,
*1~.
~HR.
arabe
sieurs
R. comporte
plusuivant
la ma-
c'est
Si
compose.
mouvement
relatif
Cette
significations,
nire dont on la conoit
le signe du
s'unit simplement
propre,
de la ligne
lange abstrait
la ligne droite,
une ide
ce mme
se relchait
signe
du
si
si
mouvement
rela-
contraction
aux expressions
diverses
~R,
alors
il
de
cette
et dveloppe
les ides
racine,
de force, de vigueur,
de domination,
de puissance,
de riqui rsultent
ment
principe
la racine
toute
proportion
jointe
harmonique,
au signe du mouvement
on
propre,
de tout ce
y dcouvre
l'expression
des lois consqui se dirige d'aprs
tantes et justes
De l, premirement
Tout coqut/a~~
qui rsout,
qui met, qui produit;
comme /cMo?M&~ MM~co~M~M~etc
astreint
trait
autre langue
qu'aucune
puisse
offrir
celui d'un gouvernement
libral,
facile, indulgent,
producteur
au dedans,
redourobuste,
puissant,
dominateur
table,
tend
au
dehors,
qui
d'a-
poss,
ne
l'hbreu
except
Cette
quioMfw,
ce qui est
conbrme
Tout
Le gnie hbraque
ce~
confondant
trois expressions
en une, en tire lee
et le plus abssens le plus compliqu
une
Fon considre
tif, se runissant
par
!a racine
lmentaire
participe
de solution,
comme
si
de libration
ferm
s'ouvrait,
d'ouverture;
un cercle
chame
circulaire
Tout ce
t~J
qui est .soAMc, j~Mace, et ~M~/a~
MM mur, CR~ CM~MM~, M/tC
comme
ce qui est~bi~,
cAa~;
tout
M~OMMM <&M~aM; tout ce
r~Ma:, comme
~R
mesur,
coordonn, juste,
l'harmonie
universelle,
mou celuidu
il rsulte
de ce m-
qui
vement
Secondement
ou
<3<
~niverseMe.
s'accorde
pour
le sens
dans quelques-uns
et de ses analogues
R. qui,
dans
tre devenue
BuHemeat
radical,
de se~om-
yw~t
Fidime
arabe,
intensitive,
y a
des ides tout--fait
dvelopp
opposes, comme nous avoua ~u cela arparat
r.
t3t
river
snsn.
souvent
vocabulaire.
dans
Ainsi
et de la justice,
verbe intensitif
tris
lieu
ce
de
de l'ordre
du sens
mchant,
injuste,
perfide,
l'harmonie
et au bonheur
en gouttes
de ce fluide,
sa dispersion.
L'autre
SHSH.
de proet d'harmonie.
Toutes
les ides
de mesure
portion,
~t~.
est dans
Le nombre
~M?. Tout
des relations
comme
la couleur
harmonieuses,
et par
&&McAe;
lin, la vieil-
le
fa~<~n~
tout ce qui jouit
du bonheur.
V.
suite,
~M~e
L'ar.
du
calme
les ides
drange,
SHTH.
Cette
du
signes
et rciproque,
s'inclinent
lequel
racine,
mouvement
les fesses.
L'action
et les choses
vers
ce lieu
Le fond,
mmes
y
en
<
vers
les
qui
s'in-
de l,
~~bMd~Mc/~
le lieu
ngur;
de profondeur;
espce
de &OMMM.
n'a retenu
toute
de fonder,
M/oMJ,
de
de poser,
etc.
TH.
r\
tant
o se
toute
espce
partie
Ce caractre
de
qualit
chuintante.Les
consonne,
anciens
le copsacrant
donnaient
le
comme
en
appartient,
la touche
en
gyptiens,
Thath
dont ils lui
nom,
le symbole
comme
Employ
le
regardaient
de l'me
univer-
grammail est
tical dans la Langue
hbraque,
de la sympathie
et de la rcicelui
du
l'abondance
procit
joignant
la force de rsistance
caractre
t,
du caractre
et de protection
1Q, l'ide de perfection
il est l'emblme.
signe
et de ncessit,
Quoiqu'il
dont
ne tienne
un
point
articles
les
parmi
rang
particulier
il parat
nanmoins
trop
souvent
la tte des mots, pour qu'on
ne doive pas souponner
qu'il tait
en cette qualit
dans. l'un
employ
o sans doute
des dialectes
gyptiens,
de la
la relation
il reprsentait
ftK
mme manire
S reque le caractre
prsentait
qu'une
de mettre
d'asseoir,
disposer,
selle.
comporelatif
le lieu
indique
irrsistiblement
au propre
qu'au
runit
l'onde; l'ondeelle-mme;
L'ar.
en-
verbe
j&yX dsigne
ce qui trouble,
tout
mle,
etc.
gnral
choses,
clinent
et
Le
domine.
et
le sige,
des choses,
ce qui
j&~ dveloppe
tirement
la R. hbraque,
opposes
cause de la forme intensitive
qui
se des
<~w
l'analogue
ou
en gnral,
le fond
particulirement,
fT)~.
sa distillation,
du sens
partie
dans
primitifsetrouve
qui dsigne,
le fondement
public.
W.
ce qui concerne
la sparation
de l'eau,
dans
radical,
le mouvement
le
exprims
par
a caracl"~
ou
de tout ce qui est d-
l'action
sordonn,
contraire
le cours
au
TH.
Son
la relation
nombre
Hg,
arithmtique
ou
~3-
est 4oo*
~T~.
cours
de dtermina-
ide
Toute
THA.
de dfinition.
de dsignation,
<~erce qui
n~!M. Tout
circonscrit.
C'est, dans
~n~, <~&Hif,
tion,
un
sens
la chambre
restreint,
comp.)
QKM
COF~J
(R.
THB.
Une description,
un d!M~M.
Toute
sympathique
une sphre;
espce
affinit;
par
le vaisseau
le Monde,
la Terre
L'ar. <~J est une
got
avec
chose
lequel
donc!
l'action
prime
de
de runion
un
globe;
de l'Univers,
etc.
StM-
une
on
repousse
Le verbe <
L'ar.
se
d'un
repentir
TIIG.
de suivre
de
un
re-
mou-
s'a-
Racine
inusite
en
h-
breu.
L'arabe
mutation,
en hbreu.
le syriaque
le sein.
que
indiquent
galement
ou
L'ar. tjj
signifie
mouiller.
arroser,
H~.
THEH
~MFM~c<!c~
R. analogue
mais
la R. ~n;
plus morale,
la raison
in-
dont l'expression
caractrise
davantage
et sympathique
fluente
et par le verbe
se liqufie.
des
choses.
~J~y, une
chose
z'a~~M~
(Bac.
comp.)
/'eCM<eHce universelle.
V. la R tn.
TTIOU.
1'n.
et *tn,
j~
semMe
action
aux R~
Racine
analogue
mais d'un effet plus phy-
sique.
de
bole,
indiquer
passagre
une
le
ide
ca!ac/~e
emblmatique
une t~MC/~KM,
de ~?M,
sens
tendue
nire
corde
lettre.
restreint,
de temps
simple.
de
sym-
hiroglyphique,
un /~af~
M/M~M~
etc.
ment,
L'ar. ~caractrise
ple, non compose,
qu'une
d'une
seule
qui
c~in
un
une
ainsi
chaldaque
telle
~f\
inusite
Rac.
Toute
<~J~signi6e
proprement
de ses garemens.
revenir
mender,
Le
DTH.
ex-
de tourner,
*7~.
rac.
pch.
L'action
par
de quelque
On entend
chose.
une FM~/DC~K~ thiare.
JJ,
L'ar.
Lbysigni6e proprement
~<~<rer, se perdre
dans le vide. On entend
~l~Y, Mw c~o~c
MHM~/
par le compos
onomatope
du de
le mouvement
caractrise
qui
mu-
V. la R.
H~.
~.CO~M~
une information,
~1~.
mutuel.
L~M desir
un figuier.
~T~~MC
desir
close
Un jumeau.
Une occasion,
rciune <TM~~
~R.CO~J
?Mt.
une OCC~~rC/M*
t33
THOU.
THA.
MU
un
&f~e,
une
un monuchose
sim-
non
complexe,
un brin,
un mot
C'est
aussi,
une
A~M~j
envisage
d'une
dans
une
ma~
TWt THOOH.
;*pQt
~n.THL.
dei~de~~Mf~
de<T~etc.
THH. Cette
racine
caract~~.
rise !e point sympathique
par o les
<?M- choses sont tonnes,
~c milieu,
quant leurs
le ~oint de ruou aggrges
les unes aux
parties,
L*actt<M
g7)~r,'de~e~r<c&~M~
*?~.
Toute
le point de contact
autres;
par o
elles se touchent;
central
le point
vers lequel eHes gravitent.
De l,
ou
M~~M.~) Toute
~f!.
/JR.
"{1
ide de &M M~nM~MM~,
d'<MCd~CM~;
~o~
d'une qu'estion;
i~Scao! d'une
ebose, 1
iXa<~t~Mt~avec1a-
!e saisit;
avec
~t~MM~e
on s'en sert
tout ce qui
laquelle
tout ce qui ~?tend au mme point;
on
quelle
etc. V.
MMCc~NM~;
ni*\
TH.
breu.
L'arabe
en h-
inusite
Racine
semble
indiquer
la faiblesse
qui tient
En ajoutant
Finnexion
organes.
cette racine caractrise
turale,
motion
-y,
faction
une
des
gutdans
de ~'<MMoy~.
L'ar.
dical
de
l'hbreu,
que
du
loppement
qui sejrapporte
ropressoit physique,
soit morale,
sion,
comme
celle d'un homme
oppress
par Frvresse, on par en accs de folie. Le verbe iotensttM
~J~ou
~J~
n'a conserv
~J
*pn.
sens ra-
encore
cuM? pieds,
~OM~r
de vagues,
Mt<at<&
est~M/~MM~.V.nn.
THL. Toute
'01~.
SUT.
breu.
L'arabe
d'enfance,
racine
inusite
en h-
un tat
1?~ exprime
de faiblesse et d'imbcHit.
d'amas,
L'ar.
Racime
a~atogae
la R.
nr!.
g~r).
~n.
R.wn.
Un &
v.'ia
J~
tient
ce qu'on
au
sens
place
radical
l'ua
de
loppemens
un sens restreint,
cependant
co~
tout
amoncelle,
sur l'autre.
l'hbreu,
THI.
ide d'entassement,
de cumulation;
tout ce qu*on
~a R. arabe
soulever;
~rcy ~o~ ia
par J~,
en le creusant.
signie
et l'on entend
terre
d'un puits
~n.
THL.
7M MOMt~~Mj
ceau, un tas; une chose suspendue,
un trophe
MM ~N'oMOM,
comme
~n
et ~T~
<~<!y7M~,
CtC.
Mn.THPH.
le ~MAMMM/ des
mtaux,
nores.
L'actto~de
tM ~t~eM~
~MV~M~.
tout
coffhs
s<b
<&~wtcr; MB~~M~pe,
ce qui est ~&
des signes,
tion, se trouve
de
L'action
<~t<~M
~~n. ~a<
c~~re
et de .$ <~M~ outre
meau~
un ~KO/M/r~, M/t J~~o~t,
MM cro-
collectif
eo<
Q~.
THM.
<3~
universalis
par le S.
ride de tout
dveloppe
0)
ce qui est universellement
vrai, universel!ement
image accomapprouv,
de l,
plie de l'me Mniverseue:
On jC~c~w~MA~r~,soit
physique
soit
justiee,
L~tr.
&<MNf~,
la vrit, At
toutes les vertus.
morale:
presque
tous
jj~ participe
les dveloppemens
de la R. hbraque.
Dans un sens restreint,
c'est, comme
l'action
d'<acAc<w, d'accMMverbe,
~Z~ de~cy/cc<K)MW~de/&M~
Comme
relation
se reprsente
adverbiale,
~J
en franais par
? bas, au loin.
Toutevertu
ouOOM. ~R. intens.)
devenue
~M erreur,
tre, dgnre,
une M~C~B<'<WM
t<H<?ruine.
respce
des
ct<~o6es,eo
nrat.
D~.
THS.
R. inusite
<~haldaque
dsigne
ment, Mae~VCM~.
L'ar.
M~tJ dsigne
en hbreu.
un
Le
~cH~~M~-
une
rsc~,
une
%M~.
THU.
Tout
des
par
dehors
$pcieox
/A)yMWTMM, &MMd~.
tient la R. hbraque
seu1/ar.
lement du c~t physique,
et indiqua
l'tat
ide de substance
THN. Toute
T~.
de plus
de corport
en
ajoute,
une extension
de
croissante
plus
ge<
L'action
THPH.
sans
vi-
peint
en par.
de se irMoc~Mer, de
R. onomat.
exprimant
du tambour.
De l, par anaUH e~aeA<
logie, l'ar.
c~ccA~r;
et par mtaphore,
tout objet dgo voir. Dans Jt'itant et qui rpugne
~~.
le bruit
~H. THOUPH.
3S
dime arabe,
signine
un ~~n&dMr
de 6asque.
Le mot chaldaque
Mn.
l'action
d'anathmatiser,
L'ar.
t'tat
indique
-ab
THCQ
p~.
signifie
d'~~w.
d'tre
c/Wc,
)!/ioM&?<r
le z'M'c.
pable,
par
tV) TMTH.
autre
l'action
a'<~
~~c,
de J~r;
en hb. Le
d~M~e'r.
ab* signine
'~M.
THR.
tion
donne
Toute
ide de dtermina-
l'lment
dans
sens trs-tendu,
la ?MO<
*Tf1. Dans un sens restreint,
espce de ~M<~
d'M/M~o~
donne
ce qui distille.
~IM. L'action
~cr; de tourner
un
toute
de dis-
du
liquide,
tout
de yMod~y,
dechand'une manire
en une
de co/M~~r,
de tral'action
d'entou-
?~
R. inustite
ce qui
cou-
semble exprimer
le doute
~haldaque
moral, ou bien l'effort physique.
est une R. onomatop.
qui
L'ar.
se reprsente
en franais
par ~'are
Le verbe
tout
'~M.
THSH.
L'ardeur
sympathique
de la nature,
le feu. gnrateur.
Le symbole de la f~~U ou ~f!.
condit animale,
un bouc.
L'ar.
une
proprement
j&y signine
OM~,
cause de la peau de bouc
dont elle est faite; et par mtaphore,
le vent renferm
dans l'outre et qu'on
en fait sortir
en la pressant.
compos j&.y.~emble
sorte de transmutation,
d'un tat un autre.
Le mot
une
exprimer
de passage
<t~CH!tOM.
L'ar.
seulement
jou
r;
j
et
par
le plus
proprement,
tout
trent
C'est,
physique.
ce qui a du suc,
Fttf
LA
riri.
THTH.
Racine
inusite
en h-
breu.
L'ar.
une fente,
<~y indique
]raie, une soution
de continuit.
PRBMt~BB
PARTtK
une
TABLE
DE
LA
DISSERTATION
INTRODUCTIVE.
.1
et
l'origine de la Parole,
sur l'tud des Langues qui peuvent y conduire.
authenS. H. Langue
hebra~ne
Sur
ticit du Spher
de Moy<e
s!tuJesquece!ivre
P.
CH.
PRINCIPES
$.1. VeritaNe
maire.
but
I!.
OrignedesSIgnesetleardcveceaxde ta langue
toppemeat:
GramP.
3.
et dfinition.
tymologie
Division
de la Grammaire:
.
Parties du discours.
t3.
Alphabet
hbra'iqae.
16.
Alphabet
comparatif.
t~.
DZ9
StC-NES
CONMD~RES
xxv.
HBRAQUE:
S'!
!.
COMME
CARACTERE.
P.35.
braque.t.
S. t. Emploi. des signes
tir du franais.
CH.
IV.
De
St6NE
he-
exempte
~o.
LA
PHODmSAttT
aACtBTE.
aRetatton.
1. Alphabet hbraque
les: son origine.
des points-voyeUcs.
des points-voyeUes:
samantaia.
t..
CH. III.
t8.
53.
jectioB.
CH.V.
ay.
un des
S. . Les caractres
tracs,
et<!)Ttcns du tangage <Priucipo hiddo leur forme prim!*
rogtyphique
Du
NoM.
Le
S.V.Dunombro.
3t.
T.t,
et derfater-
aa.
DES CABACT&nMCONMD~M~
COMMEStGXES.
tivc.
~y.
$. Ht. De !aPrpos!t!pn
ses voyel-
II. Origiue
.111 Hets
texte
xt.
. in.
C]&t~AP.
doucette
P.
a prouves.
vicis-.
GRAMMAIRE
CH.
PARTIE.
PREMIERE
SB.
63.
69.
~t.
S. V. Du tnou~cmeut.
. V. De la coHittructiott.
$. TH. De la signiCcatioa.
75
8~.
H~.
tt
<38
CIl.
PREM~RE
PM R:E!.T<ON8NMtNAMS.
Vt.
$.
S.n.
Pronoms
S. 1!
Emploi
des aiExes.
92.
DP VERBE.
absolu,
et du Verbe
g6.
particulier.
$.H. Trois espces de verbes parti.
cu!ieK.
des verbes
comi*
S. M. Anatyse
Naux
85.
88.
AjBxes.
Du Verbe
ine~on
BARTtE.
9
Remarques.t.
P.
abtotos.
CH.VH.
$.
LA
DE
fABLE
too.
verbale.
. t. Conjugaison Radicale-compo.
sep a~ ce l'adjonction
initiale ).. y
Remarques.
VI!.
Du
t~.
t6t.
$. V. Conjugaison
Radicale-compose avecradjonction
termmative.
164.
R~marq~es,
$. VY. Des
~9.
irrdgutarit~s
11 o.
Ds
. . Conjugaison
radicale.
sur. cette
JRemarqae
coajngaMon..
S. M. CoajugaMcn drive.
t~3.
CoKSTnCCTO!t
RE~ATtONS
C~R&CTKBES
DES
ADVERtAR~UO-
CotTCLUStOM.
Runion
des ~fhes
aux
af178.
t8~.
<3<.
fixes verbaux..
t'
S. 11. Des rotations adverbiales.
Des caractres paragogiquos.
S.
136,
S.
t~3.
t2$.
J~ACNEjS
DES
Gt<yCES:
.
DEsCoMP&jHSOM.
LA.
DES
MAUN
114.
tt9.
S.U.FcrmationdestempsverbaNx..
IV.
Conc!mion.
tgo.
HBRAQUES.
P. t.
P. (~.
Cg.
~5.
6~.
~.CH.K.
~.L.
S. M.
X.A.
3.B.y.
~.G.3.
1.B.
S.N.
a. S. X.
h.H.E.
as.
t.W.OU.
3g.
T. Z.
r!.H..
55.
58.
~T~~<
~"
&t.~
~o.
irrcgtdire.
VERBES
!t<.
les
trois conjugaisons.
CH. X.
AVNMrMSEMEM*
VoCABTJt.AtM it~MCA..
dans
BP
VERBZ.
CH.IX.
t~.
Conjugaison
Racticatc-cominitiale g.
pose avec t'ad)onction
Remarques.
to~.
MoBtttCATtOM
t ~g.
$.!y.
Conjugaison
CH.
p.
t'~pM.B]t!
89.
y.&U.W.
jS.PH.
'!t.
,03.
?.
t~.
,,H.
~.Q.K.
~.R.
~.SH.
n. TH.
)t.A
~MS~t~B
,3~.
~ARW!~