Rapport de stage

(Stage d’initiation)

Réaliser par : Zarra Mohamed Khairi

Classe : GM1.1

Année universitaire : 2014/2015

Période du stage : De 12-01-2015 jusqu'à 07-02-2015

Entreprise : ABICHOU MAINTENANCE MECANIQUE MODERNE

Etablissement : Institut Supérieure des Etudes Technologiques de Bizerte

Encadré par : Mr Abichou Kamel

 Remerciement

avant tout, je tiens à présenter mon fervent remerciement a l'Institut Supérieure des Etudes
Technologiques de Bizerte qui m'a permis de vivre une telle expérience industrielle enrichissante
et avantageuse.

Je tiens à remercier tout particulièrement et à témoigner toute ma reconnaissance aux personnes

suivantes, pour l’expérience enrichissante et pleine d’intérêt qu’elle m’a fait vivre durant ce mois
au sein de l’entreprise Abichou Maintenance Mécanique Moderne :

Monsieur Kamel Abichou, gérant et chef d’atelier de l’entreprise, pour m’avoir intégré au sein
de l’entreprise et m’avoir accordé toute sa confiance ; pour le temps qu’il m’a consacré tout au
long de cette période, sachant répondre à toute mes interrogations ; sans oublier sa participation
au cheminement de ce rapport.

Je remercie aussi Monsieur Moussa Abichou pour l’aide et les conseils concernant les missions
évoquées dans ce rapport, qu’il m’a apporté lors des différents suivis, ainsi que l’ensemble du
personnel de l'entreprise pour leur accueil sympathique et leur coopération professionnelle tout
au long de ce mois.

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 Présentation de l’entreprise

La société Abichou Maintenance Mécanique Moderne ou aussi connu sous le nom « tour
Djerba » est une entreprise industrielle et aussi d'entretien mécanique . Elle est situé dans
la zone industrielle Midoun Djerba cette institution contient prés de 20 personnes entre
entretiens, industriels et magasiniers.

La société est l’une des plusieurs qu’assurent des services rapides et qualifiés pour les clients.
Elle est été parmi les plus compétentes dans le domaine mécanique depuis les années 90. Cette
entreprise couvre une grande partie de sud avec ses services. Elle couvre l’ile Djerba, Zarzis,
Mednine, Tataouine, Bengurdane.

Cette entreprise contient 3 grandes ateliers :

*Atelier Mécanique : au bout de lequel se fait les réglages des plusieurs composants mécanique.

*Atelier d’entretien des culasses : c’est l’atelier conservé pour la réparation des culasses.

*Atelier de soudure.

=» La stratégie de cette entreprise était :

{Honnêteté dans la parole et le dévouement au travail}.

Elle a mis les trois ateliers pour assurer le bien à ces clients aussi que tous les départements de
cette entreprise sont unis afin de satisfaire ses clients.

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 Introduction :

J’avais effectué mon stage ouvrier chez l’entreprise Abichou Maintenance Mécanique
Moderne.

Ce stage m’a permis de découvrir le travail au sein d’une entreprise industrielle.

Cette entreprise a mis en contact direct l’ouvrier et le client et ça qui m’a donné de plus.

J’avais choisi en priorité cette entreprise car elle est bien réputée dans son domaine.

Un stage au sein d’une entreprise n’est qu’un complément à tous ce que j’ai vu au cours de
l’année universitaire.

L’enjeu de ce stage était donc de découvrir un nouvel univers professionnel et aussi d’élargir
mes compétences (communication avec les clients, exécution des certains opération…).

Au-delà, ce stage m’a permis de comprendre dans quelle mesure les relations entre les ouvriers
d’une même société, le respect des normes de travail et amélioré l’aptitude d’être discipliné.

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 I. Tournage

1) Définition :

Le tournage est une des opérations les plus courantes dans l’usinage des pièces .il comporte : le
chariotage, extérieure ou intérieure, dans lequel l’outil agit parallèlement à l’axe ; le dressage,
dans lequel l’outil agit perpendiculairement à l’axe ; le perçage ; le filetage ; obtenu par
déplacement de l’outil synchronisé par la vis mère avec la rotation de la pièce.

2) Schéma du tour :

3) Différents types de montage :

La pièce peut être montée entre pointes ou en l’air, serrée par les mors d’un mandrin, bridée sur
plateau ou tenue par une pince, fixée sur le nez de la broche. Lorsque la pièce à usiner est longue
et peut rigide, on la soutient en outre dans sa partie centrale par une lunette .la plupart des
opérations de tournage s’effectuent à l’aide d’outils coupants (à charioter, à dresser, à aléser, à
fileter …)

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4) Les opérations de tournage :
- face de chariotage : opération d’usinage au tour, consistant à déplacer l’outil de manière à
exécuter sur la pièce une surface de révolution. Lorsque la trajectoire de l’outil est parallèle à
l’axe de révolution de la pièce, la surface obtenue est cylindrique. Tandis que lorsqu’elle est
oblique par rapport à l’axe de révolution de la pièce, la surface obtenue est conique.

.
- face de dressage : opération consistant à faire disparaitre les irrégularités d’un fil métallique ou
d’une surface plane. Usinage perpendiculairement à l’axe de la pièce.

- face de filetage : opération consistant à creuser une rainure hélicoïdale le long d’une surface
cylindrique .elle est obtenue par la combinaison du mouvement de rotation avec le mouvement
de translation.

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- face d’alésage ; usinage consistant à façonner en finition la paroi d’un trou préalablement
ébauché, trou ainsi usiné. Elle est obtenue avec un outil à tranchant unique ou à tranchant
multiple (alésoir).

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II. Les culasses
1) La Surfaceuse :
a) Définition :

La surfaceuse est une machine qui assure la planéité ou la régularité de forme d’une surface.

b) Schéma :

c) Installation hydraulique :

Elle fait distribuer l’huile pour commander le chariot ce qui fait que le déplacement de ce dernier
peut être varié avec une précision infinie. Aussi la profondeur de passe est commandée
hydrauliquement ce qui résout le problème du jeu.

d) Installation électrique :

Groupée dans une boite approprié fixée sur la coté de la machine et qu’on peut la contrôler
facilement.

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 e) Méthode de travail :
- Fixer le bloc ou le culasse
- Si la matière du bloc ou de la culasse est en fonte, on choisi la meule abrasive pour la
rectification. Tandis que lorsque la matière est en aluminium, on utilise l’outil carbure.
- On fait la tangente de l’outil avec la surface.
- Prendre des profondeurs de passe bien déterminé afin d’avoir un bon état de surface.

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 2) Tests des culasses

- On utilise une machine de test de pression de culasse. Cette dernière est utilisée pour tester la
pression des culasses et circuits de réfrigération des blocs. L'opération est facile et pratique et la
détection est efficace.

- Méthode de travail :
- Au premier lieu, on met le culasse sur le banc .
- On place des bouts de caoutchouc sur les lumières du circuit d'eau suivi d'une grosse plaque de
plexi. La culasse est boulonnée sur le châssis de la machine avec des entretoises.

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- Là, le couvercle du bas de la machine est viré pour découvrir une délicieuse soupe à l'antigel à
65°c. Remarquez le tuyau du compresseur branché sur la culasse. Le tout est sous pression.

- La culasse est immergée, sous pression d'air. On la laisse se dilater dans l'eau chaude. S'il y a une
fuite, c'est comme une chambre à air de vélo, les bulles d'air la trahisse.

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 3) Rodage des soupapes :

Même si on monte des soupapes neuves, il faut roder les soupapes. Cette opération consiste à
faire tourner la soupape sue elle-même par un va-et-vient sur son siège, de façon que les deux
surfaces de le portée de la soupape et du siège se rodent entre elles ; c'est-à-dire que les
minuscules inégalités seront éliminés jusqu'à ce que les deux parties coïncident parfaitement.

Méthode de travail :
- on applique de la pate a roder comme ceci sue la soupape.

- On positionne la soupape dans son siége et on y colle la ventouse au dessus.

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- on commence a faire tourner la ventouse en un seul sens de rotation ( un quart de tour vers la
droite , on soulève puis on recommence ).

- On continue ce procédés jusqu’a ce qu’on obtient une soupape pareil a celle dans la figure
suivante :

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 5) Rectification des sièges des soupapes :

On rectifie les sièges des soupapes avec une machine spécifié. Cette opération permet de
redonner aux sièges de soupapes leur forme initiale, ceux-ci peuvent avoir perdu leur profil suite
a l’usure de contact entre le siège et la soupape. Ainsi l’étanchéité nécessaire au bon
fonctionnement de la culasse est restaurée.

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III. Glaceuse
1. Définition :

La glaceuse est une machine à pour but de polir la surface sur laquelle glisse un groupe mobile
(piston.)

2. Schéma :

3. I installation hydraulique :

C’est une installation de la machine qui fait distribuer l’huile pour avoir le mouvement de va et
vient de la broche .a cet effet il fourni avec la machine une pompe hydraulique qui est séparée de
la machine.

4. Installation électrique :

L’installation électrique de la machine est groupée dans une boite appropriée fixer sur la coté de
la machine et qu’on peut la contrôler facilement.

5. Méthode de travail :

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Le glaçage des chemises ne demande pas une grande précision de centrage, ca est du à la liaison
par cardons qui joigne la broche par le radoire (outil comportant 3 ou 4 pierres d’huile qui
assurent le glaçage et 3ou 4 lèvres qui assurent sa stabilité dans la chemise) les étapes sont :

- Mettre le bloc en place

- Choisir le radoire correspondant au diamètre des chemises (cylindre)

- Mettre l’axe de la chemise approximativement à l’outil coïncidé avec celle du radoire.

- Faire pénétrer l’outil dans l’alésage de la chemise.

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 - Serrer les meules abrasives du radoire Alimenter la machine.

- Alimenter la machine .
- Le mouvement verticale de l’outil se fait automatiquement sauf que dans certains cas
l’intervention de l’utilisateur est obligatoire.

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IV. Aléseuse verticale
1) Définition :

L’aléseuse verticale est une machine utilisée pour l’alésage des cylindres et des blocs-
chemises.

2) Schéma :

3) Installation électrique :

Elle est équipée dans une boite appropriée fixée sur la coté de la machine et qu’on peut la
contrôler facilement.

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 4) Méthode de travail :
- D’abord, il faut que l’outil doive être effectué.

- Fixer le bloc sur la table.

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- Sélectionner la broche suivant le diamètre de chemise.

.
- Monter et fixer l’outil à l’aide d’un comparateur ( a 5/100 prés ).

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- Alimenter la machine.

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 V. LE SOUDAGE
1) Définition :
Le soudage des métaux est une technique d'assemblage permanent qui établit la continuité métallique
entre les pièces soudées. La soudure est le nom donné au joint formé par la fusion des bords des
pièces à souder entre elles, avec ou sans adjonction d'un métal d'apport.
2) Les procédés de soudage :

Pour réaliser une soudure, il faut un moyen de chauffage qui soit capable d’élever à la
température de fusion les bords des pièces métalliques à assembler.IL existe plusieurs procédés
pour chauffer des métaux jusqu’au point de fusion. Les plus utilises dans cet atelier sont :

a) Le soudage au chalumeau oxygène acétylène :

La combustion de l’acétylène dans l’oxygène produit une chaleur de 3100°C. Le procède de

soudage oxyacétylénique consiste à faire bruler les deux gaz contenus dans des bouteilles à
l’extrémité d’un chalumeau et à appliquer la flamme sur les pièces métalliques à assembler.

Ce procédé de soudage est un procédé manuel, simple, souple, facile à déplacer et utilisable dans
les régions non électrifiées. Il permet le soudage des aciers courants, des aciers alliés, des fontes
et d’un grand nombre de métaux non ferreux.

Ses principales applications sont :

 Les répartitions diverses (automobiles, machine, etc.)

 Le soudage des épaisseurs inférieures à 6 mm.

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 b) Le soudage à l’arc électrique :

 Avec électrodes enrobées :

L’arc électrique est une étincelle obtenue par l’écartement de deux conducteurs sous tension en
court-circuit.

Sous l’action de la chaleur, l’arc creuse un cratère dans la pièce métallique et fait fondre le métal
d’apport de l’électrode. Le métal fondu se dépose alors dans le cratère. Dés que l’arc s’éteint le
métal se solidifie aussitôt, faisant apparaitre à l’endroit de la soudure un cordon de soudure.

c) Soudure a l’argon :
Pour souder les aciers, le meilleur moyen est la soudure sous atmosphère inerte ( argon ) sur un
poste a souder de type MIG ( Métal Inerte Gaz ).le bulle d’argon autour du point fusion empêche
l’apport de carbone contenu dans l’air ce qui modifierait considérablement les propriétés de
l’acier en fusion ( perte de sa ductilité ou le corrosion).

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VI. La presse hydraulique

Entretien des Machines

1. Introduction :
Toute machine doit être soigneusement entretenue. D’une importance particulière la lubrification
des organes fonctionnels avec les genres d’huiles prescrites. Dans cette intention, chaque
machine est munie d’un écriteau, qui comporte le schéma de lubrification, les délais de
lubrification et les types d’huiles à employer. Lors du fonctionnement de la machine il est
recommandé d’observer ce qui suit :
 Lubrification régulière et chargement de l’huile et du filtre.
 Ne pas mélanger de différents huiles et graisses.
 La machine doit être nettoyée seulement avec des chiffons.
 Pour le nettoyage des boites de transmission ne pas employer des liquides se vaporisant
facilement ou des liquides corrosifs.
2. Lubrification des machines
1. Le Tour :

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 Boites de vitesses et boite avances

 La lubrification des boites des vitesses est assurée de manière automatique par un dispositif de
lubrification. Pour la lubrification on verse de l’huile dans le réservoir de l’installation jusqu’au
trait inférieur de l’indicateur d’huile (14 litres). Les niveaux de l’huile dans le réservoir doit être
contrôlé périodiquement. Si ce niveau de l’huile est au dessous du trait inférieur de l’indicateur il
faut verser de l’huile dans le réservoir. Cette vérification doit être faite avant la mise en marche
de la machine, étant donné que pendant le fonctionnement de la machine l’huile est en
circulation est le niveau du réservoir s’abaisse. Pour changer l’huile il faut dévisser le bouchant
se trouvant dans la partie inférieure du réservoir. on doit changer l’huile périodiquement après
chaque 500 heure de travail. En suite, un changement de filtre de l’huile à chaque 2000heures est
suffisant.
2. Aléseuse verticale :
Comme toute machine, l’aléseuse verticale doit être aussi soigneusement entretenue et la
lubrification des organes fonctionnes avec les genres d’huiles prescrites est très important.

La vie en société

Mon stage chez LPM a été très instructif. Au cours de ce mois, j’ai ainsi pu observer le
fonctionnement d’une entreprise. Au-delà, de l’activité de chacun des services, j’ai pu apprendre
comment s’articulent les différents départements d’une telle entreprise. Par ailleurs, les relations
humaines entre les différents employés de la société, indépendamment de l’activité exercée par
chacun d’eux, m’a appris sur le comportement à avoir en toute circonstance.

L’articulation des différents départements

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 Comme il a été vu plus haut, les départements structurent la société LPM. Aussi, et au travers
des l’analyse qui a pu être faite, il apparait indéniable que tous ces services interviennent à un
moment ou à un autre de la prise de décision. Pour autan, cette prise de décision mérite d’être
étudiée spécifiquement, dès lors qu’elle est largement importante. En effet, il est possible de
comparer ce type de société avec une famille.

Aussi, toutes les semaines, les résultats étaient diffusés à tous les employés, de manière à ce
qu’ils soient impliqués dans les résultats de l’entreprise (sachant que le but est chaque semaine
d’avoir un maximum de gain et ce qu’ils connaissent plus.

La circulation de l’information est ainsi un des points forts que j’ai retenu de cette société, tant
au niveau de travail collaboratif, que dans le bon fonctionnement de la société

La relation humaine entre les employés

Au-delà du fonctionnement de l’entreprise, j’ai pu ressentir de confort. En effet, l’atmosphère au

sein de la société était très familiale. J’ai ainsi constaté que la hiérarchie des fonctions de la
société LPM était rigoureuse dans les rapports entre les employées, favorisant par -le travail.

A titre d’exemple, j’ai changé des postes mais, j’ai senti le même sentiment. Au travers de cette
convivialité, j’ai pu comprendre que l’activité d’une société est plus performante dans une
atmosphère chaleureuse et bienveillante.

Conclusion

 Pour conclure, je tiens à exprimer ma satisfaction envers ce stage qui a un grand intérêt pour
moi soit sur le plan professionnel ou sur le plan social. C’est une préparation pour la vie
professionnelle pour compléter la formation dispensée à l’institut supérieur des études
technologiques de NABEUL .En effet il m’a permis de :

 Reconsolider les connaissances théoriques acquises au sein de l’école.

 Faire des relations et des contacts avec des techniciens dans leurs postes de travail.

 Voir de prés les différents types de procédées mécaniques d’usinage appliqués sur divers types
de métaux (aluminium, fonte, bronze.)

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Tout de même, ce stage restera insuffisant car le domaine de la mécanique est très vaste.

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