Physique
Physique
Physique
par les forces qui sy exercent et leurs eets. Elle dve- aux cts de l'thique et de la logique. Selon son lve
loppe des thories en utilisant l'outil des mathmatiques Aristote, la philosophie se divise en philosophie thopour dcrire et prvoir l'volution de systmes.
rtique, philosophie pratique et philosophie potique ; la
Le mot physique a une longue histoire, il provient de - physique est une des trois parties de la philosophie tho, forme sur l'tymon grec , la nature. La phy- rtique, aux cts de la mathmatique et de la thologie.
sika ou physica grco-romaine est tymologiquement ce Aristote crit un livre sur La Physique. Ce qui chappe
qui se rapporte la nature ou prcisment le savoir har- la triple catgorisation et ne peut tre catalogu dans la
monieux et cyclique sur la nature dnomme . Dans physique est dvolu la mtaphysique, c'est--dire ce qui
va au-del de la physique.
un sens gnral et ancien, la physique dsigne la connaissance de la nature qui se perptue en restant essentiel- Au XIIe sicle, le mot savant physique est attest en ancien
lement la mme avec le retour des saisons ou des gn- franais sous la double forme fusique ds 1130 ou sique.
rations vivantes ; c'est le sens de Ren Descartes et de Il a un double sens :
ses lves Jacques Rohault et Rgis[1] . Elle correspond
alors aux sciences naturelles ou encore la philosophie
La mdecine se nomme fusique. Son praticien, un
naturelle. La signication de cette physique ancienne ne
mdecin ou autrefois un apothicaire, est dnomm
convient plus aux actuelles sciences exactes que sont la
sicien ds 1155. En anglais le terme subsiste avec
physique, la chimie et la biologie, cette dernire tant la
la graphie savante : a physician.
plus tardive hritire directe des sciences naturelles[2] .
La sique est aussi la connaissance des choses de la
nature. Le praticien ne soigne-t-il pas avec les dons
de la nature, les herbes et les plantes, les substances
1 tymologie et volution du sens
minrales, animales ou vgtales ?
Il n'apparat en tant qu'adjectif qu' la n du quattrocento ou XVe sicle. Loys Garbin le cite dans son vocabulaire latin-franais publi Genve en 1487, o il
dsigne ce qui se rapporte la nature et le substantif sarme dornavant science des choses naturelles.
L'adjectif reste d'emploi rare avant le XVIIe sicle. Le
mot physique dsigne alors les connaissances concernant les causes naturelles et, l'instar de la force promue
par hypothse cause du mouvement, son tude apporte
l'expression philosophie naturelle selon un corpus universitaire gard par Isaac Newton, auteur des principes
mathmatiques de philosophie naturelle. Au XVIIIe sicle,
la physique dsigne clairement en franais la science exprimentale.
Des chaires de philosophie naturelle sont tablies dans
certaines universits, notamment au Royaume-Uni (Oxford, Edimbourg, etc.) Paris, on compte par exemple
une chaire de philosophie naturelle au collge de ClerSections transversales des premires orbitales de l'atome mont, occupe notamment par Ignace-Gaston Pardies.
d'hydrogne, le code de couleurs reprsentant l'amplitude de pro- Maxwell occupe quelque temps une semblable chaire
babilit de l'lectron (noire : amplitude zro, blanc : amplitude
Edimbourg o l'enseignement reste un fourre-tout indimaximale).
geste.
C'est vraisemblablement l'ouvrage Physica d'Aristote
(384-322)[3] qui est l'origine de ce mot.
3
que l'exprience engendre a totalement chapp Aris- encore les cours de philosophie naturelle jusque dans les
tote et aux prestigieux philosophes antiques.
annes 1690, partir desquelles il est progressivement
remplac par un cartsianisme sophistiqu, notamment
grce l'ouverture du collge des Quatre-Nations et les
cours d'Edme Pourchot.
Dans la premire dition du Dictionnaire de l'Acadmie
franaise, datant de 1694, le nom physique est dsign
comme la science qui a pour objet la connaissance des
choses naturelles, ex : La physique fait partie de la philosophie ;la physique est ncessaire un mdecin. . L'adjectif
physique est dni, en outre, comme signiant naturel, ex : l'impossibilit physique soppose l'impossibilit
morale . Ce n'est que dans sa sixime dition (18321835) que le sens moderne de physique apparait, le
terme est dni comme la science qui a pour objet les
proprits accidentelles ou permanentes des corps matriels, lorsqu'on les tudie sans les dcomposer chimiquement. . Enn dans sa huitime dition (1932-1935), la
physique est dnie comme la science qui observe et
groupe les phnomnes du monde matriel, en vue de dgager les lois qui les rgissent.
5 MTHODES
Disciplines
La recherche en physique contemporaine se divise en Une thorie ou un modle - appel schma une fois
diverses disciplines qui tudient dirents aspects du patiemment tay par de solides expriences et vri
jusqu'en ses ultimes consquences logiques est un enmonde physique.
semble conceptuel formalis mathmatiquement, dans lequel des paramtres physiques qu'on suppose indpendants (charge, nergie et temps, par exemple) sont expri4 Thories
ms sous forme de variables (q, E et t) et mesurs avec des
units appropries (coulomb, joule et seconde). La thoBien que la physique sintresse une grande varit de
rie relie ces variables par une ou plusieurs quations (par
systmes, certaines thories ne peuvent tre rattaches
exemple, E=mc2 ). Ces relations permettent de prdire de
qu' la physique dans son ensemble et non l'un de ses dofaon quantitative le rsultat d'expriences.
maines. Chacune est suppose juste, dans un certain domaine de validit ou d'applicabilit. Par exemple, la tho- Une exprience est un protocole matriel permettant de
rie de la mcanique classique dcrit dlement le mouve- mesurer certains phnomnes dont la thorie donne une
reprsentation conceptuelle. Il est illusoire d'isoler une
ment d'un objet, pourvu que
exprience de la thorie associe. Le physicien ne me1. ses dimensions soient bien plus grandes que celles sure videmment pas des choses au hasard ; il faut qu'il ait
l'esprit l'univers conceptuel d'une thorie. Aristote n'a
d'un atome,
jamais pens calculer le temps que met une pierre lche
2. sa vitesse soit bien infrieure la vitesse de la lu- pour atteindre le sol, simplement parce que sa concepmire,
tion du monde sublunaire n'envisageait pas une telle quan3. il ne soit pas trop proche d'une masse importante, et tication. Cette exprience a d attendre Galile pour
tre faite. Un autre exemple d'exprience dicte nettement par un cadre conceptuel thorique est la dcouverte
4. celui-ci soit dpourvu de charge.
des quarks dans le cadre de la physique des particules.
Les thories anciennes, comme la mcanique newto- Le physicien des particules Gell-Mann a remarqu que
nienne, ont volu engendrant des sujets de recherche les particules soumises la force forte se rpartissaient
originaux notamment dans l'tude des phnomnes suivant une structure mathmatique lgante, mais que
complexes (exemple : la thorie du chaos). Leurs prin- trois positions fondamentales (au sens mathmatique de
cipes fondamentaux constituent la base de toute re- la thorie des reprsentations) de cette structure n'taient
cherche en physique et tout tudiant en physique, quelle pas ralises. Il postula donc l'existence de particules plus
que soit sa spcialit, est cens acqurir les bases de cha- fondamentales (au sens physique) que les protons et les
neutrons. Des expriences permirent par la suite, en suicune d'entre elles.
vant cette thorie, de mettre en vidence leur existence.
5
5.1
Mthodes
Thorie et exprience
Les physiciens observent, mesurent et modlisent le comportement et les interactions de la matire travers
l'espace et le temps de faon faire merger des lois
gnrales quantitatives. Le temps - dni par la dure, l'intervalle et la construction corrlative d'chelles
- et l'espace - ensemble des lieux o sopre le mouvement et o l'tre ou l'amas matriel, c'est--dire la particule, la molcule ou le grain, le corps de matire
ou encore l'oprateur se positionnent un instant donn - sont des faits rels constats, transforms en entits
Inversement, des expriences nes ou nouvelles ne concident pas ou se heurtent avec la thorie. Elles peuvent :
soit remettre en cause la thorie comme ce fut
le cas du problme du corps noir et des reprsentations de la lumire qui provoquent l'avnement de la
mcanique quantique et des relativits restreinte et
gnrale, de faon analogue l'branlement des fondements du vitalisme en chimie ou de l'eondrement
de la gnration spontane en biologie
ou bien ne pas sintgrer dans les thories acceptes.
L'exemple de la dcouverte de Neptune est clairant ce titre. Les astronomes pouvaient mesurer
la trajectoire d'Uranus mais la thorie de Newton
6.2
5.2
La recherche
La culture de la recherche en physique prsente une diffrence notable avec celle des autres sciences en ce qui
concerne la sparation entre thorie et exprience. Depuis
le XXe sicle, la majorit des physiciens sont spcialiss
Albert Einstein en 1947
soit en physique thorique, soit en physique exprimentale. En revanche, presque tous les thoriciens renomms
en chimie ou en biologie sont galement des exprimen- sure o son renouveau permanent vient de l'impossibilit
tateurs.
d'atteindre un tat de connaissance parfait et sans faille
La simulation numrique occupe une place trs impor- du rel. De nombreux philosophes, dont Emmanuel Kant,
tante dans la recherche en physique et ce depuis les d- ont mis en garde contre toute croyance que la connaisbuts de l'informatique. Elle permet en eet la rsolution sance humaine des phnomnes peut concider avec le
approche de problmes mathmatiques qui ne peuvent rel, sil existe. La physique ne dcrit pas le monde, ses
pas tre traits analytiquement. Beaucoup de thoriciens conclusions ne portent pas sur le monde lui-mme, mais
sur le modle qu'on dduit des quelques paramtres tusont aussi des numriciens.
dis. Elle est une science exacte en ce que la base des hypothses et des paramtres considrs conduisent de faon exacte aux conclusions tires.
6.1
Objectif et limites
L'histoire de la physique semble montrer qu'il est illusoire de penser que l'on nira par trouver un corpus ni
d'quations qu'on ne pourra jamais contredire par exprience. Chaque thorie accepte une poque nit par
rvler ses limites, et est intgre dans une thorie plus
large. La thorie newtonienne de la gravitation est valide dans des conditions o les vitesses sont petites et
que les masses mises en jeu sont faibles, mais lorsque
les vitesses approchent la vitesse de la lumire ou que les
masses (ou de faon quivalente en relativit, les nergies) deviennent importantes, elle doit cder la place la
relativit gnrale. Par ailleurs, celle-ci est incompatible
avec la mcanique quantique lorsque l'chelle d'tude
est microscopique et dans des conditions d'nergie trs
grande (par exemple au moment du Big Bang ou au voisinage d'une singularit l'intrieur d'un trou noir).
La physique possde une dimension esthtique. En effet, les thoriciens recherchent presque systmatiquement
simplier, unier et symtriser les thories. Cela se
fait par la rduction du nombre de constantes fondamentales (la constante G de la gravitation a intgr sous un
mme univers gravitationnel les mondes sublunaire et
supralunaire), par la runion de cadres conceptuels auLa physique thorique trouve donc ses limites dans la me- paravant distincts (la thorie de Maxwell a uni ma-
gntisme et lectricit, l'interaction lectrofaible a uni l'lectrodynamique quantique avec l'interaction faible
et ainsi de suite jusqu la construction du modle standard de la physique des particules). La recherche des
symtries dans la thorie, outre le fait que par le thorme
de Noether elles produisent spontanment des constantes
du mouvement (comme l'nergie se conserve quand les
quations du systme sont invariantes temporellement),
est un vecteur de beaut des quations et de motivation
des physiciens et, depuis le XXe sicle, le moteur principal des dveloppements en physique thorique.
Du point de vue exprimental, la simplication est un
principe de pragmatisme. En eet la mise au point d'une
exprience requiert de matriser un grand nombre de paramtres physiques an de crer des conditions exprimentales prcisment xes. La plupart des situations se
prsentant spontanment dans la nature sont trs confuses
et irrgulires. Outre des gures exceptionnelles comme
l'arc-en-ciel, qui cause un fort tonnement chez le profane, le monde notre chelle mle de nombreux principes et thories appartenant des domaines disjoints du
corpus. Les concepts de la physique sont longs acqurir, mme par les physiciens. Une certaine prparation
du dispositif exprimental permet donc la manifestation
d'un phnomne aussi pure que possible. En somme, un
arc-en-ciel bien contrast et net, pour prendre une image Isaac Newton
potique. Cette exigence exprimentale donne malheureusement un aspect articiel la physique, en particulier
lors de son enseignement un jeune public. Paradoxalement rien ne semble aussi loign du cours de la nature
qu'une exprience de physique, seule la simplication y thmaticiens taient d'ailleurs la plupart du temps physiest pourtant recherche.
ciens et souvent philosophes naturalistes aprs la refonAu cours de l'histoire, des thories complexes et peu l- dation kantienne. De ce fait la physique a trs souvent t
gantes d'un point de vue mathmatique peuvent tre trs la source de dveloppements profonds en mathmatiques.
ecaces et dominer des thories beaucoup plus simples. Par exemple, le calcul innitsimal a t invent indpenL'Almageste de Ptolme, bas sur une gure gom- damment par Leibniz et Newton pour comprendre la dytrique simple, le cercle, comportait un grand nombre de namique en gnral, et la gravitation universelle en ce qui
constantes dont dpendait la thorie, tout en ayant per- concerne le second. Le dveloppement en srie de Foumis avec peu d'erreur de comprendre le ciel pendant plus rier, qui est devenu une branche part entire de l'analyse,
de mille ans. Le modle standard dcrivant les particules a t invent par Joseph Fourier pour comprendre la diflmentaires comporte galement une trentaine de para- fusion de la chaleur.
mtres arbitraires, et pourtant jamais aucune thorie n'a Les sciences physiques sont en relation avec d'autres
t vrie exprimentalement aussi prcisment. Tou- sciences, en particulier la chimie, science des molcules et
tefois, tout le monde saccorde chez les physiciens pour des composs chimiques. Ils partagent de nombreux dopenser que cette thorie sera sublime et intgre un jour maines, tels que la mcanique quantique, la thermochimie
dans une thorie plus simple et plus lgante, comme le et l'lectromagntisme. Ce domaine interdisciplinaire est
systme ptolmen a disparu au prot de la thorie kpl- appel la chimie physique. Toutefois, les phnomnes
rienne, puis newtonienne.
chimiques sont susamment vastes et varis pour que la
7.2
La physique et la technique
9 Notes et rfrences
[1] Selon Le Littr
[2] En franais, l'expression sciences naturelles a une signication plus restreinte qu'en anglais ou en allemand,
langues dans lesquelles elle a gard son sens plus gnral
englobant la physique actuelle et la chimie.
Rayon laser travers un dispositif optique
[4] Ainsi Georges Cuvier, dans son Rapport historique sur les
progrs des sciences naturelles depuis 1789 utilise les deux
expressions sans distinction, il dcrit les sciences physiques/naturelles ainsi : places entre les sciences mathmatiques et les sciences morales, elles commencent o
les phnomnes ne sont plus susceptibles d'tre mesurs
avec prcision, ni les rsultats d'tre calculs avec exactitude ; elles nissent, lorsqu'il n'y a plus considrer que
les oprations de l'esprit et leur inuence sur la volont.
[5] A. Einstein et L. Infeld, L'volution des ides en physique, Payot, trad. fr. 1978, p. 34-35 : Dans l'eort que
nous faisons pour comprendre le monde, nous ressemblons quelque peu l'homme qui essaie de comprendre
le mcanisme d'une montre ferme. Il voit le cadran et les
aiguilles en mouvement, il entend le tic-tac, mais il n'a aucun moyen d'ouvrir le botier. S'il est ingnieux il pourra
se former quelque image du mcanisme, qu'il rendra responsable de tout ce qu'il observe, mais il ne sera jamais
sr que son image soit la seule capable d'expliquer ses observations. Il ne sera jamais en tat de comparer son image
avec le mcanisme rel () .
Vulgarisation physique
Berkes Istvn, La physique de tous les jours, 3e dition, 1998, 368 pages. (ISBN 2 7117 5237 2)
Courty Jean-Michel, Kierlik Edmond, 'La Physique
buissonnire, Bibliothque scientique, Belin pour
la science, Paris, Mars 2010, 160 pages. Prface
dtienne Guyon. (ISBN 978 2 84245 105 9)
10
Oehmichen J.P., Llectronique rien de plus simple,
17 causeries amusantes expliquant dune manire
simple les bases de llectronique et ses applications
dans lindustrie, 5e dition, ditions Radio, Paris,
256 pages. (ISBN 2 7091 0775 9)
Ray Cdric, Poizat Jean-Claude, La physique par
les objets quotidiens, Bibliothque scientique, Belin Pour les sciences, Paris, 2007-2008, 160 pages.
(ISBN 978 2 7011 4552 5)
VOIR AUSSI
Walker Jearl, Le carnaval de la Physique, lexplication des phnomnes physiques en 610 questions et
2 253 94298 7)
sans formules, Bordas (1980), Dunod, 1984, 258
pages. Traduction par Jean-Benot Yalnik et Michel
Biezunski, The ying circus of physics with answers, 10.1.3 Premiers pas scientiques
1977. (ISBN 2 04 015683 6)
P. Chaillet, F. Helias, Physique applique, gnie mcanique, Terminal STI, 2e dition, Foucher, Paris,
10.1.2 Initiation et veil la physique
2003, 192 pages. (ISBN 2 216 09340 8)
Colin Ronan, Toute la science, connatre et comprendre la vie et lunivers, Solar, 1994, 240 pages.
Traduction de Science explained, Marshall editions,
Londres, 1993. (ISBN 2 263 02158 2)
D. Spenl, R. Gourhant, Guide du calcul en mcanique, dition 1993/94, Hachette Technique, 1993,
256 pages. Vade-mecum au lyce professionnel.
019749 4)
Bernard Diu, Trait de physique lusage des profanes, Odile Jacob Sciences, Paris, 2000, 672 pages.
(ISBN 2 7381 0873 3)
(ISBN 2 01 020789 0)
Michel Faye, Suzanne Faye, Sbastien Aullen, Physique PCSI MPST PTST, Nathan, 2006, 236 pages.
(ISBN 2 09 187325 X)
J.P. Meullenet, B. Spenlehauer, Mcanique newtonienne du point, rappel de cours, exercices et problmes corrigs, ellipses, 1981, 288 pages. (ISBN 2
7298 0330 0)
10.1
Bibliographie
9
Tome 1 : Mcanique, 2 volumes
Tome 2 : Electromagntisme, en 2 volumes.
1er volume : (ISBN 2 7296 0028 0) Deuxime
volume : (ISBN 2 7296 0029 9).
Tome 3 : Mcanique quantique.
Richard Feynman, Le mouvement des plantes autour du soleil, Collection Jardin des sciences, Diderot diteur, arts et sciences, Paris, 1997, 162 pages.
Cours anglais mis en forme et complt par David
L. et Judith R. Goodstein, traduit par Marie-Agns
Treyer. (ISBN 2 84134 018 X)
Fabrice Drouin, Lastronomie en questions, Vuibert,
2001, 202 pages. (ISBN 2 7117 5271 2)
David Lynch, William Livingston, Aurores, mirages, clipses comprendre les phnomnes optiques de la nature, Dunod, Paris, 2002, 262 pages.
Traduction de Color and light in nature, Cambridge
University Press, 1995 second edition revised 2001,
par Brangre Parise et Amlie Stepnik, (ISBN 2 10
006507 6)
Alessandro Boselli, A la dcouverte des galaxies, ellipses, 2007, 256 pages. (ISBN 978 2 7298 3445 6)
2 7000 1554 1)
Institut de mcanique cleste et de calcul des phmrides, Observatoire de Paris, Le manuel des
clipses, EDP sciences, Les Ulis, 2005, 278 pages.
(ISBN 2 86883 810 3)
10
10
Yves Qur, Physique des matriaux, Cours et problmes, cole polytechnique X et ellipses, 1988, 464
pages. (ISBN 2 7298 8858 6)
Jacob Israelaschvili, Intermolecular & Surface
forces, Academic Press Limited, London, 1995, 450
pages. (ISBN 0 12 375181 0)
John T. Yates, Jr, Experimental innovations in surface science : a guide to practical laboratory methods and instruments, AIP Press/Springer, NewYork, 1998, 904 pages. (ISBN 0 387 98332 5)
Bernard Diu, Claudine Guthmann, Danielle Lederer, Bernard Roulet, Elments de Physique statistiques, Hermann diteur des sciences et des arts, Paris, 1989, 1004 pages. (ISBN 2 7056 6065 8)
Vincent Fleury, Arbres de pierre, la croissance fractale de la matire, nouvelle bibliothque scientique,
Flammarion, 1998, 334 pages.(ISBN 2 0821 1238 1)
Jean-Louis Chermant (coordonnateur), Caractrisation des poudres et cramiques, Collection Formation cramique (Forceram), dition Herms, Paris,
1992, 268 pages. (ISBN 2 86601 307 7)
Jacques Duran, Sables, poudres et grains, introduction la physique des milieux granulaires, Eyrolles
sciences, Paris, mars 1997, 254 pages. Introduction
de Pierre-Gilles de Gennes. (ISBN 2 212 05831 4)
Benot Ildefonse, Catherine Allain, Philippe Coussot (coordonnateurs), Des grands coulements naturels la dynamique du tas de sable, introduction aux
VOIR AUSSI
suspensions en gologie et physique, Cemagref ditions, 1re dition, 1997, 254 pages. (ISBN 2 85362
485 4)
Rmi Deterre, Grard Froyer, Introduction aux matriaux polymres, Lavoisier Techniques & Documentation, Paris, 1997, 216 pages. (ISBN 2 7430
0171 2)
Gert Strobl, The physics of polymers, concept for understanding their structure and behavior, 2nd edition
revised, Springer Verlag, Berlin, 1997, 440 pages.
(ISBN 3 540 63203 4)
J. des Cloizeaux, G. Janninck, Les polymres en solutions, Les ditions de physique, Paris, 1987, 846
pages. (ISBN 286883052[ vrier : ISBN invalide] )
Jean-Franois Gouyet, Physique et structures fractales, Masson, Paris, 1992, 234 pages. Prface de
Benot Mandelbrot. (ISBN 978-2-225-82777-8)
Annick Lesne, Mthode de renormalisation : phnomnes critiques, chaos, structures fractales, Eyrolles
sciences, Paris, 1996, 388 pages. Prface de Pierre
Collet. (ISBN 2 212 05830 6)
Pierre Berg, Yves Pomeau et Monique DuboisGance, Des rythmes au chaos, collection Opus,
ditions Odile Jacob, Paris, 1997, 312 pages. (ISBN
2 7381 0524 6)
LOrdre du chaos, Bibliothque pour la science, diffusion Belin, Paris, 1992, 208 pages. Prface de
Pierre-Gilles de Gennes. (ISBN 2 9029 1878 X)
tienne Guyon, Jean-Pierre Hulin, Luc Petit, Hydrodynamique physique, Collection Savoirs actuels,
Interditions/ ditions du CNRS, 1991, 506 pages.
(ISBN 2 222 04025 6)
R. Ouziaux, J. Perrier, Mcanique des uides appliques, Dunod Universit, Bordas, Paris, 1978, 448
pages. (ISBN 2 04 010143 8)
H.N.V. Temperley, D.H. Trevena, Les liquides et
leurs proprits, trait molculaire macroscopique
avec applications, Techniques et documentation, Lavoisier, Paris, 1980, 242 pages. Traduction par J.Cl. Lengrand de Liquids and theirs properties, a molecular and macroscopic treatise with applications,
Ellis Horword Limited, 1978. (ISBN 2 85206 057 4)
Claude Cohen-Tannoudji, Bernard Diu, Franck Lalo, Mcanique quantique, collection enseignements
des sciences 16, Hermann, Paris, 1973.
Tome I, dition 1977, 900 pages. (ISBN 2 7056
5733 9)
10.1
Bibliographie
10.1.5
11
John A. Robeson, Clayton T. Crowe, Engineering
Fluid Mechanics, sixth edition, John Wiley & Sons,
Inc., New-York, 1997, 734 pages. (ISBN 0 471 14735
4)
Jean-Pierre Nadeau, Jean-Rodolphe Puiggali, Schage, des processus physiques aux procds industriels, Techniques et Documentation, Lavoisier, Paris, 1995, 308 pages. (ISBN 2 7430 0018 X)
J.E. Gordon, Structures et matriaux, lexplication
mcanique des formes, Collection Lunivers des
sciences, Pour la science/ Belin, Paris, 1994, 214
pages. Traduction de Structures and materials par
F. Gallet. (ISBN 2 9029 1882 8)
William D. Callister Jr, Materials science and engineering. An introduction, fourth edition, John Wiley
& Sons, Inc, New-York, 1997, 852 pages. (ISBN 0
471 13459 7)
P. Lacombe, B. Baroux, G. Beranger, diteurs scientiques avec le partenariat du groupe Ugine, Les
Aciers inoxydables, ditions de Physique, 1991,
1016 pages. (ISBN 2 86883 142 7)
Ren Prunet (dir), Marc Bois, Nicolle Mollier, Muriel Parisis, Josiane Steinmetz, Physique instrumentale, mcanique et phnomnes vibratoires, Collection Le technicien Dunod, Bordas, Paris 1988, 290
pages. (ISBN 2 04 018666 2)
Guy Seguier, Francis Notelet, lectrotechnique industrielle, 2e dition, Lavoisier Techniques et Documentation, Paris, 1996, 484 pages. (ISBN 2 85206
05365 X)
2 04 016933 4)
979 2)
Jean-Louis Fauchon, Guide des sciences et technologie industrielles, AFNOR/Nathan, Paris, 544
pages. (ISBN 2 09 177324 7)
Christine Merland, Jacques Perrin, Jean-Paul Trichard, Automatique Informatique industrielle, Collection sciences et techniques industrielles, Dunod,
Paris, 1995, 250 pages. (ISBN 2 10 002049 8)
Eric Semail, Physique du gnie lectrique, Lavoisier Techniques et Documentation, Paris, 1998, 220
pages. (ISBN 2 7430 0279 4)
Henri Charlent, Trait de plomberie, Dunod technique 1981, 4e dition en 1984, 860 pages, (ISBN 2
04 018986 6)
12
10
10.1.6
Dictionnaires
Revues et socits
Cromwell Benjamin, Light and matter series of introductory physics textbooks, Fullerton, California,
ditions d'auteur 1998-2005 disponibles sur www.
lightandmatter.com :
1. Newtonian Physics, 282 pages.
2. Conservation laws, 170 pages.
3. Vibrations and Waves, 92 pages.
4. Electricity and magnetism, 170 pages.
5. Optics
6. The Modern Revolution in Physics
Cromwell Benjamin, Simple Nature. An Introduction to Physics for Engineering and Physical Science
Students, dition d'auteur 1998-2005 disponible sur
www.lightandmatter.com et rvise en 2006.
Schiller Christoph, Motion mountain, the Adventure
of Physics, dition d'auteur 1997-2006 disponible
sur www.motionmountain.net
10.1.9
VOIR AUSSI
Cotton Eugnie, Les Curie et la radioactivit, Collection Savants du monde entier, Pierre Seghers diteur, 1968.
Curie Marie, Leons de Marie Curie, physique lmentaire pour les enfants de nos amis, recueillies
par Isabelle Chavannes en 1907, EDP Sciences, Les
Ulis, 2003, 126 pages. (ISBN 2 86883 635 6)
Dhombes Jean, Robert Jean-Bernard, Fourier crateur de la physique mathmatique, Collection Un savant, une poque, Belin, 1998, 768 pages. (ISBN 2
7011 1213 3)
Boudenot Jean-Claude, Comment Einstein a chang le monde ?, EDP sciences, Les Ulis, 2005, 188
pages. Prface de Claude Cohen-Tannoudji. (ISBN
2 86883 763 8)
021792 9)
10.2
Articles connexes
13
Cosmologie
Rosmorduc Jean, Rosmorduc Vinca, Dutour Franoise, Les rvolutions de loptique et luvre de Fresnel, Collection Inexions, Vuibert-Adapt, 2004, 168
pages. Prface de Michel Blay. (ISBN 2 7117 5364 6)
Mathmatiques
Gologie
Mdecine
10.2
Articles connexes
Histoire de la physique
10.2.1
Gnralits
Liste de physiciens
Disciplines apparentes
lectronique
Constantes physiques
Gophysique
Mcanique
Mtrologie
Physique numrique
Ordres de grandeur
Systme international d'units
Physique mathmatique
14
10.3
10
Liens externes
Portail de la physique
VOIR AUSSI
15
11
11.1
Texte
Physique Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Physique?oldid=111943225 Contributeurs : Aoineko, Anthere, Shaihulud, Hashar, Quintessent, Andre Engels, Gui, Zulu, Med, Jloriaux, Renard, Ryo, Alvaro, Vargenau, Mm, Looxix, Yves, Lenaic, Hemmer, Orthogae, Traroth, Jedelonge, Crales Killer, Treanna, Kelson, Pontauxchats, Grard, Ploums, Alno, Cdang, Greudin, HasharBot, Rege, R, Raph,
Zubro, Sidoine, Alexboom, Pulsar, Jusjih, Jd, FoeNyx, Robbot, LeYaYa, Caton, Spoirier, Sanao, Phe, Marc Mongenet, MedBot, Bcoconni, Sam Hocevar, Zirco, Alain Schneider, TigH, Francois Trazzi, HB, Phe-bot, Bibi Saint-Pol, Yves1953, Clatourre, Cyrille999, ~Pyb,
Ollamh, Weft, Trusty, Hgsippe Cormier, Tarap, Romary, Bluemask, Valrie75, Edmond Wells, Korrigan, Selphy, Darkoneko, Sbrunner,
Bradipus, Nicnac25, :-), (anonyme), Poleta33, (anonyme2), Pixeltoo, Baronnet, Onxy, Vincnet, Erasmus, Bob08, Pmx, Yukito, Alcandre, Marcoo, Pabix, Emirix, Sherbrooke, Bbullot, Boonta, DocteurCosmos, Korg, Jie, Philippine, Chobot, Manouchk, Stphane33,
Jean-0257, Stanlekub, Romanc19s, David Berardan, Eurka, Inisheer, Gzen92, Zwobot, RobotQuistnix, Gpvosbot, FlaBot, EDUCA33E,
YurikBot, Gene.arboit, Heinz.edler, Eskimbot, Alain r, Medium69, Jerome66, Nfermat, Naevus, MMBot, Litlok, Toutoune25, Chaps
the idol, Ste, Edeluce, Maximead, Mutatis mutandis, MelancholieBot, Chlewbot, Rune Obash, Pautard, Ceedjee, Fabrice Ferrer, Esprit
Fugace, SashatoBot, Yukimura, TiChou, Globu, Pld, Tibauk, GaMip, Pso, PV250X, Gurin Nicolas, PieRRoBoT, Alain.lerille, Helsph,
Escalabot, Ektoplastor, Xavier M., Thijs !bot, Bourrichon, Maloq, Grimlock, Mnmosyne, Escarbot, Jarih, Exo7, Misanthrope, Kyle the
bot, Laurent Nguyen, Kropotkine 113, Rmih, Dauphin, JAnDbot, BOT-Superzerocool, MSBOT, Velivolefou, .anacondabot, IAlex, Nono64, Zouavman Le Zouave, Erabot, Eybot, Nipou, Al7, VonTasha, Tejgad, Rei-bot, Salebot, SatalIakama, JohnyMan, Pamputt, Vi..Cult...,
Jean-Louis Lascoux, Chouquet, AlnoktaBOT, Idioma-bot, TXiKiBoT, VolkovBot, Richardbl, Theoliane, BlueGinkgo, 2crunk4u, Mikay,
AmaraBot, Chicobot, Fluti, BenjiBot, Synthebot, Ptbotgourou, AlleborgoBot, Auroreborealle, Sisyph, BotMultichill, SieBot, YonaBot,
Laddo, Shakki, Ianoutheshowman, JLM, Vlaam, Hercule, PipepBot, DumZiBoT, Dumontierc, SniperMask, Charlie Pinard, Passages,
Wuyouyuan, Skippy le Grand Gourou, Dono, MenoBot, Tristan Liardon, HerculeBot, H.G ANTON, Maurilbert, Max6, Letartean, ZetudBot, MicroCitron, Ggal, Bubs wikibot, AkhtaBot, Bserin, JackPotte, Proclos, CarsracBot, LinkFA-Bot, Chji, Licorne37, Micbot,
Nallimbot, Jotterbot, GrouchoBot, DirlBot, Anne Bauval, Kevin521, DSisyphBot, Zorlot, Penjo, ArthurBot, Le sourcier de la colline,
Cantons-de-l'Est, Xqbot, Abarkod, Crea.scienceculture, Yafcsm25, Clementa6, Agraan Hem Rarko, Kalki101, Coyote du 57, Lomita,
Anass anass, TobeBot, TjBot, Olyvar, EmausBot, Jereemy, Ediacara, EoWinn, Ltrlg, Thouny, WikitanvirBot, Jules78120, Movses-bot,
Schlag vuk, MerlIwBot, ConradMayhew, La carotte et le bton, OrlodrimBot, Le pro du 94 :), AvicBot, Rene1596, Dadrix95, Titlutin,
Martialguazzi, KLBot2, Justincheng12345-bot, Enrevseluj, Orezybedivid, Rome2, Paraze, Sciencessup, Matignier, Kagaoua, Housterdam,
Arbautjc, Astrophysique09, Julien008,
, Addbot, AmliorationsModestes, Elie77000, Foudebassans, Alexich, Hemsley Jenkins,
BerAnth, Louismaxime33, Tronck-11, Docet omnia et Anonyme : 219
11.2
Images
11.3
Licence du contenu