Montigny-en-Ostrevent
Montigny-en-Ostrevent est une commune française, située dans le département du Nord (59) en Hauts-de-France.
Montigny-en-Ostrevent | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur d'Ostrevent | ||||
Maire Mandat |
Salvatore de Césare 2020-2026 |
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Code postal | 59182 | ||||
Code commune | 59414 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
4 681 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 864 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 22′ 03″ nord, 3° 11′ 16″ est | ||||
Altitude | Min. 18 m Max. 40 m |
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Superficie | 5,42 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aniche | ||||
Législatives | Seizième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.montigny-en-ostrevent.com/ | ||||
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Ses habitants sont les Montignanais.
Géographie
modifierCommunes limitrophes
modifierHydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le Bay Inverse[1], le Bayon[2] et divers autres petits cours d'eau[3],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Scarpe aval ». Ce document de planification concerne un territoire de 624 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Scarpe aval, comprenant la Pévèle, la plaine de la Scarpe et le bassin minier avec l'Ostrevent. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le parc naturel régional Scarpe-Escaut[4].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 676 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Montigny-en-Ostrevent est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[13]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (56,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,4 %), zones urbanisées (32,5 %), prairies (8,8 %), forêts (7,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %)[16]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
modifierLa gare a été ouverte en 1846 par la Compagnie des chemins de fer du Nord. Elle est située sur la ligne de Douai à Blanc-Misseron.
La commune est également desservie par les lignes 3, 12 et 108 du réseau de transport Évéole.
Histoire
modifierLes premières traces de Montigny-en-Ostrevent remontent à la préhistoire. En effet, il existe des vestiges d'hommes préhistoriques présents sur le site actuel de la ville (au lieu-dit du Bois des Vignes), notamment des feux servant à communiquer avec le village voisin de Lewarde.
En 1285, Jacques Bretel signale lors du tournoi de Chauvency-le-Château, un seigneur de Montigny, venu tournoyer en compagnie des Lallaing (Maison de Lalaing), Auberchicourt, (famille d'Auberchicourt), Haussy, Hainaut, etc. Il bataille dans la mêlée contre Henri de Briey.
Robert de Montigny combat et trouve la mort lors de la bataille d'Azincourt en 1415.
En 1905, Albert Calmette, directeur de l'Institut Pasteur de Lille, crée à Montigny-en-Ostrevent un sanatorium familial (établissement de santé spécialisé dans la lutte contre la tuberculose, dit familial car visant à ne pas rompre les liens familiaux pendant les soins). Il lui a fallu beaucoup d'efforts pour en trouver le financement. L'établissement est inauguré le par le Président de la République Émile Loubet, en présence des membres du Congrès international de la tuberculose, réuni à Paris à ce moment-là[17]. Il ouvre le [18]. En revanche, en , la présence d'enfants accueillis au sanatorium à l'école communale provoque une grève[19].
Pendant la seconde guerre mondiale, en , le capitaine Władysław Ważny (nom de code : Tygrys), membre de l'armée polonaise et de la résistance polonaise à l'occupant allemand (organisation polonaise de lutte pour l'indépendance), chef du renseignement du réseau « Monique-W », est arrêté à Montigny-en-Ostrevent, avec semble-t-il, la participation de gendarmes français. Il meurt peu de temps après[20].
En 2004, des fouilles archéologiques ont permis de découvrir une sandale de l'époque gallo-romaine[21].
Héraldique
modifierLes armes de Montigny-en-Ostrevent se blasonnent ainsi : " Écartelé : aux 1 et 4, fascé de gueules et de vair de six pièces ; aux 2 et 3, de gueules à dix losanges aboutées et accolées d'argent, 3, 3, 3 et 1. " [22] |
- Blasons des chevaliers de la maison de Montigny dans l'Armorial du Tournoi de Chauvency.
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierLors du premier tour des élections municipales le , vingt-sept sièges sont à pourvoir ; on dénombre 3 442 inscrits, dont 1 631 votants (47,39 %), 29 votes blancs (1,78 %) et 1 519 suffrages exprimés (93,13 %). La liste étiquetée divers gauche Pour vous, avec nous ! menée par Salvatore De Cesare recueille 904 voix (59,51 %) et remporte ainsi vingt deux sièges au conseil municipal, contre cinq pour la liste divers droite Liste d'union démocratique et sociale menée par Élio Marchese avec 615 voix (59,51 %). Le maire sortant Jean-Luc Coquerelle ne se représentait pas[23],[24]. Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde d'environ deux mois l'élection des maires par les nouveaux conseils municipaux[25]. Salvatore De Cesare est élu maire le 24 mai avec vingt-deux voix, cinq bulletins sont blancs[26].
Liste des maires
modifierMaire en 1802- 1803 : Devillers[27].
Identité | Période | Durée | Étiquette | |
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Début | Fin | |||
Sébastien Dovillers (d) (mort le ) | années 1800 | |||
Augustin Joseph Demonteville (d) | 2 ans et 5 mois | |||
Sébastien Dovillers (d) (mort le ) | 6 ans et 3 mois | |||
Auguste Jovenet (d) | 30 ans et 4 mois | |||
Jacques Dovillers (d) (mort le ) | (mort en cours de mandat) | 15 ans | ||
Philibert Charles Dovillers (d) (mort le ) | 3 ans | |||
Paul-Louis de Muyssart des Obeaux (d)[28] ( - ) | (mort en cours de mandat) | 5 ans et 8 mois | ||
Par intérim : Jules Legrand (d) | moins d’un mois | |||
Par intérim : Jules Legrand (d) | 3 mois | |||
Jules Legrand (d) | 1 an et 3 mois | |||
Philibert Dovillers (d) ( - ) | 10 ans et 4 mois | |||
Par intérim : François Houseaux (d) | moins d’un mois | |||
Victor Caron (d) | 3 ans et 10 mois | |||
Philibert Dovillers (d) ( - ) | (mort en cours de mandat) | 3 ans et 4 mois | ||
Par intérim : François Debruille (d) (mort le ) | moins d’un mois | |||
François Debruille (d) (mort le ) | (mort en cours de mandat) | 21 ans et 7 mois | ||
Alphée Fréalle (d) | années 1910 | |||
Amédée Dovillers (d) ( - ) | années 1930 | |||
Denis Duez (d) ( - ) | 25 ans et 1 mois | |||
Raymond Honoré (d)[29] | 5 ans | divers droite | ||
Roland Huet (d) ( - ) | 9 ans | |||
Achille Dupuis (d) ( - ) | 16 ans | |||
Jean-Luc Coquerelle (d)[30],[31] (né le ) | 19 ans et 2 mois | divers droite | ||
Salvatore De Cesare (d)[32],[33] (né le ) | En cours | 4 ans, 6 mois et 1 jour | divers gauche |
-
Enclos familial de Paul-Louis de Muyssart des Obeaux.
-
Paul-Louis de Muyssart des Obeaux.
-
Tombe de la famille Dovillers.
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Jacques Dovillers.
-
Sébastien Dovillers.
-
Philibert Charles Dovillers.
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Philibert Dovillers.
-
Amédée Dovillers.
-
Tombe de François Debruille.
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François Debruille.
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Tombe d'Achille Dupuis.
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].
En 2021, la commune comptait 4 681 habitants[Note 5], en évolution de −1,89 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,2 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 193 hommes pour 2 598 femmes, soit un taux de 54,23 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
modifierArchitecture sacrée
modifier- l'église Saint-Nicolas, construite au XIXe siècle.
- l'église Saint-Charles bâtie en 1935; par crainte d'affaissements miniers, le clocher prévu à droite de l'entrée ne sera jamais érigé. C'est l'église de la communauté polonaise locale.
- la chapelle Notre-Dame-Auxiliatrice (1738), la chapelle Saint-Roch
-
Église Saint-Nicolas bâtie en 1843
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Église Saint-Charles bâtie en 1935
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Église Saint-Charles 3/4 profil et porche
-
Chapelle N.D. Auxilliatrise (1738).
Les châteaux
modifier- le château de Montmorency datant du XIIIe siècle ayant hébergé les seigneurs de Montmorency.
- le sanatorium familial[40] de l'architecte Léonce Hainez, inauguré le par Émile Loubet[41]
-
Château Lambrecht
-
Château Lambrecht-Résidence Valérie (2015)
-
Château de Montmorency XIIIe siècle
-
Château de Montigny-en-Ostrevent (1951)
Édifices publics
modifier-
La gare
-
École de musique
- le monument aux Morts
- La bibliothèque municipale
Patrimoine de l'Unesco
modifierLe , les ensembles miniers de Montigny-en-Ostrevent sont classés au patrimoine mondial de l'Unesco comme site du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais[42]. Il s'agit en particulier de la cité de Montigny (dite aussi cité du Sana, cité-jardin construite en 1920 par la Compagnie des mines d'Aniche), avec son école de garçons et l'église Saint-Charles, le dispensaire de Société de secours minière, le château Lambrecht (qui permettait de loger la direction et les ingénieurs), et enfin de la cité du Moucheron, bâtie également par la Compagnie des mines d'Aniche en 1930 dans le prolongement de la cité de Montigny, pour les mineurs de la fosse Barrois.
-
Habitation typique de la cité de Montigny
-
Habitation des cités de la fosse Barrois à Montigny
-
Habitation minière par deux
Personnalités liées à la commune
modifier- Félix Lambrecht en 1853 achète des terrains boisés et y fait construire un château néo-gothique et une ferme.
- Georges Maroniez (1865-1933), artiste peintre et inventeur, est le fils d'un industriel fabricant de sucre à Montigny-en-Ostrevent
- Albert Calmette secrétaire général de la Ligue du Nord contre la tuberculose et jeune directeur de l'Institut Pasteur permet l'achat en 1904 de 21 hectares de l'ancienne propriété Lambrecht pour y fonder un sanatorium familial. Cet ensemble est racheté en 1920 par la Compagnie des mines d'Aniche
- Władysław Ważny (capitaine). Héros de la Résistance, mort tragiquement le [43].
- Stanislas Łukowiak. Arrêté et emmené ainsi que sa femme Françoise par les Allemands, il est mort le en déportation.
Folklore
modifierLa commune a pour géants Floris de Montmorency, Hélène de Melin, Gaston et Célestine[44],[45].
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifier- Liste des communes du Nord
- Géants du Nord
- Anciennes communes du Nord
- Gare de Montigny-en-Ostrevent
- Liste des géants du Nord de la France
Liens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Douai-Lens comprend quatre villes-centres (Douai, Hénin-Beaumont, Lens, Liévin) et 63 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Montigny-en-Ostrevent » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Sandre, « le Bay Inverse »
- Sandre, « le Bayon »
- « Fiche communale de Montigny-en-Ostrevent », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- « SAGE Scarpe aval », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Montigny-en-Ostrevent et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Montigny-en-Ostrevent ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Dr Alain Gérard « Albert Calmette », dans Cent Ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, éditions La Voix du Nord, pages 13-14
- Cent ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, éditions la Voix du Nord, 1998, page 49
- Cent ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, éditions la Voix du Nord, 1998, page 53
- Cent ans de vie dans la région, tome 3 : 1939-1958, La Voix du Nord éditions, hors série du 17 juin 1999, p. 42-43
- Revue du Nord
- Source: Le Trainspotter et site officiel
- « Élections municipales, Montigny-en-Ostrevent », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165, , p. 34.
- « Élections municipales 2020 - 1er tour, Montigny-en-Ostrevent », L'Observateur du Douaisis, no 897, , p. 10.
- « Cinquante-quatre maires du Douaisis installés entre le 23 et le 28 mai », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, .
- « Salvatore De Cesare enfin maire : Une passation de pouvoir après 70 jours d'attente », L'Observateur du Douaisis, no 907, , p. 17.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
- N. B., « Montigny-en-Ostrevent : une exposition pour aller à la rencontre des maires de la commune, depuis la Révolution ! », La Voix du Nord, : « Dans l’ordre chronologique, la liste se compose ainsi : Pierre-Antoine Caron ; Charles-François Desfontaine ; Jean-Charles Brice ; Sébastien-Joseph Dovillers ; Augustin-Joseph Demonteville ; Auguste-Henri-Joseph Jovenet ; Louis-Jacques Dovillers ; Philibert-Charles-François Dovillers ; Paul-Louis de Muyssart des Obeaux ; Jules Legrand ; Philippe-François Dovillers ; Victor Caron ; François Debruille ; Alphée Fréalle. »
- « Élections municipales »,
- « Projet des maires : Jean-Luc Coquerelle, maire de Montigny-en-Ostrevent, annonce un mandat de gestion », La Voix du Nord, : « C’est le troisième mandat de Jean-Luc Coquerelle. Ou presque, puisque pour le premier, il avait en fait succédé à Achille Dupuis qui avait démissionné juste après son élection. »
- Nello Benedetti, « Montigny-en-Ostrevent : pour Jean-Luc Coquerelle, « fils de mineur, rénover les cités minières me tenait à cœur » », La Voix du Nord, : « Après vingt-cinq ans au service de la commune, commencés par un poste d’adjoint suivis de trois mandats dans le fauteuil majoral, Jean-Luc Coquerelle ne se représentera pas aux prochaines élections. »
- Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, Lille, no 24270, , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
.« Montigny-en-Ostrevent : divers gauche »
- Bruno Place, « Cœur d’Ostrevent : le président Frédéric Delannoy s’entoure de 14 vice-présidents », L'Observateur du Douaisis, (ISSN 0183-8415 et 1639-2221, lire en ligne) :
.« 13e vice-président : Salvatore De Cesare, maire de Montigny-en-Ostrevent, délégué au cadre de vie, au développement durable, à la transition écologique et énergétique, au plan climat air énergie »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montigny-en-Ostrevent (59414) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- In Situ - N°6 - Le sanatorium familial de Montigny-en-Ostrevent (Nord) : échec d'une tentative de création d'un établissement antituberculeux modèle, de caractère national
- plans d'origine (source ministère de la Culture)
- Patrimoine de l'Unesco
- En 1994, à l'occasion du 50e anniversaire de cet évènement, la société d'histoire locale avait organisé avec la municipalité une exposition et une journée commémorative. Une équipe de la Télévision Polonaise est venue tourner des séquences filmées. Une émission d'une demi-heure a été diffusée à plusieurs reprises par TV Polonia (par satellite) et suivie avec intérêt non seulement dans toute l'Europe mais aussi en Amérique du Nord.
- « Auberchicourt : Aubert le loup entre officiellement dans la cour des géants », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, : « Tous ses amis géants des communes alentours [sic] étaient là : le Baudet, de Monchecourt, Fraisinou, d'Écaillon, Floris de Montmorency, de Montigny-en-Ostrevent, Philipotte de Lannoy, d'Hordain et Kopierre, d'Aniche. ».
- Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596, , p. 14-15