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Torigni-sur-Vire

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Torigni-sur-Vire
Torigni-sur-Vire
Le château des Matignon
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Commune Torigny-les-Villes
Intercommunalité Saint-Lô Agglo
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Claude Gallier
2020-2026
Code postal 50160
Code commune 50601
Démographie
Gentilé Torignais
Population 2 339 hab. (2021)
Densité 777 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 08″ nord, 0° 58′ 46″ ouest
Altitude Min. 53 m
Max. 139 m
Superficie 3,01 km2
Élections
Départementales Condé-sur-Vire
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Torigny-les-Villes
Localisation
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Torigni-sur-Vire
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Torigni-sur-Vire

Torigni-sur-Vire est une ancienne commune française du département de la Manche et de la région Normandie, peuplée de 2 339 habitants[Note 1]. Elle est depuis le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Torigny-les-Villes.

Elle est située à une dizaine de kilomètres au sud-est de Saint-Lô, elle est le siège de la communauté de communes et a été chef-lieu de canton jusqu'en 2015.

Géographie

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Torigni-sur-Vire est en Bocage normand, plus précisément en Pays saint-lois. L'atlas de paysages de la Basse-Normandie place principalement la commune dans l'unité de la vallée de la Vire aux « paysages variés mais déterminés par un encaissement profond du cours d’eau »[1], mais en limite ouest du Bocage en tableaux caractérisé par « une série de vallées parallèles sud-ouest/nord-est » aux « amples tableaux paysagers »[2]. Ne couvrant que 301 hectares, le territoire communal est le moins étendu de son canton et est majoritairement couvert par l'agglomération. Celle-ci est à 13 km au sud-est de Saint-Lô et à 25 km au nord de Vire[3].

La ville est au croisement de l'ancienne route nationale 174, déclassée en route départementale 974, et de la départementale 40. Celle-ci permet de rejoindre Caumont-l'Éventé et Caen à l'est et Tessy-sur-Vire à l'ouest. La D 974 rejoint l'autoroute A84 à Guilberville au sud et permet de continuer vers Vire. Au nord, elle rejoint Saint-Lô qui est également accessible par la nouvelle N 174 à quatre voies (de Guilberville à Carentan) qui offre une entrée proche sur le territoire de Condé-sur-Vire. Depuis la fermeture aux voyageurs de la gare ferroviaire de Torigni et de la ligne Saint-Lô - Vire en 1938, la gare la plus proche est celle de Saint-Lô. L'aéroport de Caen-Carpiquet est à 42 km[3].

Le territoire est entièrement dans le bassin de la Vire par un sous-affluent appelé ruisseau de Torigni[4] ou les Nonains[5]. Ce ruisseau et ses deux affluents alimentent dès leur entrée sur le territoire les étangs de Torigni, puis le ruisseau traverse l'agglomération avant de passer sur le territoire de Condé-sur-Vire où il rejoint le Hamel un kilomètre avant sa confluence avec le fleuve côtier.

Le point culminant (138 / 139 m) se situe au sud-ouest, en limite de commune, près du lieu-dit la Maladrerie. Le point le plus bas (53 m) correspond à la sortie du territoire des Nonains, à l'ouest.

La pluviométrie annuelle avoisine les 950 mm[6].

En dehors de la partie urbaine, les principaux lieux-dits — la plupart dans la partie sud du territoire — sont, de l'est à l'ouest, dans le sens horaire, la Passelaie, la Bigne (au sud), la Cavée, la Maladrerie, la Dannerie, la Goulerie, le Champ (à l'ouest) et la Planquerie[7].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Torineo en 1159, Torignie vers 1175, Thorigni en 1252[9]. Sous l'ancien régime, les graphies Thorigny et Torigny étaient communes, mais à partir de 1810, apparaît Torigni qui va se généraliser dès 1829. Le déterminant complémentaire -sur-Vire est ajouté en 1849, bien que la ville se situe à plusieurs kilomètres de la rivière à laquelle il fait référence[9].

Certains érudits du passé expliquaient l'origine du toponyme Torigni sur le mode de l'étymologie populaire par le latin turris ignis « tours de feu ». C'est ainsi qu'a été créé le blason de la ville. Ce genre d'étymologie encore reprise de nos jours (monographies, bulletins paroissiaux, hebdomadaires, quotidiens, sites internet) n'est pas basée sur l'étude phonétique des formes anciennes, ni sur celle des homonymes et n'a donc pas de fondement scientifique[10].

Comme le montrent les formes anciennes, Torigni appartient à toute la série des Thorigny (ex: Thorigny-sur-Marne, Tauriniaco vers 700, Thoriniaco vers 1180, Toriniacum XIIe siècle, Thoregny en 1274, Toregni en 1283, Thorigny lez Laigny sur Marne en 1488, Thorigny en France en 1549), Thorigné (ex: Thorigné-d'Anjou, Tauriniacum en 996 - 1010), Thorignat, à savoir à un type toponymique gallo-roman *Tauriniacu, composé du suffixe -(i)acum signifiant « lieu, propriété de » (gaulois -acon, du celtique commun *-āko(n) ), précédé d'un nom d'homme gallo-roman Taurinus, anthroponyme qui eut une grande diffusion en Gaule[9]. Ce nom de personne est, entre autres, illustré par saint Taurin, évêque d'Évreux aux IVe – Ve siècles.

Il dérive du latin taurus « taureau » (le mot celtique - gaulois - équivalent est taruos, taureau), cependant le suffixe -in- est commun en celtique. La forme féminine Taurina est attestée dans des inscriptions en langue gauloise à côté de termes celtiques (exemple : le peson de fuseau d'Autun, où l'on trouve : TAVRINA|VIMPI « belle génisse » : latin taur- + suffixe diminutif celtique -īno, gaulois vimpi « beau, belle », cf. gallois gwymp « joli »)[11]. L'utilisation de noms de personnes latins ou latinisés correspond à un processus de romanisation également bien attesté dans l'épigraphie, où les mêmes personnages ou des personnages de la même famille mêlent à la fois des anthroponymes latins à d'autres bien gaulois.

Les formes plus récentes Thorigny ou encore Torigny sont conformes à l'usage qui veut que le [i] final d'un nom propre français soit graphié -y (sauf Henri) depuis la fin du Moyen Âge. La généralisation de la graphie Torigni date du XIXe siècle et représente un retour à celle utilisée initialement à l'époque médiévale, ce qui est exceptionnel pour les noms en -(i)acum, sauf dans l'Orne. Le déterminant complémentaire -sur-Vire a été ajouté en 1849[9], sans que la Vire coule sur son territoire.

Le gentilé est Torignais.

Torigni formait une baronnie qui existait dès les premiers temps des ducs normands. Parmi ses seigneurs on relève Hamon le Hardi qui participa en 1066 la conquête normande de l'Angleterre, Robert de Gloucester, Jean de Vienne ( 1351)[Note 2] dont Torigny lui fut donné par Philippe le Bel, Hervé de Mauny, cousin de Du Guesclin[12].

Dans la première moitié du XIe siècle la paroisse a pour seigneur Hamon aux dents, l'un des barons normands révoltés contre le jeune duc de Normandie, Guillaume le Bâtard, qu'il affrontera en 1047 à la bataille de Val-ès-Dunes, et où il trouvera la mort[13].

Mabel FitzRobert de Gloucester, fille de Robert FitzHamon apportera à la suite de son mariage en 1121 ou 1122, la baronnie de Torigni, ainsi que celle de Creully, à son époux Robert de Gloucester[14].

La ville est pillée par les Anglais le lors de la chevauchée d'Édouard III[15], et sera aux mains des Anglais de 1418 à 1450 lors de l'occupation de la Normandie par ces derniers, dans le cadre de la guerre de cent Ans[12]. Elle fut ensuite constamment le fief de la famille de Matignon dont il demeure l'aile sud du château du XVIe siècle. Elle est le lieu de naissance de Jacques Ier de Monaco.

Bombardée le , la commune est libérée le par le 35e régiment d'infanterie américain[16]. À la suite de ces bombardements, le château a entièrement brûlé.

Le , Torigni-sur-Vire intègre avec trois autres communes la commune de Torigny-les-Villes[17] créée sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi no 2010-1563 du de réforme des collectivités territoriales. Les communes de Brectouville, Torigni-sur-Vire, Guilberville et Giéville deviennent des communes déléguées et Torigni-sur-Vire est le chef-lieu de la commune nouvelle.

Héraldique

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Armes de Torigni-sur-Vire

Les armes de la commune de Torigni-sur-Vire se blasonnent ainsi :
D'azur au château d'argent donjonné de deux tours enflammées du même, ouvert du champ[18].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Candidats ou listes ayant obtenu plus 5 % des suffrages exprimés lors des dernières élections politiquement significatives :

Administration municipale

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Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1790   Jacques Cauchard-Chambert    
  1796 Guillaume Pinel    
1797 1798 Youf    
1799 1815 Jacques Cauchard-Chambert    
1815 1830 Jacques Le Chartier de la Varignière[23]   Militaire
1830 1836 Olivier Le Foulon    
1837 1840 Amédée Duval-Duperron    
1840 1849 Léonor-Joseph Havin[23]   Journaliste
Conseiller général, député, préfet
1852 1856 Jacques Potier-Glatigny    
1857 1860 Sinésius Prée    
1860 1870 Auguste Lemelletier    
1871 1875 Sinésius Prée    
1875 1887 Victor Hédouin    
1887 1888 Aimé Dufour[23]    
1888 1890 Jules Pommier[23]   Médecin
1890 1902 Aimé Dufour[23]    
1902 1908 Jules Pommier[23]    
1908 1918 Leboucher    
1918 1922 Loisel    
1922 1925 Alphonse Duval    
1925 1935 Eugène Jouenne    
1935 1945 Paul Bucaille[23]   Médecin
Conseiller général
1947 1960 Émile Daudon[23]   Directeur de la laiterie Paillaud
1960[24] 1977 Gustave Le Breton[23]    
1977 1994[25] Pierre Dupont[23]    
septembre 1994[26] 31 décembre 2015[27] Anne-Marie Cousin[28] UDF puis NC[29] Enseignante
Une partie des données est issue d'une liste établie par Jean Pouëssel et le Dr Paul Bucaille[30].

Le conseil municipal était composé de dix-neuf membres dont le maire et cinq adjoints[31]. Ces conseillers intègrent au complet le conseil municipal de Torigny-les-Villes le jusqu'en 2020 et Anne-Marie Cousin devient maire délégué.

Liste des maires délégués
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2016 mai 2020 Anne-Marie Cousin NC Enseignante
Maire de Torigny-les-Villes
mai 2020[32] En cours Claude Gallier SE Retraité

Enseignement

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Le collège public Albert-Camus accueille environ 420 élèves.

Démographie

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En 2021, la commune comptait 2 339 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2007, 2012, 2017, etc. pour Torigni-sur-Vire[33]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 3].

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2902 2272 2262 1332 1842 3112 1862 1752 206
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 0982 0822 1162 0082 0211 9982 0132 0201 992
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9312 0291 9641 7641 8471 8551 8521 7551 900
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007 2011 2016
2 1002 5572 7962 9052 6592 5782 4222 3622 306
2019 - - - - - - - -
2 325--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune de Torigni-sur-Vire est labellisée Village étape depuis 2004[réf. nécessaire].

Lieux et monuments

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  • Château des Matignon des XVIe, XVIIe – XXe siècles, classé au titre des monuments historiques par liste de 1840[36]. Possession de la famille de Matignon, l'édifice, acheté par la ville en 1817, et siège de l'hôtel de ville depuis 1820, fut très endommagé à la Révolution et a brulé en 1944 ; le bâtiment ne conservant qu'une toile qui était alors en rénovation[réf. nécessaire]. Restauré par la municipalité après la guerre, le château construit en pierres rouges et blanches, abrite dans la chapelle privée le musée Arthur-Le-Duc.
  • Mur Grimaldi, de 300 mètres de long pour une hauteur de douze[37] (ou quinze)[38] mètres, construit au XVIIIe siècle pour, selon ce qui ne serait qu'une légende, abriter Louise-Hippolyte de Grimaldi, l'épouse de Jacques IV de Matignon, des vents du Nord durant ses promenades hivernales le long de Grand étang. Ce serait plus simplement la partie restante d'un mur d’enceinte du vaste domaine du château, faisant autrefois plus de 17 kilomètres.
  • Cour aux Canons. Elle a été réhabilité en 2004. Une passerelle, à la place de l'ancien pont-levis, la relie à la cour d'honneur du château.
  • Abbaye Notre-Dame, entièrement détruite à la Révolution française.
  • Château de la Varignière du XIXe siècle.
  • Marbre de Thorigny. Ce socle de statue en grès datée de , découverte à Vieux en 1580, doit son nom à Jacques de Matignon qui le transporta à Torigni. L'original est aujourd'hui conservé au musée de Saint-Lô[30].
  • Étangs, promenade des Tilleuls.
  • Église Notre-Dame-du-Grand-Vivier des XIIe, XVIIIe – XIXe siècles. Elle a conservé des parties romanes, dont des arcatures disposées de chaque côté de la tour-porche en façade de la nef. La chaire à prêcher et des lambris sont classés au titre objet aux monuments historiques[39]. L'édifice conserve également des bas-reliefs romans du XIIe siècle.

Église Saint-Laurent

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L'église Saint-Laurent des XIIIe, XVIIe – XIXe siècles, en tant qu'ancienne chapelle du château, dite des Mausolées, et son histoire sont liées aux seigneurs de Torigny. En 1033, Saint-Laurent existe sous la dénomination de chapelle baptismale. À cette époque, Robert le Magnifique, père de Guillaume le Conquérant, la donne en patronage avec l'église de Saint-Amand aux religieux de l'abbaye de Cerisy-la-Forêt, fondée en 1032 par lui-même. Au XIIe siècle, une nef est ajoutée. En 1400, quand Hervé de Mauny, baron de Torigny, construit une chapelle avec caveau sépulcral adossé à l'église, le patronage de Saint-Laurent subsiste. Il est supprimé en 1575 par le maréchal Jacques II de Matignon, devenu seigneur de Cerisy, par échange des patronages de Saint-Amand et de Saint-Laurent contre celui de Brectouville. En 1601, sa femme, Françoise de Daillon du Lude, transforme cette première chapelle appelée Saint-Pierre ou du Château. Elle fait aussi reconstruire la voûte du chœur de l'église et édifier la chapelle Notre Dame ou des Mausolées. Ces travaux s'inscrivent dans ceux plus vastes, de construction du château et de ses dépendances, dont le pavillon de garde est proche de l'église. En 1793, les sépultures de la famille de Matignon sont profanées. Les monuments funéraires sont en majorité brisés et les fragments dispersés. Au XIXe siècle, l'église Saint-Laurent fait l'objet d'une campagne de rénovation. En 1893, les deux chapelles sont démolies puis reconstruites : elles portent aujourd'hui le nom de chapelle du Sacré-Cœur et de chapelle de la Sainte-Vierge. Les voûtes sont restaurées, une nouvelle sacristie y est installée. Paradoxalement, c'est à cette époque que l'église Saint-Laurent perd son clocher. La verrière de Mauméjean date du XXe siècle[30].

L'église Saint-Laurent possède un modeste orgue posé au fond de la nef. Il est offert à la paroisse en 1888 par la famille Lemonnier et par quelques paroissiens.

Composition de l'orgue
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L'orgue de l'église Saint-Laurent possède huit jeux réels repartis sur deux claviers de 56 notes et 448 tuyaux. Il comporte également un pédalier de trente notes.

I. Grand Orgue (Do2-Sol5) II. Récit expressif (Do1-Sol5) Pédale (Do1-Fa3)
Bourdon 16' basse (Do1-Si1) Flûte Harmonique 8' Tirasses
Bourdon 16' dessus (Do2-Sol5) Gambe 8'
Principal 8' Voix Céleste 8'
Salicional 8' Trompette 8'
Flûte Octaviante 4'
  • Tirasses: GO/Péd, Réc/Péd
  • Accouplement: Réc/GO, Réc/GO octave aiguë
  • Appel Trompette
  • Temolo Récit
  • Appel du Souffleur (clochette)

Activité et manifestations

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Le Football club des Étangs fait évoluer deux équipes de football en ligue de Normandie et deux autres en divisions de district[40].

L'Étoile sportive Torigni handball possède une équipe masculine en Honneur régional dans la Ligue de Normandie, et une féminine en Excellence départementale. Le club dispose également de deux équipes B[41].

L'Étoile sportive torignaise tennis de table a son école de tennis de table grâce à l'emploi d'un entraîneur-animateur diplômé d'État dans ce sport depuis 1999. Deux équipes évoluent en championnat régional (saison 2011-2012), Régionale 4 pour l'équipe masculine et Régionale 1 pour l'équipe féminine, ce qui est le plus haut niveau régional. En championnat départemental, de la D4 à la D1, tous les niveaux sont représentés en senior. Les enfants sont eux aussi régulièrement présents sur les podiums départementaux et régionaux aux compétitions individuelles[42].

Personnalités liées à la commune

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 250.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 123.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Il est l'oncle de l'amiral Jean de Vienne.
  3. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.

Références

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  1. « basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr (Dreal Basse-Normandie) - Les unités de paysage : Unité 7.3.1 : La vallée de la Vire » [PDF] (consulté le ).
  2. [PDF] « basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr (Dreal Basse-Normandie) - Les unités de paysage : Unité 4.3.3 : Le Bocage en tableaux » (consulté le ).
  3. a et b Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  4. « Carte d'État-Major » sur Géoportail..
  5. Article 51 du décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories.
  6. « Pluviométrie interannuelle. Normale 1970-2000 » (consulté le ) (archive Wikiwix du site basse-normandie.ecologie.gouv.fr).
  7. « Torigni-sur-Vire » sur Géoportail..
  8. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  9. a b c et d François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, éditions Picard 1986, p. 225.
  10. Yves Nédélec, Préface à l'ouvrage de François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, éditions Picard 1986, p. 7.
  11. Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, éditions errance 1994, p. 124.
  12. a et b Delattre, 2002, p. 250.
  13. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 492.
  14. Charles de Gerville, « Recherches sur les anciens châteaux du département de la Manche : Arrondissement de Saint-Lô », dans Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie, Mancel (Caen) - Ponthieu et Delaunay (Paris), (lire en ligne), p. 222.
  15. Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 74.
  16. « 1944, la bataille de Normandie, la Mémoire - Pont-Farcy, Tessy-sur-Vire et Le Chêne Guérin » (consulté le ).
  17. « Arrêté préfectoral du 28 septembre 2015 portant création de la commune nouvelle de Torigny-les-Villes » [PDF], sur le site de la préfecture de la Manche (consulté le ).
  18. « 50 601 - Torigni-sur-Vire (Manche) », sur L'Armorial des villes et des villages de France (consulté le ).
  19. « Résultats des élections européennes 2014 », sur interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  20. « Résultats des élections législatives 2012 », sur interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  21. « Résultats de l'élection présidentielle 2012 », sur interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  22. « Résultats des élections européennes 2009 », sur interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  23. a b c d e f g h i et j « Les quatre maires de l'après-guerre », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  24. 1959 : Torigni-sur-Vire sans maire après dix tours.
  25. Mort en cours d'exercice le .
  26. « Un 4e mandat de maire pour Anne-Marie Cousin », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  27. À la suite de la création de Torigni-les-Villes le .
  28. Réélection 2014 : « Ouest-france.fr - Municipales à Torigni-sur-Vire. Anne-Marie Cousin entame son 4e mandat » (consulté le ).
  29. « Accueil », sur nouveaucentre.fr (consulté le ).
  30. a b et c Gautier 2014, p. 650.
  31. « Torigni-sur-Vire (50160) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  32. « Mickaël Grandin est le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  33. Date du prochain recensement à Torigni-sur-Vire, sur le-recensement-et-moi.fr, site spécifique de l'Insee.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
  36. « Château », notice no PA00110620, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. https://www.fondation-patrimoine.org/les-projets/mur-grimaldi-torigny-les-villes
  38. https://www.ouest-france.fr/normandie/torigny-les-villes-50160/promenade-romantique-autour-des-etangs-de-torigni-sur-vire-9e53602e-9bcd-11ec-b392-20c50e58637a
  39. « Chaire à prêcher », notice no PM50001194 et « lambris de revêtement », notice no PM50001190, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  40. « Site officiel de la Ligue de Normandie – F.C. des Étangs » (consulté le ).
  41. « Site officiel de l'ES Torigni Handball » (consulté le ).
  42. « Site officiel de l'ES torignaise Tennis de table » (consulté le ).
  43. « haras-nationaux.fr - Épisodes et personnage clés - Haras-nationaux » (consulté le ).