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Camon (Somme)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Camon
Camon (Somme)
La mairie.
Blason de Camon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CA Amiens Métropole
Maire
Mandat
Jean-Claude Renaux
2020-2026
Code postal 80450
Code commune 80164
Démographie
Gentilé Camonais
Population
municipale
4 414 hab. (2021 en évolution de +1,17 % par rapport à 2015)
Densité 342 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 53′ 16″ nord, 2° 20′ 48″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 84 m
Superficie 12,9 km2
Type Grand centre urbain
Unité urbaine Amiens
(banlieue)
Aire d'attraction Amiens
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Amiens-3
Législatives 1re circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Camon
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Camon
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Camon
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Camon
Liens
Site web camon.fr

Camon est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie

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Camon est située au bord de la Somme dans la communauté d'agglomération Amiens Métropole au sud-est de la préfecture Amiens. Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :

Camon est divisée entre le bourg, sur la rive droite de la Somme et le Petit-Camon, sur la RD 929 (ancienne RN 29) d'Amiens à Albert.

Le contournement routier d'Amiens, par l'est, est réalisé, sur le territoire de la commune, par un ouvrage d'art de 943 m, le viaduc Jules-Verne.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Somme canalisée, l'Avre, la Cité du Château[1] et divers autres petits cours d'eau[Carte 1].

Le canal de la Somme, construit entre 1770 et 1827, et mis au gabarit Freycinet en 1880, est long 170 km. Il débute à Saint-Simon où il touche au canal de Saint-Quentin et débouche dans la baie de Somme[2].

L'Avre, d'une longueur de 66 km, prend sa source dans la commune de Amy, à 81 m d'altitude, et se jette dans la Somme à Longueau, à 24 m d'altitude, après avoir traversé 31 communes[3]. Les caractéristiques hydrologiques de l'Avre sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen journalier maximum est de 6,8 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 6,93 m3/s, atteint le même jour[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Camon[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[5].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 686 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 4 km à vol d'oiseau[8], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Statistiques 1991-2020 et records AMIENS-GLISY (80) - alt : 60m, lat : 49°52'19"N, lon : 2°22'56"E
Records établis sur la période du 01-01-1988 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,6 3,4 5,1 8,4 11,4 13,4 13,3 10,7 8 4,7 2,2 7
Température moyenne (°C) 4,2 4,7 7,5 10,1 13,5 16,5 18,7 18,7 15,6 11,8 7,6 4,7 11,1
Température maximale moyenne (°C) 6,7 7,8 11,5 15,2 18,5 21,6 23,9 24 20,5 15,6 10,5 7,1 15,2
Record de froid (°C)
date du record
−14,6
10.01.09
−12,7
07.02.1991
−10
04.03.05
−3,9
08.04.03
−1,2
07.05.1997
0,1
05.06.1991
4,5
04.07.1990
5,2
08.08.1990
1,1
27.09.1990
−5,4
30.10.1997
−9,5
24.11.1998
−13,5
29.12.1996
−14,6
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,8
09.01.15
19,4
24.02.1990
24,1
31.03.21
26,7
19.04.18
31,5
27.05.05
36
27.06.11
41,7
25.07.19
38,1
10.08.03
34,2
15.09.20
28
10.10.23
20,7
07.11.15
17,1
07.12.00
41,7
2019
Ensoleillement (h) 637 865 1 469 2 063 2 027 2 203 224 1 881 168 1 169 711 665 17 609
Précipitations (mm) 48,8 45 45,3 39,4 55,9 54,6 58,9 59,9 48,4 57,7 60,4 72,3 646,6
Source : « Fiche 80379002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Camon est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Amiens[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant onze communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4],[14]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (81,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,9 %), zones urbanisées (13,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,8 %), eaux continentales[Note 5] (5,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %), prairies (4,3 %), forêts (2,1 %), zones humides intérieures (0,9 %)[17]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Calmunt en 1120[18] ; Camons en 1153 ; Caumont en 1579 ; Camont en 1634 ; Camon en 1727[19]. Son nom est vraisemblablement issu du gaulois « cambo », qui désignait une « courbe de rivière ». Le b- semble avoir été assimilé au -m- qui le précédait, par simplification de prononciation. Cette commune se situe en effet dans un méandre de la Somme[20].

Préhistoire

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Des dépôts d'armes de l'âge du bronze attestent d'une présence humaine très ancienne.

En 1313, coexistent trois moulins situés chemin des Moutiers, aujourd'hui chemin des Prêtres[21][source insuffisante].

Époque moderne

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Époque contemporaine

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Première Guerre mondiale

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En septembre 1914, l'armée allemande campe à Camon, l'artillerie occupe les hauteurs environnantes prête à bombarder le village et la ville d'Amiens au premier acte d'hostilité. Le septembre les Allemands quittent Camon. Le 23 septembre 1914, trois « espions » sont arrêtés à Camon. Le 1er octobre, un avion allemand bombarde la route de Corbie et le 7 octobre 1914, l'aviation anglaise et l'aviation française interviennent. Tout au long du mois d'octobre, des régiments passent par Camon et campent sur la place. Le 27 octobre 1914, le canon tonne avec une force incroyable[22][source insuffisante].

Seconde Guerre mondiale

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La Résistance a été très active à Camon, face aux armées hitlériennes d'occupation[23].

Depuis 2020

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En 2023, une polémique éclate, elle est relayée dans les médias. À la suite d'un projet immobilier, « la Venise Verte », une résidence de 31 logements est prévue par la municipalité et serait construite en bord de Somme sur le site des hortillonnages. Une association dénonce « l'impact visuel et écologique » qu'elle aura et la non-conformité au plan de prévention des risques naturels (un expert pédologue évoque des risques d'inondations)[24],[25],[26]. Pour la Mairie, le projet "respecte la loi et le cadre de vie"[27].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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De 1790 à 1801, la commune relève de l'administration et de la justice de paix du canton de Querrieux.

En l'an VII et jusqu'au 10 germinal de l'an VIII (30 mars 1800), tous les mariages civils du canton sont prononcés au chef-lieu, conformément à l'article IV de la loi du 13 fructidor de l'an VI (30 août 1798).

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1924 mai 1945 Gaston Brunel SE Cultivateur
mai 1945 mai 1953 Paul Garçon SFIO  
mai 1953 novembre 1953 Léandre Morel   Maire par intérim
novembre 1953 mars 1959 Paul Garçon SFIO  
mars 1959 mars 1971 Lucien Jovelin PCF  
mars 1971 décembre 1982 Émile Baheu[28] PCF Métreur-vérificateur
Décédé en cours de mandat
mars 1983 juin 1995 Albert Bécard PCF Maire par intérim de septembre 1982 à mars 1983
juin 1995 mars 2001 Michel Ponthieu DVD  
mars 2001 En cours
(au mois de juin 2024[29])
Jean-Claude Renaux PCF Agent de maîtrise
Conseiller départemental du canton d'Amiens-3 (2015 → )
Vice-président d'Amiens Métropole (2014 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[30]

Politique environnementale

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Classement des villes et villages fleuris : une fleur récompense les efforts locaux en faveur de l'environnement[31]. En 2016, la commune reçoit sa troisième fleur[32].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2021, la commune comptait 4 414 habitants[Note 6], en évolution de +1,17 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8279099561 1821 4091 4461 4331 4591 561
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5371 5121 5231 4321 4131 4521 5381 5531 569
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6901 7151 6591 8161 7991 8701 8001 7641 830
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 1103 0084 3504 2143 9204 3664 5474 5724 444
2017 2021 - - - - - - -
4 4324 414-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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L'école maternelle Jean Jaurès, l'école Edmond-Marquis et l'école Paul-Langevin accueillent les élèves relevant de la scolarité primaire[32].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Camon Blason
De gueules au bateau d'hortillon au naturel flottant sur une mer d'azur, brochant sur un soleil non figuré issant d'or et soutenu de deux roses de gueules[37].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze. Citation à l'ordre de la division du  : « vaillante et courageuse commune, violemment bombardée, atteinte par l'ennemi le , n'en a pas moins continué, dans la clandestinité, le dur combat. Résistance politique : trente-deux de ses fils déportés ou internés, dont huit morts dans les camps de concentration. »[38].
Détails
Il rappelle la culture maraîchère pratiquée dans les hortillonnages accessibles en barque. Les deux roses rappellent la chanson Roses de Picardie

Ce blason a été créé en 1960 à la demande de la municipalité.

Bibliographie

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  • Gabriel Deviannes, Camon, deux siècles d'histoire 1800-2000, Éditions Nordsud, 2010. 298 pages. (ISBN 9782953192902)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Amiens comprend une ville-centre et dix communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Camon » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « la Cité du Château »
  2. Sandre, « le canal de la Somme »
  3. Sandre, « l'Avre »
  4. « Station hydrométrique L'Avre à Longueau - hauteur », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
  5. « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Camon et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Camon ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1157.
  19. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 195 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  20. Jacques Lacroix, Le grand héritage des Gaulois, Yoran Embanner, , 256 p., p. 135-136
  21. « AVANT LA REVOLUTION », sur pagesperso-orange.fr (consulté le ).
  22. Camon autrefois.
  23. Bulletin munnicipal, novembre 2014.
  24. Christophe Berger, « Le programme immobilier de La Venise verte à Camon risque d'avoir les pieds dans l'eau », sur Courrier picard, (consulté le )
  25. « À Camon, la mobilisation continue contre le projet immobilier de la Venise verte - France Bleu », sur ici par France Bleu et France 3, (consulté le )
  26. « Que le projet de Venise verte tombe à l'eau », sur Courrier picard, (consulté le )
  27. « Projet immobilier de la Venise Verte à Camon : après la décision du tribunal administratif, mairie et opposants campent sur leurs positions », sur France 3 Hauts-de-France, (consulté le )
  28. La fiche biographique de BAHEU Émile, Paul, Joseph sur le Maitron en ligne
  29. Jeanne Demilly, « « C'est mon dernier mandat, ma décision est irrévocable » annonce le maire de Camon », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  30. « Jean-Claude Renaux entame son quatrième mandat comme maire de Camon : Le conseil municipal sorti des urnes le 15 mars a été officiellement installé ce dimanche 24 mai », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Près de neuf électeurs sur dix ont voté le 15 mars pour la liste conduite par Jean-Claude Renaux, le maire (PCF) de Camon, qui a rassemblé 86,4 % des voix ».
  31. Liste des localités figurant au palmarès des villes et villages fleuris.
  32. a et b Site de la mairie.
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « 80164 Camon (Somme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  38. Jean Estienne et Mireille Louis, Armorial du Département et des Communes de la Somme, Abbeville, 1972, F. Paillart pp. 21-22