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Category:
Fandom:
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Language:
Français
Stats:
Published:
2024-05-21
Completed:
2024-05-21
Words:
24,975
Chapters:
9/9
Kudos:
2
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1
Hits:
426

Papa, que tu es cochon

Summary:

À 9 ans et demi, ma Maman décédée, ma relation avec Papa changea du tout au tout, après avoir perdue ma serviette après ma douche ce soir-là. - Françine

Chapter Text

Ce récit est destiné aux adultes SEULEMENT.

Ce récit est entièrement fictif et ne représente nullement une histoire vraie ou vécue, il est strictement sorti de l’imaginaire de son auteur.

Ce récit contient des personnages fictifs et de l’activité sexuelle avec des personnages mineurs, si vous n’aimez pas ce genre d’histoire, ne lisez pas ce récit.

Commentaires fortement appréciés.

À huit ans et demi j’avais perdu ma Maman, il ne me restait que mon Papa, avec qui je vivais seule dans notre grande maison depuis environ un an. J’en étais à neuf ans et demi, Papa avait une tendance à être un peu autoritaire, parfois beaucoup, mais il n’avait pas de souci avec moi, j’étais une fille pudique, gênée, réservée, et surtout bien docile, je savais que pour lui aussi c’était difficile le départ de Maman, il devait en faire beaucoup pour moi, et je l’aidais de mon mieux.

 

Je sortis de la douche ce soir-là, avec un peu trop d’empressement, après le souper, j’avais juste pris ma serviette partiellement enroulée autour de moi, sans l’avoir nouée, je ne la tenais que d’une main. Mon père sortait de sa chambre au même moment, dans le couloir devant moi, je ne m’y attendais pas et je fus si surprise, j’avais sursauté et j’avais du coup lâché ma serviette qui tomba par terre.

 

  • Oh ma petite chérie, je n’avais même pas remarqué ça, mais tu as de très jolis petits seins maintenant ?
  • Papaaaaa !! Que tu es cochon, tu ne devrais même pas me regarder comme ça, tu devrais détourner ton regard et me laisser me rendre à ma chambre zutttt !
  • Mais pourquoi Francine ? Tes petits seins sont magnifiques, ton petit corps est merveilleux et invitant, tu es vraiment devenue une très jolie jeune fille Francine, tu es mignonne à croquer !
  • Papa merde, tu deviens même vicieux là, laisse-moi passer stp que j’aille dans ma chambre me vêtir.

 

Il me bloquait encore le chemin, il me regardait de haut en bas, surtout mes petits seins et mon minou imberbe, je ramassai ma serviette pour me cacher un peu, puis il libéra mon chemin après un moment. Je fondais tellement j’étais gênée, j’allai vite mettre une chemise de nuit rose aux genoux et une petite culotte en coton rose avec des petits ours bruns et des lapins blancs.

 

Un peu plus tard, j’allai au salon, pour regarder un autre épisode d’une série que l’on regardait ensemble tous les deux, mais il lui prit d’ouvrir une discussion avant.

 

  • Francine, il est grand temps de refaire ta garde-robe toi, ça n’a plus de sens pour une jeune fille aussi jolie que toi de ne porter que des vêtements de ce genre.
  • Des robes aux genoux, à mi-cuisse au mieux, ou des longues, des robes fermées jusqu’au cou, des nuisettes aussi longues que ça, des petites culottes assez grandes pour en faire des parachutes, non ça suffit, demain nous allons magasiner, il est grand temps que tu montre ton magnifique petit corps plus que ça.
  • Mais Papa, Maman m’achetait ces vêtements car je ne voulais pas trop m’afficher.
  • Ta mère était vraiment trop prude, je vais te transformer moi, tu verras, ce n’est plus à la mode du tout toutes les vieilleries que ta mère achetait pour toi, c’est moi qui vais t’habiller maintenant.

 

Papa n’avait rien trouvé à son goût dans les boutiques, nous avions rentrés bredouilles, il alla aussitôt sur internet et magasina des heures de temps, en commandant tout ce qu’il aimait, sans toutefois rien me montrer.

 

En dix jours, il commença à me transformer, comme il disait. Il me tendit une petite culotte de couleur blanche unie et une nuisette, me dit d’aller essayer et revenir lui montrer. Je n’en revenais pas, la petite culotte ne couvrait que tout juste mon pubis, était si mince et étroite qu’elle couvrait à peine mes lèvres et on voyait presque au travers, il n’y avait même pas un bout de tissu à l’intérieur pour cacher un peu mieux ma petite fente, qui se moulait complètement dedans, il n’y avait que ce petit cordon qui me passait entre les fesses, qui ne cachait sans doute même pas mon petit anus, je le sentait passer dessus mais sans le couvrir.

 

La nuisette blanche également était outrageusement courte, très décolletée, moulait mes petits seins affreusement bien, trop bien, si mince que devant mon miroir je voyais très bien mes petits bouts de seins rosés au travers, si courte qu’elle ne cachait même pas ma si mini petite culotte, ni mes petites fesses.

 

  • Mais Papaaaaa ! C’est bien trop petit, ça ne cache rien grrrr !
  • Francine, viens me montrer je t’ai dit, allez, sors de ta chambre et viens me montrer tout ça.
  • Papaaaa…
  • Je t’ai dit….

 

  • Putain mais Francine tu es fantastique, tu es divine, merveilleuse, magnifique, là tu es une jeune fille de ton âge, tu es splendide, attirante, invitante, ravissante et excitante.
  • Mais Papa, c’est beaucoup trop osé, aguichant non ?
  • Beaucoup trop ? Non, mais ça l’est, et c’est ce que je veux que tu porte maintenant, tout ton vieux linge nous allons foutre ça à la poubelle Francine.

 

Il m’envoya essayer une robe blanche, elle était moins courte, mais ne cachait que de peu mon petit minou et ma minuscule petite culotte, et elle affichait presque autant mes petits seins que la nuisette.

 

  • Papa, c’est bien trop audacieux ça, je ne pourrai à peine bouger dans ça, ma minuscule petite culotte sera vue souvent, et on voit presque mes petits seins en plus, je ne pourrai pas sortir avec ça.
  • Oh tu es parfaite Francine, je t’amènerai à plein d’endroit moi avec ça, tu es une jolie petite déesse.

 

Papa se leva et se dévêtit, c’était bien la première fois que je le voyais nu, que je voyais sa grosse bite bien enflée, il m’imposa de m’agenouiller devant lui assis sur le divan, les fesses tout au bord, pour me montrer sa queue en gros plan.

 

  • Commence par goûter mes couilles et ma queue en entier Francine, lèche bien partout, tout le tour et le dessus, apprends à aimer ce nectar que ma queue va t’offrir, bientôt, tu vas désirer de plus en plus goûter le sperme, nous regarderons des vidéos ensemble sous peu.
  • Papaaaa ! Nonnn…je ne veux pas faire ça…
  • Allez, obéis Francine, toutes les jeunes filles de ton âge le font, tu n’es pas différente des autres, sinon que tu es beaucoup plus belle que la moyenne.

 

Je passai plusieurs minutes à hésiter, et je flanchai devant l’insistance de Papa, puis je me mis à explorer et lécher la queue de Papa, et ses couilles, il sortait du jus du petit trou en haut, et je ne pouvais qu’admettre que c’était un délice, très cochon, mais un délice pour ma langue. Il prit ensuite son ordi portable, le posa sur ses genoux, me fit asseoir à côté de lui et me montrait des femmes toutes nues, aux yeux très vicieux, qui léchaient le bout d’un pénis, on voyait du sperme en sortir, et elles léchaient tout avec soif.

 

Je comprenais mieux comment bien lécher, et je commençais à avoir vraiment ce goût d’essayer le sperme, le boire, l’avoir dans ma bouche et le goûter. Après peut-être 30 minutes à m’exciter de la sorte, à me donner le goût de le faire moi aussi, il rangea son ordi et m’invita à le faire. Je savais qu’il allait insister si je ne le faisais pas, j’étais encore toute gênée d’essayer, mais en même temps, j’en avais vraiment très envie, je voulais avoir du sperme.

 

Je faisais de mon mieux pour faire comme les femmes, et Papa m’indiquait aussi des choses à faire avec ma langue quand j’avais son gland dans ma bouche. Je l’entendais de plus en plus gémir, il semblait bien aimer ce que je lui faisais, il en vint à me tenir la tête en me disant de bien serrer les lèvres autour de ce gros gland et de ne rien perdre du sperme qu’il mettrait dans ma bouche.

 

  • Hummm merveilleux Francine, goûte bien et avale tout en bonne fille que tu es.

 

C’était une texture curieuse, une crème, le goût était bien curieux aussi, rien qui ressemblait à ce que j’avais déjà goûté, mais je trouvais ça bon. Papa me demanda de recommencer, afin de me permettre de mieux goûter, car il n’y en avait pas tellement en fait, j’en aurais pris à coup de grosses gorgées pour me faire une meilleure idée.

 

Encore quelques minutes après, je reçu encore du sperme dans ma bouche, j’en aurais pris plus encore une fois, mais c’était bon. Papa me fit grimper sur lui en le chevauchant.

 

  • Hummmm mais tu commences à juter ma jolie fille, tu deviens cochonne, regarde la partie foncée sur ta petite culotte, on voit tes lèvres très bien maintenant.

 

J’étais étonnée, surprise, je jutais comme le pénis de Papa, il commença à glisser ses doigts sur ma petite fente, c’était déjà magique.

 

  • Je constate que tu ne t’es jamais touchée encore, une jeune fille doit le faire et découvrir l’orgasme. Dans ton cas, je ne veux pas que tu te touches, moi je vais te toucher, te faire languir, te faire désirer pendant encore longtemps ton premier orgasme, comme toute jeune fille prend du temps à le faire, je vais te caresser ma fille à tous les jours, mais tu ne découvriras pas l’orgasme avant sans doute quelques semaines, tu vas m’en supplier un jour.

 

Papa semblait comme vouloir me punir parce que je ne m’étais jamais touché, je comprenais qu’il désirait me faire franchir une étape que je n’avais pas encore vécue, c’était aussi son côté autoritaire qui sortait, comme je n’avais encore jamais eu d’orgasme, je ne savais pas encore ce que je manquais, je me disais que Papa savait très bien ce qu’il faisait et je lui obéirais.

 

Papa me caressa à plusieurs reprises mon petit minou, me retira un moment donné ma petite culotte pour caresser directement sur ma peau, c’était encore meilleur, j’aimais beaucoup ça, puis me retira ma courte robe et s’attaqua à mes petits seins, de nouveau, c’était un délice, Papa me gâtait énormément s’il ne s’en rendait pas compte, c’était encore magique.

 

Le lendemain, il appela un ami, que moi je ne connaissais pas, mais il voulait aller faire un petit tour, il me fit mettre une petite robe noire et une minuscule culotte assortie, en me demandant d’apporter également dans un sac ma petite nuisette blanche toute neuve et une autre petite culotte blanche, comme la veille.

 

  • Salut Joe, comment va ? Je pense que tu n’avais jamais vu ma jolie fille, si je ne fais pas erreur ?
  • En effet Alex, je ne l’ai jamais rencontré. Enchanté Francine, tu es vraiment très jolie.
  • Merci Joe, enchantée également.

 

Les deux parlaient, je devais m’afficher ainsi, c’était gênant, assise, Joe voyait bien ma petite culotte que ma courte robe ne cachait pas tellement et la regardait souvent. Après quelques minutes, Papa me demanda d’aller à la salle de bain, me changer, et revenir au salon, devant Joe et lui.

 

  • Oh putain ! Mais c’est une petite merveille cette jolie fille que tu as Alex, tu es vraiment magnifique Francine, vraiment très jolie de partout.

 

Papa voulait que je reste debout devant eux, que je me balade un peu dans la pièce pour me montrer sous toutes mes coutures, c’était vraiment gênant, mais Papa m’avait dit que je deviendrais toute excitée chez son ami, et c’était le cas.

 

  • Hummmm tu vois juter son petit minou Joe ?
  • Oh que oui Alex, elle est divine ta fille.
  • Merci, je débute avec elle, je vais la rendre bien salope, pour le moment elle n’a encore jamais joui, et je vais la tenir ainsi un bon moment.
  • T’es sérieux ? Wow ! J’assiste à la naissance d’une jeune salope quoi ? Hummmmm !
  • En plein ça Joe. Francine, retire cette petite culotte toute mouillée, ça te fera du bien.
  • Ouffff, bien juteuse la petite Alex, comme je les aime.

 

  • Très bien Francine, maintenant retire ta nuisette et approche de Joe pour lui montrer de plus près tes magnifiques petits seins.

 

Joe se mit rapidement à caresser mes petits seins excités avec ses doigts, puis ajouta sa bouche, en caressant mes petites fesses d’une main. Papa lui dit qu’il pouvait toucher légèrement mon petit minou, mais pas trop, c’était son terrain de jeu à lui et il ne voulait surtout pas que Joe me fasse jouir.

 

Après un bon 15 minutes, Papa retira son pantalon, et invita Joe à le faire également.

 

  • Tu adore déjà le sperme Francine, tu en auras en double aujourd’hui, ça te plait Francine ?
  • Oh oui Papa, ce sera un régal je crois, deux fois plus de sperme, deux magnifiques gros glands, Merci Papa, Merci Joe.

 

Je me mis à sucer Joe pour débuter, pour passer d’un à l’autre ensuite. Papa était heureux de montrer à Joe que je suçais bien, une fois avec une queue dans ma bouche, j’étais devenue moins gênée, j’en étais maintenant contente et excitée de m’avoir affichée devant Joe, je l’étais avant, mais la gêne me coupait un peu de plaisir à être toute nue je crois, mais peu importait, enfin je me sentais très bien.

 

J’allais avoir du sperme plusieurs fois, je suçais avec désir, soif et excitation, j’étais impatiente de recevoir mes giclées savoureuses et bien méritées, le jus sur le gland de Joe était vraiment un délice lui aussi, j’aimais vraiment ce jus, avant le sperme, c’était comme une entrée avant le met principal.

 

Après peu de temps, j’avais si bien excité Joe, qu’il me donna son délice en peu de temps, j’étais heureuse et fière de moi, je passai ensuite à Papa, dont je pus obtenir le met principal assez rapidement de lui aussi, les deux me gâtaient bien à mon goût. Je remerciai les deux pour ce nectar, avant de revenir sur la queue de Joe, toujours bien allongée.

 

Papa racontait un peu ses achats à Joe, lui parlant des petits bikinis aussi petits que les petites culottes qu’il m’avait achetées, ainsi que le petit haut avec ce minuscule triangle qui cachait tout juste mes petits seins, même en laissant déborder un peu sur les côtés et au centre, en rétrécissant les bas des triangles sur le cordon. Joe semblait un habitué des jeunes filles et il avait bien hâte que je m’affiche ainsi à son chalet dans l’été, tout au bord du lac, où je ferais bander plein d’hommes adultes à son avis, Papa était bien en accord.

 

  • Oh oui qu’elle en fera bander des hommes ma petite garce, je te l’assure, c’est bien dans mes projets, elle est si belle et magnifique, il faut à tout prix que ce petit corps soit vu et dégusté amplement.
  • Oh que tu me plais là Alex.

 

Je pris un petit instant pour dire…

 

  • Papa, que tu es cochon ! Et Joe aussi, tu es très cochon !
  • Oh oui, tais-toi et suce ma jolie fille, tu adoreras la transformation que je t’aurai fait sous peu, crois-moi.

 

Je me remis au travail aussitôt, je ne voulais pas m’arrêter longtemps non plus, mais je comprenais bien que Papa avait encore bien des plans pour moi, et je me connaissais, même si je n’en aurais pas envie, il prendrait un ton plus autoritaire et je lui obéirais.

 

Je pus obtenir de mes deux hommes, deux autres séries de giclées de chacun, je me sentais plus comblée par cette quantité de sperme, j’en aurais pris encore mais ça me contentait déjà beaucoup plus.

 

Avant de repartir et de me rhabiller, Papa me fit mettre debout devant Joe, il se plaça derrière moi, et avec une main, il me masturba mon petit clito, mais stoppa avant de me faire jouir, je trouvais ça merveilleux quand même, c’était très excitant, j’en prendrais encore de ses caresses.

 

 

Ne manquez pas le Chapitre 2 !