Chapter Text
Ce récit est destiné aux adultes SEULEMENT.
Ce récit est entièrement fictif et ne représente nullement une histoire vraie ou vécue, il est strictement sorti de l’imaginaire de son auteur.
Ce récit contient des personnages fictifs et de l’activité sexuelle avec des personnages mineurs, si vous n’aimez pas ce genre d’histoire, ne lisez pas ce récit.
Commentaires fortement appréciés.
De retour à la maison, Papa me demanda de mettre ma nuisette noire, toute neuve, mais pas de petite culotte. Papa alla chercher des choses dans sa chambre et revint au salon. Il m’expliqua qu’il devait enfoncer ses doigts dans mon petit minou, que j’aurais sans doute mal, mais qu’il devait le faire, pour ses plans.
Il le fit en un coup sec, j’eus du mal, et ensuite il me laissait reprendre mon souffle et retira ses deux doigts. Il m’expliqua que techniquement, je n’étais plus vierge, mais que je n’aurais pas encore de queue dans ma petite chatte, possiblement pas d’orgasme pour encore longtemps, dépendamment de l’effet que me procureraient les boules chinoises en marchant.
Il m’expliqua que les boules chinoises étaient conçues pour bien préparer ma petite chatte, pour la rendre bien excitée, que j’en porterais quand il le voudrait, et surtout pour aller faire des courses. Il me montra ensuite lesdites boules chinoises, c’était comme de grosses billes, attachées ensemble par un cordon, toutes belles et chromées, ça semblait tout de même pesant, je le sentis lorsqu’il les posa dans mes mains.
Il prit une bouteille de liquide, en mit partout sur les deux boules chromées, en mit également sur mon petit trou et dedans, puis commença à en insérer une. Je trouvais ça gros, Papa me disait que mon petit trou allait bien ouvrir pour les laisser rentrer puis se refermer par après, ne laissant qu’un petit bout de cordon dépasser, afin de le tirer et sortir les boules.
La première était bien difficile, mais Papa la fit entrer, il était bien déterminé, puis il m’inséra la seconde, et me demanda d’aller marcher partout dans la maison pour les prochaines minutes, me rendre au sous-sol en descendant et remontant l’escalier plusieurs fois, et ne pas revenir le voir avant un bon 15 minutes.
- Papa, que tu es cochon…ça me chatouille terriblement dans mon petit minou, ça m’excite tout plein Papa…
- Je sais Francine, tu en jute déjà sur tes jolies cuisses, c’est pourquoi lorsque l’on va prendre une marche dans le quartier, ou en faisant des courses, tu ne pourras pas mettre de petite culotte car tu vas toutes les mouiller rapidement.
- Mais Papaaaa….ça va se voir sur mes cuisses non ?
- Oui en effet, et il est même possible que tu en jouisse en cours de route, tu stopperas sur place, et tu vivras ton orgasme, mais tu vas le faire ma jolie Francine.
- Papa ouffff, mais que tu es cochon, tu es salop, tu es très vicieux Papa.
- Oui Francine, et tu vas m’aimer encore plus fort à cause de ça, tu vas devenir de plus en plus obéissante et salope.
J’étais vraiment très excitée avec ces machins dans mon petit trou, à chaque pas je ressentais de l’excitation, comme une vibration dans mon minou.
- Il est encore relativement tôt Francine, veux-tu remettre ta petite robe noire et venir prendre une petite marche avec moi dehors, il fait encore beau non ?
- Merde, Papa…
- Allons Francine, courage, vas mettre ta courte robe, pas de petite culotte, et viens avec moi stp.
- Oui Papa, un instant, je me change et j’arrive Papa.
- Bonne fille !
Il faisait encore beau oui, mais c’était un peu froid, et il y avait un peu de vent, en à peine 30 mètres, j’avais déjà senti ma petite robe relever sur le devant, le tissu était si mince, j’avais aussi peine à retenir mes gémissements, mes petits bouts de seins étaient très durs, mais Papa m’encourageait, il me motivait à poursuivre et ne pas me soucier de ma robe qui relevait.
- Tu sais Francine, que l’on voit ta petite culotte ou ton petit minou, même tes fesses, ce n’est rien de grave, dis-toi simplement que si des hommes surtout te voit, ils seront bien heureux, ne penses plus à ça Francine et laisse ton joli petit corps se faire admirer, une si jolie jeune fille comme toi est faite pour s’afficher et rendre les hommes heureux.
- Mais Papa, ce n’est pas dans ma nature ça, tu le sais que je suis gênée moi.
- Oh mais ta nature je suis après la modifier Francine, tu verras bientôt que les regards que tu vas attirer vont te plaire et même t’exciter, tes petites robes si courtes tu vas les adorer, et en plus, avec les boules chinoises ou autres jouets que je te mettrai, tu ne pourras plus faire autrement que de devenir une adorable et mignonne petite salope.
Papa m’amenait plutôt loin, je pensais que nous aurions fait demi-tour bien avant, mais il persistait.
- Papa, tu as dit que je pourrais jouir avec ça ? Oufff je ne sais pas si c’est ça, c’est si fort ce que je ressens dans mon bas ventre…
- Hummmm avec de beaux gémissements comme ça Francine, je crois que oui tu viens de jouir, ça te plait n’est-ce pas ?
- Oufff…c’est fort les chatouilles Papa, et oui ça me plait vraiment beaucoup.
- Super Francine, j’adore le fait que tu en jouisse une toute première fois, je ne pensais pas que ça viendrait aussi tôt, mais j’en suis bien content. Rentrons à la maison maintenant, en souhaitant que tu jouisses de nouveau dehors sur le chemin du retour hummmmm.
Papa eut raison, je jouis à nouveau à quelques mètres de notre maison, j’avais vu des hommes sourire également sur notre parcours, des hommes que nous avions croisés, Papa avait peut-être remarqué, ça m’avait bien gênée d’avoir le petit minou à l’air libre dehors, la robe au vent.
À la maison, Papa me dit de faire comme je voulais, mais garder les boules chinoises encore, mettre soit ma petite nuisette blanche, sans petite culotte, ou me mettre toute nue. Comme je savais que ça allait plaire à Papa, je retirai ma robe noire et ne remis rien.
Pas plus d’une semaine plus tard, Papa me fit découvrir un autre jouet qu’il avait acheté en même temps que tout le reste. C’était un petit jouet en gélatine, transparent, d’environ 3cm sur 15, il disait que c’était un bouchon anal, qu’il resterait bien en place en marchant. Il m’inséra ça dans mon petit cul ce jour-là, puis m’amena faire des courses au supermarché, par chance qu’il ne m’avait pas inséré les boules de métal, car juste ce jouet m’excitait beaucoup en marchant.
Ce joli jouet servait à préparer doucement mon petit cul, pour sa queue éventuellement, possiblement aussi pour la queue de Joe, et qui savait encore combien d’autres. Au retour, je lui disais que j’étais bien contente de cet autre jouet, je l’aimais bien, Papa en était bien satisfait.
- Imagine Francine combien tu seras heureuse au retour en classe, quand parfois tu porteras ce gentil jouet toute la journée…
- Papa, que tu es cochon !
- Oui, mais compte sur moi pour te faire au moins essayer une journée Haha !
Papa réussissait bien, il me rendait de plus en plus cochonne, salope comme il aimait à dire, j’appréciais de plus en plus l’excitation et les jeux bien vilains de Papa, mes vêtements, mes jouets, et surtout, les caresses divines de Papa partout sur mon petit corps, qui lui appartenait en entier, se plaisait-il à me rappeler souvent.
En ce tout début de juillet, la météo annonçait une magnifique journée chaude pour le samedi, Joe nous invita à son chalet, le lac serait encore froid pour la baignade, mais la plage était magnifique. Il avait cru bon d’inviter aussi un de ses amis, très porté sur les jeunes, connu un peu de Papa mais sans plus. Papa accepta tout de même, comme il disait, ça me ferait une queue de plus à sucer.
Sur place, c’était très beau, un chalet au bord du lac, un peu éloigné des autres chalets, qui eux étaient tout juste devant la belle plage, le chalet était sur 2 étages avec mezzanine, une moitié d’étage contenant les chambres d’amis. Il y avait même le foyer, c’était un chalet toute saison, Joe y avait son hors-bord et deux motoneiges.
Papa insista bien sûr pour me faire porter un mini bikini, un blanc pour cette journée. Les trois passaient l’après-midi à boire du vin rouge, Papa me caressait devant eux à l’occasion, et les deux me caressaient également avec la permission de Papa, toutefois sans me faire jouir bien entendu. Joe eut cette idée après le souper, comme il ne semblait pas avoir beaucoup de monde dehors.
- Francine, pourquoi tu n’irais pas marcher au bord du lac, jusqu’au bout de la plage, puis pour le retour, retirer tes sandales pour être pieds nus dans le sable, ce qui te donnerais l’occasion de tenir le bas de ton bikini que tu auras retiré également ?
- Hummmm très bonne idée Joe, fais-le ma jolie puce, montre-nous combien tu es audacieuse et bien salope.
- Ah Papa, que tu es cochon !
Sur mon chemin, il y avait tout de même quelques personnes dehors devant les chalets, surtout deux hommes, mais aussi plusieurs ados, des garçons. Je fis tout de même ce que Joe avait suggéré, appuyé par Papa, et au bout de la plage, je retirai le bas de mon bikini et mes sandales, que je pris d’une main. Je me fis remarquer autant par les deux hommes que par les garçons.
À mon retour, on m’invita à m’asseoir, sans remettre le bas de mon bikini, ce qui fut bien observé par deux ados, qui semblaient hésitants, vu les trois hommes avec moi, mais qui se dirigeaient bien vers notre chalet. Ils osèrent s’approcher jusqu’à se placer pour bien voir ma petite chatte à l’air libre. Joe leur déplia même des chaises, qu’il plaça devant moi.
- Salut, tu es vraiment jolie tu sais, comment t’appelle-tu ?
- Francine, merci beaucoup pour le compliment, et vous ?
- Lui c’est Fred et moi c’est Jamie, tu as quel âge ? Moi j’ai 15 et lui 14.
- Enchantée les gars, moi j’ai neuf ans et demi.
- Wow ! Tu es franchement bien roulée pour ton âge Francine. Tu ne viens pas souvent ici hein ?
- Non, c’est le chalet de Joe, c’est la première fois que je viens ici.
Joe décida d’embarquer dans la conversation.
- Francine, ma jolie petite garce, pourquoi tu ne leur dis pas que tu adore le sperme et que tu fais des excellentes fellations ? Regarde ces pauvres jeunes hommes, ils sont bandés bien raides sur toi !
- Joe, sale pervers, que tu es cochon toi aussi.
- Haha oui Francine, et j’adore ça.
- Euhhhh….moi Francine, je suis bien partant si tu en as envie tu sais…
Jamie s’avança vers moi, et en hésitant, attendant un signe de moi, commençait à baisser son bermuda. Papa encouragea Joe et Jamie, me demanda de lui faire signe que je le voulais bien. Je me mis sur mes genoux et aidai Jamie à baisser le reste de son bermuda, puis le pris rapidement dans ma bouche, lui massant les couilles en le suçant.
J’étais encouragée par tous, Fred s’avança pour mieux voir, et il retira déjà en entier son bermuda, s’affichant bandé à l’extrême. Les gars avaient été très audacieux, et ce fut bien payant pour eux. Joe qui était près de moi, s’approcha dans mon dos, et me retira mon haut de bikini pendant que je suçais Jamie.
- Ouffff, superbes tes petits seins Francine.
- Elle ne parle pas la bouche pleine Jamie, mais elle te remercie Haha !
Dit Papa bien amusé, riant avec les autres. Je pouvais voir la queue de Fred, qui était juste à côté de Jamie, prêt pour son tour, prêt pour que je le prenne en vitesse après son ami. Je fis jouir Jamie, très excité, en à peine cinq minutes, Fred me flanqua rapidement sa queue devant ma bouche, presque directement dedans, pressé de jouir.
Il éclata encore plus rapidement que Jamie, les deux restaient encore bien bandés, on m’invitait de toutes parts à vite recommencer jusqu’à plus soif, en me disant que ces jeunes-là étaient bien capables pour remettre ça vite fait. Je persistai sur chacun à tour de rôle, et j’obtins en effet trois autres éjaculations de chacun.
Papa les invita à se retirer, me dit de rester nue avec ses amis, que j’eus l’occasion de sucer un après l’autre, ici et là durant la soirée, jusqu’à en avoir encore par trois fois de chacun. Je trouvais ce court séjour au chalet vraiment merveilleux, avec une telle rasade de sperme, j’étais ravie et comblée, en plus des caresses et des baisers que je recevais de tous ici et là.
À la brunante, Papa m’inséra les boules chinoises dans ma petite chatte, et le petit jouet dans mon cul, devant ses amis, et nous allions tous les quatre prendre une marche sur la plage, en me laissant complètement nue. Je fus bien observée par des messieurs, mais ils n’osèrent rien dire, profitant simplement de la vue en sale pervers. Nous marchions assez lentement, j’étais bien excitée, au bord de l’orgasme, mais je ne l’avais pas atteint.
Je dormis avec mon Papa, dans le même lit, puis quelque part dans la nuit, Joe entra dans la chambre, prit place sur le lit de mon côté, décida qu’il avait bien envie de dévorer une fois de plus mes petits seins, en caressant délicatement mon petit corps, ma petite fente, Papa s’était réveillé du coup, mais ne dit rien, il me fit pareil à son tour après le départ de Joe.
Le lendemain il pleuvait, mais avant de repartir, nous prenions une balade en hors-bord sur le beau lac bien calme. J’avais déjà une robe, mais Papa me dit de la retirer pour ne pas la mouiller à la pluie, et de sortir toute nue pour me rendre au hors-bord. La pluie était un peu froide, mes petits bouts de seins devinrent rapidement très durs, mais Papa me les réchauffa bien, en réchauffant également mon petit minou, devant l’ami de Joe.
De retour au chalet, avant notre départ, Papa décida de me remettre dans mes petits trous les jouets, pour mon confort sur la route vers la maison me disait-il, qui nous prendrait une bonne heure encore, et je pus remettre ma petite robe, sans petite culotte.
À la maison en milieu d’après-midi, Papa me laissa ainsi, me demanda de mettre une courte nuisette transparente, sans plus. Il s’en prenait assez régulièrement à mes petits seins en relevant ma nuisette, et se chargeait également de bien chauffer mon petit minou, mon petit bouton rose, sans me rendre à l’orgasme. Papa y prenait de plus en plus de plaisir à me faire languir, à me faire désirer du sexe, à me rendre dingue d’excitation, et je n’osais rien dire, car je réalisais que j’aimais ça de plus en plus.
Il était rendu l’heure du souper, Papa n’avait pas tellement l’envie de cuisiner.
- Remets ta jolie petite robe Francine, je t’amène au restaurant.
- Mais Papa, tu ne me laisse pas retirer les jouets avant ?
- Non pourquoi ? Tu seras assise, les jouets ne te nuiront en rien.
- Je vais toute mouiller ma chaise, et assise ma robe est si courte que ça ne me cache pas beaucoup.
- Ce n’est pas grave, il n’y aura sans doute que quelques personnes dans le bon angle pour voir sous la table, ne t’en fais donc pas avec ça ma jolie Francine.
J’étais très gênée, surtout au début, mais Papa m’encourageait à ne pas m’en faire même si je donnais parfois un délicieux petit spectacle à des gens, comme aux deux hommes souriants en biais avec moi qui louchaient beaucoup vers mon petit minou tout juteux, qui pouvaient peut-être même voir le cordon des boules dépasser.
Un autre à côté de moi semblait bien aimer mes cuisses, me voir en robe aussi courte, regarder dans mon décolleté plongeant, jetait des regards furtifs, mais fréquents, même accompagné de ce qui pouvait être sa fille un peu plus vieille que moi et sa femme.
Ce fut un délicieux repas, Papa me disait toujours de choisir ce que je souhaitais sans regarder les prix, il me gâtait toujours avec le meilleur en tout.
Ne manquez pas le Chapitre 3 !