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Language:
Français
Stats:
Published:
2024-05-21
Completed:
2024-05-21
Words:
24,975
Chapters:
9/9
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2
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1
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426

Papa, que tu es cochon

Summary:

À 9 ans et demi, ma Maman décédée, ma relation avec Papa changea du tout au tout, après avoir perdue ma serviette après ma douche ce soir-là. - Françine

Chapter Text

Ce récit est destiné aux adultes SEULEMENT.

Ce récit est entièrement fictif et ne représente nullement une histoire vraie ou vécue, il est strictement sorti de l’imaginaire de son auteur.

Ce récit contient des personnages fictifs et de l’activité sexuelle avec des personnages mineurs, si vous n’aimez pas ce genre d’histoire, ne lisez pas ce récit.

Commentaires fortement appréciés.

À huit ans et demi j’avais perdu ma Maman, il ne me restait que mon Papa, avec qui je vivais seule dans notre grande maison depuis environ un an. J’en étais à neuf ans et demi, Papa avait une tendance à être un peu autoritaire, parfois beaucoup, mais il n’avait pas de souci avec moi, j’étais une fille pudique, gênée, réservée, et surtout bien docile, je savais que pour lui aussi c’était difficile le départ de Maman, il devait en faire beaucoup pour moi, et je l’aidais de mon mieux.

 

Je sortis de la douche ce soir-là, avec un peu trop d’empressement, après le souper, j’avais juste pris ma serviette partiellement enroulée autour de moi, sans l’avoir nouée, je ne la tenais que d’une main. Mon père sortait de sa chambre au même moment, dans le couloir devant moi, je ne m’y attendais pas et je fus si surprise, j’avais sursauté et j’avais du coup lâché ma serviette qui tomba par terre.

 

  • Oh ma petite chérie, je n’avais même pas remarqué ça, mais tu as de très jolis petits seins maintenant ?
  • Papaaaaa !! Que tu es cochon, tu ne devrais même pas me regarder comme ça, tu devrais détourner ton regard et me laisser me rendre à ma chambre zutttt !
  • Mais pourquoi Francine ? Tes petits seins sont magnifiques, ton petit corps est merveilleux et invitant, tu es vraiment devenue une très jolie jeune fille Francine, tu es mignonne à croquer !
  • Papa merde, tu deviens même vicieux là, laisse-moi passer stp que j’aille dans ma chambre me vêtir.

 

Il me bloquait encore le chemin, il me regardait de haut en bas, surtout mes petits seins et mon minou imberbe, je ramassai ma serviette pour me cacher un peu, puis il libéra mon chemin après un moment. Je fondais tellement j’étais gênée, j’allai vite mettre une chemise de nuit rose aux genoux et une petite culotte en coton rose avec des petits ours bruns et des lapins blancs.

 

Un peu plus tard, j’allai au salon, pour regarder un autre épisode d’une série que l’on regardait ensemble tous les deux, mais il lui prit d’ouvrir une discussion avant.

 

  • Francine, il est grand temps de refaire ta garde-robe toi, ça n’a plus de sens pour une jeune fille aussi jolie que toi de ne porter que des vêtements de ce genre.
  • Des robes aux genoux, à mi-cuisse au mieux, ou des longues, des robes fermées jusqu’au cou, des nuisettes aussi longues que ça, des petites culottes assez grandes pour en faire des parachutes, non ça suffit, demain nous allons magasiner, il est grand temps que tu montre ton magnifique petit corps plus que ça.
  • Mais Papa, Maman m’achetait ces vêtements car je ne voulais pas trop m’afficher.
  • Ta mère était vraiment trop prude, je vais te transformer moi, tu verras, ce n’est plus à la mode du tout toutes les vieilleries que ta mère achetait pour toi, c’est moi qui vais t’habiller maintenant.

 

Papa n’avait rien trouvé à son goût dans les boutiques, nous avions rentrés bredouilles, il alla aussitôt sur internet et magasina des heures de temps, en commandant tout ce qu’il aimait, sans toutefois rien me montrer.

 

En dix jours, il commença à me transformer, comme il disait. Il me tendit une petite culotte de couleur blanche unie et une nuisette, me dit d’aller essayer et revenir lui montrer. Je n’en revenais pas, la petite culotte ne couvrait que tout juste mon pubis, était si mince et étroite qu’elle couvrait à peine mes lèvres et on voyait presque au travers, il n’y avait même pas un bout de tissu à l’intérieur pour cacher un peu mieux ma petite fente, qui se moulait complètement dedans, il n’y avait que ce petit cordon qui me passait entre les fesses, qui ne cachait sans doute même pas mon petit anus, je le sentait passer dessus mais sans le couvrir.

 

La nuisette blanche également était outrageusement courte, très décolletée, moulait mes petits seins affreusement bien, trop bien, si mince que devant mon miroir je voyais très bien mes petits bouts de seins rosés au travers, si courte qu’elle ne cachait même pas ma si mini petite culotte, ni mes petites fesses.

 

  • Mais Papaaaaa ! C’est bien trop petit, ça ne cache rien grrrr !
  • Francine, viens me montrer je t’ai dit, allez, sors de ta chambre et viens me montrer tout ça.
  • Papaaaa…
  • Je t’ai dit….

 

  • Putain mais Francine tu es fantastique, tu es divine, merveilleuse, magnifique, là tu es une jeune fille de ton âge, tu es splendide, attirante, invitante, ravissante et excitante.
  • Mais Papa, c’est beaucoup trop osé, aguichant non ?
  • Beaucoup trop ? Non, mais ça l’est, et c’est ce que je veux que tu porte maintenant, tout ton vieux linge nous allons foutre ça à la poubelle Francine.

 

Il m’envoya essayer une robe blanche, elle était moins courte, mais ne cachait que de peu mon petit minou et ma minuscule petite culotte, et elle affichait presque autant mes petits seins que la nuisette.

 

  • Papa, c’est bien trop audacieux ça, je ne pourrai à peine bouger dans ça, ma minuscule petite culotte sera vue souvent, et on voit presque mes petits seins en plus, je ne pourrai pas sortir avec ça.
  • Oh tu es parfaite Francine, je t’amènerai à plein d’endroit moi avec ça, tu es une jolie petite déesse.

 

Papa se leva et se dévêtit, c’était bien la première fois que je le voyais nu, que je voyais sa grosse bite bien enflée, il m’imposa de m’agenouiller devant lui assis sur le divan, les fesses tout au bord, pour me montrer sa queue en gros plan.

 

  • Commence par goûter mes couilles et ma queue en entier Francine, lèche bien partout, tout le tour et le dessus, apprends à aimer ce nectar que ma queue va t’offrir, bientôt, tu vas désirer de plus en plus goûter le sperme, nous regarderons des vidéos ensemble sous peu.
  • Papaaaa ! Nonnn…je ne veux pas faire ça…
  • Allez, obéis Francine, toutes les jeunes filles de ton âge le font, tu n’es pas différente des autres, sinon que tu es beaucoup plus belle que la moyenne.

 

Je passai plusieurs minutes à hésiter, et je flanchai devant l’insistance de Papa, puis je me mis à explorer et lécher la queue de Papa, et ses couilles, il sortait du jus du petit trou en haut, et je ne pouvais qu’admettre que c’était un délice, très cochon, mais un délice pour ma langue. Il prit ensuite son ordi portable, le posa sur ses genoux, me fit asseoir à côté de lui et me montrait des femmes toutes nues, aux yeux très vicieux, qui léchaient le bout d’un pénis, on voyait du sperme en sortir, et elles léchaient tout avec soif.

 

Je comprenais mieux comment bien lécher, et je commençais à avoir vraiment ce goût d’essayer le sperme, le boire, l’avoir dans ma bouche et le goûter. Après peut-être 30 minutes à m’exciter de la sorte, à me donner le goût de le faire moi aussi, il rangea son ordi et m’invita à le faire. Je savais qu’il allait insister si je ne le faisais pas, j’étais encore toute gênée d’essayer, mais en même temps, j’en avais vraiment très envie, je voulais avoir du sperme.

 

Je faisais de mon mieux pour faire comme les femmes, et Papa m’indiquait aussi des choses à faire avec ma langue quand j’avais son gland dans ma bouche. Je l’entendais de plus en plus gémir, il semblait bien aimer ce que je lui faisais, il en vint à me tenir la tête en me disant de bien serrer les lèvres autour de ce gros gland et de ne rien perdre du sperme qu’il mettrait dans ma bouche.

 

  • Hummm merveilleux Francine, goûte bien et avale tout en bonne fille que tu es.

 

C’était une texture curieuse, une crème, le goût était bien curieux aussi, rien qui ressemblait à ce que j’avais déjà goûté, mais je trouvais ça bon. Papa me demanda de recommencer, afin de me permettre de mieux goûter, car il n’y en avait pas tellement en fait, j’en aurais pris à coup de grosses gorgées pour me faire une meilleure idée.

 

Encore quelques minutes après, je reçu encore du sperme dans ma bouche, j’en aurais pris plus encore une fois, mais c’était bon. Papa me fit grimper sur lui en le chevauchant.

 

  • Hummmm mais tu commences à juter ma jolie fille, tu deviens cochonne, regarde la partie foncée sur ta petite culotte, on voit tes lèvres très bien maintenant.

 

J’étais étonnée, surprise, je jutais comme le pénis de Papa, il commença à glisser ses doigts sur ma petite fente, c’était déjà magique.

 

  • Je constate que tu ne t’es jamais touchée encore, une jeune fille doit le faire et découvrir l’orgasme. Dans ton cas, je ne veux pas que tu te touches, moi je vais te toucher, te faire languir, te faire désirer pendant encore longtemps ton premier orgasme, comme toute jeune fille prend du temps à le faire, je vais te caresser ma fille à tous les jours, mais tu ne découvriras pas l’orgasme avant sans doute quelques semaines, tu vas m’en supplier un jour.

 

Papa semblait comme vouloir me punir parce que je ne m’étais jamais touché, je comprenais qu’il désirait me faire franchir une étape que je n’avais pas encore vécue, c’était aussi son côté autoritaire qui sortait, comme je n’avais encore jamais eu d’orgasme, je ne savais pas encore ce que je manquais, je me disais que Papa savait très bien ce qu’il faisait et je lui obéirais.

 

Papa me caressa à plusieurs reprises mon petit minou, me retira un moment donné ma petite culotte pour caresser directement sur ma peau, c’était encore meilleur, j’aimais beaucoup ça, puis me retira ma courte robe et s’attaqua à mes petits seins, de nouveau, c’était un délice, Papa me gâtait énormément s’il ne s’en rendait pas compte, c’était encore magique.

 

Le lendemain, il appela un ami, que moi je ne connaissais pas, mais il voulait aller faire un petit tour, il me fit mettre une petite robe noire et une minuscule culotte assortie, en me demandant d’apporter également dans un sac ma petite nuisette blanche toute neuve et une autre petite culotte blanche, comme la veille.

 

  • Salut Joe, comment va ? Je pense que tu n’avais jamais vu ma jolie fille, si je ne fais pas erreur ?
  • En effet Alex, je ne l’ai jamais rencontré. Enchanté Francine, tu es vraiment très jolie.
  • Merci Joe, enchantée également.

 

Les deux parlaient, je devais m’afficher ainsi, c’était gênant, assise, Joe voyait bien ma petite culotte que ma courte robe ne cachait pas tellement et la regardait souvent. Après quelques minutes, Papa me demanda d’aller à la salle de bain, me changer, et revenir au salon, devant Joe et lui.

 

  • Oh putain ! Mais c’est une petite merveille cette jolie fille que tu as Alex, tu es vraiment magnifique Francine, vraiment très jolie de partout.

 

Papa voulait que je reste debout devant eux, que je me balade un peu dans la pièce pour me montrer sous toutes mes coutures, c’était vraiment gênant, mais Papa m’avait dit que je deviendrais toute excitée chez son ami, et c’était le cas.

 

  • Hummmm tu vois juter son petit minou Joe ?
  • Oh que oui Alex, elle est divine ta fille.
  • Merci, je débute avec elle, je vais la rendre bien salope, pour le moment elle n’a encore jamais joui, et je vais la tenir ainsi un bon moment.
  • T’es sérieux ? Wow ! J’assiste à la naissance d’une jeune salope quoi ? Hummmmm !
  • En plein ça Joe. Francine, retire cette petite culotte toute mouillée, ça te fera du bien.
  • Ouffff, bien juteuse la petite Alex, comme je les aime.

 

  • Très bien Francine, maintenant retire ta nuisette et approche de Joe pour lui montrer de plus près tes magnifiques petits seins.

 

Joe se mit rapidement à caresser mes petits seins excités avec ses doigts, puis ajouta sa bouche, en caressant mes petites fesses d’une main. Papa lui dit qu’il pouvait toucher légèrement mon petit minou, mais pas trop, c’était son terrain de jeu à lui et il ne voulait surtout pas que Joe me fasse jouir.

 

Après un bon 15 minutes, Papa retira son pantalon, et invita Joe à le faire également.

 

  • Tu adore déjà le sperme Francine, tu en auras en double aujourd’hui, ça te plait Francine ?
  • Oh oui Papa, ce sera un régal je crois, deux fois plus de sperme, deux magnifiques gros glands, Merci Papa, Merci Joe.

 

Je me mis à sucer Joe pour débuter, pour passer d’un à l’autre ensuite. Papa était heureux de montrer à Joe que je suçais bien, une fois avec une queue dans ma bouche, j’étais devenue moins gênée, j’en étais maintenant contente et excitée de m’avoir affichée devant Joe, je l’étais avant, mais la gêne me coupait un peu de plaisir à être toute nue je crois, mais peu importait, enfin je me sentais très bien.

 

J’allais avoir du sperme plusieurs fois, je suçais avec désir, soif et excitation, j’étais impatiente de recevoir mes giclées savoureuses et bien méritées, le jus sur le gland de Joe était vraiment un délice lui aussi, j’aimais vraiment ce jus, avant le sperme, c’était comme une entrée avant le met principal.

 

Après peu de temps, j’avais si bien excité Joe, qu’il me donna son délice en peu de temps, j’étais heureuse et fière de moi, je passai ensuite à Papa, dont je pus obtenir le met principal assez rapidement de lui aussi, les deux me gâtaient bien à mon goût. Je remerciai les deux pour ce nectar, avant de revenir sur la queue de Joe, toujours bien allongée.

 

Papa racontait un peu ses achats à Joe, lui parlant des petits bikinis aussi petits que les petites culottes qu’il m’avait achetées, ainsi que le petit haut avec ce minuscule triangle qui cachait tout juste mes petits seins, même en laissant déborder un peu sur les côtés et au centre, en rétrécissant les bas des triangles sur le cordon. Joe semblait un habitué des jeunes filles et il avait bien hâte que je m’affiche ainsi à son chalet dans l’été, tout au bord du lac, où je ferais bander plein d’hommes adultes à son avis, Papa était bien en accord.

 

  • Oh oui qu’elle en fera bander des hommes ma petite garce, je te l’assure, c’est bien dans mes projets, elle est si belle et magnifique, il faut à tout prix que ce petit corps soit vu et dégusté amplement.
  • Oh que tu me plais là Alex.

 

Je pris un petit instant pour dire…

 

  • Papa, que tu es cochon ! Et Joe aussi, tu es très cochon !
  • Oh oui, tais-toi et suce ma jolie fille, tu adoreras la transformation que je t’aurai fait sous peu, crois-moi.

 

Je me remis au travail aussitôt, je ne voulais pas m’arrêter longtemps non plus, mais je comprenais bien que Papa avait encore bien des plans pour moi, et je me connaissais, même si je n’en aurais pas envie, il prendrait un ton plus autoritaire et je lui obéirais.

 

Je pus obtenir de mes deux hommes, deux autres séries de giclées de chacun, je me sentais plus comblée par cette quantité de sperme, j’en aurais pris encore mais ça me contentait déjà beaucoup plus.

 

Avant de repartir et de me rhabiller, Papa me fit mettre debout devant Joe, il se plaça derrière moi, et avec une main, il me masturba mon petit clito, mais stoppa avant de me faire jouir, je trouvais ça merveilleux quand même, c’était très excitant, j’en prendrais encore de ses caresses.

 

 

Ne manquez pas le Chapitre 2 !

Chapter Text

Ce récit est destiné aux adultes SEULEMENT.

Ce récit est entièrement fictif et ne représente nullement une histoire vraie ou vécue, il est strictement sorti de l’imaginaire de son auteur.

Ce récit contient des personnages fictifs et de l’activité sexuelle avec des personnages mineurs, si vous n’aimez pas ce genre d’histoire, ne lisez pas ce récit.

Commentaires fortement appréciés.

De retour à la maison, Papa me demanda de mettre ma nuisette noire, toute neuve, mais pas de petite culotte. Papa alla chercher des choses dans sa chambre et revint au salon. Il m’expliqua qu’il devait enfoncer ses doigts dans mon petit minou, que j’aurais sans doute mal, mais qu’il devait le faire, pour ses plans.

 

Il le fit en un coup sec, j’eus du mal, et ensuite il me laissait reprendre mon souffle et retira ses deux doigts. Il m’expliqua que techniquement, je n’étais plus vierge, mais que je n’aurais pas encore de queue dans ma petite chatte, possiblement pas d’orgasme pour encore longtemps, dépendamment de l’effet que me procureraient les boules chinoises en marchant.

 

Il m’expliqua que les boules chinoises étaient conçues pour bien préparer ma petite chatte, pour la rendre bien excitée, que j’en porterais quand il le voudrait, et surtout pour aller faire des courses. Il me montra ensuite lesdites boules chinoises, c’était comme de grosses billes, attachées ensemble par un cordon, toutes belles et chromées, ça semblait tout de même pesant, je le sentis lorsqu’il les posa dans mes mains.

 

Il prit une bouteille de liquide, en mit partout sur les deux boules chromées, en mit également sur mon petit trou et dedans, puis commença à en insérer une. Je trouvais ça gros, Papa me disait que mon petit trou allait bien ouvrir pour les laisser rentrer puis se refermer par après, ne laissant qu’un petit bout de cordon dépasser, afin de le tirer et sortir les boules.

 

La première était bien difficile, mais Papa la fit entrer, il était bien déterminé, puis il m’inséra la seconde, et me demanda d’aller marcher partout dans la maison pour les prochaines minutes, me rendre au sous-sol en descendant et remontant l’escalier plusieurs fois, et ne pas revenir le voir avant un bon 15 minutes.

 

  • Papa, que tu es cochon…ça me chatouille terriblement dans mon petit minou, ça m’excite tout plein Papa…
  • Je sais Francine, tu en jute déjà sur tes jolies cuisses, c’est pourquoi lorsque l’on va prendre une marche dans le quartier, ou en faisant des courses, tu ne pourras pas mettre de petite culotte car tu vas toutes les mouiller rapidement.
  • Mais Papaaaa….ça va se voir sur mes cuisses non ?
  • Oui en effet, et il est même possible que tu en jouisse en cours de route, tu stopperas sur place, et tu vivras ton orgasme, mais tu vas le faire ma jolie Francine.
  • Papa ouffff, mais que tu es cochon, tu es salop, tu es très vicieux Papa.
  • Oui Francine, et tu vas m’aimer encore plus fort à cause de ça, tu vas devenir de plus en plus obéissante et salope.

 

J’étais vraiment très excitée avec ces machins dans mon petit trou, à chaque pas je ressentais de l’excitation, comme une vibration dans mon minou.

 

  • Il est encore relativement tôt Francine, veux-tu remettre ta petite robe noire et venir prendre une petite marche avec moi dehors, il fait encore beau non ?
  • Merde, Papa…
  • Allons Francine, courage, vas mettre ta courte robe, pas de petite culotte, et viens avec moi stp.
  • Oui Papa, un instant, je me change et j’arrive Papa.
  • Bonne fille !

 

Il faisait encore beau oui, mais c’était un peu froid, et il y avait un peu de vent, en à peine 30 mètres, j’avais déjà senti ma petite robe relever sur le devant, le tissu était si mince, j’avais aussi peine à retenir mes gémissements, mes petits bouts de seins étaient très durs, mais Papa m’encourageait, il me motivait à poursuivre et ne pas me soucier de ma robe qui relevait.

 

  • Tu sais Francine, que l’on voit ta petite culotte ou ton petit minou, même tes fesses, ce n’est rien de grave, dis-toi simplement que si des hommes surtout te voit, ils seront bien heureux, ne penses plus à ça Francine et laisse ton joli petit corps se faire admirer, une si jolie jeune fille comme toi est faite pour s’afficher et rendre les hommes heureux.
  • Mais Papa, ce n’est pas dans ma nature ça, tu le sais que je suis gênée moi.
  • Oh mais ta nature je suis après la modifier Francine, tu verras bientôt que les regards que tu vas attirer vont te plaire et même t’exciter, tes petites robes si courtes tu vas les adorer, et en plus, avec les boules chinoises ou autres jouets que je te mettrai, tu ne pourras plus faire autrement que de devenir une adorable et mignonne petite salope.

 

Papa m’amenait plutôt loin, je pensais que nous aurions fait demi-tour bien avant, mais il persistait.

 

  • Papa, tu as dit que je pourrais jouir avec ça ? Oufff je ne sais pas si c’est ça, c’est si fort ce que je ressens dans mon bas ventre…
  • Hummmm avec de beaux gémissements comme ça Francine, je crois que oui tu viens de jouir, ça te plait n’est-ce pas ?
  • Oufff…c’est fort les chatouilles Papa, et oui ça me plait vraiment beaucoup.
  • Super Francine, j’adore le fait que tu en jouisse une toute première fois, je ne pensais pas que ça viendrait aussi tôt, mais j’en suis bien content. Rentrons à la maison maintenant, en souhaitant que tu jouisses de nouveau dehors sur le chemin du retour hummmmm.

 

Papa eut raison, je jouis à nouveau à quelques mètres de notre maison, j’avais vu des hommes sourire également sur notre parcours, des hommes que nous avions croisés, Papa avait peut-être remarqué, ça m’avait bien gênée d’avoir le petit minou à l’air libre dehors, la robe au vent.

 

À la maison, Papa me dit de faire comme je voulais, mais garder les boules chinoises encore, mettre soit ma petite nuisette blanche, sans petite culotte, ou me mettre toute nue. Comme je savais que ça allait plaire à Papa, je retirai ma robe noire et ne remis rien.

 

Pas plus d’une semaine plus tard, Papa me fit découvrir un autre jouet qu’il avait acheté en même temps que tout le reste. C’était un petit jouet en gélatine, transparent, d’environ 3cm sur 15, il disait que c’était un bouchon anal, qu’il resterait bien en place en marchant. Il m’inséra ça dans mon petit cul ce jour-là, puis m’amena faire des courses au supermarché, par chance qu’il ne m’avait pas inséré les boules de métal, car juste ce jouet m’excitait beaucoup en marchant.

 

Ce joli jouet servait à préparer doucement mon petit cul, pour sa queue éventuellement, possiblement aussi pour la queue de Joe, et qui savait encore combien d’autres. Au retour, je lui disais que j’étais bien contente de cet autre jouet, je l’aimais bien, Papa en était bien satisfait.

 

  • Imagine Francine combien tu seras heureuse au retour en classe, quand parfois tu porteras ce gentil jouet toute la journée…
  • Papa, que tu es cochon !
  • Oui, mais compte sur moi pour te faire au moins essayer une journée Haha !

 

Papa réussissait bien, il me rendait de plus en plus cochonne, salope comme il aimait à dire, j’appréciais de plus en plus l’excitation et les jeux bien vilains de Papa, mes vêtements, mes jouets, et surtout, les caresses divines de Papa partout sur mon petit corps, qui lui appartenait en entier, se plaisait-il à me rappeler souvent.

 

En ce tout début de juillet, la météo annonçait une magnifique journée chaude pour le samedi, Joe nous invita à son chalet, le lac serait encore froid pour la baignade, mais la plage était magnifique. Il avait cru bon d’inviter aussi un de ses amis, très porté sur les jeunes, connu un peu de Papa mais sans plus. Papa accepta tout de même, comme il disait, ça me ferait une queue de plus à sucer.

 

Sur place, c’était très beau, un chalet au bord du lac, un peu éloigné des autres chalets, qui eux étaient tout juste devant la belle plage, le chalet était sur 2 étages avec mezzanine, une moitié d’étage contenant les chambres d’amis. Il y avait même le foyer, c’était un chalet toute saison, Joe y avait son hors-bord et deux motoneiges.

 

Papa insista bien sûr pour me faire porter un mini bikini, un blanc pour cette journée. Les trois passaient l’après-midi à boire du vin rouge, Papa me caressait devant eux à l’occasion, et les deux me caressaient également avec la permission de Papa, toutefois sans me faire jouir bien entendu. Joe eut cette idée après le souper, comme il ne semblait pas avoir beaucoup de monde dehors.

 

  • Francine, pourquoi tu n’irais pas marcher au bord du lac, jusqu’au bout de la plage, puis pour le retour, retirer tes sandales pour être pieds nus dans le sable, ce qui te donnerais l’occasion de tenir le bas de ton bikini que tu auras retiré également ?
  • Hummmm très bonne idée Joe, fais-le ma jolie puce, montre-nous combien tu es audacieuse et bien salope.
  • Ah Papa, que tu es cochon !

 

Sur mon chemin, il y avait tout de même quelques personnes dehors devant les chalets, surtout deux hommes, mais aussi plusieurs ados, des garçons. Je fis tout de même ce que Joe avait suggéré, appuyé par Papa, et au bout de la plage, je retirai le bas de mon bikini et mes sandales, que je pris d’une main. Je me fis remarquer autant par les deux hommes que par les garçons.

 

À mon retour, on m’invita à m’asseoir, sans remettre le bas de mon bikini, ce qui fut bien observé par deux ados, qui semblaient hésitants, vu les trois hommes avec moi, mais qui se dirigeaient bien vers notre chalet. Ils osèrent s’approcher jusqu’à se placer pour bien voir ma petite chatte à l’air libre. Joe leur déplia même des chaises, qu’il plaça devant moi.

 

  • Salut, tu es vraiment jolie tu sais, comment t’appelle-tu ?
  • Francine, merci beaucoup pour le compliment, et vous ?
  • Lui c’est Fred et moi c’est Jamie, tu as quel âge ? Moi j’ai 15 et lui 14.
  • Enchantée les gars, moi j’ai neuf ans et demi.
  • Wow ! Tu es franchement bien roulée pour ton âge Francine. Tu ne viens pas souvent ici hein ?
  • Non, c’est le chalet de Joe, c’est la première fois que je viens ici.

 

Joe décida d’embarquer dans la conversation.

 

  • Francine, ma jolie petite garce, pourquoi tu ne leur dis pas que tu adore le sperme et que tu fais des excellentes fellations ? Regarde ces pauvres jeunes hommes, ils sont bandés bien raides sur toi !
  • Joe, sale pervers, que tu es cochon toi aussi.
  • Haha oui Francine, et j’adore ça.
  • Euhhhh….moi Francine, je suis bien partant si tu en as envie tu sais…

 

Jamie s’avança vers moi, et en hésitant, attendant un signe de moi, commençait à baisser son bermuda. Papa encouragea Joe et Jamie, me demanda de lui faire signe que je le voulais bien. Je me mis sur mes genoux et aidai Jamie à baisser le reste de son bermuda, puis le pris rapidement dans ma bouche, lui massant les couilles en le suçant.

 

J’étais encouragée par tous, Fred s’avança pour mieux voir, et il retira déjà en entier son bermuda, s’affichant bandé à l’extrême. Les gars avaient été très audacieux, et ce fut bien payant pour eux. Joe qui était près de moi, s’approcha dans mon dos, et me retira mon haut de bikini pendant que je suçais Jamie.

 

  • Ouffff, superbes tes petits seins Francine.
  • Elle ne parle pas la bouche pleine Jamie, mais elle te remercie Haha !

 

Dit Papa bien amusé, riant avec les autres. Je pouvais voir la queue de Fred, qui était juste à côté de Jamie, prêt pour son tour, prêt pour que je le prenne en vitesse après son ami. Je fis jouir Jamie, très excité, en à peine cinq minutes, Fred me flanqua rapidement sa queue devant ma bouche, presque directement dedans, pressé de jouir.

 

Il éclata encore plus rapidement que Jamie, les deux restaient encore bien bandés, on m’invitait de toutes parts à vite recommencer jusqu’à plus soif, en me disant que ces jeunes-là étaient bien capables pour remettre ça vite fait. Je persistai sur chacun à tour de rôle, et j’obtins en effet trois autres éjaculations de chacun.

 

Papa les invita à se retirer, me dit de rester nue avec ses amis, que j’eus l’occasion de sucer un après l’autre, ici et là durant la soirée, jusqu’à en avoir encore par trois fois de chacun. Je trouvais ce court séjour au chalet vraiment merveilleux, avec une telle rasade de sperme, j’étais ravie et comblée, en plus des caresses et des baisers que je recevais de tous ici et là.

 

À la brunante, Papa m’inséra les boules chinoises dans ma petite chatte, et le petit jouet dans mon cul, devant ses amis, et nous allions tous les quatre prendre une marche sur la plage, en me laissant complètement nue. Je fus bien observée par des messieurs, mais ils n’osèrent rien dire, profitant simplement de la vue en sale pervers. Nous marchions assez lentement, j’étais bien excitée, au bord de l’orgasme, mais je ne l’avais pas atteint.

 

Je dormis avec mon Papa, dans le même lit, puis quelque part dans la nuit, Joe entra dans la chambre, prit place sur le lit de mon côté, décida qu’il avait bien envie de dévorer une fois de plus mes petits seins, en caressant délicatement mon petit corps, ma petite fente, Papa s’était réveillé du coup, mais ne dit rien, il me fit pareil à son tour après le départ de Joe.

 

Le lendemain il pleuvait, mais avant de repartir, nous prenions une balade en hors-bord sur le beau lac bien calme. J’avais déjà une robe, mais Papa me dit de la retirer pour ne pas la mouiller à la pluie, et de sortir toute nue pour me rendre au hors-bord. La pluie était un peu froide, mes petits bouts de seins devinrent rapidement très durs, mais Papa me les réchauffa bien, en réchauffant également mon petit minou, devant l’ami de Joe.

 

De retour au chalet, avant notre départ, Papa décida de me remettre dans mes petits trous les jouets, pour mon confort sur la route vers la maison me disait-il, qui nous prendrait une bonne heure encore, et je pus remettre ma petite robe, sans petite culotte.

 

À la maison en milieu d’après-midi, Papa me laissa ainsi, me demanda de mettre une courte nuisette transparente, sans plus. Il s’en prenait assez régulièrement à mes petits seins en relevant ma nuisette, et se chargeait également de bien chauffer mon petit minou, mon petit bouton rose, sans me rendre à l’orgasme. Papa y prenait de plus en plus de plaisir à me faire languir, à me faire désirer du sexe, à me rendre dingue d’excitation, et je n’osais rien dire, car je réalisais que j’aimais ça de plus en plus.

 

Il était rendu l’heure du souper, Papa n’avait pas tellement l’envie de cuisiner.

 

  • Remets ta jolie petite robe Francine, je t’amène au restaurant.
  • Mais Papa, tu ne me laisse pas retirer les jouets avant ?
  • Non pourquoi ? Tu seras assise, les jouets ne te nuiront en rien.
  • Je vais toute mouiller ma chaise, et assise ma robe est si courte que ça ne me cache pas beaucoup.
  • Ce n’est pas grave, il n’y aura sans doute que quelques personnes dans le bon angle pour voir sous la table, ne t’en fais donc pas avec ça ma jolie Francine.

 

J’étais très gênée, surtout au début, mais Papa m’encourageait à ne pas m’en faire même si je donnais parfois un délicieux petit spectacle à des gens, comme aux deux hommes souriants en biais avec moi qui louchaient beaucoup vers mon petit minou tout juteux, qui pouvaient peut-être même voir le cordon des boules dépasser.

 

Un autre à côté de moi semblait bien aimer mes cuisses, me voir en robe aussi courte, regarder dans mon décolleté plongeant, jetait des regards furtifs, mais fréquents, même accompagné de ce qui pouvait être sa fille un peu plus vieille que moi et sa femme.

 

Ce fut un délicieux repas, Papa me disait toujours de choisir ce que je souhaitais sans regarder les prix, il me gâtait toujours avec le meilleur en tout.

 

 

Ne manquez pas le Chapitre 3 !

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Ce récit est destiné aux adultes SEULEMENT.

Ce récit est entièrement fictif et ne représente nullement une histoire vraie ou vécue, il est strictement sorti de l’imaginaire de son auteur.

Ce récit contient des personnages fictifs et de l’activité sexuelle avec des personnages mineurs, si vous n’aimez pas ce genre d’histoire, ne lisez pas ce récit.

Commentaires fortement appréciés.

Au retour du restaurant, Papa m’invita à me soulager de mes jouets, à les laver et les ranger, à remettre ma petite nuisette transparente, sans plus, je le rejoins ensuite au salon.

 

  • Tu as été vraiment une bonne fille tout le week-end Francine, tu es vraiment merveilleuse ! As-tu aimé avoir beaucoup de sperme ce samedi ? En prendrais-tu encore plus ?
  • Oh merci Papa, tu es très gentil, je t’aime Papa tu le sais. Et oui j’ai bien aimé ça me faire gâter autant, c’était super, mais oui j’en aurais pris encore, c’est si délicieux Hihi !
  • Donc, ce serait bien d’organiser quelque chose qui t’offrirait encore plus de queues à sucer, c’est bien ce que je dois comprendre Francine ?
  • Sans trop se casser la tête Papa, si cela arrive, et bien ce sera tant mieux pour moi Hihi !
  • D’accord ma petite chérie, donc, ce n’est pas une obligation, mais nous pouvons être ouverts à certains trucs du genre.

 

Papa regarda longuement son ordi portable, assis sur le divan, moi je regardais ma tablette.

 

  • Francine, je crois avoir une idée géniale, que dirais-tu d’une semaine dans un mobile home, dans un camping nudiste, moi j’aimerais beaucoup voir des gens réaliser que tu es jolie, mais surtout que tu as un jouet dans ton petit cul, et les boules dans ta petite chatte ?
  • Papa, que tu es cochon !
  • Avoue, tu aimerais te montrer ainsi, tu deviens bien perverse, il me vient même l’idée d’inviter ton cousin Sam, tu ne l’as pas vu depuis un an, il doit bien avoir 14 ans maintenant, il serait très heureux de te voir, non ?
  • Papa, mais il me verrait toute nue…
  • Oui, et il n’aurait sans doute rien contre l’idée de se faire sucer par toi, il ne reste qu’une seule semaine de libre, à partir de samedi prochain, je n’aurai qu’à juste ne pas mentionner à ses parents que ce sera du nudisme, allons, dis oui, ce sera vraiment une adorable semaine.
  • Papa, que tu es vicieux, tu le sais bien que si tu le veux je le ferai.
  • Bon voilà, c’est décidé, tu es une magnifique jeune fille avec un adorable petit corps, il faut qu’il soit vu par plein de gens ma petite chérie, je réserve.

 

Il prit son smartphone et sa carte de crédit, le tout était réglé en peu de temps. Il appela ensuite mon cousin, qui était fort surprit mais bien partant, Papa s’arrangea ensuite avec les parents, et ils acceptèrent. Le vendredi suivant, dans la soirée, Papa alla chercher mon cousin Sam, comme nous partions assez tôt en matinée pour faire la route.

 

Je restais à la maison, afin de ne pas m’afficher aux parents, et à la demande de Papa, j’attendais mon cousin en petite nuisette noire, en petite culotte noire, les deux transparents, la nuisette qui ne couvrait même pas mon pubis. Sam ne manqua pas d’être terriblement surpris de me voir l’accueillir ainsi, surpris mais des plus heureux, il me dévorait du regard et bandait solidement dans son bermuda en quelques secondes.

 

  • Bienvenu chez moi Sam, tu nous manquais tu sais, nous t’aimons bien toi, tu es un très bon garçon.
  • Oh merci mon oncle, tu es vraiment gentil, et je ne te remercierai jamais assez pour l’invitation, ce sera magnifique.
  • Et comment trouve-tu Francine ? Il y avait pratiquement une année que tu ne l’avais pas vu.
  • Elle est euhhh…exc…merveilleuse, très belle mon oncle, vraiment mignonne, puis-je le dire qu’elle est euhhh…
  • Excitante Sam ? Oui bien sûr, elle l’est, alors dis-le il n’y a pas de souci.
  • Merde oui Francine tu es terriblement excitante oufff…
  • Merci Sam, bien heureuse de te plaire, tu es très beau tu sais, plus beau qu’avant même je trouve, j’adore tes yeux aussi, ils semblent plus cochons tout à coup Hihi !
  • Haha ne sois pas gêné Sam, elle fait exprès pour t’exciter encore plus, tu sais, Francine adore vraiment sucer maintenant, et adore boire beaucoup de sperme, tu aimerais qu’elle te suce là maintenant ?
  • Oncle mais…euhhh….ah oui tu le veux ? Mais tu es bien cochon mon oncle Haha !

 

J’allai rapidement m’agenouiller devant mon cousin, m’empressai de baisser son bermuda, dévoilant sa jolie queue affreusement bandée, le bout déjà légèrement juteux, et je le pris dans ma bouche sans plus attendre. Papa alla mettre les bagages dont Sam n’aurait pas de besoin dans la chambre d’ami et revint pour me regarder faire et m’encourager.

 

Papa s’était déshabillé et avait pris place sur le divan, très bien bandé, voulant sans doute montrer à Sam qu’il attendait son tour, que je suçais également mon Papa, sans gêne devant Sam. Je reçu le sperme de Sam une première fois bien rapidement, il était si excité, il cracha en trois minutes, mais je le gardais dans ma bouche et j’insistais, en sachant qu’il pouvait m’en donner encore.

 

Dans la soirée, en moins de deux heures, je pus obtenir une dizaine de savoureuses giclées dans ma bouche. Papa laissa aussi Sam me caresser partout, en lui expliquant bien que je ne devais pas en jouir, et que ce serait pareil au camping, il pourrait me toucher amplement, me lécher, se faire sucer à volonté, mais ne pas me faire jouir.

 

Nous étions enfin sur place le lendemain, je dû rapidement sucer Sam et Papa par deux fois chacun, afin de pouvoir visiter le camping sans que leur queue ne cherche à lever trop souvent, c’était mal vu une queue en érection, il fallait éviter. Papa avait pris le temps de me mettre boules et jouet dans mon cul, puis nous partions nous balader et visiter.

 

  • Très mignon ce petit cul, tu es bien confortable ma jolie petite fillette ?
  • Oh merci monsieur, et oui je me sens très bien et bien heureuse.

 

En à peine cinq minutes, j’avais déjà ce commentaire, Papa était bien amusé, et nous savions tous que j’en aurais plein d’autres de ce genre. Je jutais sur mes petites cuisses, ça devait très bien se voir, je n’avais pas encore croisé de jeunes filles équipées comme moi, même juste dans le cul, je me demandais bien si j’étais la seule, mais ça n’importait peu de toute façon, Papa le voulait.

 

  • Hummmm très jolie demoiselle, toute chaude en plus, tu es superbe petite beauté !

 

Nous arrêtions plus tard au petit comptoir à fastfood, nous regardions le menu en se demandant ce que nous prendrions. Une très jolie jeune fille d’environ sept ans, flirtait Papa avec des yeux magnifiques, poussait sa langue dans sa joue pour faire signe à Papa qui avait déjà commencé à bander qu’elle le sucerait bien, elle faisait des signes de la tête et des yeux, invitant Papa à aller derrière le petit commerce.

 

  • Pensez-y, regardez bien le menu, je reviens dans cinq petites minutes.

 

Papa se rendit derrière le commerce, et la jolie jeune fillette le suivit presque aussitôt. Papa me montrait qu’il m’aurait prise bien plus jeune, il avait été très charmé par la petite mignonne bien salope. Il revint au bout de quelques minutes, débandé et bien souriant, la gamine en sortit toute souriante également, elle aimait visiblement les queues adultes.

 

Papa nous laissa commander en premier, se tourna vers la jeune fille encore assise tout près, la petite chatte toute juteuse…

 

  • As-tu faim ? Veux-tu un breuvage ?
  • Non je vous remercie monsieur, je ne prendrais qu’un seul breuvage, encore tout chaud et crémeux.

 

Nous prenions une table de piquenique, en attendant nos repas, la fillette vint se joindre à nous, en demandant la permission en jeune fille très polie, Papa lui accorda. Plus tard, nous avions bien mangé, jetés nos déchets, puis nous retournions pour le moment à notre emplacement. La jeune fillette, qui se nommait Josiane, avait demandé pour nous suivre, Papa se soucia de l’inquiétude de ses parents, mais elle affirma qu’elle était bien libre en camping.

 

Elle demandait pour visiter le mobile home, et Papa la laissa entrer avec nous. Plusieurs minutes plus tard, voyant la fillette à la chatte encore juteuse…

 

  • Francine ma petite chérie, ça ne te dirait pas de t’offrir une petite chatte toute juteuse pour une première fois ?
  • Papa, que tu es cochon !
  • Josiane, toi tu en aurais envie que ma fille te dévore ton petit minou juteux ?
  • Oh oui monsieur, moi je suis bien partante, dévorée par une fille, un ado ou un homme adulte, je suis ouverte à tout monsieur.

 

Josiane, je la trouvais vraiment très jolie moi aussi, elle démontrait qu’elle était prête à passer par toutes nos mains ou nos bouches, prête à avoir du sexe amplement, ce qui plaisait beaucoup à Sam et à Papa, qui m’invita à bouffer ma toute première chatte. Josiane me guidait bien, car je n’étais pas une experte, elle jutait beaucoup et je me régalais de son jus, c’était exquis, j’étais très heureuse de goûter une jeune chatte.

 

Je la fis jouir avec une extrême satisfaction en moi, comme si j’avais fait un grand exploit, j’étais contente d’avoir été un peu poussée par Papa à le faire. Josiane passa par les mains et la bouche de Papa, accompagné par Sam, suça Sam par deux fois, suça Papa à nouveau, se fit ramoner son petit cul par chacun d’eux devant mes yeux.

 

Josiane finit dans les bras de Sam, couchée avec lui sur le lit du fond, alors que je finis sur le lit auprès de Papa, nous étions partis tôt, nous avions tous besoin d’une petite sieste. Après la sieste, Papa invita Josiane à retourner voir ses parents, nous devions sortir pour faire des courses, rien pour vraiment cuisiner, car nous avions un vrai restaurant en plus du comptoir de fastfood, mais des grignotines et de petites choses pour calmer la faim, ou se gâter en écoutant du Netflix, des breuvages, des desserts et gourmandises.

 

Au retour, la pluie commençait tout juste, mais ça avait bien l’air parti pour la soirée, nous allions souper au restaurant, tous nus, marchant sous la pluie chaude, puis retour à notre mobile home, où nous étions tous nus sur le divan à créer en premier un consensus pour Netflix, et ensuite regarder. J’étais assise entre Sam et Papa, je recevais assez fréquemment les caresses d’un ou de l’autre sur mon petit minou, sur mes petits seins, ainsi que des baisers à pleine bouche de part et d’autre.

 

Quelques heures plus tard, Papa décida de m’apprendre à masturber une queue, ce que je ne savais pas encore faire. Je pus pratiquer sur Sam et lui, et on me disait à quel moment approcher ma bouche pour boire le sperme. Papa me disait que j’aurais peut-être l’occasion de soulager des hommes au camping que j’aurais trop excités, ça pouvait arriver, et au camping il était préférable de voir un homme se faire masturber que de le voir bandé, personne ne dirait rien.

 

Le camping avait un joli lac artificiel, plutôt grand, il était entouré de sable, une plage tout le tour, bien que la plupart des gens se tenaient dans la même zone. Le lendemain en début d’après-midi, nous marchions ensemble autour du lac, j’étais encore équipée de jouets, à l’écart des autres, il y avait ses deux hommes dans la quarantaine, assis avec une jeune fille de cinq ou six ans entre les deux.

 

Ils nous arrêtèrent, question de se parler un peu, j’étais bien complimentée, on me trouvait très belle, et bien excitante, un des deux banda très rapidement, et me disait que cela était bien de ma faute.

 

  • Francine, va donc soulager le monsieur que tu as excité, ça lui fera du bien.

 

J’allai m’accroupir auprès du premier monsieur, le second bandait à son tour sachant ce que j’allais faire à son ami, devant la petite fille qui me regardait faire. C’était tout de même bien gênant de masturber un inconnu, mais j’y prenais plaisir, comme Papa m’avait dit, c’était un très beau compliment de bander sur moi.

 

Je fis jouir le premier en cinq minutes, mais je ne le pris pas dans ma bouche, la jeune fille sembla fort étonnée, elle assistait peut-être à la scène pour la première fois, voir un pénis cracher son sperme semblait nouveau pour elle. Elle ne manqua rien non plus lorsque j’allais faire de même au second monsieur, qui jouit en un temps similaire.

 

Sam avait bandé devant la scène, lui j’allai le sucer devant la jeune fille et les deux hommes à sa demande, encouragée par Papa et les deux voyeurs. Après ce délicieux breuvage tout chaud et crémeux comme aurait dit Josiane, nous poursuivions notre balade. Papa était bien fier de moi, je devenais une salope parfaite.

 

Ce fut en début de soirée, après le souper, dans le mobile home, que Papa décida que mes petits trous avaient bien été préparés. Après avoir été bien masturbée par Sam et Papa, ma chatte était pleinement juteuse, Papa avait répandu mon jus jusqu’à mon petit cul, les deux queues étaient dures et juteuses, Papa se mit debout dans le salon, m’invita à le prendre par le cou, serrer mes jambes autour de lui, puis me prit par les fesses.

 

Il empala sa jolie queue dans ma petite chatte, et invita Sam à venir mettre la sienne dans mon petit cul. J’étais bien prise en sandwich, je vivais ma toute première double pénétration, tout en vivant mes deux premières queues dans mes petits trous bien serrés.

 

Papa se chargeait de me soulever et me laisser redescendre à un bon rythme, acceptable pour les deux queues. Je trouvais ça tellement cochon, mais si excitant, je gémissais à plein, mes deux petits trous étaient bien gâtés de plaisir, je commençais à haleter. Après quelques minutes, je sentis du sperme chaud envahir mon petit cul, puis dans les secondes suivantes c’était au tour de ma chatte.

 

Du coup, j’explosais également dans un puissant orgasme bien intense et divin, cette sensation dans mes trous, des queues dures et douces à la fois, cette chaleur de tout ce sperme, ces jets puissants et nombreux que j’avais ressentis, je me sentais au septième ciel, heureuse et enfin remplie par des queues.

 

Papa décida de m’offrir une seconde chevauchée, les deux queues étaient encore bien en forme, et je réalisai vite qu’avec tout ce sperme, ça glissait terriblement bien et c’était des plus excitants pour mes petits trous, du coup, Papa augmenta la cadence, ce qui augmenta également mon excitation, je haletais encore plus.

 

Après une chevauchée plus longue cette fois, plus de dix minutes, je fus à nouveau inondée de sperme dans mes deux petits trous presque en même temps, je sentais mes trous en déborder, j’explosai d’un autre orgasme dans les derniers soubresauts des queues en moi, je ressentais un épuisement, Papa le sentit également, Sam sortit en douceur de mon petit cul, et Papa fit sortir lui aussi sa queue en douceur et me posa par terre.

 

Je pus aller vider mes trous, les laver, pour revenir sur le divan avec eux, entre les deux, où c’était ma bouche et mes petits seins qui se faisaient largement gâtés par Papa et Sam, pendant que je tentais de reprendre mon souffle, heureuse d’avoir vécu cette expérience et de recevoir encore une grosse dose de caresses.

 

 

Ne manquez pas le Chapitre 4 !

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Ce récit est destiné aux adultes SEULEMENT.

Ce récit est entièrement fictif et ne représente nullement une histoire vraie ou vécue, il est strictement sorti de l’imaginaire de son auteur.

Ce récit contient des personnages fictifs et de l’activité sexuelle avec des personnages mineurs, si vous n’aimez pas ce genre d’histoire, ne lisez pas ce récit.

Commentaires fortement appréciés.

Le lendemain, avant d’aller marcher et d’aller ensuite dîner au restaurant, je demandai moi-même à Papa si je pouvais mettre les jouets, car je les voulais, j’avais très envie de les porter et de les insérer par moi-même, Papa était très enchanté que la demande venait de moi, il acceptait avec grand plaisir, mais ajouta son petit mot.

 

  • Francine, que tu es cochonne Haha ! Je suis fier de toi ma jolie fille, et aujourd’hui, le petit jouet d’entrainement tu ne le mettras plus, je vais te prendre un autre dans mon bagage, il fait 20cm de long sur 3,5cm de diamètre, comme tu as pris des queues hier, tu seras bien plus heureuse avec celui-ci maintenant.

 

Je pus réaliser qu’effectivement ce jouet se rendait plus creux en moi, et qu’il était plus proche de la grosseur d’une queue, je fus un peu surprise par la profondeur, mais je n’avais pas eu de peine à le rentrer par moi-même, et je me sentais bien plus heureuse avec ce jouet comme Papa m’avait dit, j’étais prête à partir, enjouée et heureuse de ce nouveau jouet.

 

Je reçu en cours de route plusieurs bons commentaires, ce jouet dans mon petit cul avait une rondelle plus grande sur mon anus que le petit, le jouet se voyait beaucoup plus en écartant mes fesses plus que le petit, était en plus de couleur bleu alors que le petit était translucide, personne ne pouvait le manquer en regardant mes jolies fesses.

 

Je réalisai bien vite en marchant combien il était beaucoup plus excitant ce nouveau jouet, je le mentionnai à Papa et le remerciai de tout cœur pour ce judicieux achat pour mon bonheur de petite salope.

 

  • Je suis devenue bien salope grâce à toi Papa, je suis très heureuse que tu m’ais transformée, tu avais vraiment raison de le faire, tu avais bien raison en me disant que ça allait me faire un grand bien, merci encore pour tout ça Papa, je t’aime !
  • Oh que j’aime entendre ça Francine, merci d’être aussi franche ma puce, je savais bien que tu allais adorer ça, tu es en effet devenue très salope et ça se voit que tu en es maintenant très heureuse. Francine, que tu es salope Haha !
  • Hihi Papa, je t’ai assez traité de cochon, tu te reprends maintenant Hihi !

 

Il ne se passa rien de spécial durant notre marche, sinon de magnifiques commentaires sur ma petite chatte toute juteuse et le beau jouet bleu dans mes jolies petites fesses, c’était bien excitant de recevoir tous ces commentaires très encourageants, Papa en était très fier.

 

Au restaurant, comme le banc était en cuirette, le jouet dans mon petit cul se terminant en ventouse, il colla sur la banquette, je le remarquai en voulant bouger légèrement, puis je me mis à bouger mes hanches dessus, ça me chatouillait énormément dans mon petit cul, Papa réalisa vite ce que j’étais après me faire, en se mit à rire d’abord, puis m’encouragea ensuite, il en souffla un petit mot à l’oreille de Sam, qui comprit rapidement et m’encouragea lui aussi.

 

Je devais commencer à paraître d’une petite fille agitée, turbulente, qui ne tenait pas en place, mais j’en étais bien amusée, comme Sam et Papa.

 

  • Haha petite salope, pense à décoller ton jouet avant de te lever, sinon il risque de rester sur place Haha !
  • Oh oui, c’est vrai ça Papa, tu fais bien de me prévenir Hihi !

 

Après le dîner, nous marchions autour du lac pour digérer un peu, dans un secteur tranquille, il y avait cette jeune fille, sans doute un peu plus âgée que moi, couchée sur le ventre sur une serviette.

 

  • Ah regarde Francine, tu n’es finalement pas le seule à porter un beau jouet dans ton petit cul.

 

Sam avait rapidement remarqué ça, la jeune fille qui l’entendit parfaitement, se releva pour voir qui avait dit ça.

 

  • Salut, tu en porte un toi aussi ma belle ?
  • Oui, regarde…
  • Hummmm que c’est bon non ?
  • Oh que oui Hihi !

 

Elle devait avoir onze ans à mieux la voir, très mignonne, jolie chevelure qui semblait plaire à Sam, il banda en quelques secondes en la voyant.

 

  • Sam petit cochon Hihi ! Que se passe-t-il ?
  • Oh mais, je t’ai fait bander Sam ? Est-ce que je dois arranger ça ?
  • Hihi je crois que oui moi, je suis Francine, et lui c’est mon adorable Papa.
  • Enchantée, moi c’est Sylvie….et puis Sam ? Je peux te venir en aide ?
  • Euhhh…désolé Sylvie, tu es vraiment trop belle…euh oui…tu peux me venir en aide hummm !

 

Sylvie s’approcha pour se mettre à genou devant Sam, et se mit aussitôt à le masturber, n’ayant visiblement aucune peur d’être bien arrosée par Sam lorsqu’il exploserait, elle se plaçait pas mal pour en recevoir sur son visage et son torse, savant très bien à quoi s’en tenir de toute évidence. Elle le fit jouir en étant très intense en partant, elle obtint ce qu’elle souhaitait en moins de cinq minutes.

 

Devant l’érection soutenue de Sam, elle se nettoyait d’une main en la léchant régulièrement, alors qu’elle masturbait Sam de nouveau, un peu plus doucement, étirant son plaisir, en jetant un œil sur la queue de Papa qui était devenue gonflée et dure elle aussi. Sylvie fit jouir à nouveau Sam en un peu plus de temps, se nettoya en léchant tout une fois de plus, puis se tourna vers Papa en lui demandant s’il bandait à cause d’elle.

 

  • Je dois bien admettre que oui Sylvie, tu es une très jolie jeune fille je l’avoue, et te savoir portant un jouet dans ton mignon petit cul est aussi très excitant.
  • Ah Papa, que tu es cochon Hihi !

 

Ça semblait vraiment faire l’affaire de Sylvie, elle était visiblement bien attirée vers cette jolie queue d’adulte, et ne se fit pas prier pour se mettre à masturber mon Papa devant mes yeux, ce qui ne me rendait pas jalouse du tout, j’étais bien contente pour Sam et pour Papa, j’avais bien plaisir à jouer la voyeuse.

 

Elle fit jouir mon Papa en moins de dix minutes, elle se nettoya, puis comme j’étais toute proche d’elle pour bien voir, après avoir ramassé une assez grosse dose de sperme sur elle, elle me prit de vitesse et vint me flanquer un énorme baiser à pleine bouche, avec encore ce sperme dans sa bouche, qu’elle partagea avec moi.

 

Il y eut ensuite un échange de bisous avec Papa et Sam, une fois qu’elle s’était relevée, elle nous fit les salutations, en nous disant que ce serait très plaisant de se voir à nouveau.

 

  • Demain, la météo nous annonce de la pluie, si tu le souhaite Sylvie, je t’invite à dîner avec nous au restaurant à midi pile devant la porte, et tu pourrais passer du temps avec nous dans le mobile home que j’ai loué, qu’en penses-tu ?
  • Wow, moi qui suis habituée dans une minuscule tente-roulotte, c’est un rendez-vous demain, midi pile, je confirme que j’accepte avec une grande joie Monsieur et que j’y serai sans faute.

 

Papa l’aimait déjà, elle était bien cochonne et bien vicieuse en plus d’être une vraie beauté au joli corps, je découvrais qu’il y avait vraiment plein d’opportunités de plaisir dans ce camping rempli de gens aussi cochons, il avait bien aimé le fait qu’elle m’avait embrassé la bouche pleine de sperme, elle m’avait bien surprise, mais j’avais adoré moi aussi.

 

Nous reprenions notre chemin, je demandai à Papa pour marcher plus rapidement, il comprit tout de suite que j’étais très excitée, et que j’avais envie que mes boules me fassent jouir, car à marche trop lente, elles ne me tenaient que bien excitées, sans plus.

 

Nous avions fait l’autre moitié du tour du lac, et je dû m’arrêter là où il y avait le plus de monde pour jouir et gémir un peu trop fort, mon petit minou fut terriblement observé par de nombreuses personnes, le petit cordon qui en dépassait fut bien vu par la plupart, beaucoup de gens comprenaient ce qu’il venait de se passer avec moi.

 

Je recevais encore de bons commentaires de partout.

 

  • Bonne fille !
  • Jolie petite salope !
  • Oui jouis encore pour nous mignonne !
  • Audacieuse petite garce comme je les aime !
  • Maintenant branle-toi avec ce jouet dans ton petit cul de salope !

 

Nous reprenions notre chemin vers le mobile home avec le gros sourire aux lèvres, nous allions chercher les choses pour revenir se baigner un moment, dans la foule, là où les gens se tenaient le plus. À notre retour, je fus encore bien accueillie par les gens souriants, contents de me revoir avec mes jouets encore en place.

 

  • Bon Papa, tu fais bien ça, continue de bien la traiter ta jolie fille !

 

Même Papa était encouragé, il aimait ça et souriait. Nous nous lancions à l’eau qui était à une très confortable température. Je vis Josiane quelques minutes plus tard, elle était avec deux hommes, elle semblait avoir une main qui en masturbait un, sous l’eau, pendant que l’autre était visiblement en train de lui masturber son petit clito en lui excitant ses petits bouts de seins au-dessus de l’eau, sans se soucier des regards.

 

  • Ha salut Francine, je suis bien prête à retourner vous visiter en n’importe quel temps tu sais.
  • Salut Josiane, les queues sont passablement vidées aujourd’hui Hihi !
  • Ah mais peu importe, je peux offrir mon petit corps aux caresses pour des heures entières, je suis très gourmande Hihi !
  • Hihi Josiane ! J’en prends note, je le dirai à Papa.

 

Je me rendis près de mon Papa pas longtemps par après, et je lui racontai les mots de Josiane.

 

  • Oui merci Francine, tu vois, cette petite reçois du sexe depuis sans doute fort longtemps, elle ne peut plus s’en passer, son petit corps en feu en réclame, en veut encore et encore, elle est prête à tout pour avoir du sexe et des caresses, et tu vas devenir en plein comme ça Francine, une vraie bonne petite salope qui ne pense qu’au sexe du matin au soir, et même dans la nuit.
  • Je crois que je suis presque comme ça Papa, j’en veut tellement de plus en plus moi aussi, je suis tellement contente que tu veule me rendre comme elle, je le veux moi aussi Papa que tu me rendes des plus salopes.
  • Hummmm que je t’aime ma jolie fille !

 

Après avoir finalement passé l’après-midi au lac, puis passé directement au restaurant pour le souper, nous revenions au mobile home pour profiter aussi de l’air climatisé en cette journée très chaude. J’avais très hâte de recevoir des caresses sur mon petit clito, je retenais de mieux en mieux, Papa le sentait et il insistait plus longtemps, sachant que je me contrôlais mieux, j’adorais ça de languir, il me confirmait qu’il allait me tenir ainsi pendant encore bien longtemps, c’était comme un vice pour lui, il adorait me faire subir ça, et je n’avais absolument rien contre ça, j’aimais lui faire plaisir.

 

Encore assise entre les deux, j’étais pleinement heureuse de me faire caresser par les deux à un moment ou à un autre, les masturbations sur mon petit clito étaient plus fréquentes et duraient plus longtemps, j’inondais le divan et je me sentais si bien, vivre autant d’excitation me plaisait de plus en plus, je comprenais vraiment Josiane, qui n’était peut-être pas assez bien entourée pour recevoir autant qu’elle le souhaitait.

 

Dans la soirée, Papa m’avait retiré le jouet dans mon cul, j’eus la chance de me faire fourrer par Papa et par Sam, qui avaient joui chacun deux fois dans mon petit trou, avant que Papa me remette le jouet dedans, tout juste après la dernière éjaculation de Sam.

 

Dans la nuit, pour la première fois, je dérangeai Papa.

 

  • Oh mais qu’y a-t-il Francine ?
  • Papa, mon petit clito a terriblement envie de se faire masturber, et tu ne veux pas que je le touche…
  • C’est vrai, mais tu sais que je ne te ferai pas jouir Francine…
  • Je le sais Papa, je veux juste que tu me masturbe, que tu arrêtes au bon moment, et que tu recommence à plusieurs reprises stp, tu veux bien me le faire Papa ?
  • Hummmm, ta soirée de masturbation n’a pas encore été assez, j’en suis très content ma jolie petite salope, j’aime savoir que tu en a encore de besoin, tu deviens vraiment comme je le souhaite Francine, je t’aime très fort !
  • Je t’aime aussi Papa, masturbe-moi plusieurs fois stp hummm !

 

Papa me masturba près de 40 minutes, en devant arrêter trois fois, j’en étais à tenir le coup souvent près de dix minutes, j’adorais cette grande excitation, Papa semblait vouloir retourner dormir, mais avait entendu la respiration de Sam, sans doute réveillé par mes gémissements.

 

  • Sam, tu dors ?
  • Non mon oncle.
  • Francine, vas voir Sam, je suis certain qu’il a bien envie de te rendre heureuse lui aussi.
  • Sam, tu veux bien de moi dans ton lit ?
  • Oui jolie cousine, approche, je vais bien t’aider à mon tour.

 

Je me fis masturber encore quatre fois d’affilée par mon gentil cousin, j’étais super heureuse d’être autant excitée, mais avant de m’endormir blottie contre lui, je vis que mon pauvre cousin avait la queue toute gonflée, je lui proposai de le sucer, mais il préféra que je me place en levrette et plonger sa charmante queue dans mon petit cul, ce qu’il fit, je m’offris bien et il me harponna un peu moins de dix minutes avant de jouir dans mon petit trou.

 

  • Oh merci Sam, c’est vraiment bon ça aussi dans la nuit, j’en voudrai encore tu sais s’il te prend à nouveau le désir, compte sur moi Sam Hihi !
  • Bon c’est noté Hihi ! Allez, dodo maintenant jolie petite cousine bien salope hummm.
  • Ah mais je suis juste bien entraînée par un Papa très cochon, et un gentil cousin tout aussi cochon Hihi ! Bonne nuit Sam, je t’aime tu sais !
  • Bonne nuit cousine, je t’adore petit trésor !

 

Nous avions plusieurs options pour le matin, céréale, gruau, rôties, et je me tapai les biscuits à l’avoine ce matin-là, avec mon chocolat chaud, pendant que mes hommes prenaient du café. Papa avait bien entendu Sam s’offrir mon petit cul dans la nuit, m’avait entendu lui dire qu’il pouvait se reprendre à volonté, et nous fit part de son grand plaisir d’être au courant, Papa avait ce petit penchant pour favoriser mon petit cul et le gâter encore plus que ma petite chatte, j’étais contente de l’apprendre, j’aimais bien ça également, Sam était tout à fait en accord avec Papa.

 

  • Tu as tellement raison mon oncle, à son âge et même bien plus jeune que ça, moi je trouve qu’un petit cul de jeune fille doit être rempli bien souvent, le plus possible.
  • Oh tu as de l’expérience Sam ?
  • Oui mon oncle, j’ai commencé en début d’année avec une jeune et jolie voisine que je garde plutôt souvent, de six ans, son petit cul est bien servi depuis plusieurs mois mon oncle.
  • Sam, que tu es cochon Hihi !
  • Oui Francine Hihi ! Elle est trop belle, et il faut bien que je me vide quelque part Hihi !
  • Je comprends ton cousin Francine, si j’avais été seul avec toi avant ça, alors que tu avais cet âge, tu aurais toi aussi vécu ça aussi jeune hummm !
  • Ha Papa, que tu es cochon Hihi !

 

Il était rendu pas loin de midi, il pleuvait dehors, mais une pluie chaude encore, c’était très agréable d’être toute nue sous la pluie, moi j’aimais ça. Il fallait nous rendre au restaurant, et voir si Sylvie serait bien au rendez-vous, ce fut le cas, elle était là sur place, nous attendant dehors depuis quelques minutes.

 

 

Ne manquez pas le Chapitre 5 !

Chapter Text

Ce récit est destiné aux adultes SEULEMENT.

Ce récit est entièrement fictif et ne représente nullement une histoire vraie ou vécue, il est strictement sorti de l’imaginaire de son auteur.

Ce récit contient des personnages fictifs et de l’activité sexuelle avec des personnages mineurs, si vous n’aimez pas ce genre d’histoire, ne lisez pas ce récit.

Commentaires fortement appréciés.

Sylvie était superbement maquillée, vraiment ravissante, nous entrions dans le restaurant ensemble, elle semblait bien contente de partager un repas avec nous, moi j’avais bien hâte de voir comment allait se dérouler notre après-midi. Je n’avais toutefois pas remarqué si elle avait encore un jouet dans son joli cul, je n’avais pas vu son cul en fait, mais moi j’étais bien équipée et très heureuse de l’être.

 

Après ce bon repas, nous revenions au mobile home, je pus cette fois observer que Sylvie n’avait rien dans son mignon petit cul, peut-être souhaitait-elle plus avoir une vraie queue dedans, profitant de mes deux hommes. Assise sur le divan d’en face, elle remarqua cette fois le petit cordon qui sortait de ma petite chatte.

 

  • Ho Francine tu portes ça ? Comment aimes-tu ? Il parait que c’est vraiment plaisant, il faut que j’en demande à mon père.
  • C’est très plaisant Sylvie, j’adore ça moi, c’est très excitant en marchant, une marche assez rapide et j’en jouis Hihi !
  • Donc c’est ton père qui t’a acheté le jouet que tu avais dans ton charmant petit cul hier Sylvie ?
  • Oui Monsieur, il me gâte beaucoup, Maman ne sait rien, mais depuis mes six ans que Papa me fait des trucs cochons dès que nous avons l’occasion.
  • Hummmm intéressant ça Sylvie, tu peux m’appeler Robert ma jolie chouette. Tu vois Francine, bien des jeunes filles sont gâtées très jeunes, c’est une très bonne chose qu’un bon papa s’occupe bien de sa fillette.
  • Je crois bien que j’aurais beaucoup aimé ça Papa, en tout cas je suis bien heureuse que pour nous ça a commencé en échappant ma serviette Hihi ! Je suis maintenant si chanceuse de vivre tout ce que tu me fais vivre Papa.
  • Tant mieux ma jolie petite salope ! Il me semble que ce serait bien beau de vous voir vous dévorer mutuellement vos jolis petits seins, Non ?
  • Je suis bien partante moi, et toi Francine ?
  • Oh que oui Sylvie, avec un grand plaisir !

 

 

On nous invitait, tour à tour, à nous bouffer nos petits seins, quoique Sylvie en avait de plus gros que les miens. Nous prenions peut-être cinq minutes à exciter les seins de l’autre, j’espérais être aussi excitante sur ses seins qu’elle l’était sur les miens, elle était divine.

 

Nous avions échangé durant un bon 30 minutes, nos seins étaient très bien excités et bien durs, comme les queues de mes hommes.

 

  • Sylvie, j’ai noté que tu n’as pas de jouet dans ton charmant petit cul aujourd’hui, tu n’en avais pas envie ?
  • Oui Robert, j’en avais bien envie, mais avant de le mettre, je me suis ravisée, je me suis dit qu’il était sans doute préférable de laisser de la place pour une queue, juste au cas où une se montrerait intéressée.
  • Haha très bonne décision Sylvie, si tu aimes bien ça, je crois qu’il y a même deux intéressées ici.
  • Je confirme Robert, je confirme, j’aime bien ça, ce fut d’ailleurs mon premier amour, mon papa a commencé par ça Hihi !
  • Tu vois Francine, Sylvie a un excellent Papa, il savait par où commencer Haha !

 

Sylvie avait bien compris le message, elle n’attendit aucune demande pour se placer à quatre pattes sur le divan, genoux tout au bord, offrant ce mignon petit trou au milieu de si belles fesses à la vue de mes hommes. Sur les recommandations de Papa, Sam alla passer sa main sur la petite fente juteuse de Sylvie pour lui amener du jus sur son petit cul, puis se lubrifia la queue à la même source de lubrifiant naturel.

 

Sam l’empala de sa jolie queue sans perdre de temps, l’insertion sembla bien aisée, je m’étais repositionnée pour mieux voir le spectacle, j’aimais voir une queue enfoncer un petit trou et disparaître totalement dedans, c’était beau à voir, à mon humble avis, et bien sûr, j’étais incapable de voir une queue en faire autant dans le mien.

 

Sylvie se laissait bien ramoner par Sam qui y allait avec une allure intéressante, encouragé par Sylvie qui aimait ce rythme et qui gémissait amplement, elle adorait ça comme elle l’avait dit, il était clair que son petit cul adorait les queues bien travaillantes. Sam jouit en elle une première fois, Sylvie qui en demandait encore, l’encouragea à lui offrir une seconde dose de sperme bien chaud.

 

J’avais terriblement envie d’être masturber en regardant ce spectacle, Papa l’avait bien senti, et il vint se placer près de moi pour le faire en attendant son tour dans ce joli cul bien offert.

 

  • Ha merci Papa, j’en ai tellement envie, c’est si excitant ce spectacle devant mes yeux.
  • Oui profite bien Francine, c’est très mignon en effet, je le sais que tu as ce besoin irrésistible, je te veux ainsi ma petite salope, Sam te masturberas lui aussi quand ce sera mon tour.
  • Super Papa, j’adore quand vous prenez bien soin de mon petit corps de salope Papa !

 

Sam avait accéléré un peu son rythme à la demande de Sylvie qui l’encourageait, elle se sentait tout au bord de jouir de son petit cul. Papa était vraiment charmé d’entendre ça, je n’avais toujours pas eu ce plaisir moi, je ne savais pas si cela viendrait un jour, mais je le souhaitais. Puis en entendant les gémissements de Sylvie qui jouissait, ça me confirmait combien ce serait merveilleux que ça m’arrive à moi aussi.

 

Sam laissa sa place à Papa, après avoir joui en même temps que Sylvie, et vint me masturber merveilleusement, pendant que j’étais si excitée à regarder la queue de mon Papa entrer et presque sortir des merveilleuses fesses bombées de Sylvie. Papa ne put tenir le coup bien longtemps, lui aussi avait été très excité par le spectacle, il aurait sans doute aimé tenir le coup pour faire jouir Sylvie en même temps que lui, mais il dû se reprendre pour un autre tour.

 

Papa avait pu synchroniser son orgasme avec celui de Sylvie cette fois, à entendre ses gémissements, la joie dans son joli petit cul était visiblement à son comble avec la queue de Papa dedans.

 

  • Hummmm Merci messieurs c’était vraiment exquis, j’ai été bien gâtée. Robert, j’irais bien m’abreuver au joli petit minou de la superbe Francine moi !
  • T’y abreuver Sylvie, je n’ai rien contre, cependant, je ne lui permets pas d’atteindre l’orgasme encore, tu devras t’en tenir à ça, ceci dit, je serai bien partant pour la regarder te dévorer par la suite, si tu es partante toi aussi.
  • C’est entendu Robert, je prendrai bien garde, et je prendrai un énorme plaisir à me laisser dévorer ma petite chatte par la jolie Francine.

 

Je pris position pour offrir ma chatte juteuse et excitée à la belle Sylvie avec un grand désir, j’avais bien hâte de sentir sa langue sur ma fente, mais également hâte d’aller moi aussi m’abreuver à son joli minou tout juteux, dégoulinant encore de sperme que rejetait son mignon petit cul. Sylvie y alla d’un peu de masturbation en douceur sur mon petit clito bien gonflé, en toute retenue, sans en faire trop, juste pour me faire juter encore plus alors que sa jolie bouche était sur ma petite fente de jeune salope.

 

Papa et Sam regardaient le spectacle sans perdre rien, ils m’encourageaient à bien me tenir, à ne pas en jouir, à n’offrir que mon jus à la belle Sylvie, dans l’attente d’obtenir le sien. Tout se déroula très bien, elle put s’abreuver un long moment, me trouvant bien à son goût, j’aimais beaucoup ses caresses et sa langue, puis il me fallait la repousser, avant d’en jouir.

 

Je pus ensuite me taper cette superbe chatte inondée de nectar délicieux, sans aucunes restrictions, je ne m’étais pas gênée pour lui offrir une intense masturbation durant le temps que je m’abreuvais à elle, grandement encouragée par Papa et Sam. Durant environ 30 minutes, je pus lui offrir trois puissants orgasmes pendant que je buvais en quantité tout ce délicieux jus qu’elle m’offrait, elle était très abondante et bien généreuse.

 

  • Francine, que tu es devenue cochonne Haha ! Tu es très belle à voir quand tu dévores une jolie chatte ma petite salope, tu as très bien fait ça et je crois bien que Sylvie a été bien servie par toi petite pute à Papa !
  • Hihi je confirme Robert, elle est douée ta fille, merci beaucoup Francine, ce fut magnifique et excitant.
  • Merci à toi Sylvie, ton jus est vraiment un régal, j’ai eu grand plaisir à le boire !

 

Le temps filait, Sylvie avait reçu en texto lui demandant de rentrer, nous avions été ensuite prendre place à l’extérieur pour prendre encore un peu de soleil. Un monsieur s’approcha, marchant avec ses deux jeunes filles, de très jolies jumelles d’environ sept ans.

 

  • Bonjour à vous tous, nous sommes tout près de votre emplacement, juste là vous voyez, je n’ai donc pas pu m’empêcher lors de vos passages, de remarquer ce joli jouet dans ce mignon petit cul de votre charmante fille monsieur, je tenais à vous dire que cela me semble une excellente idée !
  • Bonjour et merci monsieur, je vous assure que Francine est bien observée et encouragée par les gens, même à moi, on me dit que je suis un très bon père qui éduque vraiment bien sa fille Haha !
  • Oh ! C’est merveilleux ça, mes filles n’ont que sept ans et demi, mais je voulais avoir votre avis, devrais-je faire pareil que vous avec elles ?
  • À mon avis, si vous les visitez déjà dans ce petit trou, je vous dirais alors que oui, vous devriez faire pareil, elles en seraient très heureuses, tout comme Francine ma jolie petite salope que j’adore.
  • J’y veillerai dès demain alors, en vous remerciant monsieur, j’ai mes adorables filles une semaine sur deux, leur mère ne sait pas que nous campons dans le nudisme, et que mes filles sont devenues bien salopes également avec mon éducation Haha !
  • Haha ! Oui je constate, elles ont les yeux très cochons, vicieux, le petit minou humide, ces signes ne trompent pas Haha !
  • Et si vous et ce charmant jeune homme, profitiez d’une bonne fellation par mes filles, pendant que je profiterai de la même chose de la part de votre jolie fille ?
  • Oh ! Nous pourrions prendre un petit moment à l’intérieur pour suivre votre plan monsieur, vos jumelles sont vraiment mignonnes, c’est une très bonne idée d’échanger un peu entre voisins de camping !

 

Le monsieur nous promis de venir nous montrer ses jumelles dès le lendemain avec un jouet dans leur petit cul, Papa invita les filles à entrer, et j’invitai le monsieur qui en était déjà bandé très solidement. Sa queue était très belle, elle me plaisait bien, j’avais bien hâte de la boire. Je pus le faire jouir une première fois en quelques minutes, et comme ses filles voulaient échanger de queue après en avoir fait jouir une, j’avais cette occasion de me taper à nouveau le délicieux sperme du monsieur.

 

Ce fut un bref moment dans notre journée, mais un moment bien pervers, très agréable, nous savions maintenant que nous avions un voisin pédophile et incestueux près de notre emplacement, c’était bon à savoir, il était des plus gâtés en ayant deux jolies jeunes filles pour le satisfaire et prendre du gros plaisir, j’avais déjà hâte de revoir les jolies jumelles avec un jouet dans leur mignon petit cul.

 

Nous avions encore du temps avant le souper, Papa avait entendu dire qu’il y avait une foire itinérante par très loin, il voulait qu’on aille voir, pas longtemps, mais marcher un peu et regarder. Il me demanda de me maquiller et de mettre que cette petite robe blanche qu’il adorait, il m’avait bien dit qu’il m’amènerait à des endroits avec ça, je comprenais bien qu’il voulait que le vent fasse son travail et que j’offre des spectacles aux gens qui auraient les yeux au bon endroit au bon moment, des gens qui n’étaient pas dans un camping nudiste.

 

L’excitation de mes petits bouts de seins paraissait amplement, mes petits bouts rosés et durs se voyaient plutôt bien, ma robe si courte et si légère laisserait sans doute voir mes fesses et mon minou, et c’était bien son intention. Sur place, ça ne prit que peu de temps avant que je constate les regards sur moi, comme la place était très grande, le vent y était plus présent, ma robe relevait bien souvent, plusieurs avaient les yeux bien rapides et devenaient très souriants, visiblement heureux.

 

Papa était très fier d’offrir ainsi en pâture mon petit corps tout excité, ça l’amusait bien, il regardait lui aussi très souvent pour voir l’œuvre du vent, l’excitation était plus grande que la gêne, j’en devenais même heureuse de me faire regarder ainsi par plein de personnes, je sentais mon petit clito extrêmement gonflé et excité, je sentais mon jus descendre sur mes cuisses en me chatouillant, c’était malgré tout beaucoup plus agréable que je ne l’aurais cru.

 

Papa offrit tout de même à Sam de s’amuser dans quelques jeux d’adresse, il était plutôt doué, il rapporta même une grosse peluche, un joli panda qu’il m’offrit, je le trouvais formidable et il avait déjà sa place dans ma chambre dans mes idées. Nous avions passé une magnifique heure et demi sur place, puis Papa nous avait amené à un restaurant sur le chemin du retour, je pus encore là être passablement admirée, surtout mes petits seins si visibles et si bien moulés dans cette jolie robe si courte et presque transparente.

 

Papa avait prit des renseignements durant notre souper, il y avait un cinéma dans une petite ville pas si loin, et il décida de nous y amener après le souper. J’avais une place entre mes deux hommes, Papa avait bien relevé le devant de ma courte robe, et j’avais une main de chacun entre mes cuisses, qui me caressaient tout le long du film, à tour de rôle, en s’assurant que je ne jouisse pas.

 

Il y avait deux sièges libres de chaque côté de nous, mais il y avait des yeux qui observaient à l’occasion, des hommes d’un côté, des garçons ados de l’autre, qui ne semblaient rien avoir à redire sur le fait que ma robe était outrageusement relevée, ni de voir deux mains sur mes cuisses ou sur mon petit minou qui jutait encore affreusement. Papa était tellement content quand il m’affichait le plus possible, je ne pouvais pas faire plus qu’être très heureuse de lui plaire et de lui obéir aussi docilement.

 

Sur le chemin du retour, Sam avait désiré que je prenne place à l’arrière avec lui, mais il me fit prendre place couchée sur le siège, la tête contre la portière, mes genoux repliés vers le haut, mes jambes écartées, lui était carrément à genou au bas du siège, avec la tête entre mes cuisses. Il se régalait à profusion de mon jus ultra abondant, en me masturbant pour en faire couler encore et encore, Papa entendait sa langue saper ma petite fente si juteuse et il l’encourageait à me faire couler encore.

 

Je trouvais qu’avec les deux, je vivais des choses complètement folles, ultra excitantes, personnes ne me croiraient si un jour je racontais tout, je ne le ferais certes pas, j’étais plutôt la fille la plus heureuse de la planète de vivre tout cela, j’avais une petite pensée pour les jumelles, et je me disais qu’elles aussi allaient débuter dans un monde extraordinaire, à vivre des choses magnifiques et excitantes, elles seraient définitivement très heureuses à mon humble avis de petite salope, bien transformée à jamais par mon adorable Papa.

 

Au retour à notre mobile home, je pris d’ailleurs cette petite pause tendresse, je remerciai chaleureusement mon Papa pour m’avoir ainsi transformée, pour les moments magnifiques que je vivais avec lui, je l’embrassai langoureusement, et je remerciai Sam également pour tout ce que nous vivions ensemble depuis quelques jours, sa bouche goûtait affreusement ma propre cyprine, c’était bien agréable de lui dévorer la bouche.

 

Je pus passer une autre formidable soirée avec mes deux hommes si attentionnés envers moi, je reçu encore d’adorables et excitantes caresses à profusion, je pus me délecter de leur bouche, plein de fois, et je reçu du délicieux sperme dans ma bouche à quatre reprises au total. De plus, dans la nuit, j’eus la chance de recevoir chacune de leur queue dans mon petit cul ainsi qu’une généreuse dose de sperme de chacun, je pus me rendormir très satisfaite, avec le cul un peu rempli.

 

 

Ne manquez pas le Chapitre 6 !

Chapter Text

Ce récit est destiné aux adultes SEULEMENT.

Ce récit est entièrement fictif et ne représente nullement une histoire vraie ou vécue, il est strictement sorti de l’imaginaire de son auteur.

Ce récit contient des personnages fictifs et de l’activité sexuelle avec des personnages mineurs, si vous n’aimez pas ce genre d’histoire, ne lisez pas ce récit.

Commentaires fortement appréciés.

Dans ce camping nudiste inhabituel, où les gens étaient probablement plus pédophiles, pervers et dépravés que dans d’autres, où les bouchons anaux dans le cul des petites filles étaient très appréciés, nous avions croisé le monsieur et ses deux jolies jumelles, nouvellement équipées d’un bouchon du même style que le mien, nous avions pu le voir de nos yeux, les fillettes confirmaient se faire grandement encourager, se faire admirer, et le monsieur confirma à Papa que plusieurs hommes le félicitaient d’être un aussi bon papa.

 

Les jumelles confirmèrent également qu’elles avaient dus sucer des queues de messieurs qu’elles avaient fait bander, ainsi que les queues de deux ados, alors que ça ne leur était pas arrivé encore durant leur séjour, le monsieur avait pris un grand plaisir à suivre la règle implicite du camping, heureux de voir ses jolies fillettes sucer des queues devant ses yeux.

 

Le monsieur, Jerry en fait, un anglophone qui parlait très bien le français, éduquait ses jolies jumelles en français, profita de l’occasion pour avouer à Papa que depuis la veille, il avait très envie de visiter éventuellement ma petite chatte de sa queue qui me semblait un peu plus grosse que celle de Papa, et déclara que ses jolies jumelles avaient également le désir d’être visitées par Papa et Sam, Papa invita Jerry à venir nous visiter un peu plus tard en fin d’après-midi.

 

Nous avions passé un long moment à se baigner par la suite, profitant du lac et de la belle journée, puis nous marchions à nouveau sur le pourtour du lac. Un papa s’approcha avec sa jeune et jolie fillette et vint parler à Papa.

 

  • Je me dois de sincèrement vous remercier monsieur, vous êtes un père exemplaire, j’en ai vu d’autres avant ici dans ce camping, mais lorsque j’ai vu votre ravissante et exquise fille, elle paraît si heureuse, si épanouie, si fière d’être une si jolie salope bien affirmée et bien affichée, cela m’a aidé grandement dans ma décision, depuis deux jours que j’ai commencé à faire du sexe avec ma fille de sept ans, et elle en est vraiment heureuse et souriante.
  • Oh ! Vous n’aviez jamais euhhh…je vois, alors je suis bien heureux de vous avoir inspiré, je ne regrette pas du tout avoir débuté avec ma jolie Francine, elle s’épanouie magnifiquement en effet dans la sexualité.
  • J’ai tellement aimé votre exemple, que j’ai proposé à ma fille de vous sucer si nous en avions l’occasion, voyez comment elle regarde votre queue avec appétit, voyez ses yeux qui sont devenus si cochons en deux jours…

 

Sur cette déclaration, et en regardant la fillette, la queue de Papa se mit immédiatement à grandir fièrement, ce qui donnait un énorme sourire à la jolie petite puce débutante.

 

  • Hummmm tu peux y aller ma jolie puce, tu vois que tu as fait bander le gentil papa de Francine, vas-y, fais-lui un beau gros plaisir avec ta petite bouche.

 

Papa semblait tout à fait heureux de cette jeune bouche encore novice, je savais qu’il trouvait la fillette très mignonne également, après peu de temps, le papa regardait sa fille fièrement, mais avait des yeux pour mon petit corps également, sa queue se mit à durcir de son côté aussi, je me devais de m’informer à savoir si c’était bien de ma faute, mais j’avais bien envie de le sucer de toute façon, peu importait la réponse.

 

  • Puis-je faire quelque chose pour vous aider monsieur ? Je constate que vous êtes, vous aussi, aux prises avec une solide érection, peut-être causée par moi !
  • Hummmm tu peux certainement jolie Francine, toi plus qu’une autre dans ce camping, tu m’as procuré plusieurs érections dans les derniers jours, ma fille en était témoin la plupart du temps, elle n’avait jamais vu la queue de son papa en érection, elle était très intriguée.

 

Je me mis à genou devant le monsieur et je commençai à le sucer, il jutait déjà beaucoup, c’était un petit délice, par la force des choses, il avait dû se décider à initier sa jolie jeune fille, le pauvre homme ne pouvait sans doute plus résister devant tant d’exemples au camping, tout comme je déclenchai les désirs enfouis de Papa lorsque ma serviette était tombée devant lui au sortir de ma douche, ce n'était pas de sa faute, il devait y penser depuis longtemps, il ne pouvait plus résister après l’évènement, qui était de ma faute au fond.

 

J’entendais mon Papa gémir, la petite semblait lui donner beaucoup de plaisir, je faisais moi aussi gémir le monsieur, et j’avais bien hâte d’obtenir le fruit de mon labeur dans ma bouche, j’accélérai un peu la chose en ajoutant ma main sur ses grosses couilles en les massant d’une agréable manière en entendant les gémissements supplémentaires.

 

J’obtins ma délicieuse récompense peu de temps après, un nectar savoureux d’un généreux dosage, ça plaisait bien à ma bouche gourmande. J’entendis ensuite les gémissements de Papa, qui je le savais, en était à jouir dans cette jolie petite bouche lui aussi. Nous avions un nouveau contact dans ce camping, sans toutefois prévoir quoi que ce soit pour la suite, nous reprenions chacun nos routes après cette satisfaction de deux hommes bien heureux.

 

Comme sur notre retour nous passions devant le mobile home de Jerry, il offrit du vin à Papa et nous invita à prendre place avec lui et ses jolies jumelles, à l’extérieur, mais je me disais bien, qu’une fois sur place, nos activités se tiendraient fort probablement chez Jerry finalement. Comme j’étais assise tout près de Jerry, à sa demande, il remarqua alors le petit cordon qui sortait de mon minou.

 

  • Hummmm mais c’est quoi ça Francine ? Boules chinoises je présume ?
  • Oui Jerry, tu présumes bien Hihi !
  • Oh putain, que ton papa te gâte bien, ce serait possiblement très apprécié de mes jolies jumelles ça aussi, elles adorent les petits jouets dans leur petit cul.
  • Si ta queue va dans ces petits trous Jerry, les boules devraient également entrer sans souci.
  • Oh oui, ma queue va partout, mes filles sont adorables. Merci pour cette réponse franche jolie Francine.

 

Jerry me demanda finalement de m’asseoir sur une de ses cuisses, ses filles étaient encore un peu trop jeunes, mais il avait bien envie de caresser mes jolis petits seins. Papa n’avait rien contre, pas plus que Jerry qui se fichait royalement des voisins non pédophiles, il s’offrait mes petits seins sans aucune gêne en extérieur, et il me les excitait vraiment très bien, j’étais bien servie et j’appréciais ses caresses, j’étais d’ailleurs très excitée par son audace et de me faire exciter mes petits seins devant quelques passants, qui me regardaient de travers pour certains, je jutais affreusement sur sa cuisse, et lui avait la queue bien bandée contre ma fesse.

 

Je voyais Papa et Sam regarder la scène, ils semblaient bien ravis que je me laisse faire ainsi, je me disais qu’ils ne se gêneraient plus de m’en faire autant en extérieur, peut-être juste devant le mobile home, peut-être même ailleurs devant plus de gens, connaissant bien le désir de Papa pour m’afficher le plus possible, pour que je m’affirme sans hésitation en petite salope que j’étais devenue, même en public.

 

Je gémissais de plus en plus sous les enivrantes caresses de Jerry depuis un bon 15 minutes, les jolies petites jumelles décidèrent de grimper d’elles-mêmes sur une cuisse de Papa et de Sam, laissant deviner leur désir d’en recevoir autant. Les deux ne se firent pas prier pour aussitôt se mettre à donner du plaisir aux petits seins plats si bien offerts. Les queues devinrent dures dans les deux cas également contre les petites fesses des jolies fillettes.

 

Papa ne prit pas longtemps avant de repositionner la gamine sur lui, il la plaça le dos contre sa poitrine, prenant bien le temps de laisser glisser sa queue bandée contre la petite fente de la fillette, la faisant s’asseoir avec maintenant la queue de Papa contre son bas ventre, alors qu’il put prendre ses deux mains pour s’attaquer aux petits bouts de seins, la gamine regardant avec un grand sourire le bout de la queue de Papa entre ses cuisses, le gland contre son pubis.

 

Jerry et Sam ne tardèrent pas à en faire autant avec moi et l’autre jumelle, Papa avait fait grimper d’un cran l’excitation, mais ce fut la gamine sur Papa qui rendit la situation des plus perverses, des plus vicieuses. Elle, ne se préoccupait pas du tout des voisins ou des passants, elle n’avait pas vraiment conscience de cette pédophile qui serait encore plus évidente.

 

Elle fit remonter ses petites fesses sur le ventre de Papa, jusqu’à avoir son petit minou tout juste au-dessus de la queue bandée de Papa, puis elle se laissa redescendre en faisant bien exprès de faire entrer la queue de Papa dans son petit trou juteux. Papa ne put réagir, il était trop tard, il n’avait pas perçu la manœuvre et l’intention de la gamine, et se retrouva avec sa queue dans son minou, alors qu’elle se mettait à gigoter du bassin en provocant des va-et-vient par la force de ses pieds posés entre les jambes de Papa.

 

  • Haha, on dit que la vérité sort de la bouche des enfants, alors là, la gamine nous dit qu’elle en veut et que c’est maintenant Haha !
  • Haha Jerry tu as bien raison, on laisse donc la situation ainsi ?
  • Oui Robert, allons-y en extérieur alors, ce que femme veut…

 

L’autre jumelle sur Sam était toute souriante et comprit vite le message, imita sa sœur, tout comme je fis pareil sur la queue de Jerry, après avoir retiré les boules. C’était bien ma toute première fois que j’avais une queue dans ma petite chatte en plein air, et ça générait en moi une énorme excitation, j’avais déjà gémi à l’insertion, un peu surprise aussi par la taille de cette queue vraiment très excitante.

 

Nos hommes semblaient tous très heureux également de cette pénétration non planifiée en plein air, ils n’auraient pas osé, mais c’était chose faite, il ne restait qu’à en profiter amplement. Je me sentais tout à fait comme la gamine initiatrice, j’étais si heureuse de cette queue dans ma petite chatte, que je n’avais absolument aucune pensée envers les voisins ou les passants, j’étais terriblement excitée et il n’y avait que ça qui comptait pour moi.

 

J’avais en plus cette magnifique vue au premier rang des jumelles ayant une queue dans leur petite chatte, rien d’extérieur à notre plaisir ne pouvait détourner mon attention ou déranger mon plaisir. L’effet avait été vraiment énorme aussi sur nos hommes, la situation les avaient grandement excités, je sentis Jerry jouir en moi en trois ou quatre minutes, et ça semblait être similaire pour Papa et pour Sam.

 

Nous restions toutes bien installées sur les queues, continuant nos mouvements sans vergogne, nos chattes toutes heureuses de ces visites adorables, je me sentais également très fière de me montrer aussi salope devant mon papa et devant mon cousin, assez salope pour me faire baiser en public, toute nue en extérieur, je commençais même à rêver d’avoir autant de spectateurs qu’à la foire, je réalisais combien je devenais une petite garce, une petite pute sans aucune limite, Papa avait vraiment fait de moi une excellente salope et j’en étais des plus heureuses.

 

Je pus jouir quelques minutes plus tard en synchronisme avec Jerry, qui me cracha encore une fois une grande quantité de jets puissants dans mon petit minou, je lui laissai un peu de temps, et je sentis sa rigidité encore flagrante, alors je recommençai mes mouvements, je n’avais nulle intention de laisser cette queue sortir de moi tant qu’elle serait dure, à moins bien sûr que Jerry n’insiste.

 

Nous étions installés ainsi depuis plus de 15 minutes, et ça continuait, les filles avaient toutes joui au minimum une fois, les hommes devaient en être pas mal tous à deux fois, et il y eut une troisième fois dans les 15 minutes suivantes. J’avais pour ma part joui encore pas mal en même temps que Jerry, je sentis sa queue commencer à amollir en moi, je la laissai sortir d’elle-même et restai en place.

 

Tout le monde semblait avoir terminé, sauf mon cousin Sam qui avait encore du sperme à offrir et semblait vouloir inonder encore le petit trou de la gamine. Jerry me demanda de reprendre ma chaise, il allait chercher du vin pour Papa et pour lui, et nous apporta un breuvage à mon cousin et à nous les filles. Sam se vida une dernière fois et laissa repartir sa toute jeune et jolie victime.

 

Jerry se montrait vraiment sympathique, il était gentil avec moi tout comme avec Sam et avec Papa, il avait décidé qu’il tenait absolument à nous inviter pour le souper, au restaurant du camping comme à notre habitude, avant de nous laisser retourner à nos choses, Papa avait bien accepter finalement, après quelques hésitations, il aimait bien notre petit moment à nous trois, ce n’était pas une question de laisser payer un autre ou pas.  

 

Papa avait tout de même prit tous les contacts pédophiles que nous avions rencontrés, sans trop savoir pourquoi, peut-être nous reverrions-nous un jour, mais au cours du repas, il avait déclaré son intention de me créer une occasion afin que je puisse boire une grande quantité de sperme en peu de temps, Jerry comprit vite l’idée, et offrit à Papa un contact dans un groupe de pédophiles, il ferait une approche pour introduire Papa.

 

Comme nous étions assez isolés des autres, Jerry se mit à m’expliquer à voix basse le fonctionnement de ce genre d’évènements, que je n’étais vraiment pas la seule à vouloir.

 

  • 20 à 30 hommes peuvent être rassemblés autour de toi dans une salle bien discrète, ils sont tous nus, comme toi tu le seras pour te montrer une bonne fille, ils se masturberont en attendant leur tour. Tu en prends un dans ta bouche, il n’est déjà pas loin de jouir, il jouit dans ta bouche en deux ou trois minutes, voire en quelques secondes, un autre se présente aussitôt, prêt lui aussi à jouir rapidement, tu pourrais avoir environ 20 doses de sperme dans ta bouche en une heure, et faire durer ton plaisir encore beaucoup plus longtemps.
  • Wow Jerry, ce serait vraiment ce dont j’ai envie depuis que j’ai sucé Papa la première fois, je serais des plus heureuses de vivre ça au moins une fois dans ma vie.
  • Tu es une merveilleuse petite salope Francine, je suis bien épaté par toi, et je t’encourage fortement à progresser dans cette voie, tu sais, ce que tu pourrais vivre dans ta petite bouche, tu pourrais également le vivre dans ton petit cul, les mêmes hommes seraient vraiment bien partants pour t’offrir une occasion bouche, et une occasion cul.
  • Hummmm Francine, moi j’aimerais bien te voir dans une occasion cul, voir ton petit cul dégoulinant de sperme, te voir être enculée par plein d’hommes, un après l’autre, durant des heures, au moins deux heures ce serait magnifique Francine.
  • Oh Papa, que tu es cochon ! Offres-moi mon occasion dans ma bouche, et si tu le veux, je le ferai aussi dans mon cul à ta demande mon adorable Papa.
  • C’est un excellent marché conclut ma superbe Francine. Francine, que tu es salope Hihi !
  • Hihi ! Grâce à toi mon Papa cochon, merci de m’avoir transformée à ce point Papa, je t’aime très fort !

 

Sur le chemin de notre retour, en partageant la route avec Jerry et les jumelles, Sam se montra très intéressé.

 

  • Tu sais mon oncle, si ma cousine vit une de ces occasions, dans sa bouche ou dans son joli petit cul, si mon âge n’est pas un souci, j’aimerais bien la voir et participer en offrant ma queue également.
  • Oh toi Sam, mon gentil neveu, si tu dis à tes parents que tu passerais bien des weekends avec nous, tu seras toujours le bienvenu, j’irai te chercher et te reconduire, c’est une promesse. Pour le reste, je ne peux pas te dire en ce moment, je ne connais pas les règles, si jamais je trouve quelque chose, mais je prends bonne note de ton intention, tu en seras avisé je te le promets Sam.
  • Merci mon oncle, je ne demande que ça, si c’est possible. Et oui j’achalerai mes parents pour revenir vous voir plus souvent maintenant Haha !
  • Hummmm Sam, je serai bien heureuse à chaque fois, je t’aime beaucoup tu sais, et maintenant que nous avons brisée la glace….Hihi !

 

Nous quittions Jerry et les jumelles devant leur emplacement, et nous poursuivions vers le nôtre.

 

 

Ne manquez pas le Chapitre 7 !

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Ce récit est destiné aux adultes SEULEMENT.

Ce récit est entièrement fictif et ne représente nullement une histoire vraie ou vécue, il est strictement sorti de l’imaginaire de son auteur.

Ce récit contient des personnages fictifs et de l’activité sexuelle avec des personnages mineurs, si vous n’aimez pas ce genre d’histoire, ne lisez pas ce récit.

Commentaires fortement appréciés.

Arrivés au mobile home, Papa me permit de me soulager de mes jouets, la soirée s’annonçait pour en être une de pluie, nos prévisions étaient donc de rester en intérieur, nus et devant la télé. Avant de débuter un film, j’avais encore des hommes qui avaient encore de l’appétit pour ma bouche, mes petits seins, qui avaient encore des doigts partants pour masturber un gentil petit clito de petite salope bien volontaire.

 

Je fus bien gâtée durant un bon 45 minutes, je jutais abondamment sur le divan, mes petits seins étaient vraiment ravis par toutes ces adorables caresses, ma bouche presque en feu tellement elle était sollicitée, et mon petit clito des plus excités et comblés par tant de tendresse dessus. Suite à notre premier film, car il y en avait un autre de planifié, ce fus moi qui demanda à mes hommes s’ils étaient en forme pour m’offrir la double pénétration.

 

Comme j’avais été conservée toute chaude durant le film par les caresses de toute part, les désirs n’avaient pas cessé de grimper en moi durant le film. Ce mode de vie d’être affreusement excitée pratiquement du matin au soir me plaisait énormément, j’y étais tout à fait heureuse, ça me convenait vraiment bien, ma transformation avait totalement bien fonctionnée, il n’y avait plus aucun doute, j’étais bien devenue l’assoiffée de sexe que Papa voulait faire de moi.

 

Papa se releva avec Sam, et proposa cette fois à Sam de me prendre sur lui, de m’enfiler sa queue dans mon petit minou, et Papa viendrait combler mon petit cul par la suite. Sam était bien assez solide pour me prendre dans ses bras et il n’eut aucune objection à cette proposition de Papa. Je pris donc Sam par le cou, je grimpai mes jambes autour de lui, il fit entrer son adorable queue dans ma petite chatte, et Papa vint empaler mon petit cul avec la sienne.

 

Sam avait pris mes jolies fesses en main, et Papa prit mes hanches pour aider Sam dans les mouvements de haut en bas, le plaisir commençait rapidement pour moi, avec deux trous comblés en même temps, j’étais très heureuse de cet intermède que nous prenions pour prendre bien soin de mes petits trous de jeune salope désireux et devenus très gourmands.

 

Le rythme était excellent, les queues étaient divines, je gémissais déjà depuis un bon moment, j’en était rendue haletante et au point de jouir en environ 10 minutes, je sentais le respire de mes hommes non loin de jouir également, je tentais de me synchroniser le mieux possible avec eux, et j’atteins mon but avec Papa qui me cracha son sperme au moment où je jouissais, et quelques secondes plus tard, c’était au tour de Sam.

 

  • Je veux un autre tour svp mes beaux hommes si généreux que j’adore hummmm !

 

Mes deux hommes gardèrent mes petits trous bien remplis et recommencèrent les mouvements après une courte pause, je me sentais terriblement heureuse, comblée, choyée, je n’osais pas espérer un troisième tour, mais je le prendrait avec un grand plaisir si cela arrivait. Je galopai ainsi sur mes deux hommes durant encore 15 minutes ou pas très loin, je reçu avec plaisir mes doses de sperme dans mes petits trous, mais il n’y eut pas de troisième tour, je n’en étais pas déçue, je m’y attendais, mes hommes avaient tout de même été bien généreux avec les jolies et jeunes jumelles.

 

Cette nuit-là, c’était bien la première ici au camping où nous avions été sages, personne n’avait réclamé mon petit corps dans la nuit, couchée auprès de Papa, je n’eus pas le choix dans la nuit de me masturber moi-même, par trois fois, sans me permettre de jouir bien sûr, c’était plus fort que moi, je m’étais réveillée le clito en feu, en manque de caresses, toute juteuse, clito complètement gonflé, la petite salope que j’étais devait se faire plaisir et se combler de caresses sans vergogne, malgré que je devrais me dénoncer à Papa le lendemain.

 

Deux jours plus tard, la pluie nous décida à repartir plus tôt que prévu, pour aller poursuivre nos saloperies à la maison, je me disais que les gens d’entretien ménager auraient fort à faire pour supprimer la forte odeur de cyprine que j’avais sans doute laissé dans toutes les pièces du mobile home. Après une autre journée de sexe à trois, Papa se devait d’aller reconduire Sam chez lui, et ce dernier se promettait bien de revenir voir sa jolie petite cousine bien salope le plus souvent possible.

 

À son retour, Papa profita de la belle journée ensoleillée pour prendre des photos de moi dans ma petite robe blanche quasi transparente avec ce beau soleil, en extérieur dans notre cour, sous tous les angles, puis à l’intérieur, il en prit encore une bonne quantité, cette fois toute nue, prenant soin de poser de près mon petit minou avec le petit cordon qui en sortait, mon petit cul avec mon adorable jouet, il avait l’intention de contacter le club select de pédophiles, les photos donneraient un avant-goût de moi pour attirer les convives.

 

Il me masturba longuement, il me voulait debout, puis prit quelques dernières photos et ma petite fente et de mes cuisses mouillées pour combler le portrait. Il m’amena ensuite faire une balade au parc, qui était tout de même assez bondé d’hommes. Papa avait pris goût à m’exhiber assez souvent, il aimait voir les regards cochons des hommes sur moi, j’y avais également pris goût.

 

Avant de partir du parc, il s’était arrêté pas très loin d’un petit groupe d’hommes que nous venions de croiser, il me plaça face à eux, il était derrière moi, il posa une main sur mon bas ventre et la remonta à mon nombril, relevant d’autant ma courte robe, et se mit à me masturber de son autre main, devant les quatre hommes qui avaient maintenant les yeux rivés sur moi, il m’avait amené à gémir et à être proche de l’orgasme par deux fois, puis nous repartions pour la maison.

 

Mon Papa très cochon, prit ensuite contact, avec des logiciels sécuritaires, avec la personne qu’il espérait joindre, attendit un retour, puis échangea mes photos via un autre logiciel sécurisé directement avec la personne. Le contact me complimentait beaucoup, nous disait qu’il n’allait avoir aucune difficulté à organiser un évènement avec une aussi jolie fille, une superbe petite salope bien dressée par son bon papa, il me promettait du sperme dans ma bouche jusqu’à plus soif, il recontacterait Papa dans les jours suivant.

 

Il était encore tôt dans la journée, Papa vérifia si Joe était à son chalet, c’était le cas, nous partions presque sur le champ pour s’y rendre, Joe avait mentionné à Papa que j’avais des amis qui lui demandait quand j’allais revenir, ils avaient bien envie de se faire sucer à nouveau par moi. Papa m’avait dit de ne même pas prendre de bikini, j’allais passer une journée dans la nudité, même en cas de balade sur la plage.

 

Une fois au chalet, Papa m’invita à laisser ma robe dans la chambre et de les rejoindre dehors. Je m’étais assise sur la cuisse de Joe à son invitation, il était bien heureux de me revoir, de m’embrasser à pleine bouche, d’exciter mes mignons petits seins, et de masturber mon clito abondamment, prenant bien garde à ne pas me faire jouir.

 

Ça faisait bien une heure que Joe m’excitait à fond, quand Fred et Jamie vinrent nous rejoindre. Papa et Joe m’invitèrent à combler de bonheur liquide ma petite bouche de jeune salope auprès de Fred et Jamie, les gros baisers langoureux et les caresses sur mes petits seins reprenaient de plus belle, alors que je m’offrais ces deux jolies queues bien généreuses en sperme. Je me sentais très bien ainsi, à sucer des garçons en extérieur, bien que ce n’était pas un endroit nudiste, la nudité me plaisait énormément, tout comme l’exhibition à laquelle je m’habituais rapidement, j’adorais la forte excitation causée par le fait d’oser l’interdit, incitée bien sûr par mon adorable papa.

 

Après une bonne rasade de sperme, huit délicieuses doses pour ma jeune bouche assoiffée, Joe nous amena tous faire une agréable balade en hors-bord sur ce magnifique lac, les garçons avaient vraiment apprécié le fait d’être invités par Joe, j’étais encore la seule à être toute nue, Papa me masturbait en douceur devant les garçons sans se gêner, un ou l’autre s’approchait de moi pour venir exciter mes petits seins sans trop de gêne non plus, j’étais encore vraiment bien traitée.

 

Suite à notre balade sur le lac, il était temps de penser au souper, bien simple, des hot-dogs sur le Bar-B-Q, Joe avait invité les garçons, ils ne partirent que pour en aviser les parents et revinrent aussitôt après, Joe avait alors offert de la bière à Fred et Jamie, et mon Papa me permit d’avoir une coupe de vin, comme lui et Joe buvait du vin.

 

Ce fut un peu après le souper, que Papa décida que ça allait être ma fête ce soir-là. Il m’invita à l’intérieur, à prendre place sur le divan, les fesses tout au bord, mes jambes en l’air et bien écartées, et offrit un premier tour à Fred et à Jamie ensuite.

 

  • Francine, mon exquise petite salope, il est grand temps que ton petit clito jouisse en quantité, ce soir, nous allons tous te faire jouir avec nos langues, tiens-toi prête, car tu en as pour un long moment à te faire dévorer ton petit bouton rose.
  • Ahhhhh Papa !! Merci de tout cœur, mille fois merci, tu me rends totalement heureuse Papa, je vais grandement profiter du gros plaisir que tu m’offre enfin Papa.

 

C’était partit pour moi, j’allais tous les recevoir sur mon petit clito à tour de rôle, et bien sûr ils avaient tous l’intention de faire plusieurs tours chacun, j’avais rêvé de ce moment depuis longtemps, j’allais en jouir une grande quantité de fois sans compter, j’allais vivre cette magnifique expérience d’avoir quatre langues pour moi toute seule, mon petit clito ayant enfin cette permission si longtemps désirée de jouir.

 

Fred débuta le bal, j’ignorais à quoi m’attendre, je ne savais pas s’il était doué, mais devant ma grande excitation, il me fit jouir en à peine trois minutes. Il prit un moment pour se délecter de mon petit trou très juteux, puis Jamie vint me dévorer à son tour, je ne pus tenir beaucoup plus longtemps, je ressentais encore un puissant orgasme lorsqu’il posa sa langue gourmande sur mon petit clito excité, j’explosai presque aussi vite qu’avec Fred, et Jamie s’abreuva lui aussi à mon petit minou juteux.

 

Joe suivit, je n’avais pas eu plus le temps de vivre entièrement mon orgasme qu’il activait sa langue, que je sentais déjà beaucoup plus expérimentée, et il ajoutait de plus de petites tapes sur le jouet dans mon petit cul, je continuais à gémir à tout rompre, à me mordre les lèvres pour ne pas crier, j’étais au septième ciel, traitée comme une Reine, je savourais ce plaisir immense de jouir de mon clito, mais également de jouir d’une langue bien vaillante, encore là, je ne pouvais pas tenir très longtemps avant de jouir, c’était orgasme sur orgasme.

 

Les gros baisers commençaient, Fred le premier vint me dévorer la bouche en me faisant goûter mon propre jus, me rendait l’odeur de ma cyprine, Jamie prit l’autre côté pour s’offrir mes petits seins, de ses doigts et de sa bouche, je devenais dingue d’excitation, Joe venait tout juste de me faire jouir et s’abreuvait à ma petite chatte inondée de jus, Papa était si heureux de voir que tous se donnaient la main pour bien s’occuper de moi et me couvrir de caresses enivrantes.

 

J’allais me souvenir toute ma vie de la toute première fois où j’avais eu droit de jouir de mon petit clito, car je le sentais bien que le bal était parti pour un très long moment, avec cette bande d’assoiffés de jeune chatte bien offerte et très salope. Papa vint à son tour, je découvris très rapidement l’habilité de sa langue bien précise dans ses caresses, dans ses mouvements, je tombai en amour avec cette langue, j’en étais très heureuse, car c’était vraiment cette langue qui serait le plus souvent avec moi.

 

Papa y allait un peu plus doucement, il me laissa plus de temps à savourer cette langue généreuse, ce plaisir de cette douceur sur mon petit bouton rose tout gonflé, lui il avait enfoncé un doigt dans mon petit minou et s’amusait à pousser sur la boule et laisser mon vagin la repousser, ce qui était tout aussi excitant que les petites tapes de Joe sur le jouet dans mon petit cul bien rempli. Jamie en était sur ma bouche et Joe sur mes petits seins, mon petit corps avait la participation de presque tous en même temps pour lui faire plaisir.

 

Je ne savais vraiment pas combien de fois je pus jouir, mais nous retournions dehors et la noirceur était arrivée. Nous avions été prendre une petite marche sur la plage, j’étais encore la seule toute nue, puis à notre retour, j’avais de nombreuses queues bien rigides à sucer, en commençant par Papa et par Joe qui avaient bien patienté tous les deux, et me donnèrent chacun trois délicieuses et abondantes doses de nectar savoureux.

 

Fred et Jamie m’offrirent chacun deux doses, un peu moins abondantes qu’en après-midi. Joe offrit une dernière bière aux garçons, qui devenaient de jeunes amis, et les invitaient à rentrer ensuite pour ne pas que les parents ne s’inquiètent trop ou qu’ils se mettent à penser que Joe était une mauvaise influence.

 

Papa put librement raconter à Joe nos aventures au camping, ainsi qu’à la foire, lui montra également les photos qu’il avait prises dans la journée, et lui parla de la raison des photos. Joe était émerveillé par les photos, il trouvait que Papa faisait un excellent photographe, il m’avait vraiment bien mise en valeur sur chacune, et il se montrait des plus intéressés à rejoindre ce club sélect, en désirant également participer aux évènements.

 

Il se faisait tard, mais pas assez pour les deux hommes, Papa voyait mon épuisement, j’étais vidée après tous ces orgasmes, il m’invita à aller retirer mes jouets, prendre une bonne douche, et aller directement au lit ensuite, je fis donc les bisous d’usage avant de laisser les hommes entre eux. Après une bonne douche, je crois que je m’étais endormie en posant la tête sur l’oreiller ou presque, et je dormis comme un bébé toute la nuit entière.

 

Le lendemain en début d’après-midi, les garçons me sachant encore sur place, vinrent nous rejoindre. J’étais toute nue, mais je ne portais pas de jouets en moi, Papa m’avait dit de ne pas en mettre, il avait d’autres plans. Nous allions repartir un peu avant le souper, souper en chemin ou commander un truc une fois à la maison.

 

Après avoir jasé un moment avec Fred et Jamie, Papa nous invita tous à rentrer au chalet, droit au salon, me demanda d’aller chercher le lubrifiant dans mon petit bagage, puis m’invita à me mettre à quatre pattes sur le divan, la tête contre le dossier, les genoux tout au bord, les jambes écartées.

 

  • Francine ma petite chérie d’amour, nous mettrons tes jouets par la suite, pour que la route soit bien agréable pour toi, mais avant, nous allons tous visiter ton magnifique petit cul et le remplir de sperme à plusieurs reprises, tu le mérites bien ma jolie petite salope, es-tu contente Francine ?
  • Oh que oui mon adorable Papa, ce sera bien ma première fois avec autant de giclées dans mon petit cul de salope, je crois que je serai bien comblée de bonheur et d’excitation Papa. Merci pour cette merveilleuse idée !

 

Évidemment que Fred et Jamie étaient des plus heureux d’apprendre la nouvelle, ils devaient bien avoir envie de mon petit cul depuis longtemps, ça devait être un rêve qui se réalisait pour eux, ça en était un pour moi, j’aurais déjà une bonne idée de ce que ce serait de me faire remplir mon petit cul par une grande quantité de sperme et par plusieurs queues.

 

Papa offrit à Jamie le premier tour, il beurra bien mon petit cul et sa jolie queue, puis m’enfila ça en moins de deux, en commençant presque aussitôt à me ramoner à bon rythme, mon petit trou était bien heureux de recevoir cette première visite, je préparais déjà mon moral pour en recevoir autant que j’avais eu d’orgasmes la veille par des langues affamées, j’allais encore être merveilleusement gâtée, enculée tout plein de fois.

 

Les échanges allaient bon train, une queue sortait de moi, une autre entrait dans les secondes suivantes, c’était un rythme endiablé, très intense, et magnifique à subir, je sentais bien les différences entre chacune, et encore une fois, c’était la queue de Papa qui me plaisait le plus, je commençais à reconnaitre les queues sans regarder qui était derrière moi, les grosseurs et longueurs étaient différentes ou similaires, les rythmes se distinguaient bien, mon petit cul prenait un énorme plaisir.

 

J’avais été longtemps en place, sans compter le temps ou le nombre de fois, je me sentais heureuse de tout ça, puis Papa ferma la boutique en m’enfonçant mon jouet dans mon cul plein de sperme, et ensuite mes boules chinoises. Les garçons repartaient, bien heureux et souriant, nous étions nous aussi sur le point de partir, je remettais ma petite robe puis nous embarquions dans l’auto en ayant bien remercié Joe pour tout.

 

 

Ne manquez pas le Chapitre 8 !

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Ce récit est destiné aux adultes SEULEMENT.

Ce récit est entièrement fictif et ne représente nullement une histoire vraie ou vécue, il est strictement sorti de l’imaginaire de son auteur.

Ce récit contient des personnages fictifs et de l’activité sexuelle avec des personnages mineurs, si vous n’aimez pas ce genre d’histoire, ne lisez pas ce récit.

Commentaires fortement appréciés.

Mon Papa et moi étions finalement arrivés assez tard à la maison, il me laissa garder ma petite robe en attendant que le livreur arrive avec nos commandes, il regarda ses messages dans l’attente, il me disait que nous avions bien été acceptés dans le club sélect, que mes photos avaient plus à un grand nombre de pédophiles, que plusieurs avaient avoué volontiers s’être masturbé en les regardant, et qu’un évènement serait fort possible dans les deux semaines, c’était à valider, mais en branle.

 

Papa en avait profité pour savoir si Joe pouvait joindre le club, étant donné l’histoire de Joe avec moi et Papa, le contact lui donna une marche à suivre pour que Joe le contacte à son tour. Nos commandes étaient arrivées pas très longtemps après, je fus immanquablement remarquée par le livreur, ce genre de regard vicieux me faisait de plus en plus plaisir à voir, il était bien écrit dans ses yeux qu’il aurait bien soulevé ma courte robe pour en voir un peu plus, devinant déjà mes petits seins.

 

J’eus ce petit réflexe de faire bouger mon bassin vite fait vers l’avant, question de provoquer le soulèvement de ma courte robe, tentant d’offrir un bref aperçu. Je n’étais pas certaine si cela avait bien marché, mais il esquissait un sourire qui me semblait un peu cochon. Je retirai ma robe lorsqu’il fut parti, pour le plaisir de Papa, avant même qu’il ne me le demande.

 

Après notre très bon repas, Papa retourna un appel qu’il avait reçu au chalet, mais qu’il avait écourté en disant qu’il rappellerait plus tard le lendemain. C’était Jerry du camping, qui avait la forte envie de nous revoir avec ses jolies petites jumelles de sept ans, Claudie et Claudia. Il avait une bonne heure de route à faire, mais il se montrait intéressé de nous voir pour tout un après-midi, souper ensemble avant qu’il ne doive repartir avec ses jeunes fillettes.

 

Papa lui mentionna que nous venions de revenir du chalet de son ami Joe, qui serait sans doute très intéressé, et Papa lui dit qu’il verrait avec Sam si c’était possible de l’avoir à la maison du même coup, tout ça ferait plus de queues pour nous les petites filles bien salopes. Jerry était très ouvert à tout cela, et indiquait à Papa que maintenant ses petites jumelles portaient des boules chinoises avec un grand plaisir.

 

Avant de raccrocher, Papa pensa tout à coup à l’ami de Joe, que nous avions vu au chalet, et Jerry affirma à Papa que plus le nombre de queues serait grand, plus le plaisir serait au rendez-vous pour les fillettes. Papa appela Joe ensuite pour lui annoncer la bonne nouvelle, tout était après se confirmer, Joe était tout à fait partant, en parlerait à son ami et donnerait des réponses à Papa, qui ferait suivre à Jerry, après avoir également parlé à Sam.

 

Après tous ces appels, qui furent tous positifs, Papa décida d’offrir à nouveau sa langue à mon petit clito, à me procurer orgasme sur orgasme encore une fois, à me faire confirmer combien j’adorais sa langue, bien que par moment il prenait ses doigts, mais je jouissais de sa langue la majorité des fois. Après m’avoir fait jouir un grand nombre de fois, à ma grande satisfaction, Papa, devenu excessivement pervers et cochon, m’amena à la salle de bain.

 

Il voulait que je me tienne debout au-dessus de la cuvette, que je retire moi-même mon jouet dans mon petit cul pour vite me mettre à le lécher en entier, et lui voulait lécher mon petit cul avec tout le sperme qui en sortirait. Il me regarda d’abord un instant commencer à lécher le jouet, puis se mit à lécher mes cuisses qui débordaient de sperme, jusqu’à mon petit trou qu’il excitait de sa langue tout en léchant ce qui en sortait.

 

Il avait peut-être été assez fier de moi qu’il en avait développé ce goût, bien qu’il ne m’en avait jamais parlé, je songeais aussi à un passif bi-sexuel avec Joe, la complicité était tout de même grande, avec des enfants ou possiblement des adultes aussi, mais j’avais clairement senti une complicité pédophile, je n’étais sans doute pas la première fillette pour Papa, de là sans doute toute son ouverture.

 

Lorsqu’il eut fini de me nettoyer, il me retira les boules chinoises et dégusta encore un très long moment mon petit minou, assez pour me faire jouir deux fois de plus, à ma grande joie, puis il commençait à se faire tard, mon épuisement était flagrant, Papa m’envoya me coucher dans son lit bien avant lui, et je m’endormie assez rapidement.

 

Le samedi suivant, nous ne gâchions pas une belle journée en extérieur, Jerry était en route, il pleuvait à boire debout, c’était accompagné de vents violents, une température idéale pour une journée de sexe à l’intérieur, Sam était déjà avec nous depuis la veille en soirée, Joe venait à peine d’arrivé avec son ami, j’étais vêtue d’une très courte robe noire, vraiment très transparente celle-ci, fendue sur les deux côtés jusqu’au hanches, c’était vraiment un modèle que Papa avait choisit pour l’intérieur, c’était vraiment trop osé pour autre chose.

 

Les jolies jumelles arrivèrent, ne portant qu’un minuscule petit haut de bikini, et une petite jupe frisée affreusement courte, les petits minous étaient pour ainsi dire à l’air libre, avec un petit cordon qui en dépassait, elles étaient outrageusement maquillées en provocantes petites putes, dès qu’on les voyait de l’arrière, le petit jouet dans leur petit cul était très visible, elles étaient vraiment de magnifiques petites poupées de sexe, c’était limpide.

 

À peine arrivées, elles se firent rapidement retirer leurs courtes jupettes, elles recevaient déjà les honneurs, assises l’une à côté de l’autre sur le divan, le petit minou bien offert, les cuisses grandes ouvertes, et les bouches se jetèrent sur les fillettes comme un ours sur du miel. Elles se faisaient toutes les deux en même temps dévorer goulûment, par Papa et Joe en premier, puis par Sam et l’ami de Joe, qui se relayaient sans fin.

 

Jerry s’était bien promit de se taper mon petit corps, me retira ma robe aussi vite que ses fillettes perdaient leurs jupettes, m’installa sur le fauteuil une place, et se mit lui aussi à me dévorer le clito comme un assoiffé dans le désert. Les fillettes se faisaient tapoter le jouet dans leur cul comme Jerry tapotait le mien, le plaisir était déjà intense pour moi, comme pour les fillettes, me semblait-il, en ayant un œil sur elles assez souvent, je les trouvais si mignonnes et si excitantes.

 

Jerry avait bien l’intention de passer par tous mes petits trous, abandonnant totalement ses jolies jumelles au plaisir des autres mâles excités sur place. Entre deux orgasmes qu’il m’offrait de sa langue, il allait divinement exciter mes petits seins bien offerts et bien partants pour autant de délicieuses caresses. Après quelques orgasmes, il me retira doucement les boules chinoises et s’abreuva à ma petite chatte inondée de jus de jeune salope.

 

Claudie et Claudia en étaient pratiquement au même point, et commençaient, elles aussi, à se faire remplir la petite chatte de sperme par les salops qui les entouraient. Jerry en était presque couché sur moi et me harponnait de sa grosse queue dans ma petite chatte qui ne demandait pas mieux. Il me pilonnait vraiment bien, il avait possiblement pris du Viagra, sa queue était rigide comme une barre de fer, terriblement bien gonflée et bien vaillante.

 

Si bien que j’en jouissais une première fois avant lui, il me suivit un peu plus tard, et je jouis à nouveau avec lui devant son éjaculation puissante et généreuse. Il me fit faire un demi-tour sur moi-même, lui offrant maintenant mon petit cul en devinant très bien la suite, il me retira mon jouet en douceur, et vint empaler sa queue dans mon petit trou très excité.

 

Il me ramona mon petit cul de salope un bon 20 min, très vigoureusement, intensément, c’était exquis pour moi, il en jouit après tout ce temps, il avait vraiment tenu bon, je le trouvais très bon à ce petit jeu pervers. Il avait bien hâte ensuite que je me replace à genou devant lui, pour lui dévorer les couilles un long moment, puis pour lécher tout son membre en entier, à sa demande, me remplissant la bouche de tout ce sperme qui était encore dessus comme des restants laissés par mon petit cul.

 

Pendant que ses jolies fillettes se faisaient empaler dans tous les trous, il jouit dans ma bouche une première fois après un long moment, il s’offrit à nouveau mon petit cul, et il me chargea de le sucer à nouveau en prenant bien le temps de le nettoyer, de savourer ses grosses couilles, de lécher mes restants encore une fois, et de boire à nouveau tout son sperme.

 

Jerry prit sur lui de me remettre mes jouets lui-même, comme s’il venait de fermer la boutique après son passage, ce qui était correct car les autres hommes avaient bien terminé avec les jolies jumelles très salopes et bien heureuses des gâteries qu’elles avaient reçues. Jerry confirma à Papa qu’il avait entendu parler d’un évènement prochain, et qu’il avait bien l’intention d’y être présent.

 

Le repas allait être bien simple, mais excellent, Papa faisait de la délicieuse sauce à spaghetti, sauce à la viande et aux légumes, et il en avait prévu amplement pour tous. La sauce mijotait lentement, et avant de faire bouillir les pâtes, les hommes nous demandèrent à nous les petites salopes, de se coucher par terre sur nos flancs, et de mutuellement se dévorer la chatte en joli trio de petites lesbiennes.

 

Ce n’était vraiment pas quelque chose que j’avais fait, mais il ne me venait pas du tout à l’esprit de refuser, c’était une expérience de plus à vivre, j’avais compris la position à prendre et je me tapai la petite chatte de Claudie, et je goûtais son savoureux jus de petite pute avec en prime des restants de sperme que je siphonnais de son petit trou prisonnier de ma bouche de salope. Certains diront que ce fut un échange culturel des plus savoureux, des plus juteux, ce fut un vrai délice en effet.

 

Le repas était bien accompagné de bière et de vin, au choix de chacun, j’eus droit à une coupe de vin, et les jumelles s’en partageait une également. C’était très agréable, les adultes laissaient bien la chance aux jeunes putes de s’exprimer, de dire combien elles avaient apprécié l’après-midi, et de dire combien elles aimeraient remettre ça, c’était vraiment unanime entre nous les petites putes, et les hommes semblaient tous en parfait accord, il n’y avait rien de programmé à ce moment, mais l’occasion se programmerait éventuellement et certainement.

 

Jerry repartit avec ses jolie fillettes très aimables, et Joe restait tout comme Sam. J’étais cette fois la seule bien gâtée toute la soirée, à recevoir les gros baisers, à se faire adorablement exciter ses petits seins, à se faire masturber à fond la caisse, pouvant maintenant en jouir sans restriction, sans compter le nombre de fois, qui fut certainement encore un gros nombre.

 

Je dormis finalement avec Sam, à la demande de Papa, et durant la nuit, j’eus droit à ce plaisir de sa queue à nouveau bandée dans mon petit cul de jeune salope, il se tapa aussi mon petit minou de sa bouche, me faisant jouir par deux fois, s’en prit à mes petits seins, puis me colla contre lui pour dormir, pratiquement en amoureux, nous avions déjà tant partagé de choses agréables et coquines.

 

  • Non mais ça prend vraiment un cousin très salop pour oser enfoncer sa queue bandée dans le pauvre petit cul d’une jeune cousine innocente durant la nuit !
  • Haha Francine, c’est bon, tais-toi et dors maintenant, petite salope qui a adoré ça Hihi !

 

Le lendemain, Sam surtout, mais Papa aussi, avait raconté à Joe et son ami l’épisode de la foire, les deux étaient en excitation totale, et souhaitaient être présents pour une prochaine fois. Comme ils étaient là avec nous, ils préféraient que cela se passe dans la journée, qui était encore une belle journée, et les deux insistaient beaucoup pour que je porte la petite robe de la veille, prévue seulement pour l’intérieur.

 

Papa hésitait tout de même beaucoup, pendant que Joe était sur son smartphone en recherche pour une foire dans le secteur, Joe trouva deux possibilités pas si éloignées, mais Sam hésitait lui aussi, affirmant que ma robe de la veille était vraiment trop osée, il me proposa d’aller mettre une de mes blanches, plus acceptable, pour montrer à Joe.

 

Joe et son ami insistaient vraiment pour la noire de la veille, qui ne cachait même pas ou trop peu mon petit minou, mes fesses étaient visibles d’une bonne moitié, sans compter qu’ouverte ainsi sur les deux côtés, le vent ferait encore plus son œuvre. Papa, devenant vraiment de plus en plus vicieux, accepta, en affirmant tout de même que l’on resterait moins longtemps sur place, j’allais donc devoir m’affichée dans cette robe noire vraiment transparente, comme les dessous féminins dédiés à ça, et vraiment trop courte pour couvrir ma petite chatte, qui serait sans aucun doute des plus juteuses.

 

C’était décidé, nous allions prendre le véhicule de Joe, qui prenait plus de passagers, nous en avions pour environ 45 minutes de route, j’étais équipée de mes jouets, Joe demanda à Papa de conduire, et s’assieds avec moi derrière. Je compris assez tôt pourquoi, le salop tenait à me masturber durant toute la route afin que je sois des plus juteuses et grandement excitée en arrivant sur place.

 

Il n’hésitait pas non plus dans le véhicule à relever ma robe jusqu’en haut de mes petits seins pour les exciter à fond de sa bouche et de ses doigts, il me chauffait au rouge durant tout le trajet. Je fus rapidement baignée dans la foule, le vent était bien présent et faisait son œuvre, mes cuisses dégoulinantes de jus et mon petit minou étaient bien observés, mes petits bouts de seins pointés et durs comme fer, mon jouet dans mon cul était tout aussi visible, je me sentais encore plus pute qu’à l’autre foire, je me sentais totalement nue même, la sensation était si forte.

 

Joe restait près de moi à admirer les regards sur moi, me disait à l’oreille à l’occasion…

 

  • Que dirais-tu que je te retire cette petite robe qui te cache encore beaucoup trop au goût de tes spectateurs les plus pervers ?
  • Merde Joe, tais-toi stp !
  • Dis-moi juste que tu ne ferais rien pour te défendre petite salope…
  • Joe Bordel, arrête stp !
  • Dis-le Francine…
  • Merde ! Tu le sais Joe, je ne ferais rien pour me défendre !
  • Hummmmm….adorable petite pute va…j’y pense encore….et qui sait si j’agirai Hihi !
  • Joe, Bordel !!

 

Papa entendait, et ne disait rien, il souriait en homme vraiment très vicieux, sans rien dire à Joe. Nous avions pris une direction un peu différente, le vent était de face et en continue, il eut prise sur le panneau avant de ma courte robe, me colla le panneau contre mon ventre, relevé en entier jusqu’à la taille, mon minou était totalement affiché, et ça durait déjà depuis plusieurs secondes sans diminuer.

 

  • Papa, Merde !!...
  • Ne touches à rien Francine, laisse ça ainsi, la nature le veut Hihi !
  • Papaaaa…..!!

 

J’étais observée par de nombreuses personnes maintenant, on entendait des bouts de phrases….

 

  • Une vraie petite salope, non mais ne te cache surtout pas petite pute !
  • Un papa comme je les aime, un vrai salop qui affiche sa jeune pute !
  • Non mais habille-toi sale petite garce !
  • Enlève-la ta robe, n’hésite surtout pas, petite chienne dépravée !
  • Tu peux bien couler comme une pute sur tes cuisses espèce de jeune salope !
  • Je peux te venir en aide ma jolie poupée ?
  • Oui il a raison le gars, retire ta robe petite garce, allez, on attend !

 

Joe me retira ma robe, j’étais en colère, et à la fois terriblement excitée, j’en étais au bord de jouir, Papa laissa faire Joe, qui se mit à me masturber devant tout le monde, me fit jouir en à peine une minute, puis me redonna ma robe pour que je la remette, et Papa décida qu’il était temps de repartir, à mon grand plaisir, j’éprouvais autant de honte que d’excitation, je ne savais pas sur quoi mettre l’emphase, je vivais de grosses émotions.

 

Papa avait pris place à l’arrière, à mes côtés pour le chemin du retour, il me colla contre lui, me réconforta, était tout de même fier de moi et du geste de Joe, et se mit à me masturber lui aussi pour me calmer. Je prenais de plus en plus la chose à la légère et j’en riais, je n’en voulais plus à Joe, nous venions de vivre un moment des plus palpitants, enfin, pour moi, je jouis par au moins quatre fois en cours de route, j’inondais le siège arrière de cyprine, et je disais à Joe que c’était bien fait pour lui, il riait.

 

  • Francine, que tu es cochonne !
  • Haaaaa…va chier Joe Hihi !
  • Haha Francine ma petite chérie, qu’elle est bien placée celle-là Haha !

 

Ne manquez pas le Chapitre 9 !

Chapter Text

Ce récit est destiné aux adultes SEULEMENT.

Ce récit est entièrement fictif et ne représente nullement une histoire vraie ou vécue, il est strictement sorti de l’imaginaire de son auteur.

Ce récit contient des personnages fictifs et de l’activité sexuelle avec des personnages mineurs, si vous n’aimez pas ce genre d’histoire, ne lisez pas ce récit.

Commentaires fortement appréciés.

Enfin, nous arrivions à la maison, j’étais plus que juteuse, ultra excitée, tout mon petit corps était en feu. Papa me soulagea de mes jouets, ainsi que de ma robe, m’amena avec lui dans sa chambre, avec Joe et son ami, ainsi que Sam, tous se dévêtir, les queues étaient totalement bandées, Papa m’invita à venir le prendre en le chevauchant, il était couché sur son lit, il voulait me prendre dans ma petite chatte.

 

Aussitôt que sa grosse et adorable queue fut dans ma petite chatte juteuse, il invita Joe à me prendre dans mon petit cul, en double pénétration, et invita Sam à venir offrir sa queue à ma bouche. Mes trois petits trous étaient pris tous en même temps pour la toute première fois, je ne pouvais même pas encore réaliser combien j’étais comblée.

 

Ils se mirent tous à alterner, l’ami de Joe dans ma bouche après Sam, Joe sur le lit dans ma petite chatte, Papa dans mon petit cul, et les rôles changeaient sans cesse au fur et à mesure que je faisais jouir mes hommes dans un de mes petits trous de salope bien disponibles et bien offerts. Je goûtais encore une fois à un tout nouveau plaisir, j’étais vraiment prise de partout à la fois, jamais je ne m’étais sentis aussi putain que ça, et je m’avouais que j’en étais outrageusement excitée.

 

Quatre hommes, une toute jeune petite salope, ça ne se vivait que sur les sites de porno, je le vivais dans ma réalité, toute aussi surprise qu’enjouée, satisfaite, j’étais ce que l’on appelait, la salope à trois trous maintenant, totalement ouverte à tout, grâce à son adorable papa. Je jouissais en quantité, mes petits trous étaient tous remplis de sperme à un moment ou à un autre, il y en avait toujours un qui faisait son possible pour venir frotter mon petit clito de ses doigts fouineurs entre deux salops, je jouissais parfois de mon petit bouton rose à l’occasion, c’était un vrai régal de vivre ce long moment qui durait et durait encore, je ne m’en plaignais pas, j’en voulais encore.

 

Je dus passer au total plus d’une heure et demi entre les mains des hommes les plus salops que je connaissais, j’avais été des plus gâtées, des plus honorées de subir ce magnifique traitement des plus jouissifs, il me prit de les remercier à tout rompre à la fin, chacun d’eux, ce fut une expérience vraiment divine pour une toute jeune salope comme moi.

 

Nous reprenions place au salon, Papa était extrêmement fier de moi, fier que je le suive sans hésiter dans tout ce qu’il voulait me faire vivre, j’étais encore étonnée de tout ce qu’il me réservait, et je vivais vraiment tout à fond, même parfois avec hésitation à prime abord, il m’avait transmis cette soif d’apprendre, et de vivre intensément ma sexualité avec lui, et avec tant d’autres gens merveilleux et passionnés.

 

Papa m’avait encore offert du vin, même une seconde coupe pour fêter l’occasion, je devenais un peu pompette, Joe m’avait remis mes jouets en moi, et il nous invitait tous au restaurant pour le souper, en insistant pour que je remette cette petite robe des plus osées, et en insistant pour que je m’assois à ses côtés expressément, j’en déduisais qu’il voulait avoir la main sous ma courte robe régulièrement, m’obliger à retenir au mieux mes gémissements en public, et me faire mouillé affreusement le banc ou la chaise où j’allais prendre place.

 

Je croyais qu’il allait me faire prendre la place du fond, mais il me fit prendre celle du bord du banc en cuirette. À peine cinq minutes que nous étions installés, n’avions pas encore commandé, que je devais discrètement demander à Joe de réduire un peu la masturbation, lui demander de plus de ne pas relever le devant de ma robe si haut, des gens nous regardaient aux tables en position de me voir.

 

Un monsieur en position de bien me voir, se pencha entre les tables, fit signe à Joe qu’il voulait lui parler tout bas, et lui demanda combien il voudrait pour louer sa fille pour une heure ou deux. Papa se pencha comme le monsieur, vers lui, et lui dit tout bas…

 

  • C’est ma fille à moi, combien es-tu prêt à payer ?
  • Papa Merde !! Tais-toi stp…

 

Lui dis-je tout bas, en ayant tout entendu. Papa me sourit, se mit à rire, je compris qu’il n’avait aucune intention de le faire, mais qu’il se payait un peu la gueule du bonhomme. Joe en était presque à rire aux éclats, se retenant de son mieux, Sam et l’ami de Joe n’avaient pas tout entendu, n’eurent pas de réactions autres que le questionnement. Le monsieur n’ayant pas vraiment compris le message, osa de nouveau…

 

  • 500$ dollars ça irait pour vous ?
  • Le monsieur à côté d’elle a déjà payé 2000$ dollars, vous en pensez quoi ?
  • Oh ! Je vois, pardon, elle est superbe, mais vraiment trop de luxe pour mes moyens, merci tout de même monsieur !

 

Papa, Joe et moi étions éclatés de rire, le monsieur prenait Papa au sérieux, nous racontions en discrétion aux autres un peu plus tard, en évitant de regarder vers le voisin de table. J’étais toute fière de la réplique de mon papa, il m’avait fait bien rire, et m’avait coté haut de gamme du même coup, j’étais très amusée. Le pire, le salop était assis avec un autre homme et une jeune fille de pas plus de huit ans, en robe trop petite pour elle, il avait déjà sa jeune victime.

 

À la maison, nous ricanions encore de l’aventure, j’avais eu encore droit à une petite coupe de vin cette fois, mais j’étais encore un petit peu pompette même après le repas. Joe allait toutefois repartir un peu plus tard avec son ami, et pour Sam ce n’était pas pressant d’aller le reconduire, le lendemain ferait bien l’affaire de ses parents. J’avais gardé cette petite robe transparente, personne ne me l’avait retiré.

 

Papa avait eu des nouvelles tardives dans la soirée, au sujet de l’évènement, qui était bel et bien fixé au samedi suivant, en tout début de soirée, avec toute une série de consignes à suivre, du stationnement de la voiture au code d’entrée à frapper à la porte indiquée, un mot de passe à dire, une invitation codée à imprimer et à présenter, je devais porter une courte robe, sans dessous, je devais être la toute première à entrer avec l’invitation codée, on allait soulever ma robe entièrement pour me vérifier adéquatement, puis sur acceptation, je pourrais faire entrer mon papa, les autres devraient présenter ce qu’il fallait, un à un.

 

Tous, nous étions heureux d’avoir reçu les nouvelles, avec une certaine stupéfaction des procédures sévères et strictes, mais nous comprenions que c’était pour la sécurité de tous.

 

  • Je ne te mentirai pas Francine, j’ai bien l’impression que « pour te vérifier adéquatement », ça impliquera de te faire attoucher, pour valider que tu es bien là pour du sexe, je te rendrai bien juteuse avant alors, tu seras prête à ça Francine ?
  • Oui Papa, pas de souci, je me plierai à la procédure, surtout si on me masturbe vraiment bien Hihi !
  • Haha, sacrée petite salope va !

 

Sam serait là, il avait appelé ses parents suite à ses nouvelles, avait prévenu qu’il voulait venir nous voir pour une occasion particulière, une fausse raison bien sûr, et ça passait comme un couteau dans le beurre mou. Joe avait reçu son invitation également, ainsi que celle de son ami, et Jerry venait tout juste d’envoyer un texto à Papa pour se confirmer également.

 

Joe venait de repartir avec son ami, nous avions alors prévu du Netflix à nous trois, Sam prit le temps de me retirer ma petite robe, avec la ferme intention de me couvrir de caresses et de baisers, assise bien sûr entre lui et Papa, qui serait des plus généreux avec moi sans nul doute. C’était exquis, j’avais maintenant des orgasmes en regardant Netflix, cette vie de sexe en abondance était vraiment pour moi, je cadrais parfaitement avec ce mode de vie intense, je ne reviendrais en arrière pour rien au monde.

 

Le samedi suivant, nous avions été prévenus que finalement je ne serais pas la seule protagoniste à l’évènement, grâce à mes photos, le nombre de convive battait un record pour l’organisateur, il allait y avoir 39 hommes, je ne pourrais clairement pas boire tout ce sperme, l’organisateur avait demandé à d’autres pères s’ils voulaient profiter de l’évènement pour initier leur jeune fille.

 

Nous allions avoir une fillette de dix ans, connue pour avoir déjà quelques évènements à son actif, et une jeune fillette de six ans, dont le père affirmait qu’elle était initiée depuis seulement deux mois, mais elle avait selon lui une soif immense de sperme dans sa jeune bouche de novice, elle en réclamait beaucoup à son père, qui ne pouvait pas la fournir.

 

L’organisateur me rassurait, il en réservait amplement pour moi, il disait aussi qu’avec 39 hommes qui donneraient sans doute chacun trois doses, nous pouvions compter sur environ 120 doses ou plus, je n’en manquerais pas, pour les deux heures que nous avions prévu pour l’activité, au minimum, tout dépendrait de moi par la suite, si ma soif n’était pas encore étanchée.

 

Sur place enfin, j’entrai en tout premier comme prévu, je fus accueillie par deux hommes, qui prirent chacun un côté de moi, un par devant et un par derrière, relevèrent ma robe, et se mirent à caresser mes fesses, mes petits seins, ma petite fente, se mirent à me masturber un moment et échangèrent leur position, ils voulaient voir à quel point de jutais rapidement, et voulaient m’entendre gémir, et étaient curieux de savoir si j’allais jouir dans les six à huit minutes allouées à mon petit corps.

 

Devant cette gêne d’être attouchée par deux hommes inconnus que je venais tout juste de rencontrer, je ne pus tenir les huit minutes, je dus jouir en six, ce qui me fut confirmé par l’un des hommes qui avait minuté le tout.

 

  • Tu es parfaite ma jolie Francine, ravissante, sexy à souhait, ton corps réagit très bien aux caresses. Bienvenue à ton tout premier évènement, nous te souhaitons de tout cœur de vivre une merveilleuse expérience, et nous souhaitons déjà te revoir à nouveau. Bonne soirée Francine !
  • Oh merci beaucoup messieurs, vous êtes vraiment très aimables, puis-je maintenant faire entrer mon adorable Papa ?
  • Oui bien sûr, vas-y, ouvre-lui Francine.

 

Il était bien convenu que Sam entrait avec Papa, nous attendions ensuite l’entrée de Joe et son ami, Jerry était déjà sur place, il avait guetté notre arrivée et était venu nous rejoindre, bien enjoué. Nous entrions tous dans la grande salle suite à l’arrivée de Joe et de son ami, il y avait tout un mur muni de bac en plastique et les hommes étaient invités à y laisser leurs vêtements.

 

On m’amena après un moment, au-devant de la salle, assise sur une des trois chaises avec mes deux jolies complices, l’organisateur nous présentait une après l’autre, en nous invitant à nous lever une à la fois, à retirer nos vêtements face à notre public, puis à les déposer sur notre chaise. On nous indiqua ensuite trois gros coussins sur le plancher devant nous, distants d’environ deux mètres et demi l’un de l’autre, et on nous invita à prendre la position à genou.

 

Les queues étaient pour la plupart déjà bien bandées, les hommes se branlaient tous, les premiers se sentant bien au bord de jouir étaient invités à offrir leur queue à une des filles. C’était tout un spectacle époustouflant que de voir autant d’hommes nus et bandés devant moi, je reçu sans tarder mon premier invité, j’étais la première avec une queue devant la bouche, mais mes complices en avaient également une à prendre dans les secondes suivantes.

 

Papa m’avait bien confirmé qu’il avait l’intention d’offrir sa queue à la jeune fillette de six ans pour vivre l’effet que ça lui ferait. Je ne manquais absolument pas de candidats, j’avais probablement la plus forte concentration de pervers devant moi, tout se déroulait bien et dans l’ordre, ceux qui se sentaient près de jouir s’approchaient plus près d’une bouche, afin que nous les filles, puissions passer rapidement d’une queue à l’autre sans perdre trop de temps.

 

Je trouvais l’évènement merveilleux, les queues se succédaient à une vitesse folle dans ma petite bouche, j’avalais du sperme en grande quantité, ça se déroulait si bien que j’étais certaine que j’allais boire un minimum de 30 queues en une heure. Ce fut au bout d’environ 30 minutes que je pus sucer mon Papa, qui avait déjà été sucé par la jeune fillette, ce qu’il avait adoré. Je passai dans les minutes suivantes, Sam, Jerry, puis Joe, son ami ne tarda pas non plus.

 

Nous en étions à une heure de passée, je sentais que le sperme prenait de la place dans mon ventre, c’était une belle sensation, c’était comme si en un sens, je me nourrissais de queues, assez que je me disais que je ne sentirais pas la faim pour un long moment. J’adorais vraiment boire du sperme à ce rythme fou, je n’étais toujours pas rassasiée, loin de là, je prenais encore chaque queue dans ma bouche avec un grand appétit.

 

Je commençais, environ 15 minutes plus tard, à revoir des visages que j’avais vu, ou plutôt des queues que j’avais déjà sucée, je devais avoir fait un premier tour sur les hommes, les queues étaient toujours aussi dures, je me sentais si excitée que je coulais sur mes cuisses sans aucunes caresses, mon petit clito était excessivement gonflé, empreint d’un désir extrême de caresses enivrantes.

 

Je me régalais vraiment de tout ce sperme, encouragée par ma petite bande de salops et de pervers qui étaient venus avec moi, qui vivaient avec moi cette grande folie, cette perversion, je me rappelais ce commentaire, on m’avait traitée de dépravée, et je devais bien admettre que je l’étais finalement, je tournais dans ma tête ce commentaire en compliment.

 

La petite de six ans avait été comblée avant moi, avait tenu le coup presque deux heures, l’autre de dix ans avait également lâché avant moi, peut-être environ dix minutes, et j’avais avalé du sperme durant un peu plus de deux heures et demi. Je sentais mon petit ventre vraiment rempli de liquide, de ce liquide précieux et délicieux dont je raffolais. Nous repartions tous de l’endroit des plus ravis par cette magnifique expérience, qui avait plu à tous nos invités, Jerry songeait même à l’idée d’offrir ses jolies jumelles en pâture éventuellement.

 

Je pus continuer de vivre des expériences incroyables avec mon adorable Papa, avec Joe, Sam, Jerry, et même de nouveaux amis que nous avions rencontrés à diverses occasions, je vivais dans ce monde de pédophiles en étant la jeune fille la plus ravie du monde, mon Papa avait sans cesse des idées les plus folles les unes après les autres, cet évènement en avait attiré plein d’autres, je continuais de me faire terriblement exhiber de façon de plus en plus gênante et outrageuse.

 

J’en aurais encore vraiment très long à raconter sur ma vie de fillette, sur mon adolescence tout aussi excitante, j’ai aujourd’hui 23 ans, je vis chez mon Papa, je suis encore toute à lui, je n’ai pas de copain car je n’en veut pas, je sors tout de même avec des copines, dont plusieurs que j’ai attirée dans le lit de Papa et des nos proches, Sam, Joe, Jerry, nous les transformions en putes et en pédophiles, nous avions un nouveau bassin de jeunes fillettes toutes aussi salopes que je l’étais à leur âge.

 

Sam était lui aussi célibataire, car la vie de sexe intense lui plaisait plus que tout au monde, la vie de pédophile et d’incestueux avec sa cousine, Joe avait largement élargit son cercle de contacts, et nous apportaient beaucoup de jeunes proies, nous ne cessions vraiment pas notre mode de vie, l’organisateur nous apportait beaucoup lui aussi, j’étais moi-même ravie de jeter mon dévolue sur de jeunes garçons autant que sur des jeunes filles, j’avais même développé ce gros penchant vers de très jeunes fillettes, dès les six ans elles me convenaient, j’avais restée bien marquée par cette toute jeune suceuse à mon premier évènement.

 

Bref, je ne peux vraiment pas vous dire combien j’adorais encore mon Papa si cochon, et combien j’appréciais le fait qu’il m’avait transformé de la sorte, combien j’étais toujours aussi heureuse d’avoir vécu tout ça, et que j’étais prête à suivre mon adorable Papa pour encore très longtemps.

 

  • Papa, que tu es cochon, et que je t’aime de toute mes forces !