FR2504053A1 - Appareil a fonctionnement hydraulique destine a fendre les buches - Google Patents

Abstract

L'OBJET DE L'INVENTION SE RATTACHE AU SECTEUR TECHNIQUE DU FENDAGE DU BOIS. L'APPAREIL EST REMARQUABLE PAR LES MOYENS D'EMPRISE ET DE FENDAGE DES BUCHES SELON LESQUELS L'EXTREMITE DU MOYEN HYDRAULIQUE 6 EST CONSTITUEE PAR UNE TETE D'APPUI 17 CONTRE LES BUCHES POSITIONNEES SUR LE BATI 1 ET APPLIQUEES SUR LE COIN DE FENDAGE 4; LADITE TETE PRESENTE UNE PARTIE CENTRALE 17B DE PETIT DIAMETRE ET A EXTREMITE CONIQUE POUR LE POSITIONNEMENT ET LA PENETRATION EFFICACES DANS LA FACE EN BOUT DES BUCHES, PUIS UNE PARTIE CONIQUE 17C D'ANGLE AU SOMMET TRES OBTUS POUR L'APPUI ET LA POUSSEE FERMES ET SURS CONTRE LA FACE EN BOUT DES BUCHES. L'INVENTION S'APPLIQUE PRINCIPALEMENT AU FENDAGE DE BUCHES POUR CHAUFFAGE DOMESTIQUE

Description

L'invention a pour objet un appareil a' fonctionnement hydraulique destiné à fendre les bûches.

L'objet de l'invention se rattache au secteur technique du fendaqe du bois.

I connai
Gn/différents types d'appareils a' fendre les bûches qui comprennent généralement un bâti mobile ou fixe équipé d'un coin de pénétration dans les bûches positionné sur le bâti et d'un moyen hydraulique actionné par levier ou autrement, pour exercer une poussée sur un organe d'appui contre les bûches.

Ces appareils sont pour la plupart lourds, encombrants, de construction coûteuse et d'emploi malaisé, du fait qutils mettent en oeuvre des moyens inadaptés tels que vérins double effet à grande course nécessitant une approche fastidieuse de l'organe d' appui contre les bûches courtes, ou encore ces appareils sont actionnés par une source d'énergie complémentaire telle que celle d'une pompe, d'un moteur ou la prise de mouvement d'un tracteur agricole. D'autre part, les moyens d'emprise des bûches ne sont pas toujours efficaces, notamment lorsque les bûches présentent des faces en bout obliques par rapport X leur axe longitudinal.

Dans ce cas, il y a risque de glissement ou de dérapage des bûches ou fendage irrégulierr et surtout effort de flexion tendant à déformer la tige de vérlrl, selon l'invention remédie à ces inconvénients, en ce sens qutil est de construction simple et compacte, facilement transportable, autonome et d'utilisation rapide et fiable même avec des bûches irrégulières de formes et de dimensions.

Selon une première caractéristique, l'appareil présente des moyens d'emprise et de fendage des bûches selon lesquels l'extrémité du moyen hydraulique est constituée par une tête d'appui
contre contre les bûches positionnées sur le bâti et appliquées / le coin de fendage ; la dite tête présente une partie centrale de petit diamètre et à extrémité conique pour le positionnement et la pénétration efficaces dans la face en bout des bûches, puis une partie conique d'angle au sommet très obtuspour l'appui et la poussée fermes et efficaces sur la-face en bout des bûches.

Suivant une autre caractéristique, le coin de pénétration dans les bûches, qui est situé à l'opposé du moyen hydraulique, présente des faces inclinées de manière différente, c'est-S-dire à partir de l'angle de pénétration, une première paire de faces formant un angle très aigu pour faciliter la pénétration dans les bûches, puis une deuxième paire de faces formant un angle nette ment plus ouvert pour faciliter l'éclatement ou ouverture des bûches sous la poussée du moyen hydraulique.

Ces caractéristiques et d'autres encore ressortiront de la description qui suit.

Pour fixer l'objet de l'invention sans toutefois le limiter, dans les dessins annexés
La figure 1 est une vue en perspective de l'appareil selon l'invention.

La figure 2 est une vue de face de l'appareil selon l'inven- tion.

La figure 3 est une vue en coupe considérée suivant la ligne 3-3 de la figure 2, montrant la liaison arrière reglable du moyen hydraulique avec le bâti, selon un exemple de réalisation.

La figure 4 est une vue à plus grande échelle montrant la pé- nétration de la tête du moyen hydraulique dans une bûche dont la face en bout est oblique.

La figure 5 est une vue en plan de l'appareil selon l'invention.

Les figures 6 et 7 sont des vues partielles à grande échelle, illustrant respectivement la pénétration de la bûche dans la première partie du coin, puis l'éclatement de la bûche.

La figure 8 est une vue en coupe, illustrant un exemple de réalisation du moyen hydraulique de poussée.

La figure 9 est une vue en coupe considérée suivant la ligne 9-9 de la figure 8.

La figure 10 est une vue en coupe partielle à grande échelle, montrant notamment la liaison de la ttte d'appui et du moyen hydraulique de poussée.

La figure 11 est une section de la partie du bâti où repose les bûches.

La figure 12 est une vue en coupe partielle, Illustrant une variante de réalisation de la liaison réglable entre le moyen hydraulique et le bâti.

La figure 13 est une vue en coupe considérée suivant la ligne 13-13 de la figure 12.

La figure 14 est une vue en coupe partielle, montrant une variante de réalisation de la liaison du coin avec le bâti.

La figure 1S est une vue en coupe considérée suivant la ligne 15-15 de la figure 14.

Afin de rendre Sus concret l'objet de l'invention, on le d*- crit maintenant sous des formes non limitatives de réalisation illustrées aux figures des dessins.

Appareil illustré comprend essentiellement un bati formé d'un profilé IPN (1) dont la face inférieure porte à une extrémité un essieu (2) équipé de roues caoutchoutées (3) par exemple, tandis que l'autre extrémité repose directement sur le sol, en cons tituant ainsi un bâti incliné par rapport au sol.

A l'extrémité haute, le profilé (1) reçoit par soudure ou moyen similaire, un coin (4) de pénétration dans la bûche puis à la suite, un vé très ouvert (5) pour le repos et le positionnement des bûches.

A partir de l'extrémité basse est fixé, de manière règlable, le moyen hydraulique de poussée des bûches contre le coin (4) qui est convenablement guidé sur le bâti.

D(une manière particulièrement avantageuse, on a prévu d'utiliser comme moyen hydraulique de poussée, un cric de type automobile (6) qui est un appareil produit économiquement, bien adapté au problème et d'une bonne fiabilité. Ce vérin hydraulique utilisé dans ce type de cric est à simple effet. De ce fait, le retour du fluide dans le réservoir doit être assuré par des moyens externes que l'on décrit par la suite.

Le cric (6) illustré notamment aux figures 8 et 9, présente de manière connue, un cylindre (6a) dans lequel coulisse une tige (6b) équipée d'un joint torique (6c) pour constituer un piston. Le cylindre (6a) est vissé ou autrement fixé par une extrémité sur une plaque de base (6d) et à son autre extrémité filetée également il reçoit de manière étanche, un carter (6e) soudé par exemple sur la plaque (6d) et délimitant entre sa paroi intérieure et la paroi extérieure du cylindre (6a), un réservoir (R) de fluide qui communique par une canalisation (6f) avec le piston (6g) de Itor gane de pompage ou de mise en pression qui peut être une chape (6h) articulée au piston et recevant un levier de manoeuvre (7).

Une autre canalisation (6i) achemine le fluide pompé jusqu'au cylindre (6a), et une troisième canalisation (6j) reliée à la canalisation (6f), communique avec un clapet de décharge (8) du type à bille, afin de permettre le retour du fluide et d'autoriser le rappel de la tige (6b). A noter que lton doit toujours conserver la pente obtenue par ltessieu du bâti, afin d'éviter le désamorçage.

Le cric (6) ainsi constitué est relié au bati par un- disposi- tif règlable comprenant une queue (9) rendue solidaire de la pla que de base (6d) et munie dans sa longueur de plusieurs orifices (9a) qui peuvent être mis en alignement avec les orifices (iOa) d'une chape (10) portée par le profilé IPN ; les orifices (9a) et (lOa) aliqnés étant alors traversés par un axe-goupille (11) de préf < rence attaché par chaSnette (12) au bâti (figures 2 et 3).

A l'extrémité avant (6k) de la tige de piston (6b) est soudée une rondelle moletée (13) et une goupille (14) est engagée dans un orifice axial de la dite extrémité (6k). La goupille (14) dé- borde de la tête pour être engagée dans une rondelle d'appui (1S) puis dans un orifice (16a) formé dans la plaque avant (16b) d'un coulisseau (16) dont les côtés latéraux (16c) s'étendent de part et d'autre du profilé (1) sur lequel le coulisseau est guidé audessus de la face supérieure du b & i par des talons arrières (16d) et au-dessous par des boulons (16e) ou organes similaires, couze illustré à la figure 10 notamment.

Les moyens de rappel de la tige de vérin (6a) sont constitués par des ressorts b boudins latéraux (19) accrochés en (20) à la plaque de base (6d) et à la plaque avant (16b) du coulisseau.

Sur la face de la plaque avant (16b), en regard des boches est fixée par soudure ou bridage et centrage (17a), une tête d'appui (17) qui présente une partie centrale cylindrique par exemple (17b), de petit diamètre (de l'ordre de 6 mm), avec une extrémité conique, pour faire office de pointeau et pouvoir pénétrer aisément dans les bûches, puis une partie conique (17c) d'angle au sommet très obtus < de l'ordre de 120-) pour s'appuyer contre les biches et réaliser une poussée efficace par le vérin (figure 10).

Comme on le voit mieux b la figure 4, cette conformation de la tête (17) permet le positionnement ct l'immobilisation immédiats des bûches par enfoncement du pointeau (17b), ce qui empoche tout glissement même lorsque la face en bout des bûches n'est pas approximativement perpendiculaire à l'axe longitudinal. D'autre part, la partie conique (17c) renforce le maintien positif des bûches, car cette partie conique peut s'incruster dans le bois.Par l'effet du montage flottant de la tete de poussée (17) par rapport b la tige (6b - 6k) du vérin, l'effort de poussée sur des bûches i face oblique se traduit par une réaction (r) sur le coulisseau (16) sensiblement en direction des points de guidage (16d - 16e) du coulisseau sur le bâti, donc sans effort anormal risquent d' endommager les liaisons.

Le coin (4) de pénétration dans les bûches, plus particuliEre- ment illustré aux figures 6 et 7, est avantageusement constitué de plaques reliées entre elles par soudures. Deux plaques (4a) (4b) sont soudées obliquement et sur chant par rapport au profilé (1) de telle sorte que la plaque (4a) la plus longue s'appuie sur la plaque (4b) et présente une extrémité de pénétration biseautée (4c) en débordement par rapport à l'extrémité d'appui de l'autre plaque (4b). De cette manière, le réaffûtage est limité à cette partie biseautée (4c).

D'autre part, odremarque que l'extrémité de pénetration, constituée par la partie biseautée (4c) et l'extrémité d'appui de la plaque (4b), forme un angle (a) assez aigu (de l'ordre de 450) pour faciliter la pénétration dans le bois (figure 6), tandis que les parties restantes des plaques (4a - 4b) formant un angle (b) plus ouvert (de l'ordre de 604) pour faciliter l'éclatement ou ouverture des bûches (figure 7).

A l'arrière, les deux plaques (4a - 4b) sont reliées entre elles par des entretoises (4d) inférieure et supérieure laissant au milieu un espace libre pour le passage d'une main, pour soulever l'appareil qui peut etre ainsi déplacé, étant observé que de l'autre côté, une poignée (25) est rapportée sur le bâti (1) ou sur la chape (10). Le coin (4) peut entre réalisé monobloc forgé ou embouti.

On décrit maintenant en se référant aux figures des dessins, le fonctionnement de l'apparetl.

Après avoir règlé le cric hydraulique (6) à sa position arrière maximum, c'est-à-dlre recul maximum de la queue (9), retour du vérin (par le clapet de décharge), et recul maximum du coulisseau (16) par la bague moletée (13), on dispose une bûche sur le vé (5) en appui contre le coin (4), puis on avance au plus près de la bûche l'ensemble cric-coulisseau après avoir enlevé l'axe-goupille (11) de blocage de la queue. On recule cet ensemble jusque ce que des orifices {9a - lova) soient alignEs et on replace l'axegoupille (11).On agit ensuite sur la bague moletée (13) jusqu'à ce que le pointeau (17b) soit en contact avec la bûche. il ne reste plus qu'd actionner le lever (7) pour envoyer le fluide dans le vérin dont la tête d'appui (17) pousse la bûche qui est ainsi fendue en morceaux entre cette tête d'appui et le coin (4).

Pour ramener en arrière le vérin,il suffit d'agir sur le clapet de décharge (8) autorisant le retour du fluide dans le réservoir et le rappel du coulisseau par les ressorts (19).

De nombreuses variantes peuvent être introduites sans pour cela sortir du cadre de l'invention.

Par exemple, et comme illustré aux figures 12 et 13, on prévoit un dispositif simplifié et rapide de règlage du cric hydraulique par rapport au bâti. Pour cela, on remplace la queue (9) à trous multiples de positionnement par rapport à la chape du bâti, par une queue plus courte (21) sur laquelle s'articule en (22) un fourreau (23) dont l'ouverture (23a) peut s'engager avec jeu dans le profilé IPN (1). Comme on le voit à la figure 12, après règlage longitudinal de l'ensemble cric-coulisseau en fonction de la longueur de la bûche, il suffit d'actionner le vérin et lorsque la tête d'appui (17) pousse la bûche, par réaction sur l'axe (22), le fourreau (23) pivote et se coince automatiquement sur le profilé (1).

De la même manière, on peut prévoir le coin (4) mobile par rapport au cric. A cet effet, on rapporte par soudure ou autrement sous le coin (4), un fourreau (24) destiné à coulisser avec jeu sur le profilé (1) et à se coincer automatiquement sous la poussée du vérin sur la bûche, comme on l'a illustré aux figures 14 et 15.

Les avantages ressortent bien de la description , on souligne notamment - l'utilisation intégrale de la course du vérin par les réglages d' approche - l'utilisation avantageuse d'un cric de type automobile & simple effet - l'encombrement et le poids réduits de l'appareil qui peut être aisément transporté grâce à ses poignées - le positionnement efficace des bûches mêmes à faces obliques par la tête d'appui à pointeau de pénétration combinéeavec l'angle assez aigu de la première partie du coin - la réalisation du coin et de la te te à deux pentes facilitant la pénétration puis la poussée (pour la tête) ou l'éclatement de la bûche (pour le coin) - la liaison flottante entre le coulisseau et la tête d'appui évitant tous efforts anormaux - le réaffûtage rapide et économique du coin par la réalisation en saillie de la partie biseautée - la rapidité de règlage et de fendage obtenue avec les moyens simples et efficaces mis en oeuvre.

L'invention ne se limite aucunement à celui de ses modes d' application non plus qu'à ceux des modes de réalisation de ses diverses parties ayant plus spécialement été indiquées ; elle en embrasse au contraire toutes les variantes.

Claims (10)

REVENDICATIONS
1. -1- Appareil à fonctionnement hydraulique destiné à fendre les bûches comprenant un bâti mobile ou non, des moyens hydrauliques actionnés par levier et exerçant une poussée sur un organe d'appui, et un coin de pdnétration dans les bûches placées sur le bå- ti et subissant la poussée, caractérisé par les moyens d'emprise et de fendage des bûches selon lesquels l'extrémité du moyen hydraulique (6) est constituée par une tête d'appui (17) contre les bûches positionnées sur le bâti (1) et appliquées sur le coin de fendage (4) ; la dite tête présente une partie centrale (17b) de petit diamètre et à extrémité conique pour le positionnement et la pénétration efficaces dans la face en bout des bûches, puis une partie conique (17c) d'angle au sommet très obtuepour l'appui et la poussée fermes et sûrs contre la face en bout des bûches.
2. -2- Appareil suivant la revendication 1, caractérisé en ce que le coin (4) de pénétration dans les bûches, qui est situé à l'opposé du moyen hydraulique (6), présente des faces inclinées de manière différente, c'est-à-dire à partir de l'angle de pénétration, une première paire de faces formant un angle (a) très aigu pour faciliter la pénétration dans les bûches, puis une deuxième paire de faces formant un angle (b) nettement plus ouvert pour faciliter 1' éclatement ou ouverture des bûches sous la poussée du moyen hydraulique (6).
3. -3- Appareil suivant la revendication 1, caractérisé en ce que la tête d'appui (17) est reliée de manière flottante à l'extrémité (6k) de la tige (6b) du moyen hydraulique (6 > , par exemple au moyen d'une goupille (14) solidaire de la tête d'appui (17) et s' engageant à coulissement dans un orifice axial de l'extrémité (6k) ou inversement.
4. -4- Appareil suivant la revendication 12 caractérisé en ce que le moyen hydraulique de poussée est avantageusement constitué par un cric (6) simple effet du type automobile, dont le circuit de fluide (6f - 6i) présent les éléments habituels et notamment, un clapet de décharge (8) pour autoriser le retour du fluide au réservoir sous l'effet de rappel de la tige (6b) du piston (6c), par des ressorts à boudins (19) accrochés entre une plaque de base (6d) du cric et un coulisseau (16) supportant la tête d'appui (17).
5. -5- Appareil suivant les revendications i et 4 ensemble, caractérisé en ce que le moyen hydraulique (6) est relié à l'arrière au bâti (1) par une queue (9 ou 21), rendue solidaire de la plaque de base (6d) du cric et reliée au bâti (1), de manière règlable longitudinalement.
6. -6- Appareil suivant la revendication 5 caractérisé en ce que le dispositif de règlage longitudinal du cric (6) par rapport au bâtS (1) est constitué par une queue (9) présentant plusieurs orifices (9a) dans sa longueur qui peuvent être mis tour à tour en alignement avec des orifices (lova) formés sur une chape (10) solidaire du bâti et verrouillés ensemble par un axe-goupille (11).
7. -7- Appareil suivant la revendication 5, caractérisé en ce que le dispositif de règlage longitudinal du cric (6) par rapport au bâti (1) est avantageusement constitué par une queue (21) reliée à articulation en (22) à un fourreau (23) dont ltouverture (23a) coulisse avec jeu autour du profilé formant le bâti et qui se coince automatiquement sur le dit profilé par réaction de la poussée du cric (6) sur les bûches en butée contre le coin (4).
8. -8- Appareil suivant les revendications 1 et 4 ensemble, caractérisé en ce que la tête d'appui (17) est portée par la plaque avant (16b) d'un coulisseau (16) qui est guidé sur le profilé du bâti (1) par des organes (16d - 16e) fixés sur des cotés latéraux (16c) du coulisseau au-dessus et au-dessous de la face supérieure dudit bâti.
9. -9- Appareil suivant les revendicatxons 1 et 2 ensemble, caractérisé en ce que le coin (4) de pénétration dans les bûches est constitué de deux plaques (4a - 4b) fixées sur chant et obliquement par rapport au bâti, de manière à constituer les deux faces angulaires différentes de pénétration et d'éclatement ; la plaque (4a) étant plus longue que la plaque (4b) laquelle s'arc-boute sur la plaque (4a) dont l'extrémité biseautée t4c) de pénétration est en saillie par rapport à l'autre plaque, afin de pouvoir opérer le réaffûtage rapide et économique ; les deux plaques (4a - 4b) étant reliées à l'arrière par au moins une entretoise (4d).
10. -10- Appareil suivant les revendications 1 et 9 ensemble, carac térisé en ce qu'il est facilement transportable par adjonction d'une poignée (25) à I'extrmité basse du bâti, du c6té du point de liaison du cric (6) et par aménagement de la ou des entretoi- ses (4d) du coin (4) formant également poignée ou moyen de préhension.

    Appareil suivant les revendications 1, 2 et 9 ensemble, caractérisé en ce que le coin (4) est monté à coulissement sur le profilé du bâti (1), par un fourreau (24) destiné à se coincer automatiquement sur le profilé par réaction, sous la poussée des bûches par le cric (6).

    -12- Appareil suivant la revendication 1, caractérisé en ce que les bûches sont positionnées sur le bâti (1) par un vé (5) d'angle très ouvert, qui est rendu solidaire du bâti entre le coin (4) et le couliseeau (16)