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La Société dite : Cirsa Compania de Inversiones,
S. A. à Tarrasa (Barcelone) (Espagne)
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"Module de jeu pour jeu de hasard" ................................. C. I. : Demande de modèle d'utilité espagnol no 274.842 déposée le 7 octobre 1983.
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La présente invention concerne un module pour jeu de hasard dont l'élément de base est constitué par un dé ; ce module est conçu spécialement pour être intégré dans des machines électroniques de salon permettant de réaliser différents jeux en fonction du nombre de modules utilisés.
Dans les machines de salon on a exploité tous les jeux qui sont pratiqués couramment en société, à l'exception des dés.
Normalement, les machines de salon sont basées sur l'utilisation de tambours tournants dans lesquels on s'efforce d'obtenir une corncidence entre différentes figures ou sur l'utilisation d'écrans lumineux sur lesquels apparaissent des cartes planes qui représentent tous les jeux connus.
Les machines du genre de la roulette s'éloignent totalement des machines décrites plus haut et forment un groupe à part et peu répandu dans lequel la boule est remplacée par un point lumineux mobile.
Cependant, les dés sont des éléments de jeu qui n'ont jamais été utilisés et moins encore de façon matérialisée ; sans aucun doute, la difficulté est due au fait que, géométriquement, un dé est un cube à six faces et que l'on n'avait pu trouver d'autre moyen de les utili- ser qu'en les faisant rouler sur une surface plane jusqu'à ce que, leur force d'inertie étant épuisée, ils s'arrêtent sur l'une de leurs faces, en présentant sur la face opposée le résultat obtenu.
Dans ces conditions, il est sinon impossible, du moins très difficile de relier le dé à un programme intégré dans des mémoires qui, obéissant à un programme de gains, puisse donner lieu à un jeu dans lequel le hasard soit l'élément principal et dans lequel le joueur puisse intervenir.
Le module de jeux selon l'invention comporte
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un dé matérialisé physiquement, et ce module utilisé conjointement avec un autre module ou plusieurs autres modules, peut constituer la base d'un jeu. Le contrôle du dé matérialisé a été obtenu par des moyens très simples et ces moyens sont intégrés dans une structure de machine de jeu de salon conventionnelle, étant entendu que l'expression machine conventionnelle correspond à toute machine qui comporte dans un programme de qains, préparé en accord avec les réglements légaux, des conditions de jeux emmagasinées dans l'une ou plusieurs mémoires permanentes, un ou plusieurs éléments discriminateurs faisant partie d'un micro-ordinateur qui détermine au cours de chaque partie la prime à obtenir, avec ou sans accumulation de prime, c'est-à-dire,
en résumé, une machine de jeu de salon dont le fonctionnement est provoqué par l'introduction de monnaie, qui, pour la première fois, n'est pas basée sur une coïncidence entre différentes figures (tambours) ou sur des cartes planes présentées à l'endroit ou à l'envers sur un écran de machine.
L'utilisation du dé est possible parce qu'on le fait tourner autour d'un axe vertical ou horizontal, transversal aux deux sommets diagonalement opposés, de façon à créer deux qénératrices coniques symétriques opposées par la base.
Des moyens d'arrêt qui peuvent être contrôlés facilement grâce à la technologie actuelle d'utilisation de micro-ordinateurs permettent d'établir le nombre de points obtenus à l'arrêt du dé. Sur cette base, l'organisation d'un jeu est extrêmement simple.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention seront mieux compris à la lecture de la description qui va suivre un exemple de réalisation et en se référant aux dessins annexés, dans lesquels :
La figure unique représente schématiquement un exemple de réalisation qui, sans constituer une limita-
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tion des possibilités pratiques, permet d'obtenir une image claire de la mise en pratique de l'invention.
Dans la représentation en perspective de cette figure, on peut voir en premier lieu un dé 1 traversé par un axe imaginaire diagonal situé entre deux sommets opposés 2-3 ; c'est précisément autour de ces sommets 2-3 que s'effectue la rotation du dé ; cette rotation est obtenue généralement par un moteur pas à pas 4 qui attaque directement l'axe 5 solidaire du dé 1.
Entre le moteur pas à pas 4 et le dé 1 est disposée une barrière optique 6 dans laquelle ont été formées six fenêtres 7, une pour chacune des faces du dé 1 ; un simple détecteur optique 8 permet le comptage, la sélection et la détermination du nombre de points obtenus du fait que l'information du détecteur optique 8 est re- çue par un micro-ordinateur du genre utilisé couramment dans les machines récréatives.
L'arret du dé est produit, grace à la barrière optique 6 et au détecteur 8, dans une position clairement définie, c'est-à-dire dans une position dans laquelle l'une des faces du dé est située dans un plan qui fait face à l'observateur. Dans le cas du dessin, la face 9 est située dans un plan frontal incliné ascendant, mais, cependant, le dé peut s'arrêter dans toute autre position, par exemple dans une position dans laquelle la face 10 est placée dans un plan frontal descendant en prenant comme référence le point de vue d'un observateur.
En tous cas, qu'il s'agisse de la face 9 ou de la face 10, l'un des émetteurs de lumière 11 s'illuminera et éclairera seulement la face qui est prise en compte comme élément de détermination du nombre de points par le micro-ordinateur qui réalise l'évaluation de la partie.
Il est nécessaire de situer le dé dans une carcasse 12 qui l'entoure latéralement pour éviter la dis-
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persion du faisceau lumineux de l'émetteur de lumière 11 en fonctionnement de façon que cette illumination affecte seulement la face du dé appropriée. D'autre part, l'ensemblé étant compact, l'utilisation de plusieurs modules dans une machine est simplifiée.
On voit clairement dans le dessin écrit que n'ont pas été représentés les composants électroniques ni les circuits correspondants, ce qui est du au fait que le module peut être monté dans une machine conventionnelle en conservant tous ses composants, le seul changement étant celui du programme et des mémoires appropriées pour réaliser un jeu. Par conséquent, on peut employer un meuble de machine conventionnel doté d'un sélecteur de pièces de monnaies, d'un distributeur de primes, de circuits, de composants et d'éléments déjà existants pour-rettre en pratique ce qui vient d'être exposé, car, en définitive, l'invention est centrée exclusivement sur la façon de faire tourner le dé pour que ses six faces participent au jeu.
Bien entendu, diverses modifications peuvent être apportées par l'Homme de l'Art aux dispositifs ou procédés qui viennent d'être décrits uniquement à titre d'exemple non limitatif, sans sortir du cadre de l'invention.
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The so-called Company: Cirsa Compania de Inversiones,
S. A. in Tarrasa (Barcelona) (Spain)
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"Game module for game of chance" ................................. CI: Request for utility model Spanish no 274.842 filed October 7, 1983.
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The present invention relates to a game of chance module, the basic element of which is constituted by a die; this module is specially designed to be integrated into electronic living room machines allowing different games to be made depending on the number of modules used.
In the machines of living room one exploited all the games which are practiced currently in company, with the exception of the dice.
Normally, living room machines are based on the use of rotating drums in which one strives to obtain a coincidence between different figures or on the use of bright screens on which appear flat cards which represent all known games .
Roulette-type machines move away from the machines described above and form a separate and uncommon group in which the ball is replaced by a moving light point.
However, dice are game elements that have never been used and even less in a materialized way; undoubtedly, the difficulty is due to the fact that, geometrically, a die is a cube with six faces and that one could not have found any other way of using them except by making them roll on a surface hovers until, their inertial force being exhausted, they stop on one of their faces, presenting the result obtained on the opposite face.
Under these conditions, it is not impossible, at least very difficult to link the die to a program integrated in memories which, obeying a winning program, can give rise to a game in which chance is the main element and in which the player can intervene.
The game module according to the invention comprises
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a physically materialized die, and this module used in conjunction with another module or several other modules, can constitute the basis of a game. The control of the materialized die was obtained by very simple means and these means are integrated into a structure of conventional living room game machine, it being understood that the expression conventional machine corresponds to any machine which comprises in a program of qains, prepared in accordance with legal regulations, playing conditions stored in one or more permanent memories, a or several discriminating elements forming part of a microcomputer which determines during each part the premium to be obtained, with or without accumulation of premium, that is to say,
in summary, a living room game machine whose operation is caused by the introduction of money, which, for the first time, is not based on a coincidence between different figures (drums) or on flat cards presented in the upside down or upside down on a machine screen.
The use of the die is possible because it is rotated around a vertical or horizontal axis, transverse to the two diagonally opposite vertices, so as to create two symmetrical conical qénératrices opposite by the base.
Means of stop which can be easily controlled thanks to the current technology of use of microcomputers make it possible to establish the number of points obtained at the stop of the die. On this basis, organizing a game is extremely simple.
Other characteristics and advantages of the invention will be better understood on reading the description which follows an exemplary embodiment and with reference to the appended drawings, in which:
The single figure schematically represents an exemplary embodiment which, without constituting a limitation
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tion of practical possibilities, provides a clear picture of the implementation of the invention.
In the perspective representation of this figure, we can first see a die 1 crossed by an imaginary diagonal axis located between two opposite vertices 2-3; it is precisely around these vertices 2-3 that the rotation of the die takes place; this rotation is generally obtained by a stepping motor 4 which directly attacks the axis 5 integral with the die 1.
Between the stepping motor 4 and the die 1 is arranged an optical barrier 6 in which six windows 7 have been formed, one for each of the faces of the die 1; a simple optical detector 8 allows the counting, selection and determination of the number of points obtained from the fact that the information from the optical detector 8 is received by a microcomputer of the type commonly used in recreational machines.
The dice stop is produced, thanks to the optical barrier 6 and the detector 8, in a clearly defined position, that is to say in a position in which one of the faces of the dice is located in a plane which faces the observer. In the case of the drawing, the face 9 is situated in an inclined ascending frontal plane, but, however, the die can stop in any other position, for example in a position in which the face 10 is placed in a descending frontal plane. taking as reference the point of view of an observer.
In any case, whether it is the face 9 or the face 10, one of the light emitters 11 will light up and will illuminate only the face which is taken into account as an element for determining the number of points per the microcomputer which performs the evaluation of the game.
It is necessary to locate the die in a carcass 12 which surrounds it laterally to avoid dis-
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persion of the light beam of the light emitter 11 in operation so that this illumination affects only the face of the appropriate die. On the other hand, the assembly being compact, the use of several modules in a machine is simplified.
It is clearly seen in the written drawing that the electronic components and the corresponding circuits have not been shown, which is due to the fact that the module can be mounted in a conventional machine while retaining all of its components, the only change being that of the program and memories suitable for making a game. Therefore, one can use a conventional machine cabinet equipped with a coin selector, a distributor of bonuses, circuits, components and elements already existing for -tract in practice what has just been exposed, because, ultimately, the invention is focused exclusively on how to rotate the die so that its six faces participate in the game.
Of course, various modifications can be made by those skilled in the art to the devices or methods which have just been described solely by way of non-limiting example, without departing from the scope of the invention.