Drafts by Gérôme Taillandier
Il est bien connu de tous les chrétiens qui se respectent,-il en reste quelques-uns-, que Noël n'... more Il est bien connu de tous les chrétiens qui se respectent,-il en reste quelques-uns-, que Noël n'est en aucun cas une célébration chrétienne. La date du 25 décembre grégorien a été choisie en urgence absolue pour éliminer Solem Invictum du paysage chrétien naissant. Dans ces conditions, pourquoi célébrer une fête solsticiale en koinè indoeuropéenne autour d'une si curieuse mythologie? Le mythe pseudo-chrétien est ainsi construit: < 1 Un ange annonce à une Vierge qu'elle aura un enfant d'un dieu. < 2 Entretemps, un empereur terrible a appris par un oracle qu'il devra sa chute à un enfant nouveau-né. Il décide de faire exterminer tous les enfants nés autour de la date du solstice. < 3 À cette nouvelle, le couple de parents de l'enfant s'enfuit, la mère devant accoucher vers cette date. Ils trouvent refuge dans une grotte ou une étable. L'enfant naît sans encombre.
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On sait par une unique citation de Bede le Vénérable que les Angles, déjà dans les Îles Brittoniq... more On sait par une unique citation de Bede le Vénérable que les Angles, déjà dans les Îles Brittoniques, célébraient la nuit de solstice d'hiver par une môdraniht, une Nuit des Mères. A mon humble connaissance, il n'existe aucun autre témoignage en ce sens. One ne doit en aucun cas confondre la Nuit des Mères avec Disablót, ni Imbolc. La célébration des matronae était plus que probablement en lien avec Imbolc. Toutefois, des décombres de l'archéologie émerge un autre fait. Le créateur du culte de Sol Invictus, qui instaura le 25 décembre de son calendrier romain du temps, où le solstice d'hiver avait lieu à cette date et dans ce calendrier, comme la Dies Natalis Solis Invicti, nous suggère fortement que, encore dans le contexte romain finissant, le solstice d'hiver était connu comme un jour de naissance d'un enfant. C'est ce mythème que le christianisme reprit sous la forme de la naissance du Fils du Dieu Sauveur un peu plus tard.
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A mesure que Sól, Saulé, Sunna, s'approche du sol où réside le dieu-forgeron, nous approchons du ... more A mesure que Sól, Saulé, Sunna, s'approche du sol où réside le dieu-forgeron, nous approchons du solstice d'hiver, où elle sera tout à fait proche de la demeure de son ravisseur, heureux de la maintenir en détention pour un temps au nez et à la barbe de son père chéri, le Dieu-Tonnerre-et-Éclairs. Nous savons grâce à Mike Parker Pearson que le solstice est la date de célébration des ancêtres, et peut être de la dispersion de leurs cendres dans la rivière Avon, près Stonehenge. Nous savons aussi que cette célébration est représentée sur le Graal d'immortalité de Gundestrup par la plaque au chaudron, où le dieu de l'au-delà, Manannán, identifié en UIadh à Cuchulain, trempe les guerriers morts dans le chaudron, afin de leur redonner une nouvelle vie dans la Horde Sauvage.
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M. Hamilton a écrit un MONSTRE de 1000 pages de relativité
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La rédaction des préliminaires de cette note me cause un ennui presque insurmontable que je crois... more La rédaction des préliminaires de cette note me cause un ennui presque insurmontable que je crois cependant devoir concéder à l'une des plus fameuses idées que j'aie rencontrées, grâce à M. Howard D. Jones. Si l'on veut qu'il y ait un accord entre les dieux, les humains et les astres, il est nécessaire de créer une accordance entre les cycles lunaire et solaire, qui ne coïncident pas… C'est pourquoi les humains ont créé un calendrier, ou plutôt deux, le calendrier isométrique ou épagomène et le calendrier affine ou plutôt conforme. On appelle conforme une transformation ou application qui conserve les angles mais pas les longueurs.
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Vous trouverez ici un recueil de textes fort sérieux écrits par des scientifiques, qui ne quitter... more Vous trouverez ici un recueil de textes fort sérieux écrits par des scientifiques, qui ne quitteraient leur veston et leur cravate pour rien au monde, et quelques textes, malheureusement mal édités, de personnages pas du tout respectables, mais beaucoup plus sérieux et passionnants. Les deux se complètement harmonieusement, aux fotes d'ortografe près, dont je ne suis pas responsable. GT
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Les deux taureaux de Medb.
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Entre car ici aussi sont les dieux
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assemblent les dieux puissants, volume 11, Gérôme Taillandier
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M. Tonon, dont je ne me lasse pas de découvrir les trouvailles, vient de publier en suivant Mme M... more M. Tonon, dont je ne me lasse pas de découvrir les trouvailles, vient de publier en suivant Mme Marchand, un article sur une sainte Austreberthe. Ce nom est assez difficile à porter de nos jours, et je ne vous conseille pas de baptiser votre fille ainsi, si vous ne voulez pas qu'elle passe son adolescence à rouler au cannabis fourni par les élèves gentîment engagés par l'Éducation Nationale aux fins d'alimenter les élèves des lycées et collèges, comme c'est le cas du lycée près duquel j'ai le bonheur d'habiter. Mais il apparaît vite que cette sainte devient vite sympathique lorsque nous découvrons que son nom signifie Auster-Werth, la Brillante de l'Est, sans doute Osterverth en langue civilisée. Il s'agit donc <d'Aurore, la Brillante, le Flambeau, Helanè, Helènè, Eos, Usha, que nous avons découverte grâce à nos ancêtres en Rig Veda, mais aussi dans la Colère d'Achille, ou encore dans le mythème de Saulé en Lietuvo, et de manière générale dans l'horizon indoeuropéen, où elle incarne sous la
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Une manie typiquement indoeuropéenne semble être de tuer les dragons et les serpents. Je ne crois... more Une manie typiquement indoeuropéenne semble être de tuer les dragons et les serpents. Je ne crois pas nécessaire de reprendre la question. Pourtant, quelques indoeuropéens de bon sens ont compris que toute église, tout temple, toute maison, est protégée par un serpent ou un dragon. Je vous laisse le plaisir de chercher, en particulier dans les stavkirker norvégiennes, mais aussi dans les maisons des Wendes. C'est ainsi qu'une sainte s'est fait une sale réputation, Marguerite de mes amours, qui passait son temps à tuer les serpents, dit-on. En réalité, Marguerite ne tuait pas les serpents, mais faisait semblant de le faire puis les ramenait à la maison pour s'amuser avec eux. On peut bien s'amuser avec un serpent ou un dragon. Surtout avec un dragon, s'il est de sexe féminin. J'en ai rencontré une dans le train hier. Salope!
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Le professeur Von Dechend, qui a plongé profond dans l'abîme des ancêtres, en a ramené des riches... more Le professeur Von Dechend, qui a plongé profond dans l'abîme des ancêtres, en a ramené des richesses qui sont loin d'être encore estimées. Notre recherche a commencé avec le symbole « picte » connu de la plaque d'armure où l'Eclair de Cu C'hullain est associé à la Tête de Chien qui est le symbole de son nom : Chien de Cullan. Toutefois, nous ne savons pas vraiment ce qu'est le foudre, qui a servi de point de départ à la recherche. Nous ne l'aurions jamais trouvé n'eût été le travail de Von Dechend qui nous apprend à notre stupéfaction, que le foudre est-une mâchoire de taureau ! Appuyant cette donnée de nombreuses autres en divers points du globe, le travail de Von Dechend nous oblige à nous demander si la mythologie dont nous nous occupons ne daterait pas en partie d'avant Out of Africa. Sans aller jusqu'à ce point, nous pouvons poser quelques questions. Une mâchoire de taureau est-elle susceptible d'être transformée en boomerang, outil d'une sophistication à nulle autre pareille ? Ou bien peut-elle être aménagée en propulseur ? Je ne saurais répondre à ces questions ouvertes par ce travail. Nous nous limiterons à plus direct. La mâchoire de taureau nous amène à la constellation du Taureau. Or celle-ci est en connexion topologique avec une autre qui nous a occupés ces derniers temps : Gemini, extrémité du pont galactique et surtout, établissant une connexion par arc avec Orion et sa Dog Star, Sirius, dont nous avons déjà conjecturé qu'il pourrait être Cu C'hullain et son chien ou du moins son foudre. Bien sûr connexion n'est pas raison, et nous devons trouver un lien logique entre ces éléments, s'il existe. Il nous faut nous souvenir que le lever héliaque entre Gemini et Taurus correspondait en effet au point vernal S3 aux environs de 10 000 BP. Je préciserai cela sous peu. VOIR NOTE
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