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Palais Des Tuileries
Palais Des Tuileries
Palais Des Tuileries
Pour les articles homonymes, voir Tuileries. En 1500, Nicolas Ier de Neufville, secrétaire aux Fi-
Palais des Tuileries nances, y fit bâtir un hôtel. Louise de Savoie, mère de
François Ier , incommodée dans l'hôtel des Tournelles,
place des Vosges, par les eaux stagnantes, vint y habiter.
Le palais des Tuileries vu depuis le Louvre du côté de la
En 1518, le roi acheta l'hôtel pour sa mère, qui en fit don
place du Carrousel.
au maître d'hôtel du Dauphin, Jean Liercoun, en 1527[2] .
Localisation sur la carte de Paris
Localisation sur la carte du 1er arrondissement de Paris
1
2 1 HISTOIRE
• Plan du
château, projeté par Delorme, et des jardins.
Le 19 février 1800, Napoléon Bonaparte, Premier consul, En 1814, Napoléon quitta le palais pour n'y plus revenir.
s’installa au palais, aménagé pour cela par l'architecte Il y fut remplacé par Louis XVIII, qui fut le seul roi de
Leconte. Il prit pour logement le premier étage, occupant France à mourir aux Tuileries (1824). Son frère Charles X
l'ancien appartement du Roi (il dormait dans la chambre l'y remplaça, jusqu'à ce que la Révolution de juillet 1830
de Louis XIV, Louis XV et Louis XVI). Si Cambacérès, l'en chassât et que le palais fût pillé par les émeutiers pour
Deuxième consul, préféra résider à l'hôtel d'Elbeuf, le la deuxième fois de son histoire.
Troisième consul Lebrun s’installa dans le pavillon de Les Tuileries restèrent inhabitées jusqu'au 21 septembre
Flore. 1831, date à laquelle Louis-Philippe préférant jusqu'ici
1.4 Sous le Second Empire 5
Article détaillé : Réunion du Louvre et des Tuileries. • On entrait, du côté de la cour, par le vestibule du
Le Second Empire refit des Tuileries la résidence pavillon de l'Horloge.
impériale. L'ancienne étiquette réapparut (écuyers, • Le Grand escalier de Percier et Fontaine menait, au
chambellans, préfets du palais) tandis que les fêtes et premier étage, au nord vers la salle des Travées et les
les cérémonies donnèrent au palais un lustre inégalé. tribunes de la chapelle, puis la salle de Spectacle et,
Le 29 janvier 1853, il fut le théâtre du mariage civil de en retour vers le sud et le pavillon central, la salle des
Napoléon III et d'Eugénie de Montijo. Gardes puis la galerie de la Paix. Celle-ci condui-
Par ailleurs, l'architecte Visconti fut chargé par sait au salon des Maréchaux, occupant tout l'étage
6 1 HISTOIRE
du pavillon de l'Horloge : transversal, il était élevé provenant des Tuileries, vers 1810.
sur deux étages. De ce salon on passait, côté cour,
dans le salon Blanc, puis le salon d'Apollon, la salle
du Trône, le salon Louis XIV puis enfin la galerie de
Diane, qui conduisait au pavillon de Flore, donnant
sur la Seine.
• L'aile sud (vers la Seine) était occupée, au pre-
mier étage côté jardin, par les[4] appartements de
l'Impératrice] (du pavillon de l'Horloge jusqu'au pa-
villon de Bullant) et les appartements des secré- • Grand escalier.
taires de l'Empereur. Un petit escalier menait de
ces appartements vers le vestibule ; le rez-de-cour
entre les pavillons de l'Horloge et le pavillon de
Flore était affecté au service de l'Empereur et du pa-
lais (officier d'ordonnance, garde), le rez-de-jardin à
l'appartement de l'Empereur. Des pièces, côté cour,
ont été affectées, un temps, au Prince impérial.
• Le pavillon de Flore, donnant sur la Seine, était oc- • Galerie de la paix.
cupé par les appartements du Prince impérial.
• L'aile nord (vers la rue de Rivoli) abritait la chapelle
dans le pavillon de la Chapelle au premier étage du-
quel se situaient la galerie des Travées et les tribunes
1.5 Incendie et destruction
de la chapelle.
Devenue maîtresse des lieux, la Commune fit des Tui-
• L'aile comprise entre ce pavillon et le pavillon de leries le théâtre de fêtes et de concerts : des « concerts
Marsan, à l'extrême nord du palais, était occupée par communards » eurent ainsi lieu dans le salon des Maré-
la salle des Spectacles, bordée du côté de la cour par chaux. Le 10 mai 1871, une soirée artistique fut orga-
un étroit couloir courant jusqu'au pavillon de Mar- nisée au profit des blessés de la Garde nationale. Le 18,
san. trois concerts consécutifs eurent lieu, attirant une foule
immense. Installé aux Tuileries avec son état-major, le
• Le pavillon de Marsan, donnant sur la rue de Rivoli, chef fédéré Bergeret déclara : « Quand je quitterai les Tui-
était occupé par les appartements affectés aux chefs leries, les Tuileries seront en cendres »[réf. nécessaire] .
d'État en visite officielle.
• À droite du Grand Vestibule, il y avait le Grand Es- 1.5.1 Incendie
calier qui menait aux appartements d’apparat du pa-
lais. Article détaillé : Chronologie des grands incendies du
XIXe siècle..
En 1868, Hector Lefuel proposa de transformer les fa- Les 22 et 23 mai, les communards Dardelle, Bergeret,
çades du palais en créant des galeries de sept mètres de
profondeur plaquées contre les pavillons intermédiaires,
le pavillon central et les ailes attenantes. Cette solution,
qui aurait placé tout l'appartement de réception historique
en second jour, visait à améliorer la circulation dans le pa-
lais. Elle se caractérisait par son faible coût relativement
aux travaux de reprise de sous-œuvre initialement envisa-
gés. Cependant, la chute du Second Empire en empêcha
la réalisation[5] .
fourgons chargés de barils de poudre, bonbonnes de vrier 1883 au 30 septembre 1883. Ne subsistèrent que
pétrole, de goudron liquide et d'essence de térébenthine les pavillons de Flore et de Marsan, ainsi que deux gale-
qu'ils rangèrent sous le péristyle du pavillon central. Le ries jusqu'aux guichets du Louvre. Désormais, une vaste
23, une trentaine de fédérés sous les ordres de Bénot, gar- perspective s’étendait du jardin des Tuileries au palais du
çon boucher, Bergeret et Boudin parcourut tous les appar- Louvre, laissant découvrir l'arc de triomphe du Carrou-
tements du palais et aspergea murs et planchers à pleins sel, ancienne porte d'honneur désormais isolée au milieu
seaux de pétrole. d'une vaste esplanade.
Un baril de poudre fut placé dans le vestibule du pavillon
de l'Horloge, trois en bas de l'escalier d'honneur, tandis
qu'un amas de matières inflammables était stocké dans le
salon des Maréchaux. Ils enduisirent de goudron l'autel
et l'orgue de la Chapelle et les boiseries du théâtre. Le
feu fut allumé par Bénot et l'incendie embrasa immédia-
tement tout l'édifice. Peu avant 9 heures du soir, l'horloge
du palais s’arrêta sous l'action du feu. Vers 11 heures,
une explosion secoua le pavillon central, laissant le dôme • Le palais incen-
s’abîmer dans une gerbe de flammes. dié.
projet[14] .
En 1958, alors qu'il était de retour au pouvoir et souhaitait
quitter le palais de l'Élysée, le général de Gaulle envisagea
également de procéder à sa reconstruction et d'en faire la
résidence du président de la République ; il chargea ainsi
l'architecte Henry Bernard de réfléchir à ce projet[15] .
Indépendamment de ces initiatives, depuis 2002, un co-
mité national pour la reconstruction des Tuileries[16] mi-
lite pour la reconstruction à l'identique du palais des Tui-
leries, avec des fonds collectés auprès d'entreprises pri-
vées. Le coût est évalué à 350 millions d'euros d'après le
Comité. Une commission d'études dirigée par Maurice
Projet soutenu par le gouvernement en 1878.
Druon et composée de partisans du projet, instituée par
arrêté ministériel[17] , a rendu un rapport en février 2007.
Le Comité français d'histoire de l'art, de son côté, s’est
montré très opposé au projet, car les pavillons de Flore
et de Marsan ont été complètement réaménagés depuis
et ne sont donc plus dans l'état du Second Empire, la re-
construction signifierait détruire leur façade du côté cour,
classée aux Monuments historiques. Selon ce comité, la
construction de ce qu'il considère comme un « pastiche »
architectural n'aurait aucun sens, il serait absurde de vou-
loir faire abstraction des 130 ans d'histoire passés depuis
la destruction, l'absence des Tuileries au XXe siècle au-
rait un sens et aurait même marqué l'urbanisme de Paris et
sa grande perspective du Louvre à la Défense. Ce projet
mobiliserait du temps et des ressources alors qu'une par-
Vue de l'enfilade des Champs-Élysées, de la Concorde et du jar- tie du patrimoine architectural français est en danger[18] .
din des Tuileries, vers le palais des Tuileries, sous le Second Em-
L'État, la Ville de Paris et le musée du Louvre se sont
pire, par Charles Fichot. Au premier plan : le rond-point des
Champs-Élysées.
également prononcés contre ce projet.
Pour le comité qui défend la reconstruction[16] , la recons-
truction à l'identique ou une autre version du palais des
Tuileries rétablirait notamment la fameuse perspective
du grand axe historique de Paris, celle de l'avenue des
Champs-Élysées, entre l'Arc de triomphe et la place de la
Concorde, ainsi que du jardin des Tuileries, qui tous ont
été entièrement conçus dès leurs origines (la grande pers-
pective des Champs-Élysées ayant été tracée par Le Nôtre
au XVIIe siècle) pour mettre en scène la longue façade sy-
métrique du palais des Tuileries, siège du pouvoir et rési-
dence officielle des chefs d'État français à Paris avant sa
destruction. La façade était ainsi parfaitement centrée et
perpendiculaire à l'axe. Alors qu’actuellement cette pers-
Vue actuelle de la perspective des Champs-Élysées depuis l'Arc pective est rompue, tous ces vastes et prestigieux espaces
de Triomphe. Le palais des Tuileries a disparu mais les pavillons urbains de la capitale donnent sur du vide, ils auraient
de Flore et de Marsan, remaniés, subsistent aux extrémités. Le « perdu leur sens ». Les bâtiments du Louvre y sont illi-
Louvre quant à lui n'est pas dans l'axe. sibles, le Louvre étant désaxé pour suivre la courbe de la
Seine, de même que la pyramide de Pei n'est pas dans
l'axe. La conception et l'esthétique du jardin des Tuile-
blics, déposa à la Chambre des députés un projet de loi
ries notamment, chef-d’œuvre de Le Nôtre, entièrement
relatif à la reconstruction du pavillon central des Tuile-
dessiné comme un savant parvis théâtral de verdure et
ries, à l'affectation de ce bâtiment à un musée de l'art
de fontaines répondant harmonieusement aux volumes du
moderne et à l'établissement d'un jardin dans la cour du
palais, paraît actuellement vide et incompréhensible pour
Carrousel[13] .
les visiteurs non avertis. Sous la Troisième République, au
En 1882, Jules Ferry, ministre de l'Instruction publique moment de décider du sort des ruines qui étaient encore
et des Beaux-Arts, soutint la reconstruction du palais et en place, le baron Haussmann avait prévenu les partisans
avait confié à Charles Garnier la mission de réfléchir à ce
10 6 VOIR AUSSI
• Projet de transformation de
5 Galerie la façade du palais des Tuileries (1868).
• Emmanuel Jacquin, Nicolas Sainte Fare Garnot, Le • Les archives des dons aux musées royaux et châteaux
château des Tuileries, 224 p., Éditions Herscher, royaux, dont le palais des Tuileries, et des secours
1988. aux artistes prodigués par le roi Louis-Philippe sont
conservées aux Archives nationales (France).
• Emmanuel Jacquin, « Les Tuileries de Catherine de
Médicis », dans Marie-Noëlle Baudouin-Matuszek • Les archives de la gestion des travaux au palais des
(dir.), Paris et Catherine de Médicis, Paris, Déléga- Tuileries pour le Second Empire sont conservées aux
tion à l'action artistique de la Ville de Paris, 1989, Archives nationales (France).
190 p., 29 cm (ISBN 2-905118-16-4), p. 87-105.
• Les archives des dons aux musées impériaux et des
• Emmanuel Jacquin (dir.), Les Tuileries au XVIIIe encouragements aux artistes prodigués par l’empe-
siècle, Délégation à l'action artistique de la ville de reur Napoléon III sont conservées aux Archives na-
Paris, 1990. tionales (France).
• Nicolas Chaudun, Le Brasier, le Louvre incendié par
la Commune, éd. Actes Sud, 2015 (ISBN 978-2-330- 6.3 Articles connexes
02765-0).
• Journée du 10 août 1792 (la prise des Tuileries)
• Juliette Glikman, La belle histoire des Tuileries,
Flammarion, 2016. • Louvre
• Guide de Paris mystérieux, Éd. Tchou, 1985. • Liste de monuments détruits en France
• Nathalie Tournillon, Légendes et récits de Pa-
ris, Paris, le Grand livre du mois, 2003 (ISBN
9782702888957, OCLC 470160242). 7 Notes et références
• Imbert de Saint-Amand, Les souveraines des Tuile- [1] « Quand Paris brûlait… », Valeurs actuelles.
ries, Éd. Marne.
[2] Félix et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et histo-
• Histoire du Louvre et des Tuileries, Éd. Jean de Bon- rique des rues de Paris et de ses monuments, édition de
not. 1844, p. 645-649, [lire en ligne].
• Les Appartements de S. M. l'Impératrice au Palais [3] D'après G. Lenotre dans Les Tuileries (p. 67), le nom pro-
des Tuileries, Décorés par M. Lefuel, architecte de vient du long séjour qui fit la comtesse de Marsan, gou-
l'Empereur, Publiés par Eugène Rouyer, architecte : vernante des futurs Louis XVI et Louis XVIII.
estampes. Le Libraire Polytechnique de J. Baudry, [4] http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53023764s/f1.
1867. item.r.
• Les Tuileries, lieu de mémoire de la Révolution. [6] « Le brasier. Le Louvre incendié par la Commune » par
Nicolas Chaudun sur latribunedelart.com.
• Promouvoir la reconstruction du Palais des Tuile-
ries. [7] Le château possède des éléments des différentes parties
du pavillon central de Delorme, de l'aile Bullant, et de Le
• Pour la reconstruction des Tuileries. Vau, ainsi qu'une copie des parties hautes de la Petite Ga-
lerie du Louvre, y compris le relief central de Cavelier de
• Promouvoir le souvenir du château des Tuileries. 1850. Ce remontage sera endommagé par un incendie en
1978. (Source : Grande Galerie - Le Journal du Louvre,
• Un château construit avec des pierres des Tuileries. juin/juillet/août 2011, no 16).
• Article : « Le goût du faux » sur La Tribune de l'Art. [8] Grande Galerie - Le Journal du Louvre, juin/juillet/août
2011, no 16
• Square Georges-Cain sur Google Street View.
[9] Site officiel.
• Pour avoir une idée de l'aspect des façades du Palais
des Tuileries. [10] Omar Alfredo Guerrero, L'Équateur, p. 104.
12 7 NOTES ET RÉFÉRENCES
• Portail de la Renaissance
• Portail de Paris
8.2 Images
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