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À Bas Le Féminisme Petit Bourgeois Vindicatif

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À bas le féminisme petit bourgeois

vindicatif, punitif, déviant et castrateur


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1.

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Paradoxalement, dans la société capitaliste occidentale surprotégée, où la gent féminine


semble émancipée, quand les féministes et les instances politiques et médiatiques parlent de la
femme, c’est toujours comme un être singulier, une personne infériorisée, aliénée,
fondamentalement différentede l’homme (toute ressemblance avec le monde musulman,
pourtant fustigé pour sa misogynie, serait une pure et fortuite coïncidence). Ironie de
l’histoire, le meilleur allié du patriarcat, c’est le néo-féminisme, qui perpétue les mêmes
stéréotypes phallocratiques (encore prégnants dans les pays islamiques) et prônent les mêmes
traitements différentialistes sexués, réservés exclusivement à la femme, au plan social et
judiciaire, tels qu’ils ont cours dans les pays musulmans.

En effet, par leur action d’essentialiser les violences commises contre les femmes, leurs
mobilisations exhortant les pouvoirs publics à protéger les femmes, à voter des lois
spécifiques pour les femmes, elles perpétuent le schéma patriarcal qui infériorise et infantilise
la femme. Aux yeux des néo-féministes différentialistes, toute femme, tel un enfant
consubstantiellement immature et vulnérable, serait, de par sa nature même, congénitalement
en danger, susceptible d’être victime de la prédation masculine.

Somme toute, par leur politique féministe essentialiste, les néo-féministes détachent les
femmes de la communauté humaine universelle pour les assigner à des statuts particuliers
inférieurs, réduites à une minorité à protéger du fait de leur « faiblesse congénitale », leur
« vulnérabilité innée ». Ce faisant, elles les placent dans une condition infrahumaine,
d’extranéité sociale, c’est-à-dire d’étrangères à la communauté humaine. Comme cela a
également cours dans les pays musulmans où la femme est soumise à un statut d’éternelle
mineure nécessitant sa protection par un mâle. En Occident, par l’État.

Par ailleurs, le néo-féminisme bourgeois contemporain, « intoxidentalisé », c’est-à-dire


intoxiqué par l’idéologie misandre et l’arrogance légendaire occidentale, cultive une politique
victimaire. Rappelons que, selon le dictionnaire Le Robert, le terme misandre désigne « une
femme qui a de la haine ou du mépris pour les hommes ». Dès le début de notre siècle, les
dérives du féminisme avaient déjà été dénoncées par Élisabeth Badinter, dans son
ouvrage Fausse route. Dans ce livre, publié en 2003, elle fustigeait le « féminisme guerrier »,
la guerre des sexes, le féminisme misandre, victimaire.

Aujourd’hui, les féministes différentialistes instrumentalisent les violences conjugales. Les


violences faites aux femmes sont devenues l’arme du féminismepunitif. Sur ces violences
résiduelles, elles assènent leurs argumentations victimistes. À chaque violence commise
contre une femme par un homme, indécemment instrumentalisée, les féministes brandissent
leurs accusations flanquées de leurs immanquables revendications pécuniaires.

En effet, dans le dessein de réclamer financement public et subventions privées, le féminisme


« martyrologique » a besoin d’assombrir la condition conjugale réservée aux femmes par les
hommes. Pour vivre pécuniairement, il a surtout besoin de victimes pour ne pas succomber à
la mort associative. Faute de victimes médiatiquement « visibilisées », parfois fabriquées à
fins de règlement de compte politique, le féminisme victimaire finirait par tomber dans les
oubliettes sociétales. Ainsi, derrière le discours de dénonciation de la violence sexiste,
outrancièrement instrumentalisée, s’affairent des associations féministes vénales, financées
généreusement par les fonds publics, autrement dit par l’argent du contribuable.
Globalement, le féminisme victimaire fonctionne sur un schéma binaire : femme victime
(toute femme) /homme bourreau (tout homme). Or, les chiffres des homicides contre les
femmes sont en baisse régulière. Les homicides dont les victimes sont des femmes sont en
baisse constante (moins 25% depuis 10 ans). En France, 90 tuées en 2020 (79 tuées en 2022),
contre 146 en 2019 (cette baisse considérable du nombre de morts est intervenue dans un
contexte de crise sanitaire et social, sur fond de confinement, censé avoir accentué les
violences intrafamiliales et conjugales, thème amplement relayé par les médias pour éluder les
véritables violences sociales et politiques infligées à l’ensemble du peuple par le
gouvernement, notamment par l’explosion du chômage, l’augmentation de la précarité et de la
paupérisation, la recrudescence de la surveillance et du contrôle social, la répression policière
et la militarisation de la société).

En réalité, d’un point de vue fondamentalement humain, en matière pénale, statistiquement,


dans l’ensemble des pays, les premières victimes des violences en généralsont largement les
hommes. Les femmes ne constituent qu’un très faible pourcentage en matière de violences, à
plus forte raison d’homicides. Certes la violence létale est majoritairement perpétrée par les
hommes, mais les principales victimes de cette violence sont essentiellement les hommes eux-
mêmes. « Selon les données fournies par l’Office des Nations unies contre la drogue et le
crime, dans le monde, 78,7% des victimes d’homicide sont des hommes, et dans 193 des 202
pays ou régions répertoriés, les hommes étaient plus susceptibles d’être tués que les
femmes ».

De fait, au sein de la société capitaliste mondiale contemporaine, chaque année plus de 750
000 personnes meurent de violences liées à des conflits armés et à la petite ou grande
criminalité dont une grande majorité 490 000 en dehors des zones de guerre, c’est-à-dire dans
la société civile, victimes de la criminalité inhérente au capitalisme. Le féminisme ne dénonce
jamais ce génocide perpétré par la société capitaliste criminogène et belligène.

En vérité, les violences conjugales impliquent parfoisles deux sexes. La conception angélique
selon laquelle les femmes seraient toujours les victimes et les hommes toujours les agresseurs
est fallacieuse. Dans un couple, certes l’homme peut faire preuve, in extremis, de violence,
mais la femme manifeste également une réelle violence verbale et psychologique, voire
physique. Cette violence est minimisée, voire ignorée, par les féministes. Un tiers des
victimes de violences physiques dans le couple sont des hommes. Officiellement, 20% des
hommes sont victimes de violences conjugales, un chiffre en réalité sous-évalué du fait du
tabou lié à la difficulté pour les hommes de se confier, d’être crus.

Du point de vue juridique, le discours féministe véhicule l’idée selon laquelle les violences
conjugales ne seraient pas suffisamment jugées ni condamnées. Or, l’histoire des annales
pénales prouve le contraire. Depuis le XIXe siècle, les violences conjugales sont toujours
sévèrement punies, la violence de l’époux constituant par ailleurs un facteur aggravant,
donnant lieu à une condamnation sévère.

Loin de nous l’idée de nier l’importancede la violence commise contre les femmes par leurs
conjoints, en particulier les assassinats des femmes, il convient néanmoins de replacer cette
violence et ces meurtres dans le contexte actuel du développement exponentiel de la violence
protéiforme générée par le système capitaliste belligène en pleine putréfaction. Comment
définir et qualifier ces meurtres de masse perpétrés fréquemment par des jeunes adolescents à
peine pubères, notamment dans les établissements scolaires, dans la plus grande démocratie
du monde, les États-Unis, mais aussi dans de nombreux pays civilisés occidentaux ? Selon les
statistiques publiées par la police fédérale (FBI), les États-Unis ont enregistré plus de 21500
homicides en 2020, soit près de 59 par jour. Un grand nombre de ces homicides est perpétré
par des enfants âgés de 10 à 19 ans. Depuis 2012, il y a eu 3865 fusillades de masse. Cette
année, depuis le début de l’année 2022, presque 220 fusillades sont survenues aux États-
Unis. Soit plus d’une fusillade par jour. L’an dernier, il y a eu 692 fusillades, commises
également par des adolescents. 25 mineurs meurent chaque semaine par balle et 91% des
enfants tués dans le monde par des armes à feu, le sont aux États-Unis. Cette violence juvénile
et infantile est autrement plus dramatique et meurtrière. Pourtant elle ne suscite pas le même
émoi, le même effroi, la même indignation, la même fureur.

Aujourd’hui, le féminisme vindicatif tente de prendre en otage le droit en s’arrogeant le


monopole de la représentation de la souffrance légitime. Or, il n’en est rien. Aucun
durcissement du code pénal est susceptible d’apporter un adoucissement de la société. Même
l’existence de la peine de mort n’a jamais enrayé la criminalité, comme la société étasunienne
criminogène l’illustre.

Contre cette dérive judiciaire féministe, les opposants (les juges et les avocats) à
« l’exceptionnalité juridique féminine », notamment la codification du féminicide, invoquent
le principe d’égalité devant la loi. Selon les juristes opposés à toute « exceptionnalité
judiciaire » et codification, l’institutionnalisation du féminicide vise à s’appliquer à une
catégorie de la population. Or, cette application porte atteinte au principe d’universalisme du
droit et d’égalité des citoyens devant la loi pénale. L’incrimination spécifique du féminicide a
pour objectif de sanctionner plus diligemment et plus sévèrement les auteurs du crime.
Toujours est-il qu’avec cette spécification juridique, à situation identique, l’auteur d’un
meurtre ou de violences perpétrées contre une femme se verrait appliquer un traitement
judiciaire distinct et une condamnation plus lourde que le coupable de forfaits identiques
commis à l’encontre d’un homme. Au final, cela reviendrait à considérer le meurtre d’une
femme plus répréhensible que celui d’un homme. Ce qui serait, au plan humain et moral,
inacceptable.

Cela confirme l’exception d’extranéité dont les féministes veulent se prévaloir devant les
tribunaux pour échapper à la justice de droit commun s’appliquant à tous les justiciables, sans
distinction de sexe. Rappelons que le concept d’extranéité est originellement un terme
juridique désignant un individu ou groupe d’individus qui, dans une société donnée, ne
bénéficie pas de l’accès aux droits et devoirs de de celle-ci mais se voit appliquer les lois de
sa société d’origine. En l’espèce, les néo-féministes militent, en vertu de ce statut d’extranéité
auto-attribué, excipé comme un droit, pour bénéficier d’une justice rendue en fonction de leur
sexe d’origine, c’est-à-dire féminin, et non pas du droit universel.

En tout état de cause, la question des violences contre les femmes n’est pas un problème
féminin (féministe) mais un dramatique problème de société. Encore une fois, il n’est pas
dans les projets de la nature humaine de s’autodétruire : le ver n’est pas enfoui dans la tête de
l’homme mais tapi dans le giron de cette société capitaliste criminogène. Le mal n’est pas
d’abord dans l’homme, mais dans la société. Le capital, comme le féminisme, met sur le
compte de la psychologie de l’homme la malice des faits sociaux. Par cette opération de
manipulation consistant à condamner uniquement le Mâle, elle exonère le Mal de la société
capitaliste, autrement plus meurtrier et génocidaire : l’exploitation et l’oppression salariales,
les guerres, les famines, les exodes, etc.
Aussi, les féministes misandres ne contribuent-elles nullement, par leurs gesticulations stériles
et leur combat sectaire, à féconder le débat, à sensibiliser l’ensemble des membres de la
communauté humaine à cette cause sociale universelle. « La théologie morale, c’est
l’impuissance mise en action. Toutes les fois qu’elle s’attaque à un vice, elle a le dessous »,
notait Marx. Autrement dit, les exhortations morales échouent lamentablement à vaincre le
mal. Telle est la situation du féminisme moraliste bourgeois. Le féminisme veut changer les
hommes sans changer la société. Or, la société de classes, fondée sur la propriété privée des
moyens de production, engendre toujours avec elle l’exploitation, la division des classes, la
domination politique et sexuelle, la guerre, la violence, le crime.

Fondamentalement, toutes les victimes, de sexe masculin ou féminin, méritent un traitement


judiciaire égalitaire. Toutes les victimes de violences physiques et létales méritent une
empathie identique de l’ensemble de la communauté humaine. Aucun homme, ni aucune
femme, ne doit être répertorié comme violent en raison de son appartenance sexuelle. La «
genrification » en matière judiciaire est nuisible à la société.

En vérité, historiquement, les violences envers les femmes et les hommes ont
considérablement baissé. La condition de la femme contemporaine ne ressemble aucunement
à l’ancienne sinistre époque où elle était totalement asservie. Le temps est à la poursuite de ce
progrès et non à la stigmatisation des hommes jetés en pâture par un certain féminisme
misandre comme les coupables tout désignés de la violence résiduelle encore prégnante au
sein de la société.

Le féminisme misandre, dans sa guerre des sexes, pour polluer la lutte des classes par ses
divisions entre femmes et hommes et diversion politique, rivalise d’ingéniosité pour jeter
l’opprobre sur tous les hommes, accusés de tous les maux de la société.

Dans la conception féministe fanatique, chaque homme porte sur ses épaules le poids des
violences commises contre les femmes, en vertu de la présomption de culpabilité de la
globalité de la gent masculine. Et doit faire ainsi pénitence de ces péchés criminels perpétrés
contre les femmes. Mieux : repentance, pour s’absoudre de ces violences conjugales et «
féminicides ».

Comme nous l’avions souligné dans notre précédent texte consacré aux dérives du néo-
féminisme1, le féminisme contemporain s’est pitoyablement dévoyé. Aujourd’hui,
l’émancipation de la femme se réduit à s’ingénier à singer les comportements masculins,
emprunter les pires travers des hommes, comme si le modèle masculin était le prototype idéal
à égaler, à surpasser.

Par leur volonté effrénée d’égalisation, d’identification au modèle masculin, les femmes se
doivent d’avoir les mêmes aspirations, occuper les mêmes emplois, embrasser les mêmes
carrières, adopter la même mentalité de prédation, les mêmes mœurs de domination. Une
femme qui ne se conforme pas ces conventions sociales masculines bourgeoises est taxée
d’archaïque, de conservatrice. Le néo-féminisme sectaire intoxidentalisé est totalitaire car il
est contre la liberté individuelle féminine, la diversité en matière de choix dans la
structuration de l’identité de la femme. Toute femme se doit d’intégrer le modèle dominant
occidental dans la construction de sa féminité. En l’espèce, il ne s’agit nullement d’une
émancipation féminine, mais d’un asservissement à l’archétype du féminisme libéral et
libertaire outrancièrement idéologique, propagé tel un virus par l’Occident sénile et décadent.
Nous savions, grâce à Freud, que le cerveau de l’homme n’est que l’appendice de son
sexe. Avec le néo-féminisme intoxidentalisé spectaculairement vagissant, nous découvrons
que les questions sexuelles sont devenues le fil d’Ariane obsessionnel de l’activité militante
des féministes contemporaines : focalisation sur les conduites sexuelles, discours apologétique
sur la théorie du genre, campagne idéologique d’hétéro-phobie sur fond de misandrie
pathologique, promotion pédagogique de l’homosexualité dans les établissements scolaires,
sexualisation du vocabulaire, genrification grammaticale, etc.

Aujourd’hui, parmi les stratégies d’occultation de la violence de classe contre le prolétariat


figure l’instrumentalisation des violences faites aux femmes. Cette médiatisation des
violences sexistes a pour dessein d’occulter les violences sociales, de dépolitiser les rapports
sociaux de domination pour focaliser la conflictualité sur les prétendus rapports de pouvoir
asymétriques qui régiraient les relations entre femmes et hommes. La lutte des classes est
remplacée par la guerre des sexes.

Le néo-féminisme outrancier, favorisé par le capital, s’intègre dans le processus de


désagrégation de la communauté humaine, aujourd’hui divisée socialement en deux classes
antagonistes (bourgeoisie et prolétariat), en de multiples segments : ethniques, religieux,
communautaires, sexuels, identitaires, dans le dessein de briser l’élément social essentiel,
l’appartenance de classe. En lieu et place de la lutte des classes sont ainsi favorisés la lutte des
races, les conflits de religions, les tensions communautaires et, bien évidemment, la guerre
des sexes, chère aux néo-féministes hystériques et belliqueuses, toujours promptes à en
découdre avec le mâle mais jamais avec le capital, à livrer bataille aux hommes mais jamais
aux institutions bourgeoises. Tout cela pour le plus grand profit du capital qui peut continuer à
nous livrer sa guerre sociale en paix, et nous livrer paisiblement sur les lignes de front dans
cette période de guerre généralisée en préparation.

Soutenir, comme le proclament les féministes, qu’il existerait une « Question femme », c’est-
à-dire une problématique féminine, c’est cautionner la conception sociologique bourgeoise
selon laquelle la société est formée, depuis toujours, d’une juxtaposition de communautés
spécifiques, ostracisées ou opprimées par d’autres communautés supposément dominantes.
Aussi, « dans l’intérêt générale de l’unité nationale, afin de préserver la cohésion sociale,
l’objectif politique serait d’œuvrer collectivement, par-delà les différences religieuses ou
ethniques, et les clivages sociaux, à l’instauration de réformes démocratiques aux fins
d’harmoniser la cohabitation entre les différentes communautés ». Cette mystification
bourgeoise, défendue par des mouvements communautaires disparates et hétéroclites, prônant
un meilleur aménagement des conditions sociales (toujours à l’intérieur du capital) et une
optimale intégration démocratique de chaque membre d’une communauté dans la nation ou la
République, selon la terminologie bourgeoise, participe de la politique de dissolution du
prolétariat dans de multiples segments et, corrélativement, du maintien et de pérennisation de
la société d’exploitation capitaliste. Elle arrange grandement le capital. C’est la raison pour
laquelle il soutient le féminisme. Le féminisme (l’antiracisme, l’écologisme) est un excellent
dérivatif. C’est le meilleur antidote contre la lutte des classes. Le meilleur poison pour
anéantir politiquement le prolétariat, c’est-à-dire sa conscience de classe et sa combativité
révolutionnaire.

Selon le discours misandre des féministes occidentales, ce n’est pas l’entreprise qui est le lieu
d’exploitation et d’oppression par excellence, de viol psychologique (objectivé notamment
par les humiliations et harcèlements) et de vol de la force de travail (extorsion de la plus-
value), mais la maison qui serait devenue l’endroit où les femmes courraient le plus grand
risque, dès lors que cette maison est partagée avec un homme, qu’il soit son mari, son
compagnon.

Voilà un exemple parmi des milliers d’autres qui illustre ces dérives féministes misandres :
une universitaire-chercheuse féministe, après avoir commenté une enquête sur les femmes
victimes de violences, conclut par cette observation symptomatique du climat de défiance
manifesté à l’égard de l’homme et de l’institution conjugale et familiale : « toutes les données
convergent pour souligner la dangerosité de la sphère familiale et conjugale pour les femmes
». « Un modèle familial hautement pathogène, car fondé sur l’emprise d’une représentation
traditionnelle de la famille où domine l’appropriation des femmes ». Moralité : l’homme et la
famille représentent un danger pour la femme. Conclusion implicite de cette posture féministe
jusqu’au-boutiste misandre : « femmes, restez célibataires ou mariez-vous avec une
femme ! ». L’objectif de ce féminisme bourgeois fondé sur la multi-sexualité (dite libérée) et
la remise en cause des normes hétérosexuelles, donc la glorification des théories du genre, est
de pulvériser le prototype du couple « normal » prolétaire, dernier rempart de la collectivité
humaine unifiée où se construit distinctement l’identité sexuelle différenciée féminine et
masculine.

Cette idéologie féministe misandre est dangereuse. Ce terrorisme intellectuel d’une minorité
d’activistes féministescrée une nouvelle forme de bellicosité, un nouveau genre de guerre :
une guerre de genre.

Pour paraphraser le slogan des féministes débridés hystériques, symbolisé par


« BalanceTonPorc », j’appelle l’ensemble de l’humanité à lancer un mouvement international
contre les dérives du féminisme intoxidentalisé, baptisé : BALANÇONS LES COCHONNES
FÉMINISTES MISANDRES » (dans les poubelles de l’Histoire, avec leurs commanditaires :
les capitalistes et les gouvernants).

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