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Archilinux Chapitre3 Logiciels

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Les Docs d’archi’

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avril 2004

Débuter avec Linux et Knoppix


Chapitre 3 − Les logiciels
Vous voudriez essayer Linux sans risque, sans installation, directement sur votre
machine ?

Knoppix, fonctionne à partir d’un Cdrom, sans installation sur le disque dur. Si cette version
de Linux vous intéresse, vous pouvez aussi l’installer. Ceci fait de knoppix, la meilleure
distribution pour découvrir Linux. Mais aussi pour travailler, se divertir, apprendre, ...

Cette documentation est orientée Knoppix, mais est valable pour toutes les distributions
Linux. La plus part des logiciels présentés ici, sont présents sur le Cdrom Knoppix. Je vous
indique comment les installer, dans le cas où vous utilisez une autre distribution.

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Vous pouvez utiliser et distribuer ce document, librement, pour toute
utilisation non commerciale. Pour tous renseignements et questions,
n’hésitez pas à me contacter.

Erwan Le Bris, 2001 − 2004

contact@archilinux.org

Pour toute information supplémentaire, veuillez vous reporter au site :

www.archilinux.org

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3 − Les logiciels
3.1 Présentation rapide des logiciels présents sur le CD

Voici un bref aperçu des possibilités offertes par le Cdrom. Celui−ci contient plus de 2 Go
de logiciels (compressés). Je n’exposerai donc ici que les principaux, et les applications
possibles.

Bureautique & organisation


OpenOffice − suite bureautique complète, traitement de texte, tableur, dessin, présentation,
...
Koffice − suite bureautique, ...
Abiword − traitement de texte
Gnumeric − tableur
Gnomemeeting et Korganiser − gestion du temps, ...

Graphisme
Gimp − retouche et création graphique (bitmap)
Sodipodi, Xfig et Sketch − dessin vectoriel
Qcad − dessin vectoriel technique

Multimédia
Audacity − montage audio
Xmms − lecteur de fichiers musicaux
Xine − lecteur vidéo

Internet
Mozilla − navigation, courrier, ftp, ...
Konqueror − naviguation, ftp, ...
Kmail − courrier
Kget − gestionnaire de téléchargements
webcam, etc. ...

Système et sécurité
Nessus − surveillance et test réseau
Qtparted − gestion de partition, création, modification, ...

Périphériques
Kooka − scanner des images
K3B − gravure

Développement
Nombreux outils et languages pour écrire ou modifier des logiciels sous Linux.

Détente et loisirs
Kstars − planétarium et carte du ciel (astronomie)
Kgeo − initiation à la géométrie
De nombreux jeux sont présents (cartes, stratégie, rôle, arcade, réflexion)

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3.2 Gestion de fichiers, lecteur multimédia et internet avec Konqueror

Il s’agit à la fois d’un gestionnaire de fichiers local et distant, d’un navigateur internet,
avec de nombreuses options, compatible avec les plugins Netscape (Flash, Realplayer, ...).
Enfin, il s’agit d’un visualiseur multi−format (image, son, vidéo, ...).
Pour le lancer, faites Alt + F2 et tapez konqueror, ou cliquez sur l’icône suivante :

3.2.1 Les bases


Voici une vue possible de Konqueror, en tant que gestionnaire de fichier (mais à tous
moment, il est possible de naviguer sur internet, ou autre faire chose) :

En haut, le menu principal. A gauche l’arborescence du système exploré. À droite, les


fenêtres d’exploration.

Pour scinder la fenêtre de droite (s’il y en à déjà une ou plusieurs) cliquez dessus (gauche)
et en pressez CTRL + MAJ (Shift) + T ; de même pour la supprimer, il suffit de presser
CTRL + MAJ + R .

Il est possible de travailler avec plusieurs onglets (comme avec Mozilla) que ce soit pour la
navigation internet ou la gestion de fichiers. Voici ce que vous obtiendrez avec un clic droit
sur un lien.

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Comme sur la première vue de Konqueror, ci−dessus, il est possible de visualiser les
fichiers sous forme d’icônes, ou dans le détail. Le fait de laisser la souris dessus, sans
cliquer permet d’afficher un aperçu du fichier :

il est ainsi possible d’afficher toute sorte de fichiers,


dans la mesure où son format est reconnu (ici du
html). En général, s’affichent les formats de fichiers
compatibles ou issus de logiciels installés dans votre
distribution. Par exemple, vous avez installé
OpenOffice, Acrobat Reader ; vous pourrez donc pré−
visualiser du sxw, pdf, ...

Comme annoncé en introduction, Konqueror vous sert également à écouter des MP3, OGG
(format libre comparable au MP3) ; de visualiser la plus part des fichiers vidéo et enfin
d’afficher de nombreux formats d’image. Il ne s’agit pas d’un réel logiciel / utilitaire
multimédia, mais d’une interface à plusieurs utilitaires.
De même, suivant les distributions ou configurations, il appel automatiquement l’utilitaire
nécessaire à la lecture du fichier. Ainsi, il est possible de lancer automatiquement un MP3
avec Xmms. Pour configurer ce genre d’association, il suffit de faire un clic droit sur le
fichier, de choisir Ouvrir avec dans le menu, ensuite de choisir le logiciel et de sélectionner
« mémoriser l’association ».
Pour régler les fonctions d’affichage, les options (...), allez dans le menu Configuration,
puis Configurer Konqueror.

3.2.2 Internet
Les fonctions internet n’ont rien de particulier et sont semblables à celles du gestionnaire de
fichiers (et aussi à Mozilla). Vous pouvez par contre plus facilement qu’avec Mozilla, faire du
FTP (gérer l’arborescence d’un site internet ou les données d’une machine distante).

(1) − comme pour voir un site internet vous entrez ici l’adresse du site FTP. Mais, vous
pouvez placer devant votre identifiant (login) de la manière suivante :
ftp://login@nom_du_site. Une fois connecté au site, il vous sera demandé votre mot de
passe.
(2) − une fois connecté, vous verrez la racine (la base) du site distant.
(3) − vous pouvez créer dans la même fenêtre, une nouvelle pour les fichiers présents sur
votre machine.
(4) − lors d’un transfert, un cadre apparaît pour en indiquer l’avancement.

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3.3 Surfer avec Mozilla

Mozilla est basé sur Netscape. L’avantage par rapport à ce dernier, c’est qu’il est développé
par la communauté (internet) et que le moindre problème est résolu rapidement. Aujourd’hui
c’est produit mûr. http://www.mozilla.org

Pour lancer Mozilla, le chercher dans le menu, ou taper Alt+F2, puis dans le cadre qui
s’ouvre, entrer mozilla

Le programme Mozilla se lance (ce qui prend quelques


secondes). Il est préférable de lancer la connexion
internet seulement lorsque Mozilla est ouvert (afin de ne
pas payer plus que nécessaire !).

3.3.1 Introduction à la navigation sur internet


Pour « naviguer » sur internet, il est nécessaire de connaître l’adresse du site désiré ou d’un
moteur de recherche permettant de le(s) trouver.

Un moteur de recherche, est le plus souvent un site où l’on tape les mots−clef de ce que
l’on cherche et qui parcours une partie d’internet, regardant les pages des sites où figurent
ces mots. Il indique ainsi au bout de quelques secondes la pertinence des sites contenants
les mots clef. En général, les deux premières pages du moteur suffisent à répondre à la
demande.

Il y a deux inconvénients avec les moteurs :


Le premier est que certains propriétaires de sites payent pour que leurs pages apparaissent
en têtes de recherche, même si elles ont peu de rapport avec le sujet (vous recherchez un
itinéraire pour vos vacances en Asie et vous obtenez des sites douteux).
Le second est que chaque moteur de recherche ne couvre pas tout internet. Il est donc
nécessaire de faire la même recherche sur plusieurs moteurs.

Quelques adresses (j’utilise le plus souvent google)


www.altavista.com
www.google.com
www.lycos.fr
www.yahoo.com
Souvent les sites de fournisseurs d’accès, servent de moteur de recherche
www.free.fr
www.club−internet.fr
Enfin, les navigateurs (comme Mozilla) offrent des possibilités similaires.

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3.3.2 Utilisation de Mozilla

L’adresse est à taper dans la section Adresse de Mozilla :

Inutile de taper « http:// » devant l’adresse, qui apparaît une fois connecté au site; cela est
géré automatiquement.

Puis, il suffit de taper sur Entrée pour que Mozilla fasse la jonction avec le site.
La page apparaît et son chargement est terminé lorsque le curseur redevient normal (flèche
sans petite montre noir).

Le plus souvent, une page contient des liens vers d’autres pages. Ces liens sont des
phrases ou des mots soulignés et le curseur se change en une main, lorsqu’on le passe
dessus (sans cliquer). Cliquer avec le bouton gauche donne accès à la page liée.

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L’interface navigation :

permet de revenir à la page précédente

permet d’aller à la page suivante (si l’on est allé une ou plusieurs pages en
arrière)
recharge la page (à utiliser si une image n’est pas apparue, par exemple)

là où vous inscrivez l’adresse du site désiré

permet de rappeler les dernières adresses, en cliquant sur la flèche

envoie à la page du site de Mozilla servant de moteur de recherche

permet d’accéder à la fenêtre d’impression (format par défaut « lettre »), la


flèche en bas à droite sert à accéder à la fenêtre d’aperçu avant impression
s’anime lors du chargement d’informations

envoie à la page www.mozilla.org


permet de voir et sélectionner les signets – Les principales fonctions
pour les signets :
Ctrl+D pour conserver l’adresse d’un site − Ctrl+B pour gérer les signets
(effacer, déplacer)

permet de passer du mode en ligne (par défaut) au mode hors ligne

notificateur de cookies (permet de les vérifier)

durant la navigation, le mode par défaut est non sécurisé − lors de la consultation
de certains sites (achat, mail, ...) pour protéger vos données, le mode sécurisé
crypte celles−ci automatiquement (cadenas fermé)

permet d’ouvrir une nouvelle fenêtre de mozilla et également de passer d’une


fenêtre à une autre
ouvre le gestionnaire de courier (mail) et de nouvelles (news)

ouvre l’éditeur html

ouvre le gestionnaire de contacts

ce dernier élément indique l’état d’avancement du chargement de la page (Done


= terminé)

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3.3.3 Possibilités sur un site visité

En cliquant avec le bouton droit de la souris, on accède à de multiple possibilités. On peut


le faire sur la page d’un site, sur une image ou un lien. Globalement, vous pouvez sauver
une page (avec les images), une image, etc ...

Voici se qui se passe lorsque vous cliquez avec le bouton droit sur :
page image lien

Autre avantage de Mozilla, la possibilité de voir plusieurs pages différentes, à l’aide


d’onglets, sans ouvrir plusieurs fois le logiciel (cela prend moins de ressources
système). Ces onglets sont nommés Tab (voir ci−dessus à droite, dans la colonne lien). Un
clic droit sur un lien dans le navigateur, comme dans un email (dans ce cas le Tab s’ouvre
dans le navigateur, à partir de l’email) permet d’ouvrir ainsi une nouvelle page.

(1) − onglet actif


(2) − onglet inactif
(3) − supprimer l’onglet courant

En ce qui concerne la sauvegarde d’une page, il faut savoir que de nombreux sites utilisent
les frames, qui sont des pages décomposées en plusieurs cadres. Il est donc important de
choisir celui que l’on désire par un clic gauche au milieu de sa zone de texte. Puis cliquer
sur le menu Fichier en haut à gauche puis sur Save frame as. Vous pouvez également
utiliser « This Frame » pour plus de précision (tableau ci−dessus, en bas de chaque
colonne).

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3.3.4 Installer des plugins

RealPlayer
Télécharger le plugin (actuellement = rp8_linux20_libc6_i386_cs2.bin − environ 5,6 Mo).
vous le trouverez sur http://scopes.real.com/real/player/unix/unix.html

vous devez ensuite rendre le binaire exécutable − ouvrez une fenêtre console et tapez :
chmod u+x rp8_linux20_libc6_i386_cs2.bin (Entrée)

puis pour installer realplayer :


./rp8_linux20_libc6_i386_cs2.bin (Entrée)

Si le nom de l’archive a changé, remplacer rp8_linux20_libc6_i386_cs2.bin par le


nouveau nom.
Maintenant que Realplayer est installé, il faut le lier à Mozilla. Toujours dans la console,
mettez vous en mode super−utilisateur − tapez su (Entrée), puis votre mot de passe root.
Ouvrez Midnight Commander − tapez mc (Entrée).
Faites un lien symbolique entre /usr/local/Real8layer8/rpnp.so et /usr/lib/mozilla/plugins/
fermez la fenêtre console. C’est terminé.

Lien symbolique
Vous avez installé une nouvelle application a l’aide d’une archive compactée, ou d’un autre
type, mais elle se trouve dans votre répertoire /home/utilisateur

Ouvrez une fenêtre de console (xterm) et tapez su, puis entrez votre mot_de_pass_root
Tapez mc (pour ouvrir Midnight Commander),

dans la fenêtre de droite, allez dans /usr/local/share/ et dans celle de gauche


/usr/local/bin/

Copiez le répertoire de cette application dans /usr/local/share/

A droite, mettez le curseur sur le fichier de


lancement de l’application (dans cet exemple
phoenix) et allez dans la fenêtre de gauche
(touche Tab)

Appuyez sur la touche F9 pour accéder au menu, puis allez sur Fichier et descendre sur
Lien Symbolique et validez (Entrée)

Appuyez à nouveau sur Entrée le lien est créé, cela permettra, en suivant les instructions
suivantes, de lancer automatiquement l’application.

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Flash−shockwave
Ouvrez une fenêtre console, puis tapez su (Entrée), puis votre mot de passe root.
Connectez vous à internet, puis tapez :

apt−get update (Entrée) − faites l’update, seulement si vous l’avez fait il y a longtemps ou
si la ligne ci−après ne fonctionne pas

apt−get install −t stable flashplugin−nonfree (Entrée)

suivez les instructions de l’installation dans la fenêtre. Il n’est pas nécessaire de garder
l’archive une fois flash installé. Si vous avez un doute pour une réponse, tapez (Entrée)
et/ou Y, quand demandé.

Une fois l’installation terminée, vous pouvez fermer la console et ouvrir Mozilla.

Acrobat Reader
Il s’agit plus d’une extension du logiciel d’Adobe, qu’un réel plugin. Lorsque vous essayez de
charger un fichier PDF, Acrobat Reader se lance en tache de fond, dans Mozilla.
Pour l’installer, apt−get install acroread (Entrée) − pour Debian. Pour une autre
distribution, recherchez le rpm (ou archive compressée, ex : tar.gz) sur www.google.fr ou
www.adobe.com − le nom de celle−ci étant acroread

Dans Mozilla; lorsque vous cliquez sur un lien pointant vers un fichier PDF, vous apercevez
rapidement le logo « Adobe Acrobat Reader », puis la fenêtre de Mozilla change :

Un document ainsi ouvert ne se charge pas totalement ; seules quelques pages (entre 3 et
5) sont pré−chargées. Il vous suffit de descendre avec la barre de défilement de la fenêtre
(ou les touches de votre clavier) pour charger les pages suivantes.
Même si le document ouvert n’est pas totalement chargé, vous pouvez l’enregistrer sur
votre ordinateur en cliquant sur la disquette (en rouge ci−dessus). Il sera alors téléchargé.

Mplayer plugin
Il s’agit d’un plugin permettant de visualiser sur Mozilla la plus part des formats vidéo, ainsi
que d’écouter, par exemple, une radio en ligne − http://mplayerplug−in.sourceforge.net/

A télécharger en RPM ou tar.gz (ce dernier est à compiler) :


http://mplayerplug−in.sourceforge.net/download.html

ou pour les utilisateurs de distributions de type Debian : apt−get install mplayerplug−in

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3.3.5 Sauvegarder vos données personnelles de Mozilla
Dans KDE, ouvrez Konqueror et allez dans le menu Affichage, puis sélectionnez Afficher
les fichiers cachés. L’ensemble des répertoires (et fichiers) apparaissent en demie−teinte.
Les répertoires cachés commencent par un point. Allez dans .mozilla, vous y trouverez les
répertoires et fichiers courants, dont ,entre autres le fichier bookmark.html, qui contient
l’ensemble des signets.

3.3.6 Gestion des mots de passe


Mozilla permet de conserver les mots de passe, afin de vous simplifier la vie lorsque vous
naviguez sur des sites où vous avez besoin d’un login et mot de passe. La plus part des
navigateurs le permettent, mais d’un point de vue sécurité, c’est risqué, car ces mots de
passe sont stockés sans protection. Mozilla permet de crypter ces mots de passe et
vous sécurisez cet accès avec un seul mot de passe.
Tout d’abords, allez dans le menu Edit (Edition) puis en bas, choisissez Preferences. Dans
l’arborescence de gauche, allez sur Privacy & Security (Sécurité) et sélectionnez
Password (Mot de Passe). Sélectionnez à droite comme sur l’image ci−dessous :
Remember password (à chaque fois que vous taperez un mot de passe, il vous sera
demandé si vous voulez qu’il soit retenu) et Use encryption ... (pour crypter le gestionnaire)
− il vous est alors demandé un mot de passe.

Un bon mot de passe ressemble à ceci : Kdf!2Xp45?a − c’est à dire un mélange


alphanumérique, majuscules et minuscules et comprenant des signes. Cliquez sur Ok pour
quitter.

Allez sur le menu Tools (Outils) et choisissez


Password Manager (Gestionnaire des mots de
passe), puis Manage Stored Password (Gérer
les Mots de passe Stockés) − dans les versions
françaises de Mozilla ou Thunderbird, il est
possible que les noms des menus soient un peu
différents.

Cette interface vous permet de gérer les mots de


passe conservés.

Le mot de passe cryptant le gestionnaire, vous est demandé une seule fois, après avoir
démarré Mozilla, et lorsqu’il rencontre un « champ » sur lequel vous avez un mot de passe
pré−défini. C’est aussi le cas lorsque vous utilisez le gestionnaire de courrier.

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3.3.7 Le serveur de courrier
Cliquez sur cette icône (ci−dessus), en bas à gauche, ou allez dans la barre des menus, et
cliquez sur Windows, puis Mail and Newsgroups.

3.3.7.1 Configuration de la boîte aux lettres


Si vous n’avez pas de compte courrier (email) défini (normal pour une première fois), en
ouvrant le serveur de courrier, cela ouvre également l’assistant. Notez que la gestion des
serveurs de news se fait de la même manière.

Cliquez sur email account pour créer un nouveau compte, puis sur Next.

Rentrez vos nom et adresse électronique (email). Cliquez sur Next. Ensuite, suivant les
indications de votre FAI (Fournisseur d’Accès Internet), choisissez le type de serveur (dans
le doute laissez POP).

Puis entrez le nom du serveur de courrier entrant (incoming server) et celui du courrier
sortant − nommé aussi SMTP (outgoing server). Chez free, par exemple, il s’agit
respectivement de pop.free.fr et de smtp.free.fr .

Écran suivant, entrez votre nom d’utilisateur (user name) pour interroger votre boîte
courrier, sur le serveur de votre FAI.

Ensuite, il vous est demandé de nommer cette boîte (account name) ; il s’agit de nommer
votre compte courrier, sachant que vous pouvez en avoir plusieurs.

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Enfin, apparaît un récapitulatif des données :

Cliquez sur Finish.

De retours au serveur de courrier, le système cherche alors à se connecter au serveur du


FAI, pour en charger les nouveaux messages. Autant être alors connecté à internet.

Une boîte de dialogue apparaît automatiquement demandant votre mot de passe courrier
(celui autorisant l’accès au compte courrier et donné par le FAI).

Alors que les messages sont chargés, en bas à droite, une barre de défilement en indique la
progression.

Une fois les messages chargés (la barre ci−dessus disparaît), vous pouvez vous
déconnecter.

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3.3.7.2 Présentation et fonctions de base

D’une manière générale, le serveur de courrier de Mozilla ressemble à MS Outlook et ne


sera ainsi pas difficile d’accès pour les utilisateurs habitués aux produits Microsoft.

(1) − une arborescence pour choisir entre la boîte de réception (inbox), les brouillons
(drafts), un répertoire de fichiers temporaires (templates), la boîte d’envois (sents), et la
poubelle (trash).

La flèche verte sur l’icône Inbox, signifie qu’il y a des messages non−lus.

(2) − les fichiers présents dans le répertoire actif (ici la liste des messages). Dans Inbox, les
messages non−lus sont en caratères gras.

(3) − le contenu du message actif (lecture), avec en entête, le sujet, l’adresse de


l’expéditeur et du destinataire, ainsi que la date de réception.

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L’interface courrier :

charge le courrier depuis le serveur du FAI. La flèche (droite) permet de choisir


de récupérer le courrier de toutes les boîtes (par défaut) ou d’une seule.

permet de créer un nouveau courrier (composer)

répondre à l’auteur du courrier sélectionné

répondre à tous − un même courrier pour tous les auteurs des messages

faire suivre le message sélectionné (à un ou plusieurs destinataires)

déplacer un message dans un autre répertoire (ou autre boîte). La petite flèche
noire indique qu’il s’agit d’un menu déroulant.

message non−lu suivant

effacer un message (ou plusieurs)

(dé)bloquer tous messages de ce destinataire (du ou des messages


sélectionnés)

imprimer

arrêter un chargement ou envois de messages

s’anime lors du chargement (ou envois) d’informations

Le gestionnaire de courrier est également pourvu d’un système de tri (View) et d’un
moteur de recherche permettant de retrouver plus vite certains courriers.

Pour ce dernier, entrez les mots recherchés à droite (voir ci−dessous) et pressez la touche
Entrée.

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3.3.7.3 Nouveau courrier (composer)

Envoyer le courrier dans la boite d’envois, et si vous êtes connecté à internet, le


courrier part automatiquement

carnet d’adresse − l’adresse de tout courrier composé, est mise


automatiquement dans le carnet d’adresse si elle n’y figurait pas − sert aussi de
gestionnaire de contacts
mettre des fichiers joints

différents système de cryptage du message

sauver le courrier (dans un répertoire ou sous forme d’un fichier)

La fenêtre de composition est divisée en trois parties :

(1) − là où vous entrez l’adresse du destinataire (avec ou sans l’aide du carnet) − au


dessus, vous choisissez le compte duquel vous voulez envoyer le courrier (From), s’il n’y en
a qu’un seul, ne changez rien − et en dessous, vous entrez le sujet du courrier

(2) − cadre montrant les fichiers joints

(3) − cadre de composition (mise en page) du message


une fois le message terminé :

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3.3.7.4 Gestionnaire de contacts
Lorsque vous cliquez sur l’icône ci−dessus (qui se trouve en bas à gauche de la fenêtre de
travail de Mozilla) cela ouvre le gestionnaire de contacts :

(1) − la liste des différents carnets d’adresses − cliquez sur l’icône New list, pour en créer
un nouveau (carnet)

(2) − la liste des contacts pour un carnet − cliquez sur l’icône New card, pour créer une
nouvelle fiche (nouveau contact)

(3) − le contenu de la fiche du contact sélectionné dans la liste (2) − cliquez sur l’icône
Properties, pour éditer, modifier le contenu de la fiche

vous pouvez également déplacer les fiches, les effacer, ... il vous est même possible de
communiquer (chatt) avec l’icône en forme de bulle, IM, du moins si le protocole est
configuré.

Vous pouvez rentrer toute sorte de renseignements avec les fiches − adresses
professionnelles et personnelles ; notes diverses ; etc...

Enfin, le gestionnaire est pourvu d’un moteur de recherche.

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3.3.7.5 Carnet d’adresses
Lorsque vous êtes dans la fenêtre de composition d’un courrier, et que vous cliquez sur
l’icône du carnet d’adresse :
Vous ouvrez là, une autre fenêtre donnant les adresses électronique (email) issus
de chaque fiche, pour un carnet d’adresses donné :

vous pouvez choisir le carnet d’adresses avec Look


in :

A gauche vous trouverez les adresses et à l’aide des


quatre boutons au centre, vous pourrez les attribuer
au message en cours (To = destinataire, Cc = copie,
Bcc = copie cachée).

En cliquant sur Edit, en bas à gauche, vous avez la possibilité de modifier la fiche, avec la
même fenêtre que dans le gestionnaire de contact (avec dans ce cas l’icône Properties).

3.3.7.6 Gestionnaire de SPAM


Voici un élément très utile de Mozilla. Il s’agit d’un utilitaire anti−spam qui tient compte
progressivement du type de messages que vous classez dans la catégorie Spam. En
somme, il apprend à trier.

Allez dans le menu Tools (Outils), puis


Junk Mail Control (Gestion des
Indésirables) − Notez que les Spams sont
nommés « indésirables » dans la
version française.

La fenêtre ci−contre apparaît et vous sert


à les gérer pour chaque compte courrier.

Cochez comme sur l’image pour avoir un


contrôle correct.

J’ai mis un jour (en bas à droite) pour


effacer automatiquement les courriers
non désirés.

Cette solution fonctionne bien, mais elle pose tout de même un problème : vous chargez
malgré tout les courriers non sollicités. Le seul moyen est d’avoir un FAI qui vous permette
de filtrer à l’entrée du serveur de courrier. Un autre moyen consiste comme moi, à avoir un
nom de domaine et des adresses propre, avec un contrôle sur le serveur ...

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3.3.8 Editeur html
Pour lancer Mozilla composer, le chercher dans le menu, ou dans Mozilla, cliquer sur
l’icône correspondante, en bas à gauche (voir image ci−dessus).

Le programme Mozilla Composer se lance (ce qui prend quelques secondes) :

Dans la partie haute de la fenêtre de travail :

(1) − menu principal

(2) − commandes principales − de gauche à droite :


New Nouveau fichier
Open Ouvrir un fichier
Save Enregistrer
Publish Publier − envoi le fichier HTML et les images jointes sur internet, dans
l’emplacement spécifié lors du premier envois
Browse Parcourir − ouvre Mozilla pour visualiser le fichier créé et en avoir un meilleur
aperçu
Print Imprimer
Link Créer un lien − choisir au préalable, une image ou une suite de caractères
Image Insérer une image
Table Insérer un tableau
Spell Correcteur orthographique (si configuré)
(3) − les principales commandes pour la mise en page, la tabulation et les images

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Dans la partie basse de la fenêtre de travail :

− L’onglet normal permet de composer la page comme un éditeur de texte :

− L’onglet HTML Tags affiche les balises

− L’onglet <HTML> sources affiche le code html

− L’onglet Preview affiche la page en aperçu

En bas à droite, cette icône vous permet de travailler en ligne ou hors ligne :

Par exemple : si vous êtes en ligne, des liens (images) seront établis au
chargement de la page (comme le logo Xiti qui apparaît au bas de celle−ci).

Vous trouverez des didacticiels expliquant la création de site sur www.archilinux.org à la


rubrique « internet ».

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3.4 Bureautique, suite complète avec OpenOffice

Il s’agit d’une suite bureautique très complète, libre et gratuite, développée par la
communauté internet, sur la base de StarOffice (Sun). Son usage est très proche de MS
Office, et si vous avez l’habitude de ce dernier, vous n’aurez aucun mal à vous servir
d’OpenOffice − www.openoffice.org

La société PICNet à réalisé un manuel complet en français sur OpenOffice, à télécharger


gratuitement au format PDF http://essai.pba.fr/Livre_pdf.zip (12 Mo) et au format
OpenOffice http://essai.pba.fr/Livre_sxw.zip (12 Mo). Ce livre est excellent et
indispensable !

3.4.1 Présentation
Cette suite bureautique permet le travail en groupe (partage en réseau), la création de livre,
documents administratifs (il existe des modèles), la création de site web (comme celui−ci), la
retouche d’image, le dessin vectoriel, la création d’organigrammes, l’insertion de formules
mathématiques complexes, étiquettes et cartes de visite, etc. ...

Traitement de texte : Tableur :

Présentation, diaporamas : Dessin (bitmap et vectoriel) :

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3.4.2 Installation
Cherchez d’abords les archives nécessaires à sont installation (revues Planète Linux, Linux
Loader, Linux Pratique, ...) ou encore sur internet − www.openoffice.org − ADSL
recommandé, car l’archive est très volumineuse (au moins 90 Mo).

Utilisateurs de Knoppix :
Commencez par l’effacer :
dpkg −P openoffice−de−en et (Entrée) ou encore apt−get remove −−purge openoffice−
de−en (moins efficace à mon goût)

Pour installer le nouveau : suivez la procédure décrite sur la revue. S’il s’agit d’un fichier
bin, ouvrez une console et tapez :

./openoffice*.bin et (Entrée) ... suivez les instructions ...

Si vous voulez que tous les utilisateurs profitent de l’installation, mettez vous en root (dans
une console, tapez su puis le mot de passe root).

Ou enfin, toujours via internet (en mode « super utilisateur ») :

apt−get install openoffice−fr−fr (vérifiez le nom de l’archive − qui peut changer − sur :
http://www.debian.org/distrib/packages en cherchant « openoffice » ).

Si vous avez téléchargé un fichier tar.gz (pour installer OpenOffice), décompressez−le et


allez dans le répertoire créé (sans doute /home/votre_nom_d’utilisateur/openoffice...).

Installation pour tous les utilisateurs


Ce type d’installation est préconisée dans le cas où la machine est utilisée par plusieurs
personnes.
Ouvrez une console et tapez : ./setup −net et suivez les instructions

Puis pour chaque utilisateur (se loguer avec leur nom et mot de passe à chaque fois) −
toujours dans le répertoire d’installation d’OpenOffice : ./setup et suivez les instructions.

Installation pour l’utilisateur courant


Dans le cas où vous êtes le seul utilisateur de la machine, l’installation peut se faire
directement dans votre répertoire utilisateur dans /home/... en tapant dans une console (et
dans le répertoire d’installation d’OpenOffice) : ./setup et suivez les instructions.

Installation de Java
Téléchargez l’archive qui vous convient le mieux (reportez−vous à la rubrique installation de
logiciel pour les détails de l’installation). http://www.java.com/fr/download/linux_manual.jsp

Installez et redémarrez la session (quittez l’environnement et reconnectez−vous avec votre


utilisateur).

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3.4.3 Installez les dictionnaires français
Pour avoir les dictionnaires français (thesaurus, synonymes, dictionnaire), il existe
désormais une interface multi−plateforme et multilingue, sous la forme d’un fichier texte
DicOOo.sxw à télécharger : http://fr.openoffice.org/DicOOo/index_dicooo.htm

Je vous suggère d’aller voir les instructions présentes sur la page d’accueil, afin de ne
commettre aucune erreur.

A l’ouverture du fichier, il est possible que vous ayez un message vous avertissant que le
document utilise des macros. Pour l’usage du script DicOOo, vous devez cliquer sur
Exécuter.
Ce message peu être important dans d’autres cas, si par exemple, vous ouvrez un fichier
qui n’est pas sensé contenir de macro et qu’il y a un risque pour l’intégrité de vos données
(essentiellement si vous êtes sous Windows)

Lorsque vous ouvrez le fichier DicOOo.sxw, commencez par choisir la langue (ce qui
change la page).

Puis cliquez sur le bouton Lancez DicOOo

Une boîte de dialogue s’ouvre et vous n’avez plus qu’à suivre les instructions de celle−ci, et
en moins de 5 mn les dictionnaires sont installés !

www.archilinux.org 24 2004
3.4.4 Documentation et projets dérivés
La société PICNet à réalisé un manuel complet en français sur OpenOffice, à télécharger
gratuitement http://essai.pba.fr/ (15 Mo). Ce livre est excellent et indispensable !

Convertisseur de fichiers OpenOffice en ligne :


L’auteur de DicOOo est en train de développer un utilitaire pour convertir des fichiers
OpenOffice, à partir de votre navigateur :
http://oooconv.free.fr/engine/OOOconv.php?lang=fr

Ooconv permet de convertir un fichier OpenOffice en PDF, MS Office (toute version), etc. ...

http://oooconv.free.fr/fontooo/ FontOOo −installation automatisée des polices de caractères

www.archilinux.org 25 2004
3.5 Gestion des images avec KuickShow

3.5.1 Configuration

Au premier démarrage, KuickShow ressemble à ceci :

ce qui n’est pas très pratique pour gérer les images ...

Un clic droit dans cette fenêtre vous donne un menu. Dans celui−ci, cliquez sur Affichage,
puis sur Aperçu sous forme de miniatures. Vous aurez alors ceci :

Enfin, pour avoir un agrandissement de l’image active, cliquez sur l’icône entourée :

Pour obtenir ceci :

Pour configurer KuicksShow (modification d’image, diaporamas, affichage, ...) cliquez sur
cette icône

www.archilinux.org 26 2004
3.5.2 Utilisation
Avec les flèches du menu, vous vous déplacez dans l’arborescence de votre disque dur (et
en cliquant sur les répertoires dans la fenêtre de gauche). Laissez la souris sur une icône
pour connaître sa fonction.

Un clic droit sur un fichier image, vous donne un menu. En haut de celui−ci, cliquez sur
Afficher l’image, pour l’ouvrir en mode édition.

Un clic doit sur l’image ainsi ouverte, vous donne accès au menu d’édition :

Vous avez la possibilité de faire des opérations de zoom, rotation, miroir, de régler la
luminosité, le contraste et le gamma. Vous pouvez bien sûr enregistrer les modifications.

Enfin, en cliquant sur l’icône vous lancerez un diaporamas de toutes les images du
répertoire courant.

www.archilinux.org 27 2004
3.6 Création graphique et retouche d’image avec Gimp
Gimp est un logiciel professionnel et incontournable !

Il s’ouvre avec plusieurs boites de dialogue étalées sur l’écran et que l’on peut afficher à
volonté, suivant les besoins.

3.6.1 Présentation
Gimp 1.3 (version « testing ») − Il s’agit de la dernière version de Gimp, nettement plus
puissante et plus pratique que la 1.2 (la plus couramment installée). Actuellement en fin de
développement, on ne la trouve que rarement dans une distribution :

Gimp 2.0 vient de sortir (je ne l’ai pas encore testé) mais il ne devrait pas être très différent
de la version 1.3

3.6.2 Installation
Pour installer Gimp 1.3, commencez par effacer Gimp 1.2 (si cette version est présente) :
apt−get remove −−purge gimp1.2 gimp1.2−nonfree

Puis installez Gimp 1.3 :


apt−get install gimp1.3 gimp1.3−nonfree

D’une manière générale, suivez ces instructions en remplaçant le numéro de la version par
celui de la version à installer (ex: gimp2.0 ...)

Pour les autres distributions, allez sur www.gimp.org pour rechercher les archives RPM ou
tar.gz

www.archilinux.org 28 2004
3.6.3 Les outils
Le panneau principal de Gimp est en deux parties. En haut, la palette d’outils qui contient
les principaux outils de dessin. De nombreux autres sont disponibles dans les menus (et des
boîtes de dialogue). Lorsque vous laissez la souris sur un outil, une bulle décrit rapidement
sa fonction et vous donne le raccourcis clavier correspondant.

Lorsque vous cliquez sur un outil, ses options apparaissent dans la partie inférieure du
panneau principal (image de droite).

www.archilinux.org 29 2004
3.6.4 Les opérations de base sur une image
C’est un peu la base de l’utilisation que je fais de Gimp, pour écrire les rubriques de ce site.

Commencez par ouvrir l’image à modifier en pressant Ctrl + o (la souris doit être sur la
palette d’outils) ou File puis Open.
Le cadre de sélection s’ouvre, avec à gauche et au centre un explorateur de fichiers, et à
droite un aperçu (fonctionne sur demande ou si vous êtes dans KDE et que l’image a déjà
été en aperçu dans Konqueror).

Une fois dans l’image, quel que soit l’opération que vous désirez (recadrer, rotation, re−
dimensionnement, ...), la majeure partie des commandes, est accessible par un clic droit
dans l’image − le menu qui apparaît (et sous menus) est ainsi la base de l’utilisation, avec
la palette d’outils.

Depuis la version 1.3 ce menu est accessible également dans la partie supérieure du cadre
de l’image.

Attention : pour pouvoir agir dans une image, il est important que son cadre soit actif
− suivant les distributions et/ou configuration de l’environnement graphique, lorsqu’il est actif
le cadre est plus clair/coloré qu’en état inactif.

www.archilinux.org 30 2004
Changer la taille de l’image
Dans l’image, faites un clic droit avec la souris, puis allez dans le menu Image, puis le sous
menu Scale Image

Recadrer une image (rogner)


Soit vous pressez sur l’image active, Ctrl + C ; soit vous utilisez la palette d’outils :

en vous définissez le cadre de découpe dans l’image, en commençant de préférence en


haut à gauche, puis vous fermez le cadre vers la droite, en bas.

Tirer des traits droits en dessinant


Pour faire des flèches, des lignes droites, (etc. ...), choisissez un outils de dessin (crayon,
pinceau, gomme, ...) ou d’effet (icône en forme de goutte ou de main, ...) et faites un
premier point sur l’image (clic gauche de la souris). Ensuite, pressez le touche majuscule
(Shift) − une ligne de direction apparaît − il ne vous reste qu’à faire un clic gauche pour
dessiner la ligne (sans relacher Shift).

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3.7 Ksnapshot − faire des captures d’écran

Lorsque l’on fait des didacticiels, il est rapidement nécessaire de pouvoir faire des captures
d’écran. C’est aussi ce que l’on trouve régulièrement dans les sites Linux, que se soit pour
une distribution ou pour un logiciel (en anglais = screenshot). Car comme on dit « une petite
image vaut mieux qu’un long discours » !
Ksnapshot est un utilitaire présent par défaut dans l’environnement KDE. Comme il est
possible qu’il n’apparaisse pas dans le menu K, exécutez le directement en tapant Alt+F2
puis en entrant dans le cadre qui apparaît, ksnapshot.

Fenêtre de capture :

(1) − pour lancer une nouvelle capture (la première à lieue au démarrage du logiciel) − dans
les Options, on choisit le délais entre le moment où l’on presse le bouton de capture et celui
où le logiciel la réalise
(2) − pour capturer uniquement la fenêtre en cours
(3) − pour enregistrer la capture

Fenêtre d’enregistrement :

(1) − pour choisir le format de fichier image (PNG, JPG, BMP, ...)
(2) − Enregistrer l’image
le reste de la fenêtre se comporte comme un explorateur de fichiers, avec prévisualisation
de fichiers existants, création de répertoire, ...
Une fois l’image enregistrée, vous revenez automatiquement à la fenêtre de capture

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3.8 Se détendre
Knoppix permet aussi des petits moments de détente après le travail. En voici un aperçu.

3.8.1 Xmms, lecteur multimédia (mp3, ogg, CD, vidéo, ...)


Cherchez Xmms dans le menu K, puis Multimedia et Sound. Sinon, pressez Alt + F2 et
tapez xmms et validez (Ok).
Ces trois interfaces peuvent n’en faire
qu’une seule. Un clic droit sur chacune
d’elle offre un menu d’option.
Les deux du bas peuvent etre obtenues
avec les deux boutons EQ et PL à droite,
sur le lecteur (en rouge, ci−dessous) :
Lecteur

Equalizer Par exemple, il est possible de jouer un


fichier seul, un répertoire ou encore un
CD, ...
Xmms est contrôlable à distance, avec
des plugins (à installer, donc pas en
mode LiveCD) et fonctionne ainsi à partir
de Gkrellm (Chapitre Personnalisation de
KDE), Karamba, ...

Il existe de nombreux plugins et thème


(Skins, pour changer l’aspect des
fenêtres) en téléchargement.

Liste des morceaux à jouer

Mettez vous sur le lecteur et pressez Ctrl + V pour avoir accès aux plugins de visualisation :

Choisissez OpenGL

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3.8.1.1 Installation de Xmms
Xmms est présent dans la plus part des distributions, toutefois voici comment l’installer.
Pour les utilisateurs de distributions de type Mandrake, Suse, Redhat, vous trouverez les
fichiers nécessaires sur le site de xmms − http://www.xmms.org/download.php (reportez−
vous à la rubrique installation de logiciel pour plus de détails sur l’usage des fichiers de
type RPM, DEB ou TAR.GZ)
Si vous utilisez une distribution de type Debian, le mieux est de faire (en mode console, et
en « super utilisateur ») : apt−get install xmms

3.8.1.2 Les skins


Xmms est facilement « transformable », adaptable, selon vos besoin. Il existe de nombreux
skins (de l’anglais peau) qui permettent d’en changer l’apparence et que vous trouverez sur
le site de xmms ou en faisant une recherche dans google. Parmi les skins il y en a un qui
permet d’avoir xmms en français.
Vous téléchargez un fichier de type tar.gz, vous le décompactez et vous copiez le répertoire
obtenu dans le répertoire caché ./xmms/Skins/ (se répertoire est automatiquement créé
lors du premier lancement de xmms et se trouve dans /home/le_nom_de_l’utilisateur/ ) s’il
n’y a pas de répertoire créé par l’archive, vous devez le créer.

Exemple de skin − pour changer de Skin, mettez la souris sur xmms et pressez Alt + S.

3.8.1.3 Les plugins


Il existe de nombreux plugins, permettant un meilleur contrôle du son (son spatial, pré−
réglages, ...) et d’autres permettent le contrôle de xmms par d’autres logiciels et utilitaires
(karamba, gkrellm, applet dans la barre KDE, ...). Vous les trouverez sur le site de xmms,
et pour les utilisateurs de debian, faites une recherche sur
http://www.debian.org/distrib/packages

Pour utiliser xmms avec d’autres utilitaires vous avez besoin de xmms−control
http://www.joethielen.com/xmms−control/#downloads − pour les utilisateurs de Debian, cela
se fait automatiquement en utilisant la fonction apt−get si cela est nécessaire − si par
exemple vous installez un utilitaire qui en a besoin.

http://silicone.free.fr/xmms−FMRadio/ − Utilitaire permetant l’usage d’une carte radio − en


RPM ou tar.gz (à compiler) − ou encore − apt−get install xmms−fmradio

http://xmms−kde.sourceforge.net/about.html − xmms contrôlé dans la barre KDE (tableau


de bord) sous forme d’un applet.

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3.8.1.4 Ecouter la radio sur internet
Voici un exemple d’utilisation de Xmms, que vous soyez en mode LiveCD ou avec une
distribution installée.
Tout d’abords, allez sur un site de radio en ligne (site d’une radio particulière ou un site
regroupant des radios à travers le monde). Il en existe de nombreux, en voici quelques uns :

Shoutcast − http://www.shoutcast.com/
Ce site me paraît être le plus complet, le plus simple et le plus intéressant à utiliser.

Pour écouter, vous devez cliquez (bouton gauche) sur


le bouton jaune Tune In!

Now Playing indique le titre qui est actuellement joué.

Le Bitrate vous indique si suivant la rapidité de votre accès internet,


vous pouvez écouter ou non.

Vous pouvez choisir la vitesse (Limit by Bandwith), le genre de


radio, ou encore rechercher une radio, un style, un pays/continent, ou
encore un titre de musique qui pourrait être actuellement jouée sur
plusieurs radios dans le monde !

Le bitrate doit être inférieur ou égal à 32 pour un modem 56k.

Il est à noter qu’en général, un accès en 56k limite l’écoute à du mono


(accès haut débit = stéréo − si la radio le permet).

Attention, il arrive qu’une radio ne fonctionne pas, même si votre connexion le permet ; ce
n’est pas forcément une erreur de votre part.
Ces opérations sont valables sur la plus part des sites de radio en ligne (seul le
bouton change) !

Si vous utilisez Mozilla :


La première fois que vous cliquez sur Tune In! vous devez paramétrer Mozilla pour qu’il
lance automatiquement xmms
En cliquant sur le bouton Tune In!
Vous obtenez cette fenêtre.
Choisissez Open it with et tapez
xmms. Et choisissez Always preform
this action ... pour ne pas à avoir à
refaire cela à chaque fois.

Vous pouvez aussi aller chercher xmms (bouton Choose) qui se trouve normalement dans
/usr/bin

www.archilinux.org 35 2004
Si vous utilisez Konqueror :

C’est le même principe que pour


Mozilla, à ceci près que vous serez
obligé de répéter l’opération à chaque
fois !

Dans Ouvrir avec tapez xmms

Live365 − http://www.live365.com/index.live
Le site est relativement intéressant, mais il faut obligatoirement s’enregistrer.

Streamtuner −pré−sélectionne les radios


http://www.nongnu.org/streamtuner/ − Il s’agit d’un logiciel permettant offrant un choix de
radio en ligne. Il peut être intéressant pour conserver ses radios préférées, mais je trouve
son choix limité.

Pour l’installer, recherchez l’archive nécessaire sur le site (RPM ou tar.gz) ou :


apt−get install streamtuner

Vous pouvez aussi installer suivant le même principe streamripper qui permet
l’enregistrement en MP3 !
Pour les utilisateurs de Debian, en cas de problème de dépendance, n’oubliez pas de faire
un apt−get −f install au cas où l’installation ne fonctionnerait pas du premier coup.

Pour l’utiliser, choisissez dans le menu de gauche le type de radio qui vous intéresse, puis
dans la fenêtre de droite, double−cliquez (gauche) dessus − ou cliquez sur le bouton Tune
in − ce qui démarre xmms.

www.archilinux.org 36 2004
Lorsqu’une radio est sélectionnée :

L’adresse de la radio apparaît dans xmms sur une


ligne qui se déplace. Lorsque la connexion est
effectuée, la ligne se fige.

Enfin, la radio se charge rapidement (même avec


une connexion 56k) et un système de mémoire
tampon ( buffer ) permet d’avoir un flux continu.

Si le son est saccadé, c’est que vous avez choisi une radio avec un flux trop important pour
votre connexion. Parfois il suffit de se déconnecter et de se re−connecter pour que cela
fonctionne.

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3.8.2 Autres logiciels
Xine − très bon lecteur vidéo, il est possible de regarder un film en plein écran

Kstars, astronomie − Ce logiciel vous donne la carte du ciel quelque soit l’endroit où vous
êtes. Le ciel profond est représenté. Vous pouvez avoir des détails sur chaque objet.

Frozen Bubble, jeu d’arcade − Clone d’un must de l’arcade. On y joue seul ou à deux.

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3.8.3 Installer des jeux
Tout est possible, mais cela dépend de votre configuration matérielle (jeux 3D, ...). Voici une
bonne adresse pour découvrir les jeux sous Linux :
The Linux Game Tome − bible des jeux Linux www.happypenguin.org
Vous pouvez les télécharger ou les installer en passant par apt−get install (voir 5.4
Installation de logiciels).

Tous les jeux pour Windows n’existant pas sous Linux, il est possible d’utiliser Wine (voir
chapitre suivant). Mais il arrive que certaines fonctionnalitées passent mal, notamment le
DirectX. Il existe une solution payante WineX http://www.transgaming.com/

Voici quelques exemples de jeux :


TuxPuck (apt−get install tuxpuck) − 325 Ko

Lbreakout2 (http://lgames.sourceforge.net/index.php?project=LBreakout2 ou apt−get


install lbreakout2) − 2,5 Mo

Cube (http://wouter.fov120.com/cube/) − 18,5 Mo

www.archilinux.org 39 2004
3.9 Wine, ou comment utiliser des logiciels Windows sous Linux
Il arrive que l’on ne trouve pas d’équivalent à son logiciel préféré sous Linux. Une seule
solution, arriver à le faire fonctionner sous Linux. Pour cela il y a quelques utilitaires : Wine
(open−source et gratuit) ; Vmware (payant) ; bosh (open−source et gratuit) ; ...
Pour installer Wine dans une Debian (vous pouvez taper la ligne complète) :
apt−get install libwine wine libwine−print libwine−twain winesetuptk wine−doc wine−
utils
Pour les autres distributions, vous pouvez utiliser les RPM − voir sur le site de Wine −
www.winehq.com

3.9.1 Configuration
Elle varie suivant les logiciels utilisés. En effet, c’est le logiciel qui détermine l’utilisation
et donc la configuration. Il y a deux cas de figure :
− l’installation dans un « faux Windows » appelé Fake Windows.
− l’installation à partir de Windows installé sur une autre partition du disque dur (et
accessible par montage).
Fake Windows est à essayer en premier. Si l’installation ne fonctionne pas, essayer le
second.
L’ensemble des fichiers de configuration se trouvent dans un répertoire caché, dans votre
répertoire d’utilisateur. Par exemple, si vous êtes logué en tant que knoppix, les fichiers
sont dans /home/knoppix/.wine/
Dernier point, si une installation échoue avec une version de Wine, cela peut fonctionner
avec une autre.

La base
Ouvrez une console (shell) et tapez Wine + (Entrée). Dans le cadre qui apparaît, cliquez sur
le bouton de droite Configure Wine. Dans le nouveau cadre, ne changez rien et appuyez
sur Next.
Si le cadre suivant apparaît, cliquez sur Overwrite :

Wine détecte toute installation de Windows (l’éventuelle partition windows doit être
montée), ou de Fake Windows ultérieure. Pour l’un ou l’autre cas, choisissez ci−dessous.

Fake Windows
Le cadre qui apparaît détermine le cas de figure de l’installation :

Choisissez Fake Windows . Si aucune partition Windows n’est montée, ce choix le sera par
défaut. Cliquez ensuite sur Next.

www.archilinux.org 40 2004
Windows
Avant d’en arriver là, la partition Windows doit être montée, pour que Wine la détecte.
Après la détection, si elle a fonctionné, vous verrez ce cadre (cliquez alors sur Next) :

Configuration commune − et fin


Le cadre qui apparaît ensuite, finalise l’installation :

vous déterminez ici l’aspect des cadres du logiciel Windows, leur taille ; les répertoires des
librairies DLL ; etc ...

Dans le menu de gauche, cliquez sur Look & Feel (en haut) :

Choisissez en fonction de vos préférences (le plus souvent j’utilise Win 98).

www.archilinux.org 41 2004
Ensuite, cliquez sur Window Mode :

Cette partie est importante ; elle détermine la taille du logiciel Windows, dans
l’environnement graphique de Linux (KDE, Xfce, ...).
Managed est le plus intéressant, mais il arrive que son usage, suivant les logiciels, en
bloque le fonctionnement. Donc, avant de passer à une configuration utilisant l’installation
de Windows, essayez ici Unmanaged puis Desktop avant.

Le menu Advanced permet de régler la configuration dans le détail. Vous pouvez ne rien
changer.

Regardez toutefois les différents menu (Drives, Paths, ...) pour voir ce qu’ils apportent. En
cas d’échec, c’est ici que vous trouverez peut être la solution.

Une fois ces changement effectués, cliquez sur Finish, puis Yes.

Si un cadre de confirmation apparaît, cliquez sur Overwrite .

Enfin, cliquez sur Ok. La configuration est terminée.

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3.9.2 Utilisation
Pour trouver un logiciel fonctionnant avec Wine :
The Wine Application Database − http://appdb.winehq.com/
Mais le fait qu’un logiciel ne soit pas listé ne signifie pas que cela ne marchera pas : faites
des essais !

Pour lancer une installation (ou une utilisation), Ouvrez une console. Allez dans le
répertoire où se trouve le fichier d’installation (.EXE / .COM).
Tapez wine nom_du_fichier.exe (en respectant les majuscules, qui sont importantes sous
Linux).
L’avantage de travailler à partir d’une console, est de voir là où cela ne fonctionne
pas.

Si installation ne fonctionne pas, utiliser l’option « Debug » (visible dans le cadre Wine,
durant l’installation d’un logiciel) − plus long, mais peu réussir :

En cas d’échec, revoyez la configuration (Advanced).

Vous avez également la possibilité de récupérer un logiciel installé sous Windows, et de le


copier dans le répertoire /home/votre_nom_d’utilisateur/.wine/fake_windows/

Ce répertoire contient My Documents ; Program Files ; Recycled ; Temp ; Windows


le répertoire Program Files, contient Common File (Fichiers Commun)
le répertoire Windows :

Vous devez donc respecter les répertoires où le logiciel installé sous Windows, à des
fichiers indispensables.
Par exemple, le répertoire Common File peut aussi contenir des fichiers du logiciel (dans
un répertoire qui lui est propre).

L’installation d’un logiciel peut échouer avec une version de Wine,


mais peut fonctionner avec une autre, qu’elle soit plus récente ou plus
ancienne !

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3.9.3 Quelques trucs et astuces, et informations diverses

Xwine − interface d’installation et de configuration pour Wine :

http://darken.tuxfamily.org/pages/xwine.html

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3.9.4 Exemples

3.9.4.1 Sketchup
J’ai téléchargé la version 3.0 d’essais. Configurez Wine avec Windows existant et
Managed. Montez la partition Windows. Ouvrez une console et allez dans le répertoire où
se trouve le fichier d’installation. Tapez wine Install*.exe LANG=fr_FR
(respectez les majuscules)

L’installation s’initialise et cela prend un peu de temps :

suivez l’installation ...

Une fois l’installation réussie, vous devez lire ceci dans la console (Wine exited with a
successfull statuts) :

Pour lancer Sketchup, allez dans le répertoire où il à été installé (probablement


/mnt/windows/Program Files/@Last Softwares/) et dans la console, tapez wine
SketchUp.exe LANG=fr_FR

Si l’installation est correct, son usage est pour le moment difficile. Mais ma version de Wine
date une peu. Je vais donc en installer une plus récente et revoir cette partie. Mais il est
possible que cela fonctionne chez vous !

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3.9.4.2 Autocad
Il semble qu’Autocad fonctionne avec Wine, mais je n’ai pas réussi à l’installer. Jusque là,
tout va bien :

Puis à la fin de l’installation :

Je vous communique malgré tout les adresses où l’on trouve les informations pour y
parvenir, car d’autres y sont arrivé :
Autocad 2000 − http://pages.sbcglobal.net/mycroft/linux/ et
http://appdb.winehq.com/appview.php?appId=86&versionId=102

Autocad 14 − http://appdb.winehq.com/appview.php?appId=86 et pour le didacticiel (en


anglais) : http://appdb.winehq.com/noteview.php?noteId=71&appId=86&versionId=103

3.9.4.3 Rhino 3D
S’installe et fonctionne très bien avec fake_windows :

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3.9.4.4 Turbocad
Ne s’installe pas − j’en suis arrivé là, avant l’échec :

C’est sans doute dû à sa dépendance avec Microsoft Internet Explorer qui empêche son
installation sous Linux.

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3.9.4.5 jouer avec Starcraft
1. Configurez Wine :
Allez dans le menu K et sélectionnez Wine. Dans la fenêtre qui apparaît, cliquez sur
"Configure Wine", puis sur "Next". Choisissez une installation sous Linux, avec
"fake_windows" (puis cliquez sur Next). Dans la fenêtre principale de configuration :
à "Look & Feel" choisissez "win 98"
à "Window Mode" choisissez "Desktop" et choisissez la résolution en fonction de l’écran

Enfin, en bas à droite de la fenêtre cliquer sur "Finish"

2. Installez Starcraft :
Après avoir "monté" le CDrom du jeu, ouvrez une fenêtre console et tapez :
wine /cdrom/setup.exe
lorsque la fenêtre du jeu apparaît, cliquez sur "Installer Starcraft" et suivez la procédure

Entrez les codes, etc. ...


L’installation est lancée.

Une fois l’installation achevée, la fenêtre d’installation change et la mention "Jouer à


Starcraft" apparaît. Cliquez dessus pour lancer le jeu.

NOTE : lors de la configuration de Wine, à "Window Mode" en choisissant "Manage" qui


peut être plus confortable pour un autre logiciel, cela empêche parfois dans Starcraft de
pouvoir utiliser le clavier. Il est alors impossible de jouer. Enfin, comme le mode DirectX
fonctionne mal, l’image est réduite.

De nombreux jeux fonctionnent sur linux et knoppix (à voir notamment la rubrique


« documentations − de www.knoppixfr.org )

www.archilinux.org 48 2004

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