1bac - Revision Et Preparation A L'examen - Corrige 1 - Oubaadi
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BAC
CORRIGE
Texte de base :
1-
a- Ce fragment se situe juste après qu’Antigone a été arrêtée en essayant pour la deuxième fois d’enterrer le cadavre ;
relève dans l’une de ses répliques la phrase qui le montre.
- « Et cette nuit, la première fois, c’était toi aussi ? » (1)
- Cette didascalie : « Les Gardes sont sortis, précédés par le petit PAGE
3- Comment Créon allait-il camoufler (cacher au peuple) cette affaire de sa nièce Antigone ? (2)
- Créon allait camoufler cette affaire de sa nièce Antigone en tuant les Gardes.
- Il le qualifie de « Projet » car il pensait qu’il y avait quelqu’un d’autre avec elle dans cette affaire comme si
c’était un complot.
5- Cite deux raisons de Créon pour lesquelles il fait de son mieux pour sauver la vie à Antigone ?
a- Raison personnelle/familiale : Antigone est sa nièce, et qu’il va être la femme de son fils. (1)
b- Raison politique : Si jamais il tuait Antigone, on ferait d’elle un Héros national. (1)
6- Qu’est-ce qui traduit à la fois dans les gestes et les paroles d’Antigone :
• Une personnification ?
• Une métaphorisation ?
• Une comparaison ?
• 4 mots qui pourraient être des Anachronismes : une pelle / les vacances/un rapport/ les menottes.
(1)
• Un exemple de didascalie relative à un geste de voix : Un silence. (1)
9- « Pourquoi as-tu tenté d’enterrer le cadavre de ton frère, ce matin ? », demanda Créon à Antigone.
→ Créon demanda à Antigone pourquoi elle avait tenté d’enterrer le cadavre de son frère, ce matin-
là. (1)
10- Antigone et sa sœur Ismène ont chacune une vision différente du bonheur ; laquelle des deux visions
approuves-tu ? Pourquoi ? (2)
Pour Ismène, elle accepte ce bonheur facile que Créon met à sa disposition, en échange de son obéissance et
au détriment de son devoir familial envers le cadavre de son frère Polynice ; ce que sa sœur Antigone considère
comme une trahison envers sa famille et sa cité. Quant à Antigone, elle refuse tout chantage, tout marchandage
et compromis de la part de son oncle Créon à propos de l’enterrement du cadavre de son frère; elle considère
ce bonheur qu’il lui offre comme un bonheur facile et vide de sens, car elle veut un bonheur réel, celui qu’elle
fait avec ses propres mains et non celui qu’on lui offre pour la détourner des ses principes et de ses idéaux.
Même quand il lui parle de Son fiancé Hémon et de son fils qui allait être le futur prince de Thèbes, elle dit
qu’elle veut un Hémon fort, courageux, toujours là quand elle aura besoin de lui, prêt à se sacrifier pour elle, et
non pas « un fils à papa ».