Antenne Lecher Oct2012

L'antenne de Lécher
Volume 1
Du livre inachevé ...

pour les Pères de la Croix
Albert le Bref
Liste des volumes
I L'antenne de Lécher
II Répertoire des vibrations
III La nature de l'homme
IV L'homme et la femme dans leur incarnation
V Le contexte de la médecine française au début du XXIe siècle
VI La maladie
VII Les pollutions
VIII Les thérapeutiques
IX Les médecines informatives
X L'enseignement donné aux Pères de la Croix
XI Le roman des Pères de la Croix
XI Bis « L'Œuvre »
XII L'agriculture
Volume 1 : Le monde créé 1

Avant-propos
Le monde n'a cessé d'évoluer. Les textes sacrés précisent le chemin de cette évolution. Depuis le début du
XXIe siècle, certains constatent des modifications de leur environnement : impression d'une accélération du
temps, perturbations du climat et de la nature, désordres socio-économiques, bouleversements des mœurs,
impression de solitude des individus, diminution des rapports affectifs au profit de rapports d'intérêts
financiers. L'argent est devenu le moteur de la société. Ces désordres évoquent le monde prévu par les textes
prophétiques du siècle dernier. Ces ouvrages issus de visionnaires s'inquiètent de la perte des valeurs
morales de la France depuis la Révolution. L'homme occidental est devenu sourd aux avertissements.
L'humanité des derniers jours est décrite dans les passages de Saint Paul (2Th 3,1-8, 2Th 4, 3-5). A ces
multiples signes, nous ajouterons les modifications énergétiques de la terre, prémices de la modification de
l'axe des pôles. L'ensemble n'annonce-t-il pas l'Apocalypse ?
Saint Jean a écrit dans son texte de l'Apocalypse : « Puis on me donna un roseau, une sorte de baguette, en
me disant : « Lève-toi pour mesurer le Temple de Dieu, l'autel et les adorateurs qui s'y trouvent. Quant au
parvis extérieur du Temple, laisse-le, ne le mesure pas, car on l'a donné aux païens : ils fouleront la ville
Sainte pendant 42 mois » ». Ap 11,1-2. Cette sorte de baguette ne pourrait-elle pas être une antenne de
Lécher ? En ce début du XXIe siècle, la perception que nous avons de ce monde est basée sur 25 années de
pratique de l'antenne de Lécher (Cf. volume « Antenne de Lécher »).
C'est sous l'égide d'Albert le Grand qu'un groupe de chercheurs bretons a pris le pseudonyme de « Albert le
Bref ». Albert le Grand est un dominicain, évêque de Ratisbonne. Il est célèbre dès son époque pour son
enseignement universitaire tant en Allemagne qu'en France. Son savoir est encyclopédique. L'édition de ses
écrits comprend 38 volumes in-quarto. Son enseignement est avant tout pragmatique. Saint Thomas d'Aquin
est son élève le plus célèbre. Tous les deux s'inspirent de la philosophie aristotélicienne. Saint Albert, mort à
Cologne le 15 novembre 1280, est béatifié en 1622. Pie XI, en 1931, le canonise et le proclame docteur de
l'Église. Pie XII le donne comme patron à tous ceux qui se vouent aux sciences de la vie.
Ce groupe de chercheurs rassemble sous le titre « Le livre inachevé … pour les Pères de la Croix » son
travail expérimental et sa vision du monde. La France qui fut, pendant mille ans, la « Fille aînée de
l'Église », le phare de la connaissance universelle de par le monde, perd ses valeurs. Lors de sa faillite
globale, des âmes d'élites se regrouperont en Bretagne et recevront le titre de « Pères de la Croix ». Et c'est
pour eux que cet enseignement est écrit.
Les « Pères de la Croix », serviteurs de Dieu pour un « temps nouveau », succédant à l'Apocalypse, ont été
pressentis par des visionnaires :
– Au début du XVIIIe siècle, le Père Louis-Marie Grignion de Monfort, né à la lisière de la forêt de
Brocéliande, évoque ces serviteurs « esclaves et enfants de Marie », liés directement « au pouvoir de
Marie ». Mais « le pouvoir de Marie sur tous les diables éclatera particulièrement dans les derniers
temps ». « Ces apôtres véritables des derniers temps » auront « la parole et la force pour opérer des
merveilles ». Ce sont de « grands hommes » qui auront à cœur d'étendre « l'empire de Marie ».
– Au XIXe siècle, les révélations privées de la « Sainte de Blain » désignent ces âmes d'élite, « Pères de la
Croix ».
– Fin du XXe siècle, la vision de ces moines est perçue par deux personnes différentes dans
l'environnement immédiat de l'abbaye de Paimpont, en 1975 et 1980. Leur tunique bleue porte une croix
de Saint André blanche au niveau du thorax.
– Au début du XXIe siècle, apparaît de façon vibratoire cette croix blanche sur des personnes dont on
remarquera l'expression d'une foi véritable, mais aussi sur des individus à haute valeur morale sans
culture chrétienne approfondie.
Ces ouvrages sont rédigés un demi-siècle avant l'activité des Pères de la Croix. Ces derniers développeront
l'enseignement contenu dans ces « livres inachevés ». Le monde est vu comme un lieu de pèlerinage pour
l'homme en attente du Royaume. Pour le groupe responsable des recherches, la Bretagne accueillera des
populations déplacées, en particulier les chrétiens du Moyen-Orient. Les références évangéliques fréquentes
montrent les efforts des chercheurs pour réfuter une science matérialiste de plus en plus anti-humaniste, en
s'appuyant sur une vision chrétienne du monde. L'influence de la déchristianisation de notre époque rend
difficile une première lecture. L'assimilation des informations de chaque volume nécessite la lecture de
plusieurs autres. Cette lecture n'est pas évidente, en particulier pour ceux qui n'ont pas une conception

énergétique du monde. En dépit de la difficulté de s'extraire de la pensée matérialiste, espérons que Saint
Albert, dont le nom signifie « très clair » en vieille langue germanique, apportera au lecteur un éclairage à la
compréhension des textes et l'assurance d'un avenir sur terre avec « Foi, Espérance et Charité » ! Saint Paul
donne le conseil suivant : « N'éteignez pas l'Esprit, ne dépréciez pas les dons de prophéties ; mais vérifiez
tout : ce qui est bon, retenez-le », 1 Th 5, 19-21.
Lecteur, si ce livre n'est pas dans ta logique, n'hésite pas à le refermer. Nous acceptons que des textes rédigés
pour des hommes qui vivront un demi-siècle après leur rédaction, puissent ne pas être assimilés au temps de
leur conception. S'ils étaient totalement compris, ils n'atteindraient pas leur but d'aider des hommes à
s'adapter à une situation nouvelle et sans précédent. Si tu es un chercheur familier des publications
scientifiques, tu pourras être indigné que nous exposions des thèses ou des idées sans citer de références
bibliographiques. Si certains chercheurs retrouvent leurs idées, qu'ils sachent que les auteurs sont
reconnaissants de leur travail. En aucun cas, nous n'avons la prétention de convaincre qui que ce soit, en
particulier les matérialistes de notre époque. « L'homme psychique n'accueille pas ce qui est de l'Esprit de
Dieu : c'est folie pour lui et il ne peut le connaître, car c'est spirituellement qu'on en juge », 1Co 2, 14. Nous
espérons être utiles en donnant un enseignement aux Pères de la Croix pour les années post 2020. Ces âmes
d'élites auront une spiritualité mariale et des propriétés paraspychologiques leur permettant de manier
facilement l'antenne de Lécher. Ces ouvrages ont été rédigés entre 1980 et 2010. Cette période correspond
probablement à la naissance et à la jeunesse de ces « apôtres des derniers temps ». L'apport « scientifique » à
la connaissance humaine nous a été donné par la pratique de l'antenne de Lécher, tant dans sa version
primitive que dans sa version à double échelle que nous avons créée, outil privilégié pour aborder le vivant
dans sa complexité. Nous abordons aussi des notions qui appartiennent au domaine transcendantal et qui ne
pourront être entendues par tous « Eux, ils sont du monde ; c'est pourquoi ils parlent d'après le monde et le
monde les écoute. Nous, nous sommes de Dieu. Qui connaît Dieu nous écoute, qui n'est pas de Dieu ne nous
écoute pas. C'est à quoi nous reconnaissons l'esprit de la vérité et l'esprit de l'erreur. » 1Jn 4, 5-6.
L'enseignement que nous proposons ne peut être assimilé totalement que par une personne ayant un corps
physique, mental, psychique mais aussi spirituel. Il pourra paraître pour certains comme une « remise des
pendules à l'heure », alors que pour d'autres, il restera hermétique. Ces textes visent la protection de la vie.
Dans leur philosophie, les grecs faisaient la distinction entre ce qui était favorable à la vie et ce qui lui était
défavorable. Ils prévoyaient la dégénérescence humaine quand cette distinction ne sera plus faite. Pour
certains médiums, les mythes grecs ne seraient qu'une réminiscence des rois atlantes. Cette volonté de se
méfier des progrès matérialistes serait associée au souvenir de la fin des atlantes par un cataclysme
déclenché par leurs activités. Deux exemples sont évocateurs de la pensée humaine. Louis XIV gardait une
certaine sagesse quand il refusa l'introduction de la mitrailleuse dans ses troupes. A l'inverse Einstein, père
de la bombe atomique, s'éloigne de cette sagesse en réfutant le concept de l'éther en science. Or l'éther est le
support principal du logos, base de toute création.
Les Pères de la Croix impulseront une nouvelle force à l'Évangile, mais quitteront la France à la fin
du XXIe siècle.
Terminons avec la petite histoire suivante :
Il était une fois un moinillon, honte de son monastère, car incapable de faire des enluminures, pas même
une belle lettre. Mais que faisait-il au début de la nuit dans la chapelle ? Il fut surveillé un soir et, ô
surprise, on le vit décrocher le tableau de la Vierge pour le mettre devant l'autel et accomplir des prouesses
avec son corps : sauts périlleux, grands écarts, pour finir dans un soupir : « C'est pour toi, Marie ! ».
L'histoire du moine se termine par l'arrivée d'une grande Dame Blanche venant essuyer le front de notre
sportif.
Marie, ces ouvrages: « C'est pour toi, Marie ! ». Nous espérons que le « Cœur Immaculé » de Marie
sera touché pour accorder son indulgence à ceux qui, croyants ou pas, ont eu un rôle dans ce travail. Ils
furent nombreux.

1 – Évolution du monde
1.1 – Les mutations de l'homme
Ce début du XXIe siècle est marqué par une période de mutation de l'homme dû à un
bouleversement de son environnement. Ce bouleversement est lié à une modification des énergies
cosmiques. La science matérialiste est bien incapable de percevoir ce changement et plus grave
encore, elle entraîne l'homme comme la nature à une mort progressive. Nous exposons un ensemble
de concepts dont certains ouvrent à une connaissance de la partie invisible de la création.
Ces textes sont avant tout la base d'un enseignement pour des hommes ayant un minimum de
culture occidentale. Ces travaux peuvent intéresser des individus ayant conscience d'une humanité
vivant une période de transition... probablement l'Apocalypse. Mais seuls, les Pères de la Croix,
pierres d'angle dans la transition de deux cycles de l'humanité valideront et complèteront ce travail.
Cet ouvrage en 12 volumes ne sera accessible dans sa totalité qu'aux Pères de la Croix. C'est un
travail dont la base est scientifique. Il fut commencé en 1975 et repose sur une trentaine d'années
d'activité de recherche. Une partie des travaux scientifiques bénéficie de données acquises grâce à
des propriétés particulières de certaines personnes. Le volume 11 a un contenu prophétique qui ne
sera validé que dans les années 2050.
Lecteur, il n'y aura de vérité dans cet ouvrage que ce que tu pourras vérifier par toi-même !
Scientifiques, nous le sommes, en acceptant les dogmes de l'Église catholique dans leur intégralité
et en ne reconnaissant dans ce monde que trois blancheurs : la Vierge Marie, l'Eucharistie et le Pape.
Ce groupe de scientifiques n'avait au départ qu'un projet : celui d'une recherche des énergies au
dessus des limites communément admises pour la lumière. Nous avons progressivement pris
conscience d'une réalité de la création qui va bien au delà de son apparence matérielle, la notion de
quota de temps variable. Pour certains lecteurs, la réflexion spirituelle en filigrane sera plus difficile
à admettre.
Nous cherchons ici à enseigner une connaissance scientifique basée sur l'étude des vibrations
énergétiques du cosmos. Pour être précis, cette connaissance des vibrations cosmiques a une double
finalité : humanitaire dans son aide au prochain comme par exemple les mesures énergétique de
l'alimentation, la présence de toxiques, la perte de vitalité de la terre, des précisions sur les
pathologies du vivant, mais aussi militaire puisque nous avons la certitude que les Pères de la Croix
créeront des armes pour se protéger eux-mêmes et ceux dont ils ont la charge. Le livre est et sera
« inachevé ». Il est une illustration de l'imperfection de tout travail humain à la recherche d'une
Vérité mais aussi, du contexte de l'époque puisque nous avançons la preuve d'une perte des énergies
… probablement pour aboutir à l'Apocalypse. Aussi, de nombreuses mesures que nous citons, ne
seront peut-être plus d'actualité dans quelques années, mais il existera des coefficients de
proportionnalité entre anciennes et nouvelles mesures.
Dans une période où la désinformation, le mensonge, le bouleversement de toutes les valeurs
morales et intellectuelles prédominent à tous niveaux, l'homme se détruit lui-même mais aussi la
planète. Notre recherche a comme finalité profonde de repérer, dans une certaine mesure, ce qui fait
chuter l'homme dans la pathologie et ce qui dégrade la Terre. Toute connaissance théorique du
cosmos devrait servir à l'évolution de l'humanité sur cette terre. Cette évolution dépend de plusieurs
types de sagesse.
– La sagesse du monde gère les biens de ce monde selon les valeurs du monde.
C'est l'exacerbation de cette sagesse, nourrie par la concupiscence des hommes et la domination du
monde par l'argent, qui est le signe d'une fin de cette civilisation des « droits de l'homme », issue du
« siècle des lumières ».
– La sagesse naturelle regarde dans le monde, l'action du créateur et de la divine providence.

C'est le défaut de cette sagesse qui conduit les hommes et la terre à leur auto-destruction.
– La sagesse divine communique à l'homme la grande science des saints.
C'est celle des prophètes, des apôtres, des docteurs de l'Église et des amis de Dieu. C'est cette
sagesse éternelle, décrite par le Père Grignion de Monfort, un des visionnaires des « apôtres des
derniers temps », « qui a inspiré les hommes de Dieu, et qui a parlé par la bouche des prophètes, et
les a dirigés dans leurs voies, éclairés dans leurs doutes, soutenus dans leurs faiblesses et délivrés de
tous maux. »1
Comme pour tout enseignement, la lecture de ces ouvrages nécessite un effort. Leur validité ne
reposera que sur la capacité de baliser les chemins de la Vérité pour l'homme, chemin qui mène au
Créateur de toute vie. « A quoi cela sert-il, mes frères, que quelqu'un dise : J'ai la foi", s'il n'a pas
les œuvres ? » Jc 2, 14. Et cela sera bien le rôle des Pères de la Croix, d'aider leur prochain, en
particulier les populations chrétiennes déplacées cherchant asile en Bretagne. En attendant cette
période, nombreux sont les individus capables de manier l'antenne. Il existe d'ailleurs des écoles
préparant des agriculteurs, des thérapeutes au maniement de l'antenne.
1.2 – Le monde au début du XXIe siècle

Nous citerons les faits saillants de ce début du XXIe siècle :
– l'occident n'est plus le centre du monde ;
– l'hégémonie de l'homme blanc a disparu au profit d'un métissage de l'occident ;
– les deux grandes puissances qui ont caractérisé la fin du XXe restent fortes militairement,
mais économiquement peuvent être considérées comme en faillite ;
– la fin de l'idéologie communiste a entraîné la triomphe du néo-libéralisme et un capitalisme
débridé ;
– l'apparition de fortunes rapidement établies contraste avec la dégradation du niveau de vie
des populations ;
– les dettes tant du public que du privé ont explosé ;
– le monde bipolaire est devenu multipolaire avec plusieurs zones ayant une puissance
financière et militaire, l'Amérique, la Russie, mais l'émergence de la Chine et de l'Amérique
du sud sont autant de concurrence pour l'Europe. L'unité de l'Europe reposant sur des valeurs
purement économiques risque de fragiliser encore plus les populations lors d'une dévaluation
de l'euro;
– les universités européennes ont perdu en grande partie leur fonction qui est la formation des
élites. L'effort de recherche des instituts a été abandonné. Munis de diplômes supérieurs, le
jeune européen est au chômage.
– le vieillissement de l'Europe se traduit paradoxalement par l'apparition de jeunes générations
sans avenir parce qu'inadaptées à la société qui les entoure. Avec un baccalauréat dévalorisé,
on estime que les jeunes ayant seulement cet examen : 40% seront des « Tanguy », c'est à
dire vivant au dépend des parents; 40% seront sous le coupe de l'état avec 20% à l'aide
sociale, 20% dans des structures judiciaires; seules 20% de ces jeunes pourront s'intégrer
dans la société actuelle.
– l'apparition de pays émergents est une menace directe pour l'évolution de l'Europe ; la Chine,
dont les français achetaient la survie des filles pour éviter quelles soient jetées dans les cours
d'eau, est devenue la deuxième puissance mondiale. Elle va contrôler le monde tant par ses
1 Louis Marie Grignion de Montfort. L'amour de la Sagesse Éternelle, Édition du Seuil, §48

richesses de productions que par ses richesses intérieures en métaux rares. Des quartiers
entier de Paris sont achetés, mais également partout dans le monde, les terres arables du
Québec au Canada sont visées par les capitaux chinois.
– le Brésil comme l'Inde sont en pleine ascension ;
– le monde arabe est en pleine effervescence : l'Islam politique va être assurément une force
s'opposant à un monde occidental qui a perdu toute spiritualité et dont la croyance en la
démocratie et la laïcité ne peuvent que lui être fatales. Khomeini, réfugié en France, a prévu
l'apparition du croissant territorial islamique occupant toute l'Europe.
– une culture ne perdure plus de 25 ans qu'à la condition d'avoir un taux de fertilité de 2,11
enfants par famille. Toutes les augmentations de populations en Europe depuis 1990 sont
dues à la présence de populations musulmanes. Les français d'origine ont 1,8 enfants par
famille alors que le couple musulman en a 8,0 . Le paysage culturel se modifie, donnons
l'exemple du sud de la France où il y a actuellement plus de mosquées que d'églises en
activité. Les abattoirs sont transformés pour livrer de la viande Halal.
– le français semble aveugle à ces modifications alors que le gouvernement allemand prédit
que l'Allemagne sera un État islamique aux alentours des années 2050.
– Plus un monde est régi par la technicité, plus la spiritualité de l'homme diminue.
Accepter ces faits de société facilitera la compréhension de ce volume dont beaucoup de passages se
veulent « visions prophétiques » du futur.
1.3 – L'évolution du monde selon Soljenitsyne

Nous partageons l'opinion de Soljenitsyne sur le déclin de l'Occident. Le texte rédigé plus de vingt
ans avant le début de ce siècle précise la maladie à venir du monde occidental.
« L'ouest a continué à avancer d'un pas ferme en adéquation avec ses intentions proclamées pour la
société, main dans la main avec un progrès technologique étourdissant. Et tout soudain il s'est
trouvé dans son état présent de faiblesse. Cela signifie que l'erreur doit être à la racine, à la
fondation de la pensée moderne. Je parle de la vision du monde qui a prévalu en Occident à l'époque
moderne. Je parle de la vision du monde qui a prévalu en Occident, née à la Renaissance, et dont les
développements politiques se sont manifestés à partir des Lumières. Elle est devenue la base de la
doctrine sociale et politique et pourrait être appelée l'humanisme rationaliste, ou l'autonomie
humaniste : l'autonomie proclamée et pratiquée de l'homme à l'encontre de toute force supérieure à
lui. On peut parler aussi d'anthropocentrisme: l'homme est vu au centre de tout.
Historiquement, il est probable que l'inflexion qui s'est produite à la Renaissance était inévitable. Le
Moyen Age en était venu naturellement à l'épuisement, en raison d'une répression intolérable de la
nature charnelle de l'homme en faveur de sa nature spirituelle. Mais en s'écartant de l'esprit,
l'homme s'empara de tout ce qui est matériel, avec excès et sans mesure.
La pensée humaniste, qui s'est proclamée notre guide, n'admettait pas l'existence d'un mal
intrinsèque en l'homme, et ne voyait pas de tâche plus noble que d'atteindre le Bonheur sur terre.
Voilà qui engagea la civilisation occidentale moderne naissante sur la pente dangereuse de
l'adoration de l'homme et de ses besoins matériels. Tout ce qui se trouvait au-delà du bien-être
physique et de l'accumulation de biens matériels, tous les autres besoins humains, caractéristiques
d'une nature subtile et élevée, furent rejetés hors du champ d'intérêt de l'État et du système social,
comme si la vie n'avait pas un sens plus élevé. De la sorte, des failles furent laissées ouvertes pour
que s'y engouffre le mal, et son haleine putride souffle librement aujourd'hui. Plus de liberté en soi
ne résout pas le moins du monde l'intégralité des problèmes humains, et même en ajoute un certain

nombre de nouveaux. »1
Commentaire : Est-ce l'accumulation des énergies négatives par le « péché » qui constitue un
barrage aux énergies cosmiques ? Dans ce cas, on conçoit qu'une purification de la terre puisse être
suivie d'une ère de paix de mille ans comme l'annonce l'Apocalypse de Saint Jean. Ou est-ce la
volonté de Dieu de mettre l'homme à l'épreuve par la perte des énergies du cosmos ? Dieu est
Amour. L'être humain a sa liberté et Dieu respecte cette liberté. Dieu ne saurait se réjouir de notre
désarroi.
1.4 – Comprendre le monde

Si on veut une survie au moins d'une partie de l'humanité, il faut nécessairement changer la
mentalité des hommes.
L'Apocalypse de Saint Jean ne décrit-elle pas l'antenne de Lécher ? « Puis on me donna un roseau,
une sorte de baguette, en me disant : « Lève-toi pour mesurer le Temple de Dieu, l'autel et les
adorateurs qui s'y trouvent » » Ap 11, 1. Elle est une prémonition sur des temps à venir. « ... quant
au parvis extérieur du Temple, laisse-le, ne le mesure pas, car on l'a donné aux païens..... » Ap 11, 2.
La suite du texte est éloquente de véracité. Elle prévient du danger connu lors d'une manipulation de
l'antenne. Les énergies négatives pénètrent celui qui les teste. C'est aussi dire la nécessité pour se
protéger, de repérer les pollutions en tous genres qui envahissent le monde, pour le temps de
l'Apocalypse et aussi de se mesurer soi-même.
Grâce à l'antenne, on détermine les capacités énergétiques d'une alimentation, les perturbations d'un
environnement, l'ébauche d'une pathologie bien avant que les lésions organiques ne s'installent.
Mais l'usage généralisé de l'antenne ne viendra qu'après l'Apocalypse. Par une pratique de l'antenne,
l'expérimentateur constatera qu'un tiers des vibrations harmoniques est constitué de vibrations
spirituelles. Ces vibrations se majorent dans les lieux sacrés et disparaissent dans les lieux pollués.
Elles sont indispensables à l'équilibre de l'homme.
L'antenne de Lécher ouvre une connaissance de la partie invisible de la création. Le monde, qu'il
soit visible ou invisible est un monde vibratoire avec ses forces positives et ses forces négatives,
aboutissant à des phénomènes de résonance, de rythme, d'interaction et de champ de force.
L'antenne de Lécher donne à l'homme des lumières pour approcher la vérité et une capacité à
comprendre la « sagesse naturelle », « connaissance éminente de la nature dans ses principes ». Saint
Louis-Marie Grignion de Montfort dans « L'amour de la sagesse éternelle » précise les différentes
facettes de la Sagesse. « La Sagesse ne donne pas seulement à l'homme ses lumières pour connaître
la vérité, mais encore une capacité merveilleuse pour la faire connaître aux autres : Scientiam habet
vocis. ... Comme la divine Sagesse est parole dans l'éternité et dans le temps, elle a toujours parlé, et
sur sa parole tout a été fait et tout a été réparé. Elle a parlé par les Prophètes, par les Apôtres, et elle
parlera jusqu'à la la fin des siècles par la bouche de ceux à qui elle se donnera. » En note du
paragraphe, le Père de Montfort prévoit ce don pour ses futurs missionnaires, les apôtres des
derniers temps. Ne seront-ils pas les Pères de la Croix ?
Le « bon sens » de nos anciens était basé sur un minimum d'intuition et de sensibilité. Ces propriétés
étaient en relation avec une vie plus près de la nature et des énergies cosmiques plus puissantes.
L'enseignement, la culture et la vie moderne ont fait disparaître ce « bon sens » par un
intellectualisme débridé. Or ces propriétés dites « extra-sensorielles » n'ont pas l'exclusivité de
l'homme. Certains comportements de l'animal restent mystérieux. Ils dépendent d'une sensibilité
énergétique. La prévision de l'orage par l'animal n'est-il pas de cet ordre là ? Les chevaux repèrent
l'eau dans le désert. Lors des cataclysmes marins, les poissons fuient les côtes avant le
bouleversement de la mer. En Chine, on élève des chiens pour prédire les tremblements de terre.
1 Extrait du discours de Harvard prononcé en juin 1978 par Alexandre Soljenitsyne, Prix Nobel de littérature, (Ce texte,
traduit par G. et J. Johannet, est repris dans le volume Le Déclin du courage, éd. du Seuil, 1979)

L'homme a toujours été capable de manifester des propriétés dites extra-sensorielles pour approcher
et comprendre son environnement au delà de l'aspect matériel. Certes, ses cinq sens lui permettent
de se repérer dans le monde physique, mais ses capacités cérébrales dépassent ce monde physique,
par exemple pour comprendre les autres au-delà du langage. L'Église parle de « Parole du Cœur »
chez les Saints. La baguette du sourcier ou le pendule gravé d'une figure de gibier servait à l'homme
primitif pour dépister respectivement l'eau ou la direction du gibier.
Face aux qualités humaines, nous sommes inégaux, la possibilité d'un maniement de l'antenne de
Lécher n'est pas donnée à tous. Dans tous les cas, un enseignement et une pratique sont nécessaires
pour assurer la fiabilité des résultats. Les architectes du Moyen Âge devaient posséder aussi des
propriétés particulières pour élever les constructions romanes ou gothiques. Chaque volume de ces
bâtiments est conçu dans un souci d'élévation spirituelle. La comparaison avec les bâtiments à usage
religieux actuels mesure la dégradation des valeurs spirituelles des maîtres d'œuvre actuels. La
dégénérescence dans l'art de construire est visible aussi dans de nombreuses villes européennes où
la reconstruction d'après-guerre témoigne d'une perte de l'harmonie universelle. Les bases
rudimentaires de la géobiologie sont oubliées depuis le début du XXe siècle. On construit n'importe
où, méconnaissant le savoir des anciens. Les bâtiments de nos banlieues favorisent la dégradation
sociale de leurs habitants. Les églises modernes ont souvent plus l'aspect d'un hangar, d'une caserne
voire d'un temple maçonnique que d'un lieu où l'esprit peut s'élever.
L'antenne de Lécher, demain, par son usage généralisé, va bouleverser la conception du monde du
vivant tant pour les scientifiques que pour le public. L'évolution dramatique de la terre et des
hommes est la conséquence d'une science qui n'a pas de mesure du vivant. On ne peut continuer à
affirmer la gravité de la destruction du vivant sur la terre sans réagir :
– Déjà, on observe des troubles graves de notre jeunesse (obésité, drogue, troubles sociaux).
La moitié des hommes et un tiers des femmes deviendront cancéreux dans les 10 ans, c'est
ce qu'affirment des données statistiques de 2010.
– Le monde de l'agro-alimentaire se dégrade, voire est toxique, avec la dénaturation du vivant,
comme le donne les OGM et les nanotechnologies.
– L'environnement électro-magnétique modifie les comportements.
– La médecine, par la toxicité de ses produits chimiques, est devenue dangereuse. Elle
s'attribue les progrès de la longévité humaine mais en 2010, les courbes vectuarielles
montrent une inversion de cette progression pour les individus nés à partir de l'année 1945.

2 – L'antenne de Lécher
2.1 – Historique
L'antenne de Lécher a été créée à partir de 1930 dans un institut situé en Prusse orientale par un
allemand : Schneider. Il s'est servi d'un raisonnement analogique avec le montage électromagnétique
dit « fils de Lécher ».
Ernest Lécher (1856-1926) démontra que la vitesse de propagation de l'onde électromagnétique était
sensiblement égal à celle de la lumière dans le vide. Son appareil dénommé, « fils de Lécher »,
consiste en une ligne électrique formée de deux longs fils parallèles fermée à une extrémité par un
fil mobile. A l'autre extrémité, un générateur maintient une différence de potentiel à haute fréquence.
On peut montrer l'existence d'ondes stationnaires en faisant glisser le fil métallique d'une extrémité
à l'autre. Si ce fil est relié à une lampe à incandescence, celle-ci brillera au ventre d'intensité, et si
c'est à un néon, celui-ci s'illuminera au ventre de tension.
Pour l'antenne de Lécher, c'est l'expérimentateur qui sert de générateur. Tout ce qui vibre dans
l'univers réagit selon une longueur d'onde au niveau des deux fils de l'antenne de Lécher.
Certains ont tenté d'établir des relations entre la fréquence, la longueur d'onde et la graduation à
l'antenne de Lécher. Cette hypothèse voudrait dire que l'antenne dans les mains de l'expérimentateur
ne serait sensible qu'à des rayonnements électromagnétiques. Or, nous sommes dans des gammes
d'ondes très différentes et spécifiques du vivant. Nous ne nous conformons pas aux hypothèses de
certains théoriciens de l'antenne qui voient les énergies du vivant portées par la lumière. Pour nous,
la lumière n'est qu'une partie infime des énergies du cosmos et qui, après avoir été cavitées à travers
le pôle nord, sont dispersées par réflexion. Elles sont captées par les êtres vivants et la terre. Ces
énergies que reçoit l'homme, nous les avons appelées « énergie Pi », car pour nous, les énergies du
vivant dépassent largement les énergies de la lumière.
L'antenne a été développée par cinq européens qui ont établi une liste que nous avons appelée les
harmoniques standards. Ces cinq chercheurs sont les suivants : Varia, Schneider, Schweitzer,
Grassman et Kunnen. Cette liste princeps a été contrôlée par de nombreux expérimentateurs. Nous
l'avons complété avec d'autres valeurs, elles aussi vérifiées.
A la notion qualitative de la vibration, nous ajoutons une mesure quantitative par la longueur ou la
hauteur de la zone où la vibration est reconnue.
Pour une mesure fiable, il est important que l'expérimentateur ait vérifié (ou ait fait vérifier par
d'autres) qu'il est lui-même équilibré et non pollué. Il n'est apte à capter que ce qu'il est capable de
concevoir. Ainsi, il faut prendre la précaution de contrôler les tableaux proposés par certains. Des
expérimentateurs insensibles aux valeurs spirituelles inversent leur signification lors de leur mesure
à l'antenne.
En 1945, l'institut de Schneider, lors de l'avancée des troupes soviétiques, a été déplacé au Caucase
puis à l'institut d'anthropologie cosmique de la cité des sciences de Baïkonour. Par rapport au
monde occidental, la recherche russe est particulièrement pertinente en matière de propriétés
parapsychologiques du vivant, de la psychotronique et de l'armement. Les chercheurs sont favorisés
dans ces études en raison de leur pragmatisme mais aussi par le fond chamanique de leur culture.
Enfin, ayant souffert de la pression idéologique du communisme, beaucoup se sont rapprochés des
valeurs spirituelles de l'orthodoxie qui leur sert de repère pour établir un étalonnage vibratoire.
Leurs études, au travers des contacts que nous avons tentés d'établir, semblent relever du secret. Les
chercheurs russes nous ont clairement déclaré qu'ils refusaient de donner des précisions à un monde
occidental déformé par le matérialisme et sans caution morale !
Quant aux américains, leur rationalité matérielle les éloigne sans doute de l'utilisation de l'antenne

de Lécher.
En France, son introduction date des années 80. Elle est surtout utilisée par des géobiologues avec
une antenne du commerce ne dépassant pas 18 cm, chiffre maximal des tables publiées. La précision
des mesures ne peut aller en-deçà du demi-millimètre sur ce type de règle. Certaines antennes sont
vendues avec des accessoires qui sont pour nous inutiles. Quand l'antenne est couplée avec une
diode laser rouge, elle devient dangereuse. Les sophistications (comme l'antenne pliante), voire
même la nature des matériaux, n'influencent pas la qualité des mesures. En l'an 2000, au sein des
géobiologues, une minorité choisit l'antenne de Lécher pour faire ses mesures, la majorité restant
dans la tradition du pendule et de l'antenne allemande. Il existe en France plusieurs centres pouvant
enseigner sa pratique. L'expérience nous montre que plus l'individu est formaté par une culture
matérialiste, plus il lui sera difficile de se former à l'antenne de Lécher.
L'existence sur certaines tables de valeur en trois chiffres est liée au fait que l'expérimentateur a la
capacité dans son cerveau d'établir le niveau de la vibration qu'il confirmera par une pratique. C'est
une approche mentaliste.
En 1985, nous avons créé une antenne-double qui nous permet d'avoir des vibrations avec quatre
chiffres après la virgule. Son utilisation ne pose aucun problème à ceux qui ont une pratique de
l'antenne simple et la main réagit plus facilement qu'avec le principe des deux antennes couplées.
En effet, il est possible par une technique simple d'obtenir des valeurs à l'antenne de Lecher en
couplant deux antennes par un fil de cuivre. On règle une première antenne sur une vibration, ce qui
donne un chiffre après la virgule et l'on recherche sur l'autre antenne se déplaçant au dessus du
corps, deux autres chiffres pour la compléter. On peut ainsi obtenir trois chiffres après la virgule.
2.3 – Description
L'antenne de Lécher se compose d'une base en bois ou en plastique, surmontée de deux branches
encadrant une réglette graduée. Un curseur coulisse le long de ces branches. Deux autres branches
sont fixées sur la base, faisant un angle de 95° avec les premières portant le curseur. Leur longueur,
en moyenne, est de 12 cm, leur diamètre de 4 à 5 mm. L'une d'entre elles est sous forme de tube
pour pouvoir y introduire une tige aimantée. L'antenne, vendue dans le commerce, a une règle
graduée de 18 cm, et la possibilité théorique de mesurer près de 360 ondes différentes. Une des tiges
de préhension de l'antenne doit être creuse pour y introduire une tige aimantée. En effet la vibration
peut être souvent bipolaire, mais parfois elle a une dominante de polarité nord ou sud. Suivant la
position d'une tige aimantée (pôle nord ou sud) au contact du « circuit », on détectera la qualité nord
ou sud de la vibration. L'expérimentateur doit être conscient que sa propre structure vibratoire peut
influencer ses résultats. C'est redire la nécessité de se faire tester par d'autres, et avec beaucoup
d'entraînement, (quand les pollutions ne sont pas trop fortes) se tester soi-même.

2.3.1 – Antenne simple
HAUT DE
L’ANTENNE
G
TIGE en LAITON
R
A
D CURSEUR DE
L’ANTENNE
U
A
T
I
O
POIGNEE
en LAITON
N
CORPS de
l'ANTENNE
Figure 1 : Schéma de l'antenne de Lécher
– L'antenne du commerce porte des graduations de 0 à 18. Nous nous servons d'une antenne 0
à 20 de fabrication artisanale. Quand l'opérateur devient familier avec ce type d'antenne, il
peut utiliser des antennes plus longues, mais avec une longueur supérieure à 40 cm, le
maniement devient difficile. Au-dessus de 20, il est plus simple de déplacer la virgule et de
repartir au chiffre « 2 », de même pour les centaines. Ainsi, pour mesurer des vibrations
élevées, nous retenons les chiffres significatifs de l'antenne que nous multiplions
mentalement par 10, 100 ou plus selon les besoins.

2.3.2 – Antenne double
Figure 2 : Schéma de l'antenne double
– L'antenne double, nous l'avons crée en 1985 pour apporter la possibilité d'une mesure en 6
chiffres minimum. De part et d'autre du corps de l'antenne, il est fixé une échelle : la partie
supérieure de 0 à 20 et la partie inférieure de 0 à 10. Chacune des échelles donne 3 chiffres
significatifs. La première partie du chiffre est donnée par l'échelle supérieure et les
décimales supplémentaires sont indiquées sur la partie inférieure. Pour gagner encore un
chiffre significatif supplémentaire, on peut modifier l'échelle de la partie haute. Par exemple
pour mesurer les stress psychologiques en 13 et 14, l'échelle supérieure pourra correspondre
aux valeurs de 13,0 à 15,0, au lieu de 0 à 20. Ainsi pour couvrir les mesures de 0 à 20, il faut
10 antennes couvrant chacune 2 unités.

2.4 – Principe du fonctionnement
Le principe du fonctionnement de l'antenne est simple. Les forces énergétiques vibratoires qu'on
cherche à tester sont captées par le pont électromagnétique de l'antenne. Un système d'ondes
stationnaires se crée entre la base de l'antenne et le court-circuit établi par le fil réunissant les deux
montants de l'antenne. Cette distance est la longueur de la demi-onde établie par le système
stationnaire. Pour une onde déterminée, sa puissance est mesurée dans l'espace (en longueur,
hauteur et épaisseur) et sera fonction des forces électromagnétiques de l'expérimentateur. Si on
mesure des énergies négatives, elles se propagent directement à l'expérimentateur en le polluant.
Inversement, des énergies positives vont le renforcer. De la même manière que les cordes de
plusieurs pianos vont vibrer de la même note lorsqu'on tape sur un seul piano, la vibration
éventuelle de l'objet à tester va se mettre en résonance avec celle de l'antenne, la capter et faire
descendre l'antenne par un relâchement des tendons de l'expérimentateur.
On peut constater que certains utilisent l'antenne de Lécher par des questionnements de la pensée.
Ils s'affranchissent donc de la distance ou du temps. L'antenne est ainsi réduite à un rôle de pendule.
Ils ne produisent donc aucune donnée chiffrée reproductible dans le temps et par d'autres
expérimentateurs. C'est le débat entre les « ondistes » et les « mentalistes ». Si certains résultats des
mentalistes se rapprochent de ceux obtenus par des ondistes, il s'agit de personnes exceptionnelles
ayant des mécanismes cérébraux, proches de la « voyance », les rendant capables de s'approcher de
l'objet par la pensée. C'est souvent par un mécanisme de mentalisation que certains chiffres de
l'antenne ont été obtenus. Il ne s'agit pas d'un travail de tâtonnement. Avec les mentalistes, nous
entrons dans un domaine où l'outil n'est toujours pas nécessaire. Nous rapprochons ce fait des
capacités extraordinaires de certains Saints. Le curé d'Ars voyait les fautes de ses pénitents. Et plus
d'un saint a été capable de prophéties vérifiées. Les ondistes sont rigoureux sur la liaison entre
l'objet mesuré et la valeur de la vibration attribuée. Leurs mesures sont vérifiables par tous les
praticiens. Ils quantifient et qualifient la présence d'une vibration par les dimensions de sa présence
dans l'espace. De petites différences dans les dimensions seront mesurées en fonction des forces de
ceux qui manipulent, mais il existe un coefficient de proportionnalité entre les mesures des
différents expérimentateurs, rendant les mesures comparables. Le champ cosmo-tellurique peut être
indécelable par les appareils de mesures actuels, mais le signal perçu par le cerveau est suffisant
pour évaluer la correspondance entre les graduations de l'échelle et l'onde captée par le cerveau. La
technique mentaliste n'est possible qu'après des années de pratique. L'intérêt est de mesurer à
distance l'activité vibratoire d'une situation.
La technique des ondistes assure des mesures a priori plus fiables et avec moins de fatigue. Nous
reconnaissons que de nombreuses valeurs chiffrées de l'antenne que nous avons découvertes sont
issues de techniques mentalistes. Dans tous les cas, la longueur de l'onde sera contrôlée pour assurer
une fiabilité du résultat.
– Certains ont voulu établir un parallélisme avec le chiffre de l'antenne, la fréquence et la
longueur d'onde. Les différentes graduations correspondraient à des longueurs d'ondes
centimétriques et des fréquences en méga hertz. En fait, s'il peut exister quelques
concordances entre les mesures fournies par des appareils électroniques et ceux de l'antenne,
il serait faux de croire que l'antenne mesure les énergies connues par les physiciens. Ces
dernières sont, pour nous, une infime partie de la chaîne d'énergies multidimensionnelles du
vivant. La vie nécessite des processus beaucoup plus subtils que le simple
électromagnétisme des physiciens. Le circuit que représente l'antenne est un circuit fermé
alimenté en énergie par l'opérateur, mais vibrant par les énergies du vivant inconnues de la
science matérialiste.
– La valeur chiffrée par la réglette indiquée par la position du curseur, met en harmonie le
cerveau de l'opérateur et les énergies cosmo-telluriques captées par le circuit fermé. Mais

cette théorie va heurter les sensibilités scientifiques puisque cet alors reconnaître que le
monde est réglé par des chiffres, des nombres, des symboles, ce que tous les penseurs
antiques ont pu développer en acceptant qu'a travers ses nombres, on retrouve des valeurs
transcendantales c'est à dire des valeurs qui dépassent la compréhension de l'homme. Le
nombre comme le chiffre est devenu un signifié de l'homme pour l'homme.
– Les penseurs du vivant ont de longue date compris l'organisation par les nombres du
cosmos :
• Tout est ordonné par le Nombre. Pythagore Ve siècle AV JC
• Nul n'entre ici s'il n'est géomètre. Platon IVe siècle AV JC
• « Les nombres, dit Saint Martin (Pape VIIe siècle), sont les enveloppes visibles des êtres : ils
en règlent non seulement l’harmonie physique et les lois vitales et temporelles, mais aussi
les rapports avec le Principe… ». Les créatures elles-mêmes sont nombres, en tant qu’issues
du principe-Un. Elles retournent au Principe comme les nombre à l’unité : Dieu est en tous.
• Continue l'étude des nombres. Si tu apprends à leur parler, si tu découvres quelles lois
magiques les gouvernent, si tu sais de quels merveilleux agencements ils sont capables, alors
la houri des mathématiques t'apparaîtra. Fibonacci, XIIIe siècle
• La nature est écrite avec l'alphabet de la géométrie. Galilée, XVIIe siècle
• Tout l'univers est contenu dans l'unité. Blaise Pascal, XVIIe siècle
– Les poètes dépassent la rigidité et l'étroitesse de l'esprit scientifique, au delà du nombre ils
reconnaissent que toute chose a un symbolisme. Citons par exemple le poème suivant:
« Correspondances »
La Nature est un temple où de vivants piliers

Laissent parfois sortir de confuses paroles ;
L'homme y passe à travers des forêts de symboles
Qui l'observent avec des regards familiers.
Baudelaire, « Correspondances »,
Les Fleurs du mal, IV (1857).
Un minimum de pratique de la kinésiologie facilitera la compréhension des mouvements de

l'antenne, puisque dans un cas comme dans l'autre, le mouvement repose sur une harmonisation
entre le fonctionnement cérébral du testeur et l'objet à tester. La différence énergétique est convertie
en effet mécanique. Il s'agit d'une impulsion dans les tendons de la main liée à une modification
vibratoire du cerveau, qui provoque une rupture d'équilibre de l'antenne. Le professeur Rocard a
montré qu'il existait une stimulation hypothalamique, relarguant de la LH par l'hypophyse entraînant
le relâchement des tendons. Une bombe atomique, construite par l'homme, est capable de détruire le
monde, mais nous attendons la création de la première étincelle de vie par l'homme. C'est donc une
position purement scientiste qui fait qualifier les énergies détectées par l'antenne de mesures faibles.
Cette faiblesse ou l'absence de champ vibratoire physique n'est qu'apparente et, en fait, seulement
liée à des critères de sensibilité de machines électroniques qui établissent, actuellement dans notre
monde physique, les échelles de valeurs. La vie a d'autres critères de sensibilité que ceux établis par
les machines électroniques.
Nous attirons l'attention sur la nécessité d'un entraînement rigoureux pour produire des mesures

fiables. Toute technique peut être utilisée dans un esprit charlatanesque. Le docteur Knock a le
droit de se servir de l'antenne ! On compte plus de gratteurs de violon que de musiciens. L'antenne,
comme le violon, nécessite une pratique rigoureuse et quotidienne. Le violoniste fait ses gammes
tous les jours pour obtenir un son parfait.
On trouve dans le commerce plusieurs types d'antennes vendues avec une liste des vibrations
connues. Chaque liste dépend aussi des qualités de détection de ses créateurs. Plusieurs évidences
s'imposent avec la pratique :
– un tiers des vibrations concernent des énergies spirituelles, et l'absence d'énergie spirituelle
rend inapte l'individu à les mesurer. Par exemple le « 1,10 » sera qualifié de sacré dans
certaines tables, alors que pour les auteurs initiaux, elle est le témoin d'une « émotion
cristallisée », révélant donc une souffrance et non un élément positif pour l'homme spirituel !
Cette émotion cristallisée est une pollution humaine issue de corps négatifs. Le seul livre1
existant en 2000, sur le sujet illustre bien l'importance de l'approche spirituelle du praticien
et le risque d' « inversion de valeur » à propos de l'objet mesuré. Par exemple, le 16
qualifiant « la loge noire » pour les premiers praticiens, a disparu de la liste de l'ouvrage
mais cette vibration toxique imprègne en totalité le livre..., et rend sa lecture
particulièrement polluante ! Il faut s'en protéger par un cadre de lecture comme celui que
nous utilisons dans le volume 7.
– De la même façon et pour les mêmes raisons, un testeur malade sur un organe risque
d'influencer les mesures du sujet testé.
– Si pour les vibrations corporelles, les mesures de deux testeurs en bonne santé sont
identiques, il n'en est pas de même pour les vibrations cérébrales qui sont fortement
influencées par l'activité cérébrale du testeur.
1 Coquelle D. "Guide pratique d'utilisation de l'antenne de Lecher" Editions Trajectoire 2000 – 110p

2.5 – Maniement
Avant de se servir de l'antenne, il faut avoir pratiqué un minimum de radiesthésie : pendule, lobe
allemand. Un objet d'utilisation simple est une tige en carbone de 50 cm, d'un diamètre 4mm, que
l'on alourdira à l'une de ses extrémités par un noyau de cire de la taille d'une prune. Cette tige est la
partie terminale d'une canne à pêche en carbone et vendue dans les magasins d'articles de pêche.
Cette tige repère des zones positives ou négatives suivant le sens de la rotation. Le passage d'une
zone à l'autre étant marqué par le balancement de haut en bas de la tige. Cette baguette est facile
d'emploi pour la détection des réseaux Hartmann et les pollutions électromagnétiques, entre autres.
Pour utiliser l'antenne de Lécher, plusieurs techniques sont possibles mais toutes nécessitent un
apprentissage.
La première étape est d'apprendre à la tenir en exerçant une pression adéquate sur les branches. Au
départ, nous conseillons de garder les coudes le long du corps, les avant-bras vers l'avant,
perpendiculaires au corps. La main exerce une pression sur les branches de façon à maintenir une
inclinaison de 45° en avant de l'antenne. Classiquement les paumes sont vers le haut, les petits
doigts restent pliés dans la main et seulement trois doigts tiennent l'antenne. La force de préhension
de l'antenne est testée chez l'apprenti par une tierce personne qui, d'une chiquenaude de l'index, doit
faire vibrer l'antenne sans la faire tomber. Après une certaine pratique, les branches de l'antenne
peuvent être tenues par deux doigts en les pinçant, la paume de la main vers le bas. Comme exercice
pour sentir la bonne pression sur les branches qui assure la rotation correcte de l'antenne, on élève
verticalement les mains. Lorsque les bras sont tendus, l'antenne tourne, quelle que soit la pression
exercée sur les branches. C'est un mouvement réflexe indépendant de notre volonté consciente.
L'étape suivante consiste à apprendre à repérer des vibrations courantes, celles-ci étant indiquées par
la position du curseur. Si la position du curseur sur la règle graduée est en résonance avec la
vibration de l'objet à tester, le simple passage de l'antenne entraîne sa rotation. On peut s'exercer à
passer l'antenne transversalement devant un filet d'eau avec la vibration 5, puis passer au dessus d'un
encensoir émettant des fumées d'encens avec la vibration 18, pour constater la réaction de l'antenne
à la verticale de l'objet testé. Une autre étape est de repérer le nord magnétique et les réseaux
géobiologiques du lieu, en particulier les noeuds de Hartmann. Pour bien comprendre la position des
vibrations d'un être vivant, il faut s'imaginer une orange dont l'écorce est pelée par un couteau.
L'écorce reste centrée sur l'axe mais la découpe a une hauteur et une longueur variable.
En dehors des deux antennes décrites, nous avons réalisé d'autres types d'antenne pour vérifier que
les vibrations issues de chaque corps n'étaient pas circulaires mais qu'elles sont en Moebius dans
leur partie terminale.

3 – La fabrication d'une antenne de Lécher
3.1 – Les antennes simples
3.1.1 – Préparation : réunir le matériel et les outils

Fournitures nécessaires :
Bois (hêtre, chêne, ébène…)
Tige pleine en laiton Ø4mm
Tige creuse en laiton Ø6mm
Bande plate aluminium de 1 cm de large et un double-décimètre
Graduation en centimètres sur papier
Fil inoxydable pour le curseur (type trombone)
Silicone translucide
Colle cyanoacrylate : Super Glue
Deux Papillons, deux écrous et tige filetée Ø4mm
Polyester : Sintofer
Matériel et outils utilisés

Scie à onglet
Perceuse à colonne En l'absence de Dremel, tracer les lignes
Drémel de perçage pour essayer de suivre à l'œil
Mèches Ø 2, 4, 6 et 7mm leur direction. Percer avec une mèche
Équerre fine et agrandir avec des mèches plus
Mètre grosses en ajustant l'orientation des
Étau deux trous dans les deux sens.
Scie à métaux
Râpe et lime
Papier à poncer
Pince
3.1.2 – Réalisation des différents éléments constitutifs de l’antenne de Lecher

Le principal problème rencontré lors de la fabrication d’une antenne de Lecher est l’obtention d’un
bon coulissage du curseur sur la tige de laiton. Afin de rendre ce coulissage optimal, il est nécessaire
de considérer le corps, le curseur et le haut de l’antenne comme une pièce unique.
a) Le perçage
A l’aide d’une scie à onglet, couper dans le bois 2 rectangles aux dimensions :
– 70x20x12mm pour le corps de l’antenne
– 35x26x12mm pour le curseur et haut de l’antenne
Selon le schéma ci-dessous, centrer le petit rectangle de bois sur le grand rectangle. Coller les
rectangles entre eux avec la colle Super Glue.
En utilisant l’équerre pour obtenir un angle de 90°, positionner le bois sur la perceuse à colonne.
Procéder à 2 perçages de Ø4mm qui serviront à recevoir les tiges en laiton. Il convient d’éviter de
traverser complètement le corps de l’antenne.

Figure 3 : perçage
En utilisant un étau, séparer les deux morceaux de bois :

– corps de l’antenne
– ensemble curseur/haut de l’antenne
b) La réalisation du corps de l’antenne :

Le premier morceau de bois, correspondant au corps de l’antenne, étant percé pour recevoir les tiges
de laiton, il faut maintenant réaliser le perçage dans lequel viendront s’insérer les poignées de
l’antenne.
Pour cela suivre le schéma ci-après : en utilisant une mèche de Ø6mm percer 2 trous sur la partie
latérale du corps de l’antenne à 4mm de la base. Ces 2 perçages prennent une inclinaison oblique
symbolisée par les 2 diagonales représentées sur le croquis.
Figure 4 : Vue de face du corps de l'antenne pour positionnement des zones à percer
– Percer avec une mèche de Ø7mm, à 9mm des bords, 2 trous jusqu’au niveau des poignées.
– Insérer en force un écrou dans les deux perçages à l’aide de l’étau.
– Visser de quelques tours la tige filetée munie de son papillon dans l’écrou et placer l’ensemble
dans l’étau. Serrer jusqu’à ce que l’écrou vienne buter contre la poignée.
– Sortir la tige filetée, la lubrifier (pour qu’elle n’adhère pas) et la replacer dans l’écrou. Sceller
l’ensemble avec du Sintofer.

Papillon Tige filetée
Sintofer
Perçage poignées Ecrou

Perçage tiges Entaille
graduation
Figure 5 : Vue de face du corps de l'antenne pour assemblage des différents éléments
A l’aide du Drémel muni d’une mèche de Ø2mm, réaliser une entaille centrée entre les 2 perçages
support des tiges de laiton. Dans cette entaille, longue de 12mm et profonde de 5mm sera insérée la
partie inférieure de la graduation de l’antenne.
c) La réalisation du curseur et du haut de l’antenne :

Ces 2 éléments sont obtenus à partir du deuxième morceau de bois correspondant à l’ensemble
curseur/haut de l’antenne,
Couper ce morceau de bois de façon à obtenir pour le curseur et pour le haut de l’antenne, les
dimensions respectives de : 35x15x12mm et 35x10x12mm, le millimètre perdu correspond au trait
de scie.
Le haut de l’antenne : à l’aide du Drémel, réaliser l’entaille destinée à recevoir la partie supérieure
de la graduation de l’antenne en procédant de la même manière que celle utilisée pour le corps de
l’antenne.
VUE DE FACE
HAUT DE L’ANTENNE
VUE DE CÔTÉ
HAUT DE L’ANTENNE
Perçage tige
Entaille
graduation
Figure 6 : Haut de l'antenne
Le curseur de l’antenne : à l’aide du Drémel, réaliser une entaille similaire débouchante de 12mm de
long et 8mm de profondeur. Retirer l’excédent de bois : le profil du curseur obtenu a la forme d’un
U. Polir les parois de l’entaille à l’aide de la râpe et de la lime.
Au dos du curseur, faire un trait de scie d’environ 8mm de profondeur. L’entaille obtenue est

destinée à recevoir le fil inoxydable (type trombone) qui permet d’établir le contact entre les 2 tiges
de laiton. A l’aide de pinces, installer le fil dans son logement.
VUE DE DESSUS
CURSEUR DE L’ANTENNE Fil du curseur
VUE DE CÔTÉ
VUE DE FACE CURSEUR DE L’ANTENNE
CURSEUR DE L’ANTENNE
Figure 7 : Curseur de l'antenne
d) La préparation de la graduation :
Dans la majorité des cas, on utilise un double décimètre que l’on coupe à dimension. Pour une
question de solidité la plate bande d’aluminium a été privilégiée.
Sur une plate bande d’aluminium on colle une graduation en centimètre. Cette graduation est
obtenue à partir de la photocopie du double décimètre. 21.3 – Montage de l’antenne de Lécher
Avec la scie à métaux strier chacune des extrémités des tiges de laiton, ceci afin de permettre une
meilleure adhérence entre le bois et le métal. Enduire de colle cyanoacrylate l’une des extrémités
d’une tige, l’introduire énergiquement dans l’orifice du corps de l’antenne réservé à cet effet.
Renouveler l’opération pour la seconde tige.
Ensuite enfiler le curseur de l’antenne sur les 2 tiges de laiton ainsi fixées. Pour le maintien de la
graduation, introduire du silicone translucide dans l’entaille du corps de l’antenne. Glisser cette
graduation dans l’entaille du curseur et du corps. Le zéro de la graduation se situe du côté du haut
de l’antenne.
De la même manière mettre du silicone translucide dans l’entaille du haut de l’antenne, enduire de
colle cyanoacrylate les extrémités striées des tiges de laiton et positionner énergiquement le haut de
l’antenne sur les 2 tiges de laiton et la graduation. Cette dernière opération est relativement délicate
à mettre en œuvre, la colle ayant une prise très rapide.
Introduire les poignées dans leur logement sur le corps de l’antenne et visser les papillons.
Terminer la préparation de l’antenne par un léger ponçage du bois avec du papier à poncer.
Le coulissement du curseur de l’antenne est amélioré par une légère lubrification des tiges de laiton.

3.2 – Les antennes doubles
3.2.1 – Objectif
L'antenne habituelle ne donne au maximum que deux chiffres après la virgule, l'antenne double
précise avec 6 chiffres, la mesure à effectuer.
3.2.2 – Fabrication
La fabrication de l’antenne double est basée sur le même principe que celle décrite dans le cas de
l’antenne simple.
a) Le perçage
Préparer 2 pièces de bois aux dimensions 35x20x12, l’une correspondant au curseur/ haut de
l’antenne, l’autre au curseur/ bas de l’antenne.
Préparer également 1 pièce de bois aux dimensions 70x26x12 pour le corps de l’antenne.
Disposer les 2 pièces identiques en les centrant de part et d’autre de la grande pièce et coller les 3
pièces ensemble.
Percer les intégralement de part en part ; ce perçage étant destiné à recevoir les tiges de laiton.
Séparer ces 3 pièces de bois les unes des autres à l’aide de l’étau.
b) La réalisation du corps de l’antenne

On procède de la même manière que pour l’antenne simple. Seule l’entaille de graduation traverse
intégralement le corps de l’antenne.
c) La réalisation des curseurs et du haut et du bas de l’antenne

On prépare le double-jeu : curseur/ haut de l’antenne et curseur/ bas de l’antenne dans les 2 pièces
de bois identiques, selon le principe déjà décrit
d) La préparation de la graduation
Une graduation de 10 cm placée dans la partie inférieure de l’antenne apporte plus de précision lors
de la lecture.
A travers l’entaille prévue dans le corps de l’antenne, on glisse une plate bande d’aluminium. De
part et d’autre du corps de l’antenne, on colle les 2 graduations sur cette plate bande : pour la partie
inférieure de l’antenne le 0 de la graduation se place en partie basse, le 10 près du corps de l’antenne
et pour la partie supérieure, le 0 se trouve en partie haute.
e) Le montage de l’antenne
On utilise pour réaliser l’antenne double uniquement 2 tiges de laiton. Par les trous de perçage
préalablement faits dans le corps de l’antenne, on introduit les tiges qui vont le traverser de part en
part. La longueur des parties supérieure et inférieure de ces tiges, est définie par la longueur de la
plate bande d’aluminium support des 2 graduations.
On termine le montage de l’antenne double selon la même manière que celui décrit pour l’antenne
simple.

4 – La pratique de l'antenne
Grâce à l'antenne, une image vibratoire du vivant peut être établie par les repères numériques
consignés dans des tables en annexe.
Nos repères sont établis sur des européens, que valent-ils ailleurs ? On est en droit de se poser la
question quand on sait que, par exemple, les points d'acupuncture d'un chinois en France, n'ont rien
à voir avec ceux du même individu en Chine. C'est dire aussi la prudence d'interprétation. Un
homme dans un vaisseau spatial en apesanteur garde ses critères électromagnétiques d'avant son
départ. Il existe des appareils de mesure captant ces énergies électromagnétiques, pour assurer la
surveillance des voyageurs de l'espace. Ces appareils feront le constat qu'elles ne se modifient pas
dans le cosmos. En sera-t-il de même des vibrations détectées par l'antenne de Lécher ?
4.1 – L'approche globale de l'individu

En réglant l'antenne sur la vibration 2, nous recherchons les valeurs mesurables:
– à l'échelle de Bovis, le cadran, le voylox,
– par le graphique de l'évolution selon Hamer ; par le positionnement de l'antenne sur le
graphique, on détermine l'évolution de l'individu dans un état de « pathologie », de
« réparation », d'énergie yin ou yang
4.2 – La mesure du premier corps

On recherche les limites du premier corps en 2,5. En suivant les limites du premier corps, on notera
des faiblesses en regard de certains organes ou des réparations selon la diminution ou
l'augmentation du corps à ce niveau.
4.2 – Le système des vibrations harmoniques

Les vibrations harmoniques sont déterminées sur l'antenne de Lécher commercialisée ; celle-ci est
graduée de 1 à 18, avec des graduations centimétriques et millimétriques. La même vibration peut
être qualifiée par sa composante nord ou sud, avec une tige aimantée placée dans une des branches
de l'antenne. Un simple aimant appliqué sur la tige permet les mêmes mesures. Chaque chiffre peut
correspondre à une vibration à double polarité, ou une vibration à polarité précise ; et dans ce
dernier cas la signification de la vibration nord peut être différente de la vibration sud. Par exemple,
pour la vibration 3,60, la polarité sud correspond aux yeux et la peau, et la polarité nord, correspond
aux cheveux. Nous avons systématiquement indiqué la vibration inverse qui très souvent a une
signification elle-aussi inverse puisque par exemple le produit possédant une valeur inverse au 3,6
(et mesurée à l'antenne 2,78) sera dangereux pour l'œil.
Nos listes comprennent ce que nous avons trouvé dans la littérature : nous avons essayé de les
expliciter, de les simplifier et de les compléter par d'autres.
Grâce à ces repères harmoniques, nous pouvons déterminer un profil vital de l'individu, en donnant
une valeur à un « capital » par organe ou fonction, par la mesure de la distance entre la ligne
médiane verticale du corps (de la personne en position debout) et la longueur de la vibration
mesurée. Nous travaillons face à la personne, nous commençons par repérer les limites de l'aura
rouge qui entoure le sujet. Puis, nous allons noter la limite des autres vibrations harmoniques,
comparée à celle de l'aura rouge préalablement déterminée. Pour les vibrations dont la limite est
entre l'individu et celle de son aura rouge, nous parlerons d'insuffisance pour la fonction ou l'organe
correspondant. Dans le cas contraire, quand cette limite est au delà, nous serons dans une situation
de réparation. Si l'harmonique est à droite de l'individu, nous sommes en pathologie. La position de
la limite gauche de l'harmonique est la même, quelle que soit la hauteur où elle est mesurée.
Cependant il existe un niveau où l'harmonique reste sur la ligne médiane de la personne : ce sera le

point « d'ancrage » de la vibration spécifique de l'organe ou de la fonction observée. C'est dire que la
sphère vibratoire harmonique a une faille au niveau de l'organe correspondant à cette vibration.
4.4 – Le système des vibrations spécifiques

Nous avons pu déterminer un autre système, dit spécifique. Les énergies du cosmos se répartissent
entre la vibration 4 et 14 sur des couches se superposant, plus ou moins condensées, plus ou moins
hautes. Dans les lieux très énergétiques, on retrouvera les vibrations 17 et 18. Chez l'homme vibrant
en fonction des énergies du cosmos, qu'il soit debout ou allongé, on retrouve une gradation des
pieds vers la tête selon la hauteur de l'organe, depuis le 4 (plante du pied) jusqu'au 14 (oreilles) vers
la tête. La correspondance entre l'harmonique et la vibration spécifique existe par ce point
« d'ancrage » de la vibration harmonique. Ce point sert de référence pour mesurer une
« dynamique » de réparation ou de maladie. Si l'antenne bascule au dessus de ce point, nous sommes
en phase de réparation, en-dessous, l'organe se dégrade. La maladie organique s'exprimera quand le
capital harmonique diminuera à son tour.
Juste au dessus du niveau où la dernière vibration spécifique corporelle est détectable et quand il n'y
a plus de correspondance avec une vibration harmonique, nous entrons dans un système particulier
pour la mesure d'un capital intellectuel de l'individu, dont les valeurs commencent à 12 (débilité)
jusqu'à 18 (niveau bac) pour la majorité de la population ; des valeurs sont mesurées jusqu'à 45 pour
des individus exceptionnels. Ces vibrations sont en cercles concentriques autour du troisième œil.
La valeur maximale pour l'individu se situe à la périphérie de toutes les autres. A partir de 2005 sans
doute en raison de la perte des énergies, les vibrations cérébrales augmentent de façon considérable
mais les vibrations du corps sont restées identiques, tout comme les vibration basse du cerveau.
Nous n'avons aucune idée sur la signification des vibrations au delà d'une vibration 20, mesurée soit
à droite soit à gauche.
4.5 – Autres systèmes de mesure

Etablissement d'un Arbre de vie de la Kabbale
Etude des chakras
Etude des mérdiens
4.6 – Le système des vibrations horizontales cérébrales

Ce système aborde l'homme dans ses capacités intellectuelles, affectives et spirituelles, de façon
quantitative et qualitative. Le système mesure aussi les stress, les fragilités, les pollutions et les
pathologies. Il repose sur l'étude des vibrations dont le point d'ancrage est central sur une ligne qui
va du troisième œil au sommet du crâne. Nous avons pu établir une spécificité de la vibration 13,1 à
18. Les capacités, tant intellectuelles qu'affectives, ou stress sont évalués selon leur distance par
rapport à la ligne médiane sur l'individu (Cf. tableaux). Les vibrations droites et gauches
correspondent à des données différentes. Par exemple, le 13,1 droit est associé aux propriétés
parapsychologiques et le 13,1 gauche correspond à une névrose familiale, le 18 gauche donne un
reflet de la spiritualité de la personne alors que le 18 droit reflète une approche gnostique du divin...
Seules les valeurs « 13,1 », « 14 », « 15 », « 16 », « 17 » et « 18 » ont une signification. Il n'existe
pas de valeurs intermédiaires.
Chez l'individu normal (à boule de Da nord), le corps en 2,5 se termine par un ovoïde à partir du
niveau des yeux. Diverses spécificités cérébrales sont étagées tant à droite qu'à gauche. Avant 2005,
l'individu avec une activité intellectuelle poussée ne dépassait pas la valeur 50. A partir de cette
période, en raison de l'accélération du temps, à ces vibrations de base, vont se surajouter de
nombreuses vibrations à des valeurs tellement élevées (millions voire milliards) que nous n'en

comprenons plus la signification. Il est probable que plus la vibration est élevée, plus l'individu a
une activité cérébrale intense. A partir de 5000, apparaissent les propriétés parapsychologiques que
nous mesurons avec la vibration 14 (Cf. liste des vibrations parapsychologiques). Cet ovoïde en 2,5
peut être déformé, agrandi sur la gauche, témoin d'un terrain affectif, agrandi sur la droite, témoin
d'un être rationnel.
Les sept corps existent au niveau de la tête et la taille de ces sept corps a le même signifié à tout
niveau de l'individu. Nous noterons qu'à l'échelle de Bovis, chaque corps a une vibration spécifique
s'élevant de l'intérieur à l'extérieur. Les stress et les pathologies vont modifier le premier corps :
– à la partie antérieure à gauche : au niveau du 14, stress parental ; au niveau du 15, stress sur
le partenaire ; au-dessus, stress à propos des enfants.
– à la partie antérieure à droite : un stress au niveau du 14 dénote un refus global de la société ;
au niveau du 15, le stress marque des difficultés à l'expression et dans les rapports aux autres
; au niveau du 16, il s'agit de stress professionnels ; et au niveau du 17, des stress juridiques.
– à la partie postérieure du premier corps se situent à droite, les stress de l'enfance.
– La présence d'entités, pour les 2 côtés, de pollutions diverses modifient ces vibrations.
Ces vibrations horizontales cérébrales ne doivent pas être confondues avec :

– une vibration 5,1, témoin d'une pathologie, située au niveau de l'occipital et qui lors de la
réparation va passer en avant du crâne et disparaître,
– les vibrations de réparations d'un foyer de Hamer,
– les vibrations du plan psycho-généalogique postérieur,
– le plan vibratoire de réparation de l'incarnation,
– ni par les vibrations en 5,1 des cornes de la magie noire se dirigeant en haut et en avant, ni
celles un peu plus postérieures d'insertion se dirigeant vers le haut avec un incurvation en
dedans pour la magie ancestrale.
Les schémas situés en fin de ce volume illustrent des pollutions et des protections du Divin.

4.7 – La correspondance entre le système horizontal et le système
spécifique
Nous avons appelé « vibrations harmoniques », les valeurs données par les tables connues qui sont
au maximum de trois chiffres et vibrations spécifiques, les vibrations correspondantes à des valeurs
à 6 chiffres.
Les ésotériques reconnaissent 7 plans vibratoires et indépendamment de ces 7 plans (en 2.5 – 5.7 –
7.9 – 9.9 – 12.1 – 14.7 – 17.4), il existe un plan en vibration 4 situé dans le premier plan vibratoire
du 2.5 et démarrant sur la ligne médiane du corps. Dépassant les contours du corps d'au moins
10cm. Ce plan du corps en 4 nourrit les organes puisque sa limite extérieure en regard de la
vibration harmonique du corps considéré comme pathologique est diminuée. C'est ce corps en 4 qui
porte toutes les vibrations. C'est au niveau de l'organe que démarrent les vibrations spécifiques. Si
en mesurant la périphérie du 2,5 on observe un déficit, c'est qu'il existe une fatigue ou une
pathologie au niveau du déficit. Les vibrations harmoniques comme les vibrations spécifiques,
peuvent être mesurées verticalement et horizontalement. La taille du rectangle obtenu est le reflet du
capital et des fluctuations de l'organe mesuré.
Entre ce plan du 2,5, le plan du 4 (en Mu), il existe un plan en 3,75 répondant à la deuxième
civilisation et un troisième plan en 3,05 dit corps « atlante » de la troisième civilisation.
4.8 – Conclusion
Avant tout, le praticien doit sentir la nécessité de rester modeste vis à vis des phénomènes du vivant.
Il comprendra la gravité de ces immeubles « cage à lapin », de cette médecine officielle qui ne
soigne que les morts, des thérapeutiques qui, sous prétexte de soulager le malade, le font vibrer en
cancer et cette biotechnologie agricole détruisant la valeur nutritive de tous les aliments. Ajoutons le
rôle des pollutions, la perversion par des stress insidieux, pour arriver à la question : où va
l'homme ? Dans tous les cas de figures, et contrairement à ce que pensent les matérialistes, nous
allons d'un côté à une complexification du cerveau mais aussi à une perte des énergies globales. Des
corps momifiés naturellement, d'homme de l'époque historique, comme ceux trouvés dans des
cimetières dont le sous-sol a été envahi par du bitume, ne gardent aucune trace vibratoire tout
comme les squelettes présents dans les tombes des cimetières. Les cranes retrouvés d'un homme de
Cro-Magnon gardent encore quatre corps vibratoires (12.1, 14.7, 17.6, 21.3). Les momies de prêtres
égyptiens montrent même parfois un corps supplémentaire (en 25,7) par rapport à l'homme de Cro-
Magnon. On comprend alors que ce prêtre puisse être médecin, astrologue, médium, architecte,
profondément déiste, ayant le souci de garder l'homme en harmonie avec le cosmos.
L'antenne de Lécher apporte des éléments indispensables pour comprendre que les modifications
des énergies du cosmos vont entraîner des bouleversements sur la structure vibratoire de l'homme,
mais aussi des plantes et de la terre et que inversement les modifications de la terre vont retentir sur
l'homme.

5 – Schémas explicatifs
La lecture du paragraphe 9.3 facilite la compréhension des schémas.
5.1 – Utilisation de la vibration harmonique

5.1.1 – Parfaite santé
Le quadrilatère hauteur par largeur est le reflet de la vibration émanant de l'organe mesurée en
harmonique. En principe la hauteur mesure un capitale de réserve et la largeur la puissance de
réactivité.

5.1.2 – Déficit modéré en rate
Hauteur et largeur des énergies de la rate délimitent un quadrilatère plus faible que celui du cœur et
par là une déficience de la rate.

5.1.3 – Déficit important de la rate

5.1.4 – Réparation importante de la rate

5.1.5 – Réparation importante de la rate avec eczéma

5.2 – Relation vibration harmonique - vibration spécifique
En regard de l'organe, la vibration harmonique est absente et nous trouvons le démarrage d'une
vibration spécifique dont les chiffres multiples, obtenus par l'antenne double, autorisent un
diagnostique plus précis.
Schéma d'un homme sain.

Schéma d'un homme atteint de rubéole.
Schéma d'un homme en réparation d'une rubéole.

Modification de la vibration harmonique dans un terrain allergique
En vibration harmonique les tables donnent 2,70 pour l'allergie. On retrouve cette vibration sur le
corps mais déplacée à droite (absente à gauche). La hauteur de l'apparition de cette vibration à partir
du pied est le reflet de la gravité de la pathologie. Plus elle est basse, plus la pathologie est
importante. Elle va s'accompagner d'un trou plus ou moins prononcé dans le corps en 2,5 en regard
de la rate ainsi qu'un déficit dans les couleurs de l'aura, parce que la rate est responsable des
allergies. La vibration 3,71 sera modifiée. Dans notre exemple il s'agit d'une atteinte relativement
sévère de la rate.
Lors de la réparation l'harmonique allergique reste encore insuffisante mais celle de la rate s'est
normalisée, elle passe à droite de l'individu, s'étend sur une hauteur comparable à celle d'un organe
normal, ici le cœur.

5.3 – Niveau des vibrations spécifiques
5.4 – Repère par l'aura et l'arbre de vie

5.4.1 – Etat de bonne santé

5.4.2 – Etat pathologique
5.4.3 – Pollution faible

5.4.4 – Pollution forte
5.4.5 – Pollution très forte

5.4.6 – Un organe répare

6 – Examen du corps humain par l'antenne de Lécher
6.1 – Préambule
En raison de la difficulté de comprendre les mesures de l'antenne sans un moniteur, nous tentons de
faire comprendre au lecteur ces mesures par une approche différente.
Pour interpréter les mesures à l'antenne de Lécher, il faut être conscient que les données ne sont que
le résultat de l'interaction entre la force énergétique de l'examinateur et celle de l'examiné. Il est
donc important de vérifier que le lieu de l'examen est à distance d'un réseau Hartmann et de toutes
pollutions géobiologiques. L'examinateur doit vérifier son état vibratoire préalablement. Le faire
soi-même est parfois délicat, surtout en cas de pollution, et il est prudent de faire appel à une tierce
personne pour un contrôle régulier. Les mesures vibratoires sont effectuées sur le patient dans deux
positions : allongé sur une table d'examen puis debout. Dans tous les cas, la pièce doit être
suffisamment large pour accéder aux mesures autour de lui.
Les résultats doivent être intégrées comme des valeurs à un instant t donné, et être vérifiées à une
autre période pour être validées.
6.2 – Étude du corps

6.2.1 – La position des sept corps vibratoires
On recherche la position du premier corps (corps éthérique en 2,5). Le cercle sera d'autant plus
rapproché que le sujet est fragile ou pollué. Une rupture de la limite vers l'intérieur de l'organisme
traduit une atteinte de cet organisme en regard de cette invagination. Si le patient est dans un état
grave, le premier corps est absent.
Le deuxième corps (ou magnétique en 5,7) est diminué lors de la pathologie ou en cas de pollution
électro-magnétique.
Le troisième corps (ou corps astral en 7,9) est petit pour un individu en bonne santé et s'élargit avec
les pollutions acquises ou héréditaires.
Le quatrième corps (ou corps causal en 9,9) est agrandi lors de la réparation. Il est diminué dans les
atteintes viscérales profondes.
Le cinquième corps (ou mental en 12,1) reflète celle de la statique globale du corps en particulier,
celle de la vertébrale. Il s'élargit au détriment des autres corps lors d'un travail ostéopathique de
réparation. Il faut une réserve énergétique pour que le travail sur les structures ostéo-ligamentaires
soit efficace. Le sixième corps (ou corps bouddhique ou christique en 14,7) est influencé par la
spiritualité de l'individu.
Le septième corps (ou divin en 17,6) a une dimension relativement constante sauf en cas
d'intoxication par les barbituriques ou les opiacées, cas pour lesquels, il disparaît.
6.2.2 – La position et les couleurs de l'aura

On repère les différentes couleurs de l'aura. Le rouge sera présent à environ 6 mètres du corps pour
un état de santé satisfaisant. L'aura est au pied en cas de pathologie sévère, puis sous les pieds avant
de disparaître. Les sept couleurs sont d'épaisseur grandissante du rouge au violet, en passant par le
orange, le jaune, le vert, le bleu, l'indigo. L'épaisseur relative de chaque couleur peut être modifiée
en fonction des traits de la personnalité. L'absence de jaune (qui se retrouvera sur le corps) témoigne
d'une pathologie. L'absence d'orange signifie que celui-ci s'est déplacé sur la zone du corps en
réparation. Un grand vert est le reflet d'une activité sexuelle, un grand bleu, d'une activité cérébrale
intense, un grand indigo, d'une activité cérébrale supérieure, un grand violet, d'une activité
spirituelle.

6.2.3 – Positionnement des sephiroth de l'Arbre de vie
Toute sephira de l'arbre de vie est repérable par un trou énergétique mesuré en 2,0. A l'intérieur de ce
trou, on trouve des caractéristiques particulières de chacune d'elle. Chaque corps a un Kether, mais
celui du premier corps sert de repère ; il est en 2,4 et est blanc en 7,59. On précisera sa position sur
l'axe du corps, un éventuel dédoublement ou déplacement latéral de celui-ci. A l'opposé du Kether,
vers les pieds, on recherchera le Yesod (repérable par son violet, vibration 1,35) et le cercle du
Malkuth avec une répartition des quatre couleurs au sein de celui-ci. Une modification des couleurs
a une signification pathologique.
6.3 – Étude des organes

à l'antenne simple
Pour chaque organe, un bilan énergétique est établi par la position de sa vibration harmonique (c'est
la position du basculement de l'antenne pour la valeur chiffrée correspondante à l'organe mesuré,
quand on se déplace latéralement par rapport au patient). Quand le cœur est intact, il servira de
mesure témoin pour juger de l'état des autres organes, par la position relative de leur vibration. On
parle de capital énergétique quand on reste sur la gauche du corps du patient. S'il y a perte de ce
capital, la vibration se rapproche du corps. Dès qu'on est sur la droite du patient, on est en
pathologie, et sa gravité sera proportionnelle à la distance au corps. A l'inverse, la réparation
emmène la vibration au-delà de la position de la vibration témoin du cœur, sur la gauche.
Le bilan énergétique de chaque organe par la vibration harmonique peut se faire sans se déplacer à
distance de l'individu, par la hauteur de la vibration à gauche ou à droite de la ligne médiane du
corps. Là encore, la présence à droite de cette vibration sera considérée comme pathologique et la
hauteur sera proportionnelle à la gravité. Si la hauteur de la vibration se termine par une spirale, le
nombre de tours est fonction de l'intensité de la gravité. Il est possible de compter jusqu'à 60 tours
de spires.
Le recherche de la boule de Da (position, couleur) est un reflet de l'activité sexuelle, elle-même
reflet d'une forme de vitalité.
à l'antenne double
Le bilan énergique est complété par l'étude de la vibration spécifique de l'organe. Autour de la
valeur de la vibration spécifique de l'organe, il existe des vibrations voisines avec une précision de 4
à 5 chiffres après la virgule qui correspondent à des pathologies particulières. La recherche de ces
vibrations peut orienter le diagnostic. Quand une forme de pathologie n'est pas référencée, on
cherche sa vibration par approches successives, à partir des chiffres connus et des symptômes les
plus semblables. Ce sera la valeur pour laquelle la vibration est la plus effondrée. Cette valeur
détectée permet de suivre l'évolution des patients. Les tableaux de vibrations se précisent au fur et à
mesure des pathologies rencontrées chez les patients.
Le diagnostic sera complété par l'atteinte d'autres organes qui sont caractéristiques du syndrome.
Rappelons que le point d'ancrage (ou de détection par le basculement de l'antenne) de la vibration
spécifique se caractérise aussi par l'absence de la vibration harmonique « capital » à son niveau,
sachant qu'elle est présente à tout autre endroit du corps. La distance au corps est une constante pour
une harmonique. Avec les vibrations spécifiques, le déficit est apprécié par la mesure de la chute du
point d'ancrage de la vibration par rapport à la position de l'organe, sachant que sa position normale
est au niveau de l'organe. Lors de la réparation, le point d'ancrage va s'élever au dessus de l'organe et
au maximum monter jusqu'au Kéther du premier corps.
6.4 – Étude de l'activité cérébrale

Le coefficient d'activité cérébrale maximale située à la partie haute du front est intéressante pour

déterminer l'état global de l'individu lors de l'évolution. L' « activité cérébrale » sera précisée par
l'évaluation de critères dont les mesures s'étagent entre le troisième œil et la racine des cheveux.
Elles sont mesurables de deux façons : en vertical ou en horizontal. La mesure horizontale part de la
ligne médiane du front et la mesure verticale s'ancre au bord de la tête (niveau des tempes). Entre la
mesure horizontale et la mesure verticale se dessine un espace où la vibration est présente. C'est
comme si ces vibrations se positionnaient comme des oreilles (d'éléphant).
Jusqu'en 2005, les vibrations se succédaient à partir de 12, jusqu'à des valeurs autour de 36 voire 40.
A partir de cette date, l'écart entre les valeurs minimales et maximales se dilate (du 0 jusqu'à des
valeurs supérieures à 1000, au lieu de 12 à 30), est-ce en rapport avec une accélération du temps et
une perte des énergies ? Nous notons que le schéma de ces vibrations, comme cela est décrit dans le
volume 2, reste valable et que cette dilatation des énergies au dessus de 30 n'a pas reçu d'explication
à ce jour. Il faut, à partir de 2010, avoir plus de 5000 pour développer des propriétés
parapsychologiques.
6.5 – Activité spirituelle

Quelques aspects de l'activité spirituelle sont abordés dans d'autres volumes. Nous notons que
depuis l'an 2000, quelques individus portent l'épine de Sainte Rita sur le front, le Cœur
miséricordieux l'épine de Saint Paul Il s'agit de trous énergétiques portant des petits Arbres de vie
avec des séphiroth en violet. L' arbre de vie situé sur le pied donne des énergies remontant à la face
interne de la jambe , contournant la crête iliaque, se dirigeant vers le cœur, et remontant à la face
antérieure du cou. Ces énergies sont perceptibles sur le visage et atteignent le cerveau. Une
vibration 5,1 dessine un triangle énergétique dont la base est au cervelet et la pointe se dirige vers le
haut. Certains chrétiens, outre la vibration 18 gauche, ont à droite, mesuré avec la vibration 9, les 7
ovales du Saint Esprit. Ils portent une croix de Saint André blanche avec un cœur bleu devant le
corps ou plus rarement, croix bleue et cœur blanc.
6.6 – Cas de pathologie

En cas de pathologie, on recherchera un trou en 2 sur le corps, et les vibrations associées à la
pathologie supposée. Les vibrations 4,3 et 4,9 orientent vers une pathologie tumorale ; dans ce cas,
le Kether est descendu aux pieds et le Yesod sur la tête, témoin d'une inversion des énergies. Cette
inversion favorise les anomalies de duplication, comme l'aneuploïdie. Il faut insister sur le fait que
l'apparition d'une vibration cancéreuse peut être brutale, à la différence de toutes les autres
pathologies chroniques.
En cas d'atteinte hépatique, il existe un trou énergétique en regard du foie mais aussi le long du
corps, à 20 centimètres en moyenne. L'amélioration de la fonction hépatique s'accompagnera d'un
éloignement progressif de cette ligne. Une vibration dite karmique (4,4 - sud), selon les références
classiques de l'antenne de Lécher, indique une pollution avec souvent une répercussion sur le
fonctionnement du foie. La pollution sera vérifiée par la vibration 1,1 autour du corps.
6.7 – Recherche de foyers de Hamer

L'existence d'un foyer de Hamer va apporter une confirmation du diagnostic et du pronostic portés
par l'approche précédente. On recherche sur la droite le type de pathologie, à gauche et au dessus du
crâne, les organes principalement atteints. Une vibration 5,1 située en avant du crâne est témoin
d'une fatigue, en arrière, elle affirme l'existence de l'évolution d'un foyer de Hamer. Lors de la
réparation de ce foyer, la vibration 5,1 va se diviser en deux faisceaux se dirigeant sur les deux côtés
du crâne, pour reprendre petit à petit la place médiane antérieure, avant de disparaître.

6.8 – Pollutions héréditaires ou acquises
Il s'agit de la recherche d'entités embryonnaires, de l'état de « gisant », d'entités pathologiques. Les
stress de l'enfance se situent au niveau de la partie postéro-latérale du cerveau droit. Dans la partie
la plus basse, le stress peut être lié à la période embryonnaire et se traduira souvent chez l'adulte par
des peurs de l'eau. Les stress actuels sont au niveau de la zone antérieure du premier corps. Ces
pollutions diminuent le premier et deuxième corps vibratoires et majorent le troisième corps. On
distinguera la « magie noire » récente et personnelle, des magies familiales par l'existence des
cornes frontales antérieures dans le premier cas, et en position moyenne dans le second.
6.9 – Etude de la problématique sexuelle

La problématique sexuelle s'étudie à travers la marche, la pose des pieds interne ou externe, la
cambrure du bassin, la boule de Da avec ses couleurs antérieures et postérieures, les mémoires
homosexuelles à distance sur une ligne allongée selon l'axe du corps en 13,1, les mémoires
hétérosexuelles, plus à distance sur une ligne en 15,1. Les mémoires contenant du 6,66 ou du 4,3
peuvent être dangereuses pour l'individu. En cas de viol ou d'inceste, il existe un trou dans la partie
moyenne du cerveau, à la partie antérieure. L'affectivité se jugera sur une vibration 5,1 sud se
dirigeant vers le haut et qu'on retrouve sur le coeur de l'être aimé. Il faut la distinguer des énergies
spirituelles qui se dirigent vers le bas, en partant du milieu du thorax. Lors du désir sexuel, des
énergies remontent à la face externe des jambes en 5,1 sud, passent par le coeur organique,
divergent vers les deux seins, remontent à la face postérieure du cou, juste devant l'oreille pour
atteindre les deux cerveaux. Enfin, les vibrations 15 et 16 gauche seront le reflet de l'activité
sexuelle. Ceci est détaillé dans le volume 4.

7 – Les énergies du monde physique
7.1 – Les énergies du temps
7.1.1 – Le temps, paradoxe pour les rationnels
Le temps dépasse l'homme dans la mesure où sa connaissance ne lui est pas accessible que par des
valeurs relatives. Pour certains, il est propriété intrinsèque du cosmos existant de par lui-même.
Pour d'autres, il s'agirait d'une perception du psychisme des êtres vivants, indépendante d'une réalité
physique. Pour les physiciens, sous le terme « temps », s'expriment plusieurs principes. Les théories
en cours tentent d'unifier la physique quantique et celle de la gravitation. Selon certaines théories, le
temps et l'espace sont liés. Le temps aurait alors des propriétés variables selon l'espace considéré.
Pour d'autres, il dériverait de quelque chose qui n'est pas un espace temps ! La théorie des super
cordes est une tentative de comprendre certaines dimensions supplémentaires à notre espace-temps.
Aucune approche ne détermine la nature intime du temps même si l'homme a la possibilité de le
quantifier ou de le qualifier. La physique actuelle cherche à déterminer le temps en composantes
telles que son flux dénommé « cours du temps » et des phénomènes temporels, manifestations de
l'évolution du monde, appelés « flèche du temps ».
7.1.2 – L'énigme du temps

L'homme s'est interrogé sur le temps dès sa prise de conscience que l'être avait un début et une fin.
Les mayas ont déterminé des périodes de temps se succédant à un rythme particulier pour chaque
époque. Leurs écrits prétendent que le temps s'accélère progressivement. Les périodes se
raccourcissent avec une fin des temps en 2012. Pour nous, si le temps fort de l'Apocalypse peut être
en 2012, il ne sera que la fin d'un temps si on comprend bien le texte de Saint Jean. Une période de
1000 ans de règne avec le Christ succédera à ces événements, pendant laquelle le « dragon » sera
enchaîné avant son dernier assaut et sa chute, qui marquera la fin des temps. A partir de janvier
2012, nous constatons une vibration 14,7, dite lumière interdimensionnelle cosmique, qui serait la
preuve d'une modification de la position de la terre.
Les premières traces connues de quantification du temps ont été repérées dans le cercle de
Stonehedge. Chez les peuples mégalithiques, les trous autour de cercles de pierres signifieraient les
années. Pour établir un calendrier et mesurer le temps, nous nous servons actuellement du soleil.
Les babyloniens observaient la position de Sirius, et les aztèques, celle de la lune. La mesure du
temps est établie par rapport à des corps physiques. Ces corps ont eux aussi une vie mais dans un
temps différent de celui de l'homme. Tout se caractérise donc par un début et une fin. Et cette fin,
même pour un caillou, n'est pas une disparition ex nihilo, mais une transformation voire une
mutation non accessible à l'esprit humain. Saint Augustin exprime cela par une subjectivité conférée
à l'individu par la matière. Pour lui, le temps ne peut être qu'une « image mobile de l'immobilité
éternelle ». Il reprend l'idée de Platon en précisant que cette immobilité éternelle est inaccessible à
l'intelligence humaine. Cette évolution des temps est illustrée par la Bible : la durée de la vie
humaine décroît à travers les temps. Nous pensons qu'à partir de 2012, les hommes, malgré les
progrès « incroyables de la science » annoncés journellement par les médias en ce début du XXIe
siècle, ne dépasseront pas la soixantaine.
Pour le mystique, le temps n'existe plus. Dans sa vision anthropocentrique, le divin est nommé père
ou époux. Devant cet illogisme, le scientifique éprouve un traumatisme intellectuel puisque pour
lui, la pensée logique devrait interdire ce genre d'interprétation et la reléguer au monde de la folie.
La « sagesse du divin » lui est inaccessible. L'intelligence rationnelle le rassure par son savoir
palpable. Cela le protège des incertitudes de ce monde. Les énigmes de la création seront toutes
résolues par la science qui tôt ou tard les percera ! Aujourd'hui, on ne comprend le temps qu'à partir
du big bang. Encore un peu, et on comprendra ce qui le précède, voilà la « foi » du scientifique

matérialiste. A l'opposé, l'homme de foi comme Père Marie-Eugène de l'Enfant Jésus déclare : «
Comment Dieu a-t-il créé ? Ce n'est pas commode à expliquer. En effet, il y a là un problème, mais
qui, pour nous, est résolu puisque la création est de foi. Nous n'avons pas à nous expliquer
« comment ? », le fait nous suffit : Dieu a créé. »1
7.1.3 – La symbolisation du temps

Pour l'esprit humain, toute fonction mobile s'inscrit dans un tracé. L'homme essaie de le symboliser
soit par une roue soit par une fonction linéaire.
a) Le temps cyclique
(1) Les saisons ont un aspect cyclique. Cette mémoire se pérennise dans de nombreux dictons
« Si la chandeleur est claire, l'hiver est derrière ».
(2) La vie humaine elle-même serait cyclique. L'homme se succéderait à lui-même par des
réincarnations. La qualité de la vie serait fonction du nettoyage des karmas des vies
précédentes, c'est à dire des réparations d'actes malveillants faits antérieurement, mais
aucune preuve n'est fournie à cette croyance !
(3) Le zodiaque est une autre roue du temps. L'enfant né sous le signe du bélier n'a pas la même
vitalité que celui né sous le signe du scorpion. L'horloge zodiacal a une grande aiguille qui
marque les mois de l'année de 365 jours, et sa petite aiguille indique les mois de la grande
année précessionnelle de 25920 ans. Elles marchent en sens contraire. Quand la petite
aiguille change de signe, c'est alors que se produit le changement religieux en rapport avec
ce que représente le nouveau signe zodiacal.
(4) Les études de psychogénéalogie ont montré l'importance de la répétition d'actes ou de
phénomènes aux dates anniversaires. Il n'y pas d'explication au phénomène du gisant, c'est à
dire ces personnes qui lors de leur conception ou de leur naissance ont été envahies de
vibrations d'un aïeul mort à cette date ou à un anniversaire de cette date.
(5) La conception du temps pour les Roms est intéressante. Le temps a une double dimension :
aux cycles attachés aux éléments naturels (des saisons, de la nuit et du jour, des phases
lunaires), ils superposent des cycles plus longs appartenant à un temps cosmique. Ce temps
cosmique évoluerait selon une spirale matérialisant un accroissement des vibrations
énergétiques. Au fur et mesure que la fréquence de ces vibrations augmentent, les conditions
de vie de l'homme se dégradent jusqu'au moment où les énergies s'annulent dans de grandes
catastrophes. L'humanité repart ensuite pour une nouvelle spirale de temps cosmique jusqu'à
la catastrophe suivante. Cette conception se rapproche des théories de l'hindouisme et du
brahmanisne. Périodiquement, le monde serait détruit et reconstruit pour redonner un même
univers. Chaque cycle ou Kalpa (hindou) est divisé en 4 âges de déclin progressif. La théorie
du temps des Roms n'est-elle pas une réminiscence de leur origine, le plateau du Deccan en
Inde ?
(6) Les stoïciens affirment la répétition du cours du temps après une conflagration.
(7) Nietzsche allait plus loin quand il déclarait que la vie individuelle se reproduirait, identique
à elle-même, dans tous ses aléas. Pauvre philosophie que celle de ne pouvoir intégrer
l'évolution de l'homme ! Que penser de son jugement, « Dieu est mort » ? Son pessimisme,
son refus de la « Bonne Nouvelle » l'a entraîné au suicide. Si le devenir de l'homme reste
mystérieux, aucune civilisation n'a considéré le suicide comme une valeur positive (sauf en
fin de vie chez les inuits).
1 Père Marie Eugène de l'Enfant Jésus. Au souffle de l'Esprit. Prière et Action. Éditions du Carmel.

(8) En Occident, le temps est quantifié en année, on reconnaît que certaines années ont sur
l'homme un retentissement différent : on parle de la « Renaissance », de l'« Entre deux
guerres », des « Trente glorieuses ».
(9) Les lois de l'économie seraient-elles aussi cycliques ? Le XXe siècle est largement soumis
aux lois de la finance et des marchés. Les observations de deux économistes de ce siècle
méritent un intérêt particulier pour leur vision du temps à travers la répétabilité des
phénomènes financiers. Le premier, sous le régime de Staline, un russe Nikolai D.
Kondratiev, célèbre pour sa théorie des cycles économiques dits « cycles Kondriatiev »
affirma que, selon ses calculs, le socialisme disparaîtrait et que le capitalisme reprendrait sa
place en Russie. Cet économiste n'a pas eu la possibilité de voir la justesse de sa théorie. Il
n'est jamais bon de déplaire à un despote. Cet économiste finit fusillé au Goulag. Un
américain, Martin Amstrong s'est inspiré de sa théorie pour décrire l'économie mondiale. Il
s'appuie sur une conception cyclique et fractale du temps. Il remarque que la connaissance
du temps est ce qui manque le plus aux théories économiques et que le modèle linéaire du
temps est totalement inapproprié. Il propose de revenir à une conception Maya selon laquelle
toutes les activités humaines ont des cycles. De la même façon que l'océan a des vagues dont
on peut mesurer l'amplitude et le rythme, les différents rythmes du temps seraient
responsables, en des points du points du globe, soit d'une mer hachée parce que les vagues se
heurtent et s'annulent entre elles ou soit, au contraire, les divers phénomènes vont s'associer
pour former une vague gigantesque capable de détruire tous les bateaux. D'après ces calculs
statistiques, il est remarquable que le rythme de base des phénomènes économiques soit un
nombre de jours proportionnel au nombre π !
b) Le temps linéaire
Le temps est linéaire dans la pensée occidentale, en particulier pour les scientifiques. Ceux ci n'ont
aucune théorie cohérente mais une juxtaposition de théories. La relativité quantique est
incompatible avec les lois de la gravitation. En attendant de proposer une hypothétique « théorie du
tout », ils se basent sur le « temps de Planck » qui vaut 5,4 10-44. Ils le définissent comme le plus
petit intervalle de temps non divisible pour observer un événement. L'écoulement du temps serait
pour eux une juxtaposition d'une myriade de temps de Planck. Nous sommes évidemment dans des
pensées théoriques très loin de ce qu'est la vie. A partir d'un « néant » original, l'évolution donnerait
les atomes, les molécules, les êtres selon une progression linéaire. Ce sont les théories
évolutionnistes qui s'adaptent à une conception linéaire du temps, mais ici encore ce temps aurait
des retentissements variables sur le vivant. Il y eut un passé, on vit un présent et il y aura un futur. Il
est vrai qu'à partir des modifications chromosomiques, on peut établir une chronologie de
l'évolution des espèces.
c) La relativité du temps
La conception d'un temps évoluant irréversiblement dans un sens doit être nuancée : certains
individus semblent capables de remonter le temps dans des visions d'un temps antérieur. Captent-ils
ce que certains appellent la mémoire akashique ? Einstein concevait comme un paradoxe le fait que
scientifiquement notre constitution atomiste nous place dans sa théorie de la relativité alors que
nous sommes bien réels. Nous montrerons plus tard que cette temporisation de l'homme est liée à un
contrôle hypothalamo-limbique qui fait percevoir la succession des impulsions énergétiques
discontinues comme un flux continu du temps. Nous retrouvons le même phénomène au cinéma où
c'est la succession des images qui donnent l'impression d'un mouvement. Par quel mécanisme,
certains points du globe sont témoins de faits du passé resurgissant périodiquement. D'un point de
vue physique la cavitation de l'eau fait ressortir des énergies lumineuses de la molécule et de la
chaleur indépendamment de la force du jet. L'eau a-t-elle capté une mémoire d'un autre temps que la

cavitation fait ressortir ? Les médecines énergétiques, en apportant à la cellule une vibration
bénéfique (qui probablement la nettoie, en particulier de ses pollutions) fait remonter le temps. Les
effets de notre passé conditionnent notre présent comme notre futur... Mais l'impact est modulé
selon la « programmation » du Seigneur et l'exercice de notre libre-arbitre.
7.1.4 – Le temps dans sa dimension spirituelle

Dans l'évolution inéluctable du temps imparti aux vivants, nombreux sont les hommes qui acceptent
d'y voir une réalité spirituelle, c'est à dire une transcendance de leur existence.
– Chez les gnostiques, les éons, particules élémentaires de la création matérielle, seraient des
particules vivantes qui animeraient l'univers. Cette notion est reprise par certains physiciens
modernes dans le sens d'information.
– Pour les musulmans, le siècle est Dieu. C'est dire la valeur du temps dans le Noble Coran. Cette
valeur a des thèmes nombreux fonction de l'activité de l'individu. Le temps que Dieu accorde
donne ses bienfaits que l'on ne saurait dénombrer. L'homme est trop injuste et ingrat pour les
reconnaître. Le temps est le champ de l'existence, l'espace où il profite aussi de ce dont il fait
profiter autrui. Le jour et la nuit sont des bienfaits accordés à l'humanité pour qu'il comprenne
que par le temps, le monde passe de sa création jusqu'à sa fin. L'existence d'une longue vie
implique le devoir de prendre conscience de la foi en Allah. Le temps fait partie des bienfaits
fondamentaux mais le dernier instant de la vie est très important puisque, si tu te repends, le
bonheur s'établira pour toi au moment de ta mort et tu seras dans le paradis éternellement.
– Pour les orientaux, dans Braham, le temps et l'éternité coïncident.
– Pour les réincarnationnistes, selon les théories, l'être humain se réincarne soit de façon
indépendante de sa vie antérieure soit en fonction de la qualité de sa vie antérieure pour régler
son karma. Pour nous, la preuve donnée par le récit de vie antérieure chez l'enfant est un contre
argument puisque l'enfant n'acquiert sa mandorle que progressivement, et donc victime d'entités
en particulier de ses ancêtres. Chez l'adulte, on retrouve souvent des individus sans mandorle
captant des entités-souvenirs souvent de sujet décédés jeunes, n'ayant pas compris qu'ils
devaient monter pour être jugés. Souvent il s'agit d'individu « lilith » se caractérisant par
l'absence de protection des archanges et l'absence de mandorle. Pour beaucoup, ils ne s'agit que
d'une tradition culturelle. Pour les orientaux et pour bien des occidentaux, c'est une façon cachée
de se dé-responsabiliser face à un jugement définitif. Il est plus facile de gagner le Ciel par la
croyance en plusieurs vies que de savoir que tu n'as droit qu'à une chance. C'est le principe
éternel de remettre à demain ce qu'on n'a pas la volonté de faire aujourd'hui. Pour nous, ces vies
antérieures ne sont que des entités qui parasitent l'individu. Par des phénomènes de résonance
vibratoire, la victime de l'entité a l'impression qu'il a eu des vies antérieures et qu'il s'est
réincarné à plusieurs reprises.
– Dans la tradition judéo-chrétienne, la vie terrestre est éphémère. La mort est venue avec le
péché. Dieu offre le temps et la liberté pour retourner vers lui. L'homme devra rendre compte de
cette vie en fonction des « talents » qui lui ont donnés. La vie de l'homme n'est qu'un temps
d'Espérance dans une promesse de délivrance des contraintes de l'exil puis d'une vie éternelle.
– Pour le chrétien, il a reçu la vie dans ce monde, mais aussi une grâce gratuite, don du divin, qui
seule permet la véritable connaissance de la Vie. Le temps est bien une propriété du divin. Le
temps n'existe qu'entre la création et « la fin des temps ». La fin de ces temps sera marquée par
le jugement de l'humanité : le Jugement Dernier. Le retour vers le divin n'est pas pour tout le
monde. La vie n'est qu'un temps donné par Dieu dans un libre arbitre qui est nécessaire à notre
sanctification. La fin est un jugement qui détermine les conditions de notre éternité. L'homme
est alors invité à se rappeler de sa confiance en la Miséricorde infinie de Dieu. Le lien étroit

entre la finitude de la vie terrestre et l'infini de l'éternité est dans le fondement même du
sacrement de réconciliation : « Ce que vous lierez sur la terre sera lié dans le Ciel, ce que vous
délierez sur la terre sera délié dans le Ciel », Mt 18,18 et Mt 16, 19. Le temps de l'Eglise est une
époque privilégiée où l'Evangile est notifié à tous les hommes, juifs ou païens, pour que tous
puissent bénéficier du salut. Avec Jésus, est arrivée la « plénitude des temps » (Ga 4,4 ; Ep 1,10).
– Pour le mystique chrétien, le temps et l'éternité se rejoignent dès cette terre. Dans une parfaite
réciprocité, l'éternité s'exprime dans le temps et le temps dans l'éternité. Le mystique reconnaît
la gratuité d'une grâce, indissociable elle-même de la foi, et sa vie sur terre ne peut être qu'une
singularité particulière reliée à une transcendance. Il s'agit pour lui d'une sagesse de bon sens
venant du divin alors que pour son environnement, elle n'est que folie. Certain d'être élu dès sa
création, le mystique a la confiance absolue que son temps sur terre n'a de sens que dans une
réalité d'un temps éternel. Peu avant sa mort, Sainte Thérèse de Lisieux écrivait à l'abbé Bellière
« Je ne meurs pas, j'entre dans la vie ».1
– Les textes sacrés fixent à plusieurs reprises l'existence d'un temps avec un commencement et
une fin. Le temps est oeuvre de Dieu et si les 7 jours de la Genèse sont sanctifiés par la nécessité
de respecter le Sabbat, c'est la preuve que Dieu a inséré sa création dans un cadre qui accueillera
l'homme. L'homme vit bien dans le temps et Dieu dans l'éternité. L'homme a par son expérience
la notion d'un temps cosmique, celui des cycles de la nature, mais aussi celle d'un temps
historique. Toutes les religions, reconnaissent le sens sacré de ce temps cosmique. C'est la raison
des fêtes et l'Eglise respecte ces fêtes en les superposant aux périodes marquantes de l'évolution
de la Révélation du divin. Ces rituels périodiques sont fixés à partir d'un calendrier et les fêtes
sanctifiées par des offrandes et des prières. La pensée antique associait la perfection humaine à
ses débuts et ne voyait dans la suite des temps qu'une dégradation. La Bible place cette
perfection primitive dans le Paradis terrestre et c'est le péché qui va influencer le jugement et la
sanction des hommes. C'est l'histoire du déluge, et de l'interprétation génocidaire de
l'Apocalypse. C'est Dieu seul qui fixera l'heure du Jugement en séparant les pécheurs des justes.
Jésus vit dans un temps historique et comme tout homme a accepté de vivre son temps avec une
naissance (au jour du roi Hérodote, Mt 2,1) et sa fin sous Ponce Pilate (1Tm 6, 13). Sa personne
divine assure la plénitude des temps. Les temps sont accomplis et le « royaume des Cieux est
proche » (Mc 1,15). Aussi, Jésus domine tout le temps de l'homme terrestre. Sainte Hildegarde,
dans ses visions, superpose la vie du Christ avec toute l'histoire spirituelle de l'humanité2.
– Le Christ, dans les sculptures médiévales, est représenté comme le maître du temps. Il est
symbolisé par un corps humain, les bras écartés pour donner aux autres mais situé dans un ovale
appelé la mandorle qui le protège des pollutions et entités dont sont victimes les
réincarnationnistes. En effet, le Christ donne par la grâce une vie différente de celle du non
croyant. Le baptême est une naissance à la vie divine.
– Le temps de l'Eglise est le temps de l'Esprit, celui où l'Evangile est donné à tous les hommes. Ce
temps de l'Eglise fait partie des derniers temps, et porte en lui-même les signes précurseurs de la
fin (Ap 6, 1-19). C'est bien le sens caché de tout le texte de l'Apocalypse de Saint Jean.
7.1.5 – La réalité perceptible du temps

– Pour nous, le temps ne saurait s'étalonner ni sur une roue ni sur une droite mais dans une
vibration particulière de l'éther. Cet éther peut être appelé « Souffle divin ». Cette vibration est
variable dans le temps et l'espace, ce qui explique que le temps entre les électrons n'est pas celui
qui existe entre les ions négatifs de la cavitation ni entre les anneaux de Saturne. La disparition
1 Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte Face, Histoire d'une âme, Manuscrits autobiographiques, Des
Cerf/Pèlerinage de Lisieux
2 Hildegarde de Bingen, Le livre des Œuvres divines, Collection Spiritualité vivantes, Eds Albin Michel. 217p

progressive des énergies du cosmos, mesurables à l'antenne de Lécher, est responsable entre
autres, de la diminution du magnétisme terrestre qui est mesurable avec les outils de scientifique
matérialiste. Cette perte des énergies donnent cette perception subjective d'un temps qui
s'accélère. C'est la même subjectivité du temps qui est vécue lors des phases heureuses ou
angoissantes de la vie où le temps n'a pas la même dimension. Ces modifications du temps
touchent la « flèche » du temps responsable d'évolutions pathologiques de plus en plus évidentes
mais aussi des anomalies dans le développement des plantes. Le cours du temps n'a pas évolué
mais sa flèche est différente.
– La maladie peut être interprétée comme une accélération du temps accordée à l'individu et la
guérison par une médecine énergétique efficace, comme un retour en arrière. L'autovaccin fait
disparaître les symptômes actuels mais bien réapparaître des symptômes antérieurs à la
pathologie : on remonte le temps dans la physiopathologie de l'individu. Telle polyarthrite, au
bout de 18 mois de traitement par autovaccin va retrouver la période thyroïdienne qui a précédé
les manifestations articulaires, ensuite et bien souvent, une période de cystites qui a marqué ses
vingt ans, des crises d'asthme de la puberté, et l'eczéma de son enfance. L'allopathie, par son
action symptomatique, fait disparaître les signes de souffrance actuels mais donnent un autre
temps à la vie de l'individu, en faisant apparaître des pathologies plus lourdes.
– L'art se veut une échappée pour sortir du temps. Bien qu'image du temps de sa création,
l'émotion vibratoire inspirée par sa beauté se situe dans un hors-temps. La culture a pu être
définie comme un ensemble de formes qui résistent à la mort. Cependant, il existe des formes
artistiques qui rabaissent l'individu et d'autres qui élèvent l'âme. La contemplation d'une oeuvre
esthétique libère du temps présent et par là, soustrait temporairement son psychisme au temps.
Des procédés musicaux ou des formes d'écriture musicale tentent de modifier cette perception
du temps par le psychisme. Les temps forts comme les temps faibles, par leurs rythmes, joints à
la tonalité, influencent bien une subjectivité émotionnelle de l'auditeur qui lui « coupe le
souffle ».
– L'étalon temps qui nous est donné par le soleil ne peut être éternel puisque tous les astres ont
une vie. Pour le soleil, il y a bien une vie puisque dans un espace temps, il y a un échange entre
matière et information. Pour la Bible, au commencement « L'Esprit tournait sur les eaux ». Cet
esprit donnait information et probablement une énergie se densifiant dans la matière. Mais cette
vie a aussi un temps fini. C'est ainsi qu'à partir de la matière, Dieu créa l'homme à sa
ressemblance, avec une âme à la vie éternelle mais la projetant à la fin des temps en fonction de
sa vie terrestre.
7.1.6 – La conscience du temps

L'homme prend conscience de son incarnation tant dans le temps que dans l'espace. Il n'a aucune
liberté dans la réalité d'un « ici et maintenant ». C'est cette dépendance du "hic" et du "nuc" qui a
interpellé les philosophes anciens. Cette servitude ayant des paramètres qui ne lui appartiennent pas,
est source d'angoisses pour l'homme qui réfléchit à son humaine condition. Ce qu'il croyait faire
dans une liberté d'action se révèle ultérieurement impossible à modifier et l'individu comprend qu'il
s'agit de son destin. Alors, la question du libre arbitre se pose. Parmi les créatures vivantes, c'est
l'homme qui manifestement a le plus de liberté. Mais il doit accepter que son libre arbitre ai aussi
des limites imposées d'un côté, par son support matériel et son déterminisme biologique, et d'un
autre, par le contexte culturel ou social (du domaine de l'éthique). Ce contexte définit les contours
d'une liberté pour dominer sa nature animale.
Capable de jugement ayant pour objet le temps, l'homme n'échappe pas au temps, mais cette prise
de conscience n'est qu'un dépassement de la temporalité de l'être. Si l'être est dans le temps, il a la
particularité, par cette temporalité spécifique à l'esprit, d'agir dans le temps indépendamment des

facteurs de son environnement. L'homme, à la différence de l'animal, a la capacité d'échapper au
flux du temps et de donner par le temps un sens à sa vie. C'est le sens du libre arbitre et de la liberté
que l'homme possède. Aussi, cette conscience du temps et de ses limites donne à l'homme sa
conscience de lui-même et de ses oeuvres, en un mot sa responsabilité sur laquelle il sera jugé.
Pour certains, la capacité du souvenir serait un retour en arrière du temps. C'est la problématique de
la mémoire affective chère à Proust. Or, il est évident que même cette mémoire, dans son évocation,
évolue avec le temps. Alors, incapable de comprendre le temps et dans un refus de transcender la
valeur de son existence, l'homme crie au ciel, avec le poète « Ô temps ! Suspend ton vol ! ».
7.2 – Les énergies de l'espace

7.2.1 – L'espace, paradoxe lié au temps
L'espace, comme le temps, interpellent l'homme dans leur réalité exacte. Ils sont bien, dans notre
expérience, des cadres préexistant à notre être et l'un comme l'autre sont intrinsèquement liés à notre
existence et par là, « transcendantaux ». Ce terme, selon une définition philosophique, veut dire
« hors de portée de l'action et de la connaissance ». Le commun des mortels comprend facilement
cette relation particulière puisque, à une demande de localiser un lieu, la réponse lui sera fournie en
distance ou en temps. Mais le temps utilisé à parcourir un sentier dans la nature et le même temps
de marche dans une foule urbaine n'ont pas les mêmes conséquences sur l'individu.
Pour l'homme, l'espace est réversible puisqu'il peut aller d'un point à un autre, et revenir au départ.
Le temps est irréversible, puisqu'il est impossible de remonter le cours du temps. Tout phénomène
évènementiel se positionne dans un continuum espace-temps. Cet espace-temps se définit par quatre
mesures, hauteur, longueur, largeur, et la quatrième, le temps. La constante de la vitesse de la
lumière autorise la transformation des distances en temps. Le soleil est à 150 millions de kilomètres,
mais aussi 8 minutes-lumière de la Terre. Pour le quidam qui cherche son parcours, le temps est
aussi espace. La science pourtant, va démontrer que le temps tout comme l'espace va dépendre d'un
référentiel. Le référentiel du chemin dans la nature n'est pas celui de la foule. Mais alors, quels sont
les référentiels possibles ?
Actuellement, les scientifiques démontrent que l'univers est en expansion et que le phénomène subit
une accélération inexpliquée. Une tentative d'explication de cette expansion plus rapide qu'elle était
par le passé serait sa liaison à la présence d'une énergie noire qui occuperait au minimum 70% de
l'univers et qui produirait une force répulsive s'opposant aux forces de la gravitation. En attendant
une démonstration, les scientifiques affirment que les positions et les vitesses des galaxies lointaines
se modifient. Cette expansion de galaxies créées il y a 7 milliards d'années dans le passé ont des
distorsions dans leur déplacement qui permettraient de déterminer l'énergie sombre. Et c'est cette
énergie qui serait à la base des trous noirs. Mais de nombreuses inconnues persistent. Si la théorie
du « big bang » donne mathématiquement des résultats satisfaisants de façon ponctuelle, elle ne
saurait être une vérité. Le simple bon sens exclut l'idée qu'une explosion aussi violente puisse
provenir du néant. Comment peut-on accepter la réalité d'un créé sans un créateur ? Si la lumière
noire existe expliquant le déplacement des galaxies, jusqu'où s'étend l'univers ? Les trous noirs sont
scientifiquement prouvés. Ils posent problème sur cette notion d'espace-temps : condensation de
matière, le trou noir aspire toute particule passant à proximité. Si le temps et l'espace sont liés, où va
le temps qui accompagne la particule ? Existe-t-il alors un espace où le temps s'inverse ? Aussi, sur
la nature et les limites de l'espace comme du temps, la science ne propose que des espoirs
d'explication ! Le problème posée par la philosophie : « D'où vient le monde ? Où va-t-il ? » n'a
aucune réponse par la science. En outre, certains phénomènes naturels que tout un chacun connaît
soit par expérience personnelle ou livresque, ne rentrent même pas dans le champ d'investigation
des scientifiques. Quant au contemplatif, sa position est toute d'humilité : « Comment Dieu a-t-il
créé ? Ce n'est pas commode à expliquer. En effet, il y a là un problème, mais qui, pour nous, est

résolu puisque la création est de foi. Nous n'avons pas à nous expliquer « comment ? », le fait nous
suffit : Dieu a créé. »1 Position extrême, mais satisfaisante pour le croyant.
7.2.2 – Les phénomènes paranormaux

Les phénomènes paranormaux peuvent être appréhendés comme des exemples de la variation que
montre la liaison entre l'espace et le temps. Mais sans en connaître le mécanisme, nous évoquons le
caractère transcendantal de l'homme.
a) Les fractures du temps

On peut citer de multiples exemples où des individus se sont vus projetés sans en prendre
conscience immédiatement dans une autre période de temps, soit antérieure ou postérieure à leur
vie. Nombreux sont les saints affirmant s'être déplacés à la rencontre d'âmes leur demandant du
secours. Au sud de la Crête, on assiste régulièrement au passage d'une « armée des ombres » qui a
été dénommée « les drosulites », le visage de ces militaires reste flou mais leurs lances, leurs cottes
de mailles et leurs boucliers sont clairement visibles. En Normandie, la forêt de Cérizy est le siège
de phénomènes équivalents où on voit défiler une armée napoléonienne.
b) Les phénomènes de synchronicité

La synchronicité est définie par Jung, comme une coïncidence dans le temps de deux évènements ou
plus, et ayant un sens identique. Ces évènements sont liés par le sens et non par la cause. La plupart
du temps, les personnes décrivent des exemples de synchronicité dans un contexte de remise en
question de leur personnalité ou encore, d'une tension émotive en raison de la venue probable d'un
événement. Le signe, vu dans la concomitance de deux évènements, est le plus souvent symbolique
et n'a de sens que pour le sujet en cause, surtout le symbole et l'état d'esprit n'ont apparemment
aucune relation objective, et la loi de cause à effet n'entre pas en jeu. On parlera de liens d'une
manière acausale. En résumé, la synchronicité, c'est la conjonction de deux processus simultanés ou
situés dans un temps limité, ne prenant signification que dans l'interrogation d'un individu. Dans ce
cadre, nous individualisons plusieurs types de synchronicité :
– Toutes les méthodes de mancies, en particulier, le tarot et aussi le yi-king, avaient été la source
d'inspiration de Jung. Dans ce cas, il est probable que le cerveau se mette en résonance avec un
« double » de lui-même, contenant le résumé de toute sa vie. Est-ce le même type de mémoire
qui défile en totalité lors de la mort ?
– Le dicton « il n'y a pas de hasard » est une autre illustration : des rencontres, des évènements ou
des faits sociaux ont un sens spécifique pour l'individu. Souvent, il est demandé au Ciel un signe
qui rassure pour entreprendre une action importante ou pour juger une situation présente.
Donnons un exemple. La scène se passe dans une voiture et l'un des passagers se plaint de la
présence de calvaire dans des carrefours, monuments qui dénatureraient le paysage. A ce
moment-là, nous sommes au crépuscule, une effraie s'écrase sur le pare-brise. On nettoie la
vitre, et la voiture repart calmement. Un autre passager entreprend d'expliquer à son voisin que
son dégoût pour les crucifix est lié à son incompréhension de la notion de rédemption par le
sacrifice du Christ. C'est alors qu'une autre effraie précède la voiture d'un vol majestueux et
quittera son trajet sans être blessée. Or dans la discussion qui s'en suit, ceux qui acceptent la
notion de rédemption vont voir un sens symbolique au sort des effraies et les autres n'y prêteront
même pas attention.
– Les actions de chamans capables de modifier certains évènements comme la pluie auraient
comme base une synchronicité entre une énergie projetée par le chaman sur un animal aimant la
pluie et la modification de l'environnement.
1 Père Marie-Eugène de l'Enfant Jésus, Au souffle de l'Esprit, Prière et Action, Éditions du Carmel

– Le mystique dirige souvent sa vie à travers des coïncidences et va appeler cette succession de
coïncidences qui ont pour lui un sens, une « concordance ». C'est dire qu'à sa demande d'une
réponse spirituelle, l'individu à travers des synchronicités perçoit une réponse transcendentale.
– La physique de la notion d'espace temps explique-t-elle cette synchronicité ? La théorie de
Prigogine à travers la compréhension de ces systèmes dissipatifs et dynamiques non linéaires,
expliquerait que certaines énergies vont se manifester quelques temps puis disparaître et c'est la
conscience qui capterait certaines énergies. Pour nous, le souffle divin, que porte la force π, a
des énergies symboliques. Plus l'individu est capable d'accepté cette force π, plus il aura alors de
visions de synchronicité qui accompagnent sa vie. Pour les mystiques, le corps par ses actions
influence l'âme ou pour nous, ce double de l'individu qui se modifie dans les faits, gestes et
actions du corps. Plus l'individu recevra de ces énergies symboliques, plus sa responsabilité sera
engagée, plus il lui sera demandé. C'est, en d'autres termes, le récit évangélique des talents (Mt
25,14-30).
c) Les phénomènes d'ubiquité

Certains confondent cette capacité d'être en plusieurs lieux en même temps, avec la décorporation
du voyage astral.
– Par une approche d'individu familier avec le voyage astral, nous avons pu vérifier que le corps
physique devient inerte, se refroidit, la respiration et les battements cardiaques disparaissent.
L'électrocardiogramme peut n'avoir aucun tracé électrique pendant plus d'un quart d'heure. Le
récit du voyage astral n'a, dans notre expérience, jamais donné la preuve des lieux que le sujet
prétend visiter. Cette technique du voyage astral est couramment enseignée dans la culture
orientale. Chez des occidentaux, le voyage astral est possible sans apprentissage dans des cas où
le sujet a approché la mort. Y aurait-il des analogies entre le voyage astral avec la NDE (Near
Death Experiment) ?
– L'ubiquité se limite le plus souvent à la présence d'un individu à deux endroits différents. La vie
des saints rapporte de multiples exemples de ce type, mais cette bilocation n'est pas
exclusivement réservée aux saints. Le Padre Pio est dans notre période récente le personnage
dont les cas de bilocations ont été très nombreux. De nombreuses déclarations d'individus ayant
constaté la bilocation de Padre Pio ont été colligés et confirmés par le Saint lui-même. Lors de
son procès en béatification, ces cas ont été enregistrés. Ce charisme particulier a accompagné sa
mission de conversion de façon spectaculaire et a sans doute favorisé la reconnaissance rapide
de sa sainteté (voir encadré). Son procès en canonisation a été très rapidement organisé par le
Vatican : mort en 1968, béatifié en 1999 et canonisé en 2002. Nous avons pu être tenu au
courant d'un cas de bilocation du Padre Pio, sans savoir s'il a été colligé dans son procès de
canonisation.
Une femme de 45 ans est opérée d'une hystérectomie pour hémorragie profuse. Elle rend
responsable de sa pathologie, le stress affectif qu'elle a subi dans les mois précédant son
opération. Son mari, âgé de 50 ans, chef d'entreprise d'une PME de 30 ouvriers, après s'être
plaint des années de la nuisance de la jeune secrétaire de son usine, syndicaliste agressive,
disparaît avec elle en Amérique du sud dans une activité inconnue. Il avertit seulement son
épouse à qui, il laisse la maison et l'entreprise, mais il a vidé les comptes bancaires. Devant sa
souffrance d'épouse trompée, et la responsabilité d'une entreprise, sa soeur qui connaissait le
Padre Pio l'invite auprès de celui-ci pour reprendre espoir. Curieusement, celui-ci ne lui accorde
qu'un bref entretien en son monastère de Pietrelcina en Italie, mais lui affirme qu'il l'a
retrouvera dans son hôtel à New York, 8 jours plus tard, puisqu'il doit aller dans le monastère de
capucins situés près de son hôtel. Huit jours plus tard, elle vérifie la présence d'une maison

abritant des capucins situé au voisinage de l'hôtel et avertit le portier de celui-ci qu'un moine
doit venir la voir à 15 heures. A l'heure dite, le Padre Pio arrive à sa porte de chambre, elle fait
asseoir le Padre Pio et elle se met à genou devant lui, les deux mains sur sa bure. Il lui dit de
reprendre confiance et lui certifie qu'elle vendra très bien son entreprise aux américains qu'elle
visite actuellement dans les deux ans, et que plus tard elle retrouvera son mari. Il reste une
dizaine de minutes avec elle. A la proposition de le raccompagner, il refuse et sort de la
chambre. N'entendant pas l'ascenseur fonctionner, elle se précipite près du portier pour qu'il lui
rende des comptes : « N'aurait-il pas vu le capucin ? ». Celui ci, comme réponse, lui demande si
elle n'a pas besoin d'un psychiatre. Perturbée par ce départ sans trace, cette femme téléphone à
sa soeur en Italie. Celle-ci vient de rencontrer le Padre Pio. Elle la rassure sur les paroles
encourageantes du Padre Pio. Deux ans plus tard, elle vend très bien son entreprise et rejoint sa
soeur. Elle obtient une nouveau rendez-vous avec le Padre Pio et se précipite à ses genoux dans
la même situation qu'elle a vécu aux Etats-Unis, se posant la question : « Est-ce bien le même
qui m'a parlé aux USA ? ». Ce dernier intègre parfaitement la question posée sur sa corporalité
et lui fait remarquer qu'il est bien le même que celui qui l'avait visité dans son hôtel. Quatre ans
plus tard, le Padre Pio est décédé, le mari cherche asile chez sa femme, il est seul, ruiné et avec
des troubles mentaux. Cette femme généreuse lui propose de se reposer en montagne et de le
conduire elle-même dans la pension qu'elle finance. Il veut conduire lui-même la voiture mais
perd le contrôle de la voiture dans un tournant et les deux passagers seront tués. La fin du récit
nous a été rapporté par la soeur... Dans bien d'autres observations, les visions prémonitoires de
Padre Pio se sont souvent accompagnées d'une intense conversion au Christ par celui qui les
reçoit. C'est la Parole du Coeur.
d) Autres phénomènes paranormaux

Nous avons isolé plusieurs vibrations autour de la base du cerveau droit correspondant à des
propriétés tout à fait particulières de l'individu comme la claire-audience, la voyance, intuition sur le
devenir... La liste de ces capacités est énumérées dans la partie 2 de ce volume, avec leur vibration
correspondante. L'origine de ces capacités est variable.
– D'origine héréditaire, la propriété se passe d'une génération à l'autre dans un individu. C'est le
cas des passeurs de feu, des « coupeurs » de magie, et des propriétés thérapeutiques de
guérisseurs.
– Ces capacités surviennent après des efforts de guérison d'une pathologie grave ou par un
traitement énergétique bien conduit. Depuis 2010, il faut un minimum de 5000 en cérébral pour
voir apparaître ces propriétés sous forme de vibrations en 5,1. Elles peuvent être caractérisées
par la double antenne.
– Les récits de mystiques évoquent ces capacités particulières mais on peut les retrouver chez des
personnes priantes ou méditantes. Nous notons que ces propriétés se majorent lorsque l'individu
se positionne du côté sud des tombes contenant les reliques de grands saints.
– La littérature décrit ces prouesses aussi chez des mystiques de toutes civilisations. Le bâton de
Aaron est en concurrence avec ceux des magiciens de pharaon, mais le bâton devenu serpent, de
Aaron, dévore ceux des magiciens (Ex 7, 10-13)
– La magie elle-même, par ses capacités de malfaisance à distance, fait partie de ces phénomènes.
– A l'opposé, les saintes écritures, à plusieurs reprises parlent de théophanie, qui est une
manifestation du divin dans notre monde : le buisson ardent, la transfiguration, la pentecôte...

e) Notre interprétation
Certains parlent de possibilités de matérialisation – dématérialisation dans tous ces phénomènes.
Aucune explication scientifique n'est satisfaisante. Cette liaison du temps et de l'espace a fait dire à
plus d'un, dont Bouddha et Einstein, que « passé, présent et futur » ne sont qu'illusion. Pour nous, il
est évident que la création d'un individu a des bases terrestres indiscutables comme le montre la
visualisation de la jonction ovule-spermatozoïde, mais dès que la vie apparaît, il existe un « double
vibratoire » contenant la totalité de l'individu, et qui en permanence interagit avec l'être fait de chair.
Dans le dialogue de Sainte Catherine de Sienne avec le Seigneur, le corps n'aurait pas de vie en lui-
même, il serait sous la dépendance de l'âme. C'est elle qui donne la vie au corps. Mais le corps
participe à la vie de l'âme dans notre exil terrestre, tant que l'âme habite en lui. Il perd cette vie
quand il est séparé de l'âme. Pour nous, indépendamment de l'âme, il existe un corps miroir fait de
vibrations de grande longueur d'onde. Elles sont portées par le souffle divin et se projettent sur l'Aïn
soft de l'individu : hypothèse gratuite mais qui interprète les visions médiumniques à distance, en
estimant qu'aucun être humain n'est capable d'approcher le principe spirituel supérieur qui est l'âme.
Les mystiques expliquent que pour saisir les réalités divines, il ne faut plus être soumis à aux sens
de perception humaine. Ils sont contactés par le divin en songe ou en extase pour faire abstraction
des sens corporels1.
7.3 – Les énergies selon la physique actuelle

7.3.1 – Les énergies selon des concepts mathématiques
Précisons d'emblée que si l'utilité de la physique n'est pas contestable pour faire la bombe atomique
et autres armes destructives ..., pour son aide à la compréhension des processus du vivant, il y a bien
du chemin à parcourir. Si nous ne discutons pas la physique du thermomètre, nous posons la
question : quelle utilité a la physique pour l'homme ? Nous attribuons à cette science les pollutions
en tous genres du XXe siècle. Les pollutions chimiques ont perturbé profondément la nature. Le
XXIe s'annonce comme celui qui détruira l'homme par les pollutions électromagnétiques. Pour les
ésotériques, nous sommes engagés dans le même processus que celui qui a marqué la fin de
l'Atlantide !
La physique classique opposait le vide et la matière. Puis on voulut voir dans le réel un monde fait
de particules et d'ondes. La mécanique quantique, si elle confirme la théorie de la dualité onde –
corpuscule, démontre que cet aspect n'est que pour la matière visible et qu'au delà, on entre dans un
monde d'incertitudes. La matière solide ne devient plus qu'illusion puisque sa réalité est partagée
entre une double nature particulaire et ondulatoire à caractère probabiliste. La mécanique quantique
est basée sur trois notions, le principe d'incertitude, le principe de complémentarité et la fonction
d'onde.
– Le principe d'incertitude postule que dès que l'on tente d'expliquer le domaine subatomique,
c'est à dire de ce qui existe en dessous de la taille de l'atome, les particules qui composent cet
atome, ne sont plus ce qu'elles sont dans le monde atomique où la physique newtonienne peut
s'appliquer. Toute tentative de préciser le mystère perturbe l'évolution de la particule. Les lois de
la causalité classique ne s'appliquent plus au domaine quantique. Si le cerveau est responsable
de la causalité évolutive de la particule, c'est que les énergies de la matière et du psychique
seraient deux niveaux différents mais indissociables.
– La notion de complémentarité précise que tous les corpuscules subatomiques sont à la fois ondes
et particules. L'observation de leur double nature offre une vision plus juste de la réalité. Et
l'expérimentation permet de montrer aussi que tout objet macroscopique possède aussi des
ondes associées.
– La fonction d'onde décrit le comportement du corpuscule. Le calcul de cette fonction s'obtient
1 Saint Thomas d'Aquin, Abrégé de Théologie, chapitre 167.

par l'équation de Schrödinger. Un électron, par exemple, ne peut se trouver, autour du noyau
atomique, que sur certaines orbites déterminées. On parle d'états quantiques et on assiste à la
disparition et à la renaissance d'un corpuscule lorsque celui-ci passe d'une orbite à l'autre. C'est
l'intellect qui finalement détermine la manifestation de la matière et lui donne une apparence de
continuité.
– Il existe donc pour la matière deux univers reliés entre eux. Pour Schrödinger, c'est l'esprit
humain qui définit la position du corpuscule ou l'aspect ondulatoire de la matière. Il existe donc
deux univers reliés entre eux et que le cerveau dissocie. Ces deux univers parallèles
expliqueraient le paradoxe du chat de Schrödinger. Si le chat est retrouvé mort dans un système
choisi par notre pensée, il est obligatoirement vivant dans l'autre système. C'est par cette théorie
que s'expliquerait le paradoxe EPR (Einstein, Podolsky, Rosen). Le cerveau captant un
corpuscule dans une direction ne serait pas capable de capter en même temps le corpuscule se
dirigeant sur un autre plan parallèle.
Les théories du quantique sont réfutées par de nombreux scientifiques. Certains ont essayé de
l'améliorer comme Jean Charon avec une théorie quantique complexe. Pour Jean Charon, toute
particule possède des caractères physiques mais aussi des propriétés spirituelles situées dans un
autre espace temps qui mémoriseraient toute l'évolution du cosmos depuis son origine. L'énergie
quelle qu'elle soit comprendrait des particules nommées « éons », hologrammes de l'univers entier.
Ce serait ces éons qui piloteraient la destinée du vivant comme de l'univers. On ajoute donc à une
partie réelle une partie immatérielle associée et co-existant avec l'espace temps de la matière. Cet
espace temps imaginaire aurait un contenu informationnel chargé de conserver la mémoire du
temps. Le référentiel de l'espace-temps n'a plus de sens puisqu'il manque des dimensions
supplémentaires appartenant à l'espace-temps de l'Esprit. Cette notion de deux espaces-temps
pourrait expliquer que la matière devient hyperdense, et fait que l'espace se referme autour de trous
noirs. A ce niveau, le temps et l'espace ont inversé leur rôle, mais alors qu'est ce que le temps négatif
qui se trouverait associé au trou noir ? Dans la pensée de Charon, nous sommes faits d'une partie
réelle et d'un esprit inséparable qui fait l'unité. Mais le mystère de la mort reste entier et l'être
organisé que nous sommes n'est pas compréhensible dans sa totalité.
Il existe de multiples autres théories, démonstration évidente qu'aucune n'explique le cosmos, même
dans sa partie « matière » quant au vivant, on évite de l'aborder. Régulièrement nos scientifiques
déterminent des paramètres fondamentaux. Nous ne discuterons pas les forces matérialistes
codifiées par la science dominante. Nous savons que ces forces énergétiques se divisent en forces
électro-magnétiques, forces gravitationnelles, forces de liaisons faibles et fortes. Le rêve de nos
« scientifiques » est, comme ils l'expriment d'ailleurs, de trouver la formule mathématique reliant
toutes ces énergies faisant ainsi disparaître les constantes fondamentales de la matière et les
discussions sur les éventuelles variabilités de ces constantes. La physique actuelle en définit trois
par des méthodes expérimentales et les suppose invariant. Ces constantes sont :
- vitesse de la lumière c = 299 792 458 m.s-1 , la vitesse de la lumière est une constante,
- constante de Planck h = 6,626 0693 10-34 J.s,
- constante de gravitation G = 6,6742 10-11 m3 .kg-1 .s-2.
Certains interprètent ces constantes fondamentales comme liées à un univers parallèle créé par le
big bang. Parmi les multiples univers créés, celui de notre terre permettrait la vie puisque la moindre
variation des paramètres physiques contrarierait la vie. Il n'existerait pas d'autre possibilité d'être
vivant dans ce cosmos, bien évidemment, à ce niveau particulier, la théorie est discutable. Dans tous
les cas de figures, on assiste en physique à une multitude de théories, en particulier, la théorie des
cordes pour expliquer l'histoire de notre univers avant l'explosion qui a donné naissance à la
matière, il y a quinze milliards d'années. Avant ce big bang, il existerait un univers primitif froid et
sombre, parcouru d'ondes en tous sens. La conjonction d'ondes provoquerait le « big crunch »
responsable d'un effondrement gravitationnel. Cette bulle serait l'intermédiaire entre une phase de

transition d'un univers froid vers un univers chaud. C'est lors de cette transition que naîtra la matière
et sa liaison avec l'énergie. Au delà de notre univers pourrait donc exister des univers parallèles, qui
se trouveraient derrière les trous noirs observés.
7.3.2 – Les énergies selon des concepts physiques

– L'univers fractal. L'apparent désordre cosmique est organisé à tous les niveaux. Il est composé
d'une superposition de structures analogues à différentes échelles. Si l'univers entier est bâti sur
un mode fractal, chaque réalité du monde contient alors une réalité inférieure, à la fois analogue
et différente, et elle ouvre aussi sur une réalité plus grande. La réalité fractale est homologue à
elle-même, c'est à dire qu'en dehors des échelles de grandeur, l'aspect est identique, le vide reste
le vide, le complexe reste complexe, le droit reste droit, le courbe reste courbe, le pointu reste
pointu. Chaque être est la représentation plus évoluée d'un être inférieur, et moins évoluée qu'un
être supérieur. Le divin se cacherait dans cette multiplicité des formes et la base philosophique
repose sur un panthéisme.
– Les théories de Gaïa. La terre serait dans sa totalité un être vivant ayant des mécanismes
régulateurs pour assurer la survie du vivant. L'évolution n'est que l'un des mécanismes de cette
régulation. Nous sommes proches alors des théories animistes ou celles du New Age. Comment
cette théorie va-t-elle interpréter l'Apocalypse prochaine ? Tout simplement, en pensant que la
conversion de chacun dans l'amour de l'autre va amener le bonheur sur cette terre, la disparition
de la misère, bref, le retour au paradis terrestre. Bien évidemment, cette théorie repose sur un
matérialisme qui assimile l'esprit et la matière.
– L'espace vivant de David Bohm. Il transforme des concepts mathématiques en des paradigmes
de la philosophie bouddhique. Tout est lié, être et non être, esprit et matière, vie et mort, tout
n'est qu'une gigantesque illusion. Le monde ne serait qu'un ensemble de particules et chacune
enfermerait l'essence de la totalité de l'univers. Ce principe holographique expliquerait
l'interprétation d'un cerveau qui filtrerait certaines ondes, celles ci seraient responsables de la
réalité de l'homme qui ne serait que purement subjective. Notre être, tant matériel que
psychologique, ne serait qu'illusion.
– L'univers, océan d'énergie. Dans cette théorie, la matière n'existerait que comme concentration
d'un champ vibratoire. Le vide pur n'existerait pas et toutes ces vibrations seraient la
conséquence d'une énergie vitale venant d'une autre dimension et issue d'une puissance non
mesurable parce que dépassant les limites de toute compréhension. Le vivant serait l'expression
d'une concentration de ces énergies et la vie proviendrait de la capacité de l'organisme à capter
ces énergies dans un renouvellement permanent de ces fonctions. L'hypothèse des champs
morphiques ou morphogénétiques assurerait par un transfert d'information la croissance, la
spécialisation des cellules.
7.3.3 – Les limites des théories sur l'énergie

Malgré la multiplicité des théories, aucune n'est capable d'approcher le vivant tant dans sa création
que dans son fonctionnement. Mais il nous paraît curieux que de nombreux physiciens en arrivent à
poser l'hypothèse d'un créateur supérieur, et par là, la notion du divin. Tous reconnaissent qu'aucune
théorie n'explique le cosmos et qu'en abordant des notions de métaphysique, on est alors dans le
paradoxe puisque la science par essence élimine la notion du divin. La réponse de Laplace à
Napoléon est l'illustration de cette division : « Dieu ? Sire, je n'ai pas besoin de cette hypothèse. »
Faire appel au divin pour expliquer les lacunes des théories scientifiques relève d'un concept que les
scientifiques nomment « Dieu des trous ». Science et religion sont des domaines différents. Il faut
éviter d'entremêler les deux raisonnements car la science perd son titre de science et le divin n'est
pas accessible à un raisonnement humain. Reprenons une citation de l'Evangile : « Rendez à César
ce qui est à César et à Dieu, ce qui est à Dieu. », Mt 22, 21. Mais en refusant de reconnaître ces deux
domaines, les théoriciens du vivant n'ont alors accès qu'à une partie de ce vivant. L'homme, comme

l'animal, a bien un corps physique, un corps mental, un corps psychique mais, à la différence de
l'animal, il a aussi un corps spirituel. Les sciences biologiques seraient donc en retard sur les
sciences physiques, mais l'une comme l'autre sont bien incapables de comprendre le vivant.
Donnons l'exemple de la géobiologie où l'hétérogénéité de l'univers est facile à approcher par des
manifestations sensitives pour des êtres sensibles. La terre n'est pas compatible avec le vivant de
façon régulière. La croissance d'un arbre se détourne des réseaux de Hartmann, car ce réseau a des
propriétés de captation des énergies du vivant, responsable à la longue de processus cancéreux dans
l'arbre comme chez l'humain. Comment peut-on ne pas faire le constat que les chiens affectionnent
les zones positives, les chats, les zones négatives ? Qui ne remarque que l'animal familier prend des
caractéristiques de son maître, n'est-il pas curieux de voir ce jeune caniche accompagnant un
vieillard, et avoir la même démarche que celui qui le nourrit. Le chat est connu pour prendre les
pathologies de son maître et essayer de s'en débarrasser. Comment expliquer qu'un animal perdu lors
d'un transport puisse retrouver le domicile où il a été élevé, par un parcours de centaines de
kilomètres. Bien d'autres exemples pourraient être donnés. Les entités du bas astral sont totalement
méconnues par les médecins traditionnels, leur responsabilité est évidente dans beaucoup de
pathologies. La notion d'évènements réapparaissant à la date anniversaire est reconnue par tous ceux
qui s'intéressent à la psychologie. On peut imaginer alors que l'énergie des astres peut jouer, mais
comment expliquer que l'entité se séparant du corps lors d'un décès puisse pénétrer lors de la
conception ou lors de la naissance un des ses descendants et le marquer par ses traits dominants,
donnant à la victime une fragilité tant physique qu'émotionnelle, voire même une double
personnalité. Il y a là le mélange d'un temps, d'un espace et d'une énergie vibratoire qui caractérise
le gisant.
7.3.4 Conclusion
Il faut bien constater que la vie ne s'approche que très imparfaitement avec les connaissances du
monde matériel. Nul ne conteste que la vie se créée et se transforme en permanence. La cause n'a
pour le moment aucune explication humaine. Si l'homme vit une succession « d'ici et maintenant »,
il est bien dans une réalité du temps et de l'espace, mais son univers est strictement personnel et
seule la conscience est juge de ce que le caractérise. Le corps et l'esprit ont chacun un temps et un
espace qui leur est propre. Au delà de leur matérialité, il existe une immatérialité qui fait une
individualité profonde de chaque être. Chaque être est unique dans sa vie terrestre et dans son
destin. C'est en tenant compte de cette immatérialité que sont basées les thérapeutiques comme
l'homéopathie et les auto-vaccins. Certains pensent que l'évolution de l'homme, grâce à sa créativité,
lui fera renier les religions et accéder dans son esprit à des entités supérieures qui dirigeraient sa vie.
L'utopie fut-elle délirante fait partie de la pensée. Le mystique n'a qu'une réponse : « Je crois à la
création par un Dieu qui s'est révélé et la foi me suffit pour comprendre mes épreuves sur cette vie
terrestre et le destin que je veux après ma mort. »

8 – Les énergies du vivant
8.1 – Introduction
Nous résumons le paragraphe précédent pour aborder la compréhension des énergies du vivant, ce
dont la physique, fut-elle moderne est bien incapable d'approcher. Un siècle de physique a permis de
montrer par la physique quantique que la vision mécaniste du monde était une pure illusion
scientiste. Quelles que soient les théories scientifiques, bien des mystères persistent et restent sans
explication. Ce qui n'empêche pas certains d'élaborer des théories transcendantales du genre :
« l'évolution de l'homme se fera vers du divin ». Le monde serait formé à 95% de lumière noire sur
laquelle nous ne connaissons rien. Qu'y a-t-il derrière les trous noirs ? Le vide sidéral est parcouru
par des rayons cosmiques, d'où viennent-ils ? Les pellicules photographiques peuvent être
imprimées de boules lumineuses ou des aspects nuageux alors que le ciel est parfaitement clair et
cela sans interprétation. Nous noterons que ces aspects nuageux se retrouvent fréquemment dans des
lieux énergétiques, en particulier, où il y a eu des manifestations spirituelles et font pour certains,
évoquer la présence d'entités supérieures.
Quelques théories :
– La théorie de la relativité a créé le principe d'incertitude, c'est à dire que la réalité n'est perçue
qu'en fonction de notre cortex et que la réalité transcendantale n'est pas abordable par l'homme.
Au mieux, il faut accepter que deux niveaux vibratoires différents, l'un lié à la matière, l'autre à
l'esprit agissent dans une dynamique complémentaire.
– Un deuxième principe est la notion de complémentarité. Le corpuscule subatomique est à la fois
onde et particule. Donc, notre corps est à la fois constitué de particules et d'une multitude
d'ondes.
– Le troisième principe est la notion de fonction d'ondes. C'est elle qui fait que la particule meurt
et renaît suivant sa position dans l'espace temps. Le cerveau crée l'illusion d'une continuité
régulière, les scientifiques disent « lisse », dans l'espace et dans le temps de la forme manifestée.
Bien d'autres théories vont être avancées pour expliquer le cosmos. Mais de nombreux dogmes de la
physique comme celui de la vitesse limite de la lumière vont être balayée par des expériences. Alors
cette physique matérialiste devient un non-sens puisqu'elle aborde dans ses formes extrêmes des
notions de métaphysiques, ce que de nombreux scientifiques refusent d'accepter. Dans ce cas,
l'homme matériel, créateur de la bombe atomique, des ondes électromagnétiques n'est là que pour
détruire l'humanité. Nous proposons un système de valeurs énergétiques qui nous autorise à
approcher le monde du vivant.
Nous proposons une théorie énergétique qui repose sur l'observation vibratoire du vivant. Les
énergies arrivent par le pôle nord, sous formes de colonnes cylindriques en torsades que nous
appelons la force π. Cette force π a pu être appelée par d'autres, « énergies de l'éther ». Ce simple
concept n'est pas concevable pour une majorité de scientifiques. Pour nous, l'homme a un corps
organique, un corps mental, un corps psychique et un corps spirituel. Nous postulons que ces corps
reposent sur des énergies différentes et que le vivant est capable de capter les énergies contenues
dans la force π.
8.2 – Notre conception de l'énergie

8.2.1 – Les principes
a) Premier principe
Tout est lié et tout dépend d'un créateur dénommé Dieu. Celui-ci est séparé de sa création par un
vide inimaginable car Il est le « Tout Autre ». Cette notion n'est accessible que par la foi. Sans cette

grâce particulière, l'homme va utiliser des processus de substitution : il est lui-même un Dieu, ou il
va devenir un Dieu, ou il se réincarne, ou tout doit disparaître dans le néant. Pour Saint Thomas
d'Aquin1, au sujet de la divinité trois choses sont nécessaire pour reconnaître le divin : l'unité
d'essence, Dieu est infini, éternel et immuable, Dieu est Un et Trine, les œuvres de la divinité.
b) Deuxième principe
Le cosmos est la création de Dieu. Il existe probablement bien d'autres créations, en particulier
d'autres cosmos car deux faits étayent cette hypothèse :
– si les limites de l'univers ne sont pas connues, le temps de création des étoiles l'est et l'extension
de l'univers aussi. On est obligé d'admettre une création permanente ou qu'il existe quelque
chose antérieur à l'univers et c'est de cette chose que naît l'univers. Si la théorie du Big Bang a
comme créateur un prêtre, celui-ci s'est toujours efforcé à distinguer les deux rationalités qui
s'opposent : celle de la science et celle de la religion. La théorie du Big Bang est bien
insuffisante pour expliquer le monde.
– la présence dans cet univers des trous noirs rend obligatoire l'existence d'espaces-temps au
temps négatif ou d'espace, avec d'autres dimensions que l'homme est incapable de percevoir. Il
n'est donc même pas évident que notre cosmos étudié par nos scientifiques soit le premier créé,
tout comme l'homme, la seule créature du divin. On sait l'anthropocentrisme inhérent à l'homme
pour le voir au centre de l'univers et seule créature du divin. La hiérarchie des sept « chœurs des
anges » ne pourrait-elle pas être liée à sept espaces différents ? Le chiffre 7 est symbolique de la
création et l'homme possède sept corps.
c) Troisième principe
Le cosmos évolue. Ses myriades de galaxies sont faites de condensation d'énergie pour former les
étoiles. Il y a une attraction permanente d'énergie sur les corps formés, énergie de transformation de
quelque chose préexistant à cette énergie.
d) Quatrième principe
La terre est un concentré d'énergies qui se sont condensées pour former la matière. Cette matière
attire des énergies. La terre est entourée d'une magnétosphère, enveloppe invisible de particules
atomiques formées par le magnétisme de la terre et s'étendant au moins sur 650 km dans l'espace. A
l'intérieur de cette magnétosphère se situe les ceintures de Von Allen, la première est à 5000 km de
la terre. Or ces enveloppes ont au pôle Nord comme au Sud, un entonnoir où les énergies cosmiques
peuvent pénétrer et caviter pour se disperser en de multiples variations énergétiques. Ces dernières
se stabilisent pour former le réseau géobiologique de la terre. Pour la terre, ces énergies transitent
par le pôle nord, et nous les appelons à ce niveau, force π . Il s'agit de colonnes avec à l'intérieur des
forces circulant en spirale qui vont caviter entre les diverses couches énergétiques entourant notre
globe. Ces énergies, après cavitation, vont se disperser en de multiples énergies avec des longueurs
d'ondes diverses. Certaines vont pénétrer la terre et faire du magma terrestre un corps énergétique
dont le magnétisme est variable. D'autres vont se stabiliser au niveau de l'écorce terrestre pour créer
les réseaux géobiologiques de la terre. La terre est quadrillée par ces énergies qui se sont dispersées
de façon régulière. Cette énergie π contient les énergies matérielles telles que peut les qualifier la
physique actuelle mais aussi toutes les forces qui ne se matérialisent pas pour créer le vivant.
1 Saint Thomas d'Aquin – Abrégé de théologie – Compendium theologiae – Édition Cerf (Chapitre 2)

e) Cinquième principe
Nous postulons que l'énergie π est le support de toutes les énergies. Les unes liées à la lumière donc
à la matière et d'autres indépendantes de la lumière et ne répondant pas à la formule d'Einstein
(e=1/2mc²). Certains scientifiques postulent, de leur côté, que le vivant utilise des énergies autres
que celles de la matière. Ils ont créé les notions d'énergies infralumineuse ou supralumineuse.
Cette opposition nous paraît en partie fausse dans la mesure où bien des énergies de la matière
s'accompagnent de forces informationnelles, de forces évolutives, de forces liées au temps, etc...
Nous affirmons qu'il existe des énergies non liées à la matière et ne répondant pas aux lois
physiques actuelles :
– Des vibrations de la matière agissant sur le vivant, par exemple l'énergie des pierres.
– Selon le « récepteur vivant », les énergies captées sont différentes : plante, animal et homme
ne sont pas sensibles aux mêmes énergies même s'ils ont un lot commun. Si on brûle les
feuilles d'une plante vivante, les végétaux du voisinage partagent cette souffrance spécifique
aux plantes. Inversement, les propriétés spirituelles des hommes influencent les plantes
comme en témoigne le gigantisme de plantes de monastères et la densité végétale importante
de jardin de curé.
Les énergies de la matière et ces énergies autres s'entremêlent. Aussi, nous appellerons toutes les
énergies convertibles en matière : énergies infraliminales, et les énergies non matérielles utilisées
par le vivant, supraliminales.
La géobiologie confirme bien cette dispersion de la force π par un quadrillage d'énergies différentes.
Ce sont les réseaux géobiologiques. Chaque réseau a ses propriétés particulières. Le réseau
Hartmann capte à la terre les énergies de l'individu, le menace en cancer mais aussi le dépollue. Les
énergies du réseau diagonal facilitent la communication mais fragilisent les terrains neurologiques.
La géobiologie montre aussi qu'il existe bien d'autres phénomènes énergétiques sur le sol, par
exemple, les cheminées cosmo-telluriques, et certains lieux recevant des énergies spirituelles
repérables en trois points sur le terrain. Nous rappelons que de nombreuses découvertes se sont
effectuées en trois points du globe dans la même période.
f) Sixième principe
Des physiciens avancent que 95% des énergies du cosmos seraient liées à la lumière noire captée
par le vivant. C'est aussi dire que la physique actuelle n'a qu'un rapport très lointain avec le vivant.

8.2.2 – Les énergies infra et supraliminales
Nous avons vu que les énergies supraliminales sont toutes les énergies que les sciences physiques
n'intègre pas. Le vivant a un filtre, appelé Kether dans la Kabbale, pour capter les énergies
supraliminales. Dans ces énergies supraliminales, nous distinguons trois types d'énergie.
– Les énergies de la surcommunication :
Ce sont par exemple, les énergies de la magie, blanche ou noire, une partie des énergies du logos.
Ce sont aussi les « mémoires » au sens le plus étendu possible.
– Les énergies de l'empathie et du don :
Ce sont les énergies que nous donnent la plante, l'animal, le magnétiseur, énergies de l'affectivité.
Ces énergies vont se caractériser par l'absence de réciprocité. Ne nous nous étonnons pas si le sage
sait que le don n'a qu'un sens et que, bien plus, donner c'est accepter qu'on ne puisse pas nous
pardonner.
– Les énergies de l'amour :
C'est le troisième type d'énergie, domaine immense, dont on peut voir les résultats dans les
interrelations des vivants. C'est dans le cadre de ces énergies de l'amour que se situent les énergies
spirituelles. Les énergies spirituelles sont captées par le cerveau gauche et la base du cerveau droit.
Ces énergies peuvent se convertir en énergies matérielles mais aussi dans les énergies qui font que
l'homme a accès à une dimension autre que l'animal. Ce sont ces énergies spirituelles qui font dire :
« le dernier sera le premier », « qui s'abaissera sera élevé ». Elles semblent être l'inverse des énergies
matérialistes. Elles peuvent couvrir tout le domaine des énergies utiles pour l'homme. Les exemples
abondent depuis la manne capable de nourrir le peuple juif en errance dans le désert, au pain apporté
à Saint Paul de Thèbes, au IVe siècle par un corbeau dans son ermitage du désert, les guérisons
miraculeuses, mais aussi à la possibilité de capter les énergies du futur comme dans le prophétisme.
On conçoit alors que la vie a bien une double potentialité et que les matérialistes n'ont accès, non
seulement dans leurs instruments matériels, mais aussi intellectuellement, qu'aux énergies et aux
constantes qui n'auront qu'un temps, au sens de chronos, c'est-à-dire la période humaine.
La physique actuelle est incapable d'approcher les phénomènes du vivant. Le modèle standard de la
physique avec ses 26 paramètres, déduit par l'expérience, comporte à l'évidence de nombreuses
lacunes. Dès qu'on sort du cadre standard, en recherchant une théorie, l'échec est patent puisque par
exemple, les théories de la relativité générale et la théorie quantique des champs, reposent sur des
principes inconciliables. Les théories de la gravitation sont incapables de s'intégrer dans le monde
quantique. Il nous paraît évident que les théories de la physique actuelle restent très primitives et
qu'il faut considérer les paramètres expérimentaux comme des éléments descriptifs.
Remarquons que Newton, en élaborant sa théorie de la gravitation à la vue de la chute d'une pomme
a besoin d'autres énergies que celles décrites par la science expérimentale. Il a besoin d'une énergie
psychique que nous ne devinons pas dans ces constantes décrites par la physique. La simple liste des
constituants de l'énergie par ses irrégularités, sa disharmonie est la preuve de la distance entre la
réalité énergétique cosmique et les forces énergiques connues des physiciens. La dissection d'un
cadavre n'explique pas la vie. Il serait temps que la physique se rapproche du vivant et qu'elle soit
capable de donner quelques explications sur les forces terrestres que reconnaît le vivant et que la
géobiologie précise. Le retentissement du quadrillage terrestre est observé autant chez l'animal que
chez la plante. Les énergies cosmiques en pénétrant par le pôle nord cavitent entre les limites des
anneaux de la stratosphère et se dispersent sur le globe terrestre en fonction d'une spécificité que le
vivant perçoit.
Notre théorie ne repose que sur des arguments anthropiques, voire anthropocentriques. Elle ne
cherche qu'à comprendre le vivant.
L'humanité n'existe que grâce à un ensemble de processus physiques dont la moindre déviation
aurait entraîné l'impossibilité de l'évolution, ce que démontre la science matérialiste. Il suffirait de

peu de changement dans les équations énergétiques pour ne pas produire l'atome de carbone, base
du support matériel de la vie. Il a fallu que la matière stellaire puisse s'effondrer sur elle-même pour
que les atomes lourds diffusent dans le cosmos. Ils sont aussi indispensables à cette vie.
L'étude de la vie peut être aussi un défi pour la physique C'est tenter de comprendre de multiples
lois du vivant comme sa plasticité par l'ensemble des molécules complexes répondant aux besoins
des fonctions biochimiques du support matériel de la vie. N'est-ce pas une activité scientifique que
de relier entre elles, les connaissances acquises par chacune des spécialités scientifiques actuelles.
Notre type de raisonnement, en aucun cas, n'est de type finaliste, mais la vie a bien une rationalité
intrinsèque, ce que la science tente d'approcher. Au moment où la finance internationale envahit le
monde par ses biotechnologies et que les sociétés industrielles vendent le vivant comme une simple
marchandise, il nous paraît fondamental que ces énergies du vivant soient connues pour au moins
avoir des arguments face aux modifications dues aux biotechnologies violant l'intégrité du vivant.
Ne voir dans l'aliment que des protéines inertes, ne pas comprendre qu'elles vivent au rythme du
cosmos et que la création de protéines artificielles va obligatoirement entraîner certains types de
pollution avec leur retentissement sur tous les organismes vivants.
Quant à savoir ce que Dieu a voulu construire dans ce monde, ce n'est pas la science qui pourra
l'aborder car ce cosmos ne peut être que la volonté du divin, et il Lui appartient.
8.3 – L'homme dans son identité embryonnaire

Les études sur l'embryon montrent la complexité de son développement. L'association des deux
pronucléus forme l'unité de la première cellule embryonnaire. Dès ce stade, le processus de
reproduction de l'individu soulève de multiples questions : pourquoi faut-il que l'ovaire au sixième
mois de grossesse contienne 400 000 ovocytes, 40 000 à la puberté et que seulement une
quarantaine arrive à maturité, quelle est la fonction exacte des centaines de spermatozoïdes attirés
par l'ovule mais ne le pénétrant pas ? En principe, la vie est économe dans ses fonctions. Est-ce le
souvenir phylogénétique de ses origines marines ?
8.3.1 – Les premières cellules et leurs entités1

La première cellule embryonnaire va se diviser par mitose. Les huit premières cellules sont
génétiquement des copies conformes de la cellule originelle. Théoriquement la femme pourrait
développer huit fœtus identiques, si les cellules se séparaient. Le fait est exceptionnellement
observé2. C'est seulement au stade de 16 cellules que l'embryogenèse va démarrer, avec la
différenciation des tissus. C'est le stade appelé « morula » où l'embryoblaste devient distinct de
l'amnios et où l'œuf va s'implanter dans l'endomètre.
Nos études conduites à l'antenne de Lécher déterminent, outre les modifications vibratoires
corporelles de la mère, la présence de cette vie naissante sous forme d'un Kéther (2,4) au niveau de
l'ombilic et une boule de Da3 (5,7), expression de l'incarnation, au niveau du pubis de la mère de
couleur orange. Il existe un cercle en 7,12, témoin de forces formatrices de la vie. Le même
processus vibratoire de morphogénèse et de croissance est aussi observé chez les plantes lors de la
germination de la graine. A côté de ces modifications vibratoires liées à la présence de l'œuf, des
entités apparaissent dès le stade morula, des entités sont présentes sous forme d'un trait de la taille
d'une allumette d'un côté ou de l'autre de la ligne médiane.
− Ces entités en 4,2-nord vont persister chez l'adulte et sont la trace d'une mémoire cellulaire des 8
cellules originales. Elles sont de faible épaisseur mais la première ou pseudo jumeau est le long
du corps, à quelques centimètres, les bras en croix, le visage tourné vers le bas. La tête est peu
1 Le terme « entité » recouvre probablement des réalités vibratoires multiples.

2 Sainte Liberata est née en 119 avec 8 sœurs jumelles, en Galice
3 Deux orthographes possibles : Da ou Daah, Cf. volume 2

volumineuse et se place au niveau de l'épaule droite de l'individu, et sa couleur est jaune gris
(vibration 12,2). Le deuxième a la tête sur l'épaule droite, de couleur violette. Le troisième est
étendu sur le ventre du sujet, la tête penchée à droite, de couleur rouge. Les autres entités
cellulaires se placent à gauche, de taille dégressive. On retrouve toujours les 3 premières entités
mais manque la mémoire d'une des 8 cellules. Est-ce cette mémoire absente qui va caractériser
le terrain ? Avec le patient, on totalise bien les 8 cellules du début. Curieusement, le sujet vivant
laisse un vide à sa place théorique dans la disposition des 8 échos. Pourra-t-on trouver une
relation entre le terrain du patient et la cellule responsable du développement corporel ? Par
exemple, le développement de la cellule 4 semble construire un individu au terrain génital
fragile. La cellule 5 donnerait une prédisposition allergique, la cellule 6, articulaire, la cellule 7,
à la sclérose en plaques et la 8, au cancer.
− L'individu lui-même est susceptible d'être un composite de plusieurs cellules originelles dont les
entités auront disparues ou se seront surajoutées. Si les cellules embryonnaires d'origine ne sont
pas morphologiquement distinctes, elles doivent avoir au moins une différenciation vibratoire,
puisqu'elles ne sont pas dans le même axe cosmique dans la cavité utérine. Sous-jacent à la
croissance du vivant, il existe une géométrie dite géométrie sacrée qui décrirait la position de
ces entités. Ces entités en 4,2-nord induisent au niveau du cerveau chez l'adulte, à gauche, 8
vibrations potentielles de 14,446 à 14,453, et plus bas au niveau de la thyroïde, 8 autres
vibrations correspondantes de 12,9166 à 12,9173
− A côté de ce système lié directement aux cellules de l'œuf, est installé un système portant la
mémoire du clan familial. Il s'agit d'entités en 4,2 (sud), en nombre et taille variable, qui lors de
la croissance vont former un plan vertical à la base du cerveau de couleur jaune, déterminant un
plan de psychogénéalogie. Il peut être asymétrique et l'ensemble forme un rectangle dont la
gauche est témoin de l'hérédité paternelle et la droite de l'hérédité maternelle. Les techniques de
psychogénéalogie font régresser ce plan avec l'apparition d'un souffle à la base du crâne, comme
dans tout processus de réparation, correspondant à un « sumo » en 5,1.
− Nombreux sont les individus ayant en arrière du corps des entités dont on peut préciser l'origine
par l'étude de la correspondance entre fécondation-naissance et mort d'ancêtres. C'est la notion
de gisant. Certaines de ces entités vont entraîner des « cornes » en 5,1 situées à la partie
médiane du crâne que nous appelons « magie ancestrale ». Nous avons constater que plus les
cornes sont développées, plus l'ancêtre associé a eu une vie « agitée ». Certains bagnards font
porter une lourde hérédité à leurs enfants.
− Outre ces deux groupes d'entités, l'embryon est souvent accompagné d'entités spirituelles (2,38),

l'inverse de 4,2, mais aussi présence d'anges, en particulier l'ange gardien en 8,2. La présence
des archanges est décelable dès les premières cellules de l'embryon. Nous abordons le domaine
de la pathologie quand l'individu devient victime d'entités qui vibrent en 4,2 (à la fois nord et
sud, colorées en jaune) et qui portent une pollution cosmique ou une vibration pathologique en
4,3 et 6,6. Ces entités s'installent à tout moment de la vie de l'individu depuis son stade fœtal.
Ces entités, à la longue, donnent chez celui qui les porte, des pathologies correspondant à
l'interaction entre les pollutions qu'elles véhiculent et le terrain de l'individu.
− Ces entités captées par l'embryon, tout au cours de son évolution vont être aussi responsables de
sa personnalité que les gènes. Ce sont ces phénomènes qui expliquent en partie la
psychogénéalogie. Dans l'évolution familiale, le « secret » fait que le mouvement de la vie des
descendants a été interrompu et qu'une entité venue de l'extérieur s'est logée pour se nourrir de
l'individu pollué. Le phénomène du gisant relève de principes identiques dans des périodes de
dates anniversaires le plus souvent. Chez les réincarnationniste c'est de toute bonne foi qu'ils
font la confusion entre l'entité qu'ils ont pu capter dès le stade d'ovule ou de spermatozoïde et
qui leur suggère une ré-incarnation. Ne soyons pas étonnés si des techniques comme la
méditation vont faire remonter le temps et évoquer des vies antérieures plus ou moins lointaines.
8.3.2 – Les grossesses multiples

En cas de grossesse gémellaire, il existe deux situations théoriques : deux jumeaux issus de deux
ovules fécondés par deux spermatozoïdes, ou deux jumeaux à partir de la division d'un seul ovule
fécondé par un seul spermatozoïde. Ces derniers sont des clones car génétiquement identiques. En
plus de cette capacité d'une même cellule à produire deux ou plusieurs individus, nous trouvons le
phénomène inverse où deux embryons peuvent se réunir ou échanger des cellules créant des
chimères génétiques. En outre, le mixage cellulaire peut avoir d'autres origines. La mère est
porteuse de cellules provenant de sa généalogie, de ses autres enfants, ou de ses avortements
antérieurs, toutes ces cellules d'origines diverses peuvent participer à la constitution de l'individu
(formant une mosaïque génétique). Avec la description de ces phénomènes, l'embryogenèse revêt un
caractère plus complexe que la simple division d'une cellule initiale.
En 1980, les études échographiques détectent le « vanishing twin syndrome ». L'image
échographique précoce de l'utérus gravide montre souvent l'existence de deux ou plusieurs sacs
ovulaires. L'évolution pour ne donner qu'un seul enfant fait disparaître les autres embryons. Les
études histologiques des avortements spontanés indiquent un taux de gémellarité trois fois supérieur
à celui des gestations uniques. Les statistiques suggèrent que 15% des grossesses sont au début
gémellaires. Cependant, une grossesse gémellaire n'arrive à terme que pour 50 naissances. Le
pourcentage de ces « jumeaux nés seuls » reste discuté parce qu'un sac ovulaire est-il
nécessairement un embryon ? Vibratoirement, il en est un pour les conséquences qui en découlent
(présence des mémoires cellulaires). Cet aspect de la conception existe pour tous les mammifères
chez qui on constate qu'un ou plusieurs fœtus disparaissent au cours de la gestation.
D'un point de vue pathologique, à côté du développement normal de l'embryon, la pratique
d'échographie dès le début de la grossesse rend possible la découverte d'un œuf jumeau non
développé. Certains de ces œufs supplémentaires vont s'expulser, d'autres vont s'incorporer dans
l'embryon en développement. C'est en particulier le cas des carcinomes embryonnaires des organes
génitaux, conséquences de l'involution de résidus de cellules embryonnaires. La disparition de la
matérialité des cellules n'implique pas la disparition de la mémoire de ces cellules. Ces mémoires
peuvent persister dans les différents organes de l'individu. Elles se positionnent dans le deuxième
corps entraînant une hypertrophie de troisième corps, par les pollutions produites, et une diminution
des deux premiers par la perte de forces énergétiques. Si l'une de ces mémoires embryonnaires est
volumineuse (le double de la largeur du corps), il y a des troubles pathologiques organiques en
regard de sa localisation.

8.3.3 – Développement embryonnaire
Pendant cette vie embryonnaire, toutes les étapes du développement de l'œuf au stade fœtal assurent
l'assemblage de cellules qui initieront toutes les grandes fonctions de l'adulte. Cette fonction de
poussée constructive de l'individu est liée au thymus et reconnaissable par sa vibration 7,12,
d'énergie formatrice, qui disparaît chez l'adulte et dont on retrouve l'inverse (14,05) au niveau du
cou chez les individus attirés par le suicide. Chez l'homme, la vie embryonnaire dure 8 semaines
alors qu'elle n'est que de deux semaines chez le singe : le volume du crâne de l'un sera de 350 cm3,
et de l'autre de 1500 cm3. Dès sa naissance, à 7,5 mois, le chimpanzé va acquérir ses caractères
spécifiques comme son revêtement pileux, des canines transformées en crocs et les modifications de
la face. Le nouveau-né humain a encore bien des caractères du fœtus. Sa sexualisation va envahir le
corps tout au long de sa croissance. Le larynx va descendre pour donner la possibilité du langage
articulé, mais la face ne se développe pas. La biologie démontre que l'addition de propriétés entraîne
non seulement des modifications quantitatives mais aussi qualitatives. Ce développement
considérable des neurones à raison de 5000 par minute pendant 8 semaines chez l'homme au lieu de
2 semaines pour le singe, donne à l'homme ses qualités spécifiques. Néanmoins, l'homme naît dans
une incomplétude profonde, et à la différence du singe, il a besoin de l'homme pour s'humaniser :
les enfants loups en sont une démonstration. La sexualité humaine développée à toutes les périodes
de la vie devra être gérée socialement, en particulier sur le plan des interdits comme celui de
l'inceste.
Pour résumer, dès les premiers stades de la vie, il existe un aspect visible et matériel de l'homme et
un aspect vibratoire par ses différents corps et la présence d' « entités » et « mémoires » mesurées en
4,2. Par son origine cellulaire, l'individu dépend de son code génétique, mais la séquence linéaire de
son ADN ne rend pas compte à elle-seule de la notion de lignée. Celle-ci est aussi portée
matériellement par les informations épigénétiques capables d'enregistrer les conditions
environnementales et l'évolution des énergies du temps. Une des preuves en est donnée par l'illusion
que la découverte du génome allait déterminer l'avenir pathologique de chaque individu. Mais c'est
probablement les « entités » et les « mémoires » en 4,2, qui portent l'héritage psychogénéalogique de
l'individu. La vie humaine en ses commencements les plus reculés est explicitement présente en
filigrane dans le passé familial. La matière, quel que soit le niveau considéré, porte donc une
information des temps antérieurs. De nombreux textes bibliques affirment cette lignée : « Avant de
te former dans le sein de ta mère, je te connaissais ». Jérémie 1,5. « J'étais encore dans les entrailles
de ma mère quand il a prononcé mon nom » Is 49. Mais à ce déterminisme psychogénéalogique
s'associe une composante du temps actuel qui fait que nos enfants ont des potentialités propres à
leur génération et non liées à leurs parents. Il suffit de voir avec quelle facilité les enfants actuels
intègrent la pratique de l'informatique pour bien comprendre les modifications du monde moderne.
L'évolution est obligatoirement liée à la vibration du temps.
8.3.4 – Les interrogations posées par l'incarnation

Ce n'est qu'en 1938 que la parthénogenèse humaine a été réfutée. Le développement isolé d'un ovule
n'avait jamais été observé.
Les populations touaregs n'ont admise, qu'après guerre, les 9 mois d'une grossesse, ils acceptaient
qu'une grossesse puisse durer deux ans, le temps de leur traversée aller-retour du désert.
Chez les hindous, la vie reposerait sur seize éléments matériels et 10 éléments subjectifs qui
correspondraient à la mémoire affective. Pour les réincarnationnistes, ces dix éléments seraient la
mémoire des 10 vies passées.
Pour les ésotériques de la kabbale, la vie est donnée par Dieu et lors de la fécondation, il y a un
passage de l'intemporel au temporel par des énergies en harmonie avec le cosmos. La vie sur terre
est le chemin où l'immuable passe dans une transformation corporelle pour un temps donné.

Le catéchisme de l'Église catholique enseigne : « Dieu créa l'homme à son image, à l'image de Dieu,
Il le créa, homme et femme, Il les créa. » Gn 1, 27. L'homme est créé « homme et femme ». Dans sa
propre nature, il unit le monde spirituel et le monde matériel. « En réalité, c'est seulement dans le
mystère du Verbe incarné que s'éclaire véritablement le mystère de l'homme. La personne humaine
est à la fois corporelle et spirituelle. L'unité de l'âme et du corps est si profonde qu'on doit
considérer l'âme comme « forme » du corps. L'esprit et la matière dans l'homme ne sont pas deux
natures unies mais leur union forme une unique nature. Chaque âme spirituelle est immédiatement
créée par Dieu, elle n'est pas produite par les parents, elle est immortelle et s'unira de nouveau au
corps lors de la résurrection finale. L'homme aurait aussi un cœur qui serait le « fond de l'être » où la
personne se décide ou non pour Dieu. »
Très tôt dans la vie de l'Église, il a été discuté de la venue de l'âme dans le corps humain. Pour les
uns, en s'inspirant de la loi romaine, elle ne venait que deux ans après la naissance, pour d'autres,
neuf mois avant la fécondation, le temps pour l'âme de retrouver un autre corps pour les
réincarnationistes. Certains ne la voyaient arriver que 3 mois après l'implantation de l'œuf. La
majorité comprenait que l'union d'un homme et d'une femme puisse capter des énergies d'amour
créatrices de l'âme. Ces notions n'ont pas été sans importance dans la jurisprudence des infanticides
ou de l'avortement. Dans la Rome antique, "l'exposition" consistait à abandonner l'enfant dans un
lieu public. Les lois sur l'avortement font varier le temps légal pour avorter et s'il existe des
mouvements « pour la vie », il en est d'autres qui veulent élargir la durée légale pour l'avortement et
imposer au médecin l'obligation de soins en supprimant son droit de refus au nom de la liberté de
conscience. Les pays occidentaux ont des comités d'éthique composés de médecins, de biologistes,
de philosophes, de prêtres et d'hommes politiques de diverses tendances. On conçoit que le respect
de la personne humaine s'impose dès les premiers stades de la vie, mais face à l'évolution que nous
prévoyons, disparition de la fécondité masculine, évolution vers une race humaine de type de celle
occupée par les OVNIs, les décisions seront difficile à prendre. Dès maintenant la valeur marchande
du vivant, et pour être explicite, le prix d'un sperme ou d'un ovule des mères porteuses, soulève des
problèmes non connus dans nos civilisations.
Bien des règles dérivant de comportements instinctifs deviennent des lois bibliques énonçant des
interdits pour protéger les sources de la vie. Néanmoins, la recherche d'une descendance relève
parfois d'une conduite scandaleuse comme celle des filles de Lot. Les généalogies bibliques mettent
en avant la primauté de l'existence qui en cas de stérilité, justifie de nombreux stratagèmes. Pour le
christianisme, la foi est la fécondité spirituelle de l'homme, c'est elle qui tente de lui inspirer la
crainte de Dieu.
Les clones humains de demain : quelles lignées auront-ils ? Dans tous les cas, vibratoirement, ils
seront différents des cellules souches puisque leur développement incorporera les vibrations du
temps, sans parler de l'action de l'environnement parce que l'utérus n'est pas comparable à un tube
en verre.
8.4 – L'homme dans son évolution onto et phylogénétique

8.4.1 – Finalisme et matérialisme
Un regard sur les théories dominantes de l'évolution est nécessaire pour distinguer plus clairement
une approche de l'homme dans sa dimension religieuse de celle issue de la seule intellectualisation
scientifique. Derrière cette distinction se trouve la lutte idéologique contre le finalisme.
Le finalisme admet l'existence d'un but, d'une conscience supérieure qui échappent à notre raison et
qui dirigent l'évolution du vivant. Pour ceux qui le combattent, cette théorie « est stérile car elle
n'ouvre sur aucune expérimentation ». Cette affirmation est une erreur « scientifique » en elle-
même. Dans toute expérience, l'influence de l'expérimentateur est fondamentale. Bien plus, la

connaissance dépasse largement le cadre d'une expérimentation. Pour le rationaliste, le vivant est
seulement adapté à une fonction dans un certain contexte. Il confond la fonction et le but. L'effet ne
peut précéder la cause, et il n'anticipe pas le jugement de celle-ci. Pour analyser l'effet, le rationaliste
postule sur le présupposé que « toute chose est égale par ailleurs ». Or c'est le contraire de la vie,
d'où l'hérésie de cette approche. Ainsi, la connaissance de l'homme par la séquence de son ADN est
très limitative et linéaire. Les gènes, fixés par l'hérédité, s'expriment en protéines et
conditionneraient la vie moléculaire de l'être. Même si on reconnaît aujourd'hui une influence de
l'environnement et des ancêtres avec une information dite épigénétique, le raisonnement ne s'appuie
que sur des molécules. Les échecs de la thérapie génique sont une illustration de cette vision
uniquement moléculaire de la vie. Alors, l'ADN est-il porteur d'information ou un support captant
des informations pour la vie ?
L'opposition entre ces deux mentalités, finaliste et matérialiste, est évidemment liée à des
comportements autres que la défense d'une théorie scientifique. Elle n'est pour certains, qu'un refus
de la transcendance en raison de leurs propres limites. N'ayant aucune spiritualité, ils ne sont pas
capables de concevoir la notion de grâce divine. Ils prétendent que ce refus est rationnel et que la
vérité doit émaner d'un consensus pour être acceptée. Si ce consensus favorise bien l'arrivisme de
présidents de sociétés savantes, il n'a rien à voir avec les vérités scientifiques : telle théorie défendue
âprement par la communauté internationale se révèle un demi-siècle plus tard une hérésie (par
exemple, à propos de la limite de la vitesse de la lumière). Pour survivre, un chercheur a besoin de
fonds monétaires, et par là, une reconnaissance par ses pairs, ce qui limite ses tentatives
d'innovation en matière de science officielle. Plus il sera matérialiste, plus il a de chance d'être
académicien ! L'intelligence scientifique est souvent très loin du simple bon sens ! L'avis des
commissions d'experts n'est que le reflet d'une pensée basique pouvant être acceptée par tous. Nous
évoquerons aussi les limites du langage scientifique. Remarquons que le réductionnisme de la
langue scientifique anglaise favorise ce laminage des idées. Le langage technico-scientifique
américain n'est qu'une langue basique sans véritable cachet d'une personnalité (pour ne pas dire
logos), ce qui supprime les subtilités des idiomes. Cette langue ne représente que la matérialité ou la
fonctionnalité des choses. Elle s'oppose au langage poétique qui ne retient que l'essence de ce qui
existe.
Pour un matérialiste, la science est subordonnée à une pensée analytique. L'esprit scientifique est
incapable de faire autre chose que de réduire la réalité. Le raisonnement analogique est refusé parce
qu'il sous-entend le même principe créateur à la base de toute chose. De nombreux scientifiques
comprenant les limites du raisonnement analytique vont s'engager dans une recherche systémique
voire holistique en agrégeant leurs connaissances analytiques. On parle de biologie intégrative pour
essayer de relier les connaissances analytiques qui vont de la génomique à l'écologie. La
modélisation tente d'appréhender la réalité du vivant pour détenir une capacité de pronostic, oubliant
que le futur ne sera jamais régi par les mêmes lois que le passé. Pour le biologiste réductionniste,
l'évolution n'est que la conséquence d'un programme génétique, programme résultant d'une très
longue histoire qui s'appelle « l'évolution biologique, faite tout à la fois de hasard et de
déterminisme ». Pour lui, la dangerosité du finalisme serait de donner une fausse image de la place
de l'homme dans la nature !...
Pour un finaliste, l'universalité du lien structure-fonction et de l'adaptation au cosmos est régi par un
principe supérieur. Un finaliste prête une conscience à la nature et s'en émerveille. Il vibre d'une
émotion et refusera de voir que cette émotion n'est qu'un simple hasard. La beauté d'une fleur ou les
reflets bleutés d'une libellule élèvent l'esprit vers le créateur. L'homme, par le péché originel, a été
intégré dans la matière mais il reste créé à l'image du divin, dans une matière venant elle-même du
divin et pas d'un néant absurde. La Vie imprègne la matière dans la pensée finaliste, alors que la vie
émane de la matière dans une pensée matérialiste.
La réalité d'aujourd'hui montre que le scientifique croyant a bien conscience des limites de la

science qui étudie le vivant isolé de son contexte. Cependant cette certitude ne se traduit pas
toujours dans les actes car beaucoup isolent leur conscience religieuse, domaine du divin, et la
matière, domaine confié aux hommes. Ainsi, on postule toutes les théories possibles sur l'émergence
de la première cellule vivante, ce qui peut ne pas être sans conséquence pour l'avenir de l'homme.
Cependant des scientifiques chrétiens s'élèvent contre le clonage humain ou contre les organismes
génétiquement modifiés (OGM). Ils argumentent que ces manipulations bouleversent l'évolution de
l'humanité parce que ces technologies coupent la relation au temps.
L'ontogenèse est la description de l'évolution d'organisme depuis le stade de l'œuf jusqu'à celui de
l'adulte mûr sexuellement. La phylogenèse est la transformation des espèces au cours du temps.
« L'ontogenèse récapitule la phylogenèse dans la conception de Haeckel » et « l'homme descend du
singe dans la conception de l'évolution de Darwin ». Ces théories visent à démontrer que l'homme
n'est que le produit d'une évolution physico-chimique et que l'homme n'est qu'une branche dans son
phylum évolutif. Chaque groupe ou phylum provient d'un ancêtre commun. Pour beaucoup de
biologistes, les deux théories doivent détenir une part de vérité puisqu'elles se soutiennent
idéologiquement. Chaque biologiste suivant son niveau de réflexion va adhérer plus ou moins à ces
mécanismes évolutifs. Jean-Paul II lui-même reconnaissait que l'évolution de l'homme est plus
qu'une hypothèse. Cette évolution de l'homme n'a pas de spécificité particulière puisque tout dans ce
cosmos évolue. Et la Bible précise dans les premiers chapitres de la Genèse comment la longévité
des hommes a diminué. Rappelons que les hommes de l'époque de Mathusalem vivaient jusqu'à
neuf cents ans, Abraham seulement 175 ans, et que l'homme rencontrant les « filles des hommes »
voyait sa longévité réduite à 120 ans. Nos experts actuels estiment cette durée de vie de 120 ans
comme irréductible et toutes les études affirmant une prolongation supérieure de la vie comme des
utopies. Quant à nous, en raison de la fragilité hypothalamique de nos jeunes, nous prévoyons pour
les générations suivantes des longévités ne dépassant pas 60 ans. Dès maintenant, les courbes de
longévité pour les personnes nées avant 1940 sont plus favorables que pour celles nées après 1950.
Cette involution pour certains est liée à des facteurs environnementaux : dégradation de
l'alimentation, usage immodéré des vaccins et des médicaments, pollutions électromagnétiques...
Les énergies du temps sont-elles en cause ?
L'évolutionnisme est une philosophie dont un de ses créateurs est Herbert Spencer né au milieu du
XIXe siècle. Les théories évolutionnistes justifient le capitalisme sauvage, l'eugénisme, le
marxisme, la domination par les peuples évolués... toutes ces théories ont déjà prouvé leur nature
destructrice. Ces théories influencent la philosophie moderne mais aussi les théories de la socio-
biologie, affirmant la liaison entre les gènes et la culture, dans l'idéologie de la « révolution des
consciences ». Elles sont sous-jacentes aux actions de multiples organismes comme ceux investis
dans l'aide aux pays du sud. Les théories évolutionnistes influencent la philosophie. C'est le
matérialisme triomphant avec la croyance au progrès inévitable de l'humanité vers un paradis
terrestre. On se cache la faiblesse physique de nos jeunes, on ne parle que de l'amélioration des
records sportifs. L'augmentation des pathologies, tout comme leur gravité, est niée. On invoque les
progrès médicaux et l'augmentation de la durée de vie. On se félicite de ce que nous pouvons
appeler la dégradation culturelle dans les arts (architecture, arts plastiques, musique)... Avons-nous
là une vision pessimiste ou réaliste quand le vocabulaire, les expressions populaires ont intégré ces
théories comme vérité non discutable : « on n'arrête pas le progrès ! », on enquête sur l'« évolution »
de tel ou tel phénomène, etc. ? Faire croire que la croissance économique est la norme de
l'épanouissement de l'homme, ne relève que d'un formatage profond de l'opinion publique, lié au
« mythe du progrès ». Le langage politique est le reflet de la société qui se ment à elle-même.
L'opposition entre finalisme et matérialisme explique que la « science » ne saurait avoir le mot de la
fin en matière de théories évolutionnistes, qu'elles soient abordées au niveau scientifique,
sociologique, politique ou philosophique, parce que le devenir de l'homme ne lui appartient pas.
Seule reste l'opposition entre le matérialisme et finalisme.

8.4.2 – L'ontogenèse
L'ontogenèse est la description du développement de l'individu. Les phases de son développement
rappelleraient des étapes de l'évolution de l'espèce, c'est la loi de Haeckel. Cette loi est rapidement
apparue comme une absurdité, même si à des stades précoces de l'embryogenèse, le développement
cellulaire est semblable à partir d'un œuf fécondé. Par exemple, l'homme a un stade de
développement avec des branchies (dont il reste des résidus embryonnaires chez l'adulte source de
pathologies éventuelles), mais en aucun cas, il récapitule l'anatomie du poisson. Pour certains,
l'intérêt de la théorie est de permettre une classification évolutive des êtres vivants ou cladisme. Le
groupe comprend un ancêtre commun et la totalité de ses descendants. On se base donc sur la
présence de caractères ancestraux primitifs et on mettra dans des classes les acquis ou les
transformations par rapport à l'ancêtre. L'étude de l'ontogenèse perçoit bien la complexification et
les spécialisations multiples observables dans l'évolution de l'œuf. Cette complexité croissante
comporte bien des mystères dans son évolution à travers le temps. Chaque espèce n'a pas le même
rythme d'évolution dans sa complexification. L'ontogenèse met en évidence les multiples impasses
et destructions cellulaires et surtout révèle que l'évolution biologique n'est pas linéaire. L'ontogenèse
démontre par comparaison des génomes que l'homme est apparenté au singe mais l'idée est
simpliste. Des gènes de développement de la drosophile se trouvent dans toutes les espèces étudiées,
y compris l'homme. Une discipline scientifique prend le relais aujourd'hui sur la loi de Haeckel, il
s'agit de l' « éco-dévo » visant à mieux comprendre l'évolution à travers les gènes impliqués dans le
développement de l'embryon. On peut illustrer l'ontogenèse de la façon suivante : le berger et ses
moutons suivent le même chemin du village à l'alpage, mais n'ont pas le même devenir.
8.4.3 – La phylogenèse
La phylogenèse suppose que la vie n'est qu'une suite de réactions physico-chimiques qui vont en se
diversifiant ou se complexifiant. La terre s'est formée il y a 4,5 milliards d'années et les premières
traces de vie dans les roches dateraient de 3,8 milliards d'années. A une période dite de « chimie
prébiotique » va se constituer une « soupe chaude primitive ». Sous l'influence de phénomènes
d'ionisation va se produire le passage de la matière inerte à des biomolécules. C'est ainsi que se
formeraient les « briques universelles » du vivant. Les premiers éléments du vivant se seraient
formés sur des argiles. L'aspect feuilleté de ces minéraux pourrait détenir information et empilement
de macromolécules différentes. Sous l'influence d'un catalyseur, il se formerait le premier ARN
(acide ribonucléique, transmetteur de l'information génétique), puis l'ADN qui serait le support de la
vie. Bien des questions restent posées sans solution. Pourquoi les acides aminés sont de forme L
(Lévogyre) et les nucléotides de forme D (Dextrogyre) ? Pourquoi seulement 21 acides aminés ?
Pourquoi dans les oasis de vie des fonds marins où les conditions ont bien des équivalences avec
celles de la terre primitive, n'y aurait-il pas création de nouvelles vies ? Quel est le rôle des
molécules organiques venues de l'espace et s'écrasant sur terre avec les météorites ? Les sciences
font le constat que la vie, quelle qu'elle soit, a un début dans le temps du cosmos.
A partir des molécules prébiotiques, la vie va se différencier d'abord dans des formes unicellulaires
procaryotes dont les bactéries. Celles-ci ont montré une capacité évolutive considérable. Les
eucaryotes unicellulaires dont les cyanobactéries photo-synthétiques, enrichissent le milieu en O2 ,
en créant l'atmosphère. La vie sur la terre ferme devient possible et transforme le vivant. Les
cellules eucaryotes sont nées ensuite de l'incorporation de bactéries aérobies, formant les
mitochondries, assurant la respiration et la production d'énergie de la cellule. Ces eucaryotes alors
capables de former des organismes pluricellulaires vont donner les souches ancestrales communes
des grands règnes.
Au début du primaire, le monde maritime va partir à la conquête du milieu terrestre. La terre a verdi,
il y a 400 millions d'années par l'apparition des premiers sols. Plantes, reptiles puis oiseaux et
mammifères vont assurer le peuplement de la terre dans des interactions, des dominations de règnes,

des hécatombes et des repeuplements. Darwin avance les deux grands principes évolutifs : la
variation et la sélection. La spéciation est associée à des contraintes écologiques : c'est la niche
d'adaptation. Ainsi, la vie garde la mémoire de sa création et porte en elle l'histoire de l'univers.
Cette évolution n'est jamais linéaire, elle est buissonnante. La notion de progrès est aujourd'hui
bannie, et de nombreux auteurs insistent sur la notion de contingence évolutive. Alors, la sélection
ne serait qu'un mécanisme aveugle sans but ni projet : c'est « le hasard et la nécessité ». Si on peut
accepter le hasard, de quelle nécessité serait la vie quand tant de conditions impératives sont
nécessaires pour qu'elle persiste ?
La linéarité de l'évolution est niée par tous, elle ne serait qu'une série de ruptures et d'ouvertures à
d'autres dimensions. La plus importante n'est-elle pas l'apparition de l'homme sur cette planète ?
La science a mis tous ses espoirs dans la description du génome pour avoir la preuve qu'il n'y a
qu'une continuité depuis l'être unicellulaire à l'homme. Le résultat est à l'inverse des espérances
puisque les phylogénies moléculaires expriment des oppositions et imposent des nouvelles
classifications dans le vivant. Si l'homme est le fruit d'un hasard et d'une nécessité, soyons rassurés
sur le fait qu'on n'en trouvera pas d'autre identique à lui sur d'autres planètes tant les modifications
de l'environnement ont leur importance dans l'évolution du vivant ! S'il avait fallu un rift avec
l'apparition de la savane pour faire descendre le singe de l'arbre, aurait-on alors la solution pour
créer une nouvelle espèce d'homme ? Si une telle simplicité dans les mécanismes d'évolution
suffisait pour créer l'homme, comment se fait-il qu'au delà des apparences, il y ait une seule et
même race d'homme, au sens biologique du terme. Il existe suffisamment de territoires isolés de
l' « homme supérieur » (celui qui a détruit le néandertalien) pour qu'une autre espèce supérieure
puisse apparaître. Il est prouvé que les êtres primitifs retrouvés même dans des isolats ont toutes les
caractéristiques biologiques de l'homme sauf la culture. Des tribus sont encore récemment
découvertes dans la forêt amazonienne. Leurs critères biologiques sont parfaitement identiques à
ceux de l'homme occidental. Comment se fait-il que les bambous d'une même espèce répartis à
plusieurs endroits de la planète, fleurissent de façon irrégulière mais toujours synchrone ? Ils sont
aussi « branchés » à un principe supérieur inaccessible à un biologiste universitaire. Le vivant garde
bien des mystères et les limites de la science dominante dans son explication restent très
importantes. Le concept moléculaire est incapable d'intégrer la notion de force vitale. Or ces champs
énergétiques programment ce support moléculaire qui n'est donc pas soumis au « hasard et à la
nécessité » mais à des forces que la physique comme la chimie sont bien incapables d'intégrer.
Diriger c'est prévoir. Prévoir c'est connaître. Si la connaissance est fausse, le pouvoir est dans
l'erreur. C'est bien ce qu'on voit déjà en agriculture comme en médecine. La question
« évolutionniste » posée à l'homme de foi, est de savoir comment l'homme matérialisé par la
« chute » et intégré dans une histoire de la matière peut retrouver le chemin de sa transcendance.
8.5 – L'homme dans sa dimension affective

Ce paragraphe se situe entre la description d'une réalité matérielle de l'homme et celle d'une
structure énergétique abordée aux paragraphes suivants. Pour nous, le corps matériel est
obligatoirement accompagné d'une résonance non matérielle, difficile à appréhender pour des
matérialistes, puisqu'il ne fait référence qu'à des notions vibratoires.
Définition du mot « affection » : curieux terme puisqu'il est synonyme de pathologie en médecine.
Par ailleurs, il exprime de multiples notions comme l'amour, la passion, l'attachement, le penchant,
l'estime, la sollicitude, la tendresse, la vénération, le sentiment, la complaisance, l'amitié, la
délectation, le coup de foudre, la piété, le goût, la prédilection, voire le béguin (pour un usage
familier). Comment s'étonner de tous ces termes quand la vie affective est la base du psychisme ?
Inversement, toute pathologie ne s'accompagne-t-elle pas de troubles de la vie affective ?
La personnalité humaine se construit par ses perceptions affectives qui stimulent positivement ou

négativement son organisme. Dès le stade le plus primitif dans l'évolution d'un être, le stade morula,
apparaît au centre du groupement cellulaire, un liquide lymphatique pouvant recevoir de son
environnement une information portée par ses protéines. Nous avons vu que dès ce stade, l'être en
développement est accompagné de « mémoires » du passé dans une lignée et aussi de son
environnement immédiat.
Le rôle de l'environnement est évident dans les troubles du développement des enfants. L'exemple
des populations vivant sur des sites ayant servi d'enfouissement pour les déchets des grandes villes est
terrifiant. Les troubles constatés sont avant tout des déficiences intellectuelles coexistant avec une
sexualité très précoce. Ce sont par exemple des êtres se cachant dans les égouts d'Amérique du Sud
et détruits comme du gibier par des milices de la mort. L'uniformisation de l'environnement par une
monoculture comme le maïs est aussi responsable de troubles de la personnalité. Est-ce de la
sensiblerie que de constater la beauté de certains sites, de certaines constructions ? L'existence de
familles de musiciens ne tient-elle qu'à leur génome ? Inversement, est-ce une simple coïncidence
de voir les cas sociaux des grandes villes attirés par ces constructions modernes que certains
appellent les « raffineries sans pétrole » ? Certes, ces logements sont économiques mais ces cités
sans âmes majorent les cas sociaux et les violences urbaines.
Par son découpage organique ou physiologique de la personne humaine, la science matérialiste
méconnaît la physiologie de l'affectivité qui est à la base de l'activité mentale. Dans cette certitude
que le cerveau humain donne une supériorité incontestable à l'être, on ne conçoit l'intégration de
tous les stimuli du cosmos que par la boîte crânienne. L'animal n'a nul besoin d'un cerveau
volumineux pour avoir à sa manière, une sensitivité, ne serait-ce que dans la recherche d'un
partenaire. Chez le médecin, il existe en plus un malentendu sémantique avec la psychiatrie. La
notion d' « affect » dans la maladie mentale n'a rien à voir avec le système personnel d'intégration
des pulsions affectives qui construisent l'individu. Chez le malade psychiatrique, il n'y a pas
d'intégration de données mais au contraire des phénomènes de déstructuration dans la réactivité de
l'individu.
Chez l'homme sain, le cerveau reçoit des messages informatifs. Il les convertit en protéines dites
neuro-transmetteurs. Ces derniers sont finalement en nombre très limité. La réaction de l'organisme
va être uniforme face aux nombreuses sollicitations de son environnement, mais dans une réactivité
différente selon l'histoire personnelle de l'individu. Le vol de papillons multicolores, la diversité tant
dans les cris que la couleur des plumages des oiseaux, dépassent une simple stimulation oculaire.
Quelle meilleure preuve de l'affectivité que le don d'un bouquet fleuri ! Un message affectif
différent pour chaque individu passe en fonction de sa relation à l'autre ! « C'est le geste qui
compte, dit-on! »
Par des vibrations de son environnement, l'organisme va modifier la structure de ses protéines. Le
plasma est un support de l'affectivité. Les 5 litres de cette substance colloïdale chez l'adulte
contiennent de nombreuses protéines. Les acides aminés, au nombre de 21 ont des structures
constantes mais le plasma, par ses protéines, donne à travers (au minimum) ses 500 molécules
différentes, une information au cerveau. Ce sont les sollicitations de l'environnement qui structurent
ces molécules protéiques. Le bilan protéique s'analyse en terme d'albumine, de gamma-globulines.
Les tests de floculation mesurent la diversification des protéines. Ils mettent en valeur des
modifications, reflet de l'affectivité du vivant mais aussi de son état de santé. Ces protéines sont
informatives pour le cerveau. Celui-ci ne fait que traduire le message de l'être dans un
environnement. Cette conception d'un organe sensible chez tout être vivant, évoque les humeurs
hippocratiques ou les écrits de Goethe que Steiner codifiera en affirmant que la substance sensitive
de l'individu, c'est la protéine. Un simple profil protidique chez l'homme reflète les maladies auto-
immunes ou les atteintes hépatiques. Il est facile de montrer qu'un individu alcoolique supporte des
alcools de très mauvaise qualité, alors qu'un gourmet pour se stimuler, aura besoin d'un vin où entre
les alcools, les éthers et les tannins, on retrouve plus de 4000 molécules différentes.

Quel est le rôle du cerveau? Nous dirons qu'il est responsable d'une tension de l'être. Plus l'état
affectif est puissant, plus l'attirance d'un être vers ce qui l'intéresse va être important. Cette attirance,
cette tension vers... (ad- tendere) est le propre de l'attention. Mais pour les scientifiques, la tension
ne serait pas une fonction mais un comportement de modifications musculaires et respiratoires.
L'animal s'immobilise devant ce qui retient son attention. L'enfant change de comportement devant
ce qui l'intrigue. Qui n'a pas retenu son souffle par un affect quelle qu'en soit l'origine ? Le rôle du
cerveau n'a donc plus cette prédominance que veulent lui accorder les matérialistes, même si nous
reconnaissons qu'il peut être comme un tableau de bord de la vie de l'individu. Une fracture, une
intoxication hépatique ou pulmonaire inopinée, va se traduire immédiatement par la constitution
d'un foyer de Hamer au niveau du cerveau. Il est donc évident que la protéine plasmatique n'a pas
l'exclusivité de l'information cérébrale. Inversement, la fin de la vie, que la personne en soit
consciente ou non, est marquée par la normalisation de beaucoup de constantes biologiques. Il est
curieux de constater que vibratoirement la fin de la vie est très difficile à déterminer alors que la
normalisation d'un profil protidique a une valeur péjorative très négative. Une distinction entre le
criminel irresponsable et le criminel responsable peut être établie à travers un protéinogramme.
Celui-ci montre dans le premier cas une normalité, et de très lourdes perturbations dans le second.
Quel est donc le rôle du cerveau puisque la clinique elle-même montre la difficulté de poser un
pronostic devant un grabataire ? Comment se modifient et se diversifient ces protéines
plasmatiques, sinon par des phénomènes vibratoires ? Le rôle de la cellule ou de l'ADN pourrait être
une mémoire génétique du système vibratoire des protéines, système génétique au sens le plus large
comprenant l'ADN et sa séquence ainsi que la régulation épigénétique de son fonctionnement.
L'alimentation a un rôle certain dans la formation de la protéine plasmatique. Si dans la langue
allemande, on affirme dans un jeu de mot, qu' « on est ce qu'on mange » (Das izt ist), c'est aussi dire
que la sensibilité affective de l'individu dépend d'une mémoire de son passé personnel et ancestral.
Les rapports entre la plante et l'homme sont souvent sous-jacents dans la dénomination des plantes.
Linné a repris les termes populaires pour établir sa classification. Souvent, parmi tous les noms
vulgaires existants, il n'a retenu que la dénomination pouvant être interprétée avec une connotation
sexuelle. Buffon, travaillant à la même époque en fut scandalisé et s'en plaignit auprès du Saint –
Père. Ces noms ont été donnés très souvent en raison de leur interaction que percevaient des êtres
très sensitifs comme pouvaient l'être nos ancêtres. Cette problématique est liée aux énergies du
logos dans la création. « Au commencement était le Verbe et le Verbe était auprès de Dieu et le
Verbe était Dieu. » Jn 1, 1. Le langage, tant par les mots que par la structure de la phrase, peut avoir
un ou plusieurs signifiés. La psychanalyse repose avant tout sur ce fait : les maux se soignent par
des mots. Le « gai - rire » fait guérir. Cette interaction de l'organisme et des plantes est à la base de
très nombreux médicaments. Leur formulation chimique cache l'origine botanique des principes
pour faire savant. L'absence de toute référence botanique dans les études de médecine est une
carence expliquant le mythe du médicament. La disparition des cénacles, enseignant l'homéopathie,
ne va qu'accélérer cette conception moléculaire et matérialiste de l'homme. Avec l'antenne de
Lécher, la relation entre la plante et la pathologie est mesurable. Personne ne nie l'effet apaisant du
jardin de curé, qui n'est souvent qu'un exemple d'une biodiversité régionale où l'apport de multiples
vibrations réalisent un synchronisme énergétique. C'est la passion du jardinier qui aide au
développement de la plante, on parle de « main verte ». Le dresseur de chevaux va utiliser la
résonance particulière de langage pour éduquer ses animaux. Il les commandera en allemand, les
félicitera en italien. Les alliances entre chefs de tribu passaient par le mélange de leur sang. Les
nombreux attributs donnés au sang dans le langage courant, sont bien une preuve parmi d'autres de
la perception inconsciente des protéines plasmatiques comme organe de l'affectivité. Or, rappelons
le : nous sommes ce que nous mangeons. Et donc, le régime alimentaire doit agir sur cette
affectivité. Il est facile de constater que l'alimentation d'un éphèbe soucieux de sa tenue
vestimentaire ne sera pas celle d'un individu pratiquant les sports de combat. L'uniformisation de
l'alimentation est un facteur de perte de l'esprit critique et de fabrication de moutons de Panurge.

Pour les enfants d'aujourd'hui, quelle peut être l'incidence d'une alimentation standardisée et
industrielle dès leur plus jeune âge ? La réponse n'est-elle pas dans la progression catastrophique du
taux de jeunes obèses, ainsi que du diabète.
Traditionnellement, l'éducation des enfants veillait à développer le contrôle de leurs émotions pour
limiter leur expression par le corps (« ne pleure pas », « ne crie pas », « reste assis » etc.), on
estimait alors que l'esprit devait dominer le corps. Aujourd'hui, on constate que l'éducation des
enfant a évolué : il ne faut pas toucher, sous aucun prétexte, à leur amour propre pour qu'ils
n'enregistrent aucune frustration. L'enfant a le droit d'insulter son enseignant ... , on voit
actuellement les résultats sur bien des jeunes. Les thérapies émotionnelles semblent être à la mode
actuellement. Elles cherchent à favoriser le ressenti des émotions primitives pour libérer des
énergies bloquées dans le corps et source de douleur, de mal-être et de maladie. Ces thérapies font
croire que l'émotion personnelle est régénératrice et salvatrice pour le psychisme. Or bien des
émotions sont le résultat de l'emprise d'une culture voire de la psychogénéalogie. Le résultat ne nous
paraît pas évident, c'est à travers le pouvoir émotionnel que les médias font perdre toutes capacités
de réflexion aux individus qui « pensent » comme le troupeau. Bien des journalistes sont eux-
mêmes dupes que leur but est de vendre leur production quelles que soient les conséquences sur la
société. Un exemple paraît typique, celui de la promotion des progrès médicaux grâce aux
médicaments. Dans le même ordre d'idée, on inculque qu'une agriculture polluante est une nécessité
pour nourrir la planète. Et le pouvoir civil qui osera s'opposer à une telle mentalité risque fort de
baisser la garde face aux pouvoirs de certains puissants.
La base affective la plus profonde repose sur l'amour. C'est une civilisation de l'amour qu'attend
notre monde.
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même » Mt 22, 19. L'amour du prochain découle de l'amour
de Dieu et cet amour du prochain est un grand principe de la Torah. L'apôtre Jean précise : « Celui
qui n'aime pas son frère, qu'il voit, ne saurait aimer Dieu qu'il ne voit pas. » 1Jn 4, 20. Pour Jésus,
le véritable amour doit s'adresser à tous. Cet amour d'origine divine n'est pas un amour humain, il ne
cherche pas la réciprocité. C'est au chrétien d'aimer en premier puisque donner à son prochain, c'est
donner au Seigneur, comme Il l'explique dans Mt 25, 40, à propos du jugement dernier. L'amour du
prochain n'est pas seulement fait de sentiments et de belles paroles mais de faits concrets. Cet amour
du prochain se retrouve dans toutes les religions et Gandhi l'explicite de la façon suivante : « Je ne
peux pas te faire de mal sans me blesser moi-même ».
C'est par le langage que débute le don à l'autre. Chaque individu exprime et perçoit l'amour à travers
un style de communication dominant. Si la compréhension des besoins affectifs fait partie de
l'amour du prochain, des psychologues ont montré que dans le cadre familial chaque être humain a
besoin d'aimer et d'être aimé de cinq manières différentes1 :
– les paroles valorisantes,
– les moments de qualité,
– les cadeaux,
– les services rendus,
– le contact physique non sexuel.
Il est utile de découvrir quel est notre langage dominant et celui de ceux que nous côtoyons
quotidiennement. En pratique, chaque personne est nourrie en profondeur par un seul de ces
langages. La communication affective avec l'autre nécessite bien de repérer dans l'autre ce qui le
valorise par la qualité de l'amour donné :
– la personne qui se sent aimée par des services, on lui en rend ;
– une autre se sent aimée par des moments de qualité, on lui en donne ;
– une autre est « contact physique », alors ne soyons pas étonnés de ses embrassades et la
1 Gary Chapneau et Ross Campbell, « Les langages de l'Amour des enfants »

recherche d'un contact physique, comme être sur les genoux de l'autre ;
– d'autres sont très sensibles aux cadeaux et il faut savoir profiter des dates anniversaires, de
leur fête, pour leur offrir un objet ; ils seront sensibles au geste même si l'objet n'est pas
dispendieux ;
– face à un sujet ayant besoin de paroles valorisantes, il faut savoir envelopper les reproches et
mettre en avant ses qualités.
La dimension affective de l'homme fait toute sa grandeur.
8.6 – L'homme dans son signifié corporel

La main, capable de se servir d'un outil, différencie l'homme de l'animal. Les doigts de la main ont
une correspondance symbolique avec l'activité cérébrale.
− Le pouce, c'est l'objet du jugement du bien et du mal. Dans les arènes, la position du pouce vers
le bas était signe de la mort du gladiateur vaincu.
− Lorsque la première phalange du pouce peut se mettre à angle droit par rapport à la seconde
phalange dans les deux sens, c'est le reflet d'un potentiel violent.
− L'index est le signe de la responsabilité sociale.
− Le majeur montre la puissance de l'incarnation terrestre et de la sexualité.
− L'annulaire est associé à la fidélité dans les promesses dont le mariage.
− L'auriculaire porte le secret.
Cette symbolique des doigts de la main exprime des codes sociaux :

− Le V de la victoire, avec le deuxième et troisième doigt, c'est la puissance dans la société.
− Le pouce plié sur le 3 et le 4ème doigts, l'index et le cinquième doigt relevé, c'est l'appartenance
à une loge, c'est donc le secret dans la société.
− Le baise-main mondain se fait sur le dessus de la main alors que l'amant repose ses lèvres sur les
troisième et quatrième doigts repliés.
− Le poing fermé est l'expression d'une violence.
− L'oeil a une représentation de tous les organes, tout comme le pavillon de l'oreille est la
représentation d'un foetus.
L'homme sexué met sa main gauche à l'intérieur de la main droite. Le pouce de la main droite se
place au centre de la main gauche et le pouce gauche à la racine du pouce droit. La femme fait
l'inverse. Les individus à séphira Da sud inversent les positions. Dans tous les mouvements
énergétiques, comme dans le Qi Qong, cette position du repos des mains avant le mouvement
remontant sur le corps doit être respecté puisque la position inverse à la nature de la séphira annule
la remontée des énergies et perturbe les énergies sexuelles.
Le genou droit dégage une vibration 6,66 considérée comme satanique. Le chevalier plie le genou
droit pour être adoubé. Le chrétien fait la génuflexion devant le Saint Sacrement. Les individus à
séphira Da sud émettent cette vibration sur les deux genoux.
Le bossu a la réputation d'être un bon amant. Les femmes avec des luxations de hanches sont
réputées « bonnes en amour ». Beaucoup pensent que plus le mammifère est développé
cérébralement, plus le pénis est petit. L'homme est-il l'animal le plus intelligent de cette terre ?
Le pied devient « plat » lorsqu'on a perdu son territoire. Le port de souliers avec une semelle très
épaisse et des talons surélevés signifie une recherche du père.
Le positionnement d'un individu face à un autre a un signifié. Les mimiques de la tête n'ont pas
l'exclusivité de l'homme.

9 – L'homme vibratoire
9.1 – Introduction
Le monde peut être décrit à travers les 5 sens de l'homme mais aucun de ces sens n'est apte à
percevoir le caractère vibratoire de tout ce qui existe. La matière n'est qu'un condensé d'énergie et
toute la recherche scientifique moderne affine cette connaissance. Ces recherches confirment les
traditions de l'Orient. Ce qui est perceptible par nos sens n'est que la partie la plus dense de ce
système vibratoire et c'est seulement la fréquence vibratoire plus lente qui objectiverait la réalité
matérielle au sens commun du terme. De multiples expériences attestent ce caractère vibratoire du
cosmos. Les photographies Kirlian visualisent autour du corps des nuages de particules, appelés
plasma. Ainsi se confirment les notions d'aura, de corps énergétiques, de méridiens et de chakras.
Les théories de l'hologramme affirment l'interdépendance entre un flux vital cosmique et des
particules informationnelles, puisque une simple partie de l'image est capable de restituer le tout.
C'est cette réalité des choses bien souvent réfutée, qui explique l' « irrationalité » apparente de
beaucoup de phénomènes. L'alimentation, dans ses effets bénéfiques ou maléfiques, n'est basée que
sur cette capacité vibratoire de l'aliment à renforcer ou à diminuer les énergies de l'individu. Le
mécanisme des pollutions chimiques ou électromagnétiques relève des mêmes principes. Bien des
pratiques médicales traditionnelles reposent sur ce principe vibratoire, le magnétiseur ne fait passer
qu'un fluide énergétique : il cherche par l'imposition des mains les endroits où l'énergie ne circule
plus. L'homéopathie n'est pas un apport matériel mais un apport vibratoire informationnel.
L'acupuncture, les médecines ayurvédiques, voire beaucoup de médecines chamaniques ont cette
même base. Devant la faillite de la médecine du corps dense, l'avenir passera par la compréhension
de ce corps vibratoire invisible. Alors, une mutation de la pensée humaine s'effectuera pour
comprendre que notre corps n'est que le véhicule temporel de quelque chose d'autre qui n'appartient
pas au temporel.
Tous les mystiques parlent des sept chemins ou des sept portes qui conduisent au divin. Sainte
Thérèse d'Avila parle de sept demeures. L'antenne de Lécher donne le moyen de visualiser sept
corps autour de l'individu, mais aussi le système des chakras, l'aura dans ses différentes couleurs, les
séphiroth de la kabbale. Il n'est pas de littérature ésotérique qui n'évoque la notion d'un corps
vibratoire énergétique. Ces différents systèmes sont décrits de façon indépendante les uns des autres
et il existe une relation qualitative et quantitative entre ces systèmes. Nous reconnaissons que les
descriptions ne sont pas identiques selon les auteurs. S'il existe une relation qualitative entre ces
systèmes, nous n'avons pas pu mettre en évidence leur origine. Certains auteurs ne décrivent que
trois corps énergétiques, et nous en mesurons sept. Nos descriptions ne sont basées que sur des
mesures à l'antenne de Lécher.
9.2 – L'homme, hologramme du cosmos

Dans de nombreuses sociétés primitives, l'homme est bien au centre du monde. Il est en relation
directe avec l'évolution des planètes. Les comportements de l'homme sous l'influence des étoiles est
à la base même de l'astrologie puisque les relations du microcosme (l'homme) et du macrocosme
(l'univers) sont assurées par le souffle de la vie. Ce souffle n'est pas accessible à la connaissance
puisqu'il appartient au monde du divin. Chez les peuples primitifs, de multiples cosmogonies
visualisent l'image du monde dans une sphère. L'homme serait au centre et Dieu autour de cette
sphère.
L'homme, centre du monde, est le pilier cosmique qui soutient le Ciel, évitant ainsi la désintégration
de la Terre. Pour les védas, cet homme primitif est le principe suprême, le brahman. Pour la Bible,
l'homme est fait à l'image de Dieu. Dieu dit : « Faisons l'homme à notre image, comme à notre
ressemblance, et qu'il domine les poissons de la mer, les oiseaux du ciel, les bestiaux, toutes les

bêtes sauvages et toutes les bestioles qui rampent sur la terre. » Gn 1, 26. « Alors Yahvé Dieu
modela l'homme avec la glaise du sol, il insuffla dans ses narines une haleine de vie et l'homme
devint un être vivant » Gn 2, 7.
Si l'homme réunit en lui tant de symboles de l'univers, c'est qu'il est un hologramme de celui-ci, c'est
à dire qu'un fragment de lui peut reproduire l'image du tout. Dans ses Correspondances, Baudelaire
dit, à propos de la nature, « l'homme y passe à travers des forêts de symboles qu'il observe avec des
regards familiers ». L'être humain intègre en lui-même les trois règnes qui le précèdent : minéral,
végétal et animal. Il émerge du monde animal comme « un îlot de conscience sur un océan de
songes » par la disparition de ses automatismes instinctifs. La vie rêve chez l'animal, dit la prière
indienne. A travers cette conscience, l'homme perçoit sa propre réalité et il cherche à comprendre les
mécanismes du monde qui l'entoure. C'est le précepte du temple d'Apollon à Delphes « connais toi
toi même ». Et cette conscience lui donne sa responsabilité. Le libre arbitre qui l'habite est
cependant limité. Son devenir n'est pas inscrit définitivement entre ses mains puisque le destin de
cet homme appartient au divin. L'homme lui-même en raison de ses capacités diverses s'est
symboliquement perçu comme un mélange du ciel et de la terre. Par les pieds, il touche au terrestre,
par la tête au céleste et tout son corps est compris dans l'atmosphère. Par son esprit, il dépasse tout
le cosmos qui l'entoure pour dialoguer avec le divin. Les hommes oublient le principe divin qui les
habite, et la chair domine leur dualité d'être terrestre et céleste.
La Bible, mais aussi tous les textes sur le monde primitif, en particulier sur l'Atlantide, posent
l'homme au centre d'un jardin merveilleux où la nature est généreuse. La ressemblance comme
l'image n'est pas l'identité, mais lorsqu'il était dans le paradis terrestre (continent de Mu ?), l'homme
vivait son âge d'or – mythe ou réalité ? L'originalité de l'homme, comme créature, a toutes les
caractéristiques réduites à l'état de symbole de la puissance du divin. Mais cette ressemblance ne lui
suffit pas, il a voulu s'identifier au divin : il a été englouti sous les flots ou chassé du paradis
terrestre. C'est aussi le sort des hommes au moment du déluge. « Dieu vit la terre : elle était
pervertie, car toute chair avait une conduite perverse sur la terre. Dieu dit à Noé : « La fin de toute
chair est arrivée, je l'ai décidé, car la terre est pleine de violence à cause des hommes et je vais les
faire disparaître de la terre. » » Gn 6, 12-13.
Le monde oriental est basé sur la notion rythmique de l'espace et du temps. Ce sont ces rythmes qui
construisent le corps comme la pensée, de façon individuelle ou collective, entre un ciel antérieur et
un ciel postérieur. La pensée chinoise identifie l'évolution de l'homme par un procédé binaire le yin-
yang. Sur ce balancement permanent, se surajoutent des transformations dont l'expression est un
système à 5 pôles (bois, feu, métal, fer et eau). Avec sa rationalité, l'homme occidental a souvent du
mal à comprendre les systèmes analogiques. Pour nous, la faillite évolutive du monde occidental est
liée à l'hypertrophie du cerveau droit, celui de la rationalité où triomphe la technoscience. Ce monde
occidental a du mal à comprendre la « synchronicité » parce qu'il n'accepte pas la puissance
énergétique de l'influx vital. Celui-ci joue sur deux processus organiques différents, il entraîne deux
actions ou au moins deux réactions différentes. Les énergies captées par le cerveau ne sont pas
celles captées par les gonades, même si ces deux énergies dépendent d'une même force que nous
avons appelée Pi. Les cinq mouvements s'appliquent à l'évolution de toute vie : pour la plante, le
bois est son printemps, le feu, sa fleur, la terre son fruit, le métal, la chute des feuilles, et l'eau, la
pourriture qui va assurer une nouvelle pousse. La vie humaine évolue dans les 5 mouvements : le
bois évoque le début de la vie, l'adulte répond au feu, la maturité de l'homme est la terre, l'âge de
retraite, le métal et la décomposition du corps physique, l'eau. Cette classification est purement
symbolique. Ce cercle évolutif du temps est tempéré car deux principes contrôlent le troisième. Le
métal contrôle le bois mais le feu régularise le processus. Le feu contrôle le métal, mais l'eau
engendrée par le métal corrige cette action, etc. … C'est un jeu de régulation.
L'homme moderne ayant perdu sa transcendance marque l'évolution d'une année par des temps
matériels : celui de la rédaction de la feuille d'impôts, celui du bilan, celui des vacances, de la

rentrée scolaire. Beaucoup de civilisations ont, comme l'année liturgique chrétienne, fixé des
périodes où par le truchement de rites on rappelle à l'homme son caractère sacré. Le temps annuel a
des pauses où l'homme sanctifie son incarnation. Les principales fêtes sont situées aux alentours des
solstices et des équinoxes. Le 25 décembre, on célébrait à Rome le dieu solaire. Les temps
spécifiques, correspondant à des débuts énergétiques des saisons, sont identifiés chez les chinois
comme chez les celtes, le calendrier liturgique commence avec le 1er dimanche de l'Avent. C'est la
semaine de la fête de Saint André, le nom « André » a sa racine grecque signifie l'homme. Le salut
de l'homme justifie un rappel des grands signes du divin dans un cycle annuel. La fête de la
Chandeleur, 40 jours après la naissance de Jésus, se retrouve dans le calendrier de la déesse celtique
Bridget, « la Brillante ». Saint Brigitte, fêtée la veille de la chandeleur, assista la Vierge dans son
accouchement. Chacune des grandes fêtes chrétiennes a un équivalent dans beaucoup de cultures.
Aux « langues qu'on eut dites de feu » (Ac 2, 3) de la Pentecôte répond le feu de Bel des celtiques.
Toutes les fêtes chrétiennes marquent des périodes de dialogues potentiels entre le ciel et la terre
pour l'élévation de l'homme. Ce dialogue fait de mots est là pour verbaliser l'intuition profonde de
l'individu. Cette structure du temps, rythmée au cours de l'année, s'adapte à une division naturelle
fondamentale du temps humain. Cet ordre chronologique disparaissant, on assistera au retour d'une
animalité prépondérante, plus marquée encore que dans les cultures primitives puisque celles-ci
voyaient la vie des dieux dans le cycle de la nature.
Cette énergie holographique explique qu'il existe de nombreuses planches anatomiques indiquant
une relation entre un organe et sa représentation au niveau des pieds, des mains, de l'oreille et aussi
des dents. Elles sont des schémas holographiques du corps, planches palmaires, planches plantaires
mais aussi dentaires et auriculaires. Elles facilitent l'application des techniques de réflexothérapies.
L'iris de l'œil offre des possibilités de diagnostic par les modifications de ses tâches codifiées en
iridologie. Le pavillon de l'oreille, symbolise l'aspect d'un fœtus. Une stimulation en un point se
répercute sur un organe du corps. Le lobe de l'oreille, en orient, aurait un développement
proportionné à celui de l'intelligence. Les statues de Bouddha ont un lobe très développé touchant
l'épaule.
9.3 – Les corps énergétiques

Nous décrivons les principes utilisés pour juger d'un état physiologique d'un individu et d'une
éventuelle pathologie. Les critères exposés ici vont être influencés par de multiples pollutions (Cf.
schémas). Nous citerons les stress actuels, ceux venant de l'enfance, les entités embryonnaires.
Le matérialisme a fait disparaître cette connaissance ancestrale des corps énergétiques invisibles.
Les expériences des grands mystiques mais aussi de nombreux savants : de Rochas, Charcot,
Durville, Le prince, Croocks, les ont décrit. Pour Alexis Carrel, la science de l'homme total est
devenue la plus nécessaire de toutes les sciences. Un des pères de la bombe atomique française
(Rocard) a expliqué le mécanisme du magnétisme humain. En aucun cas, ce mécanisme ne fait
référence à une science uniquement matérialiste. Les yogis, les médiums ou des individus
névropathes sont capables de visualiser ces corps même si leur description ne correspond pas à la
nôtre.
Les 7 corps sont imbriqués les uns dans les autres et sont eux-mêmes subdivisés en 7 parties. Chez
l'individu normal, chacun des corps a une épaisseur de 1 m. Ils s'attachent tous sur la ligne médiane
de l'individu et réalisent des auréoles périphériques expliquant qu'on puisse les mesurer le long du
corps en se déplaçant d'avant en arrière, ou latéralement puisqu'ils se succèdent les uns après les
autres. Latéralement, nous classons ces 7 corps de la façon suivante :
− Le 1er corps en 2,5 est le support vibratoire du corps « physique », à distinguer du corps
physique lui-même. C'est celui qui nourrit principalement les cellules et les organes de l'être
physique. Sa forme doit être régulière autour du corps à une distance entre 50 cm et 1 mètre. La

réduction de la largeur à un niveau particulier indique une déficience de l'organe correspondant.
On confirmera le déficit par la position de la vibration harmonique de l'organe ou de la fonction
suspectée. La déficience se traduit par une insuffisance de longueur de la vibration du côté
gauche par rapport aux autres vibrations. La longueur manquante sera proportionnelle de
l'intensité à l'atteinte actuelle de l'organe, et la déficience en hauteur sera témoin d'une
diminution du capital énergétique de cet organe. La vibration cœur en 4,40, ou 4,50 pour
certains, sert souvent de référence, sauf s'il existe une maladie cardiaque. En cas de pathologie
avérée, la vibration mesurée pour l'organe en cause passe alors à droite ; elle sera d'autant plus
grande que la pathologie est grave. Lors de la réparation, ce premier corps doit montrer un
élargissement là où il était rétréci par la pathologie.
− Le 2ème corps en 5,7 est le corps magnétique. Il diminue lors des pathologies et disparaît dans
sa totalité chez les électro-sensibles. La prière et la méditation augmentent son volume.
− Le 3ème corps en 7,9 est le corps astral. Il s'agrandit par les pollutions et par les entités. Le
nettoyage des entités le fait disparaître. Le parfum de verveine lui redonne alors sa forme
initiale.
− Le 4ème corps en 9,9 est le corps causal. Il s'agrandit lors de la réparation de l'organisme.
− Le 5ème corps en 12,1 est le corps du Saint-Esprit. Il règle l'axe du corps. Il diminue lorsque les
vertèbres ne sont pas dans une position normale. Quelle que soit la technique manuelle, si elle
est efficace, elle se traduit par une augmentation du 12,1 au détriment des trois premiers corps.
− Le 6ème corps en 14,7 est le corps christique. Il s'agrandit lors des réparations.
− Le 7ème corps en 17,6 est le corps divin. La drogue, les tranquillisants le font disparaître ou
exister sous forme d'un ovale situé sous le pied du patient. Les techniques de psychogénéalogie,
lorsqu'elles sont efficaces font agrandir la sixième partie de ce 7ème corps. Les énergies vont
diffuser dans les autres corps jusqu'au quarantième jour expliquant la règle du silence pendant
40 jours après une séance de constellations familiales.
Cette description correspond à la structure des individus à séphira Da nord. Des modifications sont
observées pour les individus à séphira Da sud, elles seront décrites ultérieurement dans ce volume.
Il existe d'autres enveloppes dont les vibrations sont les suivantes : 21,3 – 26,7 – 27,9 – 31,3 – 33,7
– 37,2 – 41,3. Les 3 premières ont été trouvées chez les momies égyptiennes. Depuis septembre
2006, on observe l'apparition intermittente de ces corps. Vont-ils persister définitivement après
l'Apocalypse ?
A côté de cette classification, nous reconnaissons d'autres structures vibratoires portant une
signification, c'est l'existence d'une auréole en vibration 2 visible par certains peintres dessinant
autour de la tête des saints, un cercle doré. Les égyptiens parlaient d'un « corps ombral », il serait
situé dans les os et repéré à l'antenne, par une vibration 4,2176. Pour certains ésotériques, l'âme se
situerait entre le 6 et 7ème corps. Nous développons cette connaissance difficile dans le volume 11.

9.4 – Les chakra
Les sept chakra sont décrits dans de nombreux ouvrages. Nous leur gardons ci après leurs
dénominations occidentales. Les couleurs indiquées sont celles mesurées sur des individus à séphira
Da nord.
− Le centre de base répondant au rouge mais aussi au noir sud. Il est situé sur le périnée et est
stimulé par le jaspe rouge. C'est le chakra racine, celui des forces terrestres, le départ de la force
cosmique. Ce chakra pourra continuer à capter les forces terrestres avec la couleur noire sud
quand le rouge aura disparu.
− Le deuxième centre au-dessus du pubis, est le centre sacré et répond à la cornaline. Sa couleur
est orange. Il donne les énergies sexuelles, organes génitaux et langue. Il est en relation avec
l'équilibre du Yin et du Yang. Il est le reflet de l'intériorité de l'individu, de ses énergies hautes
ou basses.
− Le troisième centre est le centre solaire, et est stimulé par la topaze dorée. Sa couleur est jaune.
Il est le centre de la transformation des aliments, celui de la volonté.
− Le quatrième centre est le centre cardiaque. Il se trouve au milieu des chakras. Il est de couleur
verte. Il contrôle le système cardiovasculaire mais aussi l'amour au sens le plus large. Nous
noterons que lors d'une pathologie cardiaque, il y a toujours une atteinte du corps magnétique de
l'individu. Rappelons que ce corps magnétique grandit par la prière. L'individu religieux possède
donc un cœur physique, un cœur magnétique, cœur sacré (brun) et un cœur miséricordieux avec
des vibrations bleues et rouges. Cela correspond à des vibrations cardiaques spécifiques de 4,5 à
4,7.
− Le cinquième centre est le centre laryngé, de couleur bleue. Sa pierre est l'aigue-marine. Il régit
la thyroïde et l'appareil vocal. C'est le centre de la communication verbale, mais aussi de la
communication dans le sens de compréhension et de compassion à l'écoute de l'autre.
− Le sixième centre est le centre frontal ou troisième œil. C'est le siège de toutes nos sensations
extrasensorielles. Il est fermé dans toutes les pathologies sévères, sa couleur est l'indigo, sa
pierre est le saphir. C'est le poste de contrôle de l'intuition et du jugement. D'un point de vue
embryologique, il est en rapport avec la pinéale et fournit les énergies au cerveau.
− Le septième centre est le centre coronal : il fournit les énergies du cortex cérébral et sa couleur
est le violet clair, sa pierre, l'améthyste. Il est le centre du raisonnement, de la conscience. Il
s'oppose au premier chakra, ouvert vers le bas. Il est ouvert vers le haut. Les autres centres sont
ouverts vers l'avant.
A côté de ces centres principaux, il existe de nombreux autres centres dits secondaires. La
dimension du chakra peut être mesurée à l'antenne en repérant sa couleur. Ces chakras peuvent se
repérer avec la vibration 2 ; quand l'individu est en bonne santé, il y a une alternance de la polarité
nord et sud de cette vibration 2 du premier au septième chakra.
Les individus à séphira Da sud présentent une inversion de l'ordre des couleurs de tous leurs
charkras, ainsi le centre de base est violet et le coronal est rouge.

Schéma des chakra

5 – L'aura
Qu'il s'agisse de la plante, de l'animal ou de l'homme, l'être vivant est entouré des 7 couleurs, dans
l'ordre suivant à partir du corps, rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo, violet. Le micro-organisme
ne possède qu'une ou deux couleurs. D'où proviennent ces couleurs ? Probablement du prisme
énergétique situé au dessus de l'Aïn soph qui réduit les très grandes vibrations que l'homme ne peut
pas capter par son Kéther. Les couleurs se disposent en couronnes autour du corps d'autant plus
éloignées de celui-ci que l'individu est en bonne santé. L'épaisseur de la couronne de chaque couleur
est proportionnelle à la distance qu'elle a du corps, c'est à dire que la couronne rouge fait en
moyenne 20 cm et la violette 2 m. Le rouge doit être situé au moins à 6 mètres de l'individu. Lors
d'une pathologie, le jaune s'agrandit au détriment des autres couleurs. L'évolution des couleurs est
décrite au niveau de l'approche vibratoire de la fin de vie. Lors de la guérison, l'orange s'agrandit et
sa forme en couronne disparaît pour se concentrer sur l'organe en réparation.
Parallèlement à la sphère de l'aura, et en arrière de la personne, il existe quatre plans rectangulaires
possédant eux aussi les 7 couleurs. Correspondent-ils aux quatre mondes décrits dans la kabbale ?
Les couleurs sont perceptibles sous forme de rectangles : on déduit certaines potentialités de
l'individu à leur taille, à leur absence ou à leurs perforations. Un grand rouge est le témoin d'une
force physique, un orange de ses capacités de réparation, un jaune de son éventuelle pathologie, un
vert, de ses capacités sexuelles, un bleu, de ses capacités intellectuelles, un indigo de ses capacités
morales, et un grand violet des capacités spirituelles. Un individu en bonne santé a son premier plan
« des mondes » situés à 10 mètres en arrière.
9.6 – L'aspect vibratoire du sommeil

On constate dès l'endormissement du sujet, le changement de position des énergies par rapport au
plan de la thyroïde. Des énergies basses montent au niveau du crâne et les énergies hautes de

l'individu descendent aux pieds. Le premier corps physique persiste mais les deuxième et troisième
corps (respectivement en 5,7 et en 7,9) montent au dessus de l'individu et se disposent comme un
réseau de mailles plus ou moins serrées. Seuls persistent dans leur position, le Yesod en 1,35, le
Kether en 2,4 et le Malkhout en 2.
On constatera que si la circulation des énergies des organes suit le trajet d'un Moebius, les surfaces
du Moebius exposées à la terre et au cosmos sont inversées lors du sommeil.
9.7 – L'homme de la kabbale

Pour le kabbaliste, la kabbale est le don du divin à l'homme, qui, par l'étude de l'arbre des
séphiroths, lui donnerait la sagesse secrète. Les premiers écrits kabbalistiques datent du XIIIe siècle
mais l'origine de la kabbale est bien antérieure puisque pour les uns, l'arbre de vie aurait été donné
sur le mont Horeb à Moïse (selon le Zohar). Il aurait vu dans le buisson ardent l'homme, image
inverse du divin.
Quelle relation existe-t-il entre l'arbre des séphiroth et l'Arbre de Vie du jardin d'Eden interdit à
l'homme ? « Puis Yahvé Dieu dit : « Voilà que l'homme est devenu comme l'un de nous, pour
connaître le bien et le mal ! Qu'il n'étende pas maintenant la main, ne cueille aussi de l'Arbre de Vie,
n'en mange et ne vive pour toujours ! » Et Yahvé Dieu le renvoya du jardin d'Eden pour cultiver le
sol d'où il avait été tiré. Il bannit l'homme et il posta devant le jardin d'Eden les chérubins et la
flamme du glaive fulgurant sur le chemin de l'Arbre de vie ». Gn 3, 22-24
Quelle que soit l'origine de la tradition kabbalistique, l'interprétation de l'arbre de vie a un long
passé historique. La ville de Jéricho évoque les trompettes effondrant ses remparts, mais sans
preuves historiques. Cette ville reste actuellement le deuxième pèlerinage au monde, en souvenir
des cinq moines soufistes martyrisés par le calife d'Alexandrie. Ces derniers avaient vu les signes
d'un dictateur inhumain à travers son arbre de vie. Dans le monde méditerranéen, des porcelaines
avec la description de l'arbre de vie, sont antérieures au XIIe siècle. La première faculté de
médecine, celle de Montpellier, a été établie par trois médecins dont deux kabbalistes. L'usage
traditionnel de la kabbale dans son aspect thérapeutique consistait en une méditation et une tentative
de visualisation de cet arbre par l'individu. Cette méthode est à déconseiller au médecin en raison
des risques mentaux. L'antenne de Lécher est alors une aide précieuse. Mickaël Aïvanhov enseigne
« La kabbale est une science tout à fait spéciale, une étude différente de toutes les autres : elle exige
des qualités particulières de la part de celui qui veut l'entreprendre. Il est même conseillé de ne pas
commencer avant l'âge de quarante ans. Et pas n'importe qui : seulement ceux qui sont prédestinés,
qui en ont les capacités mentales, psychiques mais aussi qui possèdent des qualités morales, qui les
empêcheront d'utiliser ces connaissances dans un but personnel. La kabbale est une doctrine
mystérieuse, sacrée, difficile et même dangereuse pour tout ceux qui ne sont pas de taille à
l'aborder. » Au début du XIXe siècle, une initiation maçonnique consistait à réciter un poème où
l'arbre de vie était décrit sous forme de paliers successifs portant le nom des séphiroth. L'individu
devait parcourir en esprit les différentes étapes comme s'il sortait progressivement d'un puits
profond pour analyse de lui-même. Malgré les avertissements, la kabbale reste source d'inspiration
multiple si on en juge au nombre d'ouvrages écrits annuellement sur le sujet. La lecture de bien de
ces ouvrages est davantage un reflet du pouvoir délirant de la pensée humaine que l'image d'une
réalité humaine. Comment peut-on interpréter la kabbale dans le cadre d'un matérialisme dialectique
ou relevant de la sorcellerie ? Aussi, nous nous refusons à interpréter les séphiroth mais nous
pouvons facilement avec l'antenne de Lécher établir l'arbre des séphiroth d'un individu et voir son
évolution par la thérapeutique. C'est aussi dire que la position des séphiroth ne donne qu'un état
instantané de l'individu, et en aucun cas le problème de fond du patient. Les schémas suivants sont
plus explicites que tous les discours qu'on pourrait faire sur cet arbre. Aussi, nous ferons seulement
quelques remarques. Bien des gestuelles humaines sont liées à la position des séphiroth. Nous
donnons comme exemple celui de Carmen amoureuse ou lorsqu'elle est en colère.

La représentation classique répond à celle d'un individu où toute sexualité et toute spiritualité ont
disparu. Dans la forme du sujet en bonne santé, on retrouve Ockma (2,5) à l'emplacement où l'artiste
jouant Carmen pose son tambourin, Binah (2,5) au niveau du genou, là où elle tire sa jupe. Ils
vibrent en 2,5. Lors de maladie sévère, Binah sera du côté droit au dessus de la tête et Ockma
descendra au niveau du genou. Binah se place alors au niveau de la main dans le salut hitlérien.
C'est la position de Carmen en colère. Geburah et Chesed (en 5,7) se placent sur une ligne oblique.
Le triangle Tiphereth - Netzach - Hod (les trois en 2,5) est la capacité de réserve énergétique de
l'individu : c'est le Hara des Japonais. Le Yesod (en 2 ou 1,35, qui est sa couleur violette) remonte
sur le corps lors des intoxications. Un Kether (2,5 et 2,4) en dessous du Yesod est le témoin d'un
cancer, qui est une captation inversée des énergies, expliquant cette prolifération anarchique des
cellules et avec des anomalies chromosomiques. Malkuth (en 2, et ses quatre parties avec la
vibration des couleurs rouge, vert, bleu et jaune) est divisé en 4 couleurs. Le jaune devenant
prédominant est le témoin d'une maladie et la réparation passe par l'augmentation du rouge. D'un
point de vue hérédité, les quatre secteurs du Malkuth correspondent à l'héritage des quatre grands-
parents. Un arbre de vie est présent sur chacun des sept corps, mais le diagnostic s'appuie sur les
mesures du corps le plus grand, qui correspond au premier corps (lui-même mesuré en 2,5).
Toute discussion sur l'origine spiritualiste ou matérialiste de l'arbre de vie est pour nous sans objet.
Outre les séphiroth, les kabbalistes évoquent l'existence de 22 sentiers, avec une correspondance
avec les 22 lettres hébraïques. Trouverons-nous un jour leur traduction en matière énergétique ?
Ainsi, nous concevons chaque sephira comme un centre énergétique. L'ensemble forme un squelette
vibratoire de l'être humain, avec une copie dans chacun des 7 corps, en notant cependant que sa
taille va décroissant quand on part du corps physique vibratoire (en 2,5) vers le corps divin (en
17,6). La boule de Da a la particularité de n'être présente que dans les 3 premiers corps, preuve
indirecte qu'elle n'accompagne que la vie terrestre de l'homme.
L'homme comme la femme seraient faits chacun de deux principes : l'inspire et l'expire dont
l'ensemble forme le souffle du divin puisque le divin seul est continu et permanent. La réunion de
ces 4 principes formerait le Malkout avec ses quatre couleurs. Chacune de ces couleurs aurait une
correspondance vibratoire avec un des grands parents. La division de l'unité formatrice du Malkout
donnerait les deux colonnes de l'Arbre de vie. Cette dualité serait le reflet du principe mâle et du
principe femelle. Les quatre principes ainsi établis se diviseraient pour donner les 8 sephiroth. Le
principe divin monterait alors dans l'Aïn Soph, inaccessible aux énergies humaines et dont sa
recherche en 2 par l'antenne de Lécher entraîne des troubles pour celui qui mesure. Les énergies ne
sont mesurables qu'à partir de l'Aïn Soph Aour relié au Kether. L'Aïn Soph situé au dessus de l'Aïn
Soph Aour recevrait les énergies du cosmos et les transformerait en énergies de plus basses
vibrations. A l'antenne de Lécher, nous n'avons pas accès à cette séphira Aïn Soph Aour.

L'Arbre
Arbre de vie, arbre du savoir Image de la Création, descente des énergies

Émané de l'AÏN-SOPH divines. Lors de la sortie de l'unité: apparition
En hébreu signifie « source inconnaissable » des deux aspects primordiaux, l'homme et la
Porte les Séphiroths femme.
Pluriel de séphire
Qui veut dire « nombre »
Il est en haut comme il est en bas
Mais d'un plan à l'autre
Il y a inversion

Dans un état de santé satisfaisant, la colonne de droite des séphiroths est descendue et celle des
séphiroths de gauche est remontée. Ochma passe à gauche quand l'individu est en très bonne santé.
En cas de pathologie, la position des séphiroth est inversée dans la mesure où la colonne de gauche
descend et la colonne de droite remonte.
En cas de retour vers la santé, les couleurs d'une séphira et des séphiroths se modifient, et prennent
les couleurs des chakras en répération.

9.8 – Les méridiens
Leur déficit partiel ou total dans leur parcours est le reflet d'un déséquilibre de la circulation de
l'énergie « tchi ». L'inversion numérique de la vibration est témoin d'une pathologie.
Le méridien du poumon: V3,257 Le méridien du gros intestin: V3,274

Inverse numérique : V3,07 Inverse numérique : V3,05
Le méridien de l'estomac: V3,185 Le méridien de la rate: V3,764


Le méridien du cœur: V4,469 Le méridien de l'intestin grêle
Inverse numérique : V2,23 V 4,48 profonde, V 4,448 superficielle
Inverse numérique : V2,23 profonde V2,24
superficielle
Le méridien de la vessie: V 4,635 Le méridien du rein: V 4,478


Le méridien du maitre du cœur: V9,554 Le méridien du triple réchauffeur: V4,537
Le méridien de la vésicule biliaire: V4,477 Le méridien du foie: V8,385


9.9 – Trajet énergétique du courant affectif
Attention, ce courant est exclusivement en 5,1 sud. Sa largeur est fonction de l'intensité relationnelle
avec un partenaire, tout comme le niveau de sa présence sur le corps.
9.10 – Les pollutions

9.11 – Les protections par le divin
Correction du 5 octobre 2012

Antenne Lecher Oct2012

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L'antenne de Lécher

Du livre inachevé ...

Volume 1 : Le monde créé 1

Volume 1 : Le monde créé 2

Terminons avec la petite histoire suivante :

Volume 1 : Le monde créé 3

Volume 1 : Le monde créé 5

1.2 – Le monde au début du XXIe siècle

Volume 1 : Le monde créé 6

1.3 – L'évolution du monde selon Soljenitsyne

Volume 1 : Le monde créé 7

1.4 – Comprendre le monde

Volume 1 : Le monde créé 8

Volume 1 : Le monde créé 9

Volume 1 : Le monde créé 10

Volume 1 : Le monde créé 11

Figure 1 : Schéma de l'antenne de Lécher

Volume 1 : Le monde créé 12

Figure 2 : Schéma de l'antenne double

Volume 1 : Le monde créé 13

Volume 1 : Le monde créé 14

La Nature est un temple où de vivants piliers

Un minimum de pratique de la kinésiologie facilitera la compréhension des mouvements de

Volume 1 : Le monde créé 15

Volume 1 : Le monde créé 16

Volume 1 : Le monde créé 17

3.1.1 – Préparation : réunir le matériel et les outils

Matériel et outils utilisés

3.1.2 – Réalisation des différents éléments constitutifs de l’antenne de Lecher

Volume 1 : Le monde créé 18

En utilisant un étau, séparer les deux morceaux de bois :

b) La réalisation du corps de l’antenne :

Volume 1 : Le monde créé 19

Perçage poignées Ecrou

c) La réalisation du curseur et du haut de l’antenne :

Figure 6 : Haut de l'antenne

Volume 1 : Le monde créé 20

Figure 7 : Curseur de l'antenne

Volume 1 : Le monde créé 21

b) La réalisation du corps de l’antenne

c) La réalisation des curseurs et du haut et du bas de l’antenne

Volume 1 : Le monde créé 22

4.1 – L'approche globale de l'individu

4.2 – La mesure du premier corps

4.2 – Le système des vibrations harmoniques

Volume 1 : Le monde créé 23

4.4 – Le système des vibrations spécifiques

4.5 – Autres systèmes de mesure

4.6 – Le système des vibrations horizontales cérébrales

Volume 1 : Le monde créé 24

Ces vibrations horizontales cérébrales ne doivent pas être confondues avec :

Volume 1 : Le monde créé 25

Volume 1 : Le monde créé 26

5.1 – Utilisation de la vibration harmonique

Volume 1 : Le monde créé 27

Volume 1 : Le monde créé 28

Volume 1 : Le monde créé 29

Volume 1 : Le monde créé 30