Cours Gestion Resume Ok
Cours Gestion Resume Ok
Cours Gestion Resume Ok
:
L’entreprise et son environnement
I. Définition et caractéristiques
1. Définition
Une entreprise est un ensemble d’hommes qui concourent à la réalisation d’un objectif.
L’aboutissement à cette finalité nécessite des intrants (inputs) transformés.
L’entreprise peut être donc à activité marchande ou à caractère non marchand. Il existe
plusieurs formes d’entreprise et diverses classifications.
a) le critère juridique :
Juridiquement on oppose entreprises publiques aux entreprises privées .dans chaque catégorie,
on peut envisager des classifications plus fines .ainsi pour les entreprises privées on
distinguera les entreprises en fonction de leur forme (société de personnes ; société de
capitaux ou société individuelle) et ou en fonction de leur objet : commerciale ou civil.
b) Le critère économique :
L’entreprise est une association de deux personnes ou plus pour la production d’un bien ou
d’un service.
Elle constitue une entité dont le suivie dépend de la contribution de chacun de ses membres
dans l’exercice des activités nécessitées par la mission qui lui a été attribuée par ses créateurs.
Le produit de l’entreprise est une œuvre collective.
L’entreprise est un groupe autonome dans le cadre légal. Elle dispose de l’autonomie
financière. Elle utilise librement ses ressources dans le cadre de son activité.
Elle dispose aussi de l’autonomie décisionnelle : elle fixe librement ses objectifs, selon les
préférences de son équipe dirigeante, ainsi que la politique les stratégies à suivre et ses
moyens (de production, de motivation de son personnel de gestion …)
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d) L’entreprise dispose d’un patrimoine :
Le fonctionnement de l’entreprise nécessite des moyens matériels humains et
financiers .l’ensemble de ces éléments forme le patrimoine.
On distingue deux types de patrimoines : humain et matériel
a) la direction :
C’est l’organe qui règle le fonctionnement de l’entreprise .les préférences des dirigeants
déterminent les objectifs, l’organisation, la politique et la stratégie.
b) les cadres :
Ils se trouvent au carrefour de la hiérarchie entre les agents de maîtrise et la direction
générale. Donc ils peuvent influencer soient les uns soit les autres.
Ils exercent des taches qui font appel à la réflexion qui nécessitent des connaissances de haut
niveau.
Les cadres représentent des réseaux de communication à travers lesquels transitent les
informations et sont des réseaux utilisés par les décideurs pour passer les ordres et les
informations aux subordonnés.
Ce sont les apporteurs de capital, ils peuvent être des personnes physiques ou morales .ils ont
le pouvoir de nommer la direction de l’entreprise et le droit de lui imposer leurs objectifs.
b) les clients :
Ce sont des personnes physiques ou morales qui veulent acheter les produits ou les services
de l’entreprise .ces derniers sont recherchés dans les meilleures conditions de prix et de
qualité et délais. C’est dans le but de satisfaire ses clients que l’entreprise utilise des moyens,
une politique et des stratégies commerciales appropriées.
c) les fournisseurs :
Ils sont ceux qui approvisionnent l’entreprise en biens (matières premières machines …) et
services (transport, assistance, …) nécessaires à son activité.
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d) Les banquiers :
Ce sont ceux qui octroient les crédits, ce sont les ressources financières nécessaires à
l’activité de l’entreprise et chez qui l’entreprise dépose ses fonds.
f) Le syndicat :
Ce sont les représentants des employés auprès de la direction. Ils défendent les intérêts des
salariés et de leur obtenir le maximum d’avantages.
L’environnement est un concept très large, il englobe tous les éléments de l’entreprise qui
sont en rapport direct ou indirect avec elle et qui influencent ses décisions.
2. l’environnement spécifique :
Au sein de l’environnement général d’une entreprise, est tracé son environnement spécifique.
Ce dernier comprend l’ensemble des éléments avec lequel l’entreprise est en rapport direct :
ses fournisseurs, ses clients, ses banques et ses concurrents.
1. l’environnement économique :
Les facteurs de production nécessaires pour une entreprise sont : les capitaux et le travail.
L’entreprise puise dans son environnement économique pour recueillir ces deux facteurs.
Ainsi, chaque environnement économique présente soit des opportunités soit des contraintes
concernant le capital ou le travail.
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2. l’environnement technologique :
La technologie est l’ensemble des connaissances que nous possédons afin d’accomplir des
taches. Il implique aussi bien les inventions et techniques que la masse du savoir acquise dans
tous les domaines.
Ainsi la technologie influe sur la conception des produits, sur la manière de les développer, de
les produire, de les distribuer et de les exploiter.
3. l’environnement politique :
C’est l’ensemble des lois, des réglementations, des organismes gouvernementaux et de leurs
activités .Les convictions politiques influent sur les lois promulguées par les pouvoirs publics.
En effet, pour assurer leur suivie, les entreprise doivent s’adapter à leur environnement
politique ou encore plus prévoir leur évolution et envisager les mesures à prendre en
conséquence.
4. l’environnement socioculturel :
Il est formé des attitudes, des désirs, des attentes, des habitudes des convictions et du niveau
d’éducation des individus.
C’est cet environnement qui forge la personnalité de chaque membre de l’entreprise et sa
perception des responsabilités à sa charge.
D’une part cet environnement inculque aux individus des comportements avant qu’ils
n’appartiennent à l’entreprise. D’autre part ce même environnement influe les choix, le goût
et les décisions des clients de l’entreprise dont la satisfaction est un but vital pour celle ci.
L’orientation économique actuelle tend vers la mondialisation donc abolition des frontières :
tous les pays du monde deviennent des marchés potentiels pour toutes les entreprises
indépendamment de leur nationalité et frontières.
L’offre et la demande dépassent et l’emportent sur les limites géographiques.
3. Développement de la concurrence
Suite à l’internationalisation des marchés la concurrence entre les entreprises est devenue
accrue dans la mesure où elles offrent le même produit, le prix devient une variable très
délicate pour être manipuler et par la suite la solution est d’assurer le meilleur rapport prix
qualité offert : donc emporter le défis de compétitivité.
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4. Le changement du rapport clients entreprise :
Auparavant, le consommateur allait vers l’entreprise, il acceptait ce qu’elle lui offrait car il
n’avait pas le choix. De nos jours, c’est à l’entreprise d’aller chercher et trouver sa clientèle
avant que les concurrents ne l’envahissent.
5. l’incertitude de l’environnement :
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Chapitre II :
La gestion de l’entreprise et son processus
1. Définition
D’une manière générale la gestion peut être définie comme l’art ou la manière d’organiser et
de conduire une activité ou une entité.
On gère une entreprise mais on gère aussi dans l’entreprise les achats, les stocks, le
personnel…
Entreprise ► Environnement
La gestion
C’est un art puisque le gestionnaire doit avoir certaines aptitudes d’évaluation des situations,
intuitions et une certaine compréhension des hommes pour pouvoir les stimuler et tirer le
meilleur d’eux.
La gestion est une science dans la mesure où elle utilise des outils techniques et
mathématiques, financière etc.….
2. Le rôle du gestionnaire
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Section II : La Gestion : Processus
Machines
Biens & services
Moyens
Méthodes (techniques
I. La Planification :
C’est un processus qui consiste à fixer les objectifs, déterminer les moyens nécessaires
pour la réalisation de ces objectifs et définir les étapes pour les atteindre.
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Permet aux responsables de répartir les moyens nécessaires à la réalisation des
objectifs fixés et les coordonner les activités de manière à faire le meilleur usage
possible de l’ensemble de ces éléments
La planification oriente et dirige les efforts de chacun dans l’entreprise
Le risque d’erreur : les prévisions qui sont à la base de la planification peuvent être
fausses ou imprécises. d’autres part certains évènements (découverte technique,
récession économique…) peuvent surgir et fausser la planification.
La planification coûte cher : études, informations…
Multiplicité des exigences de la planification
Réticence aux changements
3. Le processus de planification
Exportation
Augmentation des prix
Amélioration de la qualité
Diversification des produits
Les différences selon les environnements de l’entreprise : en Japon les plans sont moins
précis, Contrairement aux USA .les plans sont plus précis en France qu’en Tunisie.
Les différences selon les entreprises.
Les différences selon les époques.
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C’est une technique qui consiste d’une part à établir les objectifs pour l’ensemble de
l’entreprise et pour chacune de ses unités et d’autre part à évaluer la performance de chacune
de ces unités en comparant les résultats aux objectifs fixés
Elle implique la participation, primauté des résultats, clarté des objectifs, définition des rôles,
amélioration de la communication.
Les budgets
Le budget est un plan qui traduit, pour une période donnée, en termes monétaires, les objectifs
et les activités des unités de l’entreprise
Il est un moyen de coordination entre les différentes activités et un outil pratique des
performances.
Toutefois, il est rigide mais plusieurs solutions sont proposées dans ce sens :
Rallonge budgétaires
Budgets flexibles
Budgets variables (adaptés)
Les plans
Les plans qu’utilise l’entreprise sont nombreux et de différents types :
plans stratégique
plans opérationnels
plans à court terme
II. L’organisation
a) Définition :
Organiser c’est répartir l’ensemble en parties et définir le type de relations qui doit
exister entre ces parties de manière à assurer la réalisation des objectifs de l’entreprise.
La division du travail et la précision de la nature des rapports de chaque individu avec les
permettent aussi à chaque responsable de prendre seulement les décisions qui relèvent de
ses compétences et de connaître les limites de son autorité dans chaque situation.
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b) Les principes de base de l’organisation :
a) Définition :
L’autorité est le pouvoir légitime et légal de donner des ordres et de se faire obéir.
L’obéissance des subordonnés et leur acceptation des ordres de leur supérieur dépendent de
plusieurs éléments.
Ils peuvent résulter du fait qu’ils préfèrent éviter les mesures disciplinaires s’ils croient
à l’accomplissement de la tâche qui leur est attribuée, ou qu’ils soient bien acceptés par leur
groupe de travail et préfèrent éviter les incidents susceptibles d’engager leur rejet du groupe.
b) L’autorité hiérarchique :
Chaque membre de l’entreprise possède une autorité dirige une unité. Il est lui-même
responsable devant son supérieur de la qualité et quantité du travail de ses subordonnés ainsi
que des résultats accomplis par l’unité.
C’est dans cette mesure qu’ils feront recours aux organes « staff ».
PDG
Coûts
Etude et recherche
Ingénierie
Achats
A2 A2 A3 A1 A2 A3
A : atelier
Ces avantages sont essentiellement :
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B/ Avantage et structure de l’organisation décentralisée :
PDG
Coûts
Achats
Ingénierie
A1 A2 A3
Directeur générale
Elle résulte d’un découpage de l’entreprise de manière à ce que les tâches attribuées et
les responsabilités confiées à une unité soient totalement différentes de celle des autres unités.
Les avantages et les inconvénients de cette structure sont :
- la spécialisation qu’implique cette structure constitue son principal avantage.
Mais elle pose des problèmes de coordinations et de motivation.
Elle correspond à une division de travail d’une entreprise en département, chacun est
responsable de la gestion d’un seul produit. Cette structure s’impose dans les grandes
entreprises dont la production est diversifiée.
Directeur générale
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iii. La structure par produit :
La structure par produit correspond à une division de l’entreprise en département
chacun responsable de la gestion d’un seul produit.
Cette structure s’impose dans les grandes entreprises dont la production est diversifiée.
Directeur général
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III. La direction :
1) Définition
a) l’approche unidimensionnelle :
Cette approche comprend les travaux des auteurs qu’ont basés leurs études sur une
seule dimension : le comportement du dirigeant.
élève
de direction sera plutôt du type autoritaire. Il se réservera le droit à la
décision et n’acceptera pas la négociation. Par contre si la
Ils retiennent deux critères pour analyser les styles de direction des
dirigeants :
- l’intérêt que porte le dirigeant pour la
Faible
production.
- l’intérêt qu’il porte pour les individus.
1 9
.9 .9
5
.5
1 9
.1 .1
Faible élevé
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Souci de production
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1.1: le plus mauvais style de direction.
1.9 : met l’accent sur les individus : ce type est adopté par les dirigeants des
organisations du type club de loisirs.
5.5 : style démocratique et équilibré.
9.1 : style autoritaire que les dirigeants emploient afin d’obtenir une efficacité
maximale.industrie
9.9 : style idéale est en réalité difficile à réaliser.
b) l’approche situationnelle :
Selon cette approche, le style idéal, efficace dans toutes les situations et valable dans
toutes les organisations relève plutôt de l’utopie. L’efficacité du style de direction dépend du
degré d’adaptation entre la situation de l’entreprise et le style de direction. La situation de
l’entreprise comprend le climat social, les valeurs, les attitudes, l’expérience des dirigeants et
des subordonnés et la nature des tâches particulières à accomplir.
Selon Hershey et Blanchard, le style de direction le plus efficace est celui qui s’adapte
le mieux au degré de maturité des subordonnés.
le style basé sur la conviction et l’influence : face à une maturité des subordonnés
plutôt faible et un souci élevé pour la production, le supérieur essayera de convaincre
ses subordonnés, de leur expliquer leurs tâches et de les influencer afin qu’ils adoptent
les décisions qu’il doit prendre.
Souci de production
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3) La motivation
a) définition :
Trois types de motivation orientent les comportements des individus dans l’entreprise.
les motivations de premier ordre :
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IV. Le contrôle
1) Définition
Le contrôle consiste à évaluer les résultats des activités des membres de l’entreprise et
à apporter les corrections nécessaires à ces activités de manière à s’assurer que les objectifs de
l’entreprise et les plans élaborés pour les atteindre ont été respectés.
C’est une fonction que doit assumer chaque responsable de l’entreprise, du dirigeant
ou du contremaître.
Le terme contrôle peut avoir deux acceptation :
2) Le processus de contrôle
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Quand les résultats sont d’ordre quantitatif (résultats financiers, comptables). Par
contre quand les résultats sont d’ordre qualitatifs (efficacité de la communication, le bon
moral des employés, le sérieux d’un subordonné…).
La mesure de ces résultats doit être effectuée d’une manière cohérente et homogène.
L’observation direct.
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La troisième étape consiste à adapter les résultats aux prévisions. Ils s’agit de dégager
la cause réelle des difficultés et mettre en œuvre les actions qui permettent d’éliminer la
source des écarts.
Les actions correctives doivent être mise en œuvre par les personnes qui ont une
autorité sur les réalisations corrigées.
Il est celui qui accompagne toutes les opérations d’exécution du plan. Ce contrôle a
lieu après l’achèvement de chaque étape pour que les écarts enregistrés au cours d’une étape
donnée n’affectent pas les étapes suivantes.
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Chapitre III :
Les fonctions de l’entreprise
L’entreprise conçoit ses fonctions au regard non seulement de ses objectifs et de ses
priorités d’action mais également de ses moyens, de son marché et de son environnement.
Cependant, au-delà de la diversité des entreprises et de la vision de leurs dirigeants, les fonctions
suivantes sont souvent représentées : Approvisionnement, marketing, production, GRH,
finance et R&D.
a) Définition :
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b) Le processus d’approvisionnement :
Les besoins des services utilisateurs sont déterminés dans la stratégie globale et le budget
définis par l’entreprise.
En effet, le principal service utilisateur des produits achetés est le service technique.
Le responsable doit fixer les règles de contrôle des marchandises réceptionnées et établir les
normes d’une bonne gestion de stocks : périodicité de contrôle, niveau du stock de sécurité.
Cette étape consiste à négocier avec les fournisseurs afin d’obtenir le maximum d’avantages
et d’agir conformément à la politique d’achat fixée, et enfin l’achat des produits demandés
conformément aux exigences quantitatives et qualitatives des services utilisateurs.
Si les résultats sont positifs : la marchandise réceptionnée sera gérée selon les règles déjà
fixées dans la stratégie d’approvisionnement.
Chaque fois que le stock atteindra son niveau minimum, le responsable des achats passera la
commande.
Si les résultats sont négatifs (qualité non conforme, délais non respectés, moyens de
communication inefficaces, mauvais choix du produit, découverte d’un nouveau MIX plus
avantageux…) le responsable des achats peut redéfinir en fonction des besoins de la situation
une ou plusieurs des étapes du processus d’approvisionnement.
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Son efficacité nécessite l’entretien de relations étroites avec les autres services de
l’entreprise et particulièrement avec :
- Les services techniques qui constituent les « clients » les plus importants du service
approvisionnement.
- Les services financiers qui ne peuvent pas établir le budget des approvisionnements et
le budget de l’entreprise dans l’ignorance des programmes d’achat.
- Les services commerciaux dont les suggestions concernant la nature, la qualité et les
prix des matières achetées.
b) La procédure d’achat :
L’expression des besoins
La vérification des besoins
L’évaluation et sélection des fournisseurs.
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Ils sont indispensables à l’entreprise dans la mesure où ils évitent les ruptures qui
engendrent l’arrêt de la production et parfois la perte des clients.
Ils coûtent cher, il faut donc les gérer de manière rationnelle en évitant les ruptures et
minimisant les coûts.
transformation
Inputs output
La qualité du produit/service,
Le responsable production gère, supervise et coordonne les ateliers, outils, agences et/ou
lieux de production. La fonction production vise ainsi à élaborer et à exécuter les études et
les projets de production, à choisir les équipements adéquats et à prendre toute disposition
nécessaire pour produire dans les meilleures conditions de prix, de qualité et de délais. Dans
le secteur industriel, la production, essentiellement matérielle, s’effectue dans des usines ou
ateliers et est supervisée par des ingénieurs et des techniciens.
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Les employés sont divisés en plusieurs catégories : agents de maîtrise, contremaîtres,
employés qualifiés et agents d’exécution.
Avec la mécanisation et l’avènement des robots et automates, les machines tendent à remplacer
les ouvriers sur les chaînes.
a) LA QUALITE
La qualité est l’aptitude d’un produit ou d’un service à satisfaire les besoins des
utilisateurs. Elle dépend de plusieurs éléments : organisation du travail, processus et moyens
de production, motivation du personnel, contrôle, etc.
b) LES DELAIS
Les délais que se donne l’entreprise pour livrer ses produits à ses clients dépendent
essentiellement de quatre variables :
le cycle de production;
la nature du marché ou la nature du produit;
la concurrence (les délais des concurrents);
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le cycle administratif.
d) LES COUTS
L’entreprise doit essayer de minimiser les coûts unitaires de production afin de pratiquer des
prix compétitifs et d’assurer sa rentabilité.
la sous-traitance;
l’impartition
l’intégration
la localisation
a) LA SOUS-TRAITANCE
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La sous-traitance consiste à faire réaliser par une autre certaines phases de la fabrication,
certains composants (produits intermédiaires) ou une partie de la production.
La sous-traitance met en relation deux parties : un donneur d’ordre et un exécutant.
L’exécutant est celui qui réalise le travail conformément aux normes et aux exigences
du donneur d’ordre; il est appelé sous-traitant. Le rôle du sous-traitant se limite à l’exécution
du travail demandé selon les indications du donneur d’ordre. Les exigences et les normes
fixées par ce dernier sont précisées dans un cahier de charge engageant les deux parties.
Cinq facteurs peuvent conduire les entreprises à faire appel aux sous-traitants.
La capacité de l’entreprise
La compétence de l’entreprise
Le coût de fabrication
Dans certains cas, la sous-traitance d’un produit revient moins chère que sa fabrication dans
l’entreprise. L’entreprise préfère alors l’acheter à l’extérieur afin de minimiser le prix de
revient du produit fini.
La qualité
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La qualité de certains produits intermédiaires fabriqués par l’entreprise peut être inférieure à
celle des produits fabriqués par une autre. Par conséquent, l’entreprise a recours a la sous-
traitance afin d’améliorer la qualité de ses produits finis.
La flexibilité
b) L’IMPARTITION
L’impartition consiste à faire réaliser par une autre entreprise, une activité que l’entreprise
peut réaliser elle-même.
A la différence de la sous-traitance, dans le cas d’une impartition, l’exécutant réalise lui
même les études et conserve l’entière propriété des droits d’invention (marque, brevet, .etc..)
du produit fabriqué.
c) L’INTEGRATION
L’intégration consiste à exécuter par l’entreprise même une activité qu’elle pourrait
déléguer à une autre entreprise. Il s’agit d’une intégration en amont quand l’activité précède la
fabrication du produit fini et d’une intégration en aval quand l’activité suit la fabrication du
produit fini telle que sa commercialisation.
d) LA LOCALISATION
La politique de localisation peut être adoptée par l’entreprise quand celle-ci possède
plusieurs unités de production. Elle peut charger chacune de ces unités soit de réaliser une
étape du processus de production soit de produire une partie de la production totale.
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Il existe trois modes de production:
- la production unitaire ou sur commande;
- la production en série;
- la production de masse ou en continu;
a) LA PRODUCTION UNITAIRE
La production unitaire consiste à produire un seul produit sur demande du client. Elle
se caractérise par le fait qu’il n’existe pas de stock de produits finis. Une fois fabriquée, le
produit est directement livré au client.
b) LA PRODUCTION EN SERIE
c) LA PRODUCTION EN CONTINU
Le produit subit en continu des transformations physiques et chimiques.
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Parmi ces objectifs nous citerons essentiellement :
le choix d’une action sur le marché pour le modifier dans un sens plus favorable à
l’entreprise. On peut agir sur le marché par l’intermédiaire de plusieurs actions ; la
publicité par exemple.
Le marketing peut être défini comme l’ensemble des activités visant à optimiser la
commercialisation des produits à l’aide d’études méthodiques en se plaçant systématiquement
du point de vue du consommateur.
L’approche marketing a introduit une plus grande rigueur scientifique dans les méthodes
utilisées. Elle a rationalisé les décisions commerciales, autrefois essentiellement basées sur
l’intuition.
Plusieurs techniques scientifiques sont maintenant utilisées pour mieux comprendre le
comportement du consommateur et agir sur lui d’une façon adéquate. On peut citer
essentiellement:
les statistiques
l’analyse des données
la psychosociologie a
- les techniques prévisionnelles, r
- Il est orienté vers le marché
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Le marketing est né de la prise de conscience de la part l’entreprise, des besoins des
consommateurs.
Les activités marketing précédent la vente et la production. A travers les études de marché,
elles permettent de connaître les possibilités de vente, d’identifier et de préciser les besoins
afin de concevoir les produits les plus appropriés
Principe 2 : Le besoin se crée autant qu’il se constate .Cela signifie que chez les individus, il
y a des besoins virtuels qu’il faut pouvoir déceler et organiser leur satisfaction. Ces besoins
virtuels sont des besoins qui existent mais qui ne se manifestent que lorsque les biens capables
de les satisfaire apparaissent.
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la recherche permanente de la nouveauté : pour créer des besoins nouveaux et mieux
satisfaire la demande.
Le marketing-mix
Le mix est l’ensemble des variables dont dispose l’entreprise pour atteindre son
objectif commercial.
Les principales variables du marketing-mix sont :
la politique de marché;
la politique de produit;
la politique de prix;
la politique de communication,
la politique de distribution.
I. LA POLITIQUE DU MARCHE
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II. LA POLITIQUE DU PRODUIT
1. L’ETUDE DE FORME
L’étude de forme du produit consiste à définir son esthétique. Son nom et son
conditionnement, c’est à dire l’ensemble des éléments qui présentent le produit au
consommateur.
1.1 - L’esthétique
1.2 - Le nom
Le nom doit être facile à apprendre et à prononcer. Il faut éviter les noms ridicules et
choisir des noms adaptés au pays de commercialisation du produit.
Quand le nom est mal choisi, il peut constituer un obstacle à la vente, même lorsque le
rapport-qualité prix est très mouvant.
1.3 - Le conditionnement
2 - LA GESTION DE LA GAMME
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La gamme des produits qu’on appelle aussi mix des produits ou «produit mix » est constituée
par toutes les variétés de produits fabriqués et vendus par l’entreprise. On peut la délimiter en
utilisant deux dimensions: la largeur et la profondeur :
La largeur est mesurée par le nombre de genres différents des produits offerts à la
clientèle.
- distinctive : l’emploi de termes tels que nouveau, national, mondial est à éviter car ils ne
comportent pas l’originalité du produit;
- aisément déclinable : pour pouvoir, en cas de besoin, attacher une particule de la marque à
plusieurs produits. C’est l’exemple de la marque française Danone qui a permis de créer
Danesse , Danerolle, Danette et Dany;
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- une même marque pour tous les produits: l’avantage de ce choix est de pouvoir
transmettre, sans efforts, le prestige ou la réputation d’un produit à l’ensemble de la gamme.
Elle comporte, cependant, le risque de voir la mauvaise qualité d’un produit dégrader l’image
de toute la marque;
- une même marque pour une ligne de produit: ce choix présente le même type
d’avantages et d’inconvénients que le précédent, mais d’une manière atténuée.
-une marque générique avec un complément par produit la marque générique est
suffisamment forte pour que tous les produits donnent l’impression d’appartenir à une même
famille. C’est l’exemple de la marque Gillette avec Gillette G Il, Gillette super, Gillette min.
-une marque par produit c’est un choix adapté lorsque l’entreprise souhaite
que chaque produit ait sa propre vie et qu’éventuellement, il reste en concurrence avec les
autres produits fabriqués par l’entreprise.
Quand il s’agit du lancement d’un nouveau produit l’entreprise peut choisir entre deux
politiques l’écrémage de la demande ou la pénétration du marché.
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1-2- La politique de pénétration
La politique de pénétration consiste à occuper assez rapidement une place importante sur le
marché en pratiquant des prix bas, en utilisant une politique de promotion des ventes et une
publicité intense.
Après le lancement des produits, les prix peuvent être modifiés soit vers la hausse, soit vers la
baisse.
Deux types de raisons peuvent conduire l’entreprise à baisser les prix de ses produits. Des
raisons internes et des raisons externes.
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c. La recherche de la modification de l’image de marque du produit : Le prix d’un
produit est toujours associé à sa qualité.
1 - LA PUBLICITE :
1-1-définition :
La publicité est toute forme de communication non personnelle utilisant un support payé par
un annonceur. Elle a pour objet d’inciter le consommateur à acheter le produit ou le service de
l’entreprise.
- Agence : c’est une société de services qui joue essentiellement cinq rôles pour
l’annonceur
* le conseil en communication;
* la création et la production directe des campagnes publicitaires
* l’achat d’espaces publicitaires;
* la répartition de l’espace dans le temps et entre les supports;
* le contrôle d’efficacité des campagnes.
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La publicité de firme appelée aussi publicité institutionnelle a pour objet de créer ou de
modifier l’image de marque de l’entreprise dans son ensemble. Elle s’adresse non seulement
aux acheteurs, mais aussi à l’opinion publique. Les moyens les plus utilisés dans la publicité
institutionnelle sont les relations publiques, le sponsoring et le mécénat.
- Cible: elle est constituée par le public qu’on veut atteindre par la publicité.
L’entreprise doit définir sa politique publicitaire. Elle doit préciser si, à travers la publicité,
elle désire simplement informer ou informer et convaincre sa clientèle.
L’entreprise doit définir ses objectifs publicitaires, par exemple faire connaître le produit. Elle
doit préciser sa cible c’est-à-dire le groupe de population visé par la campagne de publicité.
Cette cible doit être décrite avec détails à partir d’un certain nombre de critères, tels que:
l’âge, la catégorie socioprofessionnelle, la région d’habitation.
3 - LA FORCE DE VENTE
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La force de vente est constituée par l’ensemble des individus chargés de la vente et de la
stimulation de la vente. C’est l’élément visible de l’entreprise avec lequel le client traite. Elle
engage la réputation de l’entreprise et agit directement sur la vente de ses produits. La qualité
du vendeur et sa capacité de convaincre le client sont essentielles dans la vente du produit et
l’image de marque de l’entreprise.
V. LA POLITIQUE DE DISTRIBUTION
Un circuit de distribution est constitué par l’ensemble des canaux par lesquels s’écoule un
bien ou une catégorie de biens entre le producteur et consommateur.
Considérée comme l’une des fonctions cruciales de l’entreprise, la gestion des ressources
humaines (GRH) prend en charge le management du capital humain de l’entreprise.
Dans un premier temps, l’acquisition du capital humain revient à planifier les besoins réels de
l’entreprise en termes d’effectifs et de compétences. Cela passe par une réflexion profonde
sur l’évolution des activités et des métiers de l’entreprise et sur la structure des qualifications et
des compétences qu’elle possède réellement. En ciblant ses besoins, l’entreprise se prémunit
contre les travers des recrutements mal préparés, souvent coûteux pour le fonctionnement
optimal de l’organisation.
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d’employés à hauts potentiels intellectuels. Dotés de compétences analytiques et
résolutoires avancées et d’une créativité importante, de tels employés formeront dans l’avenir le
noyau central des entreprises performantes.
Enfin, les gestionnaires des RH doivent mettre en œuvre des pratiques visant la fidélisation
des meilleurs employés afin d’éviter leur départ pour la concurrence. Il s’agit de concevoir
des programmes d’action permettant d’améliorer la motivation des employés et leur
satisfaction au travail. La rémunération, la gestion dynamique des carrières ou encore les
programmes de bien-être au travail sont autant de leviers d’action possibles.
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Section VI : La fonction financière
Le responsable financier de l’entreprise est appelé à résoudre les difficultés associées aux
schémas de financement des investissements de l’entreprise, à la préservation de son équilibre
financier et à la sécurisation, à terme, des ressources financières de l’organisation.
Comment évaluer et prévoir les besoins en financement? Où trouver les ressources
nécessaires à la couverture de ces besoins? A quel coût? Comment sécuriser les
financements disponibles afin d’optimiser la structure du capital de l’entreprise et en garantir
l'équilibre? Comment utiliser au mieux les fonds investis et en faire un usage efficient ?
Quels sont les défis financiers actuels et les moyens d'y faire face ? Les outils de mesure
sont-ils pertinents ou faut-il les renouveler ? Toutes ces questions sont posées et analysées
par la fonction financière de l’entreprise, les gestionnaires financiers étant chargés de trouver
les réponses appropriées. D’autre part, de plus en plus d’entreprises intègrent les activités de la
comptabilité générale et analytique dans les prérogatives du responsable financier.
Ainsi, la fonction financière a pour mission de veiller à la disponibilité des ressources financières
nécessaires au fonctionnement de l’entreprise, à les développer et à les contrôler dans un souci
d’efficience.
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La fonction financière
Evolution Au cours des dernières années, la fonction financière a évolué dans un sens
récente accordant une grande importance aux marchés financiers. Les entreprises les
plus performantes intègrent de plus en plus les possibilités de recours à la
bourse et à l’appel public à l’épargne. Pour cela elles ont besoin de
développer des systèmes d’information comptables et financiers
transparents et fiables d’où l’importance de l’information financière.
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Importance des mécanismes de coordination entre les fonctions
Diviser le travail entre les différentes fonctions et leur accorder des missions et
prérogatives spécifiques est une décision d’organisation nécessaire, mais insuffisante. Les
entreprises sont de plus en plus appelées à créer les mécanismes de coordination nécessaires
entre les différentes fonctions. Revenons encore une fois à la métaphore du corps humain.
L’interrelation entre les différents sous-systèmes constituant notre corps est une condition
sine qua non pour son fonctionnement optimal. En l’absence de liens clairs et permanents
entre les différents organes, tout le corps peut basculer dans le chaos. Pareillement, une
entreprise ne peut fonctionner de manière optimale que lorsque des liens clairs, permanents
et prévisibles cimentent toutes ses fonctions. En l’absence de ces liens, des conflits
peuvent naître à tout moment. Le conflit «classique» entre les fonctions « production» et
marketing» lors d’un échec sur le marché rend compte des effets néfastes de l’absence de
mécanismes de coordination entre les fonctions. De la même manière, plusieurs enseignes de
grande distribution éprouvent du mal à gérer des relations souvent conflictuelles entre les
départements « achat» et « commercialisation ». De telles tensions sont généralement
expliquées par l’absence de mécanismes de coordination qui font que les deux départements
travaillent de manière collective et harmonieuse. Ainsi, il incombe aux responsables de
l’entreprise de créer ces mécanismes de coordination qui permettent de cimenter toutes les
fonctions et de favoriser la synergie du travail collectif. Dans le chapitre relatif à la
structure, des éclairages complémentaires sont portés sur ces mécanismes et leur apport au
fonctionnement efficient de l’entreprise.
La globalisation des économies a eu un effet important sur le nombre et la nature des fonctions
assurées par l’entreprise.
En effet, sous les effets conjugués des contraintes budgétaires et des impératifs de flexibilité
(agilité et réactivité de l’organisation), la tendance actuelle est à l’externalisation des
fonctions considérées comme non stratégiques, afin de ne garder au sein de l’entreprise
que ce qui constitue son cœur de métier, ce qui représente ce qu’elle sait faire de mieux et sa
source principale de distinction sur le marché (la source de son avantage concurrentiel durable).
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Ainsi, les fonctions secondaires sont confiées à des prestataires spécialisés extérieurs. Par ce
processus d’externalisation, les entreprises cherchent à réduire leurs coûts, à s’assurer
les services de sous-traitants spécialisés et à se focaliser exclusivement sur leur cœur de
métier afin d’y puiser un avantage concurrentiel.
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