Linux Leguidecomplet
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Linux Leguidecomplet
Avertissement Les informations contenues dans cet ouvrage sont données à titre indicatif
aux utilisateurs et n’ont aucun caractère exhaustif voire certain. A titre d’exemple non
limitatif, cet ouvrage peut vous proposer une ou plusieurs adresses de sites
Web qui ne seront plus d’actualité ou dont le contenu aura changé au
moment où vous en prendrez connaissance.
Aussi, ces informations ne sauraient engager la responsabilité de l’Editeur.
La société MICRO APPLICATION ne pourra être tenue responsable de toute
omission, erreur ou lacune qui aurait pu se glisser dans ce produit ainsi que
des conséquences, quelles qu’elles soient, qui résulteraient des informa-
tions et indications fournies ainsi que de leur utilisation.
Tous les produits cités dans cet ouvrage sont protégés, et les marques
déposées par leurs titulaires de droits respectifs. Cet ouvrage n’est ni édité,
ni produit par le(s) propriétaire(s) de(s) programme(s) sur le(s)quel(s) il porte et
les marques ne sont utilisées qu’à seule fin de désignation des produits en
tant que noms de ces derniers.
ISBN : 978-2-300-021084
Conventions typographiques
Afin de faciliter la compréhension des techniques décrites, nous avons
adopté les conventions typographiques suivantes :
j gras : menu, commande, boîte de dialogue, bouton, onglet.
j italique : zone de texte, liste déroulante, case à cocher, bouton
radio.
j Police bâton : Instruction, listing, adresse internet, texte à
saisir.
j ✂ : indique un retour à la ligne volontaire dû aux contraintes de
la mise en page.
Chapitre 1 L’installation 11
4 LE GUIDE COMPLET
Sommaire
Chapitre 4 La bureautique 91
LE GUIDE COMPLET 5
Sommaire
6 LE GUIDE COMPLET
Sommaire
6.4. Cas pratique : créer son centre multimédia avec Freevo . 195
Installer et lancer Freevo ......................................... 197
Configurer Freevo ................................................. 198
Utiliser Freevo ...................................................... 200
LE GUIDE COMPLET 7
Sommaire
8 LE GUIDE COMPLET
Sommaire
LE GUIDE COMPLET 9
L’installation
Figure 1.1 :
Tux, la mascotte de Linux
12 LE GUIDE COMPLET
La distribution Linux Chapitre 1
Liberté et gratuité
Logiciel libre ne signifie pas forcément gratuit. Les licences utilisées
pour les logiciels libres autorisent leur vente. Vous pouvez consulter le
Livret du libre vulgarisant cette notion de liberté à l’adresse http://livretdulibre
.org.
Figure 1.2 :
Gnu, la mascotte de la fondation GNU
Cette licence est la plus utilisée dans le monde du logiciel libre, mais
elle n’est pas la seule : consultez le site www.opensource.org pour de plus
amples informations sur les licences libres.
LE GUIDE COMPLET 13
Chapitre 1 L’installation
Figure 1.3 :
Logo de Mandriva
14 LE GUIDE COMPLET
Installation pas à pas Chapitre 1
Cohabitation Windows-Linux
Si votre disque possède assez d’espace libre pour accueillir cette
distribution Linux, installez-la à côté de votre système Windows. Le
fonctionnement de ce dernier n’en sera pas modifié.
Le lancement d’un système d’exploitation s’effectue dans ce cas au
démarrage de la machine à l’aide d’un gestionnaire de démarrage.
Préparer l’installation
L’installation de tout système d’exploitation nécessite de prendre
quelques précautions préliminaires.
Tout d’abord, vérifiez que votre matériel est compatible avec votre futur
système. En cas de doute, consultez le site de la distribution choisie.
Mandriva Linux met à disposition une base matérielle dans laquelle sont
recensés les matériels reconnus complètement, partiellement ou pas du
tout. Cette base est disponible à l’adresse www.mandriva.com/fr/hardware.
LE GUIDE COMPLET 15
Chapitre 1 L’installation
Ensuite, votre disque dur doit dispose d’assez d’espace libre pour
accueillir le nouveau système. Généralement, pour un poste de travail,
3 Go permettent d’installer les applications standards de bureautique,
multimédias, jeux et Internet. Un espace supplémentaire servira à
stocker vos données personnelles : la taille de cet espace dépend à la fois
de vos besoins et de la place disponible sur votre disque dur.
Démarrer l’installation
Pour débuter l’installation, insérez le CD d’installation de Mandriva One
Linux 2008 Spring dans le lecteur de CD-Rom, puis redémarrez votre
ordinateur.
Figure 1.4 :
Écran de démarrage
de l’installation
16 LE GUIDE COMPLET
Installation pas à pas Chapitre 1
LE GUIDE COMPLET 17
Chapitre 1 L’installation
Horloge système
Les horloges internes des systèmes informatiques sont usuellement
réglées sur l’heure universelle UTC, qui ne change, ni en fonction de
l’heure d’été et l’heure d’hiver, ni en fonction du fuseau horaire.
Malheureusement, les systèmes Microsoft ne suivent pas cette règle,
ainsi l’horloge système d’un PC sur lequel Windows est installé est
réglée sur l’heure locale.
18 LE GUIDE COMPLET
Installation pas à pas Chapitre 1
Partition et partitionnement
Le partitionnement consiste à découper un disque dur en plusieurs
parties appelées « partitions ». La taille et le nombre de partitions sont
fixés lors de l’installation de la distribution, pendant l’étape de
partitionnement.
LE GUIDE COMPLET 19
Chapitre 1 L’installation
20 LE GUIDE COMPLET
Installation pas à pas Chapitre 1
Paquetage
Un paquetage est un ensemble de fichiers et de dossiers préparés pour
une version donnée de la distribution. Cet ensemble permet d’installer un
logiciel ou une partie d’un logiciel.
La distribution Mandriva Linux utilise les paquetages au format .mdk.rpm.
LE GUIDE COMPLET 21
Chapitre 1 L’installation
Personnalisation du bootsplash
Cet écran de démarrage est paramétrable. Vous pourrez le remplacer
par l’image de votre choix.
22 LE GUIDE COMPLET
Installation pas à pas Chapitre 1
LE GUIDE COMPLET 23
Chapitre 1 L’installation
Figure 1.12 :
Choix des mots de passe
Figure 1.13 :
Gestionnaire de connexion
graphique
24 LE GUIDE COMPLET
Premier démarrage Chapitre 1
Majuscules et minuscules
La casse des nom et mot de passe est importante. Par exemple, les
noms paul et Paul sont distincts aux yeux du système : les majuscules
et les minuscules sont interprétées différemment par Linux.
Enfin, appuyez sur la touche [Ä]. Votre session s’ouvre et vous pouvez
utiliser tous les logiciels du système.
Nous verrons, dans la suite de cet ouvrage, qu’il est aussi possible
d’ouvrir une session en mode console sous une fenêtre de la session
graphique.
LE GUIDE COMPLET 25
Chapitre 1 L’installation
Figure 1.14 :
Mode console
26 LE GUIDE COMPLET
Le Bureau KDE
28 LE GUIDE COMPLET
Présentation de KDE Chapitre 2
LE GUIDE COMPLET 29
Chapitre 2 Le Bureau KDE
30 LE GUIDE COMPLET
Konqueror : le « couteau suisse » de KDE Chapitre 2
Tour d’horizon
Pour ouvrir une fenêtre Konqueror, double-cliquez sur l’icône Dossier
personnel installée sur le Bureau ou sélectionnez Dossier
personnel dans le menu K.
LE GUIDE COMPLET 31
Chapitre 2 Le Bureau KDE
Figure 2.5 :
Panneau de navigation
32 LE GUIDE COMPLET
Konqueror : le « couteau suisse » de KDE Chapitre 2
Panneau de navigation
Pour masquer ou afficher le panneau de navigation, sélectionnez le
menu Fenêtre dans la barre de menus et choisissez Cacher/Afficher le
panneau de navigation. Vous pouvez aussi utiliser la touche [F9] comme
raccourci clavier.
La navigation
Pour faciliter la navigation, il est possible d’utiliser deux techniques :
soit vous recourez aux onglets, soit vous scindez la fenêtre de navigation
en plusieurs autres fenêtres.
LE GUIDE COMPLET 33
Chapitre 2 Le Bureau KDE
34 LE GUIDE COMPLET
Konqueror : le « couteau suisse » de KDE Chapitre 2
Figure 2.9 :
Barre d’outils supplémentaire
LE GUIDE COMPLET 35
Chapitre 2 Le Bureau KDE
Les signets
Les signets sont des marque-pages électroniques : ils permettent de
retrouver rapidement les URL que voulez.
Pour ajouter un signet dans la liste des signets, naviguez vers l’URL en
question, sélectionnez le menu Signets dans la barre de menus et
choisissez Ajouter un signet (ou utilisez le raccourci [Ctrl]+[B]) pour le
placer en fin de liste.
Figure 2.10 :
Éditeur de signets
36 LE GUIDE COMPLET
Konqueror : le « couteau suisse » de KDE Chapitre 2
Au bout d’un certain temps d’utilisation, vos signets sont tous stockés
en vrac. Pour les organiser, sélectionnez le menu Signets dans la barre
de menus et choisissez Modifier les signets : une nouvelle boîte de
dialogue apparaît permettant de les manipuler. Il est vivement conseillé
de créer des dossiers et sous-dossiers pour s’y retrouver.
Le panneau de navigation
Le panneau de navigation permet
une navigation rapide parmi les
principales fonctionnalités de KDE.
Une barre verticale d’onglets permet
de passer d’une fonction à l’autre :
j Amarok permet d’obtenir une
vue sur le très riche lecteur
multimédia de KDE ;
j Signets permet d’afficher et
d’éditer les signets de manière
arborescente ;
j Historique permet d’afficher
l’historique de navigation web
et divers ;
Figure 2.11 :
j Dossier personnel permet Barre d’onglets du
d’afficher le contenu de votre panneau de navigation
dossier personnel ;
j Réseau permet d’organiser vos sites distants FTP ou web ;
j Dossier racine permet de naviguer dans votre système ;
j Services permet d’accéder ou de configurer les divers services de
KDE.
LE GUIDE COMPLET 37
Chapitre 2 Le Bureau KDE
Fichiers cachés
Pour afficher les fichiers cachés, qui commencent par un point (.),
sélectionnez le menu Affichage dans la barre de menus et choisissez
Afficher les fichiers cachés. Recommencez l’opération pour les masquer.
Type d’affichage
Figure 2.12 :
Menu Type d’affichage
Aperçu
Lorsque les fichiers sont présentés sous forme d’icônes selon leur type,
un aperçu est affiché à la place de l’icône standard permettant d’un seul
coup d’œil de visualiser leur contenu. Cependant, pour rendre ces
aperçus plus lisibles, il est souvent nécessaire d’augmenter la taille des
icônes en cliquant sur le bouton Augmenter la taille (voir Figure 2.13).
38 LE GUIDE COMPLET
Konqueror : le « couteau suisse » de KDE Chapitre 2
Figure 2.13 :
Menu Aperçu
LE GUIDE COMPLET 39
Chapitre 2 Le Bureau KDE
Navigateur web
Konqueror permet de naviguer sur les sites web. Il suffit de saisir
l’adresse d’un site dans la barre d’URL et de valider avec la touche [Ä]
pour faire apparaître la page concernée.
Navigateur multifonctions
Grâce aux KIO Slaves, Konqueror est capable de présenter diverses
informations à l’utilisateur.
40 LE GUIDE COMPLET
Konqueror : le « couteau suisse » de KDE Chapitre 2
Firewall et SSH
Ce protocole permet d’échanger des informations de manière sécurisée
entre deux comptes, mais votre firewall doit autoriser la connexion au
port SSH (par défaut 22) en mode TCP pour permettre le partage de vos
fichiers avec le reste du réseau.
LE GUIDE COMPLET 41
Chapitre 2 Le Bureau KDE
Fish est donc une très bonne adresse à retenir pour la navigation dans les
fichiers.
42 LE GUIDE COMPLET
Les composants de KDE Chapitre 2
Navigation réseau
La navigation dans les dossiers partagés sur le réseau s’effectue de la
même manière que la navigation locale dans les fichiers :
j les partages FTP sont disponibles à l’URL ftp://<adresse du
serveur> ;
j les partages de type Windows (SaMBa) sont disponibles à l’URL
smb://<adresse du serveur> ;
j les partages de type NFS sont disponibles à l’URL nfs://<adresse du
serveur>.
LE GUIDE COMPLET 43
Chapitre 2 Le Bureau KDE
Le fond d’écran
Vous pouvez effectuer la configuration du fond d’écran soit sur tous les
Bureaux à la fois, soit indépendamment sur chacun des Bureaux en
sélectionnant le choix correspondant dans la liste déroulante
Configuration pour le bureau. Un aperçu de la configuration courante du
fond d’écran est présenté à droite.
44 LE GUIDE COMPLET
Les composants de KDE Chapitre 2
Les fichiers ou les fonds d’écran choisis s’ajoutent alors à la liste des
images.
Le comportement
La configuration du comportement du Bureau se réalise sous trois
onglets :
LE GUIDE COMPLET 45
Chapitre 2 Le Bureau KDE
L’écran de veille
La rubrique Écran de veille présente une liste des écrans de veille
pré-installés. Vous pouvez configurer et tester l’écran de veille courant
en cliquant sur le bouton correspondant. Un aperçu de la configuration
courante est présenté à droite.
46 LE GUIDE COMPLET
Les composants de KDE Chapitre 2
Économie d’énergie
Les PC actuels disposent d’un mode d’économie d’énergie. Si celui-ci
est activé, il est pertinent de couper l’écran de veille pour ne pas
consommer des ressources inutilement. Si vous cochez la case Informer
l’écran de veille de l’économie d’énergie, le passage en mode économie
d’énergie coupe l’écran de veille.
L’affichage
La configuration des paramètres d’affichage de votre écran s’effectue
sous trois onglets :
j Taille et orientation gère la résolution, le taux de rafraîchissement
et l’orientation de l’écran (uniquement pour les écrans
orientables) ;
j Gamma du moniteur permet de calibrer l’écran en fonction des
échelles de couleurs que vous pouvez sélectionner dans la liste
déroulante Sélectionnez l’image de test à partir de la liste déroulante ;
j Contrôle de l’énergie permet de configurer les seuils de
déclenchement des diverses phases d’économie d’énergie.
Pour déplacer une fenêtre sur le Bureau en cours, cliquez sur sa barre de
titre, et, tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé, faites glisser
celle-ci puis relâchez le bouton pour déposer la fenêtre à l’endroit
désiré.
Pour déplacer une fenêtre vers un autre Bureau virtuel, cliquez avec le
bouton droit de la souris sur la barre de titre, et, dans le menu
contextuel, sélectionnez Vers le bureau puis choisissez le Bureau désiré.
Retrouvez la fenêtre déplacée en cliquant sur le Bureau virtuel
correspondant dans le tableau de bord.
LE GUIDE COMPLET 47
Chapitre 2 Le Bureau KDE
Pour configurer les paramètres des fenêtres, cliquez avec le bouton droit
de la souris sur la barre de titre de l’une d’entre elles. Dans le menu
contextuel, sélectionnez Comportement des fenêtres.
48 LE GUIDE COMPLET
Les composants de KDE Chapitre 2
LE GUIDE COMPLET 49
Chapitre 2 Le Bureau KDE
Passer le clic
L’action Passer le clic exécute le comportement lié au clic sur la
fenêtre. Sinon, le clic ne fait qu’activer la fenêtre.
50 LE GUIDE COMPLET
Les composants de KDE Chapitre 2
LE GUIDE COMPLET 51
Chapitre 2 Le Bureau KDE
j pour circuler entre les Bureaux, appuyez sur la touche [Ctrl], et,
tout en la maintenant enfoncée, appuyez sur la touche [˜] autant
de fois que nécessaire jusqu’à atteindre le Bureau désiré ;
j pour afficher la liste des fenêtres classées par Bureaux, appuyez
sur la combinaison de touches [Alt]+[F5]. Sélectionnez la fenêtre
désirée dans la liste pour l’afficher.
52 LE GUIDE COMPLET
Les composants de KDE Chapitre 2
LE GUIDE COMPLET 53
Chapitre 2 Le Bureau KDE
54 LE GUIDE COMPLET
Les composants de KDE Chapitre 2
Figure 2.25 :
Ajout d’un bouton
sur le tableau de
bord
Figure 2.26 :
Configuration du
tableau de bord
LE GUIDE COMPLET 55
Chapitre 2 Le Bureau KDE
Figure 2.27 :
Menu de gestion des plasmoïds
56 LE GUIDE COMPLET
Les composants de KDE Chapitre 2
Figure 2.29 :
Environnement des plasmoïds
Le sélecteur de fichiers
Parmi les composants les plus utilisés d’un environnement de Bureau
figure le sélecteur de fichiers, qui permet d’ouvrir et d’enregistrer les
fichiers.
LE GUIDE COMPLET 57
Chapitre 2 Le Bureau KDE
58 LE GUIDE COMPLET
Les composants de KDE Chapitre 2
LE GUIDE COMPLET 59
Chapitre 2 Le Bureau KDE
Figure 2.31 :
Lancement de
KWallet
60 LE GUIDE COMPLET
Les composants de KDE Chapitre 2
Par défaut, les applications ayant besoin des mots de passe de votre
portefeuille vous demandent, lors de la première ouverture de ce dernier,
le mot de passe qui lui est associé.
LE GUIDE COMPLET 61
Chapitre 2 Le Bureau KDE
62 LE GUIDE COMPLET
Changer le look du Bureau Chapitre 2
donc ici certains menus de configuration de ces éléments, qui ont été
présentés précédemment dans ce chapitre (reportez-vous à la section
correspondant à l’application pour en connaître les détails).
Enfin, voici les menus généraux sur lesquels nous allons nous attarder
dans cette section :
j Couleurs permet de configurer la palette de couleurs utilisée pour
la décoration ;
LE GUIDE COMPLET 63
Chapitre 2 Le Bureau KDE
Pour vous donner une idée du rendu final, cliquez sur le bouton Tester :
il simule un démarrage.
64 LE GUIDE COMPLET
Changer le look du Bureau Chapitre 2
Le plus difficile est de choisir un écran parmi ce vaste éventail. Une fois
cela fait, cliquez sur le lien Download et enregistrez le fichier dans le
dossier de votre choix. Le fichier est une archive contenant le Splash
Screen : vous n’avez pas besoin de l’extraire. Conservez-le tel quel.
LE GUIDE COMPLET 65
Chapitre 2 Le Bureau KDE
Figure 2.36 :
Exemple d’un écran de
démarrage disponible
sous KDE Look
Les thèmes installés par vos soins sont enregistrés dans le dossier
~/.kde/share/apps/ksplash/Themes et ne sont accessibles que par votre
compte. Si vous souhaitez rendre un thème accessible à tous les
utilisateurs de la machine, placez-le dans le dossier /usr/share/apps
/ksplash/Themes : un sous-dossier par Splash Screen est créé. Utilisez le
navigateur Konqueror avec le Kio Slave fish et l’utilisateur root pour
faire les copies de fichier.
Les couleurs
Il paraît que les goûts et les couleurs ne se discutent pas. Vous pouvez
modifier la palette de couleurs employée par KDE aussi souvent que
nécessaire (voir Figure 2.37).
66 LE GUIDE COMPLET
Changer le look du Bureau Chapitre 2
Figure 2.38 :
Sélecteur de
couleurs
LE GUIDE COMPLET 67
Chapitre 2 Le Bureau KDE
Les modèles installés pour votre compte sont stockés dans le dossier
~/.kde/share/apps/kdisplay/color-schemes. Vous disposez d’un fichier de
configuration par modèle de couleurs. Si vous voulez rendre accessible
ce modèle de couleurs à l’ensemble des utilisateurs de votre ordinateur,
copiez le fichier de configuration dans le dossier /usr/share/apps/
kdisplay/color-schemes. Utilisez le navigateur Konqueror avec le Kio
Slave fish et l’utilisateur root pour faire les copies de fichier (les droits
d’administrateur sont nécessaires).
Les icônes
Les icônes principalement utilisés par KDE, à savoir ceux de votre
dossier personnel, des autres dossiers, etc. peuvent être personnalisés. Il
suffit de sélectionner les thèmes disponibles sur votre ordinateur.
68 LE GUIDE COMPLET
Changer le look du Bureau Chapitre 2
Le style de KDE
LE GUIDE COMPLET 69
Chapitre 2 Le Bureau KDE
Les polices
Les polices permettent des effets de style différents.
Cliquez sur le menu Polices pour modifier l’aspect des textes. Dans la
boîte de dialogue qui s’affiche, la liste des éléments graphiques
nécessitant un texte est présentée. Pour chacune des catégories, vous
pouvez choisir indépendamment la police utilisée et ses caractéristiques
en cliquant sur le bouton Choisir en face de chacune d’elles. Le choix
effectué, cliquez sur le bouton Appliquer.
70 LE GUIDE COMPLET
Changer le look du Bureau Chapitre 2
Le témoin de démarrage
Lorsque vous lancez une application, le curseur comme la barre des
tâches affichent une animation vous permettant de patienter avant
l’ouverture de celle-ci.
LE GUIDE COMPLET 71
Chapitre 2 Le Bureau KDE
La notification du système
72 LE GUIDE COMPLET
Changer le look du Bureau Chapitre 2
LE GUIDE COMPLET 73
Les fonctionnalités
évoluées de KDE
Le type MIME
Type MIME
Le type MIME (Multipurpose Internet Mail Extensions) est un standard
qui a été inventé à l’origine pour permettre l’insertion de documents
dans un courrier électronique. Maintenant, le type MIME est aussi utilisé
pour typer les documents sous KDE.
76 LE GUIDE COMPLET
Augmenter la productivité grâce aux menus de services Chapitre 3
Un type MIME est constitué d’un type principal et d’un sous-type, notés
type_principal/sous_type : par exemple, les images JPEG sont de type
image/jpeg.
LE GUIDE COMPLET 77
Chapitre 3 Les fonctionnalités évoluées de KDE
Définition de l’action
Il est souvent nécessaire d’envoyer une image par courrier électronique.
Or il est possible, d’un clic de souris, de préparer un message et de lui
associer une pièce jointe.
78 LE GUIDE COMPLET
Augmenter la productivité grâce aux menus de services Chapitre 3
Ainsi, vous avez défini votre première action par son nom et le type de
fichier sur lequel elle porte. Ensuite, vous devez décrire les effets de
cette action sur le(s) fichier(s) sélectionnés.
Description de l’action
Pour décrire l’action attach, vous devez ajouter une section Desktop
Action au fichier de description :
[Desktop Action attach]
Name=Envoyer en pièce jointe
Icon=kmail
Exec=kmail --attach %u
LE GUIDE COMPLET 79
Chapitre 3 Les fonctionnalités évoluées de KDE
Il est possible d’ajouter le paramètre Icon pour placer une icône face au
nom de l’action dans le menu contextuel. Seul le nom de l’icône est
nécessaire.
80 LE GUIDE COMPLET
Augmenter la productivité grâce aux menus de services Chapitre 3
Enfin, l’action serait plus efficace si elle était applicable à tous les types
de fichiers. En ce sens, remplacez, dans le paramètre ServiceTypes du
fichier mail.desktop, image/* par all/allfiles.
LE GUIDE COMPLET 81
Chapitre 3 Les fonctionnalités évoluées de KDE
82 LE GUIDE COMPLET
Partager le bureau avec Krfb Chapitre 3
Traduction de KDE
Pour plus d’informations sur le projet de traduction de KDE, consultez
le site http://i18n.kde.org.
Si vous avez des facilités en traduction et du temps à consacrer à ce
projet, vous pourrez améliorer le taux de traduction des applications de
KDE.
LE GUIDE COMPLET 83
Chapitre 3 Les fonctionnalités évoluées de KDE
84 LE GUIDE COMPLET
Partager le bureau avec Krfb Chapitre 3
Expiration de l’invitation
Lorsque vous créer une invitation, elle n’est valable qu’une heure.
Au-delà de ce délai, les tentatives de connexion au partage de bureau
sont interdites. En revanche, une personne qui a réussi à se connecter
dans le temps imparti peut rester connectée aussi longtemps que vous le
souhaitez.
LE GUIDE COMPLET 85
Chapitre 3 Les fonctionnalités évoluées de KDE
86 LE GUIDE COMPLET
Partager le bureau avec Krfb Chapitre 3
LE GUIDE COMPLET 87
Chapitre 3 Les fonctionnalités évoluées de KDE
URL VNC
Une invitation par courrier
électronique contient une URL de la forme
vnc://invitation:<mot de passe>@<machine>. Si Figure 3.8 :
vous cliquez sur cette URL, la procédure Applet du partage
précédente sera effectuée plus rapidement. de bureau
Une fois la connexion établie, une applet s’ajoute sur le bureau de votre
interlocuteur dans la barre d’applets du tableau de bord Kicker. Celle-ci
permet de contrôler le partage du bureau et de couper la connexion à
tout moment.
Utiliser Krdc
88 LE GUIDE COMPLET
Partager le bureau avec Krfb Chapitre 3
LE GUIDE COMPLET 89
La bureautique
92 LE GUIDE COMPLET
OpenOffice.org Writer Chapitre 4
Cette description met en appétit, mais peu aussi faire peur tant la
quantité de fonctionnalités est grande. Cependant, rassurez-vous, Writer
est comparable aux autres produits de bureautique du marché,
notamment Microsoft Word, avec qui il est d’ailleurs compatible à 95 %.
Il offre une interface plus logique et plutôt intuitive. Vous allez
découvrir Writer progressivement.
Lancement
Sous Mandriva Linux 2006, OpenOffice.org Writer se lance simplement
depuis la barre d’icônes inférieure. Lors du premier lancement, une boîte
de dialogue vous demande quel est le type de fichier utilisé par défaut.
Vous pouvez aussi utiliser les formats de fichiers de Writer qui sont plus
standard, plus ouverts, et surtout qui prennent beaucoup moins de place
sur votre disque dur !
LE GUIDE COMPLET 93
Chapitre 4 La bureautique
Édition simple
Le fonctionnement de Writer n’est pas compliqué. Ce que vous saisissez
s’inscrit sur la page de votre document. Un menu contextuel est toujours
accessible d’un clic du bouton droit. Pour les fonctions plus générales,
une barre de menus est disponible en haut de la fenêtre.
94 LE GUIDE COMPLET
OpenOffice.org Writer Chapitre 4
Une règle simple s’applique : si vous avez fait une sélection (un mot,
plusieurs lignes), les modifications que vous réaliserez porteront
uniquement sur la sélection. Sinon, elles s’appliqueront à ce que vous
saisirez ultérieurement.
LE GUIDE COMPLET 95
Chapitre 4 La bureautique
96 LE GUIDE COMPLET
OpenOffice.org Writer Chapitre 4
Exploiter un document
Nous vous recommandons de sauvegarder régulièrement votre travail
sur le disque dur, en utilisant le menu Fichier/Enregistrer. Par défaut, les
documents sont enregistrés dans le dossier Documents de votre dossier
personnel.
Une fois que l’état de votre document vous paraît satisfaisant, vous
devez décider comment l’exploiter. Vous voudrez sûrement l’imprimer,
l’envoyer à une connaissance pour recueillir son avis, l’expédier par
e-mail, etc.
Pour exporter en PDF, cliquez sur l’icône PDF dans la barre d’outils ou
choisissez le menu Fichier/Exporter au format PDF.
LE GUIDE COMPLET 97
Chapitre 4 La bureautique
Édition avancée
Writer est un traitement de texte puissant et complet. Voyons quelques-
unes de ses fonctionnalités.
Insertion d’images
Writer permet d’incorporer des éléments externes au document courant.
Ces fonctions sont dans le menu Insertion. Choisissez Image/À partir
d’un fichier, puis cliquez sur une image. En guise d’exemple, nous avons
choisi /usr/share/pixmaps/splash/mdk-gnome-splash.png.
98 LE GUIDE COMPLET
OpenOffice.org Writer Chapitre 4
Figure 4.7 :
Propriétés
de l’image
Figure 4.8 :
Image rognée
LE GUIDE COMPLET 99
Chapitre 4 La bureautique
Démarrage
Lancez Impress : depuis le menu de KDE, choisissez Bureautique/
OpenOffice.org Impress. Il est possible que l’application vous demande
quel format de document elle doit utiliser par défaut. Si vous désirez
créer des présentations lisibles sous PowerPoint, choisissez ce type de
format. Vous gagnerez en compatibilité avec les utilisateurs de
Microsoft Windows, mais le format de fichier Powerpoint n’est pas
standard et prend plus de place que celui d’Impress.
Première présentation
Une présentation est un ensemble de diapositives. Par défaut, l’espace
de travail présente la première diapositive, qui est vide. Vous allez créer
une petite présentation afin de tester les possibilités d’Impress. Cette
présentation va porter sur le canal IRC français de Mandriva :
#mandrivafr. Un canal IRC est un salon virtuel où plusieurs personnes
peuvent discuter simultanément. Il s’agit de présenter ce canal à une
petite assemblée. Vous parlerez de son historique, de ses
caractéristiques, et indiquerez quelques chiffres sur la fréquentation du
canal.
Figure 4.14 :
Onglet Page 1
Figure 4.15 :
Format de
diapositive
Figure 4.16 :
Première
diapositive
remplie
Figure 4.17 :
Ajouter une diapositive
Comme vous le voyez, il est facile d’ordonner les idées grâce aux puces.
Pour indenter plus ou moins profondément une puce, utilisez la touche
[˜] et la combinaison [Maj]+[˜].
10 Ajoutez une troisième diapositive. Choisissez Titre, clipart, texte
comme type. La diapositive ainsi créée pourra incorporer une
image.
11 Double-cliquez sur le cadre image pour indiquer une image à
incorporer.
Figure 4.19 :
Troisième
diapositive remplie
Habiller la présentation
Maintenant que la présentation a un contenu, vous allez l’habiller
convenablement. Vous pouvez agir sur l’apparence de plusieurs
éléments : la diapositive elle-même (comme le fond), les textes (police,
couleurs), et les effets de transition. Il serait fastidieux de changer tous
ces paramètres pour chaque diapositive, surtout dans le cas de longues
présentations. Impress propose un mode spécial, où l’on ne voit pas le
contenu réel des diapositives, mais uniquement leur apparence. Il s’agit
du mode Arrière-plan. Un changement dans ce mode sera répercuté sur
toutes les diapositives.
Figure 4.22 :
Icône Mode Arrière-plan
Créer un dégradé
Pour créer un nouveau dégradé, choisissez le menu
Format/Remplissage/Dégradé.
Effets et interactions
Un effet peut s’appliquer sur un objet ou un groupe d’objets. Il permet
de modifier la manière dont l’élément apparaît sur la diapositive. On
distingue les effets généraux, qui influent sur la manière dont les objets
apparaissent, les effets qui portent sur les éléments de texte, et les effets
sonores.
Pour appliquer un effet sur un objet, cliquez du bouton droit sur l’objet
en question et choisissez Effet. Une boîte de dialogue listant les effets
disponibles apparaît.
Exploiter la présentation
Sauvegardez régulièrement votre présentation, au format le plus adapté à
vos besoins. En cliquant sur le menu Fichier/Enregistrer sous, vous
pourrez enregistrer votre travail dans divers formats, dont Microsoft
PowerPoint.
Lancement
Calc se lance comme les autres applications de bureautique, depuis le
menu K/Bureautique/Tableurs. Lors du premier lancement, Calc vous
demande le format de fichier à utiliser par défaut. Vous pouvez choisir
entre le format de Microsoft Excel ou celui de OpenOffice.org.
Saisie de données
La fonction première d’un tableur est de stocker et de traiter des
données numériques. Calc peut gérer votre comptabilité personnelle,
tenir à jour un catalogue, stocker des relevés de températures, calculer
des moyennes, etc.
Autre exemple :
1 Entrez 1 dans la cellule F3 et le chiffre 3 dans F4,
2 puis sélectionnez ces deux cellules. En utilisant le coin inférieur
droit de la sélection, étendez-la vers le bas.
Calc remplit les nouvelles cellules avec la suite des nombres impairs.
Vous pouvez aussi étendre la sélection horizontalement.
Calcul simple
Un tableur sert principalement à calculer. Le principe est simple :
certaines cellules ont pour valeur des nombres et d’autres cellules ont
pour valeur le résultat d’un calcul qui leur est associé. Ces calculs
s’appellent des formules.
En pratique, une formule s’écrit dans une cellule ; une fois validée, la
cellule prend comme valeur le résultat de la formule.
Pour calculer les termes de la suite, vous allez entrer la valeur des deux
premiers termes, à savoir 0 et 1. Entrez 0 dans la cellule C3, et 1 dans la
cellule D3.
Figure 4.29 :
Formule et calcul
Maintenant, vous allez entrer les formules pour les deux prochains
termes. Dans la cellule C4, saisissez la formule =C3+D3 et, dans la
cellule D4, entrez la formule =D3+C4. Les résultats apparaissent : 1 pour
la cellule C4 et 2 pour la cellule D4. Le calcul est juste, car 0 + 1
donne 1, et 1 + 1 vaut bien 2.
Figure 4.30 :
Extension de la sélection et formules
Mise en forme
Il est toujours agréable d’avoir des tableaux de chiffres mis en forme,
pour améliorer leur lisibilité, mettre en valeur certains résultats, voire
pour pouvoir communiquer ces résultats dans le milieu professionnel.
Enfin, un conseil : optez pour une mise en forme simple et sobre pour
que le contenu (les chiffres) ne soient pas "noyés" dans la mise en
forme.
Diagramme
Un diagramme est un moyen graphique de représenter des données
numériques. Il permet de rendre plus visibles certains résultats, de
pouvoir mieux comparer deux états. Vous allez créer un diagramme à
partir du tableau des desserts.
1 Tout d’abord, ajoutez une ligne au tableau, pour calculer la
moyenne des caractéristiques des desserts. Pour cela, cliquez sur
la cellule B12 et entrez la formule =SOMME(B7:B11)/5. Le
résultat vaut 12, qui est bien la moyenne du temps de préparation
de la colonne.
Figure 4.34 :
Icône de l’autopilote de formule
Création du modèle
Vous allez créer un document texte simple en cliquant sur le menu
Fichier/Nouveau/Texte.
Figure 4.39 :
Gérer les sources de données
Figure 4.40 :
Nouvelle source de données
Figure 4.41 :
Paramètres
de la source
de données
Figure 4.42 :
Navigation dans la source
de données
Figure 4.43 :
Insertion des
substituants
Sélection de l’en-tête
Veillez à bien sélectionner l’en-tête d’une colonne, et non son
contenu.
Substituant
Les substituants apparaissent sous la forme du nom de la colonne
correspondante de la source de données, entourés de caractères < et >, et
sur un fond gris. Cela permet de les reconnaître aisément.
Fusion
L’étape suivante est la fusion de la lettre type contenant les champs,
avec les données du classeur.
Pour ce faire :
1 Cliquez sur le menu Outil/Mailing.
L’outil de mailing permet de créer de multiples documents en
parcourant tout ou partie des données de la source et en les appliquant
au modèle choisi. Un nouveau document Writer va être créé pour
chaque enregistrement et les champs vont prendre la valeur de la ligne.
Le document résultant sera alors exploité "en sortie", c’est-à-dire, après
transformation.
Sortie
Sortie simple vers des fichiers
En premier lieu, vous allez effectuer une fusion de toutes les données. Il
s’agit de placer une sortie des lettres résultantes sous forme de fichiers
dans un dossier commun.
4 Pour cela, sélectionnez toutes les lignes du classeur : tout en
maintenant la touche [Ctrl] enfoncée, sélectionnez les lignes une à
une, ou bien cliquez sur le coin supérieur gauche de la vue du
classeur, ou encore sélectionnez la case à cocher Tous de la
rubrique Enregistrements, dans la partie inférieure gauche de la
fenêtre Mailing.
Figure 4.45 :
Résultat de la fusion
Vous pouvez en ouvrir un pour vérifier son contenu. Les champs sont
visibles car marqués en gris, mais ils n’apparaissent pas à l’impression
ou à l’exportation.
4.5. Résumé
Le multipostage avec Writer est plutôt facile. Il prend en charge de
nombreux types de sources de données, des fichiers "plats", jusqu’aux
bases de données relationnelles, via l’interface JDBC du langage Java
par exemple.
Configurer digiKam
Avant d’entrer dans le vif du sujet, voyons les quelques éléments de
configuration de l’application, dans le menu Configuration/Configurer
digiKam. La boîte de dialogue pour la configuration se présente sous
forme d’onglets :
Figure 5.3 :
Nouvel album photo
Un nouveau dossier, dont le nom est le titre de l’album que vous venez
de saisir, est alors disponible dans le dossier Mes albums photo.
Cet éditeur ne permet pas de réaliser des tâches plus avancées, comme le
détourage ou le trucage de photos. Pour réaliser ce genre de
manipulations, utilisez de préférence le logiciel The Gimp, dédié au
traitement d’images et très évolué. Il est intégré à votre distribution dans
le même menu que digiKam. Pour l’utiliser, rendez-vous sur le site
francophone des utilisateurs de The Gimp (www.gimp-fr.org). Vous y
trouverez des tutoriaux et des exemples de réalisations.
digiKam peut vous aider également à nommer vos photos. En effet, les
noms fournis aux images par les appareils photo numériques sont
généralement assez peu évocateurs du contenu des images. Aussi,
digiKam vous propose-t-il, durant le téléchargement, de les renommer
en fonction de critères de votre choix. Cliquez sur le bouton Avancé
puis sur Noms personnalisés. digiKam vous propose d’entrer un préfixe
qui s’ajoutera au nom des images. Vous pouvez mentionner la date et
l’heure de la prise de vue ainsi qu’un numéro de séquence.
3 Sélectionnez un album dans la liste proposée et cliquez sur le
bouton OK : le téléchargement débute. Une barre de progression
Catégories et sous-catégories
N’hésitez pas à créer autant de catégories que nécessaire. Par exemple,
dans la catégorie Personne, créez les catégories Famille, Amis. Puis, dans
la catégorie Amis, créez autant de catégories que d’amis que vous avez
photographiés.
Quand il s’agit d’une photo de groupe, cochez, lors de la saisie de vos
commentaires, les cases correspondant aux personnes photographiées.
La musique nous suit partout sur des baladeurs, des clés USB, des
ordinateurs, des supports physiques ou complètement numériques. Elle
est également diffusée via les ondes hertziennes, mais également sur
Internet.
Présentation et définitions
Prenons un exemple typique : le dernier album de votre artiste préféré
vient de paraître et vous avez acheté son CD le jour même de sa sortie.
Vous désirez, d’une part, effectuer une copie de l’album au cas où le
disque s’abîmerait ou pour l’écouter dans votre voiture, et d’autre part,
transférer le contenu de l’album sur votre nouveau baladeur numérique,
qui permet d’écouter de la musique compressée pendant plusieurs
heures.
Dans un cas comme dans l’autre, vous allez utiliser votre ordinateur. Il
s’agit de transférer les titres de votre CD vers votre machine, puis à
redistribuer la musique vers votre baladeur, à faire une copie ou à
envoyer un extrait à l’un de vos amis par Internet, etc.
Ripper et encoder
Transférer la musique d’un CD audio vers un ordinateur consiste à lire
les pistes du CD sur l’ordinateur et à écrire leur contenu dans des
fichiers, un fichier correspondant à une piste. Cette opération s’appelle
"ripper".
Ogg Vorbis est un autre format de compression audio. Plus efficace que
le MP3, il est libre et ouvert, et ne fait pas l’objet d’un brevet. Il est
moins répandu que le MP3, mais il commence à être connu, surtout des
audiophiles. De plus en plus de matériels (y compris des baladeurs
numériques) prennent en charge ce format.
Sound Juicer
Sound Juicer est un utilitaire simple, facile d’utilisation, qui transforme
un CD audio au format Ogg Vorbis. Il est disponible dans votre
distribution Mandriva 2006.
Figure 5.9 :
Progression de l’extraction
Grip
Grip est sans nul doute le logiciel le plus utilisé pour ripper des CD.
Historiquement, il est l’un des premiers à proposer une interface
graphique agréable, une grande quantité de fonctionnalités, et il est
facile à exploiter.
Figure 5.13 :
Configuration
de l’encodeur
Figure 5.14 :
Sélection de l’encodeur
Ripper simplement
Si vous désirez simplement stocker les pistes de votre CD sur votre
ordinateur pour les écouter à l’aide d’un lecteur de fichiers musicaux,
nous vous recommandons de les encoder en Ogg Vorbis. Ainsi, ils
prendront peu de place et seront faciles à organiser.
Si, en revanche, vous désirez extraire les pistes audio de votre CD pour
en faire une copie exacte, nous vous recommandons d’utiliser
directement un logiciel de copie de CD comme K3B.
Rip
Rip est un petit utilitaire en mode console permettant de ripper et
d’encoder un CD audio. Il est plutôt réservé aux utilisateurs avancés, car
il n’offre pas d’interface graphique. Selon la distribution ou les options
de compilation, les formats pris en charge par Rip varient.
Lancement et interface
Amarok peut se lancer depuis la barre des tâches, ou bien à partir du
menu K/Multimédia/Son.
L’onglet Contexte
Cet onglet présente un résumé sur les morceaux écoutés récemment, un
onglet En Cours, qui indique le morceau actuellement joué, un onglet
Paroles, qui permet d’afficher les paroles du morceau, et un onglet
Artiste, qui construit une fiche signalétique de l’artiste.
Figure 5.16 :
Paroles de l’album
Figure 5.17 :
Informations sur l’artiste
L’onglet Collection
Cet onglet présente l’intégralité des morceaux de musique de
l’ordinateur actuellement référencés par Amarok. La première fois,
Amarok construit la collection, en vous demandant quels dossiers
consultés et surveillés.
Figure 5.18 :
Votre collection de musique
Une autre classe de listes de lecture existe également : il s’agit des listes
de lecture dynamiques : générées et maintenues par Amarok, elles
permettent de tenir à jour une liste de pistes suggérées, ou bien de
constituer une liste de morceaux au hasard.
Figure 5.19 :
Listes de lecture
De plus, des listes peuvent être importées depuis des Podcasts dans la
classe Balados.
L’onglet Périphérique
Cet onglet permet de connecter un baladeur numérique iPod d’Apple à
Amarok. Il sera détecté et reconnu comme une source de fichiers
musicaux, au même titre qu’une autre.
L’onglet Fichiers
Cet onglet est simple : il offre un gestionnaire de fichiers pour parcourir
l’ensemble des dossiers à la recherche d’un morceau. Il est rarement
utilisé une fois la collection générée, car cette dernière et les listes de
lecture permettent de classer automatiquement les albums.
Écouter un morceau
Amarok fournit plusieurs moyens de sélectionner des morceaux à
écouter, et plusieurs modes de lecture.
Enfin, une liste de lecture peut réunir les morceaux d’un style de
musique précis, comme le rock ou le jazz.
Figure 5.20 :
Mode dynamique
Figure 5.21 :
Répétition
Figure 5.22 :
Mode aléatoire
MusicBrainz et last.fm
MusicBrainz est une base de données en ligne et un site web associé, qui
permet d’obtenir de nombreuses informations sur un morceau, un album
et un artiste. MusicBrainz permet également aux internautes d’enrichir
leurs bases de données.
last.fm est une base de données en ligne et un site web qui permettent de
se constituer un profil. Le principe est simple mais intelligent : vous
Amarok automatise tout cela. Il est inutile de saisir le titre des morceaux
que vous écoutez : Amarok envoie à last.fm la liste des pistes jouées.
Amarok peut également récupérer le titre des morceaux suggérés par les
utilisateurs de last.fm qui ont un goût similaire. Bien sûr, il faut un peu
de temps et une collection fournie. Les paramètres de last.fm sont
présents dans le menu de configuration d’Amarok.
Les outils
Le gestionnaire de jaquettes
Amarok peut récupérer la jaquette de l’album contenant le morceau en
cours de lecture. En ce sens, cliquez sur l’icône du morceau en question
Créer un diaporama
Une fois votre album réalisé, vous pouvez visualiser vos photos grâce au
navigateur de digiKam, qui les liste sous forme de miniatures. De plus,
vous pouvez les mettre en scène dans un diaporama, puis organiser une
projection.
Figure 5.26 :
Créer un diaporama pour présenter
vos photos
Vous pouvez également configurer le type d’accès aux photos sur votre
espace Flickr, à savoir privé (nécessitant une authentification pour les
visualiser) ou public.
5 Enfin, cliquez sur le bouton Ajouter. Le transfert démarre alors.
Vous pouvez suivre l’opération grâce à une barre de progression.
La qualité des DVD est nettement supérieure à celle des cassettes VHS.
On peut comparer la vidéo numérique et le DVD avec la musique
numérique et le CD : meilleure qualité d’enregistrement et support
moins fragile.
Pour éviter un écran noir lors de la lecture d’un fichier vidéo, vous
pouvez installer les paquetages suivants : win32-codecs, xine-win32 et
avifile-win32.
Enfin, les DVD permettant une interaction plus poussée avec le film,
vous pouvez choisir la bande-son, les sous-titres et utiliser les menus du
DVD. Ces fonctionnalités sont accessibles depuis le menu Lecture de
Kaffeine.
Que le fichier vidéo se trouve sur votre CD ou sur votre disque dur n’a
pas vraiment d’importance en réalité, la démarche est la même, quel que
soit l’endroit où est stockée votre vidéo.
Utiliser Totem
Totem est aussi un lecteur vidéo très populaire utilisé plus souvent dans
l’environnement de bureau Gnome.
Figure 6.3 :
Interface de Totem
Son interface graphique est plus épurée que celle de Kaffeine. La plus
grande partie de la fenêtre est occupée par le film. En dessous, les
boutons classiques de contrôle permettent d’avancer à la piste suivante
ou précédente, et une barre d’avancement permet de se déplacer dans le
film.
Entrelacement
Certaines vidéos sont entrelacées, c’est-à-dire qu’il faut deux images
du film pour constituer une image visible complète. Cette manière
d’afficher les images provient des téléviseurs, dont les modèles basiques
fonctionnent en mode entrelacé. L’avantage est qu’il y a besoin de deux
fois moins d’informations par image, mais la qualité du film est moins
bonne. De plus, quand le film est joué sur un ordinateur, cela pose un
problème : les moniteurs des ordinateurs ne fonctionnent pas en mode
entrelacé. Il faut donc le cas échéant demander à Totem de désentrelacer
le flux vidéo avant de l’afficher.
Figure 6.4 : Liste des sorties vidéo prises en charge par mplayer
Pour connaître quelles sorties vidéo sont reconnues par mplayer, lancez
la commande suivante :
[paul@monpc ~]$ mplayer –vo help
Pour voir le résultat de la librairie caca, au moins une fois dans sa vie
d’utilisateur de Linux, lancez la commande suivante :
[paul@monpc ~]$ mplayer nom_de_fichier –vo caca
L’onglet Encoder est le dernier avant que DVD::rip ne lance les calculs
de transcodage du film.
10 Choisissez le conteneur.
Cependant, ce dernier format n’est pas encore reconnu par tous les
lecteurs multimédias, notamment sous Windows.
Une fois transcodée, la vidéo peut être récupérée dans le dossier avi (ou
ogg) du projet.
Graver un CD de données
Commencez par un CD de données :
1 Cliquez sur le bouton correspondant, en bas de la fenêtre.
Le contenu du CD vierge apparaît. Pour l’instant, il n’y a rien.
2 Copiez et collez simplement des fichiers depuis le gestionnaire de
fichiers au-dessus.
Graver un CD audio
Pour graver un CD audio, procédez ainsi :
1 Cliquez sur le bouton correspondant dans l’interface initiale de
K3B.
Elle est initialement vide, mais vous pouvez y glisser des pistes audio.
Copier un CD
Si vous désirez copier intégralement un CD, le bouton Copier un CD de
l’interface initiale de K3B est ce qu’il vous faut.
Figure 6.16 :
Création d’une
image
Figure 6.19 :
Installation de Freevo
Configurer Freevo
Si l’interface de Freevo est conviviale et ergonomique, sa configuration
n’est disponible qu’en ligne de commande. Elle consiste essentiellement
à modifier le fichier local_conf.py. Si vous modifiez ce fichier tel qu’il
existe dans le dossier /etc/freevo, les modifications seront valables pour
tous les utilisateurs. Vous pouvez également décider de ne le modifier
que pour votre utilisateur. Dans ce cas, le premier lancement de Freevo
crée un répertoire /home/user/.freevo. Copiez le fichier cité dans ce
répertoire :
cp /etc/freevo/local_conf.py /home/user/.freevo
Utiliser Freevo
Passez maintenant à l’utilisation de Freevo. Lancez l’application (voir
Figure 6.20).
Figure 6.20 :
Le menu général de
Freevo
Figure 6.21 :
Le menu Télévision
de Freevo
Figure 6.22 :
Regarder des vidéos
Figure 6.23 :
Accéder aux
ressources audio
Figure 6.24 :
Affichage des
informations
concernant
un fichier
audio
Webradio
Les webradios sont des stations de même type que les radios FM,
mais elles sont diffusées sur Internet via un streaming audio. Il en existe
des milliers car, grâce à Internet, n’importe qui peut créer sa propre
station de radio. Votre distribution propose d’ailleurs les logiciels
nécessaires pour y parvenir. Attention toutefois aux droits qui restent à
payer dès lors que vous procédez à de la diffusion de musique non
libre !
Figure 6.26 :
Regarder ses photos
avec Freevo
Figure 6.27 :
Consulter la météo
sur Freevo
Pour communiquer entre eux, les ordinateurs ont besoin d’être reliés
physiquement et de parler la même langue. Dans l’univers quotidien, on
fait la distinction entre un réseau local et Internet. Si nous devions
risquer une analogie, Internet serait comme une gigantesque cour
d’école où chacun peut s’exprimer, discuter, communiquer, mais aussi se
disputer, voire se faire du mal.
Connaître les spécificités d’un réseau n’est pas primordial pour une
utilisation normale de l’ordinateur. Retenez seulement que c’est un
système "en étoile", c’est-à-dire que tous les messages passent par un
point, le switch. Chaque ordinateur a une adresse IP, qui est une suite de
quatre nombres, allant de 0 à 255, et qui définit de manière unique
l’ordinateur sur le réseau. Cependant, pour plus de facilité, un système
de nommage fait correspondre chaque adresse à un nom, plus facile à
retenir.
Figure 7.1 :
Lancement du Centre
de contrôle à partir de
la barre de menus
Figure 7.4 :
Nouvelle connexion
Figure 7.5 :
Choix de l’interface
réseau
Figure 7.7 :
Attribution manuelle
– Paramètres
réseau
La connexion par ligne téléphonique est l’une des plus anciennes, avec
le RNIS. Il s’agit de faire circuler les informations sur la ligne
téléphonique normale, à la place de la voix. La ligne RNIS utilise des
lignes différentes et un système de canaux plus évolués permettant
d’établir la connexion rapidement et à la demande, mais le principe
général reste le même. Ces types de connexions ont le mérite d’exister et
sont compatibles avec tout type de ligne, pourvu qu’on ait un modem
pour transformer les signaux électroniques en signaux analogiques.
Cependant, ces types de connexions sont chers et surtout très lents
(généralement 64 Kbit/s par ligne pour le RNIS et 56 Kbit/s pour le
modem téléphonique classique).
La connexion par satellite n’est vraiment pas répandue, car elle induit
des temps de latence plutôt élevés (il faut envoyer les informations
jusqu’au satellite) et le prix des équipements est plus onéreux que les
autres solutions. Cependant, dans certaines zones, c’est la seule façon de
se connecter avec un débit plus élevé que la connexion par modem
téléphonique.
ADSL
Pour la configuration de la connexion par ADSL :
1 L’Assistant vous demande de sélectionner la carte réseau utilisée
(si vous en avez plusieurs)
2 Puis, il vous invite à choisir votre fournisseur d’accès dans une
liste.
Câble
La connexion par câble est en fait une connexion par DHCP avec une
petite subtilité.
Modem
La connexion par modem nécessite un peu plus de configuration.
1 Branchez et allumez votre modem s’il est externe.
6 Laissez les paramètres des autres écrans par défaut, jusqu’à la fin
de l’Assistant de connexion.
RNIS
Satellite
Si vous avez une connexion à Internet par satellite, sélectionnez la case
d’option Connexion DVB, et validez. Le Centre de contrôle essaie de
détecter une carte DVB présente. S’il échoue, vous devez spécifier
manuellement les paramètres de la carte. Le reste de la procédure
ressemble à la configuration d’une connexion à un réseau local. Le
mode le plus répandu est le DHCP.
Gestion de la connexion
Une fois configurée, la connexion peut être observée grâce à un outil de
surveillance.
Figure 7.14 :
Modification d’une connexion réseau
Figure 7.15 :
Suppression et reconfiguration d’une connexion
réseau
Figure 7.16 :
Définition les noms des machines
Si vous avez monté un réseau local de cinq machines pour partager des
fichiers ou jouer en réseau, il est pratique d’accéder aux autres
ordinateurs sans avoir à connaître leurs adresses IP. La gestion du nom
des hôtes sert à cela.
1 Lancez l’outil en cliquant sur le menu Gérer la définition des
hôtes du Centre de contrôle.
Interface localhost
Il s’agit d’une interface réseau virtuelle correspondant en fait à votre
propre ordinateur. C’est un moyen de faire du réseau localement sur une
seule machine, en quelque sorte. En pratique, les logiciels de type
clients-serveurs (telle l’interface graphique) ont besoin de cette interface.
Figure 7.17 :
Saisie du nom d’une machine
Proxy
Souvent, les réseaux locaux et, même certaines connexions directes à
Internet, utilisent un serveur mandataire ou serveur proxy. Un proxy est
un logiciel placé sur un serveur transmettant les requêtes entre deux
réseaux, par exemple entre un réseau local et Internet. Un proxy peut
mettre en place un système de cache (ainsi, les sites web les plus visités
peuvent être stockés localement), un système d’authentification (pour
pouvoir sécuriser l’accès à Internet depuis le réseau local),
l’enregistrement des transferts en vue de l’établissement de statistiques
ou de vérification d’utilisation de la connexion, et enfin différents types
de filtrages, sur le contenu notamment.
Figure 7.18 :
Utilisation d’un proxy
Conclusion
Nous n’avons fait qu’effleurer le monde complexe et intéressant des
réseaux et, par extension, d’Internet. Grâce aux outils de configuration
de Mandriva Linux, il est possible de se connecter simplement, même
par des "voies" rarement utilisées, telle la connexion par satellite, sans
avoir recours à des pilotes ou à des logiciels externes.
Le pare-feu
Un pare-feu est un logiciel mettant en place un système de filtrage
réseau pour contrer les méthodes d’intrusion à distance qui utilisent les
failles des services réseau ou Internet.
Mise en place
Le système d’exploitation Mandriva Linux propose un outil graphique
simple pour démarrer et administrer un pare-feu.
Par défaut, cette entrée spéciale est cochée, ce qui signifie que toute
connexion est autorisée et donc que le pare-feu est inactif. C’est
pourquoi les autres règles sont grisées : elles sont inaccessibles, car tout
passe par défaut.
Utilisation avancée
Figure 7.22 :
Pare-feu avancé
Ces lignes indiquent que le numéro de port est 115 et que les deux
modes de connexion TCP et UDP sont utilisés. Il ne reste plus qu’à
reporter ces informations dans la zone de saisie du mode Avancé de
l’outil de configuration du firewall.
2 Dans ce cas de figure, il faut écrire 115/tcp et 115/udp.
Activation
1 Une fois que vous avez choisi et activé les différents filtres,
cliquez sur le bouton OK en bas à gauche de l’écran.
Conclusion
L’outil de configuration du pare-feu est bien fait : il est fonctionnel,
simple d’utilisation pour les utilisateurs peu expérimentés, et propose un
moyen de configurer plus finement les filtres, si besoin est.
Figure 7.24 :
Nouvelle connexion
Figure 7.25 :
Choix du matériel
Cette même icône peut vous servir à configurer une nouvelle connexion
Wi-Fi. C’est en effet souvent utile dans le cas d’ordinateurs portables
qui sont amenés à se connecter à partir d’endroits différents. Pour ce
faire, cliquez du bouton droit sur l’icône de suivi du Wi-Fi et, dans le
menu contextuel, choisissez Gérer les réseaux sans fil (voir
Figure 7.28).
La fenêtre qui apparaît fait partie d’un outil Mandriva appelé Drakroam,
qui permet de gérer assez simplement les connexions Wi-Fi. Il liste
automatiquement l’ensemble des points d’accès vus par votre carte
Wi-Fi. L’interface propose essentiellement deux boutons de fonction :
j Configurer : après avoir sélectionné un point d’accès spécifique
dans la liste, cliquez sur le bouton Configurer. Vous êtes alors
redirigé dans l’Assistant d’ajout d’une nouvelle connexion,
paramétrée par défaut pour le Wi-Fi et la carte qui a détecté le
point d’accès. Suivez alors la procédure décrite dans ce chapitre.
Installation
La fenêtre liste les extensions que vous avez éventuellement déjà
installées. Pour en ajouter une autre, cliquez sur le lien Obtenir d’autres
extensions. Vous êtes alors redirigé vers le site officiel. Il propose une
série d’extensions utilisables sur le navigateur.
1 Dans le moteur de recherche prévu à cet effet, recherchez
l’extension nommée BlockXXX.
Configuration
Il faut maintenant configurer BlockXXX pour définir les sites autorisés
ou non. Pour ce faire, cliquez sur l’extension BlockXXX dans la liste, puis
sur le bouton Options.
Figure 7.32 :
Fenêtre d’options de BlockXXX
Figure 7.33 :
Configuration des
éléments bloquants
Figure 7.34 :
Remplacer les mots à bloquer par des étoiles
Le bouton Éditer la liste personnelle des mots à remplacer par des ***
ouvre une boîte de dialogue qui permet de cacher les mots non souhaités
dans une page, au lieu de bloquer complètement l’accès à la page.
Entrez un mot dans le champ prévu à cet effet puis cliquez sur le bouton
Ajouter. De la même façon, vous pouvez supprimer un mot de cette
liste.
Proxy
Un proxy est un serveur qui s’intercale entre Internet et une machine
cliente, entre deux machines, entre deux réseaux, etc. Il existe plusieurs
types de serveurs proxy. Celui qui nous occupe ici est un proxy filtrant.
Il intercepte toutes les requêtes web et les analyse. Il ne les transmet à
l’utilisateur final que si elles sont autorisées par la configuration.
Installation de Squid
Lancement de Squid
Vous devez maintenant relancer le service Squid pour que soient prises
en compte ces modifications.
1 Lancez le Centre de contrôle de votre ordinateur.
2 Cliquez sur l’onglet Système, puis sur l’icône Services.
La liste des services est présentée.
3 Cherchez Squid. L’état du service doit être réglé sur actif. Cliquez
successivement sur les boutons Arrêter et Démarrer faisant face à
Squid et attendez que l’état passe à actif.
4 Fermer le Centre de contrôle de votre machine en choisissant la
commande Quitter du menu Fichier.
Paramétrage du navigateur
Vous devez configurer votre navigateur pour l’utiliser.
1 Ouvrez Konqueror.
La navigation dans les pages web et la messagerie sont les services les
plus utilisés sur Internet. En effet, la recherche sur le Web permet
d’accéder à des informations du monde entier en un simple clic. Le
courrier électronique, quant à lui, est un moyen de correspondance
privilégié : quel que soit le nombre de messages envoyés, cela ne coûte
que le temps de les écrire.
L’interface de Konqueror
Lancez Konqueror en cliquant sur son icône. La fenêtre
de votre navigateur se présente de manière assez
classique.
Figure 8.1 :
Naviguer dans l’historique
Figure 8.2 :
Effacer le contenu de la barre d’URL
Pour gérer les onglets, cliquez du bouton droit sur l’un d’entre eux. Le
menu contextuel propose un certain nombre de commandes :
j Nouvel onglet : ouvre une nouvelle page sous forme d’un onglet
vierge. Vous pouvez alors télécharger une page web en saisissant
son URL dans la barre d’emplacement ou en faisant une sélection
dans la barre de signets ou dans la page d’historique du Panneau
de navigation.
j Dupliquer l’onglet : crée le double d’un onglet existant.
j Détacher l’onglet : supprime l’onglet sélectionné dans la fenêtre
courante de Konqueror et ouvre la page correspondante dans une
nouvelle instance de Konqueror.
j Fermer l’onglet : ferme l’onglet sélectionné.
j Recharger : recharge le contenu de l’onglet courant.
j Recharger le contenu de tous les onglets : actualise l’ensemble
des pages sous forme d’onglets.
j Passer à l’onglet : affiche un sous-menu montrant tous les autres
onglets. Si vous choisissez un onglet dans cette liste, il devient
actif.
j Fermer les autres onglets : ferme tous les onglets, sauf celui
sélectionné.
En vous abonnant à ces fils grâce à un lecteur prévu à cet effet, vous
pouvez donc consulter rapidement les dernières mises à jour d’un site
web et y accéder d’un simple clic.
Configurer Akregator
Avant d’enregistrer les premiers fils RSS, passons en revue les différents
éléments de configuration de cette application. Personnaliser au mieux
Options générales
Les options générales de configuration sont classées en trois grandes
rubriques : Global, Démarrage et Réseau.
Archivage
Apparence
j Fixe : une police dite "à chasse fixe" est telle que tous les
caractères ont une largeur identique.
Utilisation du navigateur
Figure 8.12 :
Choix du navigateur
Une fois vos choix réalisés, validez-les en cliquant sur OK. Vous pouvez
revenir rapidement à la configuration de départ en cliquant sur le bouton
Par défaut.
Figure 8.13 :
Ajouter un nouveau flux
RSS
Une fois le flux ajouté, vous pouvez le configurer. Pour ce faire, cliquez
du bouton droit sur le flux figurant dans la partie gauche de la fenêtre.
Un menu contextuel apparaît. Choisissez Modifier le flux. Vous avez
alors accès à une boîte de dialogue présentant sous deux onglets
l’ensemble des options à disposition.
L’interface de Kontact
4 Sauvegardez.
Figure 8.25 :
Configurer un
compte d’envoi
Figure 8.27 :
Configurer un
compte POP3
Si vous avez opté pour le protocole de réception IMAP, vous devez aussi
configurer votre compte. Vous trouverez des champs de configuration
comparables à ceux décrits précédemment (sur lesquels nous ne
reviendrons pas) et des champs particuliers :
j Charger les pièces jointes à la demande : lors de toute consultation
de ce type de compte, les messages restent stockés à distance.
Vous n’utilisez donc pas votre espace disque. Cette option permet
d’optimiser l’utilisation de votre bande passante et se justifie
Figure 8.31 :
Activer la mise en forme
HTML d’un message
Les filtres existants sont présentés sous forme de liste. Vous pouvez y
accéder en cliquant sur l’un d’entre eux pour en voir le contenu, le
modifier. Pour le supprimer, cliquez sur la croix rouge.
Nous avons vu ici une infime partie des possibilités de Kontact, à savoir
sa fonctionnalité "client de messagerie". Il reste à découvrir ses
fonctionnalités d’agenda, de carnet de notes et de carnet d’adresses.
Elles sont utilisables dans un contexte domestique, mais aussi en
entreprise si vous activez le partage de toutes les informations gérées par
Kontact (ce type de partage est généralement géré par des applications
de type groupware).
Plusieurs logiciels ont été développés pour éliminer ces spams. Certains
tournent du côté du serveur de courrier électronique (chez votre
fournisseur d’accès à Internet par exemple), d’autres fonctionnent du
côté client (votre ordinateur). Il est possible de coupler ces types de
SpamAssassin et Kontact
SpamAssassin est probablement le logiciel anti-spam libre le plus connu
et utilisé du côté client. Il est écrit en langage Perl, ce qui permet une
évolution rapide et de bonnes performances. Il est destiné aux systèmes
Unix (et donc Linux), mais existe également sous Windows. Il est
robuste, rapide, et surtout efficace. Il combine un système de filtrage de
contenu et un système d’apprentissage bayesien. Il peut également
utiliser des listes noires et des listes de spams en ligne (et ainsi mettre à
jour ses filtres). Nous allons nous intéresser à l’activation de
Figure 8.37 :
Boutons de gestion
des spams
La plate-forme LAMP
Nous allons voir dans un premier temps l’installation et la mise en
service d’une plate-forme LAMP (Linux Apache MySQL PHP). Ce type
de plate-forme est aujourd’hui le support de nombreuses applications
web, dont Dotclear. Nous supposons que votre distribution Linux est
déjà installée. LAMP comprend :
j Un serveur web (Apache) : il met les pages à disposition sur le
Web.
j Un serveur de base de données (MySQL) : il permet de stocker
l’ensemble des données d’une application reposant sur ce mode
de fonctionnement. Vous pouvez stocker des données récupérées
lors d’échanges avec le visiteur via un formulaire par exemple et
les remettre à disposition en les affichant dans une page web,
quelle que soit la forme choisie. Concernant Dotclear, il
contiendra l’ensemble des articles et commentaires écrits sur le
blog, par exemple.
j Un langage pour exécuter des actions données (PHP) : PHP est un
langage de scripts conçu initialement pour le Web. Il permet de
réaliser un certain nombre d’actions, comme afficher une page
contenant des données issues de la base MySQL.
La fondation Apache
La fondation Apache a été créée en juin 1999 et ses membres sont
issus du groupe de développement qui a vu naître le serveur web portant
le même nom. La fondation gère aujourd’hui une trentaine de projets
libres. Elle a pour but de fournir à ces projets l’ensemble des
infrastructures matérielles, organisationnelles, de communication, etc.
nécessaires à les faire vivre. La fondation ("non profit organization")
recueille des donations mais permet aussi de bénéficier d’une protection
juridique pour faire respecter les licences adoptées pour le code des
projets. Elle garantit que le serveur web que nous voyons dans le
cadre de cet ouvrage restera libre.
Vous pouvez alors démarrer votre serveur MySQL, comme vous l’avez
fait pour Apache précédemment.
/var/www/html/index.html http://ma_machine
/var/www/html/appli/index.html http://ma_machine/appli
Sécuriser l’authentification
Il est important que le fichier contenant les données d’authentification
qui conditionnent l’accès à votre espace protégé ne soit pas créé dans
des dossiers accessibles par le Web (ici un sous-dossier de
/var/www/html). Générez-le dans un dossier uniquement accessible à root
en écriture. Sans ces précautions, l’authentification mise en place risque
fort d’être contournée.
Téléchargement
Nous allons donc travailler à partir de sources non packagées pour
Mandriva. Vous les récupérerez sur le site officiel de Dotclear, www
.dotclear.net, dans la rubrique Téléchargements.
Installation
Configuration
La partie de l’installation de Dotclear nécessitant le recours à la ligne de
commandes est maintenant terminée. La suite de la configuration est
réalisée grâce à un navigateur web.
1 Ouvrez Mozilla-Firefox par exemple et saisissez dans la barre
d’URL http://adresse/dotclear/install.
Chat et Nétiquette
Lors d’un chat, comme sur nombre de forums, des règles de base sont
à respecter. Ces règles sont souvent regroupées sous la forme d’une
charte. Le bon déroulement de ces discussions passe par le respect de
cette charte. Aussi est-il bon d’en prendre connaissance avant de
démarrer.
Figure 9.1 :
Kopete
Figure 9.2 :
L’interface de Kopete
Émoticônes
Ce terme est une des traductions de l’anglais smiley. C’est une
contraction des mots « émotion » et « icône ». Les émoticônes permettent
à l’utilisateur d’exprimer une humeur lors d’une conversation écrite au
moyen d’une série de signes ponctués. Ces combinaisons préenregistrées
sont alors automatiquement traduites en dessins. Ainsi, en tapant :) dans
la conversation, on obtient un sourire.
l’avez pas déjà fait vous pouvez cliquer sur le bouton Créer un
nouveau groupe.
3 À l’étape suivante, saisissez les identifiants nécessaires pour
contacter la personne.
Figure 9.8 :
Communiquez avec un contact enregistré
Figure 9.9 :
Figure 9.12 :
Choisissez le type
de connexion à
Internet
Parlez dans le micro : si le volume du son réagit, c’est que votre micro
fonctionne. Vous pouvez parallèlement changer le volume
d’enregistrement de votre micro en utilisant une application de gestion
du volume sonore externe, tel kmix.
10 Validez la fenêtre de l’assistant une fois les réglages terminés.
L’étape suivante est la sélection du gestionnaire vidéo.
Si vous avez une caméra (une webcam par exemple), elle sera reconnue
par V4L (Video for Linux).
11 Si vous n’avez pas de caméra, cliquez simplement sur Avant.
Figure 9.16 :
Interface de GnomeMeeting
Il est possible de créer des alias dans votre carnet d’adresses pour
appeler plus rapidement les correspondants avec lesquels vous dialoguez
souvent.
Pour pouvoir être contacté par d’autres utilisateurs, vous devez être
visible sur un annuaire ou bien vos correspondants doivent connaître
votre adresse précise. Cependant, nous vous recommandons de vous
enregistrer sur un annuaire ILS, c’est le moyen le plus simple et le plus
utilisé.
Codec
Acronyme de « codeur décodeur ». Un codec est une manière
d’encoder les données sonores ou vidéo. Il existe différents codecs qui
Une fois que le son ou l’image sont corrects, vous pouvez tester d’autres
codecs utilisant presque la même bande passante, pour tester celui qui
donne la meilleure qualité sur votre configuration. Surveillez la charge
de votre processeur pour éviter qu’il soit trop chargé.
Podcasting
Technique qui utilise les fils RSS pour diffuser des supports
multimédias.
Podcasting et podcatching
On distinguera ces deux termes. Le podcasting consiste à diffuser des
fichiers multimédias via un fil RSS ; le podcatching consiste à récupérer
ces fils au moyen d’un logiciel spécifique.
Figure 9.19 :
Ajouter un nouveau
podcast
Figure 9.20 :
Contenu d’un podcast
Buffer audio
Écouter une source audio via Internet nécessite de mettre en œuvre
des ressources importantes de bande passante, mais aussi de mémoire.
Aussi la plupart des logiciels de lecture audio et vidéo ont-ils recours à
un buffer ou « tampon ». Le logiciel charge toujours en mémoire une
partie (dont la taille est configurable) qui va ainsi être jouée en local,
d’où une écoute plus efficace.
Figure 9.23 :
Choisissez la langue de
l’interface
Installer liblame
Il reste un dernier point à configurer. Le format d’export de fichier audio
en MP3 n’est pas compris en standard. Le MP3 n’est en effet pas un
format libre.
Figure 9.26 :
Enregistrer du son avec Audacity
Figure 9.28 :
Compresser un enregistrement
Figure 9.29 :
Alimenter les tags du fichier
MP3
Le format XML
Le format XML (Extensible Markup Language, « langage de balisage
extensible ») est un standard du W3C (World Wide Web Consortium) tout
comme le HTML. Il sert lui-même à créer des langages. Il peut donc
être écrit sur des plates-formes différentes et des logiciels différents.
La partie de votre fichier XML présentée ici peut être considérée comme
fixe : elle ne nécessite presque pas de mise à jour, hormis les dates.
Vous pouvez tester le bon fonctionnement de votre fil, même s’il est
vide, en saisissant l’URL du flux dans Amarok, par exemple http/localhost
/~anne/podcast.xml (voir le point précédent).
Il vous reste maintenant à alimenter votre fil avec les fichiers récupérés
à l’étape précédente.
4 Tout comme vous avez défini le fil, définissez son contenu, fichier
par fichier, c’est-à-dire son intitulé, sa description et l’adresse à
laquelle le récupérer.
<item>
<title>Intitulé de mon fichier</title>
<description>Description de mon fichier</description>
<enclosure url="http://monsite.com/fichier.xml"
length="xxxx" type="audio/mpeg"/>
</item>
Les définitions sont à insérer les unes à la suite des autres, juste avant la
balise </channel>.
<item>
<title>Emma chante </title>
<description>Emma chante la chanson de Mimi
</description>
<enclosure url="http://localhost/~anne/podcast
/emma_mimi.ogg" length="7582266" type="audio/mpeg"/>
</item>
<item>
<title>Oui Oui</title>
<description>le personnage préféré d’Emma</description>
<enclosure url="http://localhost/~anne/podcast
/ouioui_interview.mp3" length="7582266" type="audio/mpeg"/>
</item>
</channel>
</rss>
Vous êtes maintenant prêt à diffuser vos fichiers audio à la manière d’un
blog.
Librairie
Une librairie contient des procédures utilisées par les applications qui
en ont besoin. De cette façon, plusieurs applications peuvent utiliser
conjointement les mêmes procédures d’une librairie.
Par exemple, une librairie peut contenir les procédures pour lire et écrire
des fichiers : les applications ayant besoin de manipuler des fichiers n’ont
qu’à faire appel à cette librairie partagée pour exécuter ces procédures.
de ceux-ci. Il est ainsi très facile d’identifier les dossiers ou les fichiers
volumineux, qui sont ceux prenant le plus d’espace.
Figure 10.3 :
Saisie du mot de passe
root
Dans le menu Options, sélectionnez Mode Expert pour afficher tous les
Assistants disponibles dans chaque section. Par défaut, seuls les
Assistants utiles à tous les utilisateurs sont présentés. Si vous voulez
faire le tour de toutes les fonctionnalités du Centre de contrôle, il est
conseillé d’installer les paquetages drakwizard-base et drakwizard.
Certains Assistants ont déjà été présentés dans les chapitres précédents.
Dans ce chapitre, nous allons examiner ceux qui permettent de réaliser
les opérations d’administration.
Figure 10.7 :
Type de média
EasyUrpmi et le PLF
Des paquetages non officiels pouvant poser des problèmes légaux dans
certains pays (surtout aux États-Unis) sont maintenus par l’équipe du
PLF (Penguin Liberation Front http://plf.zarb.org).
Figure 10.11 :
Sources PLF
Figure 10.12 :
Commandes Urpmi
Paquetages de base
Les paquetages constituant la base du système Mandriva Linux ne
peuvent pas être désinstallés. Un cadenas bleu est associé à ces
paquetages. Les autres icônes utilisés sont la coche verte pour les
paquetages installés, la flèche verte pour les paquetages sélectionnés
pour une installation et la flèche rouge pour les paquetages sélectionnés
pour une suppression.
Dans le cas contraire, réitérez la procédure : soit le mot de passe est trop
simple, soit les deux saisies du nouveau du mot de passe ne sont pas
identiques.
Pour chaque dossier et fichier, les droits d’accès sont affectés à chacune
des catégories d’utilisateurs suivantes :
j le propriétaire, souvent le créateur ou un utilisateur à qui la
propriété d’un dossier ou d’un fichier a été attribuée à un moment
donné ;
Figure 10.17 :
Droits d’accès
Il est possible de modifier ses droits d’accès en cliquant sur les listes
déroulantes correspondant à chaque catégorie d’utilisateurs.
Ajouter un utilisateur
Pour ajouter un compte utilisateur :
1 Ouvrez le Centre de contrôle, cliquez sur l’onglet Système puis
sur le menu Ajouter, supprimer ou changer les utilisateurs
système.
Mot de passe
Lors de la création d’un compte utilisateur, saisissez un mot de passe
simple. Dès sa première connexion, le nouvel utilisateur devra le
modifier.
Pour donner des droits d’accès identiques sur certains fichiers ou dossiers
à des utilisateurs membres de groupes disparates, vous pouvez les affecter
à des groupes supplémentaires. Par exemple, pour donner des droits
différents sur certains fichiers aux parents et aux enfants utilisant votre
machine, vous pouvez utiliser les groupes parents et enfants.
Figure 10.21 :
Nouveau groupe
d’utilisateurs
Un groupe tout juste créé ne contient aucun utilisateur. Pour lui ajouter
des utilisateurs, vous avez le choix entre deux méthodes :
Figure 10.22 :
Membres du groupe
Service et daemon
Un service est un script lancé automatiquement au démarrage du
système. Il peut être, à tout moment, arrêté ou redémarré. Les scripts
sont stockés sous le dossier /etc/init.d.
Souvent, un service démarre une application qui, une fois lancée, continue
à s’exécuter en tâche de fond : cette application est un daemon.
Gestion graphique
Via le Centre de contrôle, vous allez consulter, ajouter ou supprimer des
services sur votre système.
Pour ouvrir une session en mode console, appuyez sur les touches
[Alt]+[F1] (ou [Alt]+[F2], [Alt]+[F3]… [Alt]+[F6]). À l’invite de commande
login :, saisissez root et appuyez sur la touche [Ä]. Enfin, saisissez le
mot de passe de l’administrateur puis appuyez sur la touche [Ä].
Apache is running.
httpd2: 7287 7286 7285 7284 7283 7275
Tous les fichiers de log sont situés dans le répertoire /var/log. Il existe
souvent un sous-répertoire par service ou programme installé sur la
machine : Cups pour le serveur d’impression, httpd pour le serveur web.
Il existe par ailleurs un certain nombre de fichiers à connaître :
j auth.log : contient tous les messages liés aux processus
d’authentification ;
j boot.log : contient tous les messages liés au démarrage et à l’arrêt
de la machine ;
j messages : contient tous les messages générés par le système,
hormis ceux liés à la messagerie et à l’authentification ;
j syslog : contient les messages des services dont les logs sont gérés
par le daemon syslogd ;
j security : il s’agit d’un répertoire contenant une série de fichiers de
log, tous relatifs à des points cruciaux de la sécurité du système ;
j kernel : il s’agit d’un répertoire contenant des fichiers de log
relatifs au kernel (noyau) lui-même. Vous y trouverez des
informations sur les interactions du noyau, notamment avec le
matériel.
Figure 10.32 :
L’interface de xosview
Figure 10.33 :
Activer un thème SuperKaramba
Figure 10.34 :
La surveillance système grâce à SuperKaramba
Figure 10.36 :
Description de l’occupation
de vos partitions
La surveillance réseau
Dans la boîte de miniatures, vous disposez d’un icône relatif à la
connexion réseau. Cliquez avec le bouton droit de la souris et choisissez
Surveillance réseau dans le menu contextuel.
Dans notre exemple, les tests courts sont réalisés tous les jours à
2 heures du matin, et les tests longs, tous les samedis à 3 heures du
matin. En cas d’erreur détectée, un e-mail est envoyé à
utilisateur@domaine.com.
Commande Rôle
Commande Rôle
Figure 10.42 :
Enregistrement de l’accès
distant
Groupe de travail
Un groupe de travail, dans la terminologie Windows, désigne un
ensemble de machines qui s’échangent des fichiers et des ressources
d’impression.
Figure 10.50 :
Paramétrer un partage
Configuration de Cups
Avant de configurer le partage des imprimantes avec SaMBa, configurez
Cups. Tout se fait via une interface web.
1 Rejoignez, sur votre machine, l’URL http://localhost:631.
Vous avez alors accès à un certain nombre de liens qui permettent de
vérifier le bon fonctionnement de vos imprimantes, d’en ajouter ou d’en
supprimer.
2 Cliquez sur l’onglet Administration.
Vous allez maintenant ajouter une imprimante.
3 Cliquez sur le bouton Ajouter une imprimante (voir Figure 10.54).
La première étape consiste à décrire de manière générale votre
imprimante en spécifiant un nom de votre choix (sans espace) et des
commentaires qui apparaîtront par la suite dans l’outil d’administration.
À cette étape, vous devez choisir dans la liste déroulante le type d’accès
à l’imprimante. Il s’agit principalement du mode série, parallèle ou
USB.
5 Faites votre choix, puis cliquez sur Poursuivre.
11.1. Webographie
Les sites web traitant du système Linux, et plus généralement des
logiciels libres, sont assez nombreux. Cette sélection constitue une liste
de bonnes adresses à connaître.
Sites de tutoriels
j http://lea-linux.org : premier site francophone d’aide dédié à
GNU/Linux, il s’adresse aux débutants, mais aussi aux utilisateurs
plus avancés. L’aide est fournie sous forme de tutoriels, de
forums et de listes de diffusion, ainsi que de bases de logiciels, de
sites et de matériels relatifs au logiciel libre.
j http://framasoft.net : non directement lié à l’utilisation de
GNU/Linux, le site fournit toutefois une mine d’informations sur
le logiciel libre sur plate-forme Windows.
j http://traduc.org : site de l’association Traduc.org, qui a pour
objectif d’assurer le développement, la promotion et la diffusion
de documentation et d’interfaces en français pour les systèmes
d’exploitation, les logiciels et les standards libres.
j www.delafond.org/survielinux : tutoriel mis régulièrement à jour, il
fournit les éléments essentiels pour profiter pleinement de Linux.
Vous avez ainsi obtenu de l’aide (ici un extrait) sur la commande mkdir.
Man est réputé pour être le cauchemar des débutants ! Pourtant, il offre
d’une mine d’informations. Pour les décrypter, il suffit de disposer des
clés.
Man en français
Par défaut, man est installé en anglais. Pour plus de confort, il existe
une version traduite en grande partie. Pour en disposer, installez le
paquetage man-pages-fr.
Pour vous déplacer dans man sous Konqueror, vous ne devriez pas
rencontrer de problèmes. Si vous utilisez une console, voici quelques
clés :
Sites de documentation
Si vous ne trouvez pas de réponse sur votre système, vous trouverez des
informations plus exhaustives sur Internet. Les sites de documentation
sur GNU/Linux sont innombrables, mais souvent pointus et en anglais.
Il existe plusieurs types de sites. Tout d’abord, les sites des applications
elles-mêmes. Toute la documentation n’est pas forcément incluse dans
les paquetages. Aussi peut-il s’avérer utile de consulter ces sites. Vous
pouvez trouver l’URL correspondante dans la description du paquetage
visible dans le gestionnaire de logiciels. Ces sites disposent également
souvent d’une ou de plusieurs listes de diffusion, à réserver pour les
questions pointues.
Associations locales
La philosophie qui sous-tend le logiciel libre est le partage des
connaissances. À ce titre, les utilisateurs et développeurs de GNU/Linux
sont actifs toute l’année et peuvent vous être d’un grand secours pour
vous aider à démarrer et vous faire participer aux événements importants
relatifs à GNU/Linux.
11.3. Glossaire
Arborescence : Ensemble des fichiers et répertoires contenus dans les
systèmes de fichiers existants sur le système d’exploitation. Sa racine est
représentée par /.
des cas, d’un gestionnaire spécifique pour l’installation des logiciels, qui
tient compte de leurs interdépendances.
GNU (GNU Is not Unix) : Acronyme désignant le projet fondé par Richard
Stallman dans les années 80, dont l’objectif était de fournir un
environnement et des outils développés et diffusés sous licence libre.
MBR (Master Boot Record) : Premier secteur d’un disque dur. Du fait de
son positionnement, il est lu en premier au moment du démarrage de la
machine. C’est pourquoi, toutes les instructions nécessaires au
lancement du système d’exploitation sont placées généralement dans ce
secteur. Le choix d’un système d’exploitation, qui se fait avant son
lancement, est paramétré tout naturellement à cet endroit.
F DVD, 187
monosession, 189
Failles de sécurité, 225 multisession, 189
Ffmpeg, 181, 186 Track-at-Once, 189
Fichiers, 156 Grip, 147
de log, 369 Groupe d’utilisateurs, 403
Fils RSS, 258 ajouter, 360
Filtre, 129 liste, 361
base de connaissances, 282 GroupWise, 313
bayesiens, 283 Grub, 21
contenu, 282 GUL, 403
de messagerie, 278
SIEVE, 278
Firewall, 41, 208, 223
pare-feu, 223
H
Flash, 257 H323, 324
Flickr, 167 Htaccess, 297
Focus des fenêtres, 51 HTML, 287, 289
Fond d’écran, 44 HTTP, 223
Fondation Xiph, 185 Httpd.conf, 295
Format Hub, 209
caractères, 95
colonnes, 101
paragraphes, 96
tableau, 102 I
Formules, 113, 115 Icônes, 68
autopilote, 120 liste, 80
Fournisseur d’accès à Internet, 214, 217 ICQ, 314
Freevo, 195 ILS (annuaire), 324
FTP, 223, 230, 379 IMAP, 269
proxy, 223 Impress, 92
Imprimante, 389
Imprimer, 97
G aperçu, 97
Index, 296
Gadu-Gadu, 313 Insertion d’images, 98
Gestion de nouveaux flux RSS, 262 Installation
Gestionnaire défragmenter, 16
de démarrage, 15 démarrer, 16
de jaquettes, 159 partitionner, 19
Gnome, 177 préparation, 15
GnomeMeeting, 319 sauvegarde des données, 16
GPL, 13 Installer (logiciel), 352
Gratuit, 13 Internet, 208
Graver, 187 Invitation, 83
CD, 187 accepter, 86
CD audio, 193 créer, 84
CD de données, 191 IP, 209
Disc-at-Once, 189 adresse IP, 209, 213, 226, 289
P R
Page web, 252
PAL, 165 Réception hertzienne, 199
Panneau de navigation, 37 Requête, 289
Paquetage, 21 Réseau, 207
S
SaMBa, 230, 379 T
montage, 381
Table des processus, 368
Satellite, 219
Tableau de bord, 52
Scinder, 35
menu, 53
SDL, 180
Tableur, 112
SECAM, 165
TCP, 232
Sécurité (failles), 225
Témoin de démarrage, 71
Sélecteur de fichiers, 57
The Gimp, 137
Serveur
TNT, 175, 199
Cups, 231
Totem, 177
de proximité, 249
Traduction (KDE), 83
d’imprimantes, 389
Transcodage, 181
DHCP, 213
Transport de courrier, 272
FTP, 230
Tri, 130
LAMP, 286
TrollTech, 29
proxy, 222
web, 168, 229
Services, 225, 363, 366
SFTP, 230, 232
Signet, 36, 58
U
onglets, 37 UDP, 232
Smartmontools, 377 URL, 289
Smb, 380 Utilisateurs du groupe, 358
SMS, 314
SMTP, 268
Social engineering, 224
Sortie
V
audio, 180 V4L, 322
vidéo, 179 VCD, 165, 172