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Exercice Pollution
Exercice Pollution
Exercice Pollution
J D. grad(C.ω) τ
v
(2bis)
L d is t a n c e L
t1 t2
p o in t d 'in je c t io n
On constate que les concentrations se distribuent selon la loi normale. Si L² est la
variance de distribution des concentrations pour un écoulement mono-dimensionnel
(L²/2t) = constante = DL coefficient de dispersion longitudinale dans la seule direction.
Si la vitesse est constante, alors
2
DL L .v (6)
2x
x étant la distance au point d’injection.
Dans le cas de l’écoulement bidimensionnel :
2
DT T (7)
2t
DT= coeff. de dispersion transversale
On voit que le panache de pollution en 2D et un écoulement unidirectionnel aura une forme
elliptique en ce qui concerne la distribution des concentrations est statistiquement normale
selon les directions longitudinale et transversale.
Dans le domaine 3D, le panache de pollution sera un ellipsoïde de révolution si les 2
composantes transversales de la dispersion sont identiques et nettement inférieures à la
dispersion longitudinale.
On peut interchanger la statistique espace/temps par :
D L 2 v 2 .σ t 2 2 2
et D L v . T (8)
2t
Le coefficient de dispersion longitudinale peut ainsi être estimé à partir d’une courbe de
restitution d’un traceur.
PROBLEMES
2. Soit un écoulement entrant sur la face gauche d’un cube de grès de 1 m de coté avec une
vitesse horizontale de 10-5 m/s. La porosité = 0,10 et la diffusion effective du traceur qui
entre de 10-10 m2/s. Si le traceur possède des concentrations de 120, 100 et 80 mg/l
respectivement sur la face gauche au centre du cube et à la sortie sur la face droite,
calculer le flux massique passant sur le plan central du cube du à la convection seule
et à la diffusion seule. J en kg/m2.s
1 m
3. Une expérimentation sur une colonne de milieu poreux à l’aide d’un traceur permet de
mesurer la dispersivité à partir d’une courbe de restitution. On obtient une variance estimée
de la concentration en fonction du temps. Soit une colonne de matériaux poreux d’une
longueur de 56 cm. La courbe de restitution montre que le front de convection arrive à 82
minutes à la sortie de la colonne avec t2 = 5,5 min2. Calculer la dispersivité longitudinale
du matériau L (=DL/v).
F r o n t d e c o n v e c t io n
1
C/ Co
56 cm
8 2 m in te m p s
avec
x : la dispersivité longitudinale
erfc : la fonction complémentaire d’erreur
v : vitesse linéaire de l’eau = vitesse du traceur introduit
: terme qui a été négligé (pour Pe= (v.x/D) > 500, l’erreur est de 3%.
La quantité (x.v.t)1/2 est remplacée par (D.t)1/2 car D L α L .v
avec D, le coefficient de la dispersion hydrodynamique.
Si la diffusion est petite par rapport à la dispersion mécanique, le coefficient de dispersion #
x.v, la solution devient :
x v.t x v.t (15)
C v.x
C(x, t) 0 .erfc exp .erfc
2 2(D.t)
1/2
D
2 D.t 1/2
Si le nombre de Péclet croit très vite,
on ajoute cette partie
pour :
B erf(B) erfc(B)
0 0 1
0,5 0,52 0,479
2 0,84 0,157
1,5 0,966 0,033
2 0,995 0,0046
2,5 0,999 0,0004
3 0,9999 0,000002
F o n c t io n
B = 2 (D .t) 1 / 2
2
1 ,5 e rf( B )
1 1
5
0 0
-0 ,5 e rfc ( B )
-1 -3 0 3
B
(avec erfc ; fonction complémentaire d’erreur)
La courbe de restitution du traceur à la sortie de la colonne peut se mettre soit en fonction
du temps (A), soit pour un temps donné en fonction de la distance le long de la colonne.
Lorsque le rapport C/Co atteint la valeur de 0,5, on considère que le front de convection s’est
manifesté.
En ce qui concerne les fonctions erf et erfc, on fera les remarques suivants :
* erf(B) a une valeur comprise entre -1 et +1
* erfc(B) a une valeur comprise entre 0 et +2, mais elle ne dépasse 1 que pour des
arguments B négatifs.
Sur le plan physique, trois positions sont intéressantes à connaître :
- sur le front de convection, C = Co/2
- devant le front de convection, C = 0
- en arrière du front de convection, C = Co
* Sur le front de convection x = v.t, l’argument B = 0 et erfc(0) = 1, aussi C/Co = 0,5
* Devant le front de convection quand x >> v.t, erfc(B) = 0 et il n’y a pas de mélange. On
observe les concentrations originelles du fluide. Pour des raisons pratiques, si B>2 alors
C=0.
* A l’arrière du front de convection, B<0 et erfc(-) = 2, ce qui signifie que C=Co -
Pratiquement dès que B approche la valeur -2, erfc(-2) # 2.
Remarque : la solution analytique d’Ogata-Banks n’est utilisable qu’au laboratoire, car
quelque soit la distance entre le point d’observation et le point d’injection continue, on obtient
une concentration maximale équivalente à celle de l’injection. Cette condition n’est pas
réaliste sur le terrain, car apparaissent des phénomènes de retard liés à l’adsorption.
5. Un traceur est injecté dans une colonne de 0,30m de long avec une vitesse uniforme de
10-2 cm/s. les rapports C/Co de 0,42 et de 0,573 sont notés à 46,6 et 53,3 minutes après le
début du test. Quelle est la valeur la dispersivité longitudinale ?
On utilisera ici :
1 x vt
C erfc
2 α x .v.t
Co 2
A- L’équation du retard Rf
Dans le cas d’une sorption linéaire on pose :
D x . 2 C v x .C C (15bis)
R f .x 2 R f .x t
ou, 1 ω (15ter)
Rf 1 ρs.Kd
ω
avec Kd = le coefficient de distribution d’après l’équation linéaire isotherme de Freundlich.
S C
Kd.
t t
s = densité du solide (=2,65 g/m3 pour le sable)
6. Soient des dépôts fluvio-glaciaires recouvrant des granites. La partie inférieure est
sableuse et le set argileux. A quelle vitesse circulera un traceur radioactif Sr 90 ? on
donne la vitesse de filtration dans les sables = 1,85 c m/j, s (1-) = 1,9 g/cm3, CEC = 1,4
meq/100g, = 4,8 meq/l, = 0,35 et Ks = 1,3.
Tableau : Valeurs expérimentales du coefficient de distribution Kd en ml/g à 25°C et 0,1 Mpa (obtenues par
des essais en batch).
Eléments Sels Basaltes Tufs Granites
Tc 2 20 à 0 10 à 0 4
Pu 500 à 50 200 à 100 500 à 40 500 à 100
Np 30 à 7 50 à 3 50 à 3 50 à 1
I 0 0 0 0
U 1 6 4 4
Cs 1 à 800 300 100 300
Ra 5 50 200 50
sr 5 100 100 12
C 0 0 0 0
Am 300 50 50 200
Sn 1 à 50 10 à 100 50 à 500 10 à 500
Ni 6 50 50 10
Se 20 à 200 20 à 5 2 2
Cm 300 50 50 200
Zr 500 500 500 500
Sm 50 50 50 100
Pd 3 50 50 10
Th 50 à 100 500 500 500
Nb 50 100 100 100
Eu 50 50 50 100
Pa 50 100 100 100
Pb 2 25 25 5
Mo 0à5 10 à 4 10 à 4 5à1
L’équation reflète le régime permanent lorsque l’argument de erfc approche la valeur de -2.
L’équation s’écrit alors :
1 (21)
x 1 4λλ x 2
C C 0 . exp 1
2α x v
en effet erfc (-2)=2
Cela n’est possible que si le traceur est sans cesse renouvelé à l’entrée du système.
Le terme v représente la vitesse du contaminant qui peut être égale à la vitesse linéaire de
l’eau souterraine si le contaminant n’est pas retardé. Pour un contaminant qui présente un
certain retard, il faut utiliser V/Rf.
C- La dispersion transversale
Il faut parfois faire intervenir la géométrie de la zone d’injection du polluant: un point, une ligne verticale ou une
surface plane verticale.
y y y
Y
x x x
Z
z
z
x = v.t x = v.t
C a s a : é c o u le m e n t p is t o n C a s b : d is p e r s io n lo n g it u d in a le
s e u le
x = v.t x = v.t
C a s c : d is p e r s io n t r a n s v e r s a le C a s d : d is p e r s io n lo n g it u d in a le
s e u le e t t r a n s v e r s a le
Dans le cas de la dispersion transversale, les concentrations en régime permanent sont
toujours inférieures à Co, sauf en x = 0.
Pour le cas d’une source plane verticale Y x Z on pose :
C x v.t
y Y/2 erf y Y/2 .
C x, y, z t 0 .erf .erf
8
2α x .v.t 1/2 2 α y .x 1/2
y
2 α .x 1/2
(26)
z Z/2 z Z/2
erf erf
2α z .x 2α z .x
1/2 1/2
C x - v.t Y Z
C 0,0, t 0 erf .erf .erf (27)
2 2α x .v.t 1/2
4 α y .x 1/2
2α z .x 1/2
x' H Z 2 /α z (28)
x'
z
Pour des distances > x’, la distance x au
dénominateur de la fonction erreur en z
H est remplacée par x’.
Toute dispersion selon z est absente
pour x > x’.
(0 ,0 ,0 ) Y/ 2 a : s o u r c e p o n c t u e lle s a n s
Y/ 2 d is p e r s io n v e r t ic a le d a n s
Z le p la n h o r iz o n t a l
c : d is p e r s io n à p a r t ir
d 'u n e s o u r c e lin é a ir e
v e r t ic a le
(0 ,0 ,0 ) Y/ 2
Y/ 2
b : d e u x d ir e c t io n s d e
d is p e r s io n s e lo n z
s o u r c e d e t y p e s u r fa c e
v e r t ic a le p la n e
Y/ 2
Y/ 2
(0 ,0 ,0 )
Z/2
Z/2
z
y
x
7. Des déchets de diéthyle éther et de tétrachlorure de carbone ont été enterrés dans un
sable aquifère depuis 15 ans. Calculer les concentrations de chaque contaminant le
long d’un plan de symétrie du panache de pollution au point x = 225, y = 0 , z = 0 au
temps de 15 ans (= 4,73 10 8 s) ou 5475 h. la vitesse de l’eau est estimée à 10 -6 m/s. Le
facteur de retard respectif est de 1,5 et 27,4. Les concentrations à la source de
contamination sont successivement de 1.104 g/l et 5.102 g/l. La taille de la source de
contamination est de Y = 25 m et Z = 5 m. Les dispersivités sont estimées à X = 1m , Y =
0,1m et Z = 0,01m. On suppose que le panache de pollution se disperse selon les deux
directions z et les deux directions y. on fait appel ici à solution :
x vt
C0 Y Z
C x,0,0, t erfc .erf .erf
2 2
x .v.t
4
y .v.t
4
z .v.t
Les dimensions du nuage de polluant en les supposant issues d’un point sont données par :
3σ x 2D x .t 1/2 , 3σ y 2D y .t 1/2 et 3σ z 2D z .t 1 / 2
8. Un rejet accidentel de déchets radioactifs d’une activité totale de 1000 ci comprend 400 ci
de Cs137, 400 ci de Sr90, 100 ci Pm147 et 100 ci H3 avec des demi-vies respectives de 33 ans,
28 ans, 2,7 ans et 12,26 ans. Une rivière existe à 100 m à l’aval nappe du point de rejet
dans l’aquifère. Déterminer les temps mis par les contaminants pour atteindre la rivière
et les concentrations maximales atteintes. La vitesse de l’eau est de 10 cm/jour (1,16 10-4
cm/s).
Radioéléments Kd (ml/mg) Rf Dx (cm2/s) Dy = Dz
Cs137 10 47,6 10-4 10-3
Sr90 0,6 2,885 10-3 10-5
Pm147 100 476 10-5 10-5
H3 0 1 10-5 10-5
9. Un contaminant organique est déposé dans une tranchée pénétrant dans une nappe peu
profonde semi-infinie. Calculer la concentration du contaminant (qui est sans cesse
renouvelé) après 3 ans et à 10 m de distance de la tranchée continue.
x = 10m
C/ Co R f = 3 ,0
x = 4 ,3 m
=
100m g/ l
v = 2 ,3 1 1 0 -6 m / s
La programmation
Des programmes en Q BASIC peuvent être aisés à écrire pour les solutions
analytiques 1D, 2D et 3D avec le coefficient de retard, la décroissance en régime
permanent ou en régime transitoire.
2 x
erf(x) e .dx
π
10. Dans une zone polluée vous remarquez que les chlorures ont migré de 1000 m alors que
le cadmium ne s’est délacé que de 100 m. En supposant que ces deux éléments chimiques
aient été disséminés en même temps trouvez le coefficient de distribution Kd si a
porosité de l’aquifère est de 0,2 et sa densité s = 2,65.
Quel est le constituant qui se déplace le plus rapidement puis le plus long ?
Quel constituant montrera la concentration la plus faible puis la plus forte ?
Quel constituant donnera un panache le plus petit autour du point de
contamination dans le sens d’écoulement de la nappe… puis le panache le plus
grand ?
Quel constituant donnera un panache de pollution identique dans toutes les
directions ?
12. Une cellule de stockage de déchets dangereux a été construite dans une zone donnée.
Une zone tampon est nécessaire entre les tranchées de stockage et une limite donnée. Plus
de 200 constituants sont stockés avec des coefficients de distribution très variables.
Quelques années plus tard un piézomètre construit sur la limite de la cellule de stockage
montre une pollution de 6 m d’épaisseur et étendue sur une longueur de 60 m. La faible
perméabilité des matériaux ne permet pas de dispersion verticale.
Calculer la concentration maximum qui peut se manifester (en terme de Co) une fois
que le panache arrive sur le bord de la zone tampon qui est à 150 m de la limite du
stockage des déchets. Le coefficient de dispersion transversale est de 10 -3 m2/s et la
vitesse de 10-3 m/s.
13. Soit un écoulement des eaux souterraines à une vitesse linéaire de 15 cm/j. Estimer la
vitesse d’un contaminant organique ayant un coefficient de distribution Kd = 6,6 ml/g
dans un milieu poreux de porosité 0,35 et s = 2,65 g/cm3.
14. Un panache de pollution de bromoforme est issu d’une lagune et montre une longueur de
150 m. La lagune pénètre l’aquifère sur une distance de 5 m alors que l’épaisseur est de 15
m au total. Evaluer la distribution des concentrations dans la nappe au bout de 14 ans
avec :
la vitesse linéaire de l’eau souterraine, v = 1,6 10-3 cm/s ; les dispersivités X = 5m , Y = 0,5m
et Z = 0,1m ; Co = 4000 mg/l ; foc = 0,0045 ; log (Ko) = 2,38 ; porosité = 0,30 ; s = 2,65
g/cm3.
On ferra appel à la relation de Hasset (1983).
Résolutions numériques de l’équation de transport
avec
DD L δ C i 1 , j 2Ci, j C i 1, j t Δ t 1 δ C i 1, j 2Ci, j C i 1, j t
DD T δ C i, j1 2C i, j C i, j1 t Δt 1 δ C i, j1 2Ci, j C i, j1 t
CC 1 λ γC i 1, j t Δt 1 γ C i 1, j t 2λ 1 γC i, j t Δt 1 γ C i, j t λ γC i 1, j t Δt 1 γ Ci 1, j t
où = coefficient de pondération temporelle pour le terme dispersif ( 0 δ 1 )
= coefficient de pondération temporelle pour le terme dispersif ( 0 γ 1 )
= coefficient de pondération temporelle pour le terme dispersif ( 0 λ 1 )
On obtient un schéma implicite pour ( δ γ 1 ), un schéma explicite pour ( δ γ 0 ) et un
schéma centré en temps pour ( δ γ 0,5 ). De la même manière on obtient des schémas
décentrés en aval ( λ 1 ), des schémas décentrés en amont ( λ 0 ), des schémas centrés
en espace ( λ 0,5 ).
La discrétisation bidimensionnelle par la méthode des différences finies dans le domaine
concerné aux intervalles de temps et d’espace peut être réalisée par des cellules
rectangulaires en supposant des dimensions constantes ( Δx ) et ( Δ y ) respectivement en x
et y.
X
( i, j+ 1 )
( i-1 , j) n o e u d i, j
Y ( i+ 1 , j)
E p a is s e u r d e
l'a q u ifè r e
( i, j-1 )
z
y
Analyse de la stabilité
Au regard du choix des différents schémas de type différences finies, il existe plusieurs
critères pour le choix du pas de temps. L’un de ces critères est le critère de courant qui
exprime que la masse d’entrée dans une cellule par convection pendant un intervalle de
temps (t) ne peut pas être supérieure à la masse de sortie (Kinzelbach, 1986) :
Δt.u x Δt.u y
C0 x 1 et C0 y 1
Δx Δy
ou bien C0 x C0 y 1
ou C0 est le nombre de courant.
X X
( i, j+ 1 )
u. t
ux. t uy t
Y Y ( i, j)
( i, j) ( i+ 1 , j) ux. t ( i+ 1 , j)
C C t Δt C t 1 2C
- Δt ....
t Δt 2 t 2
C C t Δt C t 1 2 2 C
- u Δt ....
t Δt 2 x 2
C C x Δx C x - Δx 3C
0 Δx 2 .
t 2ΔΔ x 3
1 Δt 1 2 C
ε L uΔΔ σ u θ
2 Δx 2 x 2
2C
ε L D num
x 2
1 Δt 1
avec D num uΔΔ σ u θ
2 Δx 2
0 σ 1
0 θ 1
2C
D L D num u
C
C
x 2 x 2 t
D* D L 1
1 2
2uΔu 2u Δt
D* D L 1 2
2u Δ t
D* D L 1
1
2uΔ x 2u 2Δ t
C C S o lu t io n c a lc u lé e a v e c
S o lu t io n e x a c t e d is p e r s io n n u m é r iq u e
X S o lu t io n e x a c t e X
S o lu t io n c a lc u lé e
a v e c o s c illa t io n
u x u y y
Pe x x et Pe y ut
D xx D yy
p u it s d e p ié z o m è t r e
p o m p a g e (Q ) d 'in je c t io n
e1 Q1
e2 Q2
Zone de Nuage de
p o llu t io n p o llu t io n
C A 2C A C u 2C
α L ε α T
t r r 2 r r r 2 θ 2
1 2π
avec C r, t C r,θ, t dθ
2π 0
Q
A
2ππω
ε sign Q
ε 1
uA
r
u 2C
αT
r 2 θ 2
C A 2C A C
α L ε
t r r 2 r r
Ci t Δt Ci t α L A
DD
A
CC
Δt rΔΔ2 rΔΔ
avec DD δ C i 1 2C i 1 t Δt 1 δ C i 1 2C i C i 1 t
CC 1 λ γ Ci 1t Δ t 1 γ Ci 1t 2λ 1 γC i t Δ t 1 γ C i t γC i 1t Δ t 1 γ Ci 1t
0 δ 1
0 γ 1
0 λ 1
i, j+ 1 i+ 1 , j+ 1
i-1 , j+ 1
i-1 ,j i,j i+ 1 , j
X p t dt X p t u yΔt
Cij
Δ Cij
C p t dt C p t ΔC ij t
Quelques éléments de calcul d’une EDR santé
DEFINITION DES CONCENTRATIONS D’EXPOSITION
C s .IR.0,000001.EF.O.Z
DJE
BW.365
C s .B o .0,000001.EF
DJE
BW.365
avec B o C sol .0,07.10 6
C s .SA.Fs.SL.J.0,000001.EF.Z
DJE
BW.365
4.BW 7
avec SA
BW 90
DJE pour l’ingestion des légumes cultivés sur les sols pollués :
C vache.IR.EF
DJE
BW.365
DJE
IR
DJA
ERI DJE.ERU
4ème fenêtre :
5ème fenêtre :
6ème fenêtre :
7ème fenêtre :
8ème fenêtre :
B. Etape de calcul
1ère méthode :
2ème méthode: