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Capteurs Et Transmetteurs

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Capteurs et transmetteurs

1. Définitions
1.1. Le capteur

Un capteur est un organe de prélèvement d'information qui élabore à partir d'une


grandeur physique (information entrante), une autre grandeur physique de nature
différente (très souvent électrique). Cette grandeur représentative de la grandeur
prélevée est utilisable à des fins de mesure ou de commande.

1.2. Capteur actif

Fonctionnant en générateur, un capteur actif est généralement fondé dans son principe
sur un effet physique qui assure la conversion en énergie électrique de la forme
d'énergie propre à la grandeur physique à prélever, énergie thermique, mécanique ou
de rayonnement.

Les plus classiques sont :

 Effet thermoélectrique : Un circuit formé de deux conducteurs de nature


chimique différente, dont les jonctions sont à des températures T1 et T2, est le
siège d'une force électromotrice e(T1,T2).
 Effet piézo-électrique : L'application d'une contrainte mécanique à certains
matériaux dits piézo-électrique (le quartz par exemple) entraîne l'apparition
d'une déformation et d'une même charge électrique de signe différent sur les
faces opposées.
 Effet d'induction électromagnétique : La variation du flux d'induction
magnétique dans un circuit électrique induit une tension électrique.
 Effet photo-électrique : La libération de charges électriques dans la matière
sous l'influence d'un rayonnement lumineux ou plus généralement d'une onde
électromagnétique dont la longueur d'onde est inférieure à un seuil
caractéristique du matériau.
 Effet Hall : Un champs B crée dans le matériau un champs électrique E dans
une direction perpendiculaire.
 Effet photovoltaïque :Des électrons et des trous sont libérés au voisinage d'une
jonction PN illuminée, leur déplacement modifie la tension à ses bornes.
Grandeur physique à mesurer Effet utilisé Grandeur de sortie
Thermoélectricité Tension
Température
Pyroélectricité Charge
Photo-émission Courant
Flux de rayonnement optique Effet photovoltaïque Tension
Effet photo-électrique Tension
Force
Piézo-électricité Charge
Pression
Accélération
Induction électromagnétique Tension
Vitesse
Position (Aimant)
Effet Hall Tension
courant

1.3. Capteur passif

Il s'agit généralement d'impédance dont l'un des paramètres déterminants est sensible
à la grandeur mesurée. La variation d'impédance résulte :

 Soit d'une variation de dimension du capteur, c'est le principe de


fonctionnement d'un grand nombre de capteur de position, potentiomètre,
inductance à noyaux mobile, condensateur à armature mobile.
 Soit d'une déformation résultant de force ou de grandeur s'y ramenant,
pression accélération (armature de condensateur soumise à une différence de
pression, jauge d'extensiométrie liée à une structure déformable).

Caractéristique
Grandeur mesurée Type de matériaux utilisé
électrique sensible
Température Résistivité Métaux : platine, nickel, cuivre ...
Très basse
Constante diélectrique Verre
température
Flux de
rayonnement Résistivité Semi-conducteur
optique
Résistivité Alliage de Nickel, silicium dopé
Déformation Perméabilité
Alliage ferromagnétique
magnétique
Matériaux magnéto résistants :
Position (aimant) Résistivité
bismuth, antimoine d'indium
Humidité Résistivité Chlorure de lithium
L'impédance d'un capteur passif et ses variations ne sont mesurables qu'en intégrant le
capteur dans un circuit électrique, par ailleurs alimenté et qui est son conditionneur.

1.4. Corps d'épreuve et Capteurs composites

Pour des raisons de coût ou de facilité d'exploitation on peut être amené à utiliser un
capteur, non pas sensible à la grandeur physique à mesurer, mais à l'un de ses effets.
Le corps d'épreuve est le dispositif qui, soumis à la grandeur physique à mesurer
produit une grandeur directement mesurable par le capteur.

1.5. Capteur intégré

C'est un composant réalisé par les techniques de la microélectronique et qui regroupe


sur un même substrat de silicium commun, le capteur à proprement dit, le corps
d'épreuve et l'électronique de conditionnement.

2. Classification des signaux


2.1. Signal analogique

Un signal est dit analogique si l'amplitude de la grandeur physique le réprésentant


peut prendre une infinité de valeurs dans un intervalle donné.

 Signal continu : C'est un signal qui varie lentement dans le temps. Exemple :
température, débit, niveau.
 Forme : C'est la forme de ce signal qui est l'information importante.
Exemple : pression cardiaque, chromatographie, impact.
 Fréquentiel : C'est le spectre fréquentiel qui transporte l'information désirée.
Exemple : analyse vocale, sonar, spectographie.

2.2. Signal Numérique

Un signal est numérique si l'amplitude de la grandeur physique le représentant ne peut


prendre qu'un nombre fini de valeurs. En général ce nombre fini de valeurs est une
puissance de 2. (2n)

 Tout ou rien (TOR) : Il informe sur un l'état bivalent d'un système. Exemple :
une vanne ouverte ou fermée.
 Train d'impulsion : Chaque impulsion est l'image d'un changement d'état.
Exemple : un codeur incrémental donne un nombre fini et connu d'impulsion
par tour.
 Echantillonnage : C'est l'image numérique d'un signal analogique. Exemple :
température, débit, niveau.
3. Conditionnement du signal pour les capteurs
passifs

3.1. Variation d'amplitude

Pour simplifier, on ne considère, dans ce qui suit, que les capteurs basés sur la
variation de résistance mais les principes s'appliquent à tous les types de variation
d'impédance. La variation de la résistance Rc du capteur est proportionnelle à la
grandeur à mesurer. Le capteur de résistance Rc en série avec une résistance R1 est
alimenté par une source de tension Es de résistance interne Rs. On a alors :

Remarque : la tension Vm n'est pas proportionnelle à Rc.

3.1.1 Linéairisation de la mesure


On souhaite que la variation de Vm soit proportionnelle à la variation de Rc.
 Première solution : Fonctionnement en “petits signaux”. La résistance Rc
passe de Rco à Rco + dRc, Vm passe alors de Vmo à Vmo + dVm. Ainsi :

Si dRc << Rco + Rs + R1 on a :


 Deuxième solution : Alimentation par une source de courant. Le montage est
alimenté par une source de courant. C'est à dire d'impédance interne Rs très
élevée : Rs >> Rco + R1. En posant Is = Es / Rs on a :

 Troisième solution : Montage push-pull. On remplace la résistance fixe R1 par


un second capteur, identique au premier, mais dont les variations sont de signe
contraire : R1 = Rco - dRc. Cette association de capteurs est dite push-pull.
C'est par exemple le cas pour deux capteurs d'extensiométrie identiques
subissant des déformations de même module mais de signes contraires. On a
alors :

3.1.2 Élimination de la composante permanente de la tension de


mesure
Généralement, dRc < Rc, ce qui risque de rendre la mesure particulièrement
imprécise.
 Première solution : Filtre passe haut. Si dVm est un signal alternatif, de
fréquence F, pour éliminer le signal continue Vmo, il suffit de procéder à un
filtrage en utilisant le montage ci-dessous. Il faut choisir C de telle sorte que :

 Deuxième solution : Le double potentiomètre. Il suffit de créer une tension


égale à Vmo à l'aide d'un pont diviseur.

Il faut choisir RcR3 = R2R1

 Troisième solution : La double alimentation.


3.2. Variation de fréquence

Pour simplifier, on ne considère, dans ce qui suit, que les capteurs basés sur la
variation de capacité. Les principes s'appliquent à tous les types de variation
d'impédance. La variation de la capacité Cc du capteur est proportionnelle à la
grandeur à mesurer. Le capteur de capacité Cc est inséré dans un oscillateur dont la
fréquence de sortie est proportionnelle à Cc. Exemple : utilisation d'un CI NE 555 :

Pour avoir une tension proportionnelle à la fréquence fournie par l'oscillateur, on


utilise deux types de circuit intégré :

 Les convertisseurs fréquence/tension (exemple : XR-4151).


 Les boucles à verrouillage de phase (PLL, exemple : NE 564).

Schéma de principe :
4. Conditionneur de capteur actif
4.1. Adaptateur de la source à la chaîne de mesure

En général, le schéma équivalent de notre capteur est le suivant :

 
 La variation de Em est proportionnelle à la grandeur à mesurer.
 Rm est une résistance indépendante de la grandeur à mesurer.

Si l'on veut que la tension de mesure Um ne dépende pas de Rm, il faut que I = 0 A.
Pour cela, on utilise un montage suiveur utilisant un ampli opérationnel :

4.2. Réglage du zéro (offset)

Pour cela on utilise un montage additionneur classique. À la tension Um2, on ajoute


une tension réglable à l'aide d'un potentiomètre Pzero.
4.3. Décalage positif ou négatif du zéro

Décalage positif du zéro : pour un décalage positif, la valeur du zéro mesuré se situe
au dessus de la valeur inférieure de la gamme. Elle peut être exprimée soit dans les
unités de la variable mesurée, soit en pourcentage de l'échelle.

Décalage négatif du zéro : pour un décalage négatif, la valeur du zéro mesuré se situe
en dessous de la valeur inférieure de la gamme. Elle peut être exprimée soit dans les
unités de la variable mesurée, soit en pourcentage de l'échelle.

4.4. Réglage de l'échelle (gain)

Ici, on utilise un montage amplificateur classique. Le gain est réglé à l'aide du


potentiomètre Péchelle.
5. Fonctions, symbolisation, schéma TI
5.1. Fonctions

Le capteur peut être associé avec plusieurs fonctions :

 la fonction indicateur local,


 la fonction indicateur à distance,
 la fonction transmetteur.

5.2. Symbolisation (d'après la norme NF E 04-203)

La symbolisation indique, par une lettre dans un cercle, chaque fonction du capteur.

Les autres lettres

Exemples :

Régulation de niveau dans le ballon avec correction de tendance :


5.3. Opérations mathématiques

Dans certain cas, la mesure du capteur sera corrigé pour compenser les effets des
grandeurs d'influence. On sera amener alors à représenter sur le schéma TI ces
différentes opérations. Le schéma suivant représente une mesure de débit avec
compensation de température et de pression.

6. Le Transmetteur
Transmetteur de pression intélligent Platinum Standard de Elsag Bailey

6.1. Le rôle du transmetteur

C'est un dispositif répondant à une variable mesurée afin de générer et de transmettre


un signal de sortie standard en relation continue avec la valeur de la variable mesurée.

6.2. Le transmetteur "intelligent"

C'est un appareil de mesure sur site muni d'un microcontrôleur et utilisant les
communications numériques pour la transmission des informations.

6.2.1 Ses nouvelles fonctionnalités :

Le module de communication permet :

 de régler le transmetteur à distance,


 de brancher plusieurs transmetteurs sur la même ligne.

Le microcontrôleur permet :

 de convertir la mesure en une autre grandeur. Par exemple, il peut convertir


une mesure de différence de pression en niveau (voir chapitre sur les mesures
de niveau).
 de corriger l'influence des grandeurs d'influences sur la mesure.

6.2.2 Avantages métrologique du transmetteur "intelligent"


 Précision

Le transmetteur possède moins de composants analogiques. Les grandeurs


d'influences sont compensées. La non linéarité du transducteur peut être corrigé.

 Rangeabilité
 Répétabilité
 Autosurveillance - Position de repli
 Traitement du signal - Filtrage

6.2.3 Avantages à la configuration et maitenance


 Convivialité - Accés à distance
 Standardisation
 Diagnostic - Forçage du signal de sortie
 Archivage des configuration

6.2.4 Structure d'un transmetteur "intelligent"

7. Raccordement électrique
7.1. Interface 4-20 mA

Le transmetteur ou le régulateur est composé d'un conditionneur qui lui permet d'avoir
la caractéristique suivante :
Ainsi, on peut séparer deux types de transmetteur :

 Les transmetteurs actifs qui disposent d'une alimentation et qui fournissent


le courant I. Leur schéma de câblage est identique à celui des régulateurs :

 Les transmetteurs passifs qui ne disposent pas d'une alimentation et qui


contrôle le courant I fournie par une alimentation externe. Leur schéma de
câblage est généralement le suivant :

7.2. Schéma de principe d'une liaison 4-20 mA

Une boucle 4-20 mA est composée :

 d'un élément générateur, qui fournie le courant électrique ;


 d'un ou plusieurs éléments récepteurs, qui mesure le courant électrique qui les
traverse.

Remarque : Le courant sort par la borne + de l'émetteur et entre par la borne + du


récepteur.

On peut alors classer les appareils de la manière suivante :

Transmetteur Entrée mesure du Organe de


Récepteur Enregistreur
passif régulateur réglage
Transmetteur Sortie commande du Alimentation 24
Émetteur
actif régulateur V
7.3. Précaution d'emploi

La somme des résistances d'entrées des récepteurs est limitée. Il faut donc faire
attention aux boucles trop longues (> 1000 m) ou résistances de mesure que l'on peut
placer. D'une manière générale, Rmax # 50*Ualim (V).

8. Choix d'un transmetteur


8.1. Étendue de mesure

Il faut tenir compte à la fois de la plage de mesure et de la valeur maximale de la


grandeur mesurée. Le transmetteur doivent être capables d'offrir une mesure correcte
dans la totalité de l'étendue de mesure, ainsi que d'offrir une résistance à la valeur
maximale de la grandeur mesurée.

8.2. Températures

Il faut tenir compte à la fois de la température maximale du procédé et de la


température ambiante. Souvent, la température du procédé va dépasser les limites de
l'élément détecteur. En effet, l'élément détecteur de la plupart des transmetteurs
électroniques ne va pas fonctionner convenablement lorsque les températures
dépassent les 107°C (225°F). Ceci impose d'utiliser les accessoires de montage
appropriés (longueurs suffisantes des prises d'impulsion, serpentins,...) afin de
ramener la température du fluide procédé à des limites acceptables par la cellule du
transmetteur.

L'exposition des électroniques à semi-conducteurs à des températures ambiantes


élevées a pour effet de nuire à la longévité des composants. La plupart des
électroniques ne peuvent pas aller au-delà d'une température de service de 93°C
(200°F) et il existe un grand nombre de composants dont la température maximale de
fonctionnement correct est de 85°C (185°F). Les hautes températures tendent à
provoquer des défaillances électroniques. Là encore, il est recommandé de veiller au
meilleur refroidissement possible du module électronique. On peut également
envisager un système de protection hivernale de l'électronique, que ce soit par un
réchauffage vapeur, électrique ou par des boîtiers thermostatés.

8.3. Environnement

Le transmetteur doit être en mesure de fonctionner dans des environnements où règne


un taux d'humidité relative de 0 à 100%.

Le fluide du procédé et le milieu ambiant doivent être pris en compte au titre de leur
éventuel caractère corrosif. Par exemple, les transmetteurs utilisés sur les plates-
formes d'exploitation pétrolière offshore sont soumis à l'action corrosive de l'eau de
mer. Autre exemple : un transmetteur monté sur un circuit de vapeur ou d'eau de
refroidissement au voisinage d'acides ou de bases qui tendent à s'évaporer dans
l'atmosphère. Les applications ci-dessus ont un fluide de procédé non corrosif, mais
opèrent dans un milieu ambiant hautement corrosif.

8.4. Zones dangereuses

Les normes nationales des Etats membres de la Communauté Economique


Européenne (CEE ) sont depuis 1978 les normes unifiées éditées par le CENELEC
(Comité Européen de Normalisation Electrotechnique).

Les règles de construction et d'épreuves des matériels électriques sont contenus dans
les normes Européennes (CENELEC) suivantes :

 EN 50.014 - Règles générales


 EN 50.015 - Immersion dans l'huile (symbole EEx.o)
 EN 50.016 - Surpression interne (symbole EEx.p)
 EN 50.017 - Remplissage pulvérulent (symbole EEx.q)
 EN 50.018 - Enveloppe antidéflagrante (symbole EEx.d)
 EN 50.019 - Sécurité augmentée (symbole EEx.e)
 EN 50.020 - Sécurité intrinsèque (symbole EEx.i)

La réglementation internationale CEI distingue les catégories suivantes de zone


dangereuses :

La zone 0 :

Zone dans laquelle un mélange explosif de gaz, de vapeur ou de poussière est présent
en permanence.

La zone 1 :

Zone dans laquelle un mélange explosif de gaz, de vapeur ou de poussière est


susceptible de se former en service normal de l'installation.

La zone 2 :

Zone dans laquelle un mélange explosif de gaz, de vapeur ou de poussière ne peut


apparaître qu'en cas de fonctionnement anormal de l'installation (fuites ou négligences
d'utilisation).

8.5. Boîtier antidéflagrant

L'expression boîtier antidéflagrant désigne un boîtier pour appareillage électrique qui


est capable de résister sans dommage à une explosion d'un gaz ou d'une vapeur
susceptible de se produire à l'intérieur du boîtier.

Suite à l'explosion du gaz ou de la vapeur à l'intérieur du boîtier, celui-ci ne doit pas


générer à l'extérieur du boîtier des étincelles ou des flammes susceptibles d'enflammer
le gaz ou la vapeur présente autour du boîtier.
Pour rendre un système antidéflagrant, le boîtier doit être capable de résister à une
explosion et le système doit être installé conformément au code national de
l'électricité pour les zones dangereuses.

8.6. Equipements en sécurité intrinsèque

Les équipements et câblages en sécurité intrinsèque sont incapables de libérer une


énergie électrique suffisante, dans des conditions normales ou anormales, pour
susciter l'inflammation d'un mélange atmosphérique dangereux spécifique.

Par conditions anormales, on entend notamment les dommages accidentels à toute


partie de l'équipement ou du câblage, de l'isolant, ou toute panne de composants
électriques, application d'une surtension, opérations de réglage et d'entretien et autres
conditions similaires.

9. Évolution des capteurs

Comme dans le reste de l'industrie, les capteurs analogiques laissent la place de plus
en plus aux capteurs numériques. Dans un premier temps ceci c'est matérialisé par
l'apparition des transmetteurs intelligents. Aujourd'hui, on se rapproche de plus en
plus d'une architecture en réseaux des capteurs ; le bus de terrain.

Il existe plusieurs standards industriels de bus de terrain, on citera : Profibus,


Fieldbus, WoldFip. Leur objectif est le même, simplifier la mise en place des boucles
de régulation. Pour cela, ils utilisent une liaison unique entre les différents
intervenants de la boucle de régulation (capteurs, régulateurs, actionneurs), liaison qui
sert à la fois au dialogue entre ces intervenants et à leur alimentation en énergie.
Ainsi, l'ajout d'un intervenant dans une boucle complexe se résume en deux
interventions :

 Le montage de l'intervenant sur le bus ;


 L'adaptation, par l'intermédiaire d'un logiciel, du fonctionnement de la
régulation.

Malgré l'existence de passerelles, on ne peut qu'espérer une standardisation de ces


différents bus, dans le but de simplifier la mise en oeuvre de ces nouvelles
technologies et d'en diminuer le coût.

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