Nothing Special   »   [go: up one dir, main page]

Saint-Martin-sur-le-Pré

commune française du département de la Marne

Saint-Martin-sur-le-Pré est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est. De l'agglomération de Châlons-en-Champagne.

Saint-Martin-sur-le-Pré
Saint-Martin-sur-le-Pré
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Châlons-en-Champagne
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Châlons-en-Champagne
Maire
Mandat
Jacques Jesson
2020-2026
Code postal 51520
Code commune 51504
Démographie
Gentilé Saint-Martinais, Saint-Martinaises
Population
municipale
798 hab. (2021 en évolution de +3,5 % par rapport à 2015)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 58′ 40″ nord, 4° 20′ 22″ est
Superficie 11,89 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Châlons-en-Champagne
(banlieue)
Aire d'attraction Châlons-en-Champagne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châlons-en-Champagne-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Martin-sur-le-Pré
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Martin-sur-le-Pré
Géolocalisation sur la carte : Marne
Voir sur la carte topographique de la Marne
Saint-Martin-sur-le-Pré
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Saint-Martin-sur-le-Pré

Géographie

modifier
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes

modifier

Hydrographie

modifier

La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les régions hydrographiques « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » et « la Seine du confluent de l'Oise (inclus) à l'embouchure » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Marne, le canal latéral à la Marne, le canal d'Alimentation et le canal Saint-Martin[1],[Carte 1].

La Marne prend sa source sur le plateau de Langres, dans la commune de Saints-Geosmes (Haute-Marne) et se jette dans la Seine entre Charenton-le-Pont et Alfortville (Val-de-Marne) dans le quartier de Conflans-l'Archevêque[2]. Les caractéristiques hydrologiques de la Marne sont données par la station hydrologique située sur la commune de Saint-Martin-sur-le-Pré. Le débit moyen mensuel est de 70,7 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 483 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 492 m3/s, atteint le [3].

Le canal latéral à la Marne est un canal, chenal navigable de 67 km reliant Vitry-le-françois à Mardeuil où il se jette dans la Marne[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune 
Réseau hydrographique de Saint-Martin-sur-le-Pré[Note 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 668 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fagnières-Inra », sur la commune de Fagnières à 2 km à vol d'oiseau[7], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 632,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,8 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −21 °C, atteinte le [Note 3],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Saint-Martin-sur-le-Pré est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Châlons-en-Champagne[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant cinq communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châlons-en-Champagne, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[14]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (80,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (18,3 %), zones urbanisées (5,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %), cultures permanentes (1 %), eaux continentales[Note 7] (0,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

modifier

Les premières mentions de Saint-Martin remontent à 1143 sous le vocable Saint-Martin-prez-Vinetz[18] mais aussi avec les variances de l'époque Santci Martini Viencel[19], Santci Martini juxta Vincellum[20] mais aussi Sanctum Martinum juxta Cathalaunum[21]. De la fin du XVIe siècle au XVIIe siècle le nom unifié par Saint-Martin-sur-le Prez avant une résurgence francisée de Saint-Martin-et-Vinetz ou Saint-Martin-les-Vinetz avant que ne paraisse en l'an I et II Vinetz-sur-Marne.
Saint-Martin-des-Champs est un hagiotoponyme qui fait référence à Martin de Tours, également surnommé « Saint Martin des champs ».

Les prairies de fauche, issus des anciens déboisements, ont longtemps occupé une grande partie des plaines alluviales inondables mais l’on n’en rencontre plus que quelques vestiges qui témoignent des riches fourrages que produisait les vallées et dont de nombreux toponymes de villages gardent la trace (Cheppes-la-Prairie, Saint-Martin-sur-le-Pré…)[22].

Histoire

modifier
 
Tranchets du néolithique ancien.
 
Plat du bronze final.

La région occupée par le village de Saint-Martin était habitée depuis longtemps. La mise au jour, en 1875, à proximité du centre du village, d'une station préhistorique de l'âge de la pierre taillée, a révélé qu'un groupe d'individus vivait déjà à cet endroit plus de cinq mille ans avant notre ère.
Divers objets trouvés au même endroit ou en d'autres points du territoire, permettent d'affirmer que les environs du village ont été habités aux époques gauloise et gallo-romaine.

Trois siècles plus tard[C'est-à-dire ?], le christianisme fait son apparition en Gaule. Le grand saint Martin, évêque de Tours, est de passage en Champagne et donne son nom à de nombreuses localités traversées.

Au Moyen Âge, l'histoire du village se confond avec l'établissement et le développement des biens ecclésiastiques qui s'y forment dès le XIIe siècle, ceux de l'abbaye de Saint-Pierre-aux-Monts et du prieuré de Vinetz.
La communauté de Saint-Martin fait partie du domaine de l'évêque comte de Châlons, qui renoncera à ses droits en 1329, au profit des religieux de Vinetz qui deviendront seigneurs de Saint-Martin-les-Vinetz, le village dépendant de la coutume du Vermandois. Le village est constitué en communauté, de façon attestée depuis 1247, l'assemblée se tenait à l'issue de la messe le dimanche dans le cimetière l'été, à l'ombre des arbres, à l'entrée de la nef l'hiver puis dans l'école quand elle fut créée. Elle devait des miliciens pour la ville de Châlons où elle participait à l'entretien des fossés, de la muraille tout comme les villages à 4 ou 7[23] lieues à la ronde.

Pendant la guerre de Cent Ans, les Anglais ravagent la région et le village n'est pas épargné.

Au début du XVIIIe siècle, la famine, les hivers rigoureux de 1709 et 1711 des bandes de loups ravagent la région[24]  ; en 1790 et 1794, la commune absorbe celle voisine de Vinetz[25].
Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Vinets-sur-Marne[25].

Pourquoi « sur le pré » ? Parce que le village est situé à proximité d'une vaste prairie qui s'étendait jusqu'au lit de la Marne. Cette prairie servait de pâturage commun. Elle était inondée chaque hiver, donc fertilisée par le limon du cours d'eau. Elle produisait une herbe de choix, qui pouvait nourrir une partie de l'année toutes les bêtes de la localité.

Politique et administration

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1791 an I Boullé    
an I an III Pierre Croix    
an III an III Cocqueteaux l'Ainé    
an III an IV Remy Rigollet    
an IV ? Louis Guillaume Dozon    
an V an VI Nicolas Journey    
an VI An VII Claude Hattat    
an VII an VII Henry Rigollet le jeune    
an VIII 1806 Jean-Baptiste Cocqueteaux    
1806 1807 Nicolas Journey    
1807 An1837 Jean Joseph Lamairesse    
1837 1848 Romain Alexis Rigollet    
1848 1853 Claude Augustin Lamairesse    
1853 1864 Pierre Jules Lamairesse    
1864 1878 François Eugène Debin    
1864 1900 Gérasime Jesson    
1900 1915 Placide Debin    
1915 1919 Paul Hattat    
1919 1940 Lucien Rigollet    
1940 1942 Eugène Jesson    
1942 1945 Léon Debin    
1945 1947 Serge Pigny    
1947 1949 Gabriel Arnould    
1949 1959 Robert Debin    
1959 1965 Gabriel Arnould    
1965 1990 Henri Debin    
1990 2001 Roger Bertrand    
2001 2008 Michel Fortin    
2008[26] En cours
(au 4 juillet 2014)
Jacques Jesson   Réélu pour le mandat 2020-2026[27]

Président Communauté d'agglomération de Châlons en Champagne

En 1743 est attestée une école, simple appentis adossé au sud de l'église qui resta là jusqu'en 1863, une nouvelle école étant construite près de la place du village qui fut agrandie et rénovée en 1898[28].

Économie

modifier

Une des richesses de la ville fut pendant longtemps son port sur la Marne, «...la principale rue du village est dégradée par suite de la grande affluence de voitures qui amènent au port de Saint-Martin des charbons pour l'approvisionnement de Paris, des bois de marine, des munitions de guerre pour le roi » en une supplique à l'intendant en 1788. les nautes avaient pension en la ville avant de bresler[29] les convois, ils payaient une redevance sur chaque stère de bois stockée sur le pré. Le port fut recréé sur le canal latéral à la Marne mais finit par tomber en désuétude.

Les chemins de fer de la Banlieue de Reims disposaient d'une gare dans la commune, dès 1903.

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 798 habitants[Note 8], en évolution de +3,5 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
130120112109139140143148158
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
175165155146151166183203203
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
200220211257340367406415340
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
376618948903898882828745794
2021 - - - - - - - -
798--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier

Personnalités liées à la commune

modifier

Héraldique

modifier

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

d'azur au sautoir d'or, cantonné de quatre épis de blé du même.

Voir aussi

modifier

Bibliographie

modifier

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

modifier
  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:01 TU à partir des 420 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/02/1989 au 01/04/2024.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Les records sont établis sur la période du au .
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Châlons-en-Champagne comprend une ville-centre et quatre communes de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Martin-sur-le-Pré » sur Géoportail (consulté le 27 mai 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. « Fiche communale de Saint-Martin-sur-le-Pré », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  2. Sandre, « la Marne »
  3. « Station hydrométrique La Marne à Châlons-en-Champagne », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
  4. Sandre, « le canal latéral à la Marne »
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Saint-Martin-sur-le-Pré et Fagnières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Fagnières-Inra », sur la commune de Fagnières - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Fagnières-Inra », sur la commune de Fagnières - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Châlons-en-Champagne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Martin-sur-le-Pré ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châlons-en-Champagne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Sancti Martini ad Visneci.
  19. 1167
  20. 1293
  21. 1204
  22. Frédéric Hendoux, Les végétations de zones humides de la vallée entre Vitry-le-François et Épernay : Catalogue des associations végétales Conservatoire botanique national du Bassin parisien, Paris, AESN, , p. 2.
  23. selon les périodes
  24. La ville de Châlons promet 20L par tête de loup rapporté.
  25. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Liste des maires au 1er août 2008, site de la préfecture de la Marne, consulté le 22 décembre 2008
  27. « Liste des maires du département de la Marne » [PDF], Renouvellement des exécutifs locaux, Préfecture de la Marne, (consulté le ).
  28. Elle est financée à 66% par l’État et à 33% par la communauté.
  29. flotteurs construits au moyen de bois assemblés.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.