Nothing Special   »   [go: up one dir, main page]

Arcueil

commune française du département du Val-de-Marne

Arcueil (prononcé /aʁ.kœj/) est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France, faisant partie de la métropole du Grand Paris et du Forum métropolitain du Grand Paris.

Arcueil
Arcueil
Les aqueducs d'Arcueil,
illuminés la nuit en mars 2009.
Blason de Arcueil
Blason
Arcueil
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-de-Marne
Arrondissement L'Haÿ-les-Roses
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Grand-Orly Seine Bièvre
Maire
Mandat
Christian Métairie
2020-2026
Code postal 94110
Code commune 94003
Démographie
Gentilé Arcueillais
Population
municipale
21 557 hab. (2021 en évolution de +0,19 % par rapport à 2015)
Densité 9 252 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 48′ 27″ nord, 2° 20′ 10″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 105 m
Superficie 2,33 km2
Type Grand centre urbain
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Cachan
Législatives 11e circonscription du Val-de-Marne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Arcueil
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Arcueil
Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne
Voir sur la carte topographique du Val-de-Marne
Arcueil
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Arcueil
Liens
Site web arcueil.fr

Cette commune urbanisée à plus de 90 % disposait en 2010 de 45 % de logements sociaux[1], de quelques espaces verts, et se situe en grande partie dans la vallée de la Bièvre. Son urbanisation date de plusieurs époques successives, ce qui se traduit par une juxtaposition de bâtiments de divers styles (brique, maison de maître, immeuble en béton), de bâti neuf et ancien, de friches industrielles et de bâtiments à l'abandon actuellement.

Géographie

modifier

Localisation

modifier
 
Localisation de la commune d'Arcueil en rouge sur la carte de la « Petite Couronne » d'Île-de-France.

La commune est située à 2 km au sud de Paris (porte d'Orléans). Elle est traversée par la Bièvre, recouvrant les versants de sa vallée entre les plateaux de Longboyau et de Montrouge, entre l'A6 à l'est et l'ex-RN 20 à l'ouest qui la sépare des Hauts-de-Seine.

Sa superficie est de 233 hectares[2] dont 20 hectares d'espaces verts.

Communes limitrophes

modifier
Communes limitrophes de Arcueil
Montrouge Gentilly Le Kremlin-Bicêtre
Arcueil 
Bagneux Cachan Villejuif

Hydrographie

modifier

Arcueil est traversée par la Bièvre, couverte sur une grande partie du territoire. La Bièvre est canalisée en 1913 puis recouverte, au début des années 1950, en aval de la rue de l'Ardenay jusqu'à son entrée à Gentilly. Son cours situé entre l'avenue Raspail et la rue de la Division-Leclerc est matérialisé par un dallage visible du pont de l'avenue Paul-Doumer. Le dallage se poursuit en contrebas de la rue de la Division du Général Leclerc. Toutefois la réouverture partielle à la surface sur un tronçon de 600 mètres est réalisée en 2022 à Arcueil ainsi que dans la commune voisine de Gentilly[3],[4].

À partir de la limite avec la commune de Cachan, son cours correspond à celui de la rue de la Convention ouverte en 1900 sur la rivière ainsi couverte de l'aqueduc à la rue de l'Ardenay.

Après le pont de l'autoroute A6a, la Bièvre parcourait des prairies à l'emplacement du parc du Coteau où était situé le moulin à eau de la Roche détruit en 1959. Il existait également un moulin à vent[5].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 644 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique située sur la commune de Paris au jardin du Luxembourg à 5 km à vol d'oiseau, est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 667,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Arcueil est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[13]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Quartiers

modifier

La ville d'Arcueil est divisée en différents quartiers ayant chacun leur conseil de quartier.

  • Le quartier Henri-Barbusse.
  • Le quartier Jean-Macé et la Cité-jardins.
  • Le quartier Joliot-Curie.
  • Le quartier Jules-Ferry.
  • Le quartier Laplace.
  • Le quartier du plateau Kergomard.

Habitat

modifier
Logements[16] Nombre en 2020 % en 2020 nombre en 2011 % en 2011
Total 11 030 100 % 9 570 100 %
Résidences principales 10 143 92% 8 968 93,7 %
→ Dont HLM 3 939 38,8 % 4 112 45,8 %
Résidences secondaires et
logements occasionnels
190 1,7 % 55 0,6 %
Logements vacants[Note 4] 697 6,3 % 546 5,7 %
Dont :
→ maisons 2 050 18,6 % 2 012 21,0 %
→ appartements 8 549 77,5 % 7 302 76,3 %
Cités HLM

Arcueil, avec environ 38 % de son parc locatif en HLM, possède un nombre important de cités HLM caractérisées pour la plupart par un faible nombre de niveaux (sept étages au plus). Ces cités HLM servent également de points de repère dans la ville. Elles sont même davantage utilisées que les quartiers pour indiquer la localisation d'un lieu.

  • La cité du Chaperon-Vert.
  • La résidence de la Vache-Noire (quartier concerné par un projet de renouvellement urbain signé avec l'ANRU).
  • La résidence de l'Église.
  • La cité-jardin (voir ci-dessous).
  • La résidence des Irlandais
  • La résidence Auguste-Delaune
  • La résidence Paul-Vaillant-Couturier
  • La résidence Cherchefeuille.
  • La résidence Clément-Ader
  • La résidence Raspail
  • La résidence Émile-Zola
  • La résidence de la Maison des Gardes
  • La résidence Lénine
  • La résidence du Clos des Guises
  • La résidence Antoine-Marin
  • La Cité paysagère

Voies de communication et transports

modifier

Routes : Arcueil est desservie par les voies routières suivantes :

  • A6a (traversant)
  • A6b (sortie 2, carrefour des 4-Chemins)
  • D 920 (ex-RN 20)
  • D 61

Vélo : Deux pistes cyclables principales traversent Arcueil, passant devant l'hôtel de ville:

 
La gare RER Laplace, à Arcueil.

RER : Arcueil est desservie par la ligne B du RER :

Métro : Arcueil est desservie par la ligne 4 du métro de Paris : la station Barbara, située sur les communes voisines de Montrouge et de Bagneux à la limite ouest d'Arcueil.

Bus : La commune d'Arcueil est desservie par de nombreuses lignes du réseau de bus RATP avec deux lignes du réseau de bus Valouette en complément. La nuit, deux lignes Noctilien assurent la desserte.

Projets :

Toponymie

modifier
 
Panneau à l'entrée de la commune.

Les formes anciennes de la localité sont :

  • en latin in pago Arcolei v.1073[18], molendini apud Arcoilum v. 1110[18], molendinum de Arcoilo 1119[18], in villis de Arcolio, Archoilus 1119[19], Arcoilo 1136[19], Arcoilus 1142[19], ad villam de Arcolio 1283[20], territoriis de Arcolio 1309[20], dans une ode du poète Donat ad fontem Arculi 1586[21].
  • en français, en la ville d'Arcuel 1265[22], Arcueil 1757[23].

L'étymologie d'Arcueil est issu d'un mot gallo-romain composé du latin arcus « arche » + suff. gaulois -ialo « village, domaine », d'où « le domaine des arches », en rapport avec l'aqueduc[24] encore visible sur les plans de 1757, Aqueduc Cachan[23].

En 1894, le lieu-dit Cachan de la commune d'Arcueil avait pris une telle importance que son nom fut rattaché à celui d'Arcueil, la commune s'appelant désormais Arcueil-Cachan. Vingt-huit ans plus tard, en 1922, Cachan devint une commune indépendante et Arcueil reprit son nom d'origine.

Histoire

modifier

Origines

modifier

Les traces les plus anciennes d'occupation humaine remontent à la préhistoire et se situent sur les plateaux d'Arcueil[25]. Plusieurs sites sont identifiés au titre des sites archéologiques avec des vestiges néolithiques et gallo-romains[25].

Au IIe siècle est édifié l'aqueduc de Lutèce, d'une longueur de 16 kilomètres pour amener l'eau puisée à Rungis et à Wissous jusqu'aux thermes de Cluny (Lutèce), sur le site de l'actuel musée de Cluny[24]. Le pont-aqueduc traverse la Bièvre en son point le plus étroit, d'une longueur estimée de 330 mètres. L’ensemble aurait comporté une alternance stable de 33 piles pour 23 arcades, dont il ne reste aujourd'hui que quatre piles en partie conservée en réemploi[26].

Epoque moderne

modifier

L'aqueduc est reconstruit au XVIIe siècle.

Sous l'Ancien Régime, le village était rattachée à la paroisse de Gentilly, tout comme le hameau de Cachan dont les histoires se sont entrecroisées[27].

Arcueil fut une localité appréciée comme lieu de promenade et de villégiature, notamment par Ronsard[Note 5]. En 1768, le marquis de Sade y avait loué une maison où il y avait emmené une jeune femme sans fortune qu'il soumit à ses fantasmes[28].

La construction par Thomas Francine, de 1613 à 1624, de l'aqueducs d'Arcueil et de Cachan, souvent appelé aqueduc Médicis, en l'honneur de sa commanditaire, sur le tracé de l'ancien aqueduc romain, donne de l'importance au village. L'ouvrage a quatre cents mètres de long et vingt quatre mètres d'élévation au maximum. La Bièvre coule sous deux des arcades. Puis on assiste à l'aménagement de la place de l'église (à l'emplacement de l'ancien cimetière) et à la construction des premiers lotissements.

Epoque contemporaine

modifier

Au départ, Cachan est un hameau d'Arcueil, qui manifeste les premières velléités de sécession dès 1903, en raison d'une inégalité de la répartition des travaux d'intérêt général et des équipements publics[29]. À la suite de différends entre Arcueillais et Cachanais, la loi du crée la commune distincte de Cachan.

Peinture représentant dans des couleurs crues et sur fond de ciel bleu un réverbère cassé devant quelques maisons avec barrières et verdure 
Le Réverbère à Arcueil par le peintre Albert Marquet (1898-1899), huile sur toile, 27 × 41 cm, coll. privée).

Au début du XXe siècle, la Société des avions Hanriot était située au 1, route d'Orléans à Arcueil. L’usine, devenue très importante, a été nationalisée en 1936 et absorbée par la Société nationale des constructions aéronautiques du Centre au 167 rue de Silly à Billancourt. L'usine ferme le [30],[31]

Les maires Émile Raspail et, plus récemment, Marius Sidobre et Marcel Trigon ont marqué la ville.

Politique et administration

modifier

Rattachements administratifs et électoraux

modifier

Jusqu’à la loi du , la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais à l'arrondissement de L'Haÿ-les-Roses du Val-de-Marne à la suite d'un transfert administratif effectif le [32].

 
L'hôtel de ville.

Pour l'élection des députés, elle fait partie avec Gentilly Ouest, Villejuif et Cachan de la onzième circonscription du Val-de-Marne.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Villejuif. À la suite de la création du département du Val-de-Marne, elle a été rattachée en 1967 au canton de Cachan, puis, en 1972, est devenue le chef-lieu du canton d'Arcueil[32]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait partie à nouveau du canton de Cachan.

Intercommunalité

modifier

La ville était membre fondateur de la communauté d'agglomération de Val de Bièvre (CAVB), créée en 2000.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[33].

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).

La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Grand-Orly Seine Bièvre, qui succède notamment à la CAVB[34].

Tendances politiques et résultats

modifier

Pour les échéances électorales de 2007, Arcueil a fait partie des 82 communes[35] de plus de 3 500 habitants ayant utilisé les machines à voter.

Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Val-de-Marne, la liste menée par le maire sortant Daniel Breuiller (EELV) remporte le scrutin avec 61,8 % des suffrages exprimés, contre celle de Dominique Jacquin (MoDem), 17,3 % ; celle de Denis Truffaut (FN), 15,8 % ; celle de Robert Larcher (LO), 3 % et celle de Nicole Florence (POI), 2 %[36].

Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans le Val-de-Marne, la liste EÉLV-PS-PCF-G.s-PP-GE menée par le maire sortant Christian Métairie — qui avait succédé en 2016 à Daniel Breuiller , démissionnaire — remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 2 265 voix (51,16 %, 27 conseillers municipaux élus, dont 1 conseiller métropolitain), devançant de 103 voix celle menée par Benoît Joseph Onambele (LREM) — liste qui fusionnait les listes du 1er tour menées par Karim Baouz (LFI) et par Clotilde Galhié-Louise (LR-SL) — qui a obtenu 2 162 voix (48,83 %, 8 conseillers municipaux élus), lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 63,08 % des électeurs se sont abstenus[37],[38].

Liste des maires

modifier
Liste des maires d'Arcueil de la Libération à nos jours
Période Identité Étiquette Qualité
octobre 1944 avril 1964 Marius Sidobre[39] PCF Ouvrier mécanicien
Décédé en fonction
juin 1964 avril 1997[40],[41] Marcel Trigon[42] PCF puis CAP Employé de banque, maire honoraire
Conseiller général d'Arcueil (1985 → 2004)
Démissionnaire
mai 1997[43] décembre 2016[44] Daniel Breuiller CAP puis EELV Fonctionnaire
Conseiller général d'Arcueil (2004 → 2015)
Conseiller départemental de Cachan (2015 → 2015[45])
Vice-président de la Métropole du Grand Paris (2016 → 2020)
Démissionnaire
décembre 2016[46] En cours
(au 18 octobre 2022)
Christian Métairie EELV Professeur d'informatique à l'Université Paris-Sud
Conseiller départemental de Cachan (2016 → 2021)
Vice-président du conseil départemental (2016 → 2021)
Réélu pour le mandat 2020-2026[47]

Instances militaires

modifier

La ville héberge le Centre géographique interarmées (CGI) ainsi qu'une compagnie et l'état-major de gendarmerie de l'armement, le commandement de la gendarmerie de l'outre-mer, 3 des offices centraux de police judiciaire commandés par la gendarmerie nationale ainsi que des services de la délégation générale de l'armement (DGA) et du secrétariat pour l'adminsitration (SGA).

Politique environnementale

modifier

Jumelages

modifier

Population et société

modifier

Démographie

modifier

Évolution démographique

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[49],[Note 6].

En 2021, la commune comptait 21 557 habitants[Note 7], en évolution de +0,19 % par rapport à 2015 (Val-de-Marne : +3,13 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3381 1681 2001 4391 8091 7461 7342 7013 071
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 9574 0785 0245 2585 2996 0676 4656 0887 064
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
8 4259 23711 31914 96612 55916 20016 59016 34018 067
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
20 22421 87720 33020 06420 33418 06119 12920 10021 567
2021 - - - - - - - -
21 557--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2020, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,4 % la même année, alors qu'il est de 20,2 % au niveau départemental.

En 2020, la commune comptait 10 583 hommes pour 11 257 femmes, soit un taux de 51,54 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,85 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2020 en pourcentage[51]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,1 
4,3 
75-89 ans
6,6 
11,3 
60-74 ans
13,1 
20 
45-59 ans
19,4 
20,5 
30-44 ans
21,5 
24 
15-29 ans
21,8 
19,5 
0-14 ans
16,5 
Pyramide des âges du département du Val-de-Marne en 2021 en pourcentage[52]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
7,2 
12,6 
60-74 ans
13,6 
19,4 
45-59 ans
19 
21,1 
30-44 ans
21,1 
20,9 
15-29 ans
19,5 
20,3 
0-14 ans
18,2 

Enseignement

modifier
 
La Maison des Examens.

Arcueil est située dans l'académie de Créteil. Elle accueille le Service interacadémique des examens et concours ou Maison des examens.

Petite enfance

modifier

La ville administre un relais d'assistantes maternelles et deux crèches Marie-Claude-Vaillant-Couturier et Paul-Eluard. Le département administre les deux crèches Berthollet et Trubert.

Établissements scolaires

modifier

La ville administre six écoles maternelles (Louise-Michel, Henri-Barbusse, Jules-Ferry, Pauline-Kergomard, Danièle-Casanova et Olympe-de-Gouges) et cinq écoles élémentaires communales (Henri-Barbusse, Jules-Ferry, Aimé-Césaire, Jean-Macé et Olympe-de-Gouges)[53]. Deux des établissements ont ouvert en 2021 : en mars pour Olympe-de-Gouges (remplaçant Joliot-Curie) et en novembre pour Aimé-Césaire (remplaçant Laplace)[54].

Le département gère le collège Dulcie-September, né de la fusion des deux établissements d'Arcueil, les collèges Évariste-Galois et Jean-Jaurès. La première pierre en a été posée le samedi par des élus du conseil général du Val-de-Marne et le maire d'Arcueil. Il a été inauguré en .

Enseignement supérieur

modifier

Equipements culturels

modifier
 
Médiathèque Louis-Pergaud.
 
Centre culturel Marius Sidobre, ancienne mairie.
  • La friche culturelle « Anis Gras - Le lieu de l'autre »
  • Oto radio, webradio installée à Anis Gras : radio de proximité sur la banlieue sud de Paris
  • Le conservatoire de musique (maison des gardes)
  • L'espace Jean-Vilar (cinéma, théâtre, concerts et autres spectacles)
  • « Mégarama », complexe cinématographique de six salles[55].
  • La médiathèque Louis-Pergaud (architecte : Jean Christophe Tougeron)[56]
  • La galerie municipale Julio-González (expositions d'art moderne et contemporain)[57]
  • La friche artistique « Le Bahut » avec trois compagnies professionnelles en résidence :
    • le théâtre de la Nuit,
    • le théâtre de l'Épopée,
    • la compagnie Falaises et Plateaux.
  • L'usine, une ancienne usine louée par divers artistes afin d'en faire un lieu de travail, de rencontres et de création artistique[58],[59]

Économie

modifier
 
Les bureaux d'Orange.
 
Le centre commercial de la Vache-Noire.

Revenus de la population et fiscalité

modifier

En 2020, le nombre de ménages fiscaux était de 9 152 pour un total de 20 387 personnes dans les ménages. La part de ces ménages imposés était de 59%[60].

La médiane du revenu disponible par unité de consommation était de 23 160€[60]. Elle était supérieure à la médiane française (22 320€)[61] mais inférieure à la la médiane régionale de l'Île-de-France (24 490€)[62] et à celle du département du Val-de-Marne (23 540€)[63].

En 2020, le taux de pauvreté à Arcueil était de 18%, supérieur à la moyenne française (14,9%) et régionale[62] (15,5%) mais inférieur à la moyenne départementale (16,6%)[63].

En 2020, le nombre total d'actifs sur la commune d'Arcueil était de 14 994[60], se répartissant dans les divers secteurs économiques comme suit :

Répartition de l'emploi en 2020[60],[64]
Agriculture Industrie Commerce, transport, services divers Administration publique, enseignement, santé, action sociale
Arcueil 0 % 2,1 % 71,4 % 22 %
Moyenne nationale 2,9 % 11,8 % 47,3 % 32 %

Le taux de chômage était de 9,1 % en 2020[60], en baisse par rapport à 2014 (10,4 %) et 2009 (9,7 %)[60]. Il était plus faible que la moyenne française (9,5 %)[64] et proche de la moyenne régionale (9 %)[62] et départementale (9,2 %)[63].

Arcueil possède un tissu économique dynamique et une diversité d'entreprises (présence de grandes entreprises et d’un réseau de PME très important).

Entreprises et commerces

modifier

Arcueil possède un centre commercial, Forum 20, de taille modeste pour la région parisienne, situé sur la D 920 (anciennement RN 20), avec pour locomotive un hypermarché Carrefour (Cora jusqu'en 2024[65]).

Au carrefour de La Vache-Noire situé également sur la D 920, a été réalisé l'un des plus importants projets d'aménagement en Île-de-France des années 2000.

L'opération a été confiée à la société d'économie mixte dédiée à l'aménagement et au développement du Val-de-Marne (SADEV94) ; elle comprend deux zones d'aménagement concerté : la « ZAC de la Vache Noire » et la « ZAC des Portes d’Arcueil »[66]. Un centre commercial qui a la particularité de ne pas contenir d'hypermarché et qui fait partie des 5 plus grands centres commerciaux du Val-de-Marne a été ouvert au public le [67].

La commune possède également un fort tissu de commerces de proximité situés autour de deux pôles : l'avenue Laplace et le centre historique.

Le mouleur d'art Michel Lorenzi installe son atelier à Arcueil en 1974.

Malgré la taille modeste de la ville, un nombre important de grandes entreprises sont implantées à Arcueil[68] :

  • Orange, depuis la mi-2006, avec environ 3 600 collaborateurs, est le premier employeur d'Arcueil. La première implantation d'Orange, ou plutôt à l'époque des PTT, date des années 1970 avec la direction des ateliers et des approvisionnements. Après le transfert de cette direction à Eysines, près de Bordeaux, les bâtiments de l'avenue Lénine accueillent les services d'Orange France dépendant des directions techniques réseau. C'est donc une première implantation bien antérieure à celle d'Orange Village ;
  • la Caisse des dépôts et consignations ;
  • la CNP ;
  • EDF ;
  • la DGA ;
  • les Laboratoires Innothera ;
  • Spie SCGPM ;
  • SGS.

Culture locale et patrimoine

modifier

Arcueil, malgré sa taille modeste, a un patrimoine architectural et environnemental assez riche.

Lieux et monuments

modifier
 
Aqueducs Médicis et Belgrand.
 
Maison des Gardes.
  • Aqueducs d'Arcueil et de Cachan : Les aqueducs aqueduc de Lutèce et « aqueduc Médicis » (premier quart du XVIIe siècle[69]) et l'aqueduc « Belgrand » (XIXe siècle), séparant Arcueil de Cachan, au sud de la ville.
    Ils sont illuminés la nuit depuis 2009[70].
  • L'église Saint-Denys (à partir du début du XIIIe siècle), classée à l'inventaire des monuments historiques en 1908[71].
  • La maison des Gardes, construction du Moyen Âge[72], inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1929[73].
    Autrefois nommée « petit château », elle est le seul vestige du domaine du Anne-Marie-Joseph de Lorraine, dit prince de Guise, dans lequel, en 1613, la veuve d’André Hurault de Maisse reçut le roi Louis XIII.
    L'actuelle maison des Gardes était vraisemblablement destinée à l'intendant du domaine. Elle abrite aujourd'hui le conservatoire municipal de musique et l'école de dessin.
  • La maison dite « à colonnes ».
  • Le nymphée du parc Paul-Vaillant-Couturier : construit dans la deuxième moitié du XVIIe siècle, il est situé sur l'ancien domaine du Château de Guise. Deux escaliers encadrent l'entrée d'une grotte fermée par une grille[74].
  • L'orangerie, située au sein de la friche industrielle « Anis Gras », inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 2000[75].
  • L'ancienne mairie, construite en 1886[76], devenue le centre Marius-Sidobre.
  • La chapelle de l'Immaculée Conception, construite par l'architecte Auguste Perret en 1930, inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1993[77].
  • Le fort de Montrouge construit en 1843[78], site militaire abritant la Gendarmerie nationale (commandement de la gendarmerie d'Outre-Mer CGOM - L'inspection technique de la Gendarmerie - ainsi que trois des offices centraux de police judiciaire confiés à la Gendarmerie) et la direction générale de l'Armement (DGA).
  • La cité-jardin de l'Aqueduc (1921-1923[79]) : elle fait partie de la quinzaine de cités-jardins construites par l'Office HBM de la Seine alors dirigée par Henri Sellier. Elle est constituée de 228 logements sous la forme de pavillons regroupés de 2 à 6 construits par l'architecte Maurice Payret-Dortail. Le projet comporte alors par ailleurs un groupe scolaire, une coopérative d'alimentation et un stade. Il subsiste encore 43 pavillons d'origine.
  • Le parc Paul-Vaillant-Couturier.
  • La Fonderie Susse était située au 7, avenue Jeanne-d'Arc à Arcueil depuis 1925 et était alors considéré comme la plus ancienne fonderie d'art de France[80],[81]. En , elle a déménagé à Malakoff.
  • Atelier de moulage d'art Lorenzi, 60, avenue Laplace. Cet atelier est créé à la fin des années 1930 et est un des plus anciennes entreprises de moulage statuaire en France[82].
  • Le laboratoire de Marie Curie[83] : le site est construit dans les années 1930 par l'Université de Paris pour que Marie Curie puisse y réaliser ses expériences. Différentes études seront par la suite menées jusqu'en 1978, date à laquelle, le site, radioactif, est abandonné. Surveillé depuis lors, la décontamination du site démarre en 1992 et est encore en cours[83],[84].

Personnalités liées à la commune

modifier
 
Pierre Simon, marquis de Laplace, mathématicien, astronome et physicien.
 
Jean-Paul Gaultier, styliste et créateur de mode.
  • Pierre de Ronsard (1524-1585) écrit le poème Les bacchanales ou le folastrissime voyage d’Hercueil pres Paris.
  • Jean-Antoine de Baïf (1532-1589), membre de la Pléiade[72]. A écrit le poème La Nymphe de la Bièvre consacré à la vallée de la Bièvre et à Arcueil.
  • Anne-Marie-Joseph de Lorraine et Marie-Louise Chrétienne Jeannin de Castille se sont mariés à Arcueil le .
  • Le marquis de Sade (1740-1814).
    L'affaire Rose Keller, premier scandale public du marquis, se déroule dans sa petite maison d'Arcueil[85]. Il y entraîne une jeune veuve, Rose Keller, réduite à la mendicité, pour la fouetter jusqu’au sang et la contraindre, le dimanche de Pâques, à des pratiques blasphématoires. L’imaginaire collectif multiplie les détails qui viennent pimenter la relation des faits. La rue et les salons s’émeuvent (voir en note[86] la lettre de Madame du Deffand à Horace Walpole le ).
    Sa famille se mobilise pour le soustraire à la justice commune et le placer sous la juridiction royale. Il est incarcéré au château de Saumur, puis à celui de Pierre Encise. La plaignante reçoit de l’argent. L’affaire est jugée au Parlement en juin et le roi fait libérer le coupable en novembre, mais lui enjoint de se retirer dans ses terres.
  • Claude-Louis Berthollet (1748-1822), chimiste, maire d'Arcueil.
  • Pierre-Simon de Laplace (1749-1827), mathématicien, astronome et physicien.
  • François-Vincent Raspail (1794-1878), chimiste, médecin et homme politique.
  • Émile Raspail (1831-1887), industriel et homme politique, maire d'Arcueil.
  • Le père Henri Didon (1840-1900)[72].
    Dominicain, il dirigea le collège Albert-le-Grand de 1890 à 1900[87]. Créateur à Arcueil de la devise « Citius, Altius, Fortius » – « Plus vite, plus haut, plus fort » – pour le club sportif scolaire de son lycée. Son ami Pierre de Coubertin la reprit, avec son autorisation, pour qu'elle devienne la devise olympique.
  • Henri Rousseau (1844-1910) dit le douanier Rousseau, peintre naïf ; il travailla comme douanier à la maison des gardes, actuellement le conservatoire d'Arcueil.
  • Les savants Pierre (1859-1906) et Marie Curie (1867-1934), puis Frédéric Joliot-Curie (1900-1958), fondateurs de l'Institut du radium.
  • Raymond Carré de Malberg, juriste alsacien, étudie au Collège d'Arcueil, puis à Stanislas[88].
  • Hippolyte Lefèbvre, (1863-1935), sculpteur, graveur, médailleur, décédé dans la commune en .
  • Erik Satie (1866-1925), musicien qui résidait dans la « maison aux 4 cheminées[89] », fondateur de l'École d'Arcueil, enterré au cimetière d'Arcueil[90].
  • Jean Mich (1871-1932), sculpteur.
  • Julio González (Barcelone 1876-Arcueil 1942), sculpteur.
  • Louis Pergaud (1882-1915), écrivain, il fut instituteur à l'école Laplace. Auteur de La Guerre des boutons.
  • André Lagrange (1889-1958), peintre français.
  • Adrienne Bolland (1895-1975), aviatrice française.
  • Jean Mamy (1902-1949), fusillé le au fort de Montrouge[91] du fait de sa collaboration avec l'occupant allemand. Il fut le dernier fusillé de l'épuration d'après-guerre.
  • Hans Hartung (1904-1989) a habité à partir de 1945 dans l'atelier de Julio González[92].
  • Victor Vasarely (1906-1997), peintre et plasticien hongrois, naturalisé français en 1961, vit dans la commune où il a son appartement-atelier[93] jusqu'en 1960[94].
  • Robert Brasillach (1909-1945), connu pour son activité collaborationniste pendant la Seconde Guerre mondiale, est fusillé le au fort de Montrouge, à Arcueil.
  • Nono Zammit (1921-2016), acteur français, y est né.
  • Claude Viseux (1927-2008), peintre et sculpteur français. Il réside à Arcueil une trentaine d'années avant de s'installer dans le Pays basque. La promenade des aqueducs reliant Arcueil à Paris accueille 18 sculptures de Claude Viseux ; leur implantation débute au carrefour de la Vache noire pour se terminer à Paris près de la Cité universitaire (donation Micheline Viseux, 2016).
  • Daniel Frasnay (Paris 1928-2019), photographe, il est l'auteur du livre Art, Arcueil, artistes.
  • Antoine Marin (1928-1995), industriel arcueillais[72]. Proche des artistes peintres d'Arcueil, il créa l'entreprise homonyme à Arcueil. De nos jours, le prix portant son nom est remis chaque année à de jeunes plasticiens par un jury d'artistes arcueillais.
  • Bernard Rancillac (1931-2021), artiste plasticien, artiste-peintre et sculpteur, installe au début des années 1980 son nouvel atelier dans la commune.
  • Guy Poussy (1933-2024), homme politique français, y est né.
  • Herman Braun-Vega (1933-2019), peintre péruvien, vit et travaille à Arcueil à partir de 2000.
  • José Gamarra (1934-), peintre uruguayen. Il s'installe à Arcueil en 1963.
  • Antonio Seguí (1934-2022), peintre argentin, a vécu et travaillé dans l'ancienne demeure de François-Vincent Raspail[95].
  • Dulcie September (1935-1988), ex-dirigeante du Congrès national africain. Assassinée à Paris le , son nom a été donné au collège d'Arcueil.
  • Michel Winock (1937-), historien, il a raconté son enfance à Arcueil dans Jeanne et les siens (2003).
  • Bernard Fixot (1943-), éditeur, a grandi à Arcueil.
  • Jean-Pierre Pincemin (1944-2005), peintre, graveur et sculpteur français, mort à Arcueil.
  • Jean-Paul Gaultier (1952-), styliste et grand couturier français, a grandi à Arcueil.
  • Jean Teulé (1953-2022), romancier, a grandi à Arcueil.
  • Jean-Pierre Jouffroy (1933-2018), peintre, a vécu et travaillé à Arcueil.

Arcueil dans les arts

modifier

Le pont-aqueduc d'Arcueil-Cachan apparaît dans le film Aux rêveurs tous les atouts dans votre jeu réalisé en 2011 par Mehdi Benallal et projeté au festival du Cinéma du réel la même année. À cette occasion, la critique Charlotte Garson écrit : « Sous l’aqueduc d’Arcueil, les nuages glissent, le soir tombe. Séparés par des plans fixes sur cet élément urbain majestueux à quelques encablures d’une porte de Paris, quatre récits de rêves découpent un monde parallèle. »[96]

Héraldique, logotype et devise

modifier

Les armes d'Arcueil se blasonnent ainsi : Écartelé : au premier et au quatrième d'azur à l'aqueduc de trois arches d'argent maçonné de sable sur une terrasse de sinople, au deuxième d'azur aux trois fleurs de lys d'or, au troisième d'or aux cinq tourteaux de gueules ordonnés en orle et surmontés d'un plus gros tourteau d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or[97].

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

modifier
  • Fernand Bournon : Arcueil-Cachan : notice historique & renseignements administratifs, Montévrain, coll. « Etas des communes du département de la Seine à la fin du XIXe siècle », , 138 p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  • Arcueil Seine, Collection Fenêtre sur…, Éditions Erpé-Actuapress, 1997.
  • Jacques Varin, Mémoires d'Arcueil, Temps Actuels, 1982.
  • L.-L. Veyssière, Arcueil et Cachan, Les amis du vieil Arcueil, 1947.
  • Madeleine Leveau-Fernandez, Histoire du Val de Bièvre : des origines aux années 1970, Ecomusée du Val de Bièvre, 205 p. (ISBN 2-90-3379-16-5)

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
  5. C'est notamment à Arcueil que se déroula l'événement connu sous le nom de « Pompe du bouc ».
  6. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

modifier
  1. « Habiter à Arcueil »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur site de la ville d'Arcueil (consulté le ).
  2. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Arcueil », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  3. « Val-de-Marne. Où en est la réouverture de la Bièvre à Arcueil et Gentilly ? », sur actu.fr (consulté le ).
  4. https://www.ouest-france.fr/ile-de-france/arcueil-94110/environnement-a-arcueil-et-gentilly-la-bievre-refait-surface-73ea3326-ae79-11ec-9246-65b3a25ae7f9
  5. La Bièvre Tome II La banlieue de Paris, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 978-2-84253-946-7, BNF 39077640), p. 81.
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Luxembourg » (commune de Paris) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Luxembourg » (commune de Paris) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2016, document mentionné en liens externes.
  17. Voir sur 94.citoyens.com.
  18. a b et c DEPOIN (J.) Chartes et Documents de Saint-Martin-des-Champs (1912), t.1,p. 36. 212, 247.
  19. a b et c CASSAGNE (J.M.) KORSAK (M.) Origine des noms de lieux de Paris et grande couronne (91-92-93-94-95) (2009), p. 59.
  20. a et b GUERARD Cartulaire de l'église Notre-Dame de Paris. (1850), t.3, p. 118, 180.
  21. JUNG (Marc René) Hercule dans la littérature française du 16e siècle (1966), p. 63.
  22. DEPOIN (J.) Chartes et Documents de Saint-Martin-des-Champs (1921), t.5, p. 62.
  23. a et b Ign, Plan Cassini vers 1757.
  24. a et b Dictionnaire historique des environs de Paris du docteur Ermete Pierotti.
  25. a et b « Diagnostic territorial du plan local d'ubanisme », sur www.arcueil.fr, p. 3.
  26. Stéphane Ardouin avec la collaboration de Bruno Deloumeaux, « Les bassins et ouvrages d’art de l’aqueduc antique de Lutèce », Revue archéologique d’Île-de-France, no 2,‎ , p. 190 (lire en ligne)
  27. J. Lebeuf, Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, t. X, p. 4, Prault père, Paris, 1757.
  28. « Le marquis de Sade a assouvi ses fantasmes à Arcueil », Le parisien,‎ (lire en ligne)
  29. Sandrine Martinez, « Arcueil et Cachan : « Je t'aime, moi non plus » », Le parisien,‎ (lire en ligne)
  30. Gnôme et Rhône:39-45, parcours de 67 salariés, par Serge Boucheny et Dominique Guyot, p.73, Association d'Histoire Sociale, CGT de la SNECMA
  31. Claudine Cardon-Hamet, dans Mille otages pour Auschwitz… convoi dit des 45.000, éditions Grapheim, 1997-2000
  32. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
  34. Décret n° 2015-1665 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Vitry-sur-Seine sur Légifrance.
  35. La liste des 82 communes équipées de machines à voter sur le site de ZDNet.fr
  36. Lucile Métout, « Municipales à Arcueil : dans la seule ville écolo d’Ile-de-France, les candidats ont des idées vertes : Christian Métairie (EELV) remet son écharpe en jeu pour la première fois. L’environnement est une priorité de ses opposants », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Têtes de liste déclarées : Christian Métairie (EELV), Clotilde Galhié-Louise (LR), Karim Baouz (SE, soutenu par LFI), Benoît Joseph Onambele (SE, soutenu par LREM et le MoDem), Robert Larcher (LO) ».
  37. « Municipales 2020 : à Arcueil, seule ville écolo d’Ile-de-France, EELV défend son fief : L'écologiste Christian Métairie n'a pas réussi à être réélu dès le 1er tour dans son fief d'Arcueil (Val-de-Marne). Seul candidat face à lui au second tour, Benoit Joseph Onambele soutenu par LREM et le MoDem a fait une alliance avec la droite et le candidat initialement soutenue par LFI », France 3 Paris Île-de-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le candidat espère bien rattraper son retard le 28 juin et renverser le maire dont la formation est au pouvoir depuis plus de deux décennies. Pour ce faire, Benoit Joseph Onambele a fusionné sa liste avec celle de droite menée par Clotilde Galhié-Louise (9%) mais a aussi fait alliance avec Karim Baouz (10% des voix), sans étiquette, mais soutenu par la France Insoumise. "Ça ne nous surprend pas, M. Baouz a passé tout le mandat précédent à être affilié au MoDem.", remarque Helène Peccolo, numéro deux sur la liste EELV. La France insoumise s’est désolidarisée de la décision de Karim Baouz et appelle à soutenir la candidature de Christian Métairie ».
  38. Lucile Métout, « Municipales à Arcueil : Christian Métairie (EELV) réélu de peu : Le maire sortant, qui remettait son écharpe en jeu pour la première fois, l’emporte au deuxième tour avec 103 voix d’avance ce dimanche soir », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Pour mémoire, cela fait un quart de siècle que siècle que Christian Métairie est élu à Arcueil. L'ancien adjoint avait pris la suite de Daniel Breuiller (EELV) à mi-mandat fin 2016. Il était alors devenu le 4 e dirigeant de la ville depuis la Libération ».
  39. Notice SIDOBRE Marius, Armand par Claude Pennetier, version mise en ligne le 7 août 2009, dernière modification le 22 novembre 2022
  40. Notice TRIGON Marcel par Paul Boulland, version mise en ligne le 23 octobre 2009, dernière modification le 22 novembre 2022
  41. Marc Pivois, « Le maire d'Arcueil passe la main », Libération,‎ (lire en ligne) « Marcel Trigon, 61 ans, dont trente-trois de mandat, a annoncé sa démission hier et qu'il a désigné en la personne de Daniel Breuiller, 44 ans, un dauphin non communiste. ».
  42. C. Dubois, « Disparition de l’ancien maire Marcel Trigon », 94.citoyens.com,‎ (lire en ligne).
  43. « CARNET Daniel Breuiller », Le Moniteur,‎ (lire en ligne, consulté le ). « Daniel Breuiller (divers gauche) a été élu, le 3 mai, maire d'Arcueil (Val-de-Marne). Il succède à Marcel Trigon, démissionnaire du PCF en janvier 1996, qui était à la tête de la mairie depuis trente-trois ans. »
  44. Agnès Vives, « Arcueil : le maire EELV démissionne », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine,‎ (lire en ligne) « Pour autant, Daniel Breuiller, 63 ans, garde un œil sur Arcueil. Il entend rester simple conseiller municipal pour « accompagner la ville et le futur maire jusqu’en 2020 ». Il continuera aussi d’occuper ses fonctions de vice-président à la Métropole du Grand Paris ».
  45. « Arcueil : Daniel Breuiller quitte le conseil départemental », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne).
  46. Marie-Charlotte Dutheil, « Arcueil : l’élection de Christian Métairie applaudie, le FN hué », Le Parisie, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne) « Christian Métairie est élu maire d'Arcueil, par 27 bulletins pour, 3 contre, et 1 nul ».
  47. « Conseil municipal d’installation : 3/07/2020 », Actualités municipales, sur arcueil.fr (consulté le ).
  48. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur Ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  51. Insee, « Dossier complet Commune d'Arcueil (94003) », (consulté le ).
  52. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Val-de-Marne (94) », (consulté le ).
  53. « Les écoles à Arcueil - site de la mairie »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur www.arcueil.fr, (consulté le ).
  54. « Pour une rentrée en beauté », ANC - Arcueil notre cité - bulletin municipal,‎ , p. 8 (lire en ligne)
  55. « Le site officiel du Cinéma Mégarama - Arcueil »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Megarama.fr (consulté le ).
  56. Site de la médiathèque Louis-Pergault
  57. La galerie municipale Julio González sur le site de la ville d'Arcueil.
  58. Site de l'association L'Usine
  59. reportage sagacités du 18/03/1998 à 3 min 30 s
  60. a b c d e et f « Dossier complet − Commune d'Arcueil (94003) | Insee », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  61. « Niveau de vie et pauvreté des territoires en 2020 − Principaux résultats sur les revenus et la pauvreté des ménages en 2020 | Insee », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  62. a b et c « Dossier complet − Région d'Île-de-France (11) | Insee », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  63. a b et c « Dossier complet − Département du Val-de-Marne (94) | Insee », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  64. a et b « Dossier complet − France | Insee », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  65. https://actu.fr/ile-de-france/arcueil_94003/val-de-marne-ce-magasin-cora-est-transforme-en-carrefour-ce-qui-va-changer_61672764.html
  66. « L'Opération des Portes d'Arcueil »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur site de la SADEV94, (consulté le ).
  67. « La Vache noire : sous le pré, les commerces », sur site du quotidien Les Échos, (consulté le ).
  68. Sources : Kompass[Quand ?][réf. incomplète] et élaboration du plan local d'urbanisme d’Arcueil - Concertation de la population (disponible en mairie d'Arcueil)[réf. incomplète].
  69. Notice no PA00086607, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  70. Illumination de l'aqueduc
  71. Notice no PA00079846, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  72. a b c et d Arcueil, rue d'hier et d'aujourd'hui, édité par le centre culturel communal Erik-Satie en 2006 (ISBN 2-9526850-0-2).
  73. Notice no PA00079848, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  74. « Visite commentée autour des travaux de restauration du Nymphée », sur parisetudiant.com, .
  75. Notice no IA94000458, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  76. Notice no IA94000410, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  77. Notice no IA94000408, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  78. Notice no IA94000411, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  79. Notice no IA94000452, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  80. « Susse », Fondeur, sur e-monumen.net (consulté le ).
  81. Par Le 19 mars 2009 à 07h00, « Une artiste de la fonderie d'art récompensée », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  82. Par Anne-Laure Abraham Le 22 septembre 2017 à 19h00, « Arcueil : l’Inconnue de la Seine dope la célébrité de la société de moulage », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  83. a et b Par Anne-Laure Abraham Le 17 décembre 2017 à 12h27, « Arcueil : nouvelle étape dans l’évacuation des déchets du laboratoire Curie », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  84. « Situation radiologique et de la décontamination du site d'Arcueil », sur irsn.fr, (consulté le ).
  85. La maison du marquis de Sade sur www.arcueilhistoire.fr
  86. Lettre de Madame du Deffand à Horace Walpole le  :
    « Un certain comte de Sade, neveu de l’abbé auteur de Pétrarque, rencontra, le mardi de Pâques, une femme grande et bien faite, âgée de trente ans, qui lui demanda l’aumône ; il lui fit beaucoup de questions, lui marqua de l’intérêt, lui proposa de la tirer de sa misère, et de la faire concierge d’une petite maison qu’il a auprès de Paris. Cette femme l’accepta ; Il lui dit d’y venir le lendemain matin l’y trouver ; elle y fut ; il la conduisit d’abord dans toutes les chambres de la maison, dans tous les coins et recoins, et puis il la mena dans le grenier ; arrivés là, il s’enferma avec elle, lui ordonna de se mettre toute nue ; elle résista à cette proposition, se jeta à ses pieds, lui dit qu’elle était une honnête femme ; il lui montra un pistolet qu’il tira de sa poche, et lui dit d’obéir, ce qu’elle fit sur-le-champ ; alors il lui lia les mains et la fustigea cruellement ; quand elle fut tout en sang, il tira un pot d’onguent de sa poche, en pansa les plaies, et la laissa ; je ne sais s’il la fit boire et manger, mais il ne la revit que le lendemain matin ; il examina ses plaies, et vit que l’onguent avait fait l’effet qu’il en attendait ; alors il prit un canif, et lui déchiqueta tout le corps ; il prit ensuite le même onguent, en couvrit toutes les blessures et s’en alla. Cette femme désespérée se démena de façon qu’elle rompit ses liens, et se jeta par la fenêtre qui donnait sur la rue ; on ne dit point qu’elle se soit blessée en tombant ; tout le peuple s’attroupa autour d’elle ; le lieutenant de police a été informé de ce fait ; on a arrêté M. de Sade ; il est, dit-on, dans le château de Saumur ; l’on ne sait pas ce que deviendra cette affaire, et si l’on se bornera à cette punition, ce qui pourrait bien être, parce qu’il appartient à des gens assez considérables et en crédit ; on dit que le motif de cette exécrable action était de faire l’expérience de son onguent ».
  87. Le collège Albert-le-Grand sur www.arcueilhistoire.fr
  88. « CARRÉ de MALBERG Raymond Louis Antoine Julien », sur Fédération des Sociétés d'Histoire et d'Archéologie d'Alsace (consulté le ).
  89. La maison d'Erik Satie sur arcueilhistoire.fr.
  90. Cimetières de France et d'ailleurs
  91. Fiche descriptive de Jean Charles Mamy, dans l'encyclopédie en ligne les Gens du cinéma
  92. Drugeon F, 1940-1956, renaissance et reconnaissance, L'Objet d'art, Hors-série n°141, Hans Hartung, octobre 2019, p27-32
  93. Voir sur culture.gouv.fr.
  94. Selon les sources, Vasarely s'installe à Arcueil dès 1930 (mais part se cacher durant l'occupation en province, notamment à Saint-Honoré-les-Bains) ou, s'y implante bien plus tard, entre 1946 et 1951.
  95. (es) Celina Chatruc, « Antonio Seguí, el gran anfitrión », LA NACION,‎ (lire en ligne) :

    « Así que al día siguiente fui y encontré el taller que tengo hoy. Estaba en el jardín de la casa donde vivió y murió François-Vincent Raspail. »

  96. Aux rêveurs tous les atouts dans votre jeu
  97. Banque du Blason.